#qui a tue mon pere
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KV1. Avec spoilers ⚠️
C'était exactement ce que j'attendais. Et même un peu plus. Parfait donc. Je la fais en vrac, chuis encore toute chose 🥺
Les costumes, maquillages et coiffures. Les décors. Les effets spéciaux. Mes enfants, on ne rigole plus DU TOUT. C'est beau, nom de dieu.
Perceval, mon très cher. Dans ce rayon de lumière. Qui comprend. Qui cite l'Ancien Testament au moment où il retrouve Arthur. Son Dieu à lui. Son Jésus. Son Sauveur. Et quand on repense à ce que dit Arthur sur Jésus dans le livre VI, frissons les gars, grands frissons. Et chialade.
Bohort et les loulous. Coeur avec les doigts.
Bedevere. Gareth. Lamorac. T'en veux d'la légende arthurienne? Tiens, mange.
Arthur et Guenièvre. Tellement à dire. Tellement. Arturus, au moment où il se construit, n'a jamais pu sauver son 1er amour. 30 and plus tard, au moment où il se reconstruit, en pleine rédemption, va sauver son grand amour. Il a réussi. Pour Sheda, pour Guenièvre, pour lui. Il est construit, reconstruit. Sur ses deux pieds, les épines dans les mains, mais debout, face à celle qui le comprend le mieux. Celle qui ne fait que le protéger. Une couronne de fleurs comme porte-bonheur. La légende, mes enfants, toujours la légende.
Les Burgondes, les paillettes. Bah oui. Évidemment. Dans une autre vie, j'étais burgonde, c'est moi qui vous le dit.
"Les visites en Carmélide, c'est comme les pieds de fraisiers, c'est toujours mieux quand c'est espacé." Nouveau personnage pref direct.
Les jeux du Pays de Galles. Discipline olympique. Tout de suite. Que quelqu'un appelle le CIO immédiatement.
Tous les Astier passent parfaitement à l'écran. Le talent de la génétique. (Le p'tit avant-dernier dans les bras de son grand-pere, toute la salle a fondu)
Lancelot. J'étais sceptique sur le costume (qui ne l'était pas?). Et finalement, ce grand machin se fait oublier. Parce que c'est le mec qui fait le costume. Grand reptile blanc qui se cache au milieu de son nid de vipères. Ça se protège, mais ça n'attaque pas vraiment. Et puis il faut du contraste: Lancelot, grandiloquent en blanc, et Arthur, simple en noir. Oui bon.
Lancelot et Arthur. Ah. Les dieux ont choisi. Arthur, lui, par contre, est toujours indécis. Que voulez-vous? Arthur est un sentimental, il ne tue pas (métaphoriquement) ceux qu'il aime ou respecte. Guenièvre et Perceval. Et Lancelot. La rédemption, ça marche avec l'amour, pas avec la mort. Pas facile d'être sentimental mon vieux.
Meleagant. Pour le plaisir de revoir Carlo Brandt. Mais sinon hein...
Mais où sont donc Yvain et Anna?
Christian Clavier et Sting en dialogue dans le même plan. La magie du cinéma.
Bref, j'oublie des trucs. C'était parfait. C'était drôle, mais aussi un peu la chialade. Des frissons partout.
12 ans d'attente, on est gâté.e.s.
L'est fort ce Astier 💜
#kv1 spoilers#kaamelott spoilers#kaamelott#si on appelle Alexandre Astier 'Dieu' c'est pas pour rien.#💜
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(via Qui a tué mon père - Édouard Louis) @EditionsduSeuil Après #ITW sur @Clique @canalplus l' #envie de revoir le dernier livre de @edouard_louis #resume ici https://vagabondageautourdesoi.com/2018/08/25/livre-qui-a-tue-mon-pere/
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Thomas Ostermeier met en scène Édouard Louis dans Qui à tué mon père ? - Sceneweb
Thomas Ostermeier met en scène Édouard Louis dans Qui à tué mon père ? - Sceneweb raffi-art.com/…
https://raffaelapflueger.com/home/web01001/public_html/cli/theatre-2020/18476-thomas-ostermeier-met-en-scene-edouard-louis-dans-qui-a-tue-mon-pere-sceneweb.html
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Grace à ma culture de la médecine traditionnelle
Grace à mes compétences traditionnelles et de la dendrologie voyant Annecy, voyant Paris, Suisse, Belgique, CANADA , Outre-mer et aussi le reste du monde Je suis capable de guérir les maladies chroniques, connues et inconnues à distance c'est possible avec maitre marabout medium LATERRE ET PERE SPIRITUEL du monde Ne vous laissez pas vous rongez par ces maladies, prenez-vous en main, consulter un spécialiste expérimenté qui dispose d’une compétence poussée en la matière. Voyant Poitiers, Voyant Limoges, Je soigne aussi l’impuissance sexuelle, je vous redonne la vigueur et la puissance sexuelle de votre jeunesse. Voyant Auxerre, marabout Orléans, marabout Agen, Je vous donne satisfaction en quelques jours suivant votre consultation Marabout Suisse, marabout Belgique, marabout France, marabout Martinique etc. Je travaille également par correspondance et je me déplace jusqu’à chez vous selon vos souhaits et ma déontologie, Guérisseur Canada, medium Martinique, Je dispose d'une connaissance redoutable pour mettre fin à vos problèmes de santé qui vous traumatise. Disposer à vous aider à mettre fin à toute les maladies qui vous tue, vous ne souffrirez plus jamais de ses maladies
Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com E-Mail: [email protected] Tel: 0022998574889 Whatsapp : 0022998574889
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"Le long de son chemin de lutte, Valérie Murat a rencontré dans la région de Bordeaux des femmes de vignerons qui avaient perdu leur mari de cancer de la prostate ou des testicules... Ou encore des familles de viticulteurs où des enfants sont atteints de leucémies, des femmes qui font des fausses-couches à répétition, des ouvriers agricoles atteints de la maladie de Parkinson."... http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20170926.OBS5162/video-les-pesticides-ont-tue-mon-pere-vigneron.html
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Pour D’abord, ils ont tué mon père, film qui sera disponible à partir du 15 septembre 2017, Angelina Jolie a travaillé avec la plateforme Netflix. Lire la suite sur http://lebazardestendances.com/dabord-ils-ont-tue-mon-pere-le-nouveau-film-dangelina-jolie/
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"Pour les dominants, le plus souvent, la politique est une question esthétique : une manière de se penser, une manière de voir le monde, de construire sa personne. Pour nous, c'était vivre ou mourir."
Dans "En finir avec Eddy Bellegueule", Édouard Louis dressait de la classe sociale dont il est issu un portrait amer, dur, il parlait de son père comme d'un crétin alcoolique et violent, gavé de télévision et de pastis, shooté à l’antisémitisme, au racisme, à l'homophobie. La plume d’Édouard Louis était revancharde, cathartique, elle donnait du lumpenproletariat la pire des images et semblait - à mes yeux tout du moins - suggérer qu'aux ténèbres de la misère s'opposait les lumières de la classe dominante. Cette impression un peu gênante aux entournures que j'ai eu à la lecture de son premier roman, Édouard Louis la balaie avec cet essai très court (83 pages) qui se révèle être l'exact inverse d'Eddy Bellegueule. Dans ces pages qui s'adressent à son père, Édouard Louis ne fait plus le procès de la violence et de la bêtise des gens parmi lesquels il a grandi. Au contraire : il leur rend hommage en s'acharnant cette fois sur la société qui a fait d'eux ce qu'ils sont. Sur les politiciens (noms cités à l'appui, Chirac, Sarkozy, Hollande et surement le pire de tous les ennemis des "petites gens", Macron) qui, par leurs lois scélérates qui broient les plus démunis pour enrichir les plus riches, il ne mâche pas ses mots. Il les appelle criminels. Et putain qu'il a raison. Il y a de la rage dans ces 83 pages. Celle d'un jeune homme qui a tout compris. Qui sait comment fonctionne notre société. Et que les gens comme son père ne traversent leur triste existence qu'en luttant contre la violence inouïe qu'exerce sur eux une classe dominante qui les humilie, les méprise et les tue. Comment ne pas être violent, acerbe, revêche, aigri, brutal et abruti par l'alcool quand tout autour de toi est conçu pour te rappeler que tu n'es rien, que tu ne vaux rien, que tu ne mérites rien qu'au mieux l'indifférence, au pire, les moqueries et les humiliations? Avec ce livre, Édouard Louis transforme l'image du père qu'il avait conçu dans Eddy Bellegueule. De dégénéré ivre de bêtise et d'homophobie, voila le pater victime anonyme d'un capitalisme criminel, sauvage, barbare. C'est bouleversant, évidemment. Et c'est d'une justesse de ton, d'écriture, d'analyse, à te donner envie de hurler. Hurler pour que depuis les fastes de leur palais de merde, les ordures au pouvoir osent au moins regarder en face ceux qu'ils tuent pour que leurs richissimes copains soient toujours plus riches. Qui a tué mon père, n'est pas une question. Il n'y a pas de point d'interrogation. Édouard Louis ne cherche pas à savoir. Il sait. Et il dénonce.Et sa colère devrait devenir la nôtre. A nous tous. Mais non, ni chipotons, nous nous disputons pour établir si c'est bien ou mal de faire cramer des putains de poubelles dans les rues quand les pourritures que nous avons élu tuent, au sens propre du terme, les plus fragiles, ceux qui n'osent même pas se rebeller tant on leur a bien fait rentrer dans le crâne qu'ils ne sont rien, ne valent rien et n'ont strictement rien à espérer de plus que ce que l'on a déjà la gentillesse de bien vouloir leur donner. 83 pages c'est peu. Mais il n'en faut pas plus pour faire de ce livre un cocktail Molotov qu'on rêve de balancer dans la gueule des salopards au pouvoir.
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Sur scène, un bouleversant Edouard Louis dans “Qui a tué mon père” - Les Inrockuptibles
Sur scène, un bouleversant Edouard Louis dans “Qui a tué mon père” - Les Inrockuptibles raffi-art.com/…
https://raffaelapflueger.com/fr/sur-scene-un-bouleversant-edouard-louis-dans-qui-a-tue-mon-pere-les-inrockuptibles.html
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Les corps sacrifiés de “Qui a tué mon père” - Les Inrocks
Les corps sacrifiés de “Qui a tué mon père” - Les Inrocks raffi-art.com/…
https://raffaelapflueger.com/fr/les-corps-sacrifies-de-qui-a-tue-mon-pere-les-inrocks.html
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« Qui a tué mon père ? », face à la violence symbolique - Le Bruit du off tribune
« Qui a tué mon père ? », face à la violence symbolique - Le Bruit du off tribune raffi-art.com/…
https://raffaelapflueger.com/home/web01001/public_html/cli/30-news/theatre-2019/16454-qui-a-tue-mon-pere-face-a-la-violence-symbolique-le-bruit-du-off-tribune.html
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“Qui a tué mon père” : la rage d’Edouard Louis restituée avec grâce par Stanislas Nordey - Télérama.fr
“Qui a tué mon père” : la rage d’Edouard Louis restituée avec grâce par Stanislas Nordey - Télérama.fr raffi-art.com/…
https://raffaelapflueger.com/home/web01001/public_html/cli/30-news/theatre-2019/16421-qui-a-tue-mon-pere-la-rage-d-edouard-louis-restituee-avec-grace-par-stanislas-nordey-telerama-fr.html
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