#police de caractères
Explore tagged Tumblr posts
Text
Thibaut-Marc CAPLAIN vs La mafia amiénoise
Madame, Monsieur, Afin de confirmer l’envoi à la Présidence de la République, vous devez cliquer sur le lien suivant : xxx Sans confirmation de votre part, le message posté sur le site sera effacé sous 72 heures. —L’outil Ecrire au PrésidentPrésidence de la République ========================================================================================================= Voici, pour votre…
#"Au 3ème étage#"Les jouets de vos enfants font trop de bruit"#"On ne devrait pas mélanger les noirs et les blancs"...etc... - j&039;explique en boucle que l&039;appt 31 au 81 rue de l&039;O#Afin de confirmer l’envoi à la Présidence de la République#APPT 31 80000 AMIENS France +33 6 26 32 28 20 Vous êtes un particulier Votre sujet : Faire une demande à caractère personnel Votre message :#avons contesté tous les décisions du Tribunal d&039;Amiens via : - notre Avocat Maître David DALMAZ - l&039;IGPN qui s&039;occupe actuell#ça pu le nègre"#était le lieu de mes studios artistiques Faux expliquer ça en quelle langue ?... Si le Commissariat de Police Nationale d&039;Amiens avait#car : - ma famille a le droit à un logement digne (lire et apprendre : Les droits de l&039;homme) - je ne donnerai pas un centime de plus à#car sur Amiens#chaque année à Amiens#de vidéos et d&039;un dossier d&039;Huissier - j&039;explique en boucle que l&039;appt 21 au 28A rue Jean Moulin à Amiens#du style "Qu&039;en est-ce que votre tribu et vous allez comprendre qu&039;ici c&039;est LES PIERRES BLANCHES ?"#du 28A rue Jean Moulin à Amiens#est un bureau et que l&039;appt 22 au 28A rue Jean Moulin à Amiens#et arrêtaient de gober n&039;importe quoi#et du 81 rue de l&039;Offrande à Amiens ?... Si vous êtes intéressé par ces visites de la réalité#et que c&039;est depuis un bureau aussi - j&039;explique en boucle que le 77 route de Paris à Amiens#il est écrit : "une commission de personnes indues de leurs petites personnes#il y aura autant : - de Vendeurs de sommeil - de Policiers fachos - de Juges douteux - de Commissions tendancieuses ...bah il y aura des pla#il y juste matière à déposer plainte contre vous et vos services#J&039;ai reçu le 27 septembre 2024 par courrier postale#j&039;avais oublié Mme LAVALEE#je déposerai plainte contre vous et votre comité juste anti-droit de l&039;homme et anti-constitutionnel. Tant que sur Amiens#Je reviens vers vous pour la Xème fois#la lettre de trop qui soulève un niveau de conneries humaines inégalable...voir record total sur le territoire de la France ! Cela fait plus#le Commissariat de Police Nationale d&039;Amiens et le Tribunal d&039;Amiens pour faux et usage de faux Ah oui#le contenu du message que vous avez saisi (validation impérative via le lien ci-dessus) Votre identité : Monsieur CAPLAIN Thibaut-Marc Vos c#le message posté sur le site sera effacé sous 72 heures. --- L’outil Ecrire au Président Présidence de la République =======================#les documents...etc... => de nombreux médias hallucinent aussi de l&039;ensemble de ces histoires débiles Là
0 notes
Photo
2024 - 365
1790
3/20
#lours postal#carte postale#police de caractères courier#texte#cachet postal manuel#art postal#mailart#art collaboratif#viatique#noir et blanc#philatélie#affranchissement philatélique#Carré d'Encre
13 notes
·
View notes
Text
Une nouvelle font à tester et adopter pour vos maquettes et projets ! Luciole - Typeface (luciole-vision.com)
"Le caractère Luciole a été pensé autour d'une douzaine de critères de design spécifiques pour offrir la meilleure expérience de lecture possible aux personnes malvoyantes. Un soin particulier a été apporté au dessin des chiffres, des signes mathématiques et de la ponctuation."
Une collaboration entre le Centre Technique Régional pour la Déficience Visuelle et le studio typographies.fr.
Très beau projet et très belle police!
50 notes
·
View notes
Text
«Pourquoi brûlent-ils des écoles ?» par Laurence de Cock
Les plus empathiques parlent d’autodestruction. Les jeunes se saboteraient eux-mêmes. Mais dans la droite la plus extrême et dans certains médias d’information continue, on profite de ces actes, cette « violence aveugle », pour tourner en boucle sur la sauvagerie des jeunes, ces « nuisibles », comme les qualifient les syndicats UNSA-Police et Alliance réunis dans un infâme et séditieux communiqué. On fustige leur absence de scrupules et on voit bien là la preuve du caractère apolitique de leur colère. Ils n’attendaient que ça, disent-ils, piller et mettre le feu.
Les écoles, lieux d’injustice sociale
Mais pourquoi brûlent-ils des écoles ? La question ne se pose pas pour la première fois. En novembre 2005, cela avait déjà interpelé car 255 établissements scolaires avaient été touchés. Pour Laurent Ott, éducateur et pédagogue social, dans les quartiers populaires, depuis longtemps, les écoles incarnent le lieu de l’injustice sociale, et beaucoup d’adolescents n’en gardent pas un si bon souvenir que cela. Présentées comme les lieux de « promesse républicaine » aussi bien par l’institution que par les enseignants, les jeunes ne peuvent que percevoir le décalage entre ces beaux discours et leur réalité. Dans les quartiers populaires, l’école produit beaucoup plus de relégation que d’intégration.
Les sociologues Didier Chabanet et Xavier Weppe notent à leur tour que « la rage [des émeutiers] porte contre le quartier lui-même, elle n’a rien à négocier ». Ils confirment la révolte des jeunes contre des institutions publiques qu’ils méprisent en retour et miroir du mépris qu’elles leur ont fait subir. L’école n’est pas une cible collatérale, elle est au cœur des institutions ciblées comme mensongère. Lors d’entretiens en 2016 et 2017, les jeunes critiquent les enseignants « blancs », qui n’habitent jamais le quartier, qui ne les respectent pas, ne les félicitent jamais. Le ressentiment est lourd. Les bibliothèques, elles, ne seraient fréquentées que par à peine 10% des habitants en moyenne. Les deux sociologues notent alors l’échec patent d’une politique de la ville qui n’a jamais réfléchi aux modalités d’association des habitantes et habitants aux choix de transformations de leur quartier. Dès lors, toutes les institutions publiques apparaissent comme des excroissances qui au pire les écrasent ou rejettent, au mieux ne les concernent pas. L’école ne fait pas forcément exception.
Nos lycées brûlent
S’en tenir à ces explications ne suffit peut-être pas pour comprendre la place particulière occupée par les établissements scolaires dans cette démonstration de colère. Dans les années 1970, on assiste à une multiplication d’incendies criminels, par des élèves, touchant des écoles, collèges et lycées. C’est à l’occasion de l’incendie du collège Pailleron le 8 février 1973 que les médias commencent à interroger cela comme un phénomène de société. Pour les seuls mois de janvier et février, le journal Paris-Match en dénombre onze dans tout le pays …
Comme pour Pailleron, ce sont des incendies ou départs de feux faits par des élèves qui veulent se venger de situations ou propos humiliants. À Pailleron, le jeune Patrick 14 ans avait dit à la police qu’il ne voulait pas aller dans la classe surnommée « des déchets ». À Bobigny, ce sont les classes dites « pratiques » d’un CES qui brûlent, cinq baraquements en bois : « Mon prof nous a raconté que les autres profs lui disent sans arrêt : « tu as du courage de rester avec ces tarés » raconte un élève, ajoutant : « les portes n’ont même pas de poignées, elles nous restent dans les mains. Par moment il n’y a pas de carreaux, les extincteurs ils viennent les remettre pour l’enquête pour faire bien devant les inspecteurs, c’est parce qu’un mec a voulu mettre le feu ».
Deux ans plus tard, en 1975, on compte encore une quarantaine d’incendies criminels. Les conditions matérielles sont avancées comme principales causes à deux niveaux : d’abord parce que les constructions sont hautement inflammables et que tout départ de feu peut être fatal, comme à Pailleron ; ensuite parce que les établissements scolaires qui sont incendiés sont pour la plupart délabrés et renforcent le sentiment de honte des élèves qui y sont scolarisés.
23 notes
·
View notes
Text
Mise en page - Dépliant sur la police de caractères Gulax
Layout design - Leaflet on the Gulax typeface
4 notes
·
View notes
Text
(M) ft. Casey Deidrick - My second chance - PRIS
Ryan CALLIGAN | Police Montée Canadienne sous-couverture
Age : 37 ans
Occupation/métier : Ancien militaire, désormais membre de la Royal Canadian Mounted Police (RCMP). Propositions d'avatars/avatar : Casey Deidrick.
Contexte de Son Arrivée à Clearwater Springs Valley:
Après des années de service militaire, Ryan cherchait à stabiliser sa vie. La discipline militaire lui avait apporté de nombreuses compétences, mais il aspirait à une existence plus ancrée dans la communauté civile. C’est ainsi qu’il a rejoint la RCMP à Calgary, où son parcours impeccable et son sens aigu de la justice lui ont rapidement valu des missions sensibles.
Arrivant sous couverture à Clearwater Springs Valley, Ryan se fait passer pour un nouvel arrivant en quête d’une vie plus tranquille afin de veiller sur Norah avec efficacité.
Scénario à retrouver ici :
forum : https://longwayout.forumactif.com/
#rpg français#rpg francophone#avatars réel#avatars rpg#faceclaim#ranch life#ranch#chevaux#roleplay#rpg#alberta#calgary#canada#us marshalls#virgin river#heartland#rivalitées#cromes#actions#forumactif#forum rpg#casey deidrick#casey deidrick margot robbie#margot robbie
2 notes
·
View notes
Text
"Les codes prennent tant de précautions contre la violence et l’éducation est dirigée en vue d’atténuer tellement nos tendances à la violence que nous sommes conduits instinctivement à penser que tout acte de violence est une manifestation d’une régression vers la barbarie. Si l’on a si souvent opposé les sociétés industrielles aux sociétés militaires, c’est que l’on a considéré la paix comme étant le premier des biens et la condition essentielle de tout progrès matériel : ce dernier point de vue nous explique pourquoi, depuis le XVIIIe siècle et presque sans interruption, les économistes ont été partisans de pouvoirs forts et assez soucieux des libertés politiques […] On peut se demander s’il n’y a pas quelque peu de niaiserie dans l’admiration que nos contemporains ont pour la douceur ; je vois, en effet, que quelques auteurs, remarquables par leur perspicacité et leurs hautes préoccupations morales, ne semblent pas autant redouter la violence que nos professeurs officiels. P. Bureau a été extrêmement frappé de rencontrer en Norvège une population rurale qui est demeurée très profondément chrétienne : les paysans n’en portent pas moins un poignard à la ceinture ; quand une querelle se termine à coups de couteau, l’enquête de la police n’aboutit pas, en général, faute de témoins disposés à déposer. L’auteur conclut ainsi : "Le caractère amolli et efféminé des hommes est plus redoutable que leur sentiment, même exagéré et brutal, de l’indépendance, et un coup de couteau donné par un homme honnête en ses mœurs, mais violent, est un mal social moins grave et plus facilement guérissable que les débordements de la luxure de jeunes gens réputés plus civilisés.""
Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908.
8 notes
·
View notes
Text
Comme on aimerait qu'il eut tort!!
L'union de la gauche et ses désastres
(reseau international.net) /articles/actus-articles-2/lunion-de-la-gauche-et-ses-desastres/par Régis de Castelnau
Dans un article précédent , j’ai tenté de démontrer que le Parti socialiste dans son histoire,n’avait jamais été «de gauche». La sociologie de ses directions, ses modes d’organisation,et sa pratique du pouvoir dans une république de démocratie représentative, permet d’aboutir à cette conclusion. Cependant, si tant est que l’on retienne (à juste titre jusqu’à une période récente) le caractère opératoire du clivage droite-gauche, comme nous l’avons rappelé dans l’article précité, le Parti socialiste est toujours arrivé au pouvoir grâce à des alliances. Ce fut parfois avec la droite, mais plus souvent avec d’autres forces de gauche. Et en particulier, le Parti communiste souvent promoteur de ces stratégies d’union, et qui à chaque fois lui ont coûté très cher, jusqu’à sa disparition. Au détriment bien sûr des forces qu’il représentait, mais pas seulement.
Toutes les trahisons mises en œuvre par le Parti socialiste ont porté préjudice à la majorité du peuple français, qu’il a fini par enfermer dans un néolibéralisme destructeur pour le pays. Il faut toujours rappeler que l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017 est le fruit d’une opération assimilable à un coup d’État dont le PS fut l’un des principaux organisateurs.
On ne reviendra pas en détail sur les différentes catastrophes politiques générées par«l’union des forces de gauche», mais il convient quand même de se rappeler le catalogue.
L’union de la gauche de catastrophes en catastrophes
Aux élections législatives de 1924, alors que le Parti communiste occupé à sa «bolchevisation» s’était enfermé dans la marginalité, on assiste à la mise en place du «Cartel des gauches» qui se coucha prestement devant le «mur de l’argent�� pour passer les manettes à Raymond Poincaré chargé de mettre en œuvre les pires politiques d’austérité.
Il y eut ensuite, le «Front populaire» de 1936 que Léon Blum abandonna au bout d’un an pour laisser le pouvoir à une alliance avec le centre-droit. En attendant l’interdiction du PCF en septembre 1939, avec la peine de mort pour ses distributeurs de tracts et l’installation de Pétain le 10 juillet 1940 lorsque la majorité du groupe socialiste lui vota les pleins pouvoirs en actant la fin de la République. Encore bravo !
Il y eut ensuite l’alliance tripartite de l’immédiat après-guerre à laquelle le Parti socialiste mis fin en 1947 pour installer avec l’aide de la droite la domination américaine sur l’Hexagone. Léon Blum ayant repris du service pour y veiller.
Le nom du socialiste qui se détache à ce moment est celui de Jules Moch féroce briseur de grève qui laissera des souvenirs cuisants chez les mineurs de fond.
En 1956, le PS (SFIO) remporte les élections législatives sur la base d’un programme de paix en Algérie. (On dirait du Zelenski....) Que le PCF entend soutenir en votant «les pleins pouvoirs» au gouvernement Guy Mollet. Celui-ci trahit immédiatement ses engagements, nomme Robert Lacoste proconsul en Algérie qui donne les pouvoirs de police et une partie des pouvoirs civils à l’armée ! Qui mettra en œuvre une répression sans mesure à base de torture, de disparitions et d’exécutions sommaires. Englué dans sa trahison, le parti socialiste sera incapable de s’opposer au délitement de l’État et à l’installation d’une situation de guerre civile que l’opération politique virtuose de Charles de Gaulle en mai juin 1958 évitera à la France.
À partir de son ralliement à la candidature de François Mitterrand à la présidentielle de 1965, le PCF se lancera à corps perdu dans la construction de «l’Union de la gauche» comme alternative au pouvoir gaulliste. Cette stratégie mortifère aboutira à la signature d’un programme commun en 1972 offrant à cette union des perspectives d’arrivée au pouvoir. La dynamique politique illusoire créée à cette occasion permettra l���arrivée de François Mitterrand à la présidence de la république en 1981. Tous les engagements furent rapidement remis en cause, scandé par le fameux tournant néolibéral austéritaire de 1983 (Fabius) sur fond d’abandon progressif de la souveraineté nationale au profit de l’Union européenne en construction. Le tout accompagné par l’effondrement du PCF, faisant ainsi perdre à la classe ouvrière son principal outil politique.
En 1997, nouvelle union de la gauche, «plurielle»cette fois-ci, avec l’arrivée de Lionel Jospin au poste de Premier ministre de cohabitation avec Jacques Chirac. Dont le gouvernement, néolibéralisme européen oblige, sera le plus grand privatisateur de l’histoire de France. Les lambeaux du PCF se contentant d’apporter son écot à la catastrophe politique et économique dont la défaite de Lionel Jospin à la présidentielle de 2002 fut l’épisode normal. Qui eut au moins un mérite, celui de nous éviter la honte du soutien de l’agression américaine en Irak en 2003. Dont chacun sait que Jospin aurait été, comme son camarade Tony Blair, l’acteur empressé. Hollande parrain de Macron
Et en 2012 «L’union de la gauche» de se rassembler à nouveau, derrière François Hollande cette fois-ci ! On allait voir ce qu’on allait voir, puisque «son ennemi était la finance» et qu’Emmanuel Todd nous annonçait «le hollandisme révolutionnaire». Ce mandat tout de trahisons, de laideurs et de lâchetés fut une épreuve pénible. De l’ectoplasme Jean-Marc Ayrault au nervi politique Manuel Valls, en passant par Cahuzac, Moscovici, Jouyet, Macron (déjà) et tant d’autres nullités corrompues, nous avons dû tout supporter. L’évidence que François Hollande allait être, selon l’expression d’Emmanuel Todd, comme vomi par le pays, les grands intérêts dont le Parti socialiste était l’instrument durent trouver une solution. Ce fut Emmanuel Macron qu’ils décidèrent d’installer à l’Élysée. Le macronisme destructeur que nous supportons depuis maintenant 7 ans est le fruit empoisonné de l’union de la gauche qui avait porté François Hollande au pouvoir. Dont il faut rappeler qu’elle disposait lors de son avènement de tous les pouvoirs de la république, présidence, Assemblée nationale, Sénat, hégémonie dans les collectivités locales.
Alors, l’union de la gauche que l’on vient de nous servir dans la vieille soupière de 1936,n’est qu’un brouet, qui serait aussi indigeste que les précédents.
Mélange d’éléphants socialistes survivants d’un troupeau étique surtout soucieux de conserver quelques gamelles, de jeunes loups installés là par les Américains, d’écologistes allumés recyclés dans le bellicisme russophobe, de faux communistes groupusculaires, et d’insoumis occupés à s’entre-déchirer, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’est pas appétissant.
Mais il est clair, que même si par extraordinaire il remportait une victoire électorale, il ne pourra en aucun cas produire une réponse politique de rupture avec le techno-fascisme macronien.
Ne serait-ce que pour une bonne raison, celui-ci est directement le produit des «unions de la gauche» passées par le pouvoir depuis 30 ans. source : Vu du Droit (regis de castelnau)
Comme on aimerait qu'il eut tort!!
6 notes
·
View notes
Text
« Au premier rang de ceux qui exploitent abondamment l’économie comportementale, on trouve les spécialistes du marketing. On le comprend bien : si les hommes réagissent à toutes sortes de stimuli qui ne coûtent rien (de la police de caractère utilisée pour écrire un texte à la couleur du papier), pourquoi ne pas utiliser ces biais pour vendre davantage et extraire davantage d’argent des consommateurs ? Parmi cent autres, Daniel Kahneman cite deux exemples intéressants. Le premier est celui d’une machine à café en libre-service, pour laquelle les consommateurs peuvent contribuer au montant de leur choix lorsqu’ils se servent. Lorsqu’une affiche représentant des yeux est placée au-dessus de la cafetière, les consommateurs contribuent jusqu’à cinq fois plus que lorsque l’affiche représente un bouquet de fleurs ! Le second exemple est celui des promotions permanentes. Essayer d’acheter un matelas, ou de l’électro-ménager (ou tout autre bien dont l’achat est relativement infréquent). Il y a de bonnes chances qu’il soit en promotion. Heureux de cette promotion, vous dépensez plus que vous n’aviez anticipé. Ce que vous ignorez, c’est que cette promotion est permanente (et il n’y a pas de raison que vous le remarquiez, car vous n’achetez pas de matelas tous les jours). »
Guillaume Travers, « Qu’est-ce que l’économie comportementale ? » in revue Eléments n°210
1 note
·
View note
Note
Lucille c’est ton prénom?
Non lol c'est le nom de cette police de caractères lmao
2 notes
·
View notes
Photo
2024 – 244
1594
#carte postale#noir et blanc#dossier 823#texte#police de caractères courier#Carré d'Encre#cachet postal manuel#philatélie#lours postal#série des voyages de lours#art postal#mailart#art collaboratif
10 notes
·
View notes
Text
Journal d’un photographe.
Après l’entracte d’hier on revient aux choses sérieuses.
Évacuation des colonies de Gush Katif, Gaza, août 2005.
Extraits de mon journal :
Lundi 22 août.
C’est mon jour d’après. Je suis fatigué et un peu démoralisé. C’est assez logique après des évènements d’une intensité aussi forte. Juste quelques questions me reviennent à l’esprit.
Que fais-je, pourquoi je me sens si seul et isolé ? Est-ce- dû à mon caractère, ma personnalité ? J’ai un peu de ma mère et de mon père. Mon père était timide et maladroit, ma mère plus autoritaire et plus ambitieuse que mon père, ambitieuse dans le bon sens du terme. Je sens beaucoup ce mélange, avec certaines fois des traits de ma mère qui supplantent ceux de mon père, et d’autres fois le contraire. Le tout est de savoir celui qui est plus important.
Je me rends à Sa-nur d’abord, puis à Homesh ensuite. Je passe la nuit dans la maison de l’AFP, allongé sur mon matelas aussi fin que du papier à cigarettes.
Homesh sera évacué demain matin.
Mardi 23 août.
L’armée et la police investissent la colonie vers 8.00 heures du matin. Le reste ne sera que des répétitions de scènes déjà vues. A côté de la yashiva, une grande inscription dit : " Are we a free people in a free country ?" (Sommes-nous un peuple libre dans un pays libre ? Je quitte avant la fin du grand show. Ras le bol.
Photo du jour: des soldats femmes évacuent des colons femmes.
Et j'en profite pour remercier toutes les personnes qui m'ont gentiment envoyé des messages hier. Les réseaux sociaux ont quand même du bon, pour des appels au secours techniques comme in y a une vingtaine de jours, et des bonnes nouvelles comme hier!
3 notes
·
View notes
Photo
(via Monotype révèle le pouvoir émotionnel de la typographie sur les consommateurs – La Réclame)
Monotype publie une étude sur l’impact de la typo sur les émotions. Un extrait de l’article du site La Réclame qui la relaie : “Un même mot, écrit dans une typographie différente, peut-il susciter diverses émotions ? Rassurer ou au contraire susciter la méfiance ? Monotype, spécialiste des polices de caractères et des technologies associées, dévoile les résultats d’une étude menée avec l’entreprise de neurosciences appliquées Neurons “pour mettre à l’épreuve nos croyances les plus ancrées et découvrir si différentes polices ont réellement un impact sur notre état émotionnel”.
8 notes
·
View notes
Text
L’enfant des fées (3)
Les deux premiers épisodes sont disponibles ici.
Malgré le tonnerre, Louis oublia sa vie dans ses pensées. En fermant, les yeux, il revivait une journée, un beau dimanche passé à la campagne. Il marchait avec Armande à ses côtés. Son épouse, habillée d’une longue robe et d’un grand chapeau, ne sortait jamais sans une ombrelle. Elle aimait ce paysage viticole du sud de Nantes. Ils marchaient presque main dans la main, tels des adolescents amoureux transis.
Le jeune commissaire de police entendit, plus loin, des enfants jouer. Le sourire apparut sur le visage boueux du soldat fatigué. Il se souvenait d’Henriette, son ainée. Elle ressemblait énormément à sa mère avec la même forme ovale du visage, les mêmes yeux bleus et un sourire identique. Tout le monde disait qu’elle sera le portrait craché de sa mère quand elle sera plus vieille, jusqu’à avoir son caractère trempé. Ce jour, elle s’était faufilée en compagnie de son petit frère dans les vignobles. Ils couraient, jouaient, un peu déçus de ne pas trouver de raisin à picorer.
- Jules, cesse de te rouler à terre. Tu salies ta chemise, cria Armande.
Mais le garçon se fichait complètement de ressortir tout crotté. Il frotta ses genoux poussiéreux, puis il repartit rejoindre sa sœur. Leur père rit. Il taquina tendrement sa femme pour sa manière de se faire respecter. Elle soupira en levant les épaules. A son regard, Jules passerait un mauvais quart d’heure en rentrant à la maison.
Les craquements dans le ciel devinrent de plus en plus intenses. Il était noir, mal éclairé par des étoiles filantes qu’on pouvait distinguer dès que la fumée se dissipait. Mais elle ne se dissipait jamais. Il entendit quelques voix tremblantes autour de lui. Une prière…des bruits de pas…Un ordre…Alors, Louis retourna dans son passé.
Blandine était magnifique avec un nœud rose dans les cheveux. Elle ne comptait pas encore un an de vie et restait assise dans le landau poussé par la nourrice. C’était une fille de paysan, venue à Nantes pour échapper à la dure vie des champs. Marie-Anne avait choisi Nantes plutôt que Paris contrairement à ses amies. Louis se doutait que c’était pour accompagner un amoureux, un gars des chemins de fer. Elle était plutôt jolie, si ce n’est cet affreux accent breton.
Peut-être parce qu’elle était la plus jeune, ou parce qu’elle lui ressemblait, la dernière de ses enfants restait sa préférée. Sa petite pupuce, comme il aimait l’appeler. Elle souriait tout le temps, elle voulait qu’il la porte chaque fois qu’il approchait de son landau. Alors, il s’amusait à faire des grimaces. Ce jour-là, il avait surpris sa belle-famille, en donnant la bouillant à sa fille. « Nourrir les gamins reste une affaire de femmes ! », avait balancé son beau-père.
Une pluie d’explosion réveilla Louis. Il était au milieu d’une tranchée. Ils étaient tous à attendre, le dos collé contre les sacs de terre. Ils tremblaient, se passant les bouteilles de pinard pour se donner du courage. Louis regarda son supérieur. Ce dernier surveillait sa montre, il porta un sifflet à la bouche. Avec son rôle de commissaire de police, il aurait dû être lieutenant comme lui. Mais le rapport d’un juge le dégrada au rôle de sergent.
Il connaissait la cible, il savait où foncer. Surtout, il savait ce qu’il y avait en face. Son voisin tendit une bouteille. Alors, il fit comme tout le monde, il but une gorgée de ce picrate. Puis il pensa à sa famille. Il pensa de nouveau à Armande, à ses caresses quand ils faisaient l’amour. Il se souvint du goût de ses baisers sur la bouche, oubliant ainsi celui du mauvais vin. Il pensa à Henriette. Il se rappela bêtement d’une histoire pour la faire dormir. C’était un conte de fées. Il pensa à Jules et au jour où il apprit à jouer du cerceau. Il pensa à Blandine. De son jour de naissance…de l’immense douleur, du visage en sueur de sa femme allongée sur le lit conjugal. Il se rappela qu’il s’est senti petit et fragile lorsqu’il prit sa fille dans les bras. Il n’avait pas connu ce bonheur pour les deux premiers. Il n’était pas présent à leur naissance.
Soudain, le silence ! C’était pour très bientôt! Puis, un long sifflement déchira les cœurs. Les poilus se jetèrent sur les échelles. Les agneaux partaient à la boucherie !
Les hommes tombaient, fauchés par la mitraille, avant d’avoir atteint la première ligne de barbelés. Louis réussit ce miracle. Il s’allongea à côté de cadavres en putréfaction, oubliés lors des charges précédentes. Il y avait des français, des allemands…des corps dans de sales uniformes troués. Le fil remua subitement avant de bouger.
- Aide-moi, cria Marcel étendu à sa gauche.
A l’aide d’une tenaille, Son compagnon coupa le fil tenu par Louis. Ses mains sentirent les piques égratigner sa peau. Il prit ensuite une grande inspiration avant de se lever. Il aperçut l’objectif. Alors, il courut à côté de Marcel et d’autres camarades. Il courut en oubliant sa famille, en pensant à survivre. Les mitrailleuses continuèrent leur massacre.
Il était devant eux, à attendre les bras en l’air. La statue était tout ce qui restait du calvaire. Avant la guerre, il régnait au milieu d’un croisement de routes. A ce moment, il n’était plus qu’une pâle copie de statue grecque amputée de quelques membres. Le Christ attendait tel un cul-de-jatte qu’on l’aide à quitter cet enfer. Enfin, Louis arriva à sauter dans un trou à côté de l’idole, sans se soucier de possible présence de gaz moutarde. Puis, il attendit parce qu’il n’était pas possible d’aller plus loin.
L’objectif ne pouvait être atteint. Soudain les allemands arrêtèrent de tirer. Il entendit crier. Il reconnut le sifflet du lieutenant et sa voix qui répétait: « retraite ! »
- Tout ça pour ça ! ragea-Marcel situé dans un autre trou.
Et le tonnerre retentit ! Des sifflements précédèrent les explosions. L’artillerie des poilus visaient tant bien que mal les tranchées allemandes. Dès lors, Louis comprit que les vert-de-gris étaient en train de contre-attaquer. Il porta son fusil contre sa poitrine, et il pria en observant la statue au-dessus de sa tête. Il espérait juste une chose : pas de corps-à-corps.
L’artillerie décimait l’ennemi qui ne réussit pas non plus à franchir leur première ligne de barbelés. Les soldats demeurèrent coincés dans le no man’s land à attendre que cela se passe. Les bombes fusèrent, elles éclatèrent sans se soucier de la couleur de l’uniforme. Elles tuèrent dans les deux camps. Et Louis attendait son tour.
Le bombardement dura une quinzaine de minutes. Le silence s’imposa tout à coup. C’était un silence glacial qui ne dura pas car les appels à retourner dans leur base, les râles des mourants, les cris des blessés graves réalisant avoir perdu un morceau…tout incita Louis à retourner dans ses souvenirs. Il voulait embrasser sa femme. Il rêva de voir ses enfants grandir. Il espéra tenir le bras d’Henriette, lorsqu’elle entrera habillée d’une magnifique robe de mariée dans la basilique Saint Nicolas. Il imagina Jules en bon avocat ou politicien. Et chose étonnante pour son époque, il vit dans un flash que Blandine deviendrait la future Marie Curie.
Il réalisa qu’une grande lumière venait de l’éblouir. Aussitôt, il ferma les yeux puis les cligna les paupières cherchant à retrouver la vue rapidement. Lorsqu’il reconnut le christ, il entendit d’étranges petits bruits. Cela semblait venir de la terre, comme des grignotements, comme si on creusait la terre. Il écouta plus attentivement et crût discerner quelques voix…Des petites voix dont il n’arrivait pas à comprendre la langue.
Quelque-chose surgit tout-à-coup en tombant dans le trou. Il brandit son fusil pointant sa baïonnette pour se défendre jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il s’agissait d’un français.
- Vous n’êtes pas blessé, Sergent ? demanda le seconde classe.
- Non, juste mon orgueil ! répondit-il.
Les deux hommes retournèrent dans la tranchée en courant. Personne ne tenta de les empêcher car en face, ils faisaient de même, ramassant au passage des blessés. Le lieutenant, le visage couvert de boue commençait à recenser les restes de sa section. La mine triste, il passa, devant le sergent Louis Macé. Ce dernier n’eut aucun mot. Il ne le salua pas non plus. Il préféra retourner dans ses souvenirs.
Alex@r60 – mars 2023
Photo : Le Christ des tranchées de Neuve-Chapelle.
15 notes
·
View notes
Text
Beau Arlen est le nouveau shérif de la ville de Helena dans le Montana. C'est un homme avec un bon cœur et des instincts acérés qui entre temporairement dans ce rôle. En tant qu'ami proche du shérif Walter Tubb, Beau aspire probablement à maintenir l'équilibre et à désamorcer diverses sources de conflit. Beau travaillera en étroite collaboration avec Jenny Hoyt et Cassie Dewell. Ils se sont immédiatement entendus – à tel point qu'ils peuvent choisir de rechercher des moyens de maintenir la relation de travail lucrative. Il est divorcé et père d'une adolescente. Emily Arlen. Il est très protecteur vis à vis d'elle d'ailleurs. Beau reste quelqu'un de très séducteur avec un humour qui peut laisser désirer. Il déteste l'échec aussi bien dans sa carrière que dans son quotidien. C'est un passionné de pêche. Il aime à dire que, s'il avait arrêté sa carrière dans la police avant d'arriver dans le Montana, c'était uniquement dans le but de passer ses journées à pêcher. La vérité est autre. Son partenaire est mort. On ne peut pas dire que c'est un shérif qui entre dans les normes. Par exemple, il n'a pas signalé le fait que Jenny, a laissé son ex partir après une arrestation. Bien qu'il laisse pas mal de choses couler, il reste tout de même très sérieux. Contrairement à l'ancien shérif d'Helena, Beau participe davantage aux enquêtes et va beaucoup plus sur le terrain. C'est un homme d'action. Il est plein de surprises et attire beaucoup l'admiration du partenaire de Hoyt. Il sait ce qu'il fait et doute presque jamais de lui-même. Du moins, dans son boulot. Dans son côté personnel, son ex-femme l'a quitté à cause de son manque de communication. Un travail qu'il fait sur lui-même par rapport à ça. Il a tendance à beaucoup parler. Un peu trop parfois. C'est un grand connaisseur du baseball et de la moto. En ce qui concerne les voitures, c'est plus un point faible qu'autre chose. Ce qu'on peut aussi dire de lui, c'est que son instinct et son audace, sont ses meilleurs atouts. Il déteste qu'on lui tient tête ou qu'on envahisse sa vie. Raison pour laquelle il ne peut vraiment pas encadrer le nouveau conjoint de sa femme pour qui, il a encore eu longtemps des sentiments. Il ne lui faut pas beaucoup pour sortir de son confort. Comme le moment où sa fille, campait dans un camp, dirigé par des gens relativement douteux. En imaginant sa fille en danger, il a réagi comme il sait le faire. De plus, sa fille tient beaucoup de lui. Très curieuse et à poser les mauvaises questions. Elle tient un post-cast. Beau, lui a d'ailleurs offert un couteau lorsqu'elle était plus jeune. Bien qu'il ne soit pas aussi proche qu'elle qu'autrefois, son amour pour elle reste inconditionnel. Comme l'amour d'un père à sa fille avec une arme en plus. L'ennui, c'est qu'il n'est toujours pas très doué pour la communication et il a bien du mal à lui faire comprendre qu'il l'aime énormément. Le personnage de Beau Arlen ressemble beaucoup à celui de Dean Winchester en termes de caractère à quelques différences très légères. Je ne fais pas un copier/coller de la série, mais j'essaye de faire en sorte que ce personnage soit le plus fidèle possible à celui de Big Sky. Je peux cependant le jouer avant sans arrivée à Helena s'il y en a qui sont intéressés ou éventuellement, après la fin de son remplacement du shérif d'origine. Dans ces conditions, il deviendrait le nouveau shérif de la ville de votre personnage.
Joue avec : Jenny Hoyt
3 notes
·
View notes
Note
My beloved, qu'est-ce que votre titre dit? (Ist "le titre" le mot correct? Por les mots en japonais?)
Et aussi bonne nuit, don't stay up too late!
MON AMOUR!!! 🥺🥺🥺 Oui titre c'est le bon mot! C'est mignon le vouvoiement accidentel aussi haha
C'est les deux premières lignes d'un pangramme japonais, une version alternative de l'Iroha. Je pense que tu sais ce que c'est un pangramme mais au cas où, c'est une phrase avec toutes les lettres de l'alphabet, et généralement si la phrase ne veut rien dire elle ne compte pas vraiment comme un pangramme. En anglais le standard c'est "the quick brown fox jumps over the lazy dog" mais les gens aiment bien "sphinx of black quartz, judge my vow", en français on a des accents et le c cédille (ç) donc c'est un peu plus compliqué, le plus connu c'est "portez ce vieux whisky au juge blond qui fume" et il y a aussi "voix ambiguë d'un cœur qui, au zéphyr, préfère les jattes de kiwis" avec des accents (je te le traduis parce que j'ai pas confiance en google trad sur ce coup là: "ambiguous voice of a heart which, at zephyr, prefers kiwi bowls") Oui celui là il est un peu bizarre mais c'est la phrase standard pour tester les polices de caractère en français parce qu'elle comprend des accents en plus de toutes les lettres. Tu verrais le nombre de fois où j'ai dû supprimer une police de caractère que j'avais téléchargée parce qu'elle n'avait pas d'accents!
Enfin du coup, en japonais, comme leur système d'écriture n'est pas un alphabet mais deux syllabaires et des milliers de signes, c'est un peu différent. L'Iroha c'est un très vieux poème qui utilise toutes les syllabes une seule fois tout en ayant du sens. Il est extrêmement connu, et il sert même d'ordre "alphabétique", voire parfois de système de numérotation à la place de chiffres arabes (que ça soit 1234 ou 一二三四). Les dictionnaires utilisant l'alphabet latin vont dans l'ordre alphabétique, A B C D, mais les dictionnaires japonais vont soit dans l'ordre de l'Iroha soit dans l'ordre des syllabaires. Pour contexte les syllabes c'est les voyelles, a i u e o d'abord toutes seules puis avec une consonne devant: a i u e o, ka ki ku ke ko, sa shi su se so, ta chi tsu te to, etc. (Si on était face à face je te dessinerai le tableau mais tu peux aller le voir en ligne en cherchant "hiragana" ou "katakana").
Voici le lien de la page wikipédia (anglaise) de l'Iroha, pour que tu voies un peu à quoi il ressemble. C'est pas intuitif quand on a l'habitude d'un ordre alphabétique qui commence par a et finit par z d'aller chercher un mot dans un dictionnaire ou l'ordre c'est i ro ha ni o e do, mais je trouve que c'est cool qu'ils aient leur propre version.
Bref, mon titre! C'est les deux premières lignes d'un autre pangramme japonaise, comme l'Iroha, qui est sur la page française de l'Iroha mais qui n'a pas l'air très connu. La page ne cite pas de source mais appelle le poème le Tori naku, et donc mon titre c'est 鳥(tori)鳴(na)く(ku)声(koe)す(su) / 夢(yume)覚(sa)ま(ma)せ(se) - 鳥鳴く声す veut dire "le chant des oiseaux", 夢覚ませ veut dire "me réveille d'un rêve" ou "me rappelle un rêve".
Au début j'avais mis le titre d'une chanson de Daoko que j'aime bien (la chanson et son titre), 夢見てたのあたし, Yume miteta no atashi, "Le moi que j'ai vu dans un rêve", mais après je me suis dit que c'était mieux de mettre un poème. J'ai aussi hésité avec un autre titre de chanson, 命の食べ方, Inochi no tabekata, "Comment manger une vie", mais pareil, j'ai trouvé ça un peu trop simple. J'aime beaucoup ces titres parce que les chansons sont bonnes ET que j'arrive à les comprendre avec mon A1/A2 en japonais haha.
Merci de la question et de me souhaiter une bonne nuit <3 !!! Il me semble que tu vas aller te coucher dans pas longtemps aussi, alors bonne nuit à toi aussi <3
(je crois que t'avais pris des cours de français, est-ce que t'as écrit le message tout seul?? Ça serait trop trop mignon que t'aies fait un effort vu que c'est pas ta langue 🥺)
#je t'aime <3 <3 <3 merci encore pour la question!!#je trouve ça marrant d'avoir écrit un post en français pour parler de japonais haha#très très spyld tout ça#ça me MANQUE le japonais j'ai presque envie de retourner au lycée pour les cours de jap#spyld#speak your language day#upthebaguette#wow i have an asks tag now#wow i have a ramble tag now
3 notes
·
View notes