#précarité étudiante
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nouzillard · 1 month ago
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Coucou y'a une pétition qui tourne pour généralisé le repas étudiant à 1€ en France. Y'a pas encore beaucoup de signatures et il en faut 100 000 minimum. Si vous êtes français.e ce serait très cool de votre part de signer et sinon vous pouvez partager !
Lien : https://linktr.ee/LouisBoyard
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mirrorontheworld · 2 months ago
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ruemorinpointcom · 19 days ago
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Précarité étudiante
La FECQ et l’UEQ au Saguenay-Lac-Saint-Jean pour renverser le poids de la précarité étudiante Continue reading Précarité étudiante
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thomasgiraudeau · 1 year ago
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makeitinkorea · 3 months ago
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Voici les groupes sur HOW TO MAKE IT IN KOREA !
SPOON CLASS THEORY (la théorie des cuillères) 
Idée selon laquelle les individus d'un pays peuvent être rangés dans différentes classes sociales selon leur patrimoine et leurs revenus. D'après cette théorie, le succès d'une personne dépend entièrement de la famille dans laquelle il est né. WIKIPEDIA
Les différents groupes renvoient à la classe sociale à laquelle appartient votre personnage, selon sa situation financière et son influence. Il s'agit du groupe officiel de votre personnage, c'est-à-dire, le groupe dans lequel les autres joueurs pensent que votre personnage appartient, sans tenir compte de son ou de ses secret(s).
01. DIAMOND SPOON.
Véritables stars de la capitale, souverains non officiels d'un pays qu'ils dominent. Les Diamond Spoon observent avec dédain la roture qui s'entasse au pied de leurs tours de verre. L'argent coule à flot et contribue grandement à leur magnificence, leur suprématie, et leur influence sur les affaires qui rythment la vie de cette ville qui ne dort jamais. Let them eat cake. Successeurs d'une prestigieuse famille à l'éclat indéniable, ils profitent de leur trésor sans se soucier le moins du monde de ceux qui n'ont pas reçu la même bénédiction.
Les Diamond Spoons, cuillère en diamants, sont majoritairement des héritiers de grandes familles (chaebols ou non). Ils représentent 0.1% de la population..Ils sont extrêmement riches (millionnaires à milliardaires), ce qui leur confère énormément de pouvoir et d'influence, à la fois sur l'économie et les affaires du pays.. I
02. GOLDEN SPOON.
L'aisance et l'élégance. Tranquillité et sérénité profonde, loin du tumulte et de l'agitation du monde extérieur. Les billets verts apportent une chaleur réconfortante, rendant le quotidien plus doux et plus agréable. Pour autant, cette opulence n'est pas assez importante pour attirer les vautours des presses. Golden slumbers fill your eyes. Ils sont probablement les âmes les plus tranquilles du pays. Ce sont ceux qui bénéficient d'un confort financier, sans qu'il ne soit question pour eux d'émettre trop d'influence sur les affaires urbaines.
Les Golden Spoons, cuillère en or, font partie des plus aisés du pays. Grâce à leur héritage et parfois (rarement) à leur dur labeur, ils sont riches et représentent moins de 5% de la population. Ils ne sont pas aussi riches que les Diamond Spoon, et ont bien moins de pouvoir et d'influence que les grandes familles de chaebols.
03. STEEL SPOON
Stabilité modérée, travailleurs aux revenus moyens. Ils sont les premiers pions de ce système économique qu'ils subissent, se démenant corps et âme pour atteindre l'aisance et l'harmonie. Ils existent, ils travaillent, ils sont là, et c'est tout. The Quiet Life. Aux yeux des plus riches, leur valeur semble se compter à leur degré de stabilité. Ils ont un toit au-dessus de la tête, de quoi manger, et un peu d'argent de côté pour leur permettre de profiter des plaisirs que la vie peut leur offrir. Jamais ils n'oseraient imaginer dépasser ce modeste train de vie qu'ils pensent si ordinaire ; après tout, ils sont en majorité.
Les Steel Spoons, cuillère en acier, regroupent la classe moyenne de Hanseo. La plupart d'entre eux sont des travailleurs, des familles, et parfois des étudiants. Ils représentent 40 à 60% de la population.
04. WOODEN SPOON
Les oubliés et les déshérités de Hanseo. Ils subissent la misère de leur situation, mais aussi les obstacles que la société leur impose. Ils n'ont jamais consenti à leur condition, et se battent jour et nuit pour résister à cette insuffisance. A working class hero is something to be. Le système les abandonne peut-être, mais eux n'ont jamais oublié leurs rêves ; ils se battront, s'échapperont de cette précarité et feront taire les médisants, ou se complairont dans ce train de vie qui les satisfait peut-être plus que quiconque.
 Les Wooden Spoons, cuillère en bois, représentent la classe la plus défavorisée de Hanseo. Ils regroupent environ 20% de la population.
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rayondelun3 · 2 months ago
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1 heure du matin ; demain je dois retrouver Maelys - elle veut me prendre dans ses bras. Précarité étudiante, il faut tenir sans manger. J'ai beaucoup à étudier et encore plus à lire. Pourvu que je perde l'appétit ou plutôt qu'il grandisse
Et grandisse
Mais pour les livres et mes écrits, pour la musique, pour l'art...
In fine pour la vie.
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lartbygey · 1 year ago
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« SEANCE SEX WORK » - « MEMORY WORK » 
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Ça fait un moment que je veux écrire sur mon passé de TDS (travailleurse du sexe), qui a débuté quand j’étais plus jeune, au lycée plus exactement.
J’hésitais, je ne savais pas par où commencer, principalement parce que j’ai fait un long travail d’oubli sur cette période. J’ai cherché à oublier par rapport aux stigmates associés au fait d’être TDS/pute et parce que c’était plutôt traumatisant haha. Mon moyen d’oubli le plus efficace sur le long terme a été le cannabis. Quotidiennement, pendant des années. Je pense que sans cette addiction ça aurait été plus compliqué à surmonter. Rétrospectivement, je sais aussi que ça m’a apporté une grosse dépression, isolé.e de ma famille, mes ami.es, de tout. J’ai eu honte de moi-même et je suis resté dans un silence honteux très longtemps.
J’ai grandi en banlieue parisienne (93 rpz), d’où je viens, être une pute, c'est la honte. Avoir « une réputation de pute » (faite généralement par des mecs hein) c’était très mal vu. J’ai été TDS/pute, depuis, j’ai fait la paix avec, je comprends un peu mieux ce qui m’a amené à l’être -la précarité- et surtout, je me suis pardonné pour ce que j’ai fait quand j’étais travailleurse du sexe. Le pardon a commencé par le fait d’en parler autour de moi. À mon partenaire qui a été le premier que j’ai tenu au courant. C’était une forme de confiance et de vulnérabilité ultime. Jamais, avant, je n’avais été aussi à l’aise avec quelqu’un pour me livrer. Il a accueilli la nouvelle sans jugement et dans ses bras réconfortants, j’ai pu pleurer toutes les larmes de mon corps. Ensuite, est venue ma psy. Mes copaines. Maintenant, j’essaye d’en parler à tout le monde. De dire, sans honte et assurance, « oui, j’ai été TDS ». C’est à partir de là que j’ai compris que je me libérais d’un poids. Parler, se libérer, se pardonner, écrire. D’où ce texte qui se présente dans un moment particulier de ma vie. Rien de ouf. J’ai juste besoin de me souvenir maintenant. Peut-être pas de tous les détails, c’est une tâche impossible, je pense. J’ai l’impression que c’est un besoin vital qui apporterait des réponses à des questions que je me pose sur moi, sur ma sexualité, sur mon rapport aux autres.
Pour ce travail de mémoire, j’ai eu la très bonne idée d’assister au « Festival Porn sur Mars », un festival de film post porn, qui se tenait un week-end dans un squat à Marseille. Festival autogéré par des personnes queer que je connaissais un peu et qui ont géré.es sur l’organisation et la programmation. Bravo à elleux et mille mercis. Sous l’intitulé « Séance sex work » plusieurs courts-métrages de différent.es auteurices. Celui qui a plus particulièrement retenu mon attention s’appelle « Les Collègues » réalisé par La Grande Horizontale. De quelques minutes, seulement, on y entend des TDS (dont une femme noire) se raconter entre elles des anecdotes drôles sur leurs clients avec en fond des images de performeurses en train de s’embrasser, se caresser, se toucher... C’était beau, léger et très drôle à la fois. Je n’avais jamais vraiment pris ce sujet sous cette angle là auparavant. Pour moi, ça a toujours été un sujet très grave. Déjà je n’en parlais pas donc ça n’existait pas. Ça m’a fait du bien. Ça a permis de dédramatiser énormément les choses. Je suis ressorti de la séance optimiste. Dès ma première barre de rire, j’ai compris que c’était sur ce ton-là que je voulais aborder les choses.
Alors j’ai commencé à me souvenir et à écrire (liste non-exhaustive de mes clients) :
* Paul : il doit avoir 25 ans, pas plus. Il vit et travaille comme surveillant dans une école à Paris. Peut-être qu’il est étudiant en même temps. Il m’accueille dans sa chambre de bonne au dernier étage, toujours quand l’école est vide. On ne baise pas, mais je me rappelle des longues minutes que je passe à lui faire des fellations. On se voit plusieurs fois, 3 ou 4 ou plus. Il ne crache jamais. Les fellations sont longues, interminables (littéralement) et épuisantes (physiquement et mentalement) . Du coup la dernière fois qu’on se voit, j’arrive à le convaincre de me payer sans rien faire. J’ai été malin sur ce coup. J’étais fier(e) de moi. 150 euros sans avoir à sucer pendant des heures.
* Le Chauve : je me souviens de lui car j’avais pris une photo de moi dans son hall d’immeuble. Je me trouvais bien habillé pour l’occasion. Il y a surtout la devanture d’une épicerie avec le prénom de mon exe de l’époque. Ah oui, elle ne savait rien évidemment. La contradiction et l’audace. Le Chauve me fait peur. J’ai peur qu’il m’empoisonne ou qu’il me tue. Dès nos échanges, je sentais qu’il était chelou, mais au final tout se passe bien.
* Le sosie de Booba : ce type là était vraiment vraiment très beau. Le plus beau de mes clients dans mes souvenirs. On s’est vu dans la zone industrielle à côté de chez moi à Aulnay, tard dans la nuit. Même dans le noir ça se voyait qu’il était beau. Je kiffais ça. Tout se passe dans sa voiture. Il est très tard, donc personne aux alentours. Je suis choqué(e) de sa bite car elle est longue et fine. Cho-qué(e). Baiser dans une voiture, c’est pas le top niveau confort, arrêtez de mentir. Encore moins avec une bite aussi longue. On galère, on essaye plusieurs fois, puis on arrête. Je me souviens d’avoir bien rigolé avec lui. Je repars bredouille mais content(e) d’avoir essayé de baiser le sosie de Booba. L’ironie du sort ? Des années plus tard, l’une de mes grandes sœurs organise un pique-nique dans un parc pour ma nièce ou son mari, je ne sais plus. Et bien sûr le sosie de Booba est là, avec femme et enfants, on se voit. Je l’évite tout le long, cho-qué(e) de le reconnaître et qu’il soit là. C’est un des meilleurs potes d’enfance de mon beau-frère. Aujourd’hui encore, je me demande s'il lui en a parlé. (aucune filiation avec Booba)
* Le type à moto : il est venu me chercher à moto, pas très loin de ma cité. Je lui avais donné RDV au rond-point près du Quick/KFC. Histoire qu'on ne nous crame pas. C’était la première fois que je faisais de la moto. Il a essayé de tout bien m’expliquer, mais je galérais un peu. Normal non ? On arrive à Paris, dans un atelier de travail. Déjà, super le lieu pour baiser… Sa bite ne rentre pas, j’avais 0 désir, 0 envie d'être là. Il ne s’énerve pas, mais je sens qu’il est très, très contrarié. J’imagine à sa place. Toute cette route pour finalement ne pas baiser ? J'avoue que j'aurais le seum aussi, haha. Sur le retour, le fait que je sois mal à l’aise en moto le fait clairement chier. Dans les virages, je sens qu’il me donne des petits coups de pieds quand je ne suis pas bien droit(e). Enfoiré. Il me paye quand même et j’en entends plus jamais parler.
* L’agent de Payet (selon lui) : ce monsieur, chauve, propre sur lui, petite chemise/petite cravate me donne RDV dans un hôtel à la Défense. Il ne me dit pas tout de suite qu’il est l’agent de Dimitri Payet. On baise et tout se passe bien d’ailleurs. Je me rappelle qu’il sent bon. C’est après que le sujet Payet entre en jeu (bien vu le jeu de mots). On parle de foot, que j’aimais déjà à l’époque. Il me montre une photo de lui et Payet en m’annonçant être son agent. Dans mes souvenirs, j’étais surpris(e) et je me demandais qu’est ce qu’on foutait à baiser là si il était agent de Payet. L'hôtel n’était pas cheap, mais si c’était vraiment un agent de joueur peut-être qu’il aurait été plus chic. Encore aujourd’hui, j’ai du mal à y croire. Je n’ai jamais tapé sur Google « agent de Payet ». Je garde un bon souvenir de son mensonge/sa vérité.
* Mike le Rasta : même des années après, je n’ai aucune idée de pourquoi je couchais avec Mike le Rasta. Enfin si, l’argent, mais ma dignité ? C’était un régulier pendant une période de grosse dech de clients. Je me souviens du taudis dans lequel il vivait avec ses enfants, de ses longs ongles, de ses joints purs qu’il fumait tout le temps, de la façon dont il gagnait sa thune (il jouait aux échecs en ligne) et surtout qu’il n’arrivait JAMAIS à bander plus de 30 secondes. Bref, pas le meilleur des clients niveau hygiène/confort, mais l’argent était là, et ce, régulièrement. Et vu qu'il ne bandait jamais, c’était tout bénef, j’avoue. Il vivait “Place des Fêtes”, je me vois me taper le looooong escalator. Je me souviens aussi d’avoir fait un bad trip un jour en fumant sur un de ses joints (fallait bien s’évader…) J’ai eu l’audace d’appeler ma mère et mon beau-père pour qu’ils viennent me récupérer à “Place des Fêtes”. Je ne sais pas s’ils auraient accouru plus vite à mon secours s'ils avaient su qu’en fait, j’étais TDS, défoncé(e) dans la street donc en danger… Ils sont venus 1h30 plus tard. Alors que j’étais au bout de ma vie.
Et aussi pas merci pour l’IST Mike.
* Le parano : par où commencer avec lui ? Ce type était complètement fou et avait clairement besoin d’aide. Un peu dur de se souvenir des détails, mais il pensait que son ex-femme complotait contre lui et que tout le monde était de mèche avec elle, moi y compris. Il venait me chercher en voiture à la station Fontenay », sur la ligne du RER A. J’ai toujours en tête le long périple que je faisais pour le retrouver. Il était fou, toutes ses conversations tournaient autour de son ex-femme qui lui voulait du mal. Au bout d’un certain temps, il s’est quand même détendu le cul. Il a commencé à me faire un peu confiance et a compris que je ne faisais pas partie du complot contre lui. Sa baraque était belle et cool. Il y avait les bons dîners qu’il cuisinait, les bons vins, sa table de massage (où on se faisait des massages mutuellement) et de l’argent. Il payait bien.
Voilà.
Ma liste de clients doit être plus longue que ça, je ne sais plus vraiment, mais je suis sûr(e) que le dernier était Mike le Rasta. Après lui, j’ai décidé d’arrêter, j’en avais marre. C’était épuisant de chercher des clients sur Internet pendant des heures, de se vendre, de mentir à tout le monde, tout le temps et c’était trop pesant sur ma santé mentale. J’ai mené une double vie pendant de trop longues années. Il y avait Gilda qui allait en cours, était avec sa famille (tant bien que mal), ses ami.es et Gilda, qui cachait bien sa vie de TDS, qui baiser avec des hommes pour de la thune.
Comment ne pas (en) perdre la tête ?
J’avais de l’argent, ce qui manquait à la maison. Je m’en rappelle, c’est comme ça que j’ai pu financer un voyage scolaire dans le sud de l’Espagne avec mon lycée ou profiter pour m’acheter des trucs pour (sur)vivre… Mais à quel prix ?
J'étais à bout, exténué(e), vidé(e) de toute émotion et de tout repère à la fin.
Ce travail de mémoire a été accompagné par quelques recherches sur les répercussions psychologiques et physiques du travail du sexe sur les TDS. C’est mon côté journaliste d’investigation (et d’universitaire aussi) qui croit mener de grandes enquêtes et a besoin de sources factuelles qui parlent (que je ne citerais pas par pure flemme).
J’ai lu des livres, articles, études sur le sujet, mais je n’ai pas tout compris honnêtement. Trop de mots techniques. Dépersonnalisation, dissociation, stress post-traumatique, anesthésie émotionnelle, effraction sexuelle ou encore décorporalisation sont des termes qui me paraissent bien abstraits pour décrire tout ce que j’ai vécu.
J’ai surtout compris que j'avais traversé quelque chose d’extrêmement violent.
I couldn't help but wonder comment j’en étais arrivé à la prostitution ? Comment j'avais pu passé à l’acte ?
J’ai peut-être un début de réponse avec, par exemple, les actes incestueux intrafamiliaux que j’ai subi plus jeune et ceux que j’ai fait subir à d’autres. Car incesté devient incesteur (pas tout le temps, merci). C’est systémique.
Et il y a aussi la précarité, pierre angulaire de tous mes maux. Mais plus besoin de la présenter. On peut parler donc d’une accumulation de violence sur mon corps, ma personne. Le terreau “parfait” pour le travail du sexe.
Ce qui m'a marqué pendant mes recherches est d’apprendre que la prostitution est l’une des conséquences psychotraumatiques des violences sexuelles subies dans l’enfance. Il y a une corrélation indéniable entre les deux. Même s'il est important de rappeler que toutes les TDS n’ont pas été victimes de violences sexuelles dans leur enfance et que toutes les personnes victimes de violences sexuelles dans leur enfance ne deviennent pas TDS.
Grâce au court-métrage « Les Collègues », j’ai pu aussi constater à quel point j’ai été isolé(e) dans mon expérience de TDS. Sans sécurité et à la merci d’hommes beaucoup plus âgés que moi. J’étais mineur à l’époque. Bien sûr, je mentais sur mon âge, mais il était facile de voir que je n’avais pas 19 ans (l’âge que je prétendais avoir). J’ai commencé le travail du sexe à 16 ou 17 ans, je crois. À aucun moment, ils ne se sont posé de questions ou ils ne m’ont posé de questions. Ça les arrangeait tous.
C’est un métier dangereux aussi, car il repose sur le fait de faire confiance aux hommes. Comment faire confiance aux hommes dans notre société (hétéro)patriarcale ?
Pour conclure, baiser avec des hommes pour survivre a énormément impacté ma vie sexuelle. Et j’en suis encore traumatisé.e.
Au lit, il m’arrive encore d’être passif, anxieux et très inquiet. Comme quand j’étais TDS. J’ai du mal à me détendre. Je me mets beaucoup de pression. J’ai toujours l’impression de devoir performer et de devoir être au top (à défaut d’en être un).
C’est sûr que débuter ma sexualité en étant TDS m’a fucked up. Il m’est arrivé pleins de fois d’avoir des doutes, de remettre en question mon orientation sexuelle.
C’est très difficile à gérer en tant que personne masculine presenting. Avec les attentes qui pèsent sur nous. Les gens qui s’attendent, entre autres, à ce que tu sois “top” ou “l’homme” de la relation. Je ne suis aucune de ces choses.
Maintenant, je suis dans une période de ma vie où le sexe ne m’intéresse plus et c’est ok. J'essaye de mettre cette énergie autre part.
Je suis dans une relation où il n’y a pas une injonction au sexe. On essaye d’être plus à l’écoute l’un de l’autre. J’écoute beacoup plus mes envies, mes besoins et ce que me dit mon corps. Je ne me force plus. Je ne me laisse plus guider par l’ennui qui me fait aller sur des applications et chercher des coups d’un soir. J’ai compris que ça ne servait à rien et que c’était vain.
J'essaye de trouver d’autres moyens d’être intime avec les gens qui m'entourent sans que ça ne passe par le sexe. Mes ami.es comme mes partenaires. C’est possible et c’est beaucoup plus gratifiant pour moi. Cuisiner un repas pour quelqu’un, des câlins, une main sur l’épaule, des paroles rassurantes, des moments de paix en silence, lire/écrire ensemble, faire découvrir des nouveaux sons…
Mais ce long processus de réflexion sur ma vie sexuelle, passé et présente, a été possible parce que j’ai du temps, pour m’ennuyer, pour écrire, pour lire, pour être seul.e avec moi-même sans que ce soit terrifiant, analyser et comprendre ce qui se passe dans ma vie, travailler sur moi, rencontrer des gens qui ont vécu/vivent les mêmes choses que moi, discuter de ces dites choses, prendre soin de moi… J'ai le temps et c'est un luxe. Merci le chômage et merci Marseille qui ont permis au temps de ralentir.
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ortie-pnk · 2 years ago
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Pour défendre leur réforme des retraites, le gouvernement et le patronat visent à faire oublier l’essentiel : c’est bien nous, travailleurs et travailleuses, qui produisons les richesses et faisons tourner la société. Cette attaque est une nouvelle offensive de la bourgeoisie pour condamner l’ensemble du salariat à une exploitation toujours plus longue et insupportable. Revenons en détail sur leurs arguments mensongers, qu’on nous sert en boucle dans les médias…
Une réforme nécessaire ?
D’après le ministre du Travail, notre système de retraite serait en déficit. ❌ FAUX !
Ce n’est pas la justification de la réforme. En 2021 il était même excédentaire de 900 millions d’€ et ce montant dépasserait les 3 milliards pour 2022. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) projette un passage en déficit sur les 25 prochaines années seulement dans 1 scénario sur 4, et avec un retour à l’équilibre pour 2070.
D’après le gouvernement, il faut augmenter la durée de travail pour ne pas baisser les pensions. ❌ FAUX !
La baisse du financement voulue par le gouvernement crée un déficit artificiel. On pourrait au contraire améliorer le financement par l’augmentation des cotisations sur les gros salaires, la cotisation des revenus de l’épargne et du capital, la réduction de l’écart salarial H/F en augmentant les salaires des femmes, la création d’un salaire étudiant, etc. Les alternatives ne manquent pas !
Une réforme urgente ?
D’après le gouvernement, la réforme est une urgence absolue. ❌ FAUX !
Ou alors, seulement pour les capitalistes ! La vraie raison pourrait vous étonner  : Macron lui-même explique que le véritable objectif du gouvement avec cette réforme est de « compenser les baisses d’impôts aux entreprises »…
Le MEDEF répète que nos voisins européens ont tous déjà reculé l’âge de départ, qu’il faut bien s’aligner. ❌ FAUX !
L’âge de départ en France est certes dans la moyenne basse, mais l’âge de départ sans décote, à 67 ans, que subissent les plus fragiles (carrières hachées, etc.) est déjà au niveau des plus élevés d’Europe. Et les retraité·es de ces pays sont encore plus dans la misère.
Une réforme juste ?
La Première ministre dit que la réforme est avantageuse pour les femmes. ❌ FAUX !
En augmentant la durée de cotisation requise, on aggrave la situation pour les femmes. Elle invoque comme raison le maintien de l’âge de départ sans décote à 67 ans, mais la réalité c’est que les pensions des femmes sont toujours 33% inférieures à celles des hommes et la réforme de fait rien pour corriger ça.
Le gouvernement prétend que la réforme avantage les précaires avec un minimum retraite à 1200€ / mois. ❌ FAUX !
La réforme n’apporte rien de positif pour les plus précaires. Ce montant correspond à 85% du SMIC, ce qui est déjà une obligation depuis la réforme de 2003, mais n’a jamais été appliquée ! Par ailleurs, comme le rappellent les organisations syndicales, ce minimum ne concerne que les carrières complètes, et reste en dessous d’un SMIC déjà trop bas.
Une réforme évidente ?
On nous le répète sans arrêt : « comme on vit plus longtemps, il faut travailler plus longtemps ». ❌ FAUX !
Et si on vit plus vieux, c’est justement parce qu’on travaillait moins longtemps ! Sauf que déjà, ça dépend de qui ! L’espérance de vie en bonne santé n’est absolument pas la même pour les cadres et les ouvriers. Un tiers des ouvriers et un quart des employés sont déjà en incapacité à l’âge de la retraite.
La Première ministre affirme que décaler l’âge de départ augmenterait le taux d’emploi des séniors. ❌ FAUX !
C’est en fait surtout une augmentation nette de la précarité ! En pratique, ça augmente encore plus le nombre de séniors au chômage, en invalidité, en maladie longue durée… en particulier chez les catégories les plus populaires, ouvrières et ouvriers.
La retraite ne doit pas être l’antichambre de la mort après une vie consacrée au travail. N’acceptons plus de travailler toujours plus pour les profits de quelques uns. Reprenons le contrôle sur nos vies et notre travail pour que celui-ci devienne émancipateur et utile socialement. Luttons, virons les exploiteurs, et autogérons toute la société !
https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Ne-perdons-pas-notre-vie-a-la-gagner
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toutmontbeliard-com · 5 days ago
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L'Université de Franche-Comté communique : "Engagée pour la défense d’une université publique au service de sa jeunesse et de son territoire, Macha Woronoff, Présidente de l’université de Franche-Comté soutient pleinement l’action inédite initiée par France universités auprès du ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Ce jeudi 21 novembre 2024, les Présidentes et Présidents ont en effet alerté le Ministre sur la situation financière intenable des universités, conséquence des mesures nationales prises par l’État sans qu’elles ne soient compensées. Ils lui ont exprimé tout à la fois leur crainte et leur colère. Ainsi, pour l’Université de Franche-Comté, les mesures salariales ont représenté une charge supplémentaire de 5 millions d’euros depuis 2022. Si le Gouvernement confirmait son intention d’augmenter le Compte d’Affectation Spéciale pension (CAS) et de créer un fonds de solidarité prélevé sur la subvention pour charges de service public (SCSP), c’est un nouveau surcoût estimé à presque 4 millions d’euros qu’il lui faudrait financer sur son budget 2025. Les Présidentes et Présidents ont prévenu le ministre : le Gouvernement doit aujourd’hui assumer les décisions qu’il prend. Les universités ne pourront plus les absorber. Si leurs revendications n’étaient pas prises en compte, l’État prendrait la responsabilité de contraindre les universités à n’avoir d’autres choix que de : baisser les capacités d’accueil sur Parcoursup et donc le nombre de places pour les futurs bacheliers ; fermer des sites universitaires délocalisés ; arrêter la rénovation de son patrimoine immobilier ; réduire le niveau de service, par exemple le nombre de BU. Université de valeurs, l’Université de Franche-Comté regretterait d’être condamnée à dégrader la qualité de ses formations et de sa recherche qui se ferait au détriment de l’avenir de sa jeunesse. En outre, il y a une mesure que la Présidente de l’Université de Franche Comté refuserait de mettre en œuvre : l’augmentation des droits d’inscription ; décision qui serait particulièrement indécente dans une période où les étudiantes et étudiants subissent une grande précarité". Read the full article
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zehub · 5 days ago
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Précarité alimentaire : le gouvernement annonce une aide financière pour les étudiants éloignés des restaurants universitaires
Une carte prépayée d'un montant de 20 à 50 euros sera attribuée à partir de février 2025 à 100 000 étudiants.
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metroactu · 26 days ago
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Le Retard Répété des Bourses d’Études : Une Situation Intenable pour les Étudiants Sénégalais
Le retard des bourses d’études versées par l’État du Sénégal plonge de nombreux étudiants dans une précarité inquiétante. Ce problème récurrent, devenu un sujet de débat national, compromet sérieusement les conditions de vie et de réussite académique de milliers d’étudiants sénégalais. Pour la majorité des étudiants, les bourses d’études représentent le seul soutien financier qui leur permet de…
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gaboninfoslive · 2 months ago
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Gestion ANBG : Vers une Cessation de Paiement ?
C’est l’inquiétude qui alimente plusieurs conversions aussi bien chez les étudiants boursiers que chez les salariés de l’Agence Nationale des Bourses du Gabon (A.N.B.G). La situation dans cet établissement public avec autonomie de gestion plonge ses pensionnaires dans une précarité inédite. La Direction Générale semble ne plus honorer ses engagements. Créée en 2011 par décret n°660/PR du 28…
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plutoisaplanetbitch · 5 months ago
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La précarité étudiante c'est un délire. Si je mange encore des pâtes je me transforme en paquet Panzani.
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thomasgiraudeau · 1 year ago
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Participation au Talk Twitch de franceinfo sur la précarité étudiante
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charlottalaregion · 10 months ago
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Les promesses intenables et non tenues de JO populaires et écolos
Tribune parue le blog de Médiapart le 8 février 2024
En 2017, quand Paris est désignée ville hôte des JO de 2024, elle présente la promesse de jeux écolos, voire même sobres, et de grande fête populaire célébrant l’idéal olympique de paix. Alors que la Ville était dirigée par la gauche socialiste alliée aux écologistes depuis plus de 15 ans, c’était bien le minimum pour donner du sens à cet événement gigantesque, ayant plutôt la réputation de ruiner les villes hôtes que de laisser un héritage autre que celui d’un bilan carbone désastreux et d’une publicité touristique planétaire - publicité dont Paris n’avaient pas particulièrement besoin.
Donc la promesse, c'était une grande rénovation urbaine pour la Seine St Denis, des emplois et logements, une grande cérémonie d’ouverture dans l’espace public, des transports nombreux et gratuits, très peu de constructions de stades et autres équipements qui ne servent qu’aux jeux, et même une neutralité carbone.
En ce début 2024, on découvre que cette promesse initiale a du plomb dans l’aile.
Populaire ? Avec des billets à 500 € pour voir les compétitions, on est loin d’avoir des jeux populaires. Quant à la question du logement, on en est plutôt à battre des records de prix. Au point que bon nombre de propriétaires ont fait le calcul : mieux vaut fuir et louer son logement à 500 € par nuit. Mais tout le monde n’a pas cette “chance”, les locataires eux n’auront pas cette opportunité. Et les étudiants logés au CROUS sont même priés de vider leur chambre ! Sans parler des profits de AirbnB, engendrés précisément là où ses méfaits ont vidé certains quartiers de leurs habitants, là  A l’heure où nombre de personnes dorment dans la rue ou la précarité augmente, les plus riches s'enrichiront. Et les plus pauvres, devront-ils attendre le ruissellement ?
Rénovation urbaine en Seine St Denis ? La construction du village olympique s’est faite au pas de charge, avec des dizaines de milliers de mètres carrés qui ont surgi de terre,  mais avec quelles conséquences pour les habitants du 93 ? Les acquéreurs des logements olympiques créés ne se pressent pas pour acheter, il faut dire qu’à 7000 € du m2 c’est inaccessible pour un smicard. 
Emplois ? La plupart des emplois créés ont été ceux du BTP ou dans la sécurité, donc par essence temporaires et dans certains cas, occupés par des sans-papiers particulièrement vulnérables. Le comité d’organisation fait appel aux bénévoles pour l’encadrement et l’organisation de ces jeux - on ne peut associer le bénévolat à l’emploi, même si certains profiteront de l’expérience et de la formation. Au final, les JO ne créeront que très peu d'emplois durables.
Des transports pour tous et toutes ? Pendant la période des JO, le prix du ticket de métro sera doublé, bien loin de la promesse initiale de transports gratuits pour les visiteurs. En termes de développement de l’offre de transports, nous aurons droit à une extension de la ligne 14 du métro et du RER E (projets qui auraient vu le jour sans les JO), et des fréquences égales à celles durant l’année, soit une saturation vécue quotidiennement par les Franciliens. Pas plus de RER B ou D que d’habitude, pas plus de fiabilité non plus, alors qu’il faudra vider un stade de France plusieurs fois par jour. Par conséquent, les Franciliens contraints de rester à Paris sont priés par le Préfet de télétravailler ou d’éviter les déplacements, pour laisser la place aux milliers de visiteurs. Un petit air de confinement olympique.
Impact environnemental zéro ? En dehors de la bétonisation, on ne peut que déplorer la destruction des jardins ouvriers d'Aubervilliers, la gabegie de la piscine de Taverny, les dégâts causés à Tahiti sur les coraux, le délire des taxis-volants… Plus largement, les JO génèrent un déluge publicitaire peu compatible avec l’écologie : sponsors de la malbouffe et du plastique, surconsommation, dégradation des paysages urbains. En soi, les très grands événements internationaux ne fonctionnent qu’avec un trafic aérien intense, peu compatible avec nos engagements climatiques. La pollution de l’air sera, elle, toujours présente car les restrictions de circulation seront trop minimes pour avoir un impact.
Idéal de paix olympique ? La participation de la Russie, de la Biélorussie montrent qu’on peut bombarder les populations civiles sans être trop privé de jeux. Et les besoins de surveillance et de sécurité vont imposer des restrictions des libertés individuelles sans précédent. Reconnaissance faciale, QR Code, vidéo-surveillance partout, les innovations se multiplieront dans une ambiance de contrôle permanent de la population et de la rue.
En 2017, les écologistes parisiens avaient voté contre les JO, prévoyant certaines de ces dérives. Nous ne sommes pas particulièrement heureux de savoir qu’on avait raison.
En 2024, nous voyons que les Franciliens suivront les jeux sur leurs écrans, que les dégâts sociaux et environnementaux et les expérimentations sur les libertés individuelles resteront. 
Heureusement, le tableau est moins sombre du côté sportif. En particulier pour le handisport. Les jeux de Paris voient déjà leurs effets sur l’inclusivité des clubs qui commencent à accueillir des personnes porteuses de handicap. Le regard change aussi, ce qui est important. Mais le bilan sportif ne pourra être évalué qu’après coup : est-ce les Français seront inspirés par la compétition et décideront de chausser des baskets et d’être moins sédentaires ? Espérons le, car pour beaucoup les jeux olympiques seront juste un spectacle télévisuel. Espérons aussi que des vocations naîtront chez les jeunes et moins jeunes.
Au-delà de cette critique des JO, saine en démocratie, nous voulons bien évidemment aller plus loin politiquement : que faire de ces gigantesques événements mondiaux ? D’abord, ne jamais considérer que leur accueil va de soi : un référendum local est bien le minimum démocratique et ce devrait être un préalable avant toute candidature. Les Ecologistes l'avaient d’ailleurs demandé, en vain, en 2017. Ensuite, la vérité et la transparence devraient être de mise, au moment de faire des promesses. Enfin, nous ne devrions pas nous embarquer avec des organisations qui ne se fixent pas un minimum de règles éthiques, sociales et environnementales. 
Voilà la contribution des écologistes parisiens au débat..
Charlotte Nenner, Antoine Alibert 
Co-secrétaires Les Écologistes EELV Paris
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blogdeedouard · 1 year ago
Text
SÉANCE #14 | Littér’esti numérique
La littéracie numérique est maintenant essentielle pour fonctionner en société. Les services numériques prennent le dessus sur tout ce que nos générations antérieures connaissent. Exemple rapide : la fin du livret de comptes chez Desjardins (https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2023-05-31/fin-du-livret-de-caisse-chez-desjardins/une-perte-de-reperes.php). Payer ses factures de Wifi, de téléphone et même se commander un taxi est de plus en plus compliqué sans application, sans connexion Internet et sans connaissances de l’univers web.
Pour avoir accès à ses messages, il faut confirmer son identité à l’aide d’un cellulaire : comment faire si on n’a pas les moyens d’avoir son propre forfait téléphonique ? Comment un étudiant en situation de précarité financière peut-il se connecter à MonPortail ULaval s’il change de numéro téléphonique de semaine en semaine, puisqu’il achète des minutes à la carte ? Comment accéder à son compte Facebook si on ne peut vérifier son identité puisqu’on a perdu le mot de passe de son e-mail ? Si on s’est fait hack?
L’internet est incubateur de possibilités pour ceux qui ont rejoint le mouvement tôt. Il est un écosystème plein de prédateurs pour ceux qui n’y connaissent rien. Les personnes âgées se font arnaquer plus que quiconque (https://www.ncoa.org/article/top-5-financial-scams-targeting-older-adults). Les jeunes sont victimes de prédateurs sexuels sur des jeux vidéos. (https://abcnews.go.com/US/online-gaming-predators-playground/story?id=16081873) Les jeunes adolescentes sont complexées par les standards de beautés retouchés, irréalistes qui leur sont garrochés en pleine face post après post par leurs algorithmes visant l’accumulation de capital. (https://thevarsity.ca/2023/04/02/opinion-pay-attention-social-medias-algorithm-drives-unhealthy-beauty-standards/)
On pourrait écrire des centaines de pages sur les manières dont l’Internet crée des fractures sociales. Comme tout ce qui est le fruit du capitalisme, il profite à ceux qui savent se servir du système, au désavantage des plus vulnérables.
À l’ère de l’hégémonie du numérique, des algorithmes et à l’aube de la domination de l’IA, avoir une faible littératie numérique est un esti de problème.
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