#quelle lune en ce moment
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esoterique-fr · 9 months ago
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Pleine Lune Avril 2024
Vous êtes curieux de savoir quand aura lieu la prochaine pleine lune en Avril 2023 et quels seront ses effets? Vous voulez découvrir sa signification et symbolique, son signe astrologique associé et rituel conseillé? Ne cherchez plus! Nous avons tout décrypté pour vous dans notre dernier article. Cliquez maintenant pour en savoir plus sur cette lune fascinante." #LuneDesGraines #LuneRose #LuneDesSemen #LuneDes4Vents, #LuneFertile #LuneDePaques #LunedeLoeuf #astrologie #effetsdelalune #BienEtre #Nature #Spiritualité #Lune #PleineLune #MagieLunaire #Avril2023 #ÉnergieLunaire #SymboliqueLunaire #LuneEnBalance #Équilibre
La Pleine lune Avril 2024 vous intéresse et vous souhaitez en savoir plus sur son influence ainsi que sa signification ésotérique? Si vous avez un intérêt prononcé pour l’astrologie ou que vous êtes simplement curieux(se) de la nature et de la spiritualité, cette lune ne passera pas inaperçue. Ici, nous vous révélons la date de cette pleine lune, le signe astrologique qui lui est associé, sa…
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lisaalmeida · 9 months ago
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Je ne suis pas intéressé par ce que tu fais pour vivre.
Je veux savoir ce qui brûle en toi
et si tu oses rêver la réalisation
de ce que tu portes dans le coeur.
Je ne suis pas intéressé par ton âge.
Je veux savoir si tu prends le risque de passer pour un fou au nom de l'amour,
de tes rêves et de l'aventure qu'est la vie.
Je ne suis pas intéressé à savoir quelles planètes sont en carré avec la lune.
Je veux savoir si tu as touché le centre de la tristesse, si tu as été ouvert aux trahisons de la vie ou si tu es devenu endurci et fermé par peur d'une peine prochaine.
Je veux savoir si tu peux t'asseoir
avec la douleur, la mienne ou la tienne, sans bouger pour la cacher, l'amoindrir ou l'arrêter.
Je veux savoir si tu peux être dans la joie, la mienne ou la tienne, si tu peux danser avec ferveur et laisser l'extase te remplir complètement, jusqu'au bout de tes doigts et de tes orteils, sans me dire de faire attention, d'être réaliste et de ne pas oublier les limites de l'être humain.
Je ne suis pas intéressé à savoir si ce que tu me dis est vrai, je veux savoir si tu es prêt à décevoir les autres pour rester vrai avec toi-même et si tu peux supporter d'être accusé de trahison
et ne pas trahir ton âme.
Je veux savoir si tu peux être fidèle
et donc digne de confiance,
Je veux savoir si tu peux voir la beauté même lorsque ce n'est pas tous les jours bien joli et si tu nourris ta vie à la Source
de Sa Présence.
Je veux savoir si tu peux vivre avec des échecs, les miens ou les tiens et pourtant continuer à te tenir debout au bord du lac en criant comme la pleine lune argentée : OUI !
Je ne suis pas intéressé à savoir où tu vis et combien tu gagnes.
Je veux savoir si tu peux te réveiller après une nuit de chagrin et de désespoir, de lassitude ou de douleur et faire ce qui doit être fait pour les enfants
Je ne suis pas intéressé à savoir
qui tu es et comme tu es venu jusqu'ici.
Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu avec moi et ne pas te dérober.
Je ne suis pas intéressé à savoir ce que tu as appris, où tu l'as appris et qui te l'a enseigné.
Je veux savoir ce qui te nourrit de l'intérieur lorsque tout s'effondre autour de toi.
Je veux savoir si tu peux rester
avec toi-même et si tu jouis vraiment
de ta propre compagnie dans ces moments de vide".
ORIAH Mountain Dreamer
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dynamiiiight · 5 months ago
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tag game du rpg
règles du jeu : créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Bon je ne fais jamais ces jeux mais si je suis taguée par @valhdia ET @timuschaos (entre autres), j'accepte mon sort. ✨
depuis combien de temps fais-tu du rp? — je ne sais plus exactement quand j'ai commencé et j'ai fait plusieurs pauses entre temps, mais je dirais facilement plus de 10 ans.
quel était le premier personnage que tu as créé? — une gigantesque connasse à la tête d'un empire multimédia, sous les traits de Natalie Portman. C'était une vraie attention whore qui faisait et défaisait les réputations au gré de ses humeurs.
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — j'ai abusé de Ben Barnes à une époque mais à part lui, je ne réutilisais pas tant que ça mes fc au départ. Par contre aujourd'hui j'ai mes petits chouchous -- notamment Riz Ahmed qui a volé mon coeur et que je veux jouer absolument PARTOUT, je me confesse.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — les forums city vraiment mega chill, de type slice of life, où j'ai beaucoup de mal à trouver une ligne directrice à mes personnages ; je perds la motivation s'ils n'ont pas vraiment d'objectifs.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — j'aime beaucoup jouer des liens nuancés entre des personnages qui ont un passif très complexe, des relations qui s'étalent sur plusieurs années au cours desquelles iels ont pu être allié.e.s autant qu'ennemi.e.s à des périodes différentes. Dans la même veine, j'adore les ships enemies/rivals to lovers (bonus si c'est un slow burn).
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — j'ai un faible pour les univers fantastiques, en particulier les forums avec des créatures surnaturelles. Je dirais que du moment qu'il y a de la magie, le forum a de fortes chances de m'intéresser (je dis ça mais en vrai je suis super picky, oops).
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — LUKYAN. 🐺 Un chasseur de créatures super vénère qui s'est fait mordre par un loup-garou un soir de pleine lune et qui l'a légèrement mal vécu.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je suis abonnée aux personnages morally grey ascendant bitchy drama queens. 💅
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — mhmm pas vraiment influencée, mais je citerais tout de même Leigh Bardugo pour l'inspiration que j'ai pu puiser dans ses œuvres pour inventer des univers ou des factions/gangs.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — je suis en train de lire Yellowface par Rebecca F. Kuang, ça parle d'appropriation culturelle et de représentation. C'est une sorte de satire de la société actuelle et du monde de l'édition. Je ne suis pas encore très loin dans le livre mais pour l'instant, je suis curieuse de lire la suite!
☞ je tague : les bb @halxmshiral @lunnyii & @amaaaterasu + @maxeine-txt parce que je suis curieuse (sans obligation obvi) ♡
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from-derry · 1 year ago
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Les créatures
On en sait peu sur les créatures.
Personne ne sait quelle est leur véritable apparence. Elles sortent la nuit tombée, adoptent le physique et la voix de personnes familières à chaque habitant de Derry. Elles peuvent être des reliques de votre passé, proche décédé, personne que vous avez laissée en dehors de Derry. Mais parfois leur présence est plus trompeuse car elles prennent la forme d’un voisin, d’un camarade, parfois même du shérif ou du pasteur. Elles semblent toujours savoir ce qui vous fera réagir, aussi leur apparence vous est-elle personnelle mais rarement la même.
Elles frappent aux portes et fenêtres closes, parlent d’un ton doux et rassurant pour vous convaincre de les laisser entrer. Lorsqu’elles arrivent à pénétrer dans la pièce, elles dévorent celles et ceux qui s’y trouvent, en laissant derrière elles un corps affreusement mutilé, vidé de ses organes et de son sang. À partir du moment où elles sont à l’intérieur, plus personne ne peut en réchapper. 
Elles s’adaptent à toute situation : vous proposer de l'aide si vous êtes blessé·e, vous demander asile si vous êtes seul·e chez vous. Impossible, dès qu’il fait nuit, de faire la différence entre une personne réellement dans le besoin et une créature. Afin d’éviter toute tentation, il faut calfeutrer toutes les ouvertures la nuit venue pour ne pas les voir. S’il y a des personnes dépendantes ou trop jeunes pour tout à fait lutter contre la tentation, clouez les fenêtres.
La seule manière de ne pas subir leur attaque : ne les laissez pas entrer. Elles ne sont pas capables d’ouvrir elles-mêmes une porte ou une fenêtre closes, et doivent donc attirer leurs victimes pour agir à leur place. Attention ! Elles profiteront de la moindre ouverture pour s’y engouffrer.
Elles sont rusées et ont l'air agréables lorsqu'elles s'approchent de vous, tout sourire, des mots gentils plein la bouche, mais surtout, SURTOUT ! Ne les laissez pas faire, fuyez, elles n'aiment rien tant que la chasse, mais c'est votre seule chance d'y échapper !  
A Derry, tout le monde n’est pas d’accord sur la façon de les nommer. Le plus souvent, on les appelle les choses, mais certains préfèrent monstres, créatures ou fantômes - d’autres trouvent des noms plus originaux. 
Vous pouvez formuler toutes les hypothèses sur la vérité qui se cache derrière ces choses. Personne n’a jamais rien découvert et les rares qui connaissent la vérité ne sont plus de ce monde pour la partager.   
Il n’existe aucune religion, croyance ou acte spécifique qui permet de chasser les créatures. Aucun rite, aucune prière ne vous sauvera d’elles. Elles paraissent insensibles à tout type de blessure : leur tirer dessus ne les fait pas reculer, et elles ne semblent pas saigner. 
La coutume veut qu’on mette un talisman gravé dans chaque bâtiment afin de s’en protéger. Personne ne sait vraiment si ces gri-gri ont un effet réel ou non, mais d’aussi loin qu’on s’en souvienne, les gens de Derry les utilisent. 
Elles s’attaquent parfois au bétail, poules, vaches, cochons et les laissent en morceaux dans tout le champ… N’oubliez pas de les rentrer, parce que si on s’entend généralement sur la fréquence des agressions d’animaux, souvent les nuits sans lune, il y a déjà eu des incidents non prévus.
Il est possible de s’aventurer dehors de nuit, mais à vos risques et périls.
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lilias42 · 4 months ago
Note
Coucou alors le peuple veut savoir : des informations sur l'histoire d'Aura (qui est-elle ? comment est-elle apparue ?), et sur ton idée en cours (quelles inspirations etc.) ?
Coucou ! :D Merci beaucoup pour les questions ! Et oui ! Des questions sur Aura ! Merci beaucoup !
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(L'évolution du design d'Aura dans le temps, du plus vieux à l'actuel de gauche à droite, même si à la base, il y avait "que" 3 bandes de feuilles pour les habits de la plus vieille mais bon, je dessinais pas très bien à l'époque ^^')
Aura :
Alors, pour Aura, comme j'en ai déjà parlé, c'est mon plus vieux personnage et celle que j'utilise pour me représenter moi-même. En fait, de base, je l'avais créé avec des amis à l'école primaire (vers le CE2 de mémoire) : on regardait toutes les Winx alors, une amie qui aimait beaucoup écrire / dessiner avait imaginé qu'on vivait des aventures proches des leurs en combattant Lord Valtor, et chacune d'entre nous venait d'une planète différente. Elle m'avait attribué Pluton et un pouvoir du feu (j'ai jamais su pourquoi le feu sur le coup, mais je suppose que c'était parce que j'avais plus de reflets roux et la seule du groupe avec des taches de rousseur à l'époque) et là, j'avais choisi mon surnom, soit Aura, même si j'avais pas vraiment d'apparence différente, juste que j'étais la plus petite car je venais de Pluton qui est une petite planète contrairement à elle qui venait de Mars et Vénus.
C'est plus je me suis réapproprié son personnage qu'elle a pris sa forme actuelle et j'ai commencé à la dessiner à peu près au même moment où je me suis mis à dessiner. Cette fois, elle était toujours une plutonienne avec des pouvoirs de feu (mais aussi télékinétique pour déplacer des objets de taille normal tout en faisant la taille d'une poupée Barbie) mais, elle rejoignait d'autres enfants du reste du système solaire pour combattre le Soleil Noir (c'est surement de là que vient le fait que le soleil est souvent l'astre des méchants, là où la nuit est le moment propice à la magie et où les personnages se sentent bien) pour défendre le bon royaume de la Lune dirigé par Queen Serenity (oui, j'ai beaucoup bouffé des animes des années 80-90 quand j'étais petites, surtout Sailor Moon et Sakura Chasseuse de Cartes alors, des personnages de ses histoires revenaient souvent) et Aura partait sur Terre pour veiller à ce que le Soleil Noir ne corrompe pas les humains. C'est aussi là qu'elle a gagné sa queue de cheval haute sur le côté, qui va de plus en plus ressembler à une flamme au fil du temps, et ses ailes qui apparaissent et disparaissent aléatoirement vu que soit elle vole, soit elle flotte dans les airs étant donné qu'elle reste toujours toute petite (elle restait même souvent sur les épaules de ses amis, surtout son meilleur ami de Jupiter qui est immense).
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(si, si, je jure, la queue de cheval est censé être à gauche ! ^^' Et ça, c'est le design plus travaillé, je ne suis pas arrivé à retrouver mes vieux vieux carnets avec son design original plus simple)
Ensuite, au fil de l'adolescence, elle restait en mission sur Terre mais, ça alternait entre "elle est là pour étudier les humains qui sont l'espèce la plus en retard du système solaire afin de les aider" et "elle est là pour étudier pour ensuite voter si les humains doivent continuer à exister ou pas vu qu'ils détruisent leur planète et veulent aller coloniser d'autres planètes une fois qu'ils auront pété la leur" (oui, le collège a été une période compliquée alors, j'aimais pas vraiment les autres humains, et j'avais pas encore le recul pour me dire que bon, la civilisation avancée qui vient aider les sauvages terriens, c'était pas une très bonne idée).
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(j'avais un truc avec les horloges et les grosses mécaniques à l'époque du lycée... ça devait être quand les copains m'avaient poussé à aller sur Wattpad...)
A la fin du lycée où elle se calme aussi en même temps que moi niveau "je déteste les humains, je veux me barrer de cette planète", elle gagne un nouveau look avec un aspect plus steampunk vu que j'avais un gros délire sur les rouages et les design ultra complexe à ce moment-là qui remplace ses habits en feuilles. Elle a même gagné un frère "double" venant de Charon, le satellite de la planète Pluton (vu que les deux s'influencent beaucoup dans leur rotation et tournent de tandem, j'avais imaginé que dès que quelqu'un naissait sur Pluton / Charon, une autre personne naissait aussi sur l'autre planète et que les deux avaient un lien télépathique qui les unissaient comme des frères et soeurs) qui était spécialisé en géographie pendant qu'Aura préférait l'histoire. J'avais même l'idée de faire un manuel d'histoire romaine avec eux deux, où Aura se baladerait à Rome et dans l'Empire pour dire ce qu'elle voyait, avec son frère qui donnant des infos sur les environnements.
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(Aura à gauche et en paysage, son frère Spirit à droite et en portrait, j'avais imaginé son design comme étant celui d'Aura mais en inversé [queue de cheval basse et à droite, un serre-tête à gauche au lieu d'un chapeau à droite, un tour de cou avec un pendentif en flamme plutôt qu'un pendant plus lâche des boutons droits au lieu de travers...)
A présent, même si je me sers d'elle plus comme d'une représentation de moi-même vu qu'on a vraiment grandi ensemble toutes les deux, elle a encore une petite histoire à elle pour le moment. C'est toujours une plutonienne qui vit sur Terre mais, comme journaliste avec son frère qui sert d'agent de liaison, et ses meilleurs amis viennent chacun d'une planète différente. Pour sa personnalité, c'est une personne assez vive et énergique, qui va facilement vers les autres et se fait plein d'amis (trait qu'elle a gardé de ma période adolescente, j'aurais adoré être bien moins timide et bizarre [j'arrivais pas à me plier à ce que je trouvais stupide comme le fameux "il faut souffrir {et geler} pour être belle"] à l'époque ^^'), très curieuse qui va fouiner n'importe où pour trouver des informations et se renseigner sur la Terre et maintenant, elle assume bien plus ses côtés plus étranges. Elle a aussi encore changé de look pour une apparence plus simple avec une veste, un haut croisé et son collier en forme de flamme que j'utilise à présent pour la représenter (beaucoup plus simple pour en faire des chibis qu'avec son design ultra détaillé ^^') même si je peux toujours la faire avec ses habits steampunk vu que j'aime toujours cette tenue ^^
C'est vraiment un perso que j'adore dessiner alors, elle évolue beaucoup et elle risque de faire d'autres apparitions sur ce blog ! :D
Idée en cours (et faut vraiment que je lui trouve un titre ^^') :
Pour cette idée, je me suis pas mal basée sur ce que j'avais déjà fait avec ma version de la famille Fraldarius mais, sans la contrainte du canon pour faire mon propre truc sans cet encombrant boulet au pied. Ma famille principale est principalement mes Fraldarius mais, où ils survivent tous jusqu'à la fin sans avoir besoin de les faire disparaitre par nécessité de coller au scénario du jeu (l'équivalent de Guillaume, Aliénor et Félicia survivent par exemple) avec une autre histoire qui se concentre plus sur leur ascension vu qu'ils sont de la toute petite noblesse cette fois mais, qu'ils montraient en grade petit à petit, même si l'aspect fantastique deviendrait de plus en plus important au fur et à mesure de l'histoire, notamment lors de la partie de la 2e génération (notamment avec le destin de Caemgen et la naissance de son petit dernier Dil, qui est né d'une vivante et d'un mort vu que son père a échappé de très peu à ça après avoir pâmé la discussion avec la faucheuse un moment alors, c'est plus ou moins une aberration car c'est pas censé arriver de naitre d'un ou d'une mort.e). Les origines aussi de cet univers seraient également vraiment imprégnés de magie qui aurait encore des retombés sur le présent, notamment parce qu'elle s'est imprégnée dans les environnements et influencent des régions entière.
Dans la première partie, même s'il y a de la magie, on se concentrait surtout sur Gwilim et Siofra Fontanges qui bâtissent petit à petit leur fortune et leur nom, tout en restant les rois de la débrouille et en n'hésitant pas trop avant de donner un coup de main à leurs sujets dans le but d'éviter les impôts, eux-mêmes étant opposés à pas mal de mesures du souverain, même s'il y aurait surement un équivalent à Ludovic étant donné qu'il finirait par aider un bon souverain à monter sur le trône, ce qui permettrait aussi de valider officiellement leur ascension. Pour les inspirations, ça irait surement beaucoup chercher dans l'histoire de France, mais aussi dans celle de mon coin en particulier. J'aimerais bien casé un équivalent à la Salle Héraldique, une très grande salle où tout le plafond est recouvert de blasons représentant les alliés des comtes du Forez, qui a été soit construite pour un mariage, soit pour l'émancipation d'un des comtes (si vous passer dans le coin, allez la voir, c'est magnifique !), peut-être pour quand Gwilim et Siofra marquent leur ascension pour montrer leur puissance avec une salle similaire. Un autre truc serait que pas mal de monastères fortifiés. Le Forez, c'est une zone frontalière avec des terres d'Empire (genre Lyon qu'on déteste depuis des générations) alors, y a pas mal de places fortes et fortifié tout le long de la frontières (je veux dire, ça c'est Saint-Romain-le-Puy, la tête de l'église qui est au sommet d'un piton rocheux avec une bonne enceinte, même si lui, c'est particulier, y a aussi un château avec -et là aussi, si vous êtes dans le coin, allez-y). ça pourrait être une bonne base pour la ville des Fontanges qui pourrait être perché en hauteur comme ça.
Mais pour la deuxième partie où on suit leurs enfants, là, on tournerait plus vers du fantastique où j'aimerais bien m'inspirer des contes français, et encore une fois foréziens comme les contes des quenouillères (oui, grande région où on faisait de la dentelle en hiver pour compléter ses revenus). J'aime beaucoup les contes de fées et les légendes alors, j'aimerais arriver à retranscrire leur ambiance, notamment avec les personnages encore humains qui ne comprennent pas ce qui se passe et reçoivent une punition karmique après avoir mal agi et continuer à mal agir en connaissance de cause.
J'aimerais bien caser une punition ressemblant au conte "L'Auvergnat" par exemple, où un homme particulièrement radin fait tomber son poisson (pourri car il a acheté le moins cher), ramasse à la place un gros crapaud qu'il mange mais, l'influence maléfique du crapaud (animal très lié au diable vu que plusieurs d'entre eux sont au mieux urticants, au pire toxiques - par pitié, n'en toucher jamais à mains nues, mettez des gants épais si vous devez en manipuler !) le rend complètement fou et vivre un véritable enfer avant de se faire brûler lui-même, où ce serait Dil qui - en pensant faire une farce à quelqu'un qui a mal parlé à son papa - met un crapaud dans le sac de cette personne en l'ayant chargé de sa magie.
Enfin, pour les origines de cet univers, ce serait aussi pas mal inspiré de mes Braves mais, sans devoir tous les faire mourir dans d'affreuses souffrances à la fin et qui ont un avenir un peu moins noir bouché foutu pour tout le monde en attendant que les persos du jeu viennent les sauver. ça partirait en cacahuète à un moment ou un autre pour que la suite de l'histoire arrive dans cet univers mais, ça me permettrait de faire une histoire qui se déroule pendant l'Antiquité, qui est ma période historique préférée.
En fait, le truc avec cette histoire, c'est que j'aimerai finir celles que j'ai en cours, même si c'est de la fanfic (notamment mon billet sur Pyrkaïa, une "petite" histoire tournant autour des lions de saphir qui trouve une pierre de résurrection, et j'aimerais aussi écrire une petite histoire sur Halloween, que ce soit en reprenant mon histoire de chasse fantastique de l'année dernière ou autour du fait que plusieurs personnages soient contrôlés mentalement sur AG avec tous les sacrifices qu'il faut faire pour les libérer) alors, je n'ai pas encore commencé à l'écrire. Au moins, ça fera bien mijoter l'idée avant de le mettre sur papier et ça me permettra de me décider si j'écris l'histoire de la famille Fontanges en premier ou l'origine de cet univers afin d'avoir un monde bien solide... enfin on verra bien !
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empiredesimparte · 1 year ago
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Napoléon V: Would you like to go swimming with me? Charlotte: Hmm no, I think I'll stay and rest Napoléon V: Are you still studying? Charlotte: No, no, I'm just going to lie down. I already studied this morning
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Napoléon V: I've never noticed how studious you can be Charlotte: How should I take it? Napoléon V: I mean, you're a good student, but I never thought…
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Charlotte: I have to say that with my new title, I'm more concerned about doing well. I don't want to be "average" Napoléon V: Being empress doesn't mean you have to be "above average" in your exams Charlotte: Of course it does, Louis. In any case, aiming for the average, no matter who you are, is incomprehensible
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Napoléon V: mmm, I'd say it depends on the subject - you can't be up to scratch everywhere Charlotte: Do you really think your examiners will give you a below-average mark? Napoléon V: Our papers will be anonymous Charlotte: Such innocence, darling
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Napoléon V: How would they know? Charlotte: Logic. There are very few of us taking the exam exceptionally during the summer. Maybe twenty students. In the batch, there's a lot of feminine handwriting, and yours is masculine and particularly illegible, so particularly recognizable Napoléon V: If you say so. All the more reason to revise at the last minute
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Charlotte: That's not what I meant. But, well done Napoléon V: Do you think they'll "spare" you too? Charlotte: Women are more rarely spared, my dear
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⚜ Le Cabinet Noir | Honeymoon, Motu at Bora-Bora, 10 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and his wife Charlotte enjoyed the idyllic calm of their honeymoon. Away from the hectic pace of royal life, the young two lovers rediscovered each other.
⚜ Traduction française
Napoléon V et sa femme Charlotte profitent du calme idyllique qu'offre leur lune de miel. En dehors du rythme très encadré de la vie royale, les deux amoureux se découvrent de nouveaux visages.
Napoléon V : Tu veux venir nager avec moi ? Charlotte : Hmm non, je vais rester me reposer Napoléon V : Tu révises encore ? Charlotte : Non, non, je vais simplement m'allonger. J'ai déjà étudié ce matin
Napoléon V : Je n'avais jamais remarqué à quel point tu pouvais être studieuse Charlotte : Comment dois-je le prendre ? Napoléon V : Je veux dire, tu es bon élève, mais je ne pensais pas que...
Charlotte : Je dois dire qu'avec mon nouveau titre, j'ai davantage le souci de bien faire. Je ne veux pas être "moyenne" Napoléon V : Être impératrice ne nécessite pas d'être "au-dessus de la moyenne" aux examens Charlotte : Bien sûr que si, Louis. De toute façon, viser la moyenne, peu importe qui l'on est, c'est incompréhensible
Napoléon V : Hmmm je dirais que cela dépend des matières, on ne peut pas être à la hauteur partout Charlotte : Penses-tu réellement que tes examinateurs te mettront une note au-dessous de la moyenne ? Napoléon V : Nos copies seront anonymisées Charlotte : Quelle innocence, chéri
Napoléon V : Comment pourraient-ils savoir ? Charlotte : De la logique. Nous sommes très peu nombreux à passer l'examen exceptionnellement pendant l'été. Peut-être une vingtaine d'élèves. Dans le lot, il y a beaucoup d'écritures féminines, et la tienne est masculine et particulièrement illisible, donc particulièrement reconnaissable Napoléon V : Si tu le dis. Raison de plus pour réviser au dernier moment
Charlotte : Ce n'est pas ce que je voulais dire. Mais, bien joué Napoléon V : Penses-tu qu'ils vont toi aussi "t'épargner" ? Charlotte : Les femmes sont plus rarement épargnées mon cher époux
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unesimplevie · 1 year ago
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N'oublies pas...
Promets-moi au moins cela,
N'oublies jamais tous nos moments
Et le bruit de nos rires
De ton petit rire nerveux qui me faisait sourire
Et qui se mélangeait si bien avec le mien
N'oublies jamais que j'ai fais partie de toi
N'oublies jamais que tu as fait partie de moi
Ne serait-ce qu'un instant de nos vies
Car Vois-tu,
Quelle que soit la personne avec qui je suis
Bien que je m'attache à des chimères
Que je feins de me sentir bien
Même si je me ments inconsciemment à moi-même
Si je me brûle les ailes
Dans la facilité des couples insatisfaits
Même si j'idéalise des histoires désastreuses
Qui n'iront jamais dans le sens de mes espérances
N'oublies jamais que,
Dans chacun de mes souffles d'homme
Où que je sois
Quoi qu'il arrive
Quoi que je fasse
Tu es à moi sans le savoir
Il y a toujours,
Quoi que tu puisses en penser,
Un peu de toi en moi qui m'aide à respirer
Un peu de toi en moi qui m'aide à ne pas me sentir à moitié
Clair de Lune 🌙
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lamangasserie · 1 year ago
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Bonjour à toutes et à tous,
Ça fait bien longtemps que vous ne m’aviez pas lu — si vous me lisez encore. Ce fut une année assez mouvementée pour moi, mais, globalement, une année enrichissante. Mais fut-elle enrichissante en lecture ? Je n’en suis pas si sûre. À l’heure où j’écris ces lignes, je suis un peu dans le creux de la vague. Je mets des jours à lire un manga. Parfois, je n’ai même pas envie d’en lire. Certains titres peinent même à m’intéresser, alors que je les aurais trouvé intéressants à d’autres moments. Enfin, plutôt que de finir sur cette triste note, et de tourner définitivement la page de 2023, revenons sur cette année.
Il y a un an, je nourrissais des envies de lectures pour 2023, mais m’y suis-je tenu ?
Un de mes grands objectifs de lecture pour 2023, c’était de continuer mon exploration du magazine Ribon, et j’estime que c’est un objectif que j’ai réalisé ! Issu du magazine, cette année j’ai lu…
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Le dernier tome de Tokimeki Tonight (nouvelle édition) de Koi Ikeno, publié dans les années 1980. Clairement un grand titre du magazine. C’est drôle, émouvant et plein d’aventures !
Gals! De Mihona Fujii, publié à la fin des années 1990. Gals! Était dans mes envies de lecture depuis des années. J’ai adoré toute la bande de filles, suivre leurs problèmes et tout. C’était très stylé et bien maximaliste, à l’image des gals de l’époque.
Designer de Yukari Ichijo, publié au début des années 1970. Alors ça, c’était vraiment ce qui se fait au début des années 70. Ça se passe dans l’inaccessible monde de la mode, c’est grave, dramatique et blindé de rebondissements. J’ai vraiment aimé ce personnage principal inlassablement en quête de vérité et d’un peu d’amour, rien qu’un peu. C’est une lecture où mon petit cœur a eu du mal à rester accroché.
Handsome na Kanojo de Wataru Yoshizumi, publié à la fin des années 1980. Le plus grand titre de l’autrice (avec plus tard Marmalade Boy). C’était les années 80, très chic et très frime. Ils sont beaux, jeunes, à l’aube de leurs carrières dans le showbiz et ils s’aiment. Quoi vouloir de plus ?! Eh bah du drame ! Des quiproquos, des incompréhensions, des hésitations et que sais-je encore. Le tout, pendant 9 tomes. Ça ne m’a pas transcendé, mais j’ai passé un bon moment.
Ultra Maniac de Wataru Yoshizumi (encore !), publié au début des années 2000. Le titre que l’autrice semble le moins aimé dans sa carrière… Pendant que moi j’ai beaucoup aimé, et que j’ai même trouvé ça innovant et rigolo pour un magical girl.
Le Vaisseau Étoilé de Yoshimi Uchida, un recueil d’histoires courtes publiées dans le magazine durant le milieu des années 1970. Quelle lecture étonnante ! J’ai adoré l’univers fantastique de l’autrice. Ça m’a tout de suite rappelé les illustrations de Kay Nielsen ou de Warwick Goble. En gros, ce qu’on appelle l’âge d’or de l’illustration (aux États-Unis). C’est très alimenté par les contes de fée ! Puis quel mise en page singulière parfois. Plus j’y repense, plus je me dis que c’était bien. Je me pencherai sur Liddell au clair de lune l’année prochaine !
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C’est un magazine pour lequel j’ai développé de l’affect car c’est le magazine d’Ai Yazawa. Adolescente, j’ai été vraiment marquée par Je ne suis pas un ange, et ce manga représente la quintessence du magazine à mes yeux. L’histoire est émouvante et drôle, on s’attache énormément aux personnages, le manga est bourré de free talks, il y a eu une tonne de furoku et autres produits dérivés, et en plus c’est mignon, coloré et stylé. Tout ça, particulièrement les free talks, permet de développer de l’affect pour le magazine. C’est limite une relation parasociale avec l’entité « Ribon ». Adolescente, c’était la première fois que je voyais ça, et j’ai trouvé ça extraordinaire. Depuis j’adore les free talks LOL Je pense que ça relève de la même obsession otaku girly que j’ai pour les stickers. Bref, pour 2023, je voulais m’y intéresser de près, et globalement, j’ai surtout exploré le siècle dernier. Je pense continuer cette exploration l’année prochaine, mais aussi faire un bond vers notre siècle, notamment avec la publication de Honey Lemon Soda (hihi!!!)
Pour 2023, je voulais aussi lire davantage de manga pour enfant, avec l’exploration du catalogue de Nobi-nobi. Autant le dire, je n’en ai rien fait. Mais en réalité, c’est un petit plus compliqué que ça. Au début de l’année, j’imaginais vraiment du manga pour enfant, au même niveau qu’un album jeunesse. J’imaginais Doraemon par exemple, du gag et de l’épisodique. J’ai lu Les petits en-cas de Monsieur Matcha de Sato Horokura, et c’est à peu près tout. Mais j’ai aussi lu Tant qu’il est encore temps (je t’aimerai) de Keiko Notoyama. Contrairement à Monsieur Matcha, ce manga a été pré-publié dans un vrai magazine de manga. C’est un pur shôjo manga. Issu du magazine Ciao, il est clairement destiné à un jeune public. Avec le recul, c’était un peu difficile de lire du manga pour enfant, quand j’ai déjà eu du mal à définir « enfance » dans ma tête. Dans une vie, l’enfance est bien courte, mais qu’est-ce que c’est dense et changeant. J’imagine que ça coule de source pour les parents, mais c’est évident qu’on ne donne pas la même chose à lire à un enfant de 4 ans, de 7 ans et de 10 ans.
Il y a un an, j’avais aussi envie de découvrir Inoue, de lire Soul Eater, Pandora Hearts et Kamui-den, mais je n’en ai rien fait ! Je n’en suis même pas déçue. Ce sera pour une autre fois, peut-être. Par contre, qu’on se rassure, j’avais aussi envie de me replonger dans l’univers de Leiji Matsumoto, et même si je n’ai pas relu Galaxy Express 999, j’achète les tomes. Ton tour viendra, train de l’espace ! J’ai tout de même lu Albator, que j’ai trouvé moins bien que les animes, mais dans lequel j’ai retrouvé ce qui fait le charme de l’univers de Leiji Matsumoto. Paix à son âme.
Pour revenir véritablement sur mon année de lecture, je trouve que c’était une année assez moyenne. Bien sûr, j’ai eu de très bonnes lectures, mais le reste était finalement moyen. Sur Twitter j’ai fait un calendrier de l’Avent en classant les nouveautés que j’ai testées, en allant du moins bon au meilleur. Le milieu de panier commence à Terukan Boys et se termine à not simple. Juste un aparté sur Terukan Boys: il est bas dans le classement, mais j’ai tout de même passé un très bon moment. Ce sont les aléas des classements, malheureusement. Puis c’est un classement que j’ai tenu toute l’année dans mes notes, il a été réalisé à chaud. Je ne sais pas s’il serait le même si je devais le refaire aujourd’hui. Mon classement se clôt avec les exceptionnels Mademoiselle Mozart (ici l’article que j’ai écrit dessus), À vos côtés (quelques mots ici) et Hoshi dans le jardin des filles. Je trouve ce dernier vraiment exceptionnel, c’est le summum de l’humour pour moi, mais quand je repense au coup de cœur que j’ai eu pour Mademoiselle Mozart, c’était vraiment quelque chose ! Je pense que c’est ma lecture coup de cœur de l’année même. Avec Tant qu’il est encore temps (je t’aimerai). Ce sont deux mangas que j’ai lu un peu au pif, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et je les ai trouvé formidables.
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Enfin, la partie du bilan que je préfère, la partie qui titille le côté nerd de mon cerveau: le bilan en chiffres !
Cette année, j’ai lu 275 mangas, soit 45 tomes de moins qu’en 2022. Mais 275 reste un score honorable pour moi.
83% de mes lectures étaient en français, 12% en italien et 5% en anglais. Comparé à l’année dernière (bilan de 2022), on observe une chute de la langue de Shakespeare, une très légère montée de la langue de Dante, ce qui laisse largement la place à la langue de Molière pour se hisser encore plus haut dans le classement. Tout ceci est dû au fait que cette année j’ai eu plus de moyens financiers pour acheter, donc un recul de la lecture en scans. De plus, j’avais l’habitude de lire en scans en étant chez mes parents (j’allais pas me trimbaler avec une bibliothèque à chaque fois). Comme je les ai moins vu cette année, ça a aussi été un manque d’occasion pour lire en scans.
65% de mes lectures provenaient de ma propre collection et 24% de la bibliothèque, ce qui est à peu près égal à l’année dernière. Mon habitude d’aller à la bibliothèque n’a pas vraiment changé, malgré les moyens financiers supplémentaires de 2023.
Cette année encore, j’ai renseigné chacune mes lectures avec leurs éditeurs. Sur le podium, nous retrouvons…
🥇 Pika avec 43 tomes lus
🥈 Taïfu avec 21 tomes lus
🥉 Glénat et Kana avec tous les deux 20 tomes lus
Puis, si j’établis un classement par mangas différents lus chez chaque éditeur, nous avons…
🥇 Taïfu, Pika et Kana, avec 7 mangas
🥈 Ki-oon et le Lézard noir avec 6 mangas
🥉 Akata et Noeve Grafx avec 5 mangas
Je dois bien avouer que je suis étonnée de voir Pika et Taïfu à la tête de ce classement !
C’est vrai que c’était une année très Pika pour moi. J’avais commencé Nodame Cantabile (que je n’ai pas continué car les tomes ne sont plus disponibles à la bibliothèque), j’ai commencé Toilet-Bound Hanako-kun, La courtisane d’Edo et Billy Bat. J’ai aussi enfin terminé Mon coloc’ d’enfer, et Ton visage au clair de lune poursuit sa publication tranquillement. Quant à Taïfu, il y a eu The Night Beyond the Tricornered Window, ma fringale de Scarlet Beriko en début d’année et aussi Rendez-vous sous la pluie que j’ai emprunté à la bibliothèque ! Et bien sûr, leur nouvelle collection Esquisse que je suis de très près, avec mon chouchou À vos côtés. L’année dernière, je n’avais tenu entre mes mains que 19 tomes de chez Pika et 5 tomes de chez Taïfu. Une belle ascension pour ces deux là donc. Kana est toujours là, dans les bons élèves, mais qui ne se dépasse pas plus que ça. Par contre, on peut observer une petite chute de Ki-oon. C’est toujours leur catalogue historique qui m’intéresse, donc j’ai évidemment commencé Du mouvement de la Terre. J’ai continué Le Requiem du roi des roses et entamé une relecture de Cesare. Je suis curieuse de ce que Ki-oon me réserve pour l’année prochaine. Je vais évidemment me jeter sur DRCL Midnight Children, mais pour le reste… Nous verrons. Enfin, petite note amusante (ou énième tacle) sur Noeve Grafx, leur place dans mon classement est à l’image de leur catalogue: très varié mais en quantité insuffisante ! J’ai lu 5 mangas différents avec seulement 8 tomes tenus entre mes mains.
Concernant les achats, 221 mangas ont fait leur entrée dans ma collection. 114 achetés neuf (52%), 99 en occasion (45%), et 8 en version dématérialisée. Je termine l’année avec très exactement 1008 mangas dont 139 dématérialisés.
En conclusion, c’était une année assez étonnante pour moi. Je me suis beaucoup laissée porter par ma curiosité (un vrai luxe), ainsi que par ce qu’il y avait en bibliothèque. Ça a parfois payé, parfois moins payé.
Pour 2024, je ne me fixe aucun véritable objectif de lecture, car je sens déjà que je ne vais pas les tenir. De plus, je suis vraiment trop du genre à me laisser porter par mes envies plutôt que de suivre un planning. Je me suis tout de même fait une liste de mangas à lire en 2024 sur Anilist. J’y ai surtout mis des nouveautés à paraitre, des mangas qui sont déjà dans ma pile à lire, puis d’autres titres qui passeront peut-être entre mes mains dans le courant de l’année. Je pense que 2024 nous réserve de jolies surprises donc je me laisserai certainement porter par celles-ci !
Tout de même, voilà les nouveautés que j’attends le plus…
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# DRCL Midnight Children de Shin’ichi Sakamoto
La Croisade des Innocents de Usamaru Furuya
Fashion!! De Lemon Haruna
Migi & Dali de Nami Sano
Honey Lemon Soda de Mayu Murata
A-Girl de Fusako Kuramochi
Et les mangas que je rêve de voir sous le sapin pour le prochain Noël…
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Sanda de Paru Itagaki
7Seeds de Yumi Tamura
Glass no Shiro de Masako Watanabe
Doyou no Gogo no Cheerful Tearful de Mutsu A-ko. À vrai dire, n’importe quoi d’elle. Je vois bien une belle anthologie otome-tique.
Tobaku Mokushiroku Kaiji de Nobuyuki Fukumoto
Pyuu to Fuku! Jaguar de Kyousuke Usuta. Une comédie absurde en 20 tomes, je pense que voir débarquer ce titre en France restera du domaine du rêve.
Orpheus no Mado de Riyoko Ikeda
Nagi no Oitoma de Misato Konari
Et tant d’autres encore…
C’est tout pour mon bilan de 2023, et mes perspectives de lecture pour cette nouvelle année. Merci infiniment de m’avoir lu jusqu’ici. Je n’ai pas dressé de bilan du blog tellement il y a peu à dire, mais pour 2024, je me suis fixée comme objectif de publier au moins un article par mois. Je ferai donc en sorte que nous nous retrouvions ici bientôt pour un nouvel article ! En attendant, on se retrouve sur ce bon vieux Twitter (oui, Twitter). Merci pour votre patience, et à bientôt. Des bisous.
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slutforkatya · 2 years ago
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update tattoos parce que je pense qu'a ca en ce moment, je veux :
- une coccinelle (vendrediiiii)
- une serrure et/ou une fenêtre parce que mon corps est pas une prison bla bla bla ( je suis niaise et basique ) / un derrière mon bras et l'autre sur le côté de ma cuisse gauche /
- "it'll pass" parce que mon cerveau est pas capable de comprendre que les choses peuvent passer ou au contraire, il les fait passer bien trop vite / sur mon avant bras gauche là où il y a des petites traces qui traduisent justement des moments ou mon cerveau pensait que ca ne passerait pas /
- des tatouages floraux / sous ma poitrine une fois que je l'aurai faite réduire /
- le dessin avec la lune dans le soleil sur ma cuisse droite (il y a une photo sur mon insta du 27 février) parce que j'avais trouvé ça joli alors que j'étais dans un moment très vulnérable ou tout était moche dans ma vie et que j'aime bien l'idée d'avoir une étoile, le soleil et la lune sur mon corps / sur ma cuisse droite /
- un quartier de pamplemousse si j'arrête les AD un jour / je sais pas sur quelle partie de mon corps encore /
.......peut être une référence au peintre matisse parce que j'aime bien son art et son nom.......
du reste, je veux pas de tattoos identifiables sur la santé mentale, j'avais déjà pensé à me faire tatouer un semicolon, le symbole de NEDA ou medusa mais flemme, je veux plus
et certainement pas de tattoos liées à mes passions parce qu'elles sont pas durables, d'autant plus que c'est souvent des personnes lol donc même si ça me tient bcp à cœur, c'est mort, je me fais la promesse de ne jamais le faire même si je venais à avoir une passion socialement acceptable
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jardindescontes · 4 months ago
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Cycle 1 - Les Glycines Pourpres
✴︎ Chapitre 1
MS MR - Dark Doo Wop
Les rayons de la lune éclairaient à eux seuls le paysage urbain parisien. Outre les lumière des néons et des lampadaires, il nʼy avait quʼeux pour percer lʼobscurité de cette nuit pour la rendre mystique et y dévoiler le jardin de l’énorme manoir d’inspiration normand de l’avenue Foch. Ses colombages contrastaient avec le béton et la pierre des ses voisSophie. C’était un quartier chic, un quartier que la matriarche du coven avait toujours connu. Et elles voulaient que ses filles en bénéficie aussi. Tout semblait calme, il ne fallait pas déranger cette quiétude. Hortense se baladait dans le petit cimetière du coven qui se trouvait dans un renfoncement au fond de ce jardin. Il se délimitait par quelques colonnes en ruines. Les stèles étaient naturellement fleuries de belles amarantes qui retombaient en cascade, fournissant un abri à la demeures des morts. La jeune femme encapuchonnée rendit un dernier hommage à ses aînées décédées avant de tourner les talons et se diriger vers l’entrée de l’espace vert. Là, son amie Sophie l’attendait sous une arche séparant l’intérieur du petit château et la promenade. 
— On y va ? Sophie invita son amie à la suivre.
Hortense garda le silence et emboita le pas de sa sœur jusqu’à arriver à sa hauteur. Les deux amies se rendirent dans la grande salle où elles retrouvèrent leurs semblables en âge de participer à cette réunion. Elles s’installèrent sur l’un des bancs pas encore bondé et regardèrent autour d’elles. Beaucoup d’entre elles, ainsi qu’Sophie, se demandaient quelle était la raison de cette convocation . La présence massive des Hespérides - chargées de la sécurité du coven - indiquait que la situation était grave et inquiétante. Hortense se sentait oppressée par cette ambiance particulière et le regard d’Sophie posé sur elle.
— Tu te sens bien Hortense ?
— C’est un peu stressant.
Et pas seulement. Hortense savait quelle était l’objet de cette assemblée. Quelques jours auparavant, elle fut convoquée par la supérieures des Hespérides : Camille. Hortense était une Limoniade : les guérisseuses du coven. Ce sont des sorcières spécialisées dans la botanique, la médecine par  les potions et les plantes qu’elles pouvaient contrôler. Dans la citadelle, elles étaient trois — Hortense, Marjorie et Laurène — et la Grande Hespéride demanda à toutes de venir. Les Limoniades se retrouvèrent dans une antichambre quand la porte s’ouvrit brusquement sur Camille et son bureau. Cette dernière les invita à entrer et referma aussitôt la porte derrière la dernière. 
— Je vais vous demander de faire preuve de la plus grande discrétion. Il ne faut pas que la nouvelle s’ébruite pour le moment car la matriarche ne veut pas inquiéter nos soeurs. Et nous ignorons comment vont évoluer les choses. 
Hortense, Marjorie et Laurène se regardèrent avec interrogation et hochèrent la tête en guise de réponse, toujours dans un silence des plus religieux. 
— Mona est malade ? Se risqua de demander Marjorie.
— Hélas. J’imagine que vous avez remarqué ses absences répétées cet été. 
— Oui. Son absence lors des des célébrations de Lughnasadh ne passa pas inaperçue, remarqua Laurène.
Camille hocha la tête.
— Au début, on pensait que c’était bénin mais son état se dégrada. Elle fut hospitalisée un temps pour écarter une atteinte somatique.
— C’était si flagrant que ça pour qu’elle passe directement à la médecine moderne ? S’étonna Laurène.
— Oui je sais, ce n’est pas quelque chose de très conventionnel notamment venant de Mona. Qu’elle me pardonne mais vue son âge avancé, elle voulait s’assurer que son corps ne la lâchait pas. Personnellement, je pensais à un empoisonnement mais aucune trace d’un quelconque poison dans son organisme.
— Au final ? Intervint Hortense.
— Ils ont trouvé une insuffisance rénale qu’ils ont traité lors du séjour et elle semblait tirée d’affaire mais de retour ici, son état s’est dégradé. On surveille tout et ses prises de sang sont plus ou moins normales … sauf sa fonction rénale.
Un long silence s’installa. Hortense fixa le vide et réfléchissait aux propos de sa consœur.
— Ce n’est pas improbable que ce soit un empoisonnement notamment s’il y a de la magie derrière, conclut Hortense.
— D’où votre présence ici, termina Camille.
— Et quels sont ses symptômes actuellement ? Interrogea Marjorie.
— Extrême pâleurs, des sueurs nocturnes, des nausées et des vomissement. Se rajoutent à ça maintenant une photosensibilité accrue, de violentes céphalées, faiblesse dans les jambes … 
Plus la liste s’allongeait, plus les Limoniades palissaient à leur tour.
— Ça fait beaucoup …, s’inquiéta Hortense.
— Nombreux sont les poisons et les plantes donnant un ou plusieurs de ces symptômes mais là … ça me dépasse.
— Tu peux toutes nous inclure Marjorie. Tu parlais de sueurs nocturnes mais avait-elle de la fièvre à ce moment ? Demanda Laurène.
— Pas à notre connaissance. 
— Bon, j’imagine qu’il nous faut la voir pour que nous puissions l’ausculter, conclue à son tour Hortense. 
À ces mots, Camille se leva et se dirigea vers une porte au fond de son bureau. Elle posa la main sur la poignet en récitant une incantation. D’un geste de la main, elle incita les trois Limoniades à venir la rejoindre. Ensemble, elles franchirent la porte pour se trouver instantanément dans les appartements de la Matriarche Mona. Les volets étaient fermés et ne laissait passer uniquement des filets de lumière. Au fond de son lit, Mona semblait à moitié endormie. Quand elle entendit ses petites soeurs arriver, elle ouvrit les yeux et essaya de se relever. Camille accéléra le pas pour vite arriver au chevet de celle qu’elle protège afin de l’aider à faire face. Hortense, Laurène et Marjorie s’avancèrent lentement et présentèrent leurs respects. Il leur fallut un temps avant que leurs yeux ne s’habituèrent à l’obscurité de la pièce. Quand elles purent distinguer plus clairement leur aînée, la stupeur les saisit. En effet, la pâleur marquée, ses yeux vitreux et le visage creuser par la fatigue indiquaient que Mona était au plus mal. Hortense sentit une bouffée de stress s’emparer de son corps, son estomac se noua et lui fit mal. Voir la fondatrice dans cet état donna un coup de massue sur les trois sorcières car Mona était le pilier centrale du coven depuis son élection. Une matriarche est élue par l’entièreté de la sororité et reste à sa tête jusqu’à la fin de sa vie. Cette femme marqua profondément Hortense, entre autre, car ce fut grâce à Mona qu’elle put trouver dans le coven une seconde famille. 
Par la suite, les filles commencèrent à l’examiner sous toutes les coutures sans que la matriarche n’ouvrit la bouche. En sortant de là, les jeunes sorcières s’échangèrent des regards et se disaient qu’il fallait travailler d’arrache pied pour trouver un remède au mal qui sévissait dans les entrailles de leur Mona. Hortense voulait partir sur la base du poison mais ce n’était pas un empoisonnement banal avec des plantes et des incantations magiques. Camille les rejoignit peu de temps après. 
— Alors, qu’en pensez-vous ?
— Difficile à dire. Ce n’est pas si simple, si les médecins n’ont rien trouvé …
— On va déjà se pencher sur ce que nous connaissons et traiter les différents symptômes. On va concocter différents remèdes mais certaines plantes mettront du temps à pousser malgré nos aptitudes, intervint Hortense.
— Même si nous n’avons pas de notion du temps, j’imagine qu’il nous en manque …, Camille semblait sceptique.
— Nous allons déjà traiter les symptômes. Mais il faudrait que l’ensemble de nos sœurs soient au courant, il est important qu’elle se sente soutenue dans ce genre d’épreuve, même si ça lui coûte qu’on la voit ainsi, continua Hortense
— Je vais lui en parler, j’espère la convaincre, finit Camille après avoir hocher la tête.
Cela lui prit plusieurs jours afin de convaincre Mona d’admettre que ses cadettes étaient en droit de connaître la situation et de rédiger une sorte de communiquer pour les rassurer. De plus, il avait été décidé de ne rien dire sur la possible intoxication car s’il y a envie de nuire, il ne fallait pas que ça se sache. Du moins, feindre l’ignorance était capitale pour mener l’enquête. Pendant ces quelques jours, Hortense et ses acolytes avait déjà commencé à travailler sur quelques remèdes pouvant soigner ses symptômes. Mais la durée d’effet était limitée, si elle ne les prenait pas régulièrement, sa santé déclinait aussitôt et si la situation continuait ainsi, Mona aurait une accoutumance au potion. En d’autre terme, plus rien n’aurait d’effets sur la matriarche. 
De retour à l’instant présent, Hortense observa Camille montant sur l’estrade et fit face à l’assemblée. Elle s’éclaircit la voix et commença à lire le message de Mona. Tout le monde commençait à s’agiter et des chuchotements s’élevèrent dans la salle. Camille invita ses soeurs à se calmer et les rassura comme elle le pouvait. Hortense se dandinait sur le banc ce qui interpella Sophie.
— Tu savais ce qu’il se passait avoue. 
Hortense se tourna vers elle et se sentait un peu soulager que Sophie découvrit seule le pot aux roses. 
— Ne m’en veux pas, on devait garder ça secret. On a été convoquée avec les filles et … c’est préoccupant.
Sophie se mit debout un instant et balaya l’immense pièce du regard.
— Je ne vois pas Marjorie.
— On se relaye … je t’expliquerai quand on sera dans un endroit plus tranquille. 
Sophie ne posa pas plus de questions et se doutait que la situation inquiétait pas mal Hortense. Cette dernière réalisait que quelque chose de louche se passait. Pour que Mona se retrouvait empoissonnée volontairement, quelqu’un voulait prendre sa place ? Était-ce une tentative des chasseurs ? Hortense balaya ces questions de son esprits car bien qu’elle aimerait avoir des réponses à ces questions, ce n’était pas son rôle d’enquêter et elle le laissait volontiers aux Hespérides.  Quelque temps plus tard, les sorcières se dispersèrent, encore secouer par l’annonce de Camille. Hortense et Sophie regagnèrent leur chambre afin de discuter de la situation et histoire d’être tranquille. 
Les deux amies pénétrèrent dans le couloir principal. Elles se faisaient aussi discrète que possible afin d’éviter à Hortense de répondre à des questions indiscrètes. Les sorcières se contentaient dʼun simple signe de tête en guise de salutation dès quʼelles croisaient le regard d’une de leur sœur. Ne pas attirer lʼattention était leur mot dʼordre jusquʼà ce quʼelles soient dans leur antre. Même si Hortense nʼétait pas du genre à faire parler dʼelle, cette nouvelle eut l’effet d’une bombe. Plus elle se fondait dans les murs, mieux cʼétait. L’ambiance du coven avait bien changé depuis cette réunion. La plupart de ses soeurs n’étaient pas plus crédules qu’une autre, elles trouvaient bien que quelque chose clochait. Pourquoi s’en prendre à Mona maintenant alors que la vie était si douce et respirait la tranquillité ? Les temps tranquille perduraient depuis quelques siècles maintenant bien que les femmes étaient toujours oppressées. Humaine, chasseuse, vampire, louve-garou ou sorcière, les hommes ne savaient pas vraiment faire la différence. Les chasseuses ne vivait que pour perdurer les lignées. Rares étaient ceux qui arrivaient à les croire toute aussi compétente qu’eux. Concernant les sorcières, les lycanthropes et les vampires, il suffisait de regarder l’Histoire et bon nombre d’humaSophie avaient payé la peur des hommes. À partir du moment où nous appartenons au « sexe faible », les différences ne sont pas qu’infimes et elles se transforment en ravin infranchissable. Mais Hortense s’estimait heureuse : elle vivait dans une ère de paix … mais pour combien de temps encore ?
Ressassant les derniers évènement en tête pour ne rien omettre à Sophie, elles regagnèrent leur chambre dans lʼaile ouest. Instinctivement elles se faufilèrent dans les couloirs, monta les escaliers en prenant soin de ne croiser personne. Cʼétait plus simple dʼéviter les regards dans le château quʼà lʼextérieur car il était plus difficile de se mettre à couvert. Une fois devant la porte de la chambre, Hortense jeta un coup dʼœil derrière elle. Sa main virevolta devant la serrure et un cliquetis se fit entendre. La porte sʼouvrit sur une chambre suffisamment spacieuse et haute de plafond pour deux jeunes étudiantes en magie. 
Des tapisseries épiques mettant en scène des chevaliers et dʼautres personnages fantaisistes recouvraient les murs pour garder la chaleur émanant de la cheminée. En face du foyer reposait un tapis persan au ton chaud sur lequel étaient déposés deux voltaires avec une petite table en bois de chêne entre les deux. Une lampe art nouveau trônait sur cette dernière. Entre cette cheminée et ces voltaires se trouvait une petite table basse dans le même bois noble où étaient exposés quelques livres et babioles les aidant pour lʼapprentissage de la magie : un petit chaudron, des fioles, un kit de potion, des ustensiles, un herbier, une vitrine pour les gemmes d’Sophie, etc. Non loin de ce petit coin tranquille, contre le mur et à côté de la grande fenêtre en vitrail donnant sur la ville, une imposante bibliothèque fait de chêne également, se dressait au fond de la chambre. Elle était remplie de livres et de carnets. De lʼautre côté du grand vitrail, des lits superposés épousant parfaitement le coin de la chambre, dont les draps étaient paré de végétation grimpante. Au dessus de la couette, une couverture patchwork était pliée. Une descente de lit toute molletonné accueillait les pieds des jeunes sorcières lors de leurs réveils très matinaux. Tout comme les autres meubles, la table de nuit était fait du même bois. Dessus se trouver une petite lampe de chevet champignon. Un tiroir fermé où se trouvait des effets personnels complétait le meuble. Au pied de ces lits douillets se trouvait un grand et large bureau sur lequel traînaient des fournitures de peinture, de dessin, de calligraphie, un nécessaire de création de bijou, des gemmes qui traînaient etc. Hortense avait un goût plutôt prononcer pour les arts et elle aimait sʼy retrouver. Cʼétait son échappatoire. Pour Sophie, elle était une Oréade. Ce sont les minéralogues du coven. Spécialisées dans la lithothérapie, elles étudient et notent les effets que les pierres peuvent avoir sur les sorcières. Elles fabriquent les talismans, chargent les pierres de protections et elle savent contrôler la roche. D’où la présence de gemmes un peu partout dans la chambre. Le bureau était plutôt commun. Rien de particulier en soit et il était fonctionnel : des tiroirs, du rangement, une lampe de bureau éclairant suffisamment les travaux des jeunes femmes quand elles sʼacharnaient dessus chacune leur tour. Hormis les tapisseries massives, quelques unes des œuvres d’Hortense était placardé sur le peu dʼespace libre. Sinon des épaisses ficelles et des guirlandes traversaient la chambre. Des bougies se trouvait ici et là, procurant une ambiance tamisée quand Hortense et Sophie méditaient. 
Les lattes de parquet brillaient grâce aux flammes dansantes du foyer. Cet endroit, la jeune femme lʼaimait bien. Cʼétait son cocon, sa bulle de protection. Ici, elle était tranquille, apaiser quand ça devenait tendu. Les filles s’installèrent l’une en face de l’autre. Hortense prit un grande inspiration et dévoila les récents évènements.
— Camille nous a convoqué pour nous parler de Mona. Tu sais déjà les grandes lignes : Mona est souffrante. Et bien que nous, Limoniades, sommes à son chevet pour lui prodiguer les soins nécessaires … l’état de notre Mère est grave.
Sophie fixait Hortense avec attention.
— Avant tout ça, elle a fait un séjour à l’hôpital, ils n’ont rien découvert hormis un affection des reins et le fait qu’elle vieillissait. Camille espérait un empoisonnement mais rien ne se vérifiait sur les prises de sang et avec les filles, on a affirmé cette hypothèse en soulignant que c’était peut-être induit par la magie. Ou du moins, si Mona avait avalé quelque chose, il aurait été ensorcelé mais bon. 
— Difficile de le détecter, en conclut Sophie, mais vous avez trouvé quelque chose ?
Hortense hocha lentement la tête. 
— C’est une bonne nouvelle alors ! S’exclame l’Oréade.
— Pas vraiment. On a découvert que son organisme recèle en réalité un nombre inimaginable de substances toxiques en tout genre. Elles peuvent être sécrétées par le corps ou d’un aliment ou plante nocive. On ne soigne que les symptômes et éventuellement l’intoxication mais son état ne s’améliore pas vraiment. On en finit pas.
Hortense se laissa tomber sur son lit. Les derniers détails contés pompa l’énergie de cette dernière qui repensait au bourbier que le cas de Mona était. Sophie réfléchissait et essayait de comprendre.
— Vous soignez Mona au fur et à mesure, ça ira mieux non ?
— Le problème c’est que son corps en est imbibé. Les poisons non identifié la tuent à petit feu. Ça avance à une vitesse fulgurante. Tu l’aurais vu Sophie, elle est dans un piteux état. Son corps la lâche complètement, il ne se bas même plus, il la tue. Et on ne sait pas combien de temps il lui reste. De plus, on manque de ressources.
Sophie soupira et comprit la gravité de la situation. Elle rejoignit Hortense sur son lit et posa une main sur son genou.
— Vous allez y arriver.
— Je l’espère.
Un long silence s’en suivit. Hortense regardait le plafond, se triturant les méninges, imaginant les pires des scénarios qu’elle ne voulait pas envisager. L’anxiété la gagnait de plus en plus au fil des jours et les nuits sont courtes. Sophie le remarqua et se dit qu’elle pouvait lui donner un coup de main. 
— Tu as dit qu’il te manquait des ressources … de quel genre ?
— D’ingrédients principalement … même si des ustensiles ne seraient pas de trop.
— Quoi comme ingrédient ?
— Un peu de tout. Nos plants ne sont pas encore mûr, on essaye de mettre à contribution l’entièreté de nos dons mais il y a une limite : notre énergie vitale n’est pas inépuisable. Le stock est en péril mais on a pas le temps de sortir et personne ne peut le faire à notre place.
— Il faudrait que tu demandes à Laurène et Marjorie d’assurer toutes les deux pour le moment. Je t’emmène en ville pour trouver ce qu’il te faut. 
Hortense se redressa sur ses coudes et gratifia son amie d’un sourire.
— Merci, ce contenta-t-elle de répondre.
Sophie lui fit un clin d’oeil en retour et se releva. Elle décida de confectionner un anneau serti d’une obsidienne aussi noire que les ténèbres. L’Oréade voulait en faire cadeau à Mona pour encourager sa guérison. Hortense décida de se coucher même si elle se doutait que le sommeil repartira aussitôt qu’il est venu. Le reste de la soirée se poursuivit dans le calme, la prière et la méditation. Toutes les sœurs priaient pour que leur mère spirituelles et de cœur se remette au plus vite. 
La nuit s’étendait sur l’entièreté de la capitale. Son effervescence atteignit son paroxysme en quelques heures mais les vitraux — adaptés au fil des époques — empêchaient les sons de parvenir à Hortense qui se trouvait là. La sorcière observait d’une des fenêtres du petit château posé à flanc de la colline Montmartre. De là, elle parvenait à distinguer une partie du jardin entouré de haut mur et derrière, l’avenue commerçante. Les néons des enseignes éclairaient son visage qui se perdait dans le vide. Elle n’avait plus sommeil, Morphée étant partit dans d’autres draps. Elle s’était éclipsée discrètement de la chambre pour ne pas réveiller Sophie. Elle marcha un peu au hasard dans les couloirs et se retrouva devant cette fenêtre. Comme un papillon hypnotisé par une source lumineuse, Hortense fut sûrement attiré par les lumières urbaSophie. Jusque là, l’endroit était silencieux et désert. Mais quand elle tendit un peu plus l’oreille, elle put distinguer des bruits de pas qui venaient dans sa direction. La jeune femme tourna la tête et tomba nez à nez avec Marjorie.
— Tu n’es pas couchée Hortense ?
— Je te renvoie la question, dit l’intéressée étonnée de voir sa sœur dans les couloirs à une heure aussi tardive.
Marjorie laissa échapper un petit rire et vint se placer à côté de sa semblable. Elles ne parlèrent pas tout de suite, le silence traduisait quelque chose qu’Hortense pensait saisir.
— Ça se présente si mal que ça ? Finit-elle par dire.
— Oui. Plutôt. J’ai terminé les derniers remèdes que l’on pouvait faire en attendant la maturation et le prochain ravitaillement. Ça va être de plus en plus compliqué car cela va nous demander beaucoup plus de temps et d’ingrédients or, nous manquons de tout. Si on ne trouve pas ce que Mona a …
— Je sais, je sais … coupa Hortense d’un ton grave.
Un autre silence s’en suivit mais il dura moins longtemps que le précédent. Hortense ne mit pas longtemps à chercher ses mots.
— J’irai en ville demain. Je trouverai ce qu’il manque pour nous donner justement plus de moyens à défaut de nous donner du temps. 
— Tu sais où tu vas trouver ce genre de denrée ? s’inquiéta Marjorie.
— Sophie a ses adresses. Elle me guidera.
Marjorie grimaça un court instant et fixa de nouveau le vitrail. 
— Soyez prudentes quand même. Les temps ont peut-être changé mais les rues ne sont pas spécialement sûres. 
— Allons, les humains ne sont pas si terribles que ça.
— Je ne parle pas que d’eux Hortense. Même si les mentalités ont évolué, les peuples et leurs dogmes restent inchangé. 
Hortense soupira. Vu de cet angle, la Limoniade n’avait pas tort. Les guerres entre les différents peuples ésotérique existaient toujours mais c’était comme une sorte de guerre froide. Les sorcières du coven sortaient peu. Non pas par interdiction mais elles n’avaient pas suffisamment confiance au monde qui s’étendait par delà les murs de la citadelle. La peur d’être catégorisée, méprisée et marginalisée les dictait. Cependant, Hortense ne pensait pas de cette façon et se terrer participait à cet isolement. Qu’on le veuille ou non, le mal était fait et il n’appartenait qu’à elles de donner le change. Mais elle le gardait pour elle car la plupart de ses soeurs pensaient comme Marjorie. Elle ne pouvait en parler qu’à Sophie qui, à côté de ses préoccupation du coven, suivait des cours dans l’école de joaillerie de Paris. Et ce, au grand damn de certaines. Cela dit, Hortense pouvait faire confiance à son amie qui connaissait la ville presque comme sa poche. Leur conversation prit fin après un échange de banalités et dans un dernier regard, Hortense observa sa collègue disparaitre dans la noirceur de la nuit. 
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christophe76460 · 4 months ago
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PENSE PLUS GRAND
AUCUNE CIRCONSTANCE NE PEUT TE FREINER
"Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. La terre était sans forme et vide, et l'obscurité couvrait l'océan primitif. Le souffle de Dieu se déplaçait à la surface de l'eau. Alors Dieu dit: "Que la lumière paraisse! " et la lumière parut. Dieu constata que la lumière était une bonne chose, et il sépara la lumière de l'obscurité. Dieu nomma la lumière jour et l'obscurité nuit. Le soir vint, puis le matin; ce fut la première journée." Genèse 1:1-5 BFC
Sorti de nulle part, du vide, de l’absence de possibilités ou de matériaux, Dieu créa la terre, l’eau, le soleil, la lune, les étoiles, les plantes, les animaux et l’être humain. N’importe quel scientifique dirait: "Ce n’est pas possible. Il te faut un matériel de base si tu veux créer une nouvelle chose. Tu ne peux rien faire si tu n’as rien." Mais Dieu le peut. Dieu prononce un seul mot et la vie surgit. De nouvelles possibilités, nouvelles occasions, de nouvelles créations naissent du néant. Si nous Lui sommes fidèles et n’abandonnons pas notre foi, Dieu peut et va animer notre vie avec Ses bénédictions et Il va nous surprendre avec Ses possibilités qui surgissent du néant. Quelle que soit la nature de tes circonstances, Dieu y proclame la vie. Dieu est le chemin. Dieu est ta chance. Dieu est pour toi, et même si humainement cela semble impossible, Dieu peut te donner de nouvelles possibilités à partir de rien.
Ne permets pas que tes circonstances ou ta situation te préoccupent au point de perdre ta foi et ton courage. Fixe tes yeux sur le Seigneur et attends-toi à un miracle. Compte sur Dieu, Il ne t’a pas oublié. Pars du principe que Dieu est déjà en train de préparer et créer la prochaine faveur qui t‘es destiné. Ça, c’est notre Dieu. Absolument rien ne Lui est impossible, car Il n’a besoin de rien pour créer un miracle. Sa parole, ses actions, sa force - couplées à notre foi - suffisent. Même si tes circonstances ou ton entourage disent qu’il vaudrait mieux que tu abandonnes, ne le fais pas. Dieu a un plan. Ta vie est entre ses mains. Dieu est de ton côté. Proclame la guérison avec tes propres mots. Proclame des miracles sur ta vie. Proclame des affirmations positives sur ton mariage. Proclame la bénédiction de Dieu sur tes enfants. Proclame abondance, succès, santé, richesse, faveur, créativité, nouvelles idées, nouvelle joie, nouvelle vitalité, satisfaction, équilibre, tranquillité, paix et force sur ta vie, même si en ce moment, dans le visible, tout est différent. Prononce avec foi ce que Dieu pourrait faire. Attends-toi à nouveau à l’action de Dieu et crée de nouvelles choses avec tes propres mots. Nous lisons dans la Bible à plusieurs reprises, que nos paroles, prononcées à haute voix, ont une force incroyable. Elles peuvent non seulement modifier la composition intérieure de notre corps, mais chaque parole que nous prononçons avec foi en notre Dieu déplace également les mains de Dieu. Alors, au lieu de te plaindre ou de te résigner face aux circonstances, crée de nouvelles choses par la foi et par tes paroles. Dieu va accomplir des miracles. Dieu est pour toi. Tes circonstances ne peuvent pas t’arrêter, si tu arrives à t’accrocher à Dieu et si tu t’attends à nouveau à ce qu’il peut créer et va créer.
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esoterique-fr · 1 year ago
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Pleine Lune Avril 2024
La Pleine lune Avril 2024 vous intéresse et vous souhaitez en savoir plus sur son influence ainsi que sa signification ésotérique? Si vous avez un intérêt prononcé pour l’astrologie ou que vous êtes simplement curieux(se) de la nature et de la spiritualité, cette lune ne passera pas inaperçue. Ici, nous vous révélons la date de cette pleine lune, le signe astrologique qui lui est associé, sa…
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corinneecrivaine · 7 months ago
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M. Le Président
Monsieur le Président,
J'ai grandi dans une France où il faisait bon vivre, où l'on riait, s'embrassait et passait de bons moments entre amis. Les relations humaines étaient importantes et les valeurs étaient respectées. Il suffisait de sortir pour profiter d'un bon repas au restaurant, voir un film au cinéma ou boire un verre dans un bar.
J'ai grandi dans une France où il suffisait de prendre son vélo et de s'évader sur les chemins caillouteux, sentir le vent sur nos visages et passer des heures assis sur un banc à papoter et regarder les étoiles. Nous fabriquions des téléphones avec deux boîtes de conserves et jouions dehors, tombions, pleurions et guérissions de nos petites blessures. Nous n'avions pas grand-chose, mais nous étions heureux.
Aujourd'hui, un simple geste ou une parole peuvent engendrer une agression. La violence est omniprésente et il est quasi impossible de la canaliser. Les valeurs et le respect se perdent remplacés par la violence, la discrimination, la peur de l’autre, la peur de la différence ? La pauvreté ne cesse de s'accroître et le fossé se creuse entre les différentes classes sociales. La colère engendre la haine et la haine engendre la violence.
J'ai grandi dans une France qui n'existe plus aujourd'hui. L'entrée dans le XXIe siècle a tout chamboulé et l'Humanité s'est retrouvée submergée par une tempête technologique hors de contrôle. Le peu d'humanité qui nous restait a été dévasté par cette déferlante technologique qui a donné naissance à un monde virtuel auquel nous avons contribué. Un processus qu'il est désormais impossible de stopper et dont nous ignorons l'aboutissement final.
La Terre est fatiguée, la Terre saigne. La Terre souffre, la Terre se meurt. L'humain est un prédateur, un colonisateur. Il a asséché la planète jusqu'à son dernier souffle de vie, tel un vampire vidant de son sang sa victime. Les ressources naturelles ne suffisent plus à nourrir toute l'Humanité. La Terre s'asphyxie, elle ne peut plus continuer ainsi à souffrir. Ce parasite qui ne cesse de se développer et la dévorer : l'humain.
Qu'attendez-vous ? Le jour où il n'y aura plus d'abeilles pour butiner, la biodiversité disparaîtra. Le jour où les rivières et les cours d'eau seront entièrement asséchés, la vie marine disparaîtra. Le jour où la faune et la flore auront été ensevelies par le béton, que deviendra la nature ? Le jour où toutes les réserves de la planète seront épuisées, comment l'homme survivra-t-il ? Ce jour-là, l'homme contemplera toutes ses richesses qui lui seront désormais inutiles à sa survie.
L’Humanité désire retourner sur la Lune, coloniser Mars, certes c'est une belle aventure, mais quelles en sont les véritables raisons ? S'approprier les richesses que ces planètes et météorites peuvent fournir ? Recommencer les mêmes erreurs que nous avons faites sur la Terre ?
La Terre a tout à nous offrir, mais au lieu de nous en réjouir, nous n'avons fait que la détruire. En colère et inquiète pour sa survie, elle nous a envoyé son dernier ultimatum : un virus émergeant en Chine à Wuhan.
Le 16 novembre 2019, nous entendîmes parler pour la première fois de ce virus qui se propageait à une telle vitesse en Chine que les autorités furent dépassées par le nombre de contaminés et construisirent un hôpital provisoire en 10 jours. Mais le mal était déjà installé sur la planète et le virus se répandit en quelques mois dans le monde entier.
En ce 17 mars 2020, tout le pays fut mis en confinement. Du jour au lendemain, nous nous retrouvâmes isolés et seuls. Nos demeures devinrent nos prisons et nous devenions les porteurs de ce virus appelé COVID-19.
Nous ne pouvions plus nous embrasser, faire des accolades, se rapprocher les uns des autres, à porter des masques au quotidien. Nous avons été séparés·ées de nos familles, de nos amis·es, de tout ce qui faisait notre existence. Les seules images que les médias diffusaient étaient celles de toutes ces victimes dans le monde, cette souffrance, cette peur, cette angoisse et cette fameuse question : « Allons-nous, nous en sortir ? » Les images de ces villes désertes où jadis la vie s'épanouissait, submergées par le silence et le vide. Dans certains endroits, les gens essayaient tant bien que mal de supporter cette terrible situation en se parlant d'un balcon à un autre, jouant de la musique pour ramener un peu de joie, mais dès que les fenêtres se refermaient, nous retrouvions notre prison de silence et de solitude.
Sans oublier que pour certaines femmes, ce n'est pas le virus qui leur a ôté la vie, mais les coups de leur conjoint. Prisonnières de cette cruauté sans nom où aucune issue de sortie ne leur était disponible. Une période très difficile mentalement, mais qui nous rappelle que finalement, nous ne sommes pas les maîtres de ce monde.
Et pendant que l'Humanité s'était arrêtée de vivre, la nature reprenait ses droits, s'épanouissait, respirait. Les animaux circulaient en toute liberté même dans des endroits les plus insolites telles que les grandes villes de ce monde. Aucun ne risquait d'être abattu ou traqué. Ils étaient libres. La planète était à eux.
Nous pouvons aller dans l'espace, sur la Lune, sur Mars, créer une intelligence artificielle, modifier l'environnement, mais face à la nature et sa colère, nous resterons toujours tous petits. L'Histoire nous a enseigné bien des leçons de part le passé, mais l'humain est ainsi à toujours répéter les mêmes erreurs. Les valeurs ne sont plus. Jusqu'où irons-nous ? Jusqu'à notre propre destruction ?
• Corinne Écrivaine -
l'image est ma création AI
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shalomelohim · 10 months ago
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Le Livre d’Esther, pour un temps comme celui-ci
Notes :
Fête de Pourim du Samedi 23 mars 2024 au soir - dans la continuité du shabbat - au Lundi 25 mars 2024 au soir (pleine lune à 8h00).
1er jour jeûné, comme c'est jour de shabbat, il est avancé au jeudi 21 mars 2024.
Cette année, la pleine lune du 25 mars sera doublée d'une éclipse lunaire pénombrale. La « Comète du Diable » quant à elle sera de plus en plus visible à partir du 22 mars. Le 8 avril, ce sera la grande éclipse américaine de 2024 : le soleil, la lune et les sept autres planètes de notre système solaire s’aligneront tous dans le ciel. Tant de choses étonnantes se produisent dans les cieux pour nous avertir.
=====
Le Livre / Rouleau (Meguila) d’Esther commence par une fête païenne et se termine par une fête biblique (non répertoriée dans Lévitique 23) : POURIM, selon l’instruction ci-dessous :
“ C'est pourquoi on appela ces jours Pourim / Purim, du nom de “pour / pur” [sort]. D'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé, les Juifs prirent pour eux, pour leur postérité, et pour tous ceux qui s'attacheraient à eux, la résolution et l'engagement irrévocable de célébrer chaque année ces deux jours, selon le mode prescrit et au temps fixé.  
Ces jours devaient être rappelés et célébrés de génération en génération, dans chaque famille, dans chaque province et dans chaque ville ; et ces jours de Pourim ne devaient jamais être abolis au milieu des Juifs, ni le souvenir s'en effacer parmi leurs descendants. La reine Esther, fille d'Abichaïl, et le Juif Mardochée écrivirent d'une manière pressante une seconde fois pour confirmer la lettre sur les Pourim. On envoya des lettres à tous les Juifs, dans les cent vingt-sept provinces du roi Assuérus. Elles contenaient des paroles de paix et de fidélité, pour prescrire ces jours de Pourim au temps fixé, comme le Juif Mardochée et la reine Esther les avaient établis pour eux, et comme ils les avaient établis pour eux-mêmes et pour leur postérité, à l'occasion de leur jeûne et de leurs cris. Ainsi l'ordre d'Esther confirma l'institution des Pourim, et cela fut écrit dans le livre. “ (Esther 9:26-32)
=====
Voici quelques extraits de “ Le Livre d’Esther, pour un temps comme celui-ci “ de Jean-Marc Thobois, Pasteur, enseignant et spécialiste d’Israël, qui fait le parallèle entre l’époque du Royaume de Perse et notre société actuelle.
“ Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort. “ (2 Corinthiens 12:10b)
Car effectivement, c’est dans les épreuves que l’on s’approche de Dieu et qu’Il peut nous utiliser.
Le monde va ressentir d’énormes douleurs et du mal, sortira le bien.
Pour comprendre et espérer en l’intervention de Dieu puisque de toute manière Son Plan s’accomplira avec certitude.
HalleluYAH !
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Résumé très synthétique et simplifiée de l'histoire du livre d'Esther :
Esther est une jeune orpheline juive, qui vit à Suse (Iran) avec son oncle. Le peuple juif en exil n’est pas très apprécié d’une partie de la population de la ville. Lorsque le roi Assuérus cherche une nouvelle femme, Esther se cache : une vie dans le harem royal ne la fait rêver ! Mais elle est remarquée et est emmenée de force. Après un an dans le harem, où elle a réussi à cacher ses origines, elle est choisie par le roi pour être sa nouvelle épouse. Au même moment, le premier ministre Haman [préfiguration de l'Impie], qui voue une haine féroce aux Juifs, ordonne leur extermination [préfiguration de la shoah]. La reine Esther va alors déjouer ce complot et sauver le peuple.
Quelles leçons pour aujourd’hui ?
“ Dans la civilisation moderne, le décret de mise à mort de nos églises est arrêté. Il y a au plus haut niveau de notre planète une superclasse qui contrôle les finances mondiales. Or, la finance, c’est le pouvoir. Les Etats ne sont plus ni libres ni indépendants, ils dépendent de cette élite mondiale, elle-même infiltrée par les satanistes qui ont pour but la destruction des couples, du mariage, de la famille puis de la filiation.Ensuite est envisagée l’extermination du judéo-christianisme. "
Nous y sommes, ce plan diabolique s’accomplit depuis quelques décennies. De la même manière que les Juifs se sont soudain trouvés en Perse devant un décret d’extermination irrévocable, nous allons nous aussi nous trouver dans peu de temps devant une situation similaire.
Aujourd’hui, le décret de destruction de notre âme, de notre famille et de l'église est arrêté.
Mais le plan de ces “ Haman modernes “ aboutira à l’échec parce que Jésus / Yahshua a dit en parlant de son Eglise :
“ Les portes du séjour des morts ne prévaudront pas contre elle. ” (Matthieu 16:18b)
Selon les temps de Dieu, il utilisera celles et ceux qui seront entrés dans Son Plan, Son Alliance.
“ Mardochée fit répondre à Esther : Ne t'imagine pas que tu échapperas seule d'entre tous les Juifs, parce que tu es dans la maison du roi ; car, si tu te tais maintenant, le secours et la délivrance surgiront d'autre part pour les Juifs, et toi et la maison de ton père vous périrez. Et qui sait si ce n'est pas pour un temps comme celui-ci que tu es parvenue à la royauté ? “ (Esther 4:13-14)
Dieu a prévu toutes choses d’avance et il a aussi des “ cartes jokers “ pour les sortir au bon moment.
Le temps d’Esther ressemble énormément au nôtre : . la corruption par la bonne chère, le bien-être et le bien-vivre,
mais également,
. la corruption sur le plan moral et sexuel qui est une des caractéristiques des empires décadents : liberté sexuelle, mariage pour tous, homosexualité, pornographie, drogue, impudicité…
Nos premiers ancêtres, après avoir péché, se sont tout de suite couverts. Nous sommes normalement revêtus du sentiment de la présence et de la Sainteté de Dieu, qui nous conduit à la décence, à la pudeur qui est celle de tout être naturellement dans son bon sens.
Aujourd’hui, on veut nous faire admettre que les lois de la République priment sur les lois de Dieu et sur toutes les autres lois, et elles seront bientôt imposées aux églises, notamment le mariage homosexuel.
L’Etat totalitaire, faussement libéral et faussement permissif, est en train de prendre le contrôle du monde par des moyens diaboliques et ténébreux.
Il a besoin que tous ses citoyens soient assimilés et vise la pensée unique.
Haman avait constaté que le peuple juif était inassimilable car il a des us et coutumes qui lui ont été prescrits par Dieu parce qu’il est Son Peuple.
Les Ordonnances du Seigneur ne peuvent en aucun cas coïncider avec celles des pouvoirs totalitaires.
Le totalitarisme, c’est l’esclavage sous un faux libéralisme, mais l’appel du Seigneur, c’est la liberté.
Par conséquent, tous les empires totalitaires se sont heurtés au peuple juif au cours de l’histoire, mais également à celui de l'Alliance renouvelée (au travers du sacrifice de Yahshua / Jésus), parce que l’Eglise est aussi appelée à expérimenter la liberté glorieuse qui consiste à se soumettre à la volonté divine.
Mais inconsciemment, les pouvoirs ressentent qu’il y a la puissance de Dieu derrière l’extraordinaire survivance du peuple juif dans toutes les péripéties qu’il a traversées.
Haman avait senti qu’une puissance le dépassait et qu’il ne pouvait pas la contrôler, alors il fallait éliminer ce peuple qui empêchait le filet de se refermer sur tout l’empire du roi Assuérus.
L’esprit de l’antichrist se manifeste aujourd’hui pour amener les hommes à commettre les pires aberrations ; toutes les idéologies ont cédé les unes après les autres face à cet esprit-là.
Il n’y a plus aucune opposition, SAUF une : Le Peuple de Dieu qui par le Saint-Esprit est aujourd’hui le seul obstacle à la manifestation de la puissance de l’antichrist, ce qui veut dire que nous sommes en première ligne de ce combat titanesque.
Mais sommes-nous prêts pour ce combat ? La réponse est “ non “. Pas plus que ne l’était le peuple juif à l’époque d’Esther parce que l’Eglise s’est installée à Babylone, dans les compromis et est privée de pasteurs pieux, dans la saine doctrine et craignant Dieu.
Aujourd’hui, prenons conscience que nous sommes menacés et que l’oeuvre de Dieu est menacée.
Mardochée a bien compris le plan de Dieu et c’est la raison pour laquelle il a écrit à Esther pour lui demander d’intervenir auprès du roi.
Pour y parvenir, elle demanda de rassembler tous les Juifs dans un temps de jeûne et de prière.
Le décret de mort a généré le réveil du peuple juif qui commençait à s’assimiler, à s’assoupir et il avait besoin de revenir à Dieu.
En cela, la situation ressemble à celle d’aujourd’hui.
L’Eglise de Jésus-Christ / Yahshua vit dans l’empire des Assuérus modernes : dans nos prières, nous remercions Dieu pour notre liberté où elle existe de moins en moins. Nous avons l’impression que cette liberté va durer éternellement et un assoupissement spirituel alarmant de l’ensemble du peuple de Dieu est actuellement à l’oeuvre.
Il y a fort à craindre que cette liberté soit menacée et que Dieu permette une situation similaire pour réveiller Son Peuple.
Le refus de Mardochée de se prosterner devant Haman était une manière de refuser l’idolâtrie car ce dernier s’était en quelque sorte divinisé et exigeait une obéissance censée ne revenir qu’à Dieu uniquement.
Se prosterner, c’est “ se soumettre à “, “ obéir à “, c’est la même chose qui nous sera demandé lorsque la Bête [l'Impie] paraîtra.
Lorsque les pouvoirs politiques sont dans leur rôle qui est la recherche du bien commun, Paul nous dit qu’on doit leur obéir parce qu’ils sont serviteurs de Dieu pour notre bien.
En revanche, lorsqu’ils sortent de leurs prérogatives et se divinisent, alors il faut leur résister.
Toute obéissance à ces pouvoirs dans ce qu’ils ont d’antichristiques est une désobéissance à Dieu et un acte d’idolâtrie (comme les idoles, les statues…).
Nous avons comme Esther et Mardochée, le devoir de nous dresser et nous tenir sur la brèche contre l’ennemi de Dieu.
Nous avons un rôle à jouer pour que la véritable Eglise soit purifiée, blanchie et épurée, afin de paraître comme une vierge glorieuse, sans tache ni ride devant le Seigneur pour le festin des noces de l’Agneau.
Dieu laisse les hommes suivre leur propre chemin jusqu’aux conséquences les plus extrêmes de leur folie et ils ne le voient plus, ne le discernent plus et le rejettent.
Mais en même temps, Dieu reste là pour Son Peuple, pour celles et ceux qui lui appartiennent, qui discernent sa main, sa puissance, reconnaissent Ses Plans et attendent avec foi et fermeté son intervention.
“ Dieu cache ces choses aux sages et aux intelligents, mais il est prêt à les révéler aux humbles, aux petits. “ (Matthieu 11:25)
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aerialadel · 1 year ago
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oenodyssee · 1 year ago
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Trois aigles, mais lesquels ?
Chez la famille Richaud // Domaine Richaud // Cairane // Côte-du-Rhône // 60 hectares
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J’y repensais deux jours plus tard, en Ardèche, en voyant ces trois aigles progresser suffisamment bas et proche les uns des autres pour que je puisse déceler un manque de sérieux – assez inhabituel chez des rapaces – un penchant à la déconnade fait de plongeons non alimentaires, de bousculades aile dans l’aile, de figures un peu foutraques ne s’éloignant jamais assez pour effacer la ligne zigzagante des trois prédateurs en
goguette ;  j’y repensais aussi tout à l’heure, va savoir pourquoi, en lisant devine quel livre de Christophe
Manon ; je repensais au sanglier de Calydon ivre déjà de raisins mûrs et je repensais surtout à mon passage au Domaine
Richaud ; j’y repensais dans le désordre : d’abord à cette soirée, son grand repas festif avec la jeune équipe internationale de bacchants et de ménades devant laquelle, au milieu de vignes plantées de counoise, passant de jour à nuit sous lune montante, je venais de jouer  
Rhapsode ; équipe que j’avais surprise en fin d’après-midi achevant la vendange manuelle d’une parcelle sableuse et siliceuse en bord de rivière puis qui m’avait devancé dans le coteau pour transmettre les caissettes pleines à l’équipe de cave ; « les grappes sont trop chaudes, elles vont passer la nuit au frais avant d’être encuvées ; on évite ce qui porte sur le feu (vecteur de mauvais goûts) : on ne foule pas on ne pompe pas (mais on érafle un peu), » m’avait expliqué Marcel Richaud, un peu après m’avoir ac
cueilli ; j’avais ensuite fait la connaissance de Claire, regard azur signalant la filiation Richaud, et de Thomas, barbe poivre et sel jetée sur un sourire, tous deux désormais aux commandes du légendaire domaine, Claire plutôt côté bureau mais pas que, Thomas plutôt vigne-chai mais pas que ; une histoire commencée par leur grand-père avec quatre hectares en coo
pérative, aïeul par ailleurs fanatique de modélisme aérien ; aventures continuées par Marcel mais dans des dimensions sol-air encore inédites : ici- bas l’invention – au sens archéologique du terme –  d’une mosaïques d’arômes, l’art d’exprimer le chtonien avec des raisins, des cuves et des équipes fidèles ;  là-haut le bonheur des courants ascendants, du deltaplane ; père
passionné, fils qui ne l’est pas moins si j’en crois, au moment des huîtres (reçues la veille d'un restaurateur breton admirateur du domaine) et du Cairane blanc (apporté par Bruno Boisson, ami et voisin vigneron), ma conversation avec Thomas : me racontant – au cœur d’un brouhaha joyeux –  son atterrissage dans le vignoble familial après une carrière de sportif de haut niveau en
parachute ; je me demande à ce propos quelle trappe de saut m’attend lorsque, devant la porte du chai où nos pas nous ont conduit j'entends Thomas me conseiller de : « prendre une grande respiration avant d’entrer », aucune chute, naturellement, de l’autre côté mais des cuves en pleine fermentation « qu’il faut surveiller comme du lait sur le feu » et par, voie de conséquence, pas mal de gaz
carbonique ; « rester calme et boire frais » on sentait le lendemain, au casse-croute de l’équipe de cave, que la devise de Marcel, son mantra pour rester serein en toute circonstance, « vous l’écrirez sur ma tombe hein », avait infusé dans la famille, au sens large, et l’on plaisantait ferme à cette heure – sur le « mollet lactique » du cycliste-œnophile par exemple, en
reconstituant des réserves d’énergie pour le restant d’une matinée déjà bien remplie : « tiens goûte ça, avant de partir, c’est ce qu’on fait avec la parcelle que tu as vue hier » : « j’dis pas non » et j’ai raison : c’est du velours planant traversé de vibratile coquin, de l'assistance "biodynamite" à grimper sans effort le Ventoux et ses dentelles, « comment ça s’appelle, au fait ? »   – « Terre d’
aigles. »
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