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Le Canada facilite l'accès à l'éducation pour les étudiants francophones étrangers
Vous rêvez d’étudier au Canada dans une communauté francophone? Une excellente nouvelle vous attend! Le gouvernement canadien vient de lancer un programme pilote visant à faciliter l’arrivée d’étudiants étrangers francophones dans les communautés francophones en situation minoritaire (CFSM) à travers le pays. Pourquoi ce programme est-il important ? Équité: Il vise à corriger les inégalités en…
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Des espaces verts, de la nature à perte de vue, juste à côté de chez nous en Irlande. Pas besoin de partir au bout du monde pour être dépaysé ! C’est ce que nous confirme Honorine, 24 ans, partie avec le programme FAJE, clique ici pour en savoir plus sur ce programme de mobilité internationale. On parle de son expérience d’expatriation en Irlande, de son travail dans un resort ainsi que de son intégration et adaptation dans le milieu professionnel anglo-saxons.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les moyens existant pour travailler à l’étranger, cliquez ici
Hello, Honorine, peux-tu te présenter pour qu’on sache qui tu es ?
Après le lycée, je suis partie étudier 3 ans à Marseille à l’École Nationale Supérieur d’architecture. Mes aspirations professionnelles sont de pouvoir faire un métier qui me permet de voyager, être libre et avoir des responsabilités. Je suis un électron libre, je ne veux pas être pour l’instant cantonnée à une entreprise, un lieu ou étiquetée à un seul métier.
Pour me décrire en quelques mots, je dirais que je suis une personne organisée, polyvalente, autonome et sensible. Je suis aventurière plutôt que réservée, mais pas dans le sens « sac à dos ». Après ma licence j’ai commencé à voyager seule, je suis partie un an en Australie, puis à Londres pour 4 mois et enfin 6 mois en Irlande.
Partir à l’étranger a été l’étape prémisse de ma prise de conscience qui a entraîné ma réorientation professionnelle. Avec du recul, je me rends compte que je suis partie non pas parce que je devais améliorer mon anglais, mais, car je suffoquais dans la voie professionnelle dans laquelle je m’étais embarquée.
Il a fallu 2 ans après mon retour en Australie, pour que je décide définitivement de suivre ce que je désirais au plus profond de moi. Entre honte, échec personnel, peur et rejet de mes études, je ne savais pas quoi faire réellement de ma vie et j’étais très pessimiste.
Est-ce que tu sais depuis longtemps que tu veux partir travailler à l’étranger ? Si non, comment as-tu eu le déclic ?
Mon envie de voyager, de découvrir de nouvelles cultures, a pris un réel sens après mon retour en France. Je suis revenue différente, je me suis nourrie des différents endroits où j’ai séjourné, des différentes personnes que j’ai rencontrées. Ça m’a apporté une ouverture d’esprit. Je suis jeune, ma famille se porte bien et je n’ai rien qui me retient en France, alors pourquoi ne pas profiter de cette liberté ?
Comment se passe ton intégration en Irlande ? Les coutumes du travail sont-elles si différentes de la France ?
>>>>>> 10 jours de roadtrip en Irlande à petits prix
Mon intégration dans la vie quotidienne a été difficile au début. Il a fallu 2 semaines avant que les personnes commencent à s’intéresser à moi. Je vis et travaille avec les mêmes personnes, beaucoup de gens viennent et repartent et une certaine méfiance s’installe. Mon intégration professionnelle, quant à elle, s’est mieux passée, j’ai eu de la chance. Mes collègues ont été patients, j’ai beaucoup appris et rigolé.
Je trouve que la culture de travail anglo-saxonne est différente, beaucoup moins stricte et plus ouverte, plus laxiste aussi et moins organisée. J’ai remarqué qu’à l’étranger on ne vous juge pas sur votre parcours académique, mais plutôt sur votre motivation. Après bien sûr, ça ne s’applique pas à tous les secteurs d’activité.
Pourquoi avoir choisi de travailler dans un resort en Irlande ? Que fais-tu là-bas ?
J’ai choisi un « resort », car n’ayant pas de diplômes dans l’hôtellerie, le tourisme ou le management, mes chances d’être prise dans un hôtel situé en ville auraient été moindre. Des structures hôtelières comme celle où je suis sont en recherche constante de nouveaux employés. En effet, étant situés dans des lieux isolés, les employés ne restent pas.
>>>>>>>Pour en savoir plus sur l’Irlande, cliquez ici
De plus, je voulais vivre dans un lieu entouré par la nature loin de la frénésie des grandes villes et de ses tentations. J’avais deux objectifs : apprendre un nouveau métier et évoluer ainsi que mettre de l’argent de côté pour mes futurs projets.
J’ai postulé en tant que stagiaire-superviseur, ce qui m’intéresser c’était de connaître le monde de l’hôtellerie et du management. Je travaille au restaurant, mes journées sont variées, j’ai commencé par le bas de l’échelle, car je n’avais aucune connaissance de ce milieu. De plus, c’est un 4 étoiles, il y a donc certaines procédures à respecter.
Les différentes étapes de mon évolution :
– APPRENDRE LES BASES / « LE RUNNING » : c’est-à-dire que j’amenais les plats aux tables (pour apprendre à porter les assiettes, apprendre de quel côté on sert et les numéros de tables, etc.). Je m’occupais des préparations pour le soir pour me familiariser avec les différents éléments que l’on utilise pour la mise en place.
– SERVICE DU MATIN : après j’ai commencé à être du matin, au début j’étais au buffet (réapprovisionnement du buffet et réassort des plats) rien de très bien compliqué. Puis je suis passée sur le « floor », c’est-à-dire que je m’occupais de l’accueil des clients, je prenais leur numéro de chambre, j’expliquais aux clients comment se déroule le petit-déjeuner et je prenais les commandes (encore là, rien de sorcier, thé ou café, œuf poché, brouillé, à la coque, pancakes ou porridge).
– SERVICE DU SOIR / « LE PASS » : « PASSS » (médiateur entre la salle et la cuisine). Je dois gérer « deux runners », les chefs des différentes sections (entrée, plat, dessert) puis m’assurer que chaque table ait du pain, chaque personne qui commande par exemple un steak, ait un sorbet d’attente et que chaque plat arrive à destination en temps et en heure, ni trop tôt, ni trop tard. Il faut suivre ce que les chefs font, corriger leurs erreurs. Il faut gérer leurs sauts d’humeur et ne pas le prendre personnellement. Et surtout être ferme. Quand un chef dit « service » c’est vous, en tant que personne en charge du pass qui avait le dernier mot. Les plats s’accumulent sous le pass des différentes sections, mais règle d’or : « le chaud part avant le froid. »
Il faut aussi rectifier les erreurs des serveurs (mauvaise commande, mauvaise table, changement de table…). Et d’un autre côté, il faut gérer les groupes, être sûr que tous les plats soient partis en même temps et que le serveur en charge des groupes, est déjà les commandes de prises.
– SERVICE DU SOIR / FLOOR : étant plus à l’aise avec mon anglais, j’ai demandé à être sur le « floor » ce qui signifie en français “être en salle”. En tant que « TRAINEE food and beverage supervisor », je devais m’occuper de l’organisation de l’attribution des différentes sections, m’assurer qu’avant le service toute la mise en place était prête, faire le menu du jour. Après, j’étais comme tout le monde sur le terrain, à prendre les commandes et à m’occuper des clients.
– SERVICE DU SOIR/CASH UP : après l’été, j’ai eu le privilège de pouvoir être formé pour faire le « CASH UP » du restaurant, c’est-à-dire compter combien d’argent on a gagné. C’est une procédure qui prend un petit bout de temps. Il faut compter combien on a fait en cash, combien d’argent a été chargé sur les chambres et sera payé par les clients à la fin de leur séjour, combien en carte bancaire… imprimer 6 papiers différents, une partie est donnée au “night porter”, personne en charge de la surveillance de l’hôtel durant la nuit et l’autre partie dans un classeur.
– FORMATION DES NOUVELLES RECRUES : depuis que je suis arrivée, j’ai toujours pris l’initiative de former les nouvelles recrues et cela, peu importe leur nationalité. Je n’hésitais pas à les sermonner quand ils faisaient quelque chose qu’il ne fallait pas faire, ou bien, s’ils se reposaient sur leur laurier pendant que les autres travaillaient. J’ai voulu transmettre ce que l’on m’avait appris et ce que j’avais appris de moi-même. En octobre, pendant 6 semaines, j’ai eu la lourde tâche de former Victor et Maël deux stagiaires français.
Comment as-tu connu le programme FAJE ?
Pour connaître le programme FAJE, cliquez ici
J’ai pris connaissance du FAJE , 2 semaines avant d’aller à la réunion d’information, grâce à une de mes professeurs de master. En effet, je lui avais fait part de ma décision de ne pas finir mon master d’architecture (que j’avais repris en septembre dernier) et que j’avais besoin de trouver ce que je voulais réellement faire. Une de ses élèves, après avoir obtenu son diplôme, avait participé à une des sessions de Marseille et elle m’a raconté que la première partie du FAJE pourrait m’aider à y voir plus clair. Elle ne s’était pas trompée.
La formation du FAJE, avant le départ à l’étranger t’a t-elle servi ? Qu’as-tu appris de particulier, pour décrocher un emploi à l’étranger ?
Au début j’étais plutôt sceptique, mais grâce à ses 8 semaines, j’ai appris beaucoup sur moi-même. J’ai appris à me valoriser, à mettre des mots sur mes expériences et à écouter mes envies et besoins.
J’ai appris à avoir un regard positif sur mon parcours académique et montrer en quoi celui-ci me sert dans ma vie quotidienne ainsi que comment il pourrait m’être utile dans mon projet professionnel. J’ai appris à concevoir un CV, une lettre de motivation et renverser les rôles lors d’un entretien. Des astuces qui ont porté leurs fruits. J’ai eu de très bons retours sur mon CV et j’ai obtenu une mission à l’étranger.
Comment as-tu procédé dans ta recherche pour trouver une entreprise à l’étranger ?
Je postulais sur le site des hôtels en général, mais ce n’est pas là où j’ai eu le plus de réponses. Le mieux, c’est de contacter directement la personne en charge du recrutement, trouver son email, LinkedIn ou bien son numéro de téléphone.
Tu finis ton expérience avec le FAJE en décembre, quelles sont tes impressions ?
Cette expérience a été très enrichissante de tous les points de vue (professionnel, personnel et humain). J’ai découvert une nouvelle facette de moi. Une nouvelle « Honorine », qui prend de plus en plus confiance en elle. Je suis de plus en plus à l’aise avec moi-même. J’ai toujours était quelqu’un de timide, qui gérer très mal le stress. Aujourd’hui, je me rends compte que j’ai évolué et que mes deux points faibles, mes deux bêtes noires, ne sont plus qu’un vague souvenir.
Ces 6 mois ont été mouvementés, le temps est passé à une vitesse folle. Et je n’en retire que du positif.
Quelles sont tes perspectives après cette expérience de travail à l’étranger ?
Je vais rentrer en France pour deux mois et je reviens travailler en mars en tant que superviseur à Delphi, en Irlande jusqu’à fin août. Je pense qu’octobre prochain, je vais postuler dans un resort que j’avais trouvé en Nouvelle-Zélande.
Es-tu sorti de ta « zone de confort » en partant travailler en Irlande ?
Même si j’étais déjà partie plusieurs fois avant l’Irlande, je pense que chaque nouvelle expérience vous force à vous faire sortir de votre cocon et à évoluer.
Pourquoi avoir choisi le programme FAJE en particulier et pas un autre programme ?
J’ai choisi le FAJE, car je pensais que la première phase pouvait m’éclairer et m’aider. Si je n’avais pas été accepté, je me serais renseignée pour essayer de trouver quelqu’un de spécialisé dans les réorientations professionnelles.
En parallèle du FAJE, je suis aller voir un organisme que ma conseillère de la mission locale m’avait conseillait. Ça ne m’a pas beaucoup aidé. C’était seulement une série de tests et la personne en charge de nous aider ne comprenait pas pourquoi, avec mon profil « artistique », je voulais me lancer dans l’hôtellerie. Pour elle je devais être architecte ou bien me focaliser sur un métier artistique.
Ce que j’ai apprécié avec le programme FAJE, c’est que les formateurs nous ont accompagnés, écoutés. Ils ne nous ont pas jugés ni donnés leurs avis. Ils nous ont donnés les outils et les moyens pour que l’on arrive à trouver ce que l’on était venu chercher.
Recommanderais-tu le programme FAJE ? Si oui, pour quelles raisons ?
Oui définitivement. Le programme FAJE ne vous apporte pas votre futur emploi sur un plateau d’argent, mais il vous permettra de prendre conscience de vous et de vous mettre en valeur. C’est grâce à cela que vous arriverez à décrocher un emploi.
Referais-tu l’expérience ? Si oui, qu’est-ce que tu changerais ?
Oui à 100 % ! Durant la première phase je ne changerais rien, car pour moi, chaque étape était nécessaire. Pour la deuxième phase, celle à l’étranger, je pense qu’il va falloir que je trouve un équilibre dans mon investissement professionnel, car ça me joue des tours. Trop en montrer est parfois un défaut.
Merci à Honorine pour son retour d’expérience détaillé de son expatriation en Irlande, grâce au programme FAJE, programme favorisant la mobilité internationale des jeunes diplômés en Région PACA. Pour en savoir plus sur ce programme ainsi que tous les autres, existants dans les autres régions, lire l’interview de la responsable du programme, ici.
Si vous avez des questions, que vous voulez donner votre avis sur l’article ou tout simplement partager votre expérience de l’Irlande, commenté juste en dessous ^^. Sinon, nous serions heureux d’avoir juste votre retour.
Bon vent les vagabonds
Lucie&Johann- Grainedevagabonds-
Travailler à l’étranger en Irlande/ Interview Des espaces verts, de la nature à perte de vue, juste à côté de chez nous en…
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(15 postes) Agence Régionale d’exécution des projets région de Draa Tafilalt
(15 postes) Agence Régionale d’exécution des projets région de Draa Tafilalt
Agence Régionale d’exécution des projets région de Draa Tafilalt recrute :
Par contrat :
1 Ingénieur chargé de programme Division des travaux ( Fiche de poste – Avis d’ouverture du concours )
1 Chargé de programme à la Division Administrative et financière ( Fiche de poste – Avis d’ouverture du concours )
1 Chargé du Système d’Information à la Division des Etudes et de la Programmation ( Fiche de…
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Vous aimerez suivre des formations à Québec ?
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Ça vous dit un voyage en Irlande ? Dans le cadre de l’article très complet sur comment travailler en voyageant, on revient plus en profondeur, sur chaque moyen qu’on y a évoqué. Ici on s’intéresse à Élisa du blog Destination Erasmus, Arbre à T et laptitevoie (rien que ça pour cette jeune femme de 21 ans), pour cet article invité sur Graine de vagabonds. On vous laisse découvrir ses précieux conseils pour passer 10 jours de roadtrip en Irlande inoubliables ou plusieurs mois, comme elle l’a fait.
Je suis ravie de vous retrouver aujourd’hui sur le blog de Graine de Vagabonds ! Pour bien commencer cet article, je vais commencer par me présenter ! Je m’appelle Élisa, j’ai 21 ans et l’année dernière, je suis partie passer un an en Erasmus à Waterford en Irlande. Pendant, cette année j’ai eu la chance de pouvoir parcourir la magnifique île d’Émeraude.
J’ai tellement aimé cette expérience qu’à mon retour d’Irlande, j’ai décidé de créer un blog dédié à aider des étudiants à partir eux-mêmes à l’étranger : Destination Erasmus.
Dans cet article, j’aimerais vous faire découvrir l’Irlande, le pays dans lequel j’ai vécu pendant mon année Erasmus et que j’ai eu la chance de découvrir… à petits prix bien sûr ! Donc, c’est parti pour un roadtrip de 10 jours en Irlande.
Mais avant de commencer, l’organisation est primordiale pour dépenser le moins d’argent sur place ! L’organisation avant le départ, la clé d’un voyage à petit prix réussi !
Traverser la mer à la nage pour aller en Irlande
Pour vous rendre en Irlande, il n’y a pas 36 000 solutions ! C’est le bateau ou l’avion… Je vous conseille de prendre le bateau si vous partez dans le nord de la France et si vous comptez emmener votre voiture ! Vous économisez la location de voiture ainsi que les frais en cas d’accident (ce qui est fréquent quand on ne sait pas conduire à gauche).
Aller-retour en bateau pour 2 personnes et 1 voiture : 400 euros en basse saison à 700 euros en pleine saison. Pour plus de renseignements, cliquez ici.
Sinon, vous pouvez aussi prendre l’avion. Une solution plus rapide, mais qui vous oblige à louer une voiture ou de trouver des moyens alternatifs comme le bus, le vélo ou le stop ! Aller-retour en avion pour environ 120 euros par personne.
Quand partir en Irlande ?
La période idéale pour partir en Irlande sans se geler sur place ni se retrouver avec un amas de touristes, c’est en mai-juin ou en septembre ! Vous verrez ainsi l’Irlande sous son meilleur jour même si le temps est parfois très changeant dans la journée !
Que prévoir dans sa valise pour aller en Irlande ?
À cause de la météo très changeante, prévoyez d’avoir toujours sur vous une veste et chaussure imperméable, parapluie, mais aussi de bonnes lunettes de soleil !
Vous aurez aussi besoin d’un appareil photo, car les paysages que vous allez rencontrer seront juste magnifiques.
Mais surtout, ne mettez pas trop de choses dans votre valise à l’aller ! Surtout si vous êtes fan de friperies, car l’Irlande en est remplie. C’est aussi l’occasion de vous ramener de la laine de mouton pour vous faire un bon pull !
Comment se déplacer en Irlande ?
Il existe peu de moyens pour se rendre en Irlande, mais une fois sur l’île, c’est le champ des possibles ! En fonction des budgets, il est possible de se déplacer en voiture, en bus, en train, en vélo, en stop, à pied et même à cheval…
À pied !
L’Irlande est le terrain de jeu idéal pour les marcheurs en herbe ! Les sentiers sont bien entretenus et peu empruntés. Le paysage est brut, on est très vite entouré seulement par la nature ! Le Connemara est particulièrement intéressant à faire à pied ainsi que bien d’autres parcs naturels. Pour en savoir plus : clique ici.
À vélo !
L’Irlande possède de nombreux itinéraires cyclables comme le Kingfisher Trail de 370 kilomètres au centre du pays ou la Great Western Greenway dans le nord-ouest. Pour en savoir plus : c’est juste ici.
En bus ou en train !
Le réseau de transports en commun est très développé en Irlande ! Il est possible de traverser le pays en bus ou en train pour une 30 aines d’euros seulement. Il faut compter 20 euros pour des trajets de ville en ville. Ce que je vous conseille fortement si vous choisissez cette option, c’est d’opter pour des “bus tour” qui sont organisés au départ des villes et qui vous permettent de visiter la région autour ainsi que les lieux typiques. Voici un top des “bus tours” que vous pouvez trouver :
– Connemara, départ de Galway (30 €)
– Game of Throne Tour, départ de Belfast (50 £)
– Wicklow, départ de Dublin (30 €)
En voiture de location !
La location en Irlande est particulière, car les routes ne sont pas très pratiques et peu entretenues. Les éraflures sont vites arrivées, d’autant plus si vous n’avez pas l’habitude de conduire à gauche.
C’est pour cela que les locations de voiture s’assurent que vous possédez la somme complète de la caution sur votre compte (de 1000 à 2000 euros en fonction du modèle), si vous ne possédez pas cette somme sur votre compte, vous payez des frais qui abaissera le montant de la caution. Attention, vous devez payer ces frais même si vous avez une assurance qui vous couvre en cas de dégât !
Néanmoins, la voiture reste le moyen le plus pratique et le plus confortable de voyager en Irlande, car beaucoup d’endroits sont à voir en dehors des villes et la météo est peu clémente…
En stop !
Si votre budget est limité et que vous n’avez pas peur de dormir de temps en temps sous la tente alors je vous conseille le stop ! En effet, cette pratique est très bien vue en Irlande étant donné que beaucoup de jeunes n’ont pas la possibilité de s’acheter une voiture. Cependant, les routes sont une étroite donc prévoyez un gilet fluorescent !
Ça y est, vous êtes fin prêt pour partir en roadtrip à la découverte de l’Irlande profonde !
Un roadtrip de 10 jours en Irlande : les étapes incontournables à petits prix !
Une fois arrivé à Dublin, vous êtes soudain plongé dans une ville atypique aux vieux immeubles très bas en briques rouges dans des rues pavées juxtaposées d’avenues et de centres commerciaux très modernes.
Visiter Dublin (3 jours)
En arrivant à Dublin, vous avez quelques étapes incontournables à passer.
Premièrement : le Temple Bar. Si vous n’avez jamais entendu de ce quartier, il serait temps de sortir le dimanche… Dans tous les cas, vous devez passer par ce quartier pavé, aux pubs chaleureux où la bière coule à flots et qui vous accueillant avec un air de guitare folk ou de violon ! Passez par la rue Marchant’s Arch et par le Ha’penny Bridge, visitez l’enceinte du Trinity College, passer devant le château de Dublin…
Il faut absolument que vous alliez au Phoenix Park où vous aurez la chance de rencontrer des cerfs en liberté ! Ce parc est immense et à seulement 20 à pied du centre de Dublin, une aubaine ! Passer aussi au Powerscourt Center, un centre commercial unique en son genre et le quartier aux airs bohème !
Se loger sur Dublin
Le logement peut avéré très cher à Dublin, car la capitale souffre d’une pénurie de logements. Vous pouvez trouver des nuits très peu chères en auberges de jeunesse dans des dortoirs en plein centre-ville (Abbey Court Hostel) ou des pensions pour des chambres de 2 ou 3 (Avondale GuestHouse).
Boire un verre et faire la fête à Dublin
Dublin possède un bon plan si vous n’avez pas un gros budget et que vous voulez passer une bonne soirée ! Il faut vous rendre au Dicey’s Garden qui propose les pintes à 2 € ou 2 €50 ! Un bon plan à partager sans modération.
Mais je ne vous conseille pas de vous éterniser à Dublin, car la capitale est chère et vous avez encore des milliers de choses à voir !
Les lacs du Connemara (4 jours)
C’est la prochaine étape de votre roadtrip ! Sûrement à cause d’une chanson très connue, on trouve beaucoup de français dans cette région et ce n’est pas pour rien… Je vous avoue être allé dans le Connemara sans vraiment me renseigner avant et j’ai ne pas du tout était déçue.
Cette région est un havre de paix, des paysages à la “terre brûlée”, peu d’habitation, une route traversant un désert de verdure…
C’est un lieu indescriptible, mais sans nul doute à visiter ! J’y suis même retourné 3 fois en 8 mois pour vous dire à quel point cet endroit est merveilleux…
Visiter le Connemara en Irlande
Vous pouvez aussi bien choisir de prendre la voiture, le bus ou même vos chaussures de marche pour visiter cette région. Je vous conseille de visiter l’abbaye de Kylemore, de passer par le Fjord de Killary, de prendre le ferry pour visiter l’île d’Inishbofin.
Vous pouvez également visiter Galway au sud du Connemara. C’est une ville très festive où la musique celtique s’entend dans tous les bars. La cathédrale de Galway est un passage obligé puis vous pourrez vous promener dans les rues pavées vous amenant vers le port et profiter des boutiques de souvenirs, de l’ambiance bohème de la ville et pour finir, sur une vue de l’Atlantique en empruntant la promenade de Salthill.
Se loger dans le Connemara
Si vous voyagez en famille, je vous conseille de louer une maison traditionnelle en toit de chaume très typique de la région sinon, vous pouvez opter pour des chambres chez l’habitant très cosy de 35 à 90 € la nuit.
Manger des plats typiques
L’Irlande n’est pas connue pour sa gastronomie raffinée cependant, vous pouvez trouver de très bons restaurants de poissons comme le Mitchell’s Restaurant à Clifden ou à Roundstone !
Sur la route du retour… (3 jours)
♦ Sur le retour vers Dublin, vous pouvez vous arrêter aux falaises emblématiques de l’île d’Émeraude, cliffs of Moher, pour profiter d’une vue imprenable et avoir un “petit” vertige…
♦ Sur la route, arrêtez-vous dans la région de Wicklow. Le paysage est semblable au Connemara et vous pourrez voir un lac noir (prendre la R759) et une cascade (Carrigeenduff, Wicklow).
Dernier jour à Dublin
Pour votre dernier jour à Dublin, vous pouvez visiter le port de Howth à 30 min de bus de Dublin et faire la randonnée sur la côte. Vous pouvez aussi vous arrêter sur le retour à Bull Island et vous promener sur la plage sauvage.
J’espère que cet article vous a donné envie de voyager en Irlande ! Pour y avoir vécu là-bas pendant 8 mois, je peux vous dire que c’est un pays dans lequel il fait bon vivre. En plus d’être très accueillants, les Irlandais aiment faire la fête dans la joie et la bonne humeur.
Si vous voulez en savoir plus sur Erasmus et comment partir étudier à l’étranger en Irlande ou ailleurs, n’hésitez pas à aller faire un tour sur mon blog Destination Erasmus.
Ça vous a plu ? N’hésitez pas à laisser un mot en commentaire pour nous le dire. Si vous voulez voyager en Europe, cliquez ici pour découvrir d’autres destinations et nos meilleurs conseils. Et vous, vous connaissez l’Irlande ?
Bon vent, les vagabonds
Lucie & Johann-Graindevagabonds
10 jours de roadtrip en Irlande à petits prix Ça vous dit un voyage en Irlande ? Dans le cadre de l’article très complet sur…
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Tu es un jeune diplômé, étudiant ou tu aimerais faire un stage à l’internationale ? Le voyage est ta passion et tu veux la combiner avec tes études ou avoir une expérience professionnelle à l’internationale ?
Tu es au bon endroit ! En tant que passionnés du voyage, s’il y a bien une chose dont on a manqué plus jeune c’est d’informations. Il y a pourtant des budgets alloués pour toutes les régions de France, pour la mobilité internationale des jeunes.
Isabelle Mars, chargée de mission mobilité internationale des étudiants et des jeunes diplômés pour la région sud a répondu à nos questions et c’est très intéressant…
Partir à l’étranger : quelles solutions existent ?
On a rassemblé dans cet article, tous les organismes qui existent dans la partie sud de la France, qui ont leur homonyme dans les autres Régions. Les grainedevagabonds se sont renseignés, en région sud, mais ça s’applique dans toute la France, comme le témoignera le CRIJ, centre d’informations jeunesse, sur tous qui existe pour encourager et favoriser la mobilité internationale des jeunes.
Depuis quand l’accent est mis, en Région, sur la mobilité internationale des jeunes ?
Dès 1995 a été mis en place un dispositif d’accompagnement à la mobilité internationale des étudiants de la région. Il consiste en l’attribution de bourses destinées aux étudiants de l’enseignement supérieur effectuant une mobilité dans le cadre de leur cursus de formation.
Ce dispositif a été étendu spécifiquement aux BTS en 1997 puis aux formations sanitaire et sociale en 2009. Par ailleurs, dès 2000 un programme d’aide à l’insertion professionnelle des jeunes diplômés associant une période de formation en région à une mission professionnelle de 6 mois à l’étranger a été approuvé par les élus régionaux.
Quels sont les avantages d’encourager et de financer cette mobilité ? N’y a-t-il pas un risque d’augmenter la « fuite des cerveaux » comme on l’entend souvent ?
Il s’agit de faciliter la première insertion professionnelle des jeunes diplômés qui ont des difficultés à trouver un premier emploi en adéquation avec leur qualification. Le programme permet, dans un premier temps de consolider son projet professionnel, d’acquérir les outils et techniques de recherche d’emploi et de les tester en recherchant une mission professionnelle à l’étranger de 6 mois.
Cette première expérience professionnelle, qui fait souvent défaut aux jeunes diplômés lors de leurs recherches d’emploi, est d’autant plus valorisante qu’elle s’est déroulée à l’étranger. Le FAJE, la mission à l’étranger, est au service de l’insertion professionnelle.
La mobilité n’est pas la finalité du programme, mais un moyen de s’insérer professionnellement. C’est ainsi qu’un certain nombre de « fajiens » trouvent un emploi en région ou au national dès la première phase et que d’autres font finalement le choix de ne pas partir ou de reprendre des études.
C’est quoi le programme FAJE ?
Le programme FAJE est un dispositif d’aide à l’insertion professionnelle des jeunes diplômés qui utilise la mobilité internationale comme un tremplin pour faciliter l’accès au premier emploi. Il est destiné aux jeunes diplômés BAC + 3 et plus et comprend deux temps.
Une première phase de formation-accompagnement de 8 semaines qui se déroule en région (Toulon, Aix-en-Provence, Marseille et Nice) au cours de laquelle le jeune diplômé peaufine son projet professionnel qui est parfois encore flou à la sortie des études. Y seront également travaillés tous les outils et techniques de recherche d’emploi (CV, lettre de motivation, négociation, entretien, relance…). Au cours de ces deux mois, il sera accompagné dans la recherche d’une mission professionnelle à l’étranger.
La réalisation de cette mission de 6 mois à l’étranger dans une entreprise ou une association constitue la seconde phase de ce programme. Pendant la période de formation, les bénéficiaires perçoivent une rémunération en tant que stagiaires de la formation professionnelle et pendant la mission à l’étranger une bourse de 700 €/mois ainsi qu’une aide au transport et au visa leur est attribuée.
⇒ Dossier Faje
Leur protection sociale est également prise en charge pendant ces deux phases. À noter que l’Europe, à travers le Fonds social européen cofinance ce dispositif.
D’autres programmes existent, quelle différence entre le FAJE et le programme PRAME ?
Le Prame est destiné aux étudiants inscrits dans des établissements de formation régionaux partant effectuer un stage à l’étranger dans le cadre de leur cursus de formation.
Il comprend 3 volets :
le volet enseignement supérieur
le volet BTS
le volet sanitaire et social
Il consiste en l’attribution d’une bourse. Il s’agit donc d’une aide financière attribuée pendant les études tandis que le FAJE est un dispositif qu’on intègre après ses études dans l’objectif de trouver un emploi.
Une aide à la réalisation d’un ou deux semestres d’études à l’étranger vient également d’être mise en place à la rentrée 2018. Clique ici pour plus d’infos.
Comment connaît-on l’existence de ces programmes ?
♦ En se connectant sur le site de la Région ou en contactant le Service Rayonnement international de la région sud (04.91.57.54.44).
♦ Chaque Université a un bureau d’information pour les étudiants, le BAIP ou SRI. La Région leur transmet toutes les informations sur les dates pour les réunions d’information, les programmes et bourses pour l’année, etc.
♦ L’information n’est pas toujours bien relayée. Il y a souvent des magazines pour les étudiants gratuits, qui sont une mine d’or d’informations. Dans le sud de la France et pour la Métropole de Lyon, il y a le magazine Magma.
⇒ Magma Provence automne 2018
⇒ Magma le grand Lyon
♦ Les centres d’informations pour les jeunes, le CRIJ sont les plus compétents et accessibles au public. Ils organisent fréquemment des réunions d’information sur la mobilité internationale pour tous, sans limite d’âge ou de diplômes.
♦ Une des meilleures associations pour l’accès à l’emploi des jeunes diplômés et des cadres, c’est l’APEC. Ils organisent des salons de recrutement, des réunions sur comment bien présenter son entretien d’embauche ou la phase de recrutement sur skype en anglais, comment faire un cv international, une lettre de motivation quand on veut postuler au Québec ou aux États-Unis où les règles sont différentes de la France, etc.
Avez-vous des statistiques sur les retombées de ces programmes pour les anciens fajiens ?
Pour les anciens fajiens, nous avons un taux d’insertion professionnelle de 75 à 80 % à 3 mois après leur sortie du dispositif. L’apport toutefois, n’est pas que quantitatif, mais réside également dans tous les outils de recherche d’emploi construits au cours de la première phase et que les fajiens pourront utiliser dans leur recherche d’emploi à venir !
Y a-t-il une communauté où on peut parler aux gens qui ont bénéficié de ces programmes ?
Si vous intégrez le FAJE le groupe linkedIn « FAJE » regroupant d’anciens fajiens vous sera ouvert. Après, en venant aux réunions d’information, c’est facile de tisser des liens avec des jeunes qui ont la même ambition de partir à l’étranger. Certains fajiens sont aussi joignables par mail.
Merci à Isabelle pour la pertinence de ses réponses. On l’a rencontré lors d’une réunion à Toulon pour le programme Faje. Une personne de pôle emploi était également présente, car pôle emploi reste un accompagnateur majeur pour un projet à l’international.
Il faut toujours se tenir informé de ce qui se passe autour de nous, dans la région. De nombreux salons et réunions d’information sont organisés et se passent toute l’année en France, comme le salon forum expat à Paris et les nombreuses réunions d’information à l’APEC sur la mobilité internationale.
Cet article fait suite à l’article très complet sur COMMENT TRAVAILLER EN VOYAGEANT, où on revient plus en profondeur, sur chaque moyen qui y a été évoqué. Ici on s’intéresse aux programmes mis en place par les régions pour la mobilité internationale des jeunes diplômés et étudiants. Si ces informations te sont utiles, dis-le en commentaire, on répond à chacun d’eux et ça fait plaisir.
Bon vent les vagabonds
Lucie & Johann -Grainedevagabonds-
Mobilité internationale des jeunes, programme FAJE Tu es un jeune diplômé, étudiant ou tu aimerais faire un stage à l'internationale ? Le voyage est ta passion et tu veux la combiner avec tes études ou avoir une…
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Ingénieur Chargé de Programme Division des Travaux
Ingénieur Chargé de Programme Division des Travaux
Agence Régionale d’exécution des projets région de Draa Tafilalt recrute : 1 Ingénieur chargé de programme Division des travaux – Recrutement par contrat Délai de dépôt des candidatures : 15 septembre 2017 Informations supplémentaires : Les dossiers sont à déposer obligatoirement en premier à travers le site arepdrt.ma, Imprimer la fiche d’inscription générée et l’envoyer avec le dossier complet…
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