#réforme institutionnelle
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Diaspora marocaine : réformes institutionnelles et défis associatifs
Abderrafie Hamdi// Les réseaux sociaux se sont enflammés à la suite du discours prononcé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le 6 novembre 2024, à l’occasion du 49ᵉ anniversaire de la Marche Verte. Ce discours a consacré une partie importante au cadre institutionnel dédié à la diaspora marocaine résidant à l’étranger. La communauté marocaine à l’étranger a accueilli avec enthousiasme les…
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SE Colonel Abdoulaye Maiga : Le Chantre de la Souveraineté Africaine à l'ONU
Dans un contexte global marqué par l’incertitude La voix du Mali s’élève comme un phare d’espoir et de souveraineté. À l’occasion du débat général de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, Son Excellence Abdoulaye Maiga, Vice-Premier Ministre du Mali, a porté un message de lutte, de dignité et d’indépendance pour les peuples d’Afrique. En abordant le thème « Ne laisser…
#Abdoulaye Maiga Mali#Autodétermination africaine#Confédération des États du Sahel#Discours ONU 2024#ONU 2024#Réforme institutionnelle internationale#SE Colonel Abdoulaye Maiga#Souveraineté africaine
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Pardon, est-ce que tu pourras nous faire un petit retour voire résumé du programme front populaire ? Mercii 😘
Sur le volet institutionnel, on trouve la proposition de mettre fin à la Vème République (!) en convoquant une assemblée citoyenne pour élaborer une nouvelle constitution (la juriste en moi est septique sur ce que ça peut donner en ce qui concerne la répartition des pouvoirs et les questions essentiellement institutionnelles cela dit).
Sur le volet écologique, on retrouve l'idée de rétablir l'ISF et de l'utiliser en matière d'environnement (il y a de nombreuses autres mesures fiscales dans le programme, notamment pour taxer les superprofits dans la grande distribution), la volonté d'un contrôle public accru des énergies ou encore des mesures plus précises, notamment en ce qui concerne l'aménagement (rénovation des bâtiments publics, isolation des logements...).
Une autre proposition que je trouve importante, c'est la création d'un fond d'indemnisation contre les pollutions (ou les conséquences des pollutions sur les populations, j'imagine), pour l'instant destinés spécifiquement aux populations d'outre-mer (mais qui aurait un potentiel de développement très important). Une autre proposition qui a du potentiel si elle est bien réalisée : la conditionnalité de certaines aides aux entreprises, en fonction du respect de critères environnementaux et sociales (notamment l'égalité hommes / femmes).
Sur le plan social, les mesures défendues sont nombreuses : nouveaux droits pour les travailleurs (un congé menstruel obligatoire par exemple), défense et revalorisation de certaines prestations sociales (APL, abrogation de la réforme des retraites et du RSA, abandon de la réforme de l'assurance chômage...), revalorisation du SMIC...
On garde en tête que Bruno Le Maire a dit aujourd'hui qu'il fallait "crever le plafond de verre des allégements de charges sociales" : au-delà du fait qu'il n'a pas bien compris ce que c'est un plafond de verre, il a du oublier que ce sont les citoyens et non les entreprises qui votent. Les fameuses "charges sociales", pour rappel, elles financent notamment notre assurance maladie et nos retraites.
Il y aussi de nombreuses propositions destinées à renforcer les services publics, notamment pour les zones qui en manquent actuellement. On peut notamment retenir la proposition d'encadrer la liberté d'installation des médecins libéraux.
Ça ne fait pas le tour du programme bien sûr, notamment car je laisse de côté le volet géopolitique. Si vous voulez plus de précision, il faudra faire comme tout le temps et lire la presse qui en parle !
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Ils oseront, vous verrez
Obstiné comme une bête de somme, le gouvernement, avec son semblant de majorité, poursuit néanmoins son effort et psalmodie ses éléments de langage : solidarité, progrès, justice. Les chiffres ne mentent pas. [...]
Ce comportement de rouleau compresseur n’est pourtant pas si surprenant. [...] Le recours systématique à la ruse, l’absence de vergogne, le savoir-faire techno. Tout le temps que va durer cette mascarade, on sentira à la manœuvre des ingénieurs de la chose publique aussi bien instruits que peu scrupuleux. Ceux-ci feront jouer tous les rouages, administratifs, légaux et institutionnels. Leur maîtrise s’illustrera comme jamais dans ces quelques semaines de manigances historiques. [...]
Pourtant, cette obstination gouvernementale ne va pas sans une drôle d’impression de contrecœur. [...] A les voir, on dirait qu’ils montent au front une baïonnette dans les reins. La conviction n’y est pas. Les fils du marionnettiste ruinent l’illusion. [...] Alors, ce pouvoir si mal élu, vacillant de naissance et mal aimé dès le départ, emprunte la seule voie qui lui semble praticable : le 49.3.[...]
C’est à partir de là que la chronique prend une ampleur presque tragique. Car il n’est plus seulement question des retraites, mais de la démocratie. On ne conteste plus seulement une politique, mais un règne. Le récit, à cet instant, doit changer de ton, car si tout demeure légal, plus rien n’est juste et sous ses dehors réguliers, le pouvoir vient brutalement de changer de physionomie. Sous l’effet du scandale énorme que constitue ce passage en force, le drap qui recouvrait sa mécanique intime est tombé. Sa nature est à nu, le vernis a pété, la brute est sous nos yeux. On a compris qu’elle est en mission, murée dans ses certitudes. Elle ne fera pas de cadeaux. [...]
Mais le plus fou est encore à venir. Le Président, manifestement impatienté par ce peuple qui s’obstine à ne pas être à la hauteur, le tance, injurie les manifestants, accuse les syndicats. Il s’invente dépositaire exclusif de toute légitimité. On croit rêver. La surdité est à son comble, l’aveuglement radical. L’exécutif fait bip-bip sur son orbite lointaine. Pour finir, dans une allocution lunaire de plus, digne d’un Skype de PDG de multinationale, le même président admet que sa réforme n’est pas acceptée et passe sans transition au nouvel agenda du Comité Exécutif Central : 100 jours pour réparer la France tous azimuts. Le déluge d’annonces va suivre, souvent recyclées. L’idée est simple : saturer les canaux et les citoyens, forcer le pas, imprimer le rythme, c’est la méthode Sarkozy revisitée stroboscope. Rendez-vous le 14 juillet. D’ici là, de toute façon, on aura eu Roland-Garros, le Tour de France et les incendies. Les Français, Inch Allah, seront passés à autre chose. [...]
Depuis le 49.3, la démocratie française a une gueule de dystopie. La République bourgeoise telle que sous Guizot (mais désormais entrepreneuriale et techno) est ressortie de l’abîme comme une Atlantide, gouvernant à son idée, à coups de décrets, juchée sur son quart de peuple, infirme comme jadis, avec pour béquilles sa police guère subtile et l’étai résolu des grands intérêts. [...]
Et nous voilà nous, incrédules, au bord du gouffre climatique, matraqués et tenus, aux mains de maîtres qui nous font cette drôle de guerre, avec des institutions ébranlées, des juridictions d’exception entrées dans le droit commun et une extrême droite aux portes de l’Elysée. Car le pire est là sans doute. Dans quatre ans, la colère libérée par cette forfaiture légale s’exprimera avec une amplitude qui fera passer les black blocks pour d’aimables ambianceurs d’Ibiza. Et ce pouvoir qui a tant fait pour que le pire advienne ira alors dire que la faute revient à ses adversaires, tous populistes, sapeurs de démocratie, précurseurs du fascisme. Ils oseront, vous verrez. [...]
Pour un écrivain ou une écrivaine qui s’intéresse à son temps, c’est un moment d’effarement et de bascule. Le réel est devenu si caricatural qu’on ne sait plus par quel bout le prendre. Chaque jour apporte son lot d’aberrations ; il suffit de lire Pif, Playboy ou Têtu. Face au renversement du langage, à la falsification galopante, à l’énorme besoin de mots qui se fait jour pour décrire l’époque et réduire l’hégémonie de sa bêtise particulière, on se demande quoi faire, quels moyens employer. [...]
Ce que nous pouvons faire, c’est ça : raconter. Que nos récits infusent. Ils feront un jour le ridicule de ceux qui aujourd’hui se prennent pour des hommes d’Etat et ne sont souvent que les managers de l’entreprise France. Que nos phrases fassent honte dès maintenant aux magouilleurs de légitimité, aux laquais perpétuels, à la brutalité qui brise nos révoltes. Que nos textes interdisent le passage du temps et forcent sans cesse à revenir sur ce qui nous a été volé. La pilule amère ne doit pas passer. Surtout, nos mots peuvent dénuder n’importe quel roi, fût-ce a posteriori. Et d’ici là, ils donneront une voix à celles et ceux qui n’en ont pas. Le roman de ce pays s’écrit aujourd’hui à l’encre de leur volonté piétinée.
Retraites : le roman national est à nous, par Nicolas Mathieu (Le Libé des écrivains, Libération, 20 avril 2023)
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Oui. Les remaniements ministériels ou les dissolutions d'Assemblée qui mènent de collabs' à collabs' n'ont d'autre "intérêt" que de faire perdre du temps et de l'argent à tout le monde. >>> "Si la motion passait, certes cela faisait tomber Borne et son équipe de bras cassés mais elles auraient été remplacées par d'autres robots macronistes immédiatement. Nous aurions été satisfaits de cette chute mais pour quelques semaines seulement, le temps qu'un remaniement nous impose Gabriel Attal à Matignon par exemple. Le rejet de cette motion ouvre des perspectives beaucoup plus intéressantes. Maintenant que le parcours institutionnel est terminé, il reste la possibilité que la rue prenne le relai. Et cette perspective intéresse davantage les gens qui, comme nous, souhaitent beaucoup plus énergiquement la chute de Macron que celle de Borne ; la fin du régime plutôt que celle d'une vulgaire réforme des retraites. Peut-être qu'il ne se passera rien, mais si la motion passait il était absolument certain que rien ne se passerait. Alors entre un scénario qui a 0% de chances de se réaliser et un autre qui a 1%, je prends le deuxième."
Jonathan Sturel (Aussi sur Fb, 23 mars 2 023)
#basile pesso#jonathan sturel#sujets de société#économie#retraites#manifestations#france#émeutes#contenu original#écrivains#écrivains sur tumblr#journalisme#journalistes#journalistes indépendants#yes we are magazine#politique#politique française
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Nominations Stratégiques au Ministère des Transports
Conformément aux réformes institutionnelles engagées pour renforcer la gouvernance et assurer la continuité du service public, le Ministère des Transports et de la Marine marchande a procédé à l’installation officielle de plusieurs hauts responsables. Ces nominations, annoncées à la suite des décisions prises en Conseil des ministres du 6 mars 2025, s’inscrivent dans la volonté des autorités de…
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Matthieu Bloch, Député A Droite de la 3ème circonscription du Doubs, a posé une question écrite au Gouvernement à François Rebsamen, Ministre de l’Aménagement du Territoire : "Monsieur le Député Matthieu Bloch interpelle Monsieur le Ministre de l’Aménagement du Territoire au sujet de l’urgence d’une réforme du statut de l’élu local à l’approche des échéances municipales de 2026. À l’heure où la crise des vocations pour l’engagement municipal se fait de plus en plus pressante, de nombreuses communes - en particulier en milieu rural - éprouvent d’importantes difficultés à rassembler un nombre suffisant de candidats pour former des listes électorales complètes. Cette situation, si elle devait perdurer, menace directement la vitalité démocratique et l’organisation institutionnelle de nos territoires. Loin d’être un constat isolé, cette problématique a été soulevée à maintes reprises au cours des derniers mois, pas seulement par les élus eux-mêmes mais aussi par le Conseil d’État, qui a récemment souligné, dans son étude annuelle consacrée à la souveraineté, qu’« un renforcement du statut des élus locaux paraît souhaitable ». De surcroît, il est aujourd’hui indispensable que Monsieur le Ministre se saisisse sans délai de cette question afin de doter les élus locaux d’un véritable statut juridique garantissant des conditions d’exercice du mandat à la hauteur des responsabilités qui leur incombent. Il s’agit notamment de faciliter l’exercice du mandat en assurant une meilleure articulation avec la vie professionnelle ou encore de renforcer la reconnaissance et la solennité de cette fonction essentielle à la vie de la Nation mais également d’apporter des garanties solides en matière de sécurités matérielle, physique et juridique. À l’aube du renouvellement des conseils municipaux, il est impératif que les pouvoirs publics adressent un signal fort aux 500 000 élus locaux qui s’apprêtent à prendre ou à renouveler leur engagement au service de nos concitoyens. Aussi, Monsieur le député appelle de ses vœux une reprise rapide des travaux législatifs en la matière et souhaite savoir quelles dispositions concrètes le Gouvernement entend prendre afin d’assurer la mise en place, dans les meilleurs délais, d’un cadre législatif ambitieux et adapté aux défis contemporains de l’engagement municipal". Read the full article
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Des Investissements Ambitieux pour un Territoire Dynamique
La première séance plénière de 2025 du Conseil Départemental de la Guadeloupe marque le début d’une année résolument tournée vers l’avenir. Entre investissements structurants, réformes institutionnelles et actions de sensibilisation à la sécurité routière, le territoire se prépare à relever les défis de demain.
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Réforme institutionnelle : pas de saut dans le vide

Conférence de presse de la Fédération du PCF de Haute Corse
Le ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation est en Corse. Son déplacement porte sur la révision constitutionnelle en vue de doter la Corse d’un statut d’autonomie. Il intervient après la visite de la Mission parlementaire missionnée à ce propos.
Dans ce cadre, et étant donné que les forces politiques non représentées à l’Assemblée de Corse ne sont pas consultées, nous tenons à faire connaitre au ministre notre analyse de la situation économique et sociale et faire des propositions afin que la réflexion en cours intègre la question sociale. Nous le disons avec d’autant plus d’insistance que le ministre François Rebsamen dans la l’interview qu’il a donné à Corse Matin hier n’en parle à aucun moment.
L’INSEE et la DREETS viennent, en effet, récemment de dresser le panorama salarial de la Corse en confirmant que notre région est bien celle, parmi les régions métropolitaines, où les salaires sont les plus bas et la pauvreté la plus répandue. Sachant que le MEDEF s’oppose à toute augmentation des salaires en Corse, cela renforce la nécessité d’établir des contreparties sociales afin d’augmenter les salaires pour les entreprises qui perçoivent des aides publiques.
Pouvoir d’achat, salaires, cherté de la vie, pénurie de logements sociaux, santé… disparaissent derrière la recherche incessante d’une réforme institutionnelle jamais aboutie. Après 4 réformes institutionnelles en 40 ans, l’expérience nous enseigne que la réponse institutionnelle à la question sociale est inopérante sauf au maintien des choses en l’état voire à leur aggravation. Ces préoccupations, qui sont au quotidien celles d’une grande majorité de Corses pour la plupart n’impliquent pas de changer la Constitution à cadre normatif et réglementaire constants.
Le contrôle et le blocage des prix que le préfet de région ne veut pas opérer est possible comme cela se fait à la Réunion. L’interruption du détournement des réfactions de TVA et le rétablissement du franco de port, à la base du dispositif de continuité territoriale, c’est réalisable de suite. L’INSEE vient encore de souligner l’écart de prix entre le continent et la Corse 7% en moyenne sur l’ensemble des produits. Il est de 14% sur l’alimentaire. Cela représente 25% du budget des ménages pauvres. En 10 ans l’inflation a atteint en Corse les 31%.
La volonté politique fait donc défaut pour mettre un terme à ce scandale et l’oligopole du Consortium des patrons corses, en grande partie responsable, pèse dans la balance malgré les rapports successifs de l’IGF et de l’Autorité de la concurrence qui ont montré l’existence d’une "captation" de la solidarité nationale au détriment de l’intérêt général et des consommateurs. Nous disons qu’il faut revaloriser la prime de transports et l’étendre aux retraités.
Autre sujet, 7000 demandes de logements sociaux sont insatisfaites. Une politique ambitieuse en la matière générerait de l’emploi, ferait reculer la pression foncière spéculative, en donnant satisfaction à ces nombreuses familles qui attendent des années pour pouvoir s’installer. L’Etat, la Collectivité de Corse et son Office foncier doivent avoir comme priorité de résorber ce déficit. Nous demandons, en ce sens, une programmation sur 10 ans.
La Corse a besoin de la solidarité nationale qu’il s’agisse du PTIC, de la mise en œuvre de la programmation pluriannuelle de l’énergie, de la continuité territoriale, du fonctionnement des hôpitaux, ou de l’Education nationale. Les interrogations sont légitimes. Or à ce jour aucune réponse ne dit ce qu’il adviendra en la matière. On se félicite de la baisse des tarifs de l’énergie mais il fallut 390 millions d’euros de péréquation tarifaire en 2024 pour les maintenir au même niveau que sur le continent. Qu’en sera-t-il ?
On ne peut se satisfaire d’un saut dans le vide. Sur toutes ces questions, comme sur celle de la lutte contre le crime organisé, particulièrement après les affirmations de l’ancien préfet de Région devant la Mission parlementaire.
Nous demandons la création d’une Commission d’enquête parlementaire sur l’emprise affairiste et mafieuse.
Au demeurant, si, comme le dit l’actuel préfet de Région, "le projet d'autonomie est une autonomie dans la République, avec un soutien énorme de l'Etat", force est de constater que ce soutien est défaillant face à l'urgence sociale. A tel point que le ministre François Rebsamen, dans son interview, ignore la vie réelle des Corses.
Ainsi, vidé de la question sociale, nous craignons que le débat sur l’avenir de la Corse ne débouche sur une réforme institutionnelle qui ne fera qu’anticiper une mise à l’écart de la République contre la volonté des Corses. En effet, c'est à la promesse républicaine d'égalité qu’ils ont adhéré en adhérant à la France de la Révolution le 30 novembre 1789. Ce choix, qu’ils ont renouvelé le 9 septembre 1943 en se libérant eux-mêmes du fascisme, doit être respecté et précisé comme un engagement politique accompagné d’un "pacte pour le progrès social" faisant de la question sociale une priorité dans tous ses dimensions : salaires, pouvoir d’achat, logement social, services publics, santé, éducation, énergie.
C'est pourquoi, face à l'urgence sociale, nous demandons au gouvernement de rétablir immédiatement le contrôle et le blocage des prix des produits de première nécessité et des carburants. De même, la visite du François Rebsamen s'achève dans le flou institutionnel puisque le projet du gouvernement est de proposer une modification constitutionnelle sans contenu. La Corse serait détachée de la métropole dans un statut d'autonomie sans en connaître les compétences, les pouvoirs et le devenir de la solidarité nationale. Aussi, nous exigeons que la consultation des Corses par référendum soit organisée avant la réunion du Parlement en Congrès.
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Hanouna 2027 : La France prête à dire 'Baba' à la démocratie ?
Cyril Hanouna, l'animateur controversé de "Touche pas à mon poste", évoque l'idée d'une candidature à l'élection présidentielle française de 2027.
Hanouna semble jouer sur l'ambiguïté, laissant filtrer des informations sur ses ambitions présidentielles sans les confirmer officiellement.
Les grandes lignes du programme potentiel d'Hanouna semblent mêler populisme et réformes audacieuses :
—Remplacement du Sénat par une assemblée citoyenne tirée au sort.
—Réforme du système de rémunération,passant du net au brut.
—Position nuancée sur l'immigration, entre fermeté et ouverture.
La démarche et les propositions de Cyril Hanouna soulèvent de nombreuses questions:
— Un animateur peut-il sérieusement prétendre incarner la fonction suprême sans avoir jamais géré ne serait-ce qu'une mairie ?
— Ses 15 ans de provocations télévisées le qualifient-ils vraiment pour diriger une diplomatie face à Poutine ou Xi Jinping ?
— Ses positions fermes sur l'immigration ne cachent-elles pas une copie édulcorée du programme du RN ?

— Sa fascination pour Zelensky ne révèle-t-elle pas une confusion dangereuse entre storytelling télévisuel et realpolitik ?
— En s' inspirant de Coluche, assume-t'il de réduire la présidentielle à une farce électorale ?
L’ hypothèse de sa candidature à l’élection présidentielle s’inscrit parfaitement dans la logique analysée par Guy Debord dans La Société du Spectacle (1967). Debord y dénonce une société où l’image et le divertissement supplantent le réel et la réflexion critique.
Hanouna, figure emblématique du paysage médiatique français, illustre cette transformation du politique en spectacle, où la popularité télévisuelle tend à se substituer à la légitimité institutionnelle et programmatique.

Le phénomène Hanouna rappelle la montée d’autres figures médiatiques devenues des acteurs politiques, de Donald Trump à Volodymyr Zelensky. Dans cette logique, la politique devient un produit de consommation, où le discours se réduit à des slogans et des polémiques, annihilant la complexité du réel.
Si Hanouna se lançait dans la course présidentielle, ce serait la confirmation ultime de la transformation du politique en un spectacle où la légitimité naît du buzz et de l’audience.
Debord aurait vu dans ce phénomène l’aboutissement d’une société où l’apparence supplante la vérité et où la politique devient une mise en scène permanente, vidée de son essence démocratique et critique.
Faut-il enfin admettre que la politique n’est plus qu’un divertissement, ou continuer à feindre la surprise ?
Par @ma6accko.bsky.social
© Amadou Gaye
© Pierre Delge
#CyrilHanouna#Coluche#Zelensky#Populisme#Realpolitik#Souverainisme#Macronisme#TPMP#C8#StorytellingPolitique#ÉquitéMédiatique#TéléréalitéPolitique#Immigration#ValeursRépublicaines#crise#démocratie#financement#campagne#outsider#politique#paradoxe#Élysée2027#AssembléeCitoyenne#RéformeInstitutionnelle#DiplomatieFrançaise#NouvelleDroite#Néolibéralisme#société#spectacle#MarketingPolitique
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Réforme Institutionnelle: Ayip Daffé Défend le Projet de Loi
Ayip Daffé, député de la majorité, est monté au créneau pour défendre le projet de loi controversé visant à supprimer le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) et le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT). Face aux critiques de l’opposition et de certains acteurs de la société civile, il a livré une réplique incisive, affirmant que cette réforme est nécessaire pour…
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Feuille de route du « Groupe des Douze »
https://justifiable.fr/?p=1265 https://justifiable.fr/?p=1265 #des #Douze #Feuille #Groupe #route Présentation Créé à l’initiative de la ministre allemande chargée des Affaires européennes et du climat Anna Lührmann er de la secrétaire d’Etat française, Laurence Boone, le « groupe des 12 » a été lancé afin de formuler des recommandations sur les réformes institutionnelles de l’Union européenne. Composé de 12 experts des deux Etats, il s’est donné comme objectif de réfléchir sur les moyens pour renforcer la capacité institutionnelle d’action de l’Union, protéger ses valeurs fondamentales et rapprocher l’Union européenne de ses citoyens. Gaëlle Marti et Franz Mayer, experts du « groupe des 12 », nous livrent leur expérience de ce travail collectif et leurs réflexions sur l’avenir et le devenir de l’Union européenne. Programme 16h30 : Interventions de Gaëlle Marti, Professeure de droit public – Université Jean Moulin Lyon 3 / CEEet Franz Mayer, Professeur de droit constitutionnel et européen à l’Université de Bielefeld, Allemagne 18h00 : Fin Inscription en présentiel obligatoire (gratuite) : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSe8AxKkk7xeAcw4taDszm3Sv49T46YIaI-4fOwFiuNuKp5qMA/viewform Conférence organisée par le Chaire EUBioethics, IRENEE, IFG, Université de lorraine sous la direction de Maria Fartunova-Michel, Titulaire de la Chaire Jean Monnet EUBioethics, Maître de conférences HDR – Université de Lorraine/IRENEE Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
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Togo – Jean Kissi : “Celui qui est mis en prison pour son opinion, on l’appelle comment ?”
Home 2024 November Togo – Jean Kissi : “Celui qui est mis en prison pour son opinion, on l’appelle comment ?” Au Togo, la crise politique togolaise s’enlise avec une réforme constitutionnelle décriée, qualifiée de “monstre institutionnel” par Jean Kissi, 3e porte-parole du Front Touche Pas à Ma Constitution. Invité sur Radio Victoire FM, il a dénoncé une transformation des institutions au profit…

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« La loi ne permet pas à Sonko d’usurper mes prérogatives » (Bassirou Diomaye Faye)
Au terme de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a, lors d’une interview accordée à la chaîne de télévision Al Jazeera, abordé plusieurs sujets majeurs, y compris la gouvernance, les réformes institutionnelles et la situation politique au Sénégal, notamment le rôle d’Ousmane Sonko dans la gestion […]

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Bassirou Diomaye Faye : « La loi ne permet pas à Ousmane Sonko d'usurper mes prérogatives»
Au terme de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a, lors d’une interview accordée à la chaîne de télévision Al Jazeera, abordé plusieurs sujets majeurs, y compris la gouvernance, les réformes institutionnelles et la situation politique au Sénégal, notamment le rôle d’Ousmane Sonko dans la gestion du pays. Il a réaffirmé que les…
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Comment sortir la Guinée de la gesticulation institutionnelle ?
Cet acte 2 est la suite logique de l’acte 1 paru le 20 avril 2024. Pour sortir la Guinée de la gesticulation institutionnelle, il est important de mettre en œuvre des réformes profondes et durables qui touchent les fondements mêmes de l’État et de la société. Notre analyse matricielle porte sur quelques pistes de réflexion : 1. Réforme du système politique Il est essentiel de mettre en place…
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