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#problème de hanche
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - La hanche : problèmes communs et solutions efficaces
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La hanche : problèmes communs et solutions efficaces
La hanche fait partie des articulations les plus sollicitées du corps humain. Considérant qu’un humain fait en moyenne 10 000 pas par jour, il va de soi qu’elle doit fonctionner adéquatement afin d’assurer une santé optimale pour le présent, mais aussi pour le futur. Dans cet article, vous découvrirez les conditions qui ciblent le plus souvent la hanche et apprendrez comment pallier leur présence.
La hanche, une articulation synoviale
En gros, le corps humain est constitué de plus de 300 articulations qui sont divisées en 3 catégories différentes :
1. Les articulations synoviales (mobiles)
Ce type d’articulation est celui auquel on pense en premier et la hanche en fait partie. Les articulations synoviales sont constituées comme ceci :
L’extrémité de 2 os adjacents (ex.: pour l’articulation de la hanche, il est question du fémur et du bassin)
Du cartilage qui recouvre l’extrémité des 2 os
Une capsule articulaire qui englobe les extrémités des 2 os
Une membrane synoviale qui tapisse l’intérieur de la capsule articulaire
Du liquide synovial qui est compris à l’intérieur de la membrane
Des ligaments qui entourent et stabilisent l’articulation
Évidemment, les articulations mobiles, comme leur nom l’indique, sont mobiles. Elles permettent généralement un mouvement dans plusieurs axes, qui sera de plus ou moins grande amplitude selon la région.
Exemple : Le genou ne permet pas une grande amplitude de mouvement en rotation, contrairement à l’épaule et la hanche, qui elles, oui.
2. Les articulations cartilagineuses
Ce type d’articulation permet un mouvement moins important que le type d’articulation synoviale comme la hanche est constitué comme ceci :
L’extrémité de 2 os adjacents OU 2 parties d’un même os en raison d’une plaque de croissance
Présence de cartilage entre les 2 structures osseuses
Ce type d’articulation ne présente aucune cavité articulaire ni liquide synovial.
Vous comprendrez que lorsqu’il s’agit de 2 parties d’un même os en raison d’une plaque de croissance, le mouvement ne doit pas être important. Le cartilage n’est que temporaire et laisse place à une articulation complètement fusionnée une fois la croissance terminée.
Les articulations cartilagineuses comprennent celles-ci :
Symphyse pubienne
Articulations discales (intervertébrales)
Articulation sacrococcygienne
Articulation costosternale
3. Articulations fibreuses
Les articulations fibreuses ne sont pas mobiles, ne présentent aucune cavité articulaire et n’ont pas de liquide synovial. Elles sont composées comme ceci :
2 os adjacents
Tissu fibreux qui relie les 2 structures osseuses
Les sutures crâniennes représentent le meilleur exemple d’articulations fibreuses. Pendant l’enfance, les os crâniens sont reliés entre eux par du tissu fibreux, qui, à l’âge adulte, sera remplacé par du tissu osseux qui indiquera la fusion des os les uns avec les autres.
Les grandes amplitudes de mouvement de la hanche
Comme mentionné précédemment, la hanche fait partie des articulations synoviales et permet plusieurs types de mouvements :
Rotation interne
Rotation externe
Flexion
Extension
Abduction
Adduction
Circumduction
En conséquence, la hanche, de par sa grande sollicitation au quotidien, nécessite une fonction adéquate.
Les conditions susceptibles de toucher la hanche
Différentes conditions peuvent toucher la hanche. Certaines peuvent être d’origine congénitale, découler de troubles posturaux, être associées à une surutilisation et être secondaires à une blessure/traumatisme. En conséquence, lorsqu’une douleur survient, il est essentiel de faire évaluer l’articulation par votre chiropraticien.
Conditions d’origine congénitale à la hanche
Malformation osseuse
Legg Calve Perthes (dysplasie congénitale)
Asymétrie de la longueur des jambes
Conditions à la hanche liées à des troubles posturaux
Tendinite (fessiers, tenseur du fascia lata, adducteurs, abducteurs)
Bursite trochantérique
Subluxation coxo-fémorale (de la hanche)
Les troubles posturaux peuvent comprendre une mauvaise posture assise à l’ordinateur, une mauvaise posture de sommeil ou une mauvaise posture au travail debout.
Conditions ciblant la hanche en raison d’une surutilisation
Tendinite (fessiers, tenseur du fascia lata, adducteurs, abducteurs)
Bursite trochantérique
Les sports comme la course, le jogging, le vélo, la marche, le soccer et le tennis peuvent contribuer à causer l’apparition de ce genre de conditions. On pense souvent à une mauvaise pratique du sport, mais la surutilisation et le mauvais équipement (ex.: mauvaises chaussures, vélo mal adapté) peuvent avoir un impact également.
Les conditions à la hanche secondaires à une blessure/traumatisme
Séquelle de fracture créant un déséquilibre biomécanique
Ostéoarthrose coxofémorale (de la hanche)
Tendinite (fessiers, tenseur du fascia lata, adducteurs, abducteurs)
Bursite trochantérique
Pallier aux conditions ciblant la hanche
La mission principale du chiropraticien est d’optimiser la santé de la communauté. Avec son doctorat de premier cycle en chiropratique, il est en mesure d’évaluer, émettre un diagnostic chiropratique, offrir un traitement chiropratique adapté et émettre des recommandations en lien avec les conditions neuromusculosquelettiques.
La base de l’évaluation chiropratique repose d’abord sur une période de questions (anamnèse) ciblée sur la condition présentée par le patient.
Suite à l’anamnèse, une évaluation physique de l’articulation de la hanche est nécessaire. Un chiropraticien aguerri aura le réflexe de ne pas seulement évaluer la hanche, puisque le membre inférieur, le bassin et la colonne vertébrale comportent plusieurs articulations qui fonctionnent conjointement à celle-ci.
Comment bouge l’articulation de la hanche?
Y a-t-il des limitations de mouvement?
Les muscles sont-ils impliqués?
La bourse est-elle impliquée?
Les articulations connexes sont-elles limitées
Quel est le jeu articulaire vertébral?
Autant de questions qui, avec leurs réponses, sauront orienter le diagnostic chiropratique et permettre au chiropraticien d’être plus précis dans son suivi.
Une fois le suivi établi, le suivi chiropratique pourra aider à soulager la douleur, améliorer la mobilité articulaire, améliorer les tensions musculaires et diminuer les chances de récidive.
Puisqu’il a en tête la santé globale de son patient, le chiropraticien pourra, en plus d’offrir un suivi chiropratique, proposer certains conseils sur les habitudes de vie :
Amélioration de la posture de sommeil
Amélioration de la posture de travail à l’ordinateur
Conseils sur la pratique de l’activité sportive
En tout temps, n’hésitez pas à parler à votre chiropraticien, sa formation et son expertise pourraient vous être grandement utiles!
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 166
Cela faisait déjà quelque semaines que Xavier m'avait demandé de passer chez eux. Je savais qu'ils m'attendaient avec un cadeaux.
Nous finissons par trouver un soir alors que Marc est en déplacement.
Quand j'arrive Laure est encore seule. Bisou avec la langue. Collée contre moi, je la sens chaude. Je le lui dis. Elle m'avoue que quand elle sait que je viens, ça l'excite. ;L'idée de se faire prendre en même temps des deux cotés (cul et chatte) et même de voir son mec me sodomiser, ça l'excite un max.
Je passe ma main entre ses cuisses et je la retire trempée, elle n'a pas mis de culotte ! Sa main à elle est venue se plaquer sur mes jeans et masse la déformation du tissus que ma bite provoque vers la gauche. Je calme le jeu en attendant son mari.
Heureusement il ne tarde pas. Il vient directement me rouler un patin et enfile un doigt dans sa femme qui nous colle. Ils sont chauds tous les deux et nous passons directement au sexe ! Xavier nous emmène à sa salle de muscu et à poils nous commençons la partie de plaisir.
Comme à chaque fois nous débutons par Laure. Elle se laisse envahir par nos sexes. Bouche, chatte et anus nous voient passer plusieurs fois. Elle n'a maintenant plus de difficultés à se prendre les 26cm x 6,5 dans ses trous. Cela me vaut à chaque fin de séance un remerciement particulier.
Grâce à l'action conjuguée de nos bites et nos langues, nous la faisons jouir deux fois. Premier tableau : je la prends par derrière alors qu'elle chevauche son mari. Je m'introduis dans son cul alors qu'elle est toujours planté sur Xavier. C'est divin ! je sens au travers de ses muqueuses l'autre bite qui occupe son vagin. Quand Xavier reprend ses va et vient, nos glands se frottent l'un contre l'autre et nous sentons bien le passage de nos couronnes. Je dois me distraire un peu si je ne veux pas jouir aussitôt. Je me calme au moment où elle à son premier orgasme, sinon les compressions de ses muscles vaginaux m'achèveraient.
Deuxième tableau : inversion des rôles, je suis dans sa chatte, compressé par la queue de son mec en train de la sodomiser. Là, je ne crains pas de partir trop vite, je suis moins serré que dans son cul.
troisième tableau : Xavier délaisse sa femme, je prend sa place dans son cul. J'y suis quelques instants un peu au large, le temps que l'anneau se resserre sur ma queue. Je le sens venir dans mon dos. Je devine ce qui m'attend, sa grosse bite dans mon trou ! Il sait que je ne suis pas un coutumier de ses dimensions et commence par me bouffer l'oignon. Sa langue fait merveille, je m'ouvre et le sens la rentrer d'au moins un cm. Faut dire qu'il est habitué à manger la chatte et le cul de sa meuf. Après sa langue, il y va de ses doigts plein de gel et ne cesse que quand il en fait coulisser 3 sans résistance. Même ainsi je me sature en poppers ! Les 6,5cm de diamètre, plus encore que les 26 de long posent problème dans les premières minutes, bon après c'est bien sûr les 26cm qui ont un peu de mal à se frayer un passage ! Je me plante bien dans le cul de Laure et attend l'assaut de son mec. Alors que j'ai encore la tête bouillante (et le trou ramolli) par le poppers, il présente son gland sur ma rondelle. Excité, je veux en finir vite et recule sec. Son gland volumineux me pénètre. Je sens mon sphincter se refermer derrière la couronne. Xavier me prend alors par les hanches et pousse son bassin. Mm par mm, il fait entrer les 26cm de sa grosse pine. Je ne débande pas dans le trou de Laure. Je prend un plaisir fou à me faire écraser la prostate par son mandrin. Une fois au fond de mon cul, nous restons quelques instants sans bouger, tous les trois à écouter les sensations provoquées par le partenaire. Il recule me retenant contre son bassin jusqu'à ce que seul mon gland reste dans sa femme. Là, il me relâche et me dit d'y aller. Je vais passer comme cela un bon moment à coulisser dans le trou de sa meuf alors que le pieu de son mec me perfore l'anus. Je me plante au fond du cul de Laure, ça me libère l'anus. Je recule et m'enfonce le sexe de Xavier alors que la pression sur ma bite disparaît. Je ne jouis que quand, trop excité, Xavier me maintient planté dans sa femme et qu'il me laboure à fond. Je ne peux plus me retenir et explose. J'arrive à bloquer les mouvements de piston de Xavier et ça le fait juter à son tour. Je suis anéanti ! Xavier trouve encore la force de titiller de ses doigts le clito de madame et de lui tirer un troisième orgasme. Etalés sur le sol nous mettons 1/2 heure à récupérer.
Quand nous nous relevons, je boxe par jeux les pecs de Xavier en lui disant qu'il me ruine l'anus à chaque fois qu'il y passe. Il me répond que je ne dois pas détester cela car j'y revient régulièrement (ok, j'aime bien et aussi l'enveloppe qui va avec). Comme ils m'invitent à diner, je préviens Samir que je ne renterais pas très tôt. Nous mangeons très bien dans un restaurant 2* Michelin et au dessert, Xavier me tend un boite cubique noire. J'avais oublié qu'ils voulaient m'offrir un cadeaux pour les avoir " décoincé " de leur misère sexuelle. J'ouvre et trouve une montre super originale à une seule aiguille, Suisse bien sûr, la montre pas l'aiguille !
Je détache ma Tag-Heuer Monaco de tous les jours et la remplace par leur montre. Grand cadran noir, rond, qui virilise le poignet qui le porte. Très sobre elle est d'un chic fou, bien moins ostentatoire que le premier cadeau d'Emma (avec ses diamants roses), Je me lève et au risque de choquer les " bien pensants " embrasse Laure sur la bouche ainsi que Xavier.
Quelques jours plus tard, j'ai reçu un coup de fil de Daniel (mon vendeur Suzuki). On papote quelques instants sur le taf : vente et son taf : Escort. Il me dit qu'il commence à ne plus avoir de complexes rapport à sa culture et qu'il apprécie de plus en plus son " client ". Il me dit que bien qu'il ait été en combi moto ou à cause de cela, son " client " l'a emmené dernièrement dans un grand restaurant où son accoutrement faisait vraiment tâche ! Je lui demande si cela l'avait gêné. Il me dit que finalement il n'en n'avait rien eu à faire. Il avait même noté chez les serveurs, une certaine connivence. En attendant, ils avaient passé un bon moment, son " patron " s'amusant même des regards réprobateurs qui provenaient des tables voisines. Coté sexe, ça le fait bien aussi. Comme ils sont tous les deux recto/verso, il n'y a pas de manque (contrairement à Kev et son Boss). Je lui demande quand il pourra passer avec Cédric et nous tombons d'accord pour le WE qui suit, Marc sera présent. Il aime trop les ptits mecs pour que je le prive d'une baise avec Cédric.
Ils arrivent dès le vendredi soir (même si ils travaillent le samedi matin pour Cédric et toute la journée pour Daniel). J'irai d'ailleurs le chercher à midi (Cédric).
Nous les débarrassons de leurs combi moto, ils restent en shorty et t-shirt. Cédric est très à l'aise et saute alors dans les bras de Marc pour lui rouler un patin, pendu à son cou, les jambes autour de sa taille. Comme il ne veut pas en descendre, Marc le porte jusqu'au salon. Nous les suivons en échangeant les dernières nouvelles et les retrouvons Marc dans un canapé et Cédric en train de glisser le long des ses jambes. Quand il est à genoux, il lui écarte les cuisses et s'occupe à défaire les boutons du Jeans. Nous le regardons faire et j'appelle Ammed pour qu'il nous serve l'apéro.
Il n'a pas fallu beaucoup de temps à Cédric pour arriver à ses fin et qu'il libère le sexe de Marc. Il ne reste pas à l'air libre très longtemps et se retrouve couvert par la bouche vorace de Cédric. Je fais attention et je m'aperçois qu'il réussit à le manger en entier. J'en discute avec Daniel qui me confirme que tous les jours il lui fait la gorge pour qu'il s'entraine et maîtrise les réflexes associés au passage de la glotte. Je le félicite car le résultat est là. Marc apprécie les progrès. Devant tant de bonne volonté, il prend la tête de Cédric entre ses mains et gère le pompage de sa bite. Entre autre il teste la capacité respiratoire de son suceur en maintenant progressivement de plus en plus longtemps son gland au fond de sa gorge. Ce n'est pas Ric mais il arrive à tenir un bon moment sans respirer. Sans ôter la bite de Marc de sa bouche, il se défait de son shorty et de ses chaussettes et passe de la position sur les genoux à 4 pattes, nous présentant son petit cul étroit, véritable appel au viol. Marc nous demande de bouger et de lui préparer le cul. En vitesse nous nous mettons aussi à poil et commençons à lui travailler le trou. Bien souple, peu être un peu plus que dans mon souvenir. Daniel me rassure et me dit qu'il a été obligé de le sauter à midi, tellement il (Cédric) était excité de passer son premier WE chez nous.
Je passe en premier et Kpoté enfonce mes 20cm dans son cul. Bâillonné par la queue de Marc, il ne peut manifester. Je le prends par les hanches et le lime sèchement. A chaque fois que je suis au fond de son cul, je pousse encore pour qu'il s'enfonce la queue de Marc jusqu'à ce que son front butte sur les abdos. Il arrive a se dégager de Marc juste le temps de nous déclarer que c'est trop bon et de reprendre sa pipe là où il l'avait laissée. C'est vraiment adorable autant de bonne volonté ! Je vais pour céder ma placer à Daniel mais il me dit de continuer, lui a le privilège de l'enculer tous les jours. Il se place dans mon dos et glisse sa bite entre mes cuisses, son gland me caressant les couilles. Je lui dis de mettre une kpote et j'ai juste le temps de me mettre un peu de gel qu'il se présente à mon passage arrière et défonce la porte. Bon, très bon même ! Se faire enculer alors que soi même on est en train de faire la même chose c'est divin. Marc ne tient plus, il repousse Cédric et le prend par les épaules pour le relever. Je me retrouve la nouille à l'air ! Il se rassoit dans le canapé, se kpote et demande à Cédric de s'assoir sur sa bite en lui tournant le dos. Une fois Cédric bien planté dessus, il bascule en avant et le met à 4 pattes devant moi. J'ai juste à prendre sa tête entre mes mains pour lui indiquer le chemin de ma queue (dkpotée).
Photo : Daniel m'encule alors que je me fais sucer par Cédric lui même enculé par mon mec qui en se penchant un peu vient me rouler un patin. Trop bon cette situation ! Cédric s'applique à me sucer et à m'avaler le gland, même si les coups de rein de Marc désordonnent, de temps en temps, le rythme.
Marc, à force de taper dans sa prostate, fait jouir Cédric. Après ça part en cascade. Marc se verrouille au fond du cul de Cédric et large la sauce dans sa kpote, ce faisant il pousse Cédric à me manger entier et je ne peux me retenir et je lui envoi mon apéritif maison direct dans l'estomac. Il se recule juste pour accueillir ma dernière giclée dans sa bouche et la garder pour en tartiner mon gland avec sa langue. Mes éjaculation se sont accompagnées d'autant de contractions anales et le massage de celles ci sur la bite de Daniel qui était dedans l'a fait exploser. En ressortant brusquement, il a réussi à m'en foutre plein le dos.
Le dos essuyé avec sollicitude par Ammed, j'attends que nous ayons tous repris nos souffle pour proposer un douche.
Sous les jets d'eau, nous nous mettons à trois pour laver Cédric. Pas un mm² de sa peau ne nous aura échappé. Puis c'est le tour de Daniel, moi et nous finissons par Marc. Il avait eu le temps de recharger les batteries et nous a présenté ses 22cm raide au rinçage. Comme nous ne pouvions le laisser dans cet état pour le dîner, J'ai poussé sur la tête de Cédric et ce dernier, sans se faire prier, l'a gratifié d'une bonne pipe. Cette vue m'a fait bander à mon tour et Daniel, sans que je lui demande, s'est agenouillé à coté de Cédric et me sucer aussi.
Photo : Marc et moi, debout, épaule contre épaule, le dos en appui sur le carrelage de la douche avec entre nos pieds Daniel et Cédric à genoux en train de téter nos bites.
Marc à juté le premier sur les épaules de Cédric. Libéré, ce dernier s'est couché sur le carrelage pour sucer Daniel. Le ballet de sa langue sur mon gland et ma hampe a eu raison de ma résistance et j'ai, à mon tour, éjecté mon sperme sur ses épaules et le dos de Cédric. Peu de temps après ce dernier avalait la production de Daniel. Nous nous sommes mis à trois pour faire jouir Cédric. Coincé dans les bras de Marc, je l'ai sucer jusqu'à l'os pendant que Daniel lui bouffait les tétons. Il n'a pas fallut 5 minutes pour qu'il explose à son tour.
Nouvelles douches pour tous et nous sommes remontés diner.
JARDINIER
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firebirdxvi · 5 months
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Fils du Feu 12 ~ Flamme combative
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Elle se fendit, la lame en avant, et laissa la pointe de son épée se porter vers le torse du maître d'arme. L'experte para le coup sans difficulté mais Jote se rendait bien compte qu'elle était impressionnée. Elle profita de l'effet de surprise pour tournoyer sur elle-même, ramener la poignée de son arme vers sa joue, puis étendre le bras rapidement pour tenter un coup vers la hanche. Encore une fois, sa lame fut déviée, mais cela n'était du qu'à sa petite taille. Ou alors elle se faisait des idées ; la femme qui lui donnait ses leçons était une épéiste aussi fameuse que Maître Cyril.
Jote ramena la lame de bois devant son visage et ferma les yeux, signifiant ainsi qu'elle mettait fin à cette passe. Elle connaissait bien les modalités du duel à présent, et sa professeure l'imita.
- "C'est très impressionnant, petite. Tu progresses de jour en jour. Mais ton bras et tes jambes sont encore trop courts pour te permettre tout ce que ton ambition t'inspire..."
Le maître d'arme savait qu'il n'était pas bon de trop encourager ses élèves. Il valait mieux leur faire comprendre qu'ils pouvaient toujours s'améliorer, même au plus haut niveau. Et Jote, malgré ses dispositions, en était encore loin.
La petite fille s'apprêtait à retourner s'assoir avec les autres élèves attentifs mais le maître d'arme n'en avait pas terminé avec elle.
- "Tu as eu le temps d'étudier la botte rosalienne ?" lui demanda-t-elle.
Elle ne disposait que de quelques piteux mannequins d'entraînement - récupérés dans la cour du château de Rosalith -, et même si elle avait réussi à transpercer le "coeur" de nombre d'entre eux, elle doutait de s'en sortir aussi bien face à un être humain mobile. Jote hocha tout de même la tête.
- "D'accord. Montre-moi."
Elle avala sa salive, puis se positionna face au maître d'arme qui se mettait en garde. C'est alors qu'elle perçut du coin de l'oeil une silhouette entrer dans la pièce puis prendre place parmi les élèves attentifs. Le coeur de Jote manqua un battement. Sa capuche était rabattue sur son visage mais elle l'avait parfaitement reconnu... Sa façon de bouger, et de croiser les jambes avec élégance - ce qu'aucun Immortel n'aurait osé faire - ne laissait guère de doute.
Elle allait devoir se surpasser.
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Reprenant ses esprits, Jote se mit en position pour effectuer la botte rosalienne. Sa professeure ne la laisserait pas faire, bien entendu, et elle manquait encore considérablement de force, mais la jeune fille pensait pouvoir la surprendre. Elle sentait le regard de l'Emissaire posé sur elle et cela lui donna du courage...
Le bras tenant l'épée ramené en arrière, la lame contre sa joue, le bras gauche étendu pour assurer son équilibre, elle se mit à tourner autour de son adversaire, cherchant une faille dans sa garde. Les mannequins n'étaient pas aussi grands que le maître d'arme, et elle doutait d'atteindre le coeur, à moins d'adopter un angle d'attaque compliqué... Elle fit de rapides calculs, espérant de tout son être grandir le plus vite possible...
L'experte se fendit soudainement en avant, portant un coup vicieux à l'épaule de Jote qui esquiva sans problème. S'appuyant sur la lame de son adversaire, elle tourna une fois sur elle-même pour s'en approcher - exposant dangereusement son dos pendant une fraction de seconde - et sa vitesse lui fit gagner de la puissance. Elle porta tout d'abord un coup rapide à la cuisse - qu'elle manqua de quelques centimètres - puis effectua un pas chassé pour toucher la poitrine. Mais ses jambes étaient trop courtes et ne la portèrent pas assez loin... Elle effectua un autre pas chassé en urgence, ce qui surprit le maître d'arme, qui ne s'éloigna pas assez vite ; la jeune fille visa le cou en pointant son épée vers le haut, au risque de se tordre le poignet à cause d'un angle d'attaque compliqué... La lame de Jote entra en contact avec celle de son adversaire juste avant d'atteindre la gorge, la déviant au dernier moment.
- "Une botte rosalienne assez peu conventionnelle, je dois dire...", murmura-t-elle en fronçant les sourcils.
- "Pardonnez-moi, ma dame..."
Essoufflée, Jote ramena son épée à elle et resta plantée sur place, la pointe de la lame vers le sol. Elle se sentait un peu honteuse...
- "Apprenez, vous autres", déclama le maître d'arme en regardant ses élèves. "Les meilleurs épéiste sont ceux qui reconnaissent leurs faiblesses et savent en tirer partie. Votre camarade a tenté de pallier à son manque d'allonge et de force en adaptant la botte rosalienne. Elle a échoué aujourd'hui, ce qui était prévisible, mais quand elle aura grandi, elle donnera du fil à retordre à ses ennemis."
Elle salua et renvoya Jote à sa place. La jeune fille n'était pas mécontente de ne plus être le centre d'attention. Le seul banc disponible se trouvait juste à côté de l'Emissaire, évidemment... Elle remit l'épée au ratelier, s'y dirigea en traînant les pieds et ne prononça pas un mot. Ce fut Joshua qui engagea la conversation.
- "Gardez espoir. La botte rosalienne est difficile à effectuer. Je me souviens que cela avait pris des mois pour Clive..."
Il sourit sous sa capuche en se remémorant des souvenirs heureux.
- "Quand il l'a enfin réussie face au général Murdock, il était très fier de lui ! Enfin, c'est ce qu'on m'a raconté... Je n'avais pas l'autorisation de sortir, alors..."
Il baissa la tête et se détourna d'elle.
- "Euh, je veux dire... c'était originalement exécuté ! Bravo !"
- "Mais... j'ai raté cette passe..."
- "Vous la réussirez un jour !"
- "Pourquoi êtes-vous venu ici ?"
- "Je me demandais en quoi cela consistait, ces cours d'escrime..." Un autre élève bien plus âgé s'était levé et s'emparait d'une épée de bois pour faire face au maître d'arme. "Est-elle sévère ?"
- "Un peu, mais c'est pour notre bien... Si nous devons un jour partir en mission pour le compte de l'ordre, nous n'avons pas le droit à l'erreur..."
- "Justement ! A ce propos..."
Ils discutaient à voix basses mais bientôt tous les Immortels présents comprirent que l'Emissaire de Phénix était assis parmi eux. Le maître d'arme posa alors la pointe de sa lame sur le sol et s'inclina jusqu'à terre pour l'honorer. Joshua agita les mains avec précipitation.
- "Oh, ne me prêtez pas attention ! Je voulais voir dame Jote ! Puis-je lui parler en privé ?"
- "Votre Grâce, vos désirs sont des ordres."
- "Venez."
Il prit la main de la jeune fille et elle sentit un étrange flottement s'emparer de son corps tout entier. Les Immortels avaient les yeux fixés sur eux, les scrutant avec intérêt et peut-être un soupçon de désapprobation... Les deux jeunes gens sortirent de la salle d'entraînement en vitesse.
Ils marchèrent dans le corridor jusqu'à ce que Torgal vint à leur rencontre en faisant la roue. Cela semblait sa manière de dire qu'il était heureux de voir Jote. Elle commençait à s'habituer à la présence de cet étrange compagnon, même si elle avait peu de temps à dépenser en dehors de la salle d'entraînement ces jours-ci.
Joshua s'arrêta à un angle du couloir et elle fit de même. Elle distingua alors la rougeur qui enflammait les joues du garçon... Elle se sentit nerveuse à son tour. "Que veut-il me demander ?" pensa-t-elle en envisageant déjà de répondre "oui" avant même de connaître sa question.
- "Dame Jote, je me disais...", commença le garçon en essayant de ne pas la regarder directement. "Vous n'êtes pas sortie depuis un moment, non ?"
Elle fut prise au dépourvu mais ne le montra pas.
- "C'est vrai. Mon entraînement est très important, et je veux me concentrer sur mes exercices..."
- "Moi aussi, je suis resté à l'intérieur du refuge pendant une semaine entière ! J'ai eu le temps de visionner quelques cristaux striés quand les scientifiques ne se servaient pas du lecteur. J'ai appris beaucoup de choses..."
Il avait réussi à trouver des archives à propos du "magitech" qui l'avait davantage éclairé, mais rien à propos de "Malius"... Jote ne savait pas trop où il voulait en venir mais elle buvait ses paroles, comme toujours.
- "Mais à présent, j'aimerais de nouveau sortir à l'extérieur. L'air frais et le soleil me manquent... Maître Cyril est d'accord bien sûr, mais il exige que j'emmène une escorte. Je me suis dit alors que..."
La jeune fille se redressa, bombant le torse avec fierté. Elle anticipait ce que l'Emissaire allait lui demander mais fit semblant de ne rien deviner.
- "Vous avez sire Baden, n'est-ce pas ?" hasarda-t-elle.
- "C'est vrai, mais j'admets avoir envie d'une compagnie plus... enjouée. Sire Baden est un peu trop taciturne... Et puis, vous connaissez bien l'auberge du croisement, vous y êtes allée plusieurs fois depuis mon réveil..."
- "Oui. Vous voulez y aller ? S'il vous faut quelque chose, je peux aller vous le chercher, vous n'avez pas besoin de..."
L'idée de laisser l'Emissaire de Phénix déambuler au milieu des villageois ne lui plaisait guère... Maître Cyril avait été très clair : personne ne devait savoir qu'il était en vie.
- "J'aimerais y aller moi-même, parce que... oh, allez, j'avoue tout..." Il se pencha en avant comme pour lui confier un secret. "Je voudrais trouver d'autres cristaux striés. Cyril m'a dit qu'il y'en avait un peu partout dans Valisthéa, que les gens les prenaient à tort pour des cristaux magiques. Cela me peine tant que de telles sources de savoir soient jetées aux ordures... Il y'en a peut-être à la vente. Cela vaut le coup de chercher !"
Jote se surprit à ressentir une pointe de déception... Elle avait inconsciemment espéré que l'Emissaire voulait simplement passer un moment agréable avec elle... Elle se gifla mentalement pour cette pensée inconvenante tandis que Torgal se répandait littéralement sur ses pieds en laissant échapper quelques bips interrogateurs.
Joshua avait joint les mains et l'observait avec intensité, en attente de sa réponse. Elle ne pouvait refuser quoi que ce soit à ce regard-là... Si elle répondait négativement, cela ne lui coûterait aucune réprobation de sa part - l'Emissaire demandait et n'ordonnait jamais ; mais, au fond d'elle, elle désirait venir avec lui de tout son coeur, même pour chercher des cristaux striés dans les poubelles toute la journée, s'il le voulait.
- "Je serais honorée de vous escorter", prononça-t-elle en soupirant de contentement. "Si Maître Cyril est d'accord... Je ne suis qu'une novice, si un danger se présentait..."
- "Vous êtes une fine lame, je l'ai vu."
- "Je suis débutante..."
- "Si nous sommes attaqués par des bandits, vous n'aurez qu'à faire comme à l'entraînement."
Jote porta la main à sa bouche.
- "Oh, pas de panique, je plaisantais ! Il ne va rien nous arriver, j'en suis sûr ! Allons voir Cyril."
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Il ouvrit la marche et la jeune fille le suivit d'un bon pas, restant autant que possible à sa hauteur. Arrivant devant le bureau du Maître, Joshua abaissa sa capuche et entra sans attendre. Cyril, qui avait la tête penchée sur un parchemin, se leva précipitamment, mais comme rien ne pouvait jamais le prendre au dépourvu, il ne laissa rien paraître de sa surprise. Il s'inclina respectueusement.
- "Vous êtes toujours décidé à sortir, comme vous me l'avez signifié hier ?"
- "Tout à fait. Jote viendra avec moi."
Il plaça la jeune fille gênée devant lui. Le Maître posa sur elle un regard sévère.
- "Je m'étais proposé moi-même pour vous escorter...", rappela le Maître. "Jote est une apprentie et elle a à peine commencé ses cours d'escrime. Dans une situation dangereuse, elle ne sera peut-être pas en mesure de..."
- "J'ai confiance en elle", le coupa Joshua, de sa façon habituelle. Il avait tout à fait conscience de cette manie mais ne parvenait pas à s'en défaire. Il devinait presque toujours à l'avance ce que ses interlocuteurs s'apprêtaient à lui dire et il ne pouvait s'empêcher de répondre par anticipation, comme si son esprit travaillait toujours un peu plus vite que celui des autres. "Si un danger se présente, je la protègerais."
Il souleva un pan de sa bure et exposa l'épée pendant à sa hanche.
- "C'est à Jote de vous protéger, Votre Grâce..." Cyril fut persuadé d'avoir déjà eu cette discussion avec lui par le passé...
- "Avec sa magie, nous ne courons aucun risque."
- "Je vous l'ai déjà dit, Votre Grâce, l'utilisation de la magie est proscrite", expliqua de nouveau Cyril avec patience. "Si vous étiez repérés, cela n'apporterait que des problèmes. De plus, le petit bourg grouille de soldats sanbréquois. Ils ne font pas de quartier aux utilisateurs de la magie non marqués. Je suis déjà assez nerveux à l'idée de vous laisser y aller..." Jote et Joshua n'en crurent pas leurs oreilles. "... Promettez-moi au moins de ne pas commettre d'imprudence, si je ne peux vous accompagner moi-même..."
Le Maître était réellement inquiet et cela se révéla suffisamment extraordinaire pour que les deux jeunes gens le prennent au s��rieux.
- "Vous avez ma parole. Si une menace se présente, nous rentrerons en vitesse", assura Joshua.
- "Un dernier rappel. Vous êtes présumé mort, Votre Grâce. J'insiste de nouveau sur ce point : personne ne doit savoir qui vous êtes. Soyez discret et n'échangez avec les villageois qu'en cas de nécessité. Les citoyens de Rosalia ne sont pas prêts pour le retour de leur archiduc. Le pays est affaibli, les ducalistes sont en position de faiblesse, et l'empire fait la loi. Si les Rosaliens apprenaient que vous êtes vivants, cela pourrait générer une véritable révolte contre l'occupant ; qui serait matée dans la violence. Ce pays n'a pas besoin de cela maintenant. Vous n'avez plus d'armée à opposer à l'Empire... Lorsque le moment sera venu, vous pourrez vous révéler au monde dans toute votre force. En attendant, l'ordre des Immortels sera votre bras armé."
Ce moment solennel fut brisé par Torgal qui s'était mis à fureter dans la pièce en balayant toute la zone de son rayon optique.
- "J'ai très bien entendu", approuva Joshua. "Je ne ferais rien qui mettrait en péril la discrétion que vous vous efforcez de conserver pour me protéger. Je vous remercie..."
Ce disant, le jeune homme se débarrassa de sa bure grise et laissa apparaître la tenue rouge et noire que Jote lui avait achetée. Il était déjà prêt à sortir. Cyril se saisit de la robe d'adepte et croisa les bras.
- "Vous aviez une autre demande, Votre Grâce ?"
- "J'envisageais de faire quelques achats peut-être. Il me faudrait de l'argent. Pas beaucoup, je sais que les temps sont durs..."
- "N'ayez aucune inquiétude, la majeure partie de la fortune des Rosfield a été sauvée grâce à la loyauté des trésoriers de votre père. Afin de brouiller les pistes, elle a été dispersée dans nos divers relais, mais reste sous bonne garde. Elle vous revient entièrement et est à votre disposition, l'ordre a l'interdiction absolue de s'en servir pour son usage - à moins que vous ne l'autorisiez. Les Immortels crouleraient-ils sous la plus âpre pauvreté, aucun de nous ne toucherait un gil de votre héritage."
Cyril se dirigea vers son bureau, ouvrit un tiroir grâce à une clef et en sortit une bourse de taille modérée qu'il remit à Joshua. Il avait bel et bien anticipé la demande.
- "Merci", répondit simplement le jeune homme en la fixant à sa ceinture. "Je suis prêt à partir ! Dame Jote, êtes-vous prête également ?"
- "Je dois aller chercher une épée !" s'écria-t-elle.
- "Faisons un crochet par l'armurerie, alors !"
Ils s'inclinèrent devant le Maître et sortirent précipitamment en bousculant au passage deux Immortels qui déambulaient dans les couloirs. La tunique écarlate de l'Emissaire fit se relever toutes les têtes qui croisèrent leur route. Cette couleur si familière, qui ne s'était presque plus vue à Rosalia depuis cinq ans, leur mit du baume au coeur.
Lorsque Jote se fut ceinte d'une épée à son tour, les deux jeunes gens se dirigèrent vers la porte qui débouchait sur les marais, d'un pas plus lent, comme hésitant. Joshua semblait réfléchir à quelque chose, le doigt sur la lèvre inférieure, quand son introspection fut interrompue par Torgal qui sautillait devant eux.
- "Oh non ! Torgal ! Je t'avais oublié !" Il s'agenouilla devant la Sentinelle surexcitée. "Je te l'ai déjà dit ! Tu ne peux pas venir ! Imagine ce qui se passerait si les gens te voyaient !"
Il regarda Jote, quêtant son approbation.
- "C'est vrai, ce n'est pas une bonne idée", approuva-t-elle. "Il arrive que quelques Sentinelles errent dans la nature, sans doute échappées de ruines célestes, j'en ai déjà vues dans les marais. Les gens évitent ces zones la plupart du temps, car elles attaquent à vue tout ce qui se présente. Il n'y a que les courageux qui veulent se procurer des matériaux célestes qui osent s'en approcher. Si une Sentinelle était découverte dans le village, ce serait la panique !"
- "Tu vois, Torgal ? C'est trop dangereux pour toi."
L'arachnide émit un son qui ressemblait fortement à une plainte de déception et se recroquevilla sur elle-même avant de se rouler en boule. Elle resta sur le sol et ne bougea plus, comme fâchée.
- "Hey ! Tu ne vas pas rester là !" Joshua le toucha du bout de sa botte. "Arrête de bouder, tu es dans le passage..."
- "Excusez-moi, Votre Grâce, mais...", se risqua Jote en s'approchant. "Vous croyez vraiment qu'il comprend ce que vous dites ?"
- "Je n'en sais rien moi-même", répondit le garçon en prenant la sphère minérale entre ses bras. "Mais j'ai l'impression qu'il comprend. Il sait très bien obéir en tout cas. Les Célestes devaient communiquer avec les Sentinelles autrement que par la voie informatique..."
- "Informatique ?..."
- "Oui, c'est un système qui permet des transferts d'informations via un réseau de..." Il s'interrompit brusquement. "Enfin, disons que... les Sentinelles doivent aussi obéir à la voix, elles ont sans doute un système de reconnaissance vocale... Il sait même lire, c'est incroyable !"
- "Mais comment fait-il ?" demanda Jote en s'agenouillant.
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Torgal sembla comprendre qu'on parlait de lui et consentit à déplier ses pattes. Joshua le reposa sur le sol.
- "Avec son scanner..." Il réalisa encore une fois que la jeune fille ne comprenait pas la moitié de ce qu'il disait. Il désigna la lentille bleue clignotante. "Son oeil, là. Cela lui permet de détecter et d'analyser presque tout. Je lui ai donné des livres à lire, et il a l'air d'adorer ça ! Il doit stocker les informations dans un disque dur interne..."
Jote était perdue.
- "Je l'ai appris grâce aux cristaux striés. Vous devriez les visionner, c'est vraiment fascinant !"
- "Je vous fais entièrement confiance..."
- "Bon, je vais devoir lui trouver une occupation pendant notre absence. Il fait des bêtises quand il s'ennuie. Voyons... Mmh, oui, peut-être... Il peut se rendre utile... Mmh, Jote, dites-moi, vous connaissez un certain Chadrick ?"
- "Je ne connais pas beaucoup de noms..."
- "Il a à peu près notre âge, et des taches de rousseur, si je me souviens bien... Cela ne vous dit rien ?"
- "Non, désolée..."
- "Allons aux serres pour voir s'il s'y trouve. Il m'a dit qu'il y travaillait, je crois."
- "C'est par ici..."
Les deux jeunes gens, précédés par un Torgal plus enjoué, se glissèrent dans un couloir que Joshua n'avait jamais arpenté. Au bout d'une minute, une forte odeur d'humus envahit les lieux. Après un ultime détour, ils arrivèrent dans une vaste pièce rectangulaire où s'affairaient nombre d'adeptes aux robes tachées d'humidité.
Une brume légère semblait tout envahir et la peau de Joshua se couvrit d'une fine pellicule aqueuse. Levant les yeux en l'air, il vit des cristaux suspendus en l'air, et chacun d'eux exsudait un mince filet l'eau au compte goutte au-dessus de vastes parterres. Ceux-ci étaient garnis de plantation diverses, essentiellement des pantes potagères, mais aussi quelques arbustes fruitiers. La lumière bleutée des bâtiments célestes leur profitait plutôt bien car la récolte était prolifique. De belles tomates bien rouges rutilaient, des poires ventrues et des pommes luisantes pendaient au bout de leurs branches, prêtes à être récoltées. Les plants de salades d'un vert éclatant occupaient la majeure partie de l'espace, mais on y trouvait aussi des poireaux, des concombres et même des pommes de terre. Pas moins de cinq Immortels s'occupaient au quotidien de ce petit univers végétal.
L'un d'eux se porta à leur rencontre et s'inclina devant Joshua. Avant de parler, il agita les doigts vers le plafond et une brise chaude vint balayer les gouttelettes d'eau pour les disperser dans la serre. C'est alors que le jeune homme remarqua la marque noire caractéristique sur sa joue gauche. C'était un Pourvoyeur. Torgal protesta contre la bruine qui venait tremper sa carapace.
- "Sérénissime...", commença-t-il. "C'est un honneur de vous voir ici... Nos cultures se portent à merveille..."
- "C'est fantastique de réussir à faire pousser tout cela ici..." Il se prit presque d'affection pour tous ces fruits et légumes, mais quand son regard tomba sur les plants de carottes, il se rembrunit imperceptiblement. "Je suis venu pour savoir si... Oui, c'est ça ! Sire Chadrick est ici ?"
L'Immortel sembla ne pas comprendre. Joshua lui décrivit alors la personne qu'il cherchait.
- "Je n'avais plus besoin de lui, on l'a fait demander à la bibliothèque depuis hier. Vous l'y trouverez, je suppose."
- "Bien, merci ! Nous allons vous laisser travailler..."
L'adepte cueillit une carotte bien rouge et croqua dedans.
- "Hm, le goût est parfait. Vous les aurez bientôt à votre table, Sérénissime."
Il lui tendit un légume et Joshua s'en saisit en déglutissant.
- "Ooh, je ne manquerais pas d'y goûter !"
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Jote étouffa un fou rire. Ils quittèrent la serre humide et chaude pour retrouver un corridor qui leur parut presque froid. Ils revinrent sur leurs pas pour se diriger vers la bibliothèque. Des allers et venues d'adeptes chargés de livres les obligèrent à s'arrêter à l'entrée. La file de silhouettes encapuchonnées descendait dans le dédale du refuge ; on y déménageait apparemment le contenu de la bibliothèque.
Joshua scruta les visages baissés un à un et aperçut enfin Chadrick. Le garçon croulait sous le poids de plusieurs volumes et faisait tout son possible pour ne pas tout faire tomber. Quand il se rendit compte de la présence de l'Emissaire, il piétina sur place, ne sachant que faire. Joshua l'invita à poser son fardeau un moment et s'éloigna avec lui dans le couloir.
- "Vous êtes très occupé, sire Chadrick ! C'est bien difficile, ce que vous faites."
- "En effet, Votre Grâce ! Nous avons découvert une salle parfaite en bas, et bien plus grande, pour entreposer tous nos livres !" Il soufflait bruyamment car il avait déjà fait le trajet plusieurs fois. "Comme je n'avais plus rien à faire, on m'a réquisitionné..."
- "Je ne voudrais pas que cela soit une charge supplémentaire pour vous, mais..." Il regarda Torgal qui se dandinait devant les Immortels en plein travail, apparemment ravi de toute cette agitation. "Je voudrais aller à l'extérieur, avec dame Jote..." - il montra la jeune fille - "... et je ne peux pas emmener Torgal. Je me demandais si vous pouviez le garder à l'oeil pendant mon absence."
- "Votre Grâce, je ne sais pas si..." On voyait bien que Chadrick répugnait à refuser une demande de l'Emissaire. "Je vais être très occupé alors..."
- "Justement, c'est parfait ! Lui aussi a besoin de rester occupé ! Il pourrait même vous aider ! Ce que vous portez m'a l'air bien lourd !"
Il siffla à l'adresse de Torgal et l'arachnide bondit à ses côtés. Joshua lui montra la pile de livres, et aussitôt la Sentinelle se mit en action. Elle rétracta le dessus de sa tête sphérique, exposant un sommet plat. Quand Joshua y plaça la moitié du chargement, Torgal resta parfaitement immobile sur ses pattes solides, attendant les ordres suivants. Chadrick eut un grand sourire.
- "Vous voyez, il peut porter de lourdes charges", expliqua Joshua. "Et il lit très rapidement. Il vous aidera à ranger les volumes convenablement."
- "Votre Grâce, je... je pense qu'il va m'être utile !"
Joshua se pencha et leva le doigt devant Torgal.
- "Tu écoutes ? Très bien. Tant que je ne suis pas là, tu obéis à sire Chadrick." Il désigna le jeune adepte. "Hmm, laissez-le vous scanner... Il vous reconnaîtra plus facilement à l'avenir."
Chadrick se posta devant la Sentinelle et le rayon bleu l'ausculta des pieds à la tête.
- "Il a enregistré vos données biométriques ! Il vous obéira! Mais si jamais il se comporte mal... vous pouvez le gronder !"
- "Merci ! Bonne journée, Votre Grâce !"
Chadrick se saisit de nouveau de son chargement, réduit de moitié. Il rejoignit la file des adeptes et Torgal trotta à ses côtés avec sa pile de livres sur la tête, sans plus penser à son maître.
Rassuré sur le sort de son compagnon, Joshua était fin prêt pour quitter le refuge cette fois. Ils n'avaient que trop tardé et la journée s'était déjà partiellement écoulée.
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chifourmi · 4 months
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⚠️ TW : TCA, dysmorphophobie. On va parler de mon corps alors les gens sensibles à ce niveau là ne lisez pas svp ⚠️
Et svp les hommes ne commentez pas ce post même si vous voulez être bienveillants et respectueux 🫶🏻 Je voulais partager ma joie de me sentir bien dans mon corps pour celles qui peuvent l'entendre.
Depuis que je prends la pilule, j'ai grossi et j'adore mon corps. J'ai une plus grosse poitrine, elle reste petite mais elle est plus grosse qu'avant. J'ai un peu plus de ventre aussi. J'ai toujours détesté mon buste que je trouvais trop chétif. Ça ne me convenait pas parce que j'avais l'impression que mon buste ne "s'affirmait pas", je ne sais pas comment expliquer. Ce n'était pas vraiment un problème physique mais plutôt psychologique.
Quand je prenais du poids, je prenais tout dans les jambes, les fesses, les hanches. Là j'ai encore pris des hanches mais j'aime bien. J'accepte même mes hip dips. Je ne pensais pas pouvoir dire ça un jour.
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(24/02/2024)
Et je me rends compte que tous les corps sont beaux quand la personne se sent bien dedans. C'est trop beau d'assumer son corps.
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cloud-hoper · 11 months
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(jour 3)
c'est l'italienne la première qui m'a demandé de regarder des photos de moi enfant
classique subterfuge pour tenter de prendre la culpabilité à revers
j'avoue ne pas avoir encore trop pratiqué l'exercice
trop occupée à garder la tête hors de l'eau et à fermer dès que possible les yeux sur mes problèmes
je place sur cette enfant des années de savoir qu'elle ne possède pas encore
je n'arrive pas à me mettre à sa place : cela m'arrache le cœur
comment ai-je pu ne rien dire - oui, tous les jours je me pose la question
mais comment ont-ils pu ne rien voir ?
ceux qui étaient là tout autour
ceux qui ont vu sans comprendre
l'italienne dit qu'on peut tracer sur le visage de l'enfant que j'ai été les violences qu'elles a vécues
ce qui me frappe, c'est que je ne regarde plus l'objectif - mes yeux bleu lagon gardés obstinément baissés
je souris moins à partir de cet âge là
suis toujours plongée dans un livre
à l'écart de la pièce
j'écoute les conversations en catimini
je regarde mes sœurs jouer sans les rejoindre
on a tout mis sur le compte de l'adolescence qui arrivait
j'ai toujours dit que j'avais grandi très vite
que je m'étais retrouvée d'un jour à l'autre avec des hanches, des seins
en réalité j'en ai pris conscience à travers les yeux des hommes
il y avait certainement de ça, oui
l'adolescence
mais peut-être finalement quelque chose d'autre
aussi
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swedesinstockholm · 12 days
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29 mai
c'était nul à narbonne j'ai passé une heure sur mon téléphone à rattraper les nouvelles de la palestine avec un goût désagréable dans la bouche mais je pouvais plus m'arrêter et plus je lisais plus je me sentais mal, et puis j'ai passé l'après-midi à faire la gueule parce que je rentrais dans aucun des 300 pantalons que j'ai essayés, je sais pas ce qui m'a pris de vouloir faire du shopping, ça a fait remonter des souvenirs de l'adolescence boudinée dans des jeans taille basse trop petits en larmes devant le miroir de la cabine d'essayage parce que maman me disait d'aller à la piscine pour perdre du poids, elle me l'a encore dit d'ailleurs, mais la kiné qui me fait le drainage lymphatique m'a dit elle m'a DIT que j'étais gorgée d'eau et que c'était les hormones qui décidaient de tout. j'ai peur que mes cuisses finissent par exploser, à force de se gorger.
la vendeuse du magasin où j'ai essayé quatre jeans voulait pas me croire quand je lui ai dit que je faisais du 42, parce que je portais une robe au genou et qu'elle voyait pas mes cuisses ni mes hanches ni mon ventre. porter des robes règlerait tous mes problèmes mais aujourd'hui j'ai de nouveau constaté que je me sentais plus à l'aise en pantalon. en plus c'était une robe à bretelles et je la portais avec des sandales légèrement compensées, j'arrivais pas à me tenir, c'était trop de féminité d'un coup, je savais pas comment marcher, mon corps pesait une tonne, mes cuisses étaient impossiblement lourdes à porter, j'étais à deux doigts de boiter. alors que hier j'ai marché pendant deux heures au soleil en short de sport et en tongs et tout allait bien. peut être que je devrais juste mettre mon short fila tous les jours de ma vie et laisser tomber l'idée de trouver un pantalon. j'avais envie de dire aux vendeuses non mais c'est pas moi, c'est pas ma faute, j'ai un dérèglement hormonal, c'est de l'eau! comme si les autres gens gros c'était de leur faute. je suis grosse par erreur, tout comme je suis timide par erreur, c'est pas moi tout ça ok? j'ai l'impression d'être le vrai maugrey fol oeil prisonnier tout au fond du coffre fort dans le bureau du faux maugrey fol oeil à la fin de harry potter 4. je suis à la fois le vrai et le faux maugrey fol oeil. je suis ma propre gêolière.
dans la voiture je pensais de nouveau à la sorcière dans kirikou qui est méchante parce qu'elle a une énorme épine plantée dans la colonne vertébrale qui lui fait mal. j'y pense souvent. c'est tellement limpide comme métaphore. je la sens jusqu'au fond de mes os. ou devrais-je dire de mes EAUX. dans un des textes que j'ai écrit ce weekend j'ai écrit je secoue mes eaux, bonjour la fuite, mais à l'oral on sait pas si je dis mes eaux ou mes os. j'ai écrit en anglais ce matin sur la terrasse au soleil tout en écoutant la voisine discuter avec une autre voisine et en incorporant des mots de leur conversation traduits en anglais dans mon texte, ça faisait des années que j'avais plus fait de session d'écriture automatique, c'était bien!
30 mai
hier soir j'ai lu le chapitre sur joseph cornell dans le livre d'olivia laing sur l'art, elle y raconte sa vie d'ermite solitaire qui a vécu toute sa vie avec sa mère et qui était catégorisé outsider artist parce qu'il avait pas d'éducation artistique (il avait commencé des études de je sais plus quoi mais il a abandonné parce qu'il avait pas d'amis et qu'il se sentait trop seul) et parce qu'il vivait en ermite avec sa mère. il allait jamais nulle part alors qu'il avait une passion pour la france ou alors paris je sais plus, alors il voyageait à travers son art comme emily dickinson. il avait des amis mais pas de relation amoureuse donc il était touch starved comme moi mais c'était aussi un gros pervers qui fantasmait sur des adolescentes. il a quand même eu une relation avec yayoi kusama alors qu'elle avait la moitié de son âge mais je crois que ça a pas duré longtemps. son père est mort d'une leucémie quand il était enfant et sa vie est drastiquement passée de joyeuse et pleine d'aventures à morne et monotone. quand je vois tout ce qu'on a en commun (sauf que moi c'était pas vraiment drastique et aussi je suis pas une perverse je me contente d'être une psychopathe) j'ai très peur pour mon destin. que ça change jamais je veux dire.
ce matin j'ai de nouveau fait une grande promenade de deux heures en passant deux fois par le chantier naval pour admirer mon héros en combinaison de travail bleue qui pilote le truc qui transporte les bateaux de l'eau à la route, c'est toujours le même, il est un peu vieux et il a beaucoup d'énergie et de dextérité pour faire les créneaux debout au volant de son gigantesque soulève-bateau en métal. à chaque fois que je passe je m'assois dans un coin et je l'observe, émerveillée, admirative. et puis ce matin en repassant un des hommes attroupés autour du bateau s'est retourné pour me regarder, sans doute en train de se dire encore elle est là celle-là? et j'avais envie qu'un marin tombe amoureux de moi et m'emmène sur son bateau, ou mieux, une marine. une louve de mer avec des cheveux poivre et sel. jodie foster dans nyad. p. e. a des amis qui ont un bateau et ça fait deux fois que je vois des vidéos où ils carènent le bateau avant de partir en traversée et on voit p. à moitié endormie dans sa couchette et je crois qu'on voit le type que j'avais vu dans ses bras à la soirée au pantin avec son gros pull irlandais, pourquoi cette fille vit tous mes rêves à ma place? dire que j'ai failli mourir de chagrin parce que j'ai cru pendant deux secondes qu'elle sortait avec r., mais non, elle a trouvé bien mieux, un MARIN.
1er juin
avant de me lever ce matin j'avais une énième conversation imaginaire avec r. dans ma tête, c'était celle où je raconte mon historique amoureux, quand je suis devenue lesbienne, ou bi puis lesbienne puis bi etc, pourquoi j'ai jamais eu de relation amoureuse, enfin pourquoi j'en sais rien mais je lui raconte toutes mes petites histoires, je sais pas pourquoi j'adore avoir la conversation imaginaire de mon historique amoureux avec des gens dans ma tête, ça doit me délivrer du poids du mensonge ou un truc comme ça, pas du mensonge mais du non-dit, du tabou, du silence triste. même si ça reste un monologue à l'intérieur de ma tête. le fait de tout mettre à plat, de tout énumérer, de dire les choses comme elles sont, comme elles se sont passées, ça m'aide à le normaliser. à normaliser ma non-vie amoureuse. à la rendre plus humaine et rationnelle, par opposition à monstrueuse et insurmontable. et donc j'en étais là à raconter l'histoire de l'homme russe marié qui m'a embrassée le dernier jour de mon séjour à la clinique psychosomatique en allemagne et puis celle de ludvig le suédois rencontré à reykjavik lors de son concert d'acid techno gospel et que je suis allée voir chez lui au quasi cercle polaire et je me disais que j'aimais bien ma vie quand même, bien qu'elle soit un peu nulle, parce que c'est la mienne.
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wubblesred · 1 month
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Ghoulcy week day 1 NSFW
Bonjour, cette fois on se retrouve avec le thème NSFW du jour 1. Ce thème est Proximité Forcée. Personne mineure ne pas interagir merci. J'espère que ça vous plaira. Cette histoire est aussi poster en anglais sur mon compte. Bonne lecture.
De toutes les merdes qui pouvaient leur arriver, il fallait que ce soit celle-là. Cooper s'était fait avoir comme un bleu, deux cents ans à parcourir ces terres, à connaître toutes leur magouilles tout ça balayer par Lucy foutu MacLean et son foutu cœur d’artichaut. Il lui avait dit qu'elle faisait une connerie en allant aider ces gens, qu'il y avait un truc pas net dans leur histoire mais non mademoiselle avait insister et il n'allait pas la laisser y aller seule. La petite tueuse était devenue une obsession pour lui au départ pour finir par devenir quelqu'un d'important pour lui depuis qu'ils voyageait ensemble, il ne lui avouerait pas cela bien sûr. Bon sang comment allait-il tenir en étant attaché à elle ainsi ?
Cooper allait la tuer c'était sûr. Ils commençaient enfin à se faire confiance, à échanger à propos de leur passé, de leur vie et comme une débile elle avait tout envoyé valser. Il lui avait pourtant prévenu de ne pas suivre ces gens et les aider mais non elle n'en avait fait qu'à sa tête et les voilà maintenant kidnappé et attaché. D'ailleurs qui attachait les gens ainsi, la goule était ligoté à une chaise tandis que Lucy avait été positionnée assise sur ses genoux ligoté à l'homme. C'était une posture fort embarrassante surtout au vu des réactions de son corps. Elle se souvient avec effroi des rires de ces sadiques à leur réveil, ils avaient pris sa réaction indignée pour du dégoût envers son camarade et s'était moqué qu'elle servirait bientôt de repas pour goule, apparemment tout ce que méritait une « pétasse qui kiffe la chair décomposée » dans son genre. Il fallait absolument qu'elle les sorte de cette situation avant qu'il ne comprenne que c'est tout sauf du dégoût qu'elle ressent. Elle commença donc à se dandiner en avant et en arrière afin de délier leur liens.
« Lucy » Entendit-elle grogner à son oreille. « Arrête de bouger ainsi par pitié. »
L'utilisation de son prénom ainsi que l'intonation de la voix de l'homme l'a fit se stopper d'un coup. La frustration la gagna quand même, ils ne pouvaient rester ainsi donc autant qu'ils travaillent ensemble, c'était sûrement leur seule chance.
« On doit trouver un moyen de se libérer. Si on travaille ensemble, on pourra y arriver. »
« Et ta solution c'est de te frotter à moi ? Crois-moi, petite tueuse, ça créera quelque chose mais certainement pas ta solution. »
« Hein ? Ça n'a pas de sens. Et puis moi au moins j'essaie de nous trouver une solution. »
Un coup de hanche provenant de la goule colla leur deux bassins. Tout en expirant un soupir de surprise, Lucy senti l'entrejambe dur de Cooper contre la sienne.
« Maintenant tu comprends le sens, poupée ? »
Tout s'embrouillait dans l'esprit de la jeune femme, elle savait qu'elle était prisonnière tout comme lui et qu'ils devaient se dégager de ce problème au plus vite mais ce coup de rein avait embraser ses sens et elle en voulait plus. Elle savait que c'était profiter de la situation si elle répondait à cette action, l'homme avait probablement eu une réaction naturelle et ne ressentait pas ce qu'elle ressentait. Cependant l'habitante d'abri n'en pouvait plus, elle avait déjà été attirer par Cooper en voyant ses films avec son père alors quand elle a mieux connu la goule et qui il était, son béguin était revenu et les voilà à présent lier l'un contre l'autre, leur souffle se mélangeant l'un à l'autre. La brune décida de lâcher prise, tant pis pour les conséquences, elle ferait l’égoïste, elle avait besoin de Cooper, un mouvement de sa part avait réussi à lui faire perdre pied, elle se demanda si il lui en accordera d'autres. Une seule façon de le savoir et Lucy tenta sa chance. Elle voulu commencer doucement mais son désir pris le dessus et les mouvements sensuels qu'elle voulait faire devinrent rapidement des balancement désespérés. L'homme face à elle était figé, elle qui aurait voulu que celui-ci prenne le contrôle et la fasse encore plus vibrer, ça avait l'air d'être loupé. Tant pis, la jeune femme était parti trop loin pour s'arrêter maintenant, elle assumerait les conséquences plus tard.
« Cooper » Ne put-elle s'empêcher de gémir tout en essayant de chasser son plaisir dans ses mouvements contre l'homme.
Ce son sut débloquer la goule qui commença à répondre aux avances de la jeune femme. Lucy foutu MacLean, comme si c'était pas assez de lui avoir fait ressentir de nouveau du désir et des sentiments après deux cents ans de simple pure vengeance, non il fallait que la brune éprouve le même appétit sexuel que lui. Pourtant, en la voyant et l'entendant prendre son plaisir, Cooper se dit que cela valait bien deux siècles d'attente. Il maudissait leur situation, il voulait pouvoir la toucher, la déshabiller et se perdre en elle sans qu'il n'y ait personne autour. Cette femme n'était et ne devrait être qu'à lui. Rien à foutre de son père ou de l'autre débile en armure avec qui elle était, il lui ferait oublier jusqu'à ce que seul lui ne réside dans son cœur, dans son corps. Si seulement ils n'étaient pas ligotés, ce qu'il ferait subir à son corps, si la jeune femme était déjà dans cet état rien qu'avec des frottements de bassins, il l'enverrait toucher les étoiles avec le bout de ses doigts.
Lucy devenait de plus en plus frustrée malgré la réponse de l'homme contre elle. Elle voulait qu'il la possède entièrement, personne ne l'avait jamais fait ressentir ainsi. Pas même Monty ou Maximus. Elle était déjà complètement trempée mais ce n'était pas assez, elle désirait ses mains, sa bouche sur elle, que leur corps ne fasse plus qu'un. Elle tenta à nouveau de se débattre contre leur liens mais ce fut un nouvel échec ce qui la poussa un lâcher un sanglot de frustration.
« Lucy... Lucy... Détends-toi... Continue de bouger contre moi, fais-toi plaisir, poupée. »
« C'est pas assez... Coop... J'en veux plus. » Gémit-elle.
« Ah oui ? Je ne te donne pas assez de plaisir ainsi ? » Ricana la goule
« Nooon. »
Ressentant la même frustration que Lucy, l'homme lui ordonna de se préparer à l'impact avant de propulser en arrière brisant la chaise en bois dans la collision. Quand ce fut fait, il enleva leur liens desserrer et plaqua la femme contre le sol. Il l'embrassa à perdre haleine tout en abaissant la tirette de sa combinaison. Ses mains s'insinuèrent dans celle-ci laissant une traînée de frissons sur le corps de l'habitante d'abri. Cette dernière rendit avec autant d'émotion le baiser et aida Cooper à la déshabiller tout en retirant après son manteau et sa chemise. Une des mains de l'homme finit sa course dans les sous-vêtements de Lucy, ses doigts glissant lentement contre ses lèvres, frôlant son entrée sans jamais y pénétré dans le but de titiller sa douce camarade pour la punir de ces derniers jours où il aurait pu l'avoir sans le savoir. Néanmoins un seul regard vers le sien empli de larmes le poussa à entrer son doigt en elle, son pouce venant se poser sur son clitoris où il imposa un mouvement circulaire pour lui faire perdre de plus en plus pied. Lucy n'avait jamais été aussi belle qu'en cet instant, perdue dans le plaisir, Cooper avait penser que la jeune femme fut sublime devant le Super Duper Mart mais ce ne fut rien face à la beauté qu'il avait face à lui.
Lucy n'avait jamais senti autant de plaisir, c'était comme si Cooper et elle étaient connectés. L'homme venait touché les endroits qui lui procuraient le plus de sensations, les allers et retours de ses doigts en elle lui faisait perdre la tête. Trois doigts dorénavant entrait et sortait de son corps afin de la préparer à recevoir le sexe de Cooper. Elle le voulait tellement, elle s'impatientait même, elle souhaitait ne faire qu'un avec celui qui lui faisait ressentir autant de sentiments. Ses mains cherchèrent son compagnon pour l'attirer à elle et lui murmurer qu'elle le désirait en elle. Comportement qui fit rire ce dernier mais il accéda tout de même à la demande de sa belle. Le plaisir qu'elle ressentit quand leur corps furent enfin lié fut tellement intense qu'il lui donna un orgasme.
Après plus de deux cents ans sans coucher avec quelqu'un, Cooper revivait en allant et venant en Lucy. Sa petite tueuse était vraiment un cadeau venu du ciel, ciel qu'il pensait l'avoir abandonné et qui était revenu tout lui donner. Une piste pour retrouver sa fille et Lucy MacLean pour venir raviver son cœur et panser ses plaies. Son corps et ses gémissements étaient divins et malgré qu'elle soit déjà venu une fois, la goule voulait encore lui donner des orgasmes. Que ces vas et viens leur fasse atteindre ensemble le septième ciel. Que cette première fois soit mémorable au point d'oublier les autres et qu'elle continue d'être à lui. Sentant le plaisir monter davantage en lui, Cooper accéléra ses mouvements et amena à nouveau sa main vers le sexe de la jeune femme pour stimuler son clitoris et leur faire atteindre ensemble l'orgasme. Le moment étant imminent pour tout les deux, l'homme repris possession de la bouche de sa compagne, il voulait que chaque gémissements et sons de Lucy aille jusqu'au plus profond de son âme. Celle qu'il pensait perdue jusqu'à ce que l'habitante d'abri vienne la raviver et la garder pour elle parce que Cooper, même si il n'oserait jamais lui dire, savait qu'il appartenait à cette femme. Et il voulait qu'elle lui appartienne en retour pensa-t-il avant de se répandre en elle.
Les deux individus ne s'étaient pas encore détacher l'un de l'autre malgré les minutes qui furent écoulées depuis leur jouissances. Ils ne voulaient pas briser leur moment et séparer leur corps qui s’emboîtaient si bien. Durant leur plaisir, ils n'entendirent pas les cris de douleur de leur ravisseurs ni les bruits de luttes qui avait eu lieu dans la pièce d'à côté. Leur surprise fut donc grande quand la porte s'ouvrit non pas pour montrer leur geôliers mais la silhouette d'une goule femelle. Cooper s'empressa de couvrir Lucy avec son manteau tout en la plaçant derrière lui.
« Eh ben on s'amuse bien le vieux. » Fit la goule que Cooper reconnu comme Camille, une habitante d'un village de goule dans lequel il avait déjà résider quelques fois. Camille était ce que Lucy considérerait comme une « amie ».
« Oh ferme là Camille. » Cracha l'homme
« Drôle de façon de remercier la personne qui vous a sauvé pendant que vous preniez votre pied. Aller rhabillez vous, tu pourras m'expliquer en chemin comment t'en ai venu à te taper une peau douce le vieux et elle pourra avoir une dose de RadAway. » Dit la goule avant de sortir de la pièce en sifflotant.
Malgré la gêne qu'elle ressentait, Lucy apprécia la douceur dans les gestes de l'homme pendant qu'il l'aidait à s'habiller. Quand ils furent prêts et debout, Cooper attira la jeune femme à lui pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres avant de prendre sa main et l'amener en dehors du bâtiment. Cette action fit sourire Lucy, ils étaient peut-être fort atypiques et un couple que beaucoup n'auraient pas vu venir mais la brune, elle, était de plus en plus persuader qu'ils étaient destiné à être ensemble.
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alicedusstuff · 1 year
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LIKE THE SUN AND THE MOON
Je me sentais juste d’humeur à écrire un truc bête. Donc...voil0. Une petite nouvelle sans but. 
_FRENCH PART_
Cela faisait un moment déjà que Macaque et Wukong s’étaient lancés dans une dispute silencieuse. Ce n’était pas grand chose vraiment; chacun restait juste dans son coin, essayant de son mieux d’ignorer la présence de l’autre pour gagner cette nouvelle guerre ridicule. Macaque aurait pu se contenter de partir, et ne laisser aucune nouvelle pendant des jours; mais il avait décidé que rester là où Wukong pouvait voir qu’il était en colère serait plus amusant. Alors, il boudait au pied de la maison du singe de pierre, essayant de concentrer son regard sur MK pour ne pas croiser le regard de Wukong.  Pour Wukong; ce fut plus simple; ou du moins, MK aurait pensé que ce serait le cas. Le singe de pierre était occupé à l’entraîner après tout. Mais contre toute attente, les yeux de Wukong n’arrêtaient pas de naturellement chercher à se poser sur la forme de Macaque avant de se détourner au moment où il s’était assuré que ce dernier était toujours là.  L’action était d’autant plus frustrante que le roi n’avait aucun mal à battre son élève alors que son attention n’était clairement pas pleinement porté sur lui. MK laissa l’étouffante situation se dérouler, jusqu’à ce qu’il n’en puisses plus. Il éloigna Wukong de lui avec son bâton; et le claqua violemment sur le sol pour avoir l’attention de ses deux mentors. 
-Quand allez vous faire la paix tous les deux ? Je pensais que vous étiez cool après que l’on ai tout fini avec la dame d’os.
Wukong et Macaque échangèrent un regard que MK intercepta tout de suite; avant que les deux singes ne décident d’éviter le regard de l’autre. MK vibra sur place à cause de la colère; mais essaya d’agir en adulte; et pris une grande inspiration.  -Ok. Très bien. Je ne veux pas vous voir tant que vous n’aurez pas résolu votre problème du jour. -Gamin, attends! Mk n’a pas attendu le roi singe. Il est partit immédiatement après ses mots. S’il ne prenait pas de mesures drastiques; il savait que les deux singes allaient simplement continuer à garder la tension monter jusqu’à ce qu’elle explose. Il valait mieux percer l’abcès de suite.  Le roi singe se tourna vers Macaque en fronçant les sourcils. Il se pencha ensuite, les mains sur les hanches, avant de blâmer le singe de l’ombre pour le départ de son élève. Macaque leva les yeux au ciel. Il n’était pas d’humeur à écouter les idioties de Wukong. Pourtant, son corps de figea de lui même, ses poils se hérissèrent, prêts à se battre avec celui qui l’agressait verbalement; et il gronda en retour. Ce après quoi, Wukong râla de frustration, à ce moment à cours de répartis. Il décida de rentrer chez lui, et passa devant Macaque, en colère.   Macaque le laissa faire. Il ne pensait pas que c’était une bonne idée de suivre le sage en ce moment. Malgré tout, l’avertissement de MK lui revint en tête. Le gamin serait il vraiment capable de refuser de le voir pour une dispute avec Wukong ? Macaque ne voulait pas savoir jusqu’où MK était sincère dans ses mots. Alors, il suivit Wukong à contrecœur, et s’assit sur le canapé, à l’opposé de Wukong. Tous deux avaient cessés de se disputer. Rien n’avait été dit; mais le froid de plus tôt s’était réchauffé.  Cela n’empêchait pas que leur problème était résolu. Bien au contraire; il resterait certainement là encore une éternité. Il était beaucoup plus profond que n’importe quel mal. Ils ne pourraient jamais le réparer.  “du moins, pas tant que Wukong ne le veilles pas.“  Les pupilles de Macaque se posèrent sur Wukong à cette pensée. Et il repensa à pourquoi ils se disputaient en premier lieu. Macaque se demanda pourquoi Wukong l’avait abandonné. Il s’interrogea sur pourquoi le roi singe l’avait tué; et; c’est en connaissant la réponse qu’il leva les yeux vers la télévision.  Wukong surpris le mouvement brusque du coin de l’œil et porta son attention sur Macaque quelques secondes avant de détourner le regard. Lui aussi pensait à se réconcilier avec Macaque. Mais il ne le pouvais tout simplement pas. Il ne l’accepterais jamais. Tout s’était bien passé entre eux ces derniers mois; et Wukong avait pensé que lui et Macaque auraient pu redevenir amis; mais il avait fallu que Macaque lui dise qu’il voulait redevenir un avec Wukong.  La demande l’avait pris de cours. Puis, la peur et la panique s’étaient transformés en colère; et une dispute a éclaté. Wukong n’avais pas pu le supporter. Comment pourrait il jamais refaire un avec son plus vieil ami? Comment Macaque osait il souhaiter le laisser seul à nouveau ? En soit; les deux entités s’étaient séparées depuis si longtemps que cela fait une éternité que Wukong avait oublié que Macaque n’était qu’une partie de lui. Ils avaient vécus si longtemps en tant que deux être à part; toujours avec des opinions opposés; que le roi singe avait oublié d’où venait le singe de l’ombre.  Wukong serra les poings en se rappelant des paroles de Macaque quand il est venu lui demander de refaire un à nouveau . Le singe de l’ombre avait clamé être fatigué de toujours le chercher pour finir par être blessé. Il avait crié à Wukong qu’il ne voulait pas mourir; mais qu’il ne voulait pas non plus continuer leur relation étrange. Alors, il avait demandé à disparaître de la façon la plus simple qu’il connaisse. En ne formant plus qu’un avec Wukong à nouveau. Macaque et Wukong étaient la lune et le soleil; l’ombre et la lumière; des partenaires inséparables; et les deux faces d’une même pièce.  “Deux corps pour un esprit“ avait un jour dit l’empereur de jade. Wukong porta son attention vers l’écran lorsque le personnage principal à se mis à tirer sur quelqu’un. Puis, trouvant la trame du film ennuyeux, reposa son attention sur Macaque.  -Suis je plus inintéressant que le film?  Wukong sursauta quand le reflet de son propre regard de cuivre le regarda fixement. Macaque frappa son pied sur le sien pour le sortir de sa stupeur. - Comme si… Bouda Wukong en retournant les coup de pieds à Macaque. Ils s’amusèrent à se frapper les pieds un moment jusqu’à finalement s’arrêter, satisfait de la façon dont ils avaient mis fin à leur dispute sans avoir à s’expliquer auprès de l’autre. Wukong sourit. Il n’y avait personne qui le comprenait mieux que Macaque. Il n’y avait personne qui l’attirait plus que le singe à la fourrure de jais. Comment pourrait il jamais l’autoriser à le laisser partir ? -On devrait avertir MK qu’on a fait la paix. -Flemme d’aller le chercher.
-Et si on commande des nouilles ?
Macaque souris à la proposition de Wukong, et accepta.
-C’est toi qui payes.
_ENGLISH PART_
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jezatalks · 9 months
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Mon week-end était trop chouette !!!
La copine de mon amie est trop sympa, on a bien papoté.
On était entre neuro à et non-binaires /trans. Du coup on a pu faire du parallèle play, stim, et pu relate sur plein de trucs. Thats the friendship I love. On a bien mangé et rigolé.
On se disait aussi, que si quelqu'un avait la liste de chacun de nos prénoms (Jezebel, Basil, Lillah et Irys), ils auraient été incapables de bien nous nommés. Entre moi, agenre/nonbinaire avec un passing fem (Jez), mon meilleur ami transmasc qui a malheureusement pour lui encore des attributs fem (bientôt la mammec pour Basil 🤞🙏). Lillah punk demigirl lesbienne, et sa copine transfem d'1m85 dont les œstrogènes commencent tout juste à faire effet (love that for her).
Sinon au futuroscope, on a pu "grugé" grâce à la carte d'invalidité difficilement acquise par mon amie. Des gens râlais, évidement. Mais les gros rageux ne veulent sûrement pas de problèmes de hanches/reins/douleurs chroniques. Ni des maladies mentales de mon amie ou nous. Tous ensemble on cumulait : autisme, hypersensibilité, bipolarité borderline, troubles anxieux, trouble de l'attention avec et sans hyperactivité, dyspraxie, épilepsie et la ☆dépression☆
Très contente de mon week-end, on a pu faire presque toutes les attractions deux fois en attendant max 10min. C'était le feu 🔥
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7 mai : initiation
Grosse journée ce dimanche. J’arrive au club pour une journée d’initiation à l’équitation western. On commence avec les chevaux du club et l’après-midi, direction une autre écurie spécialisée dans cette équitation. Bon, j’ai choisi la facilité et j’ai commencé ma journée avec Blue Eyes.
Le problème c’est que nos chevaux ne sont pas tellement éduqués à ces codes, mais on a eu quelques résultats quand même. On a commencé à pied, en codant un "clic" de la langue pour partir au pas, deux pour partir au trot, "whoa" pour s’arrêter, et la mobilisation des hanches et des épaules le plus légèrement possible. Ça marchait plutôt bien avec Blue Eyes, même si C. m’a conseillé de mettre du contact physique ou de faire du bruit avec ma cravache pour travailler sur le côté gauche puisqu’elle ne voit pas. Pourtant, elle bougeait quand même, je ne sais pas si c’est parce qu’elle anticipait après avoir fait l’exercice à droite, ou si peut-être elle distingue un peu les ombres ?
En selle, on continue d’appliquer tous ces codes en essayant d’utiliser surtout les codes vocaux, rênes longues, et pas trop de jambes. Pour marcher au pas et trotter, ça se passait bien, Blue avait même un trot presque trop actif. Par contre, les arrêts n’était pas très précis... et pour la direction, à deux mains ça va encore, mais à une main, j’étais pas très à l’aise. On s’est exercé sur un slalom, et pour ça, on décolle complètement la jambe intérieure et on pousse avec la jambe extérieure, soit tout l’inverse de ce qu’on fait en classique. Ce qui était dur aussi, c’était d’avoir les jambes en avant, les selles ne nous y invitant pas vraiment.
L’après-midi, j’ai fait la connaissance d’une petite QH nommée Chelsea. Très sage au pansage, comme tous les autres chevaux, j’ai eu l’impression. Bon, la selle western est effectivement un peu lourde, mais j’ai réussi à la mettre en place.
Et ensuite, tout le monde dans le manège, où on va travailler sur des choses très simples : déjà, marcher au pas sur un cercle et s’arrêter tous ensemble. On ajoute quelques demi-tours... en poussant les épaules des chevaux vers le pare-bottes ! Et c’est fou, mais ils ont la place de passer, parce qu’ils tournent vraiment sur place ! Pour ce qui est des arrêts, avec une selle adaptée, c’est vraiment beaucoup plus facile et intuitif de pousser les jambes vers l’avant. On a ensuite continué au trot, où je n’ai pas eu de mal à rester au trot assis. Là encore, les allures des chevaux et la conception de la selle font qu’on fait ça assez naturellement.
La difficulté pour moi a surtout été sur le passage du "L" de barres, et encore pire à deux mains. Au pas, j’ai fini par trouver un peu le truc, mais pour le faire au trot, sans rupture d’allure, c’était laborieux, je me sentais un peu nul·le de devoir refaire encore et encore jusqu’à y arriver pendant que tout le monde était arrêté. Pour les problèmes de direction à une main, c’est surtout parce que je me retrouve à tirer avec une jument qui est toute tordue. Donc, plutôt, prendre et relâcher, y aller par étapes.
Et pour finir cette partie, on a testé le galop. Je l’ai fait en gardant les rênes dans les deux mains. Pour le coup, on sent bien la propulsion, je me faisais un peu décapsuler ! Mais c’était assez grisant et je n’ai pas eu de problème à repasser aux allures inférieures.
Ensuite, on a découvert le superbe parc de mountain trail. J’ai trouvé ça vraiment chouette. Chelsea connaissait les exercices, je n’avais plus qu’à me concentrer sur le fait de l’amener correctement devant, et hop. On est restés au pas pour cette découverte, mais j’ai trouvé que c’était génial pour prendre confiance. Je ne doutais pas de Chelsea et du coup tout s’est bien passé, ça fait du bien d’arriver à quelque chose. On est passé sur plusieurs obstacles différents : l’échelle (une ligne courbée où il faut bien contrôler la courbe pour que le cheval ne décide pas de passer en ligne droite au lieu de se fatiguer à lever les pieds), un labyrinthe (je ralentis beaucoup avant le premier tournant pour bien contrôler le poser de tous les pieds et ne pas déborder), une pyramide, un tronc à enjamber, un pont à bascule, la waterbox, le pont roulant, plusieurs gros troncs à enjamber, la rivière, d’autres embûches avec des rondins et des gros cailloux... vraiment sympa !
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homomenhommes · 4 months
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saga : SOUMISSION / DOMINATION 123
Cela va faire un bon moment que je n'ai revu la mère de Jean.
Je sacrifie un matin avant les vacances. Jean m'ayant prévenu que ses ptits clients profitait de leurs propres vacances pour utiliser sa mère un mercredi, je me suis pointé vers 9h30.
Quand j'ai sonné, elle est venue ouvrir. Ça eu l'air de lui faire plaisir car elle m'a violé de suite ! A peine la porte passée, je me suis retrouvé torse nu, collé à elle qui me roulait un patin brûlant. Instinctivement, j'ai mis ma main entre ses cuisses. Sans culotte, j'ai pu tâter direct sa chatte. Mouillée en vrai salope qu'elle est. Je lui demande si elle voit quelqu'un ce matin (connaissant déjà la réponse). Elle me dit " oui, mais c'est pas un problème ". Je bande ! Je lui donne une kpote. Elle me la pose sur la bite avec sa bouche puis se tourne pour me présenter son cul. Elle sait que c'est ce trou que je préfère.
Sans précautions inutiles, je m'enfonce en elle. Ça passe tout seul. Du coup je lui demande si elle se fait enculer souvent. Là, elle me dit que Jean ne lui a laissé que 3 de ses amis mais deux d'entre eux sont copains et viennent ensemble. Au bout d'un moment ils ont trouvés tous seuls qu'ils pouvaient utiliser le même trou en même temps. Ce qui lui a assoupli l'anus !
Je l'encule sur les marches de l'escalier, nous n'avons pas eu le temps d'aller plus loin ! Elle gémit tout en me disant " merci d'être venu ". ;Je me penche et prend ses seins dans mes mains. Ses tétons sont tout raides. Je les pince facilement entre mes doigts. Elle serre son anus par réflexe, ça devient meilleur ! Je continu à les lui tordre. Elle spasme sur ma queue. Mes va et vient deviennent plus difficile, mais c'est encore meilleur d'avoir à forcer. Elle finit par me faire juter. Je lâche ses seins pour attraper ses hanches et me maintient tout au fond d'elle. Je suis en sueur ! je me retire et lui dis d'aller se préparer pour ses jeunes clients, moi je vais dans la chambre de Jean me laver.
J'ai juste le temps de me doucher et de mettre en route le PC de Jean que les ptits mecs arrivent. Le bourge et son copain. Ce dernier n'a pas l'air de lui en vouloir d'avoir été enculé la première fois (cf. SD 92). Elle va les chercher à la porte et je les vois apparaître dans la maison de la piscine. Elle devant, la jupe relevée derrière, avec la main du bourge entre les fesses. Il l'a pousse pour la faire tomber sur la pile de matelas de piscine. Elle se déshabille. Y'a pas grand chose à retirer, une jupe et un chemisier que le bourge lui arrache faisant jaillir ses gros seins. Les deux ptits mâles se mettent nus. Ils sont pas mal dans le genre pas épais. Du coup leurs bites font assez grosses. Je vois que le bourge se rase les couilles et taille le reste. L'autre est totalement rasé. Ils se jettent sur la meuf.... ; J'abrège, mais ils finissent en enfilade, Le rasé dans le cul de la meuf et le bourge dans le cul de son pote. A ce que j'ai pu voir, le rasé s'y est mis et apprécie la chose. J'ai bien l'impression que c'est ce qu'apprécie le plus le bourge ! D'enculer son pote. A croire que la mère de Jean n'est là que pour arriver à cette position.
Je rebande depuis déjà pas mal de temps. Sans réfléchir, je descends de la chambre et j'ouvre la porte. Je prends 3 photos du bourge entrain de sodomiser son pote. Ils n'ont pas le temps de réagir que je déclare " alors ma salope, tu as trouvé de la relève ". Ils se déboitent et debout devant moi s'excusent. Ce sont deux petits gabarits et en cuir noir j'impressionne ! ;J'ouvre ma combi et sort mon service trois pièces. Ils ne comprennent pas ! Je chope le bourge par la nuque et le pousse à genou devant moi. Il a un mouvement de recul que je jugule d'une main ferme. Je secoue mon portable dans l'autre main en disant " photos ". Je le vois réfléchir 2 secondes puis il ouvre grand la bouche pour que je m'y enfonce dedans. Il me tète, essaye de prendre toute ma longueur mais s'étrangle avec. Il se calme, tournant bien sa langue sur mon gland. Je le félicite, en faisant la constatation qu'il n'en est pas à sa première pipe. Il retire mon morceau de sa bouche et se récrie que non ! C'est sa première pipe. Normalement c'est lui qui se fait sucer par son copain. L'autre n'ayant pas bougé, je lui dis de s'agenouiller à coté de son pote. Je lui présente ma bite. Il ne se pose pas de question et m'avale pas complètement Mais plus que son pote. J'arrive sans le faire vomir à passer mon gland derrière sa glotte. Je reviens au bourge, lui remet ma queue dans sa bouche et enfonce. Quand je bute sur sa luette, je lui ordonne d'avaler. Il m'obéit et j'enfonce mon gland. Il tousse et me recrache. Je lui mets un claque. Il ne s'y attendait pas et j'en profite pour m'enfoncer une nouvelle fois au delà de sa bouche. Il me vomit de nouveau. J'appelle la mère de Jean qui me regardait faire. Je lui dis d'ouvrir la bouche et m'enfonce jusqu'aux couilles devant leurs yeux, en même temps j'explique. Je ressaye mon bourge, ça passe toujours pas ! Aux grands maux les grands moyens. Je le relève, le fais se coucher dos sur la table en tek et le tire sur le bord jusqu'à ce que sa tête dépasse. Là je la pousse en arrière alignant ainsi bouche et gorge. Je m'enfonce de nouveau et là je rentre entier. Il tousse encore un peu mais je lui bloque la tête et ça passe. Je lui ordonne d'avaler, c'est mieux ! Son copain à nous voir, se place au coté de son pote sur la table. Il en veut aussi. Je dis à la mère de Jean de les sucer, ils le méritent bien !
Je passe donc d'une bouche à l'autre jusqu'à ce que tous les deux me prennent facilement dans leurs gorges. Entre temps j'ai demandé à la meuf de bouffer le cul du bourge. Sa tête tenue ferme entre mes mains, mon gland dans sa gorge, il a juste eu un mouvement de recul (qui a fait enfoncer mon gland encore plus profond !) puis s'est laissé faire. Je sais comme elle sait bien bouffer un oignon, bientôt il sera à point ! Comme les deux ptits mecs ont l'air d'avoir bien compris, je m'écarte et leur dis de se mettre en 69. Je veux le bourge sur le dos, comme ça son cul sera à la bonne hauteur. C'est donc son pote qui vient à 4 pattes au dessus. Je leur dis de se bouffer la tige. Forts de leurs nouvelles expériences, ils se tètent à fond. Je me kpote et elle me graisse la tige. Je sors un flacon de poppers, me penche et fait sniffer ma prochaine victime. Je le vois rougir puis se jeter encore plus sur la queue de son pote. J'attends 1 mn et son trou palpite. Je pose mon gland dessus et m'enfonce inexorablement. Malgré le bâillon fait par la bite du copain, il gémit tout pendant la pénétration. Je ne cale pas et j'enfonce jusqu'aux couilles. Même sous poppers que c'est bon un petit trou vierge !!
Je me retire complètement. J'attends un peu que son trou se referme et recommence. Trop bon ! Je demande à la mère de Jean de prendre quelques photos de nous trois (en plus du film sur le PC de Jean) ça devrait me les mettre à ma disposition ces deux ptits cons ! Surtout le bourge. Très excité je finis par ne plus pouvoir me retenir, le plan, plus l'anus biens serré que je perfore ont raison de ma résistance et j'ai juste le temps de sortir et de dékpoter avant de juter sur les cheveux du pote. Ils sont dans le même état et alors que le bourge jute sur les joues de son copain, lui, bloqué dessous se fait gaver. Le jus déborde de sa bouche. J'ai juste le temps de récupérer mon portable pour immortaliser la chose ! Je renvois la mère de Jean, car nous devons discuter entre mec !
Ils sont anéanti mes nouvelles recrues (qui ne le savent pas encore). Je les laisse reprendre leurs esprits et tous les trois nous nous entassons sous la douche (ça va elle est quand même faite pour deux !). Le plus sonné est le bourge. Je le savonne et il ne se " réveille " vraiment que quand je rentre un doigt plein de savon dans l'anus.
Il attend que nous soyons sortis et secs pour venir vers moi et me dire que c'était pas son truc les mecs. Je prends mon portable et en lui faisant défiler les photos, je lui ai demandé si c'était les photos d'un mec qui détestait ça ? La dernière où on le voit la bite de son pote dans la bouche et avec du sperme qui coule au coin des lèvres l'achève. Il se prend la tête dans les mains et me demande ce que je veux. Il a vite compris.
Je lui dis que je ne veux que du plaisir partagé. J'aime ça, il aime ça et son copain aussi donc y'a pas de mal à se faire plaisir. Nous nous rhabillons. Je leur demande comment ils sont libres. Le bourge me répond qu'il part dans 3 jours à la montagne avec ses parents mais sera là tous le mois d'aout. J'ai envie de leur faire tâter du donjon et de la queue de Marc. Je leur ordonne de venir le vendredi avant leur départ.
IIs se pointent le jour dit vers 17h30. Cela me laisse le temps de les préparer avant l'arrivée de Marc. ;Dès qu'ils sont sortis de voiture, je les fais entrer au donjon. Ils sont émerveillés par le matériel et l'allure générale. Sans problème ils se dénudent (juste un short et un t-shirt ;) je fais de même et les entraine aux douches. Ils sont sciés par ce qu'ils voient. Douche normale puis à leur questionnement sur les flexibles supplémentaires à canules, je leur apprends les " lavements ". Nous ne cessons que quand l'eau ressort aussi pure de nos trois cul qu'elle est entrée. Le Sling est l'appareil qui me permet le plus facilement de les préparer. Je les pose donc chacun sur un sling et leur attache les membres. Appréhension du bourge. Je les calme et leur promet que du plaisir.
Je m'attaque à leurs rondelles. Juste ce qu'il faut. Je graisse, masse et ne fait pénétrer que deux doigts. Faut pas se gâcher le plaisir de bien les ouvrir avec la queue. J'ai juste le temps de vérifié qu'ils avaient bien retenu les leçons de pipe avant que Marc ne nous rejoigne. Le mot laissé sur la porte de la maison l'avait intrigué. Au premier bruit de porte je n'avais laissé que l'éclairage d'entrée, mettant le reste du donjon dans le noir, cachant ainsi les deux nouveaux avec interdiction de parler.
Je le cueillais dès la porte, me collant à lui et lui roulant un patin d'enfer. Puis j'ai glissé à son oreille " cadeaux ". Allumant le spot central tout en éteignant l'entrée, Du noir à surgit la vision de deux corps juvéniles en position de sacrifice.
Je déshabillais Marc et m'aperçu que l'effet voulu était bien là. Ses 22 raides lui collaient aux abdos. Nous nous sommes approchés, j'ai descendu l'éclairage pour les illuminer tout en nous laissant dans le noir. D'une main j'ai caressé la tête du bourge et de deux doigts lui ai ouvert la bouche. Instinctivement, il l'a refermée et ma tété les doigts.
Marc s'est avancé et lui a mis sa bite à la place. Bien élevé, il s'est mis à téter de plus belle. Comme Marc avançait encore, il l'a accepté dans sa gorge, rejetant la tête en arrière de lui même pour faciliter la chose. Marc a apprécié cette nouvelle gorge, presque vierge, qui serrait son gland. Il m'a fait signe de prendre en charge l'autre sling. Cote à cote nous avons bourré les jeunes bouches avides. ;Un échange pour que Marc puisse juger de l'autre corps a notre disposition puis retour au bourge. J'y tenais car il est plus intéressant que son pote. Quand nous leur avons bien fatigué leurs mâchoires, nous sommes passés à l'autre extrémité de leurs tubes digestifs. Kpoté, les glands posés sur leurs anus, Marc a donné le top. Nos mains accrochés à leurs hanches, nous les avons pénétrés en même temps. Ma préparation avait été juste suffisante et Marc comme moi, a bien senti la résistance d'un cul débutant. Même si pour moi c'était moins le cas (depuis des semaines, le miens se faisait enculer par la petite bite de son pote).
Nos ptits enculés non pas tenus longtemps, entre la préparation et l'action, ils se sont lâchés et leurs jus sont venus maculer leurs abdos naissants. Marc et moi avons alors continué jusqu'à notre propre plaisir. s'ils avaient espéré que nous cessions alors, ils s'étaient lourdement trompés. Ce qu'il y avait de bien c'est que leurs petits trous se sont serrés plus. Ils ont eu beau gueuler que c'était bon, que c'était fini, nous nous sommes achevés en eux, réservant nos dernier jets à leurs torses et même leurs visages.
Marc m'a remercié et je l'ai laissé partir avant de détacher les deux recrues et de les pousser sous les douches. J'essuyais quelques reproches notamment que nous ayons continué à les sodomiser alors qu'ils avaient jouit. Je leur disais qu'il fallait qu'ils prennent de la résistance, plus ont attend pour jouir et meilleur c'est. J'ai pris le n° du portable du bourge et le soir même lui envoyait quelques photos tirées de l'enregistrement du donjon. Sur celle ci, on voyait bien les deux enculés mais pas nos visages à Marc et moi. Avec un petit message leur demandant d'être dispo au mois d'août.
JARDINIER
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alimentetasante · 2 years
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Maigrir ou perdre du poids
Bonjour à tous, aujourd'hui j'ai choisi de traiter un sujet qui reviens souvent quand je parle de mon métier : le régime et la perte de poids ! Summer body, presse qui vante les régimes avant l'été... on associe souvent le métier de nutritionniste à la perte de poids et au régime. Bien sur nous accompagnons les gens dans ce domaine mais avant tout pour la santé et me concernant pour principalement la performance des sportifs. Même si j'ai fait un post sur les tendances qui existent, je déteste ce mot "régime" qui est souvent synonyme de privation. A mes yeux l'alimentation peut être à la fois saine et source de plaisir ! Bien sûr, si vous consommez des fast food en quantité et des sodas à volonté en effet les changements risquent d'occasionner au début quelques frustrations je vous l'accorde mais mon défi du quotidien est que ces changements se fassent avec plaisir !
Dernièrement j'ai été contacté par quelqu'un qui m'a demandé de lui faire un programme pour qu'il perde 6 kilos en quelques jours, j'ai refusé car je lui ai expliqué que mon but était
1 - qu'il soit en bonne santé,
2 - que les résultats soient durables,
3 - qu'il ne se blesse pas en faisant son sport parce qu'il était en carence ou en manque d'énergie. Mais il n'en a pas démordu...
Partez toujours d'un principe simple, si vous mettez en place un changement, demandez-vous toujours si vous pouvez le tenir à vie. Si la réponse est non, alors ne le faites pas car votre corps n'aiment pas les changements brutaux, il doit s'adapter, cela prends du temps, et si vous revenez en arrière cela signifie à la fois lui imposer un nouveau changement et à terme revenir au point de départ mais avec les perturbations que vous lui aurez imposé en plus (d'où le fait que les régimes drastiques avant l'été fassent perdre beaucoup de poids d'un coup mais redeviennent d'actualité chaque année car les effets ne sont que de courte durée et souvent délétères pour la santé).
Mais au delà du mot régime, j'aimerai qu'on s'arrête sur le fond du problème : que se passe-t-il dans votre corps ? Oui, pour beaucoup le but ultime est de voir ce chiffre sur notre pire ennemie (la balance) baisser. Mais cela signifie-t-il vraiment quelque chose ? Arrêtons nous donc sur ces deux termes : maigrir ou perdre du poids ?
Perdre du poids signifie faire baisser ce fameux chiffre sur la balance indépendamment de ce qui est perdu = masse grasse, muscle, eau... (et on ne parlera pas ici pour les filles de l'influence des cycles qui peut faire varier ce chiffre d'un jour à l'autre)
Maigrir signifie perdre de la masse grasse ! C'est cela que nous souhaitons non quand nous démarrons un rééquilibrage alimentaire
Mais rappelez vous : le muscle pèse plus lourd que le gras ! En revanche il prend moins de place !! Alors je conseille toujours à mes sportifs qui ont cet objectif de prendre leurs mesures (tour de taille, hanche...) et de regarder cette évolution là ainsi que leur vêtement (ahhhh le test du jean !!). Alors oui à l'alimentation saine mais avec du gout (les épices et aromates sont vos amis) pour maigrir mais non aux pratiques drastiques qui vous feront surement perdre du muscle si vous n'apportez pas ce qu'il faut à votre corps si vous faite du sport à côté ou pourrons vous mettre en danger si elles sont mal accompagnées (abus de protéine et manque d'hydratation par exemple...)
Enfin, méfiez-vous toujours des belles promesses avec des régimes révolutionnaires qui vous promettent des résultats rapides, on ne devient pas marathonien en 2 semaines, là où votre corps en est aujourd'hui vous l'avez engendré depuis parfois des années, alors ne vaut-il pas mieux un peu de patience pour atteindre vos objectifs de la bonne manière ?
A bientôt !!
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 18 : Chaos
-”Mais non, tu déconne meuf ?!”
-”Non j’te jure, c’était… Correct”.
Les deux amies discutaient à la terrasse ombragé d’un café. La première avait de longs cheveux châtains, des yeux clairs maquillés de couleurs, portait un crop top blanc et un short en jeans claire. Ces immenses jmabes se terminait par une paire de sandales à talons haut, elle sirotait un cocktail. Son ami avait de longs cheveux rouges et bouclés, la peau matte, des piercings sur le visgaes, portait un débardeur noir avec un short déchiré noir, qui laissait apparaitre les tatouages sur ces jambes qui se terminaient par une paire de basket. Elle buvait un Coca.
-”Mais Anna, il est monté comme un âne, prévenant, attentif, fais passer tes désirs avant les siens franchement, je sais pas ce qu’il te faut de plus.”
-”Bah non plus, je sais pas à force. Sérieux, je pensais que ça venait de mes partenaires en vrai, c’est peut-être moi le problème.”
-”Mais nan déconne pas, et puis c’est jamais un problème.”
-”Ouais, mais bon, ça me fait chier à force ; en solo, je m’éclate, c’est le déluge, mais avec un mec, nope, c'est… correct.”
-”Ouais bah crois-moi que j’aimerais avoir ta chance hein, parce que sans partenaire j’arrive à rien, et t’a vu les boulets que je me trimballe aujourd’hui ?”
Les deux femmes éclatèrent de rire et partirent sur un long débat sur qui été le pire boulet.  La soirée commençait à tomber. Les verres et les assiettes de tapas s’alignaient désormais sur la petite table. La terrasse était pleine à présent. 
-”Auriane, j’ai envie de faire un truc ce soir, déjà qu’on se voit pas souvent, t’a une idée ?”
Auriane lui sourit :
-”Oh oui, j’ai une idée, et peut-être même la solution à ton petit problème : on va en boite.”
-”Non.”
-”Si ! Viens, on passe vite fait chez moi, je te prête une tenue, et on va s’éclater en boite !”
-”Oui mais… ”
-”C’est moi qui paye.”
-” Ok ! Fallait le dire direct !”. Anna termina d’une traite son verre de rhum-coca et se leva d’un bond.
-”Tu sais quoi, pour l’occasion, t’a même le droit de me maquiller !” Auriane l’attrapa par le bras et les deux femmes quittèrent la terrasse, fendirent la foule, grimpèrent quatre à quatre l’escalier tout en bavardant. En arrivant chez elle, Auriane prit une douche et se prépara rapidement pendant qu’Anna préparait des cocktails avec ce qui trainaient. Anna se prépara à son tour, et apprit une rapide douche, enfila la tenue confectionné par son amie. Elle se maquilla en suivant les conseils de son ami. Pompette, les deux jeunes femmes se remirent en routes bras dessus bras dessous.  Auriane portait une combinaison fluide de couleur corail, avec un décolleté qui lui arrivait quasiment au nombril. Ses cheveux blond était gonflés par la laque, dans un style très 70, qui s’assortissait à merveille avec ces bijoux. Anna portait une paire d’escarpins noirs à clous brillant, une robe noire moulante qui lui arrivait au-dessus des genoux, qui remontait en fuseau et galbait ses formes, et qui s’achevait sur une paire de bretelles fines. Elle avait coiffé ses cheveux en queue de cheval hautes et maquillés ces yeux d’un ombré charbonneux.
Elles arrivèrent devant une boite de nuit, et Auriane la tira à l’intérieur avant qu’elle n’ait le temps de voir quel drapeau flottait à l’entrée. Elle paya le vestiaire et l’entrée, et deux cocktails. Accoudés au bars, les jeunes femmes commençait à danser. Anna se surprit à apprécier la musique trop fortes, et les stroboscopes dans la lumière tamisés. L’ambiance était différente, plus sensuelle, les étoiles devaient être alignées. leur verrres terminés, les deux jeunes femmes rejoignirent la piste de danse. Auriane trouva rapidement un partenaire avec qui entamé une danse plus lascive. Annas’éloigna puor continuer à danser. La musique était à l’opposé de ce qu’elle écoutait d’habitude, mais ce soir, elle se laissait aller. Une main effleura sa hanche. Comme une caresse. Elle se décalla pour se rapprocher de son contact. La main effleura sa taille, ponctuant la musique de ces caresse. Anna se tourna pour voir qui initié ce contact : une femme à la peau métisse se tenait légèrement derrière elle. Elle avait une afro rasé sur les côtés, maintenus en hauteur par un bandana noir. Elle portait un polo chic et un chino noire. Anna aima la manière dont elle l’a regardé. Elle leva ses bras comme une invitation, et se retrouva délicatement prise par la taille par cette inconnue. Elles commencèrent à danser ensemble, se rapprochant de plus en plus, faisant onduler leurs corps à l’unisson. Anna sentait une chaleur étrangère monté en elle. Une énergie brouillonne. Malgré ces escarpins, sa partenaire de danse faisait une tête de plus qu’elle . Elle posa sur sa nuque un baiser qu’il alluma l’énergie qui s’animait en elle. Elle se laissa aller contre sa partenaire, guidant ces mains sur son corps. La boite de nuit n’existait plus. C’était juste elle et elle. Le reste, on s’en fout. Leurs souffles se faisaient court, et la danseuse retourna Anna, l’attrapa par le menton et commença à l’embrasser. Anna lui rendit son baiser, avide. Quelque chose en elle était en train d’imploser. Ce n’était pas son premier baiser lesbien, mais celui-là avait un parfum différent. Ce n’était pas juste un petit bisou, c'était un baiser passion, un baiser dont les lêvres sur les siennes disaient e te désire pour la femme que tu es, dont les caresse sur son corps disait je te trouve si belle que si je te laché, je me briserais. Des dizaines de baisers qui chacun disait un compliment différent. Elle lui sussura dans le creux de l’oreille, cédant à son implosion interne :
-”J’ai envie de toi.” Sa partenaire l’agrippa un peu plus fermement contre elle, l’embrassa avec fougue et lui répondit.
-”Moi aussi.” D’un même mouvement, elle se dirigèrent vers la sortie. Devant le vestiaire et sa file d’attente, elles se dévoraient. Attrapant rapidement son sac, sur le point d’écrire un message à son amie, Anna croisa son regard : Auriane lui sourit ; elle aussi finirait probablement la nuit en bonne compagnie, encadré par deux hommes à la carrure de nageur. Sa partenaire lui attrapa la main et l’embrassa à nouveau.  Elle s’arréta un instant, reprenant son souffle au dehors :
-”Au fait, tu t’appelle comment ?” sa voix était suave, profonde. L’implosion se fit plus grande, plus profonde. Anna mourrait d’envie de l’entendre gémir. Jamais elle n’avait ressenti un tel désir pour un autre être humain.
-”Anna, et toi ?”
-”Mira. On va boire un verre chez moi si tu veux ?”
-”J’habite la rue derrière, c’est peut-être plus proche” répondit Mira en attrapant sa main. 
Bien qu le trajet fut court, les deux femmes ne pouvait retenir l’envie d’être contre l’autre. À peine le pallier de l’appartement franchi, Anna sentit l’implosion se transformer. Tout était en train de basculer, comme son corps sur son canapé lit. Elle perdait pied, aussi vite qu’elles enlevaient leurs vêtements. Chacun des baisers, chacune des caresses créer en elles un millier d’explosions, et alors que leurs corps se collaient, se mêlaient et s’emmêler, elle fut transportée autre part. Emporté par une vague si puissante qu’elle nous déraciment et nous emmènent plus au par delà les étoiles, où seules ces gémissements scintillent, comme un milliard de caresses qui font imploser. Et rien ne pouvaient arrêter ça, chaque instant, elle avait l’impression de mourir de plaisir et chaque instant suivants de renaitre de désir ; Dans le Chaos des corps, elle  découvrait le Chaos du plaisir.
Cette nuit là, Anna comprit qu’elle n’atait pas le problème, elle avait comprit Celui qui dérange son plaisir, et trouver celle qui en voulait toujours plus. 
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Le meilleur hôpital pour l'arthroplastie totale de la hanche en Inde dispose d'une technologie de pointe et utilise les dernières techniques pour fournir des soins de premier ordre aux personnes souffrant de problèmes musculo-squelettiques.
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coachantidouleur · 11 days
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Comment soulager soi-même les douleurs de la hanche ?
Le choix du traitement pour les pathologies de la hanche dépend de la nature et de la gravité de la maladie et du handicap que la douleur ou le problème provoque dans la vie quotidienne. Les traitements conservateurs comme la thérapie SEREQUI sont souvent suffisants et permettent de retrouver mobilité et force. Malgré tout, dans certains cas très rares, une intervention chirurgicale peut être…
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auditionmarcboulet · 13 days
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