#quelle absurdité
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Y a des comptes de fachos (Damien Rieu et Français de souche) qui veulent faire passer Copé pour un "islamodroitiste" (comprendre : islamogauchiste mais pour la droite) parce qu'il a dit "Bonne fête de l'Aïd !" à Meaux et d'une part, ça prouve que les gens qui votent RN en se disant "moi je suis un "bon" musulman/juif/immigré, ils vont rien me faire" ont tort, d'autre part, absolument hilarant que les fachos choisissent COPÉ comme figure de "l'islamodroitisme", j'aimerais remonter dans le temps et lui dire ça vers 2011/2012.
#quelle absurdité#le monde s'est droitisé jeff s'est centrisé incroyable#après je pense qu'ils le visent aussi parce qu'il est juif et très ouvertement anti rn en ce moment donc c'est une pierre deux coups#combo antisémitisme et islamophobie#french politics
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Alors que je recherche la solitude et l’éloignement de mes semblables, les canards, eux, ne vont jamais les uns sans les autres. Pas de bavardages, hormis quelques coin coin ; pas d’autre but que de se nourrir et de se prélasser dans la mare. Quelle absurdité, vraiment, que celle des humains ! Nous avons laissé les plus forts faire de nous leurs esclaves et nous convaincre que travailler et accumuler des biens étaient la finalité de notre existence.
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là���
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que ��il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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“Ihre Humanität ist pure Heuchelei. Quelle absurdité." “
Davos 1917 (2023)
#davos 1917#perioddramaedit#mine*#gifs*#me watching the other two trailers: oh that shot of johanna looks like it's the same as the hand holding scene#this trailer: gives me the entire scene#thanks! much appreciated.#ilse von hausner#johanna gabathuler
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Vouloir écrire, quelle absurdité : écrire, c’est la déchéance du vouloir, comme la perte du pouvoir, la chute de la cadence, le désastre encore. Maurice Blanchot, L’Écriture du désastre, Éditions Gallimard, 1980
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« Quiconque aura assez longtemps observé la nature humaine pourra dégager trois principaux types d'êtres, auxquels correspondent trois attitudes face à ce qui élève, et que par une heureuse image oxymoronique, nous appelons profondeur.
L'homme médiocre, essentiellement préoccupés par la satisfaction de ses besoins et l'épanchement de ses bas instincts, est totalement étranger à cette profondeur. Sa vie passera comme un éclair sans même qu'il en ait pressenti l'existence, ce qui fait de lui, peut-être pas le fossoyeur de la civilisation, mais un obstacle certain à l'évolution spirituelle de l'espèce. Comptons sur lui pour répandre ses lignées innombrables sur la planète; il est le nombre, et fait le nombre. Croître dans la matière et ignorer l'esprit, c'est là sa gloire et notre punition, sa vanité et notre malédiction.
L'homme moyen, lui, bien qu'il ait conscience de la possibilité d’une vie plus riche, fuit la profondeur les rares fois où il la sent poindre en lui; les abysses l'effraient car elles lui imposent un silence que sa vulgarité confond avec la mort. Sa vulgarité, c'est sa mauvaise vue, d'esprit j'entends, son incapacité à voir quelles fleurs sublimes peuvent éclore sur le sol pur d'une âme abreuvée de discipline. Sub umbra floreo, formule sacrée du dernier type de notre hiérarchie, est précisément tout ce qu'il échoue à répéter dans le réel.
Car pour l'homme supérieur, fleurir à l'ombre n'est pas une nébuleuse expression poétique, vaguement mystique, mais bien une expérience de chaque jour, sans cesse renouvelée afin que s'accomplissent en lui les promesses de son âme. Il vivra à la marge, zone franche qui, à l’ère des masses, semble être le seul terrain stable où l’on puisse bâtir sa tour d’ivoire.
Ainsi arrive toujours une période de sa vie, plus ou moins précocement, où il ne peut faire autrement que vivre dans cette profondeur; c'est là le milieu naturel de son âme, nécessaire, indispensable, paradisiaque même, quand il réussit à tirer de cette profondeur une philosophie où la vie, bien que toujours problématique, est pleinement acceptée, pardonnée de son absurdité par la beauté de son mystère. »
Ariya S.
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Alors que je recherche la solitude et l’éloignement de mes semblables, les canards, eux, ne vont jamais les uns sans les autres. Pas de bavardages, hormis quelques coin coin ; pas d’autre but que de se nourrir et de se prélasser dans la mare. Quelle absurdité, vraiment, que celle des humains ! Nous avons laissé les plus forts faire de nous leurs esclaves et nous convaincre que travailler et accumuler des biens étaient la finalité de notre existence.
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◀ 7 JUIN ▶ Tout Pour Qu'Il Règne
Tout ce que vous demanderez en mon Nom, je le ferai. Jean 14:13
Le point central.
Est-ce que je m'acquitte fidèlement du service de l'intercession ? Dans ce service caché, il n'y a aucun piège, aucun danger de vanité ou d'orgueil; mais il porte du fruit à la gloire du Père. Est-ce que je laisse ma vie spirituelle se dissiper à tous les vents, ou bien est-ce qu'elle est concentrée sur un seul point : l'Expiation ? Est-ce que Jésus-Christ domine de plus en plus tous les élans de ma vie ? Si l'Expiation est le point central de toute ma pensée, sous son influence je porterai du fruit à la gloire de Dieu, dans chaque phase de mon existence. Il faut que je prenne le temps de me recueillir, si je veux saisir ce point central, d'où me viendra toute énergie. Est-ce que je donne à cette pensée ne fût-ce qu'une minute par heure, dans toute ma journée ? "Si vous demeurez en moi", dit Jésus (c'est-à-dire si vous pensez et si vous agissez continuellement en partant de ce point central), "demandez ce que vous voudrez, et vous l'obtiendrez". Est-ce que je demeure en lui ? Est-ce que je prends pour cela le temps nécessaire ? Quelle est la source principale de mon énergie ? Est-ce mon travail lui-même, le service que j'accomplis pour Dieu, mes sacrifices pour les autres, ou bien mon effort de travailler pour Dieu ? Ce qui doit être la source capitale de mon énergie, c'est le sacrifice de Jésus, c'est l'Expiation. Ce qui exerce sur nous la plus forte influence, c'est non pas ce qui absorbe le plus de notre temps, mais ce qui a sur nous le plus de pouvoir. Il faut nous concentrer sur ce qui est essentiel. "Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai." Celui qui demeure en Jésus ne fait qu'un avec la volonté de Dieu, et son choix, qui nous apparaît tout à fait libre, coïncide avec l'éternel décret de la volonté divine. C'est là, dites-vous, un mystère ? une contradiction ? une absurdité ? Oui, sans doute, et pour le croyant c'est une vérité glorieuse. - Lire plus ici :
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ANYIGBA NYUI
Jeudi, 28 mars 2024
"Jésus dit: Otez la pierre [...] Ayant dit cela, il cria d'une voix forte: Lazare, sors !"
Jean 11, 39a & 43 (LSG)
Il n'est jamais trop tard, crois!
Lazare est mort et enterré, il y a déjà quatre jours. Jésus arrive enfin à Béthanie. L'atmosphère y était insoutenable, les deux sœurs du défunt et tous ceux qui étaient avec elles étaient inconsolables. Jésus Lui-même, face à la situation, pleura. Pour Marthe, c'en est fini, il n'y a plus rien à faire. Jésus aurait été là plus tôt que leur frère serait encore en vie. Mais y a-t-il quelque chose qui soit impossible à Dieu ? Était-il trop tard pour Jésus d'agir ?
En dépit du temps que Lazare a fait dans la tombe et peu importe le fait que son corps serait en putréfaction, Jésus va montrer à tous qu'Il a le pouvoir de redonner la vie et de restaurer ce qui est irrécupérable aux yeux des Hommes. Alors, Il ordonne dans un premier temps que la pierre qui fermait le sépulcre soit enlevée. Quelle absurdité, cela valait-il la peine, pouvait peut-être se demander Marthe ? Le corps de son frère commence déjà par sentir. Cher(e) ami(e), peux-tu encore dans la situation la plus désespérée essayer "d'ôter la pierre", si cela t'est demandé afin que le Seigneur agisse ? Malgré les observations de Marthe, la pierre est ôtée et la puissance agissante de Jésus est mise en action.
La Bible dit : "...il (Jésus) cria d'une voix forte: Lazare, sors!" (verset 43). Au moment où Marthe parle de la résurrection de son frère pour la fin des temps, Jésus de son côté parle de maintenant. Celui qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient (lire Romains 4, 17), est souverain, ne Le limite pas avec ta connaissance. Et le mort sortit, ayant les pieds et les mains liés de bandes, et son visage était enveloppé d'un suaire. Faut-il le préciser ? Lazare ressuscité ne marcha pas immédiatement, il a fallu que Jésus ordonne qu'on le délia pour qu'il retrouve toute la liberté de ses mouvements. Combien de personnes aujourd’hui, tout en étant délivrées de leurs péchés par la foi en Jésus Christ, restent encore liées à leurs habitudes d’autrefois pour la simple raison qu'ils n'ont personne pour les aider !
Cher(e) ami(e), es-tu désespéré(e) ? Laisse-moi te dire qu'aucune situation n'est impossible à Dieu. Ta résurrection, ta restauration c'est maintenant. Il suffit de croire et tu verras sa gloire dans ta vie. Croire en Jésus-Christ, c'est mettre en pratique tout ce qu'Il te dit, même si ça paraît absurde à tes yeux. Marie la mère de Jésus dit aux serviteurs aux noces de Cana : "Faites ce qu'il vous dira"(Jean 2, 5). Pierre pour sa part dira : "...Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre; mais, sur ta parole, je jetterai le filet" (Luc 5, 5). Il faut croire pour saisir l'invisible !
Amen!
Exhortation : Le Christ redonne vie et restaure, crois en lui
Texte du jour : Jean 11, 38-44
Edoh Nicolas
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[C Marin, Etre à sa place] Dans le roman de Perec, l'"homme qui dort" observe au plafond de minuscules lézardes, au mur, un miroir fêlé qui morcelle le reflet de son visage. Dans son esprit, quelque chose se brise. Ce qui se fissure, c'est l'ancienne conviction, si familière, qu'une place nous correspond et définit notre identité, là où l'expérience et l'histoire devraient au contraire nous apprendre que les places que l'on occupe sont contingentes et précaires. Perdant le fil d'un texte qu'il ne parvient plus à lire, l'homme qui dort perçoit soudain la fragilité du fil d'une vie, se met à douter de la prétendue continuité de l'existence. Son absurdité surgit "un jour de mai où il faisait trop chaud", au détour "d'un bol de Nescafé trop amer". Quelque chose s'est, comme le dit Perec, cassé, altéré, défait. La représentation confiante d'une vie comme la trajectoire d'une flèche, la chaleur de ce sentiment intérieur d'avoir une existence et une importance disparaissent. Mais c'est aussi l'impression d'"adhérer, de baigner dans le monde [qui] se met à faire défaut". Le sujet se détache, se décolle du monde, cesse de faire corps avec lui. La distance s'impose, le doute s'immisce, le sentiment d'appartenance s'évanouit. L'évidence de la participation, de l'inscription, de l'immersion dans la réalité s'estompe. Le sujet cesse d'être porté, soutenu par la croyance d'un sens existentiel et d'une place qui soit assurance et reconnaissance. Le monde vacille ou plutôt s'éloigne de ce dernier. Mise en orbite du sujet.
A quel moment ai-je perdu ma voix? Elle semble progressivement s'être assourdie au fil des années. [...] Quelle main invisible s'est posée sur ma bouche? La mienne. Ma voix, sans même être interrompue ou recouverte par une autre, s'est faite de plus en plus silencieuse. Decrescendo. Elle s'est modulée pour n'être que celle qu'on lui permet d'être, pour s'accorder aux autres [...] Si nous étouffons nos voix, si nous les assourdissons, c'est dans l'espoir de faire partie de la grande chorale sociale. [...] On perd sa voix pour trouver une place, on abandonne un mode d'expression de soi dans l'espoir d'être entendue. Mais c'est en réalité à sa propre identité que l'on renonce. [...] Etre à sa place est bien une expérience physique. Je suis à ma place quand la voix est posée, quand elle est la mienne, et non pas une voix étouffée par la censure ou les voix dominantes, ni une voix empruntée à d'autres, ni essoufflée par l'angoisse ou saccadée sous la contrainte. Etre à sa place commence peut-être par cette libération d'une voix propre, une voix enfouie dont on découvre ainsi la tessiture.
Parce qu'ils sont "à la croisée des deux mondes", comme l'analyse très justement la philosophe Chantal Jaquet, les transclasses font l'expérience d'une "double distance par rapport au milieu d'origine et par rapport au milieu d'arrivée". Ils se caractérisent par un "ethos de la distance", c'est à dire une "manière d'être forgée par la pratique du passage et l'expérience de l'entre-deux". En ce sens, comme l'exilé, le transclasse ne revient jamais tout à fait en terre connue, il n'obtient jamais complètement on plus la nouvelle nationalité. Il est marqué par le seau d'une double différence : étranger dans son pays, étranger en terre conquise. Il danse d'un pied sur l'autre, ne cesse ces aller-retours intérieurs, sans jamais parvenir à vraiment se poser quelque part. Mentalement, affectivement, culturellement, il est constamment pris dans ces vas-et-vient entre deux pôles.
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La dispute partie 2
Ils continuèrent à se disputer, leur voix résonnant dans les couloirs de l'hôpital, ignorant le murmure croissant des regards curieux des patients et du personnel soignant. Leurs échanges étaient de plus en plus acerbes, chaque mot chargé de colère et de frustration, mais aussi d'une émotion plus profonde qui se mêlait à la tension palpable entre eux.
- … Vous êtes un idiot ! Vous n'avez rien compris à cette affaire ! Vous avez mis nos vies en danger ! S’écria Parker, sa voix tremblant d’une colère féroce, mais aussi d’une vulnérabilité qu'elle peinait à cacher.
- Attention à ce que vous dites ! Vous n’avez rien apporté de plus ! Vous n’avez fait que nous ralentir ! Répliqua Mulder, le regard brûlant d’une indignation mêlée à une frustration que lui-même peinait à comprendre.
- Comment osez-vous ? Je suis bien plus compétente que vous ! Lança-t-elle, le visage rougi par la rage et un sentiment d’incompréhension profonde.
- Ah, oui ? Et qu’avez-vous fait de si brillant ? Vous n’avez fait que suivre mes idées, sans jamais vraiment les comprendre ! Rétorqua-t-il, ses mots tranchants comme des lames, son propre sentiment d’échec le rendant plus abrasif.
- Vos idées ? Quelles idées ? Vous n’avez fait que délirer sur les vampires et l’occultisme, des absurdités qui nous ont mis dans cette situation ! S’indigna Parker, chaque mot empreint de désespoir et de rage.
- Et donc ? C’est grâce à moi si nous avons découvert le cercle de Salomon et leur plan ! Vous devriez me remercier au lieu de me critiquer ! Dit Mulder, la voix tremblante d’une colère mêlée à une profonde frustration.
- Et c’est à cause de vous qu’on a failli se faire tuer ! Vous avez échoué à nous protéger ! Lança-t-elle, le ton hautain mais les yeux brillant d’une émotion plus complexe.
- Non, c’est à cause d’eux ! Ils sont plus forts et plus malins qu’on ne le pensait ! Répondit Mulder, sa voix se brisant presque sous le poids de l’angoisse et de la culpabilité.
- Vous n’avez pas été assez prudent ! Vous n’en avez fait qu'à votre tête. S'indigna Parker, son ton acide mais un regard inquiet sous-jacent.
- Je vous l’ai déjà dit. Je ne m’y attendais pas. C’est vrai, je les ai sous-estimés. Je ne pensais pas qu’ils étaient aussi dangereux. Avoua Mulder, la défaite et l’humiliation marquant chaque mot.
La frustration se mélangeait à un sentiment de vulnérabilité, un fait que Mulder détestait admettre. Il se sentait pris au piège, incapable de supporter le poids de son échec devant Parker.
- Eh bien, vous vous êtes trompé. Et maintenant, nous sommes dans le pétrin. Ajouta Parker, la voix empreinte de désillusion et de résignation.
Ils se regardèrent, leurs yeux échappant des étincelles de colère et de frustration, mais aussi d'une complicité conflictuelle qui semblait les lier malgré eux. Leur relation, tumultueuse et explosive, révélait des couches plus profondes d'émotions sous-jacentes.
- Vous savez quoi ? Je ne peux plus vous supporter. Je ne veux plus avoir à faire à vous. J’arrête tout. Déclara-t-elle, la voix ferme mais trahissant une douleur cachée sous son attitude résolue.
- C’est réciproque. Répondit Mulder, sa voix mordante mais ses yeux trahissant un conflit intérieur.
- Très bien. On est d’accord. On va annoncer la vérité à Skinner. On ne peut plus collaborer ensemble. Décida Parker, le regard détourné mais les mains tremblantes d’une émotion non résolue.
- Parfait. Dit-il, la tension dans l’air palpable, mais une part de lui ressentant un vide à l’idée de mettre fin à leur collaboration.
Ils se levèrent de leur lit, attrapant leurs affaires avec une précipitation presque désordonnée, chacun se dirigeant vers la sortie avec une énergie nerveuse. Leurs mouvements étaient empreints d’une hâte désespérée, comme s’ils cherchaient à fuir non seulement le lieu, mais aussi les émotions tumultueuses qui les envahissaient.
Ils sortirent rapidement de l’hôpital et montèrent dans leur voiture. La route vers le bureau de Skinner fut parcourue en silence, un silence lourd de ressentiments et d’une attraction conflictuelle qu’ils ne pouvaient plus ignorer. L'air dans la voiture semblait vibrant de leur animosité non résolue et d’un désir trouble, une tension sous-jacente qui ajoutait une nouvelle couche à leur relation compliquée.
Chaque regard échangé était chargé de cette charge émotionnelle explosive, l'issue de leur confrontation avec Skinner marquant peut-être le début d'une nouvelle phase dans leur relation tumultueuse.
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Tourner la page ?
2023 ! Quelle joie de vous retrouver...Dans le fond, le mot ''Jour de l'an'' résume la chose : s'il n'y en avait qu'un, ce serait ce jour-là ! Avec chaque année qui s'en va, on se sent un peu responsable vis-à-vis de soi-même et des autres de faire un ''retour sur images'' rituel sur l'an fini… ce qui est sensé permettre de se projeter, en émettant quelques fantasmes, rebaptisés ''Vœux'' ou ''Souhaits'' –à réaliser ou pas--, dans l'année qui s'entr'ouvre, et que tout un chacun, en se souvenant de quelques tuiles qui ne s'oublient pas, espère voir meilleure que celle qui s'en va...
Le premier de ces deux exercices n'a pas de nom et n'est pas codifié : c'est ''à votre bonne volonté, M'sieu-Dames...'' et la Presse et les politicards s'en donnent donc à cœur joie pour trier tout ce qui les dérange, en espérant que les électeurs-victimes-contribuables-assujettis-gogos-confinables vont oublier toutes les horreurs dites ou faites au cours des 12 mois précédents. En revanche, le second exercice est plus codifié : c'est ''la cérémonie des vœux'', solennité approximative qui se rattache, en gros, à ce que les anciennes sociétés appelaient ''des rites de passage'' –qui ont malheureusement disparu : du certificat d'études au baccalauréat, de la souris de la première quenotte tombée au service militaire, ou de la Communion au Mariage, ils rythmaient les étapes d'une vie, marquant le glissement d'un ''rôle'' dans un autre...
Grâce à ces étapes bienvenues, ''le Temps'' avait un sens, et nous n'étions pas ''tout nus'' devant lui. Il ''avait le temps'', alors que, aujourd'hui, nos repères étant égarés par des systèmes ennemis de toute sagesse, les jours coulent, tantôt bien trop lentement, tantôt trop vite, dans un désordre sciemment fabriqué par des maîtres à ne plus penser, sans direction, sans sens, et sans utilité... Le rôle de l'humanité semble évoluer vers une obéissance contrainte à des forces administratives sans cesse occupées à essayer de rattraper leurs mauvaises décisions passées...
On dirait que nous avons perdu l'azimut de la flèche du temps : ''Je n'ai pas le temps'' est une phrase-type de notre époque. Un enfant devant son écran (car les enfants ne jouent plus. C'est un drame !), un adulte actif dans l'exercice de ses fonctions, une mère-au-foyer-au-boulot qui mène 2 vies en parallèle, ou un retraité pas encore trop esquinté... ''n'ont pas le temps'' : le divorce entre le temps de la vie, si riche, et celui (vide) de nos existences (qui le sont aussi, parfois) a entraîné une perte de contact avec toute notion de ''priorité''. En l'absence de tout classement possible puisqu'il n'y a plus aucun système de référence cohérent, tout devient urgent-en-soi, et si j'ose, plus c'est moins urgent, et moins ça peut attendre plus.
Alors... que laissera 2022, comme souvenirs ? Le ''tee-shirt'' kaki (et douteux) de Volodomyr Zelensky (en espérant que ce déguisement horrible ne deviendra pas une mode)... Le retour massif de l'inflation... Le changement de tête sous la Couronne dite de Saint Edouard (2 kilos d'or, 2868 diamants, 4 rubis, 17 saphirs, 11 émeraudes, et 269 perles, dit-on)... Les visages dévoilés en Iran et la connerie inverse des inconscientes pro-hijab en France... Le record historique (qui ne sera pas facile à battre) des recours au ''49-3''... Macron, ridicule, mis à bout de table par Poutine... Les résultats électoraux des ''Nupes'' (mais Dieu merci, à peine élus par erreur, ils se sont bagarrés. Mais même quelques jours, c'est déjà trop...)... Pour les quelques catholiques qui persistent encore, le motu proprio Traditionis Custodes et l'irruption mortifère du mot ''Synodalité'' –les deux seules choses dont personne n'avait besoin... Et, à titre personnel, l'encombrante présence dans mon garage de 3 jerry-can ex-d'essence (je n'ai jamais eu besoin de ces preuves de l'impéritie et du manque d'intelligence politique de nos élites (?), mais elles vont m'encombrer longtemps, comme les autres scories de toutes leurs absurdités injustifiables...).
Et quoi d'autre, encore ? Pour avoir l'air ''dans le coup'', je vais citer, sans trop y croire, la mort de Pelé et la victoire injuste de 11 argentins sur le seul M'bappé –NDLR : décidément, tout ce qui vient d'Argentine ne nous réussit pas, ces temps derniers ! Et plus sincèrement, la mauvaise nouvelle du départ du bon et si regretté Pape Emérite Benoît XVI, cet ultime rempart connu de la chrétienté contre le progressisme, mort le 31 décembre comme pour nous dire que se tournait une page de l'Histoire... Sans oublier ce gag triste que le seul fait que l'ONU ait promu la baguette de pain au rang de ''trésor de l'Univers'' aura suffi a détruire un bel équilibre pluri-séculaire : 5000 boulangers risquent de fermer prochainement (comme certains prix Nobel dits ''de la Paix'' ont été responsables de belles bagarres –on pense à Yasser Arafat, Henry Kissinger, Aun sang Suu Kyi, Barack Obama, l'éthiopien Abiyi Ahmed, voire... l'Union Européenne, ce Prix Nobel-gag attribué en 2012 !-- et d'autres). Décidément, ''l’An 2022... pouvait mieux faire''!
Côté ''bons vœux'''', commençons par l'indigestion annuelle des vœux du président, qu'évite soigneusement une immense majorité de français (1,36 millions de masos, 8,8% de part d'audience, ce coup-ci) : cette purge semble n'avoir d'autre utilité que de faire commencer le Réveillon le plus vite possible ! Dans un raz-de-marée de banalités (car qui peut souhaiter la guerre, ou la maladie ? C'est absurde, ces vœux convenus !), il peut difficilement parler d'autre chose que de paix (NDLR -- Cette année : en pleine guerre !), de santé (Cette année : sans médecins, sans hôpitaux, sans ''soignants''), de bonheur (que les idéologues de son camp s'appliquent à tuer), ou de prospérité (là... on va être servis, en 2023 : au lieu de ''belote, rebelote et dix de der'', on va ''faire capot'' !). Il a même osé ''Unis, nous vaincrons''... après avoir passé les 6 dernières années à tout faire pour qu'il ne reste rien de la réelle unité nationale qui existait encore à son arrivée, que même Hollande n'avait pas su ravager. Qu'il arrête d'abord de mentir sur notre histoire pour ''justifier'' (sic !) la haine de Tebboune (dont nous reparlerons), qu'il réintègre les pauvres victimes non vaccinées de sa haine à lui, qu'il exprime des regrets sincères pour les périodes de confinement, pour l'augmentation d'un quart de la CSG sur les retraites (à annuler d'urgence) pour Fessenheim... et il redeviendra audible. Mais pas avant, je crains !
Ce caillou dans la chaussure chassé, restent les vœux inter-personnels, forcément plus sincères, mais pas plus crédibles pour autant. En gros, ils tournent autour de 2 idées-phares : une bonne année et une bonne santé. Question ''créativité'', c'est zéro pointé... mais l'idée générale, déjà évoquée plus haut, c'est que, quoi qu'elle apporte, l'année nouvelle ne devrait pas être ''aussi pire'' que celle qui vient de finir (et qu'on trouve, après coup, assez pourrie !). Dernier point : on ne peut pas ne pas parler des ''bonnes résolutions'' qu'on prend pour soi (en sachant qu'on ne fera rien pour qu'elles se réalisent) et pour les autres –en se fichant comme de l'an 40 qu'elles soient suivies ou non des effets soi-disant attendus ! (NDLR : avez-vous remarqué qu'il n'existe ni vœu ni vocable pour ''des mauvaises résolutions'', qui sont pourtant bien plus souvent réalisées ? Ça doit vouloir dire quelque chose, non ?).
Tout bien réfléchi, il semblerait que ce qui compte, dans ces rituels incontournables, ce n'est pas tant que tous ces vœux, souhaits, résolutions, ou promesses-à-ne-pas-tenir se transforment en réalisations... mais c'est que, comme c'est gratuit et que ça ne peut pas faire de mal, on serait idiot de s'en priver. En fonction de quoi je suis heureux de vous souhaiter UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE, POUR VOUS ET POUR CEUX QUI VOUS SONT CHERS... On va en avoir, dans les ''billets'' à venir, des histoires à se raconter, des trucs à se dire, des ''rabias'' à piquer, des fou-rires devant les bobards que nos nuls voudraient nous voir avaler. Ces perspectives sont autant de promesses de gourmandises à venir ! 2023 sera une bonne année...
H-Cl.
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Nouveaux Délits N°75 - revue amie
http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com Quelle époque épuisante, collectivement et puis pour beaucoup individuellement ! Tellement qu’écrire un édito pour ce numéro semble au-dessus de mes forces et puis il y aurait tant à dire que ce n’est pas une petite page qui y suffirait. Quelques mots résonnent : colère, absurdité, injustice, paix, changement, radical, urgence, catastrophe, confusion,…
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E2463 (2)
escargots géants communément nommés bulimes endémiques peste agricole fissa la défensive contre les envahisseurs formation la tortue tous tortues avec leurs coquilles positionnées sur le devant l'arrière et le dessus nein c'est nous les vraies postillonnent dans leurs batavias les nouvellement nommées soudards d'un jour traites toujours et alors c'est encore parler pour rien dire et se battre pourquoi pour passer le temps le temps d'écrire des histoires qui ne veulent rien dire très ensoleillé ce premier jour l'issue fut longtemps incertaine conditions météo épouvantables la haine des uns contre la haine des autres les faibles contre les plus faibles contre les agonisants au final tous intacts les généraux s'invitèrent à la table du grand hôtel on fit dégorger le dernier bulime flambé au cognac les vertes et or frosch leurs cuisses longues et juteuses dorées les caressant à point le crabe survivant fut mis à vif dans un bain bouillant de sang noir et abats pinces yeux mousseux clairette champagne champagne champagne à en crever ils crevèrent carnage héroïque un seul vainqueur le cuisinier trois étoiles du bled les barbares ont gagnés matin suivant c'est encore la nuit éblouissante grenouilles crabes escargots fourmis tortues bœufs comment étaient ils traités à l'époque romaine comme des frusques parmi ces lettrés combien en réchappèrent la multitude fut défaite notes anciennes enflammées pages décousues une à une scotchée le long de la voie appia jusqu'à la dernière rive jusqu'à la dernière page jusqu'à la lie au final plus un port plus un mot mais avant au cœur de la bataille navale bataillon suisse avec leurs cuissardes avec leurs brancards brassières pelles à crottes raconter les faits anciens c'est inutile les mots n'ont pas l'odeur ni la couleur du sang la description des cris n'a pas d'oreilles assez fines à défaut d'exprimer et de décrire avec précision pareil conflit sauvons les meubles
noyons cette boucherie dans une surproduction d'effets de mots de phrases sans queue ni tête la vérité quelle vérité nous n'avons pas les moyens de la raconter d'abord il me faut trouver les mots un récit absurde qui ne veut rien dire qui se dissous dans une lente agonie d'autodestruction grosse absurdité l'illusion camarade voyelle c'est de vouloir rendre lisible le visible chaque soldat est un signe une lettre morte plus un mot les mots ne veulent plus rien dire chef esclavagiste nous ne voulons plus rien dire endet que les choses soient claires qu'elles se débrouillent pour se présenter nous ne nommerons plus ni objets ni événements plus d'histoires quotidiennes plus notre problème va tu es libre
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🤔😉
COUP DE GUEULE D'UN INGENIEUR EDF concernant le 20h sur TF1.
Un illuminé nous a donné une série de leçons sur les économies d'énergie.
Nous prenant pour des débiles mentaux profonds ou des séniles précoces, il nous a expliqué qu'en coupant toutes les veilleuses de nos appareils électriques, nous pouvions économiser 15% de notre consommation.
Faux, nous économiserions alors 2 à 3%.
Le même nous a expliqué qu'en remplaçant nos lampes traditionnelles par des lampes à économie d'énergie, nous pouvions économiser 30 à 35% d'énergie.
Faux c’est de 4 à 5 % que l'on peut économiser.
Pour couronner le tout, une brillante journaliste de TF1 (quelle chaîne instructive !) a pris le relais et fait le total des économies pouvant être réalisées selon ces critères éclairés :
15 % sur les veilleuses + 35% sur les lampes = 50% d'économie d’énergie.
Elle n'est pas allée jusqu'à le dire, mais nous qui sommes particulièrement débiles, avons deviné que demain, si nous suivions scrupuleusement ces instructions, on pouvait arrêter la moitié des centrales électriques.
Nous avons failli mourir idiots, mais pourquoi ne nous a-t-on pas expliqué tout ça avant !
Pour continuer dans la débilité profonde, la TF1’s girl nous a ensuite précisé que pour les 50% restants, on pouvait les alimenter avec des panneaux solaires qui produisent de l'électricité 'verte', en illustrant son propos d'une photo d'une belle maison avec un petit panneau solaire derrière.
Là, j'ai failli chercher une arme, car on n'avait encore jamais vu un niveau de désinformation pareil, une absurdité aussi monumentale.
En effet, pour produire ces 50 % restants, si on se base sur une consommation moyenne de 6 Kw (un abonnement classique sans chauffage électrique), il faudrait que chaque maison possède 140 mètres carrés de panneaux solaires pour un coût de 89.628€
Calculez le retour sur investissement.
Dans le chapitre 'c'est bon pour la planète', il convient d'ajouter que les panneaux solaires, on ne sait qu'en faire quand ils arrivent en fin de vie, car ils contiennent plein de silicium et autres métaux lourds très polluants.
Ne croyez surtout pas que je sois contre les économies d'énergie, je suis à 100% pour, quand elles sont réalistes, mais de grâce pas d'intoxication de ce type, ça frise l'indécence ou la malveillance.
Pour continuer dans l'intox, connaissez vous Biville-sur-mer en Seine-Maritime ?
C'est un petit village du littoral près de Dieppe, où 6 éoliennes sont récemment sorties de terre.
Six engins de dernière génération qui occupent 4 km de notre littoral normand et dont les pales culminent à 85 m de hauteur.
Chaque éolienne a une puissance maxi de 2 mégawatts quand le vent souffle fort.
Ce n'est pas grand'chose comparé au 2600 mégawatts qui sortent en permanence de la centrale nucléaire voisine, mais c'est toujours ça, surtout quand il fait très froid.
Dommage quand même que cette énergie renouvelable soit si chère et non maîtrisable (4 fois plus chère que celle de l'atome), mais ce n'est pas grave, EDF à obligation de la racheter (et cher).
Mais revenons à nos 6 éoliennes ; depuis quelques jours il n'y a qu'une seule éolienne qui tourne, les 5 autres seraient elles privées de vent ?
Que nenni, du vent il n'y en a pas depuis plusieurs jours, ce qui est généralement le cas quand il fait très froid, ou très chaud.
C'est la nature, l'homme ne lui dicte pas encore sa loi.
Mais alors, s'il n'y a pas de vent comment expliquer qu'une et une seule des éoliennes tourne ?
La réponse est très simple: on veut nous faire croire à fond aux énergies renouvelables, alors on n'hésite pas à tricher pour en cacher le mauvais côté.
Ben oui, ça ne ferait pas bien pour les habitants de la région qui n'ont pas encore accepté ça dans leur paysage, que de voir toutes les éoliennes à l'arrêt alors qu'il fait -4 degrés. .
Alors, tout simplement, on en fait tourner une au moteur (oui, c'est possible, en lui donnant du courant).
Ça consomme un peu d'électricité, mais ça fait croire que ça produit de l'énergie.
Il est temps d'arrêter de nous rabâcher tous les soirs à la météo 'c'est bon pour la planète', parce que là, on ne sait plus trop où est le bien et le mal, et on va finir par penser que ceux qui donnent des conseils sont, en plus d'être malhonnêtes ou incompétents, les plus dangereux.
L'électricité 'dite propre, sans fumée, sans CO2, sans atomes, disponible quand on en a besoin, à un prix qui ne détruise pas nos emplois, ça n'existe pas, mis à part les centrales hydro.
Dans 20, 30 ou 50 ans peut-être ...
Dans mon entourage, je ne connais personne qui lave du linge propre, ou qui met en route son lave-vaisselle vide.
Alors, il est grand temps que les médias et leurs gilets à rayures serviles qui nous desservent, arrêtent de nous prendre pour des demeurés, avec des reportages orientés, tronqués et des leçons de civisme qui ne tiennent pas la route.
Ah oui, j'allais l'oublier: j'ai même entendu "l'innocente Evelyne Dhéliat", nous dire, après sa page météo,"qu'il ne faut pas mettre trop de chauffage dans la voiture car ça consomme du carburant et "c'est pas bon pour la planète".
Evelyne, si tu avais pris des cours de mécanique, tu saurais que le chauffage de la voiture récupère la chaleur de l'eau du circuit de refroidissement du moteur et cette eau chaude, il faut absolument la refroidir en la faisant passer soit dans le radiateur principal (celui qui se trouve derrière la calandre), soit dans le radiateur du chauffage de l'habitacle, sinon c'est la mort du moteur !
Si cette eau n'est pas assez refroidie, c'est même le ventilateur du circuit de refroidissement qui doit s'en charger en consommant de l'électricité pour tourner !
Et ça ...'c'est pas bon pour la planète' par contre !
On pourrait aussi évoquer les biocarburants, présentés comme carburants Verts alors que s'engager dans cette voie est un désastre écologique et humain à brève échéance : flairant l'aubaine, de grands groupes Agro-alimentaires, défrichent en ce moment des forêts entières et remplacent des cultures destinées à l'alimentation humaine par ces plantations destinées à la production de carburant 'vert' (50% de la production de maïs des USA aura été détourné cette année pour cette production, d'ou la famine au Mexique, premier acheteur de ce maïs).
Vous doutiez-vous de cet effet pervers du biocarburant ?
Mais c'est un autre débat et j'ai des palpitations déjà rien que d'y penser.
Surtout, surtout, je vous en prie
INFORMEZ-VOUS !
Bien cordialement
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Samedi 24 février 2024
D’où viennent les guerres, et d’où viennent les contestations parmi vous ? N’est-ce pas de cela : de vos voluptés qui combattent dans vos membres ?
Jacques 4. 1
S’il est possible, autant que cela dépend de vous, vivez en paix avec tous les hommes ; ne vous vengez pas vous-mêmes.
Romains 12. 18, 19
La guerre, une absurdité
Lors d’une visite dans une ville d’Ukraine, le secrétaire général de l’ONU a déclaré : “Une guerre est une absurdité au 21e siècle”. Belle déclaration !
Mais les hommes auraient-ils fait des progrès, et les conflits entre nations auraient-ils disparu ? Quelle illusion ! Par leur ampleur et leur médiatisation, les guerres contemporaines démontrent encore, aux yeux de tous, la haine et les horreurs que peuvent produire les humains envers leurs semblables.
La Bible nous rappelle les dispositions mauvaises de notre cœur naturel : “Leurs pieds sont rapides pour verser le sang ; la destruction et le malheur sont dans leurs chemins, et ils n’ont pas connu le chemin de la paix” (Romains 3. 15-17). La fabrication d’armes de plus en plus sophistiquées et puissantes en est la preuve. L’illusion du progrès social et technique n’a pas changé l’être humain. Non, le cœur de l’homme n’a pas été amélioré depuis qu’il existe. Comment le transformer ?
Le prophète disait : “Faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau” (Ézéchiel 18. 31). Mais l’homme est incapable par lui-même de changer. Ni l’éducation, ni la culture, ni la politique, ni la société ne peuvent modifier foncièrement le cœur naturel. Seul Dieu peut faire ce miracle chez celui qui croit en lui et qui obéit à sa Parole : “Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai au-dedans de vous un esprit nouveau” (Ézéchiel 36. 26). La paix de Dieu remplit alors nos cœurs, et nous pouvons aussi la manifester autour de nous. “Bienheureux ceux qui procurent la paix” (Matthieu 5. 9).
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