#poisson doré
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Dos Amigos / Le poisson et l’oiseau / Two Friends by Paz Rodero
Bilboquet Valbert, Bohem Press, Paris-Zurich
1995
Artist : Jozef Wilkon
#jozef wilkon#paz rodero#1995#dos amigos#two friends#golden fish#oiseau bleu#poisson d’or#poisson doré#fish#bird#river#rivière#amitié#friendship#friends#amis#gold and blue#polish artist#polish illustrator#polish painter#blue bird
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"Au Poisson Doré" Hotel in Glandelles, Gâtinais region of France
French vintage postcard
#postal#au poisson doré" hotel#france#historic#french#ansichtskarte#sepia#vintage#tarjeta#hotel#glandelles#gtinais#briefkaart#photo#poisson#postkaart#gâtinais#ephemera#postcard#postkarte#photography#region#carte postale
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Méduse Dorée - Un millimètre d'un de ses tentacule contient 1500 cellules urticantes, qui lui servent à paralyser ses proies.
Lieu : Nausicaa - Centre National de la Mer
#animaux#animals#photo#photo animalière#animals photography#animaux sauvages#wild animals#aquarium#poisson#fish#vie marine#sea life#méduse#jellyfish#méduse dorée#pacific sea neetle#west coast sea neetle
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Modern Whale Illustration: Grey Tones and Luxe Gold" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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Comment Cuisiner le Gingembre ?
Tu te demandes comment cuisiner le gingembre et comment intégrer cette épice merveilleuse dans tes recettes ? Tu es au bon endroit ! Le gingembre est une racine aux multiples saveurs, utilisée aussi bien dans des recettes sucrées que salées. Voici un guide complet pour maîtriser cette épice aux nombreuses vertus et l’utiliser au quotidien.
Les Bienfaits du Gingembre
Avant de plonger dans la cuisine, parlons des bienfaits du gingembre. Connu pour ses propriétés digestives et ses vertus aphrodisiaques, le gingembre aide à renforcer le système immunitaire. Il est également réputé pour ses bienfaits sur la santé.
Comment Préparer le Gingembre
La préparation du gingembre dépend de son utilisation. Voici quelques astuces :
Gingembre frais : Épluche-le avec une cuillère pour enlever la peau sans trop gaspiller. Râpe-le pour l’incorporer facilement dans tes plats.
Gingembre en poudre : Utilise-le pour les recettes qui demandent une texture fine, comme les sauces et les marinades.
Gingembre confit : Parfait pour les desserts ou les mélanges sucrés-salés.
Idées de Recettes Délicieuses avec du Gingembre
Recette Salée : Poulet au Gingembre et au Citron
Pour un plat exotique, essaie cette recette simple :
Ingrédients :
4 filets de poulet
2 cuillères à soupe de gingembre frais râpé
1 citron (jus et zeste)
2 cuillères à soupe de sauce soja
1 cuillère à soupe de miel
Poivre et sel
Instructions :
Marine les filets de poulet avec le gingembre, le jus de citron, le miel, et la sauce soja.
Fais revenir les filets dans une poêle chaude avec un peu d’huile.
Ajoute le zeste de citron et laisse cuire jusqu’à ce que le poulet soit bien doré.
Recette Sucrée : Pain d’Épices au Gingembre
Pour un dessert qui sent bon les épices :
Ingrédients :
250g de farine
100g de sucre roux
2 cuillères à soupe de miel
1 cuillère à soupe de gingembre en poudre
1 cuillère à café de clou de girofle moulu
1 cuillère à café de cannelle
1/2 sachet de levure chimique
200ml de lait
Instructions :
Mélange les ingrédients secs (farine, sucre, épices, levure).
Ajoute le miel et le lait tiède.
Verse la pâte dans un moule à cake et fais cuire au four à 180°C pendant 45 minutes.
Recette Boisson : Infusion Gingembre Citron Miel
Pour une boisson réconfortante et bénéfique :
Ingrédients :
1 morceau de gingembre frais (environ 2 cm)
1 citron
1 cuillère à soupe de miel
500ml d’eau
Instructions :
Fais bouillir l’eau avec le gingembre râpé.
Ajoute le jus de citron et le miel.
Laisse infuser pendant 10 minutes et filtre avant de déguster.
Cuisine du Monde : Le Gingembre à Travers les Continents
Le gingembre est une épice universelle, présente dans de nombreuses cuisines :
En Chine, il est utilisé dans les soupes et les sautés.
Au Mali, il parfume les plats traditionnels.
Au Vietnam, il entre dans la composition de nombreuses recettes de poisson et de viande.
Conclusion
Maintenant que tu sais comment cuisiner le gingembre, n’hésite pas à l’intégrer dans tes recettes quotidiennes pour apporter une touche de saveur et de bienfaits à tes plats. Que ce soit en version poudre, confit, ou frais, le gingembre est un allié indispensable en cuisine. Bon appétit !
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Il y a quelque temps, j'ai vu un post de @talon-dragonbeast en espagnol, parlant d'alterhumanité dans sa langue maternelle. Ça m'a donné envie de faire pareil :)
Je suis un dragon mordoré à crinière. C'est le nom que je donne à mon espèce, comme je ne connais personne d'autre de la même espèce que moi. Quatre pattes, deux ailes, une crinière et une queue bifide. Mes écailles sont brunes à reflets dorés, et l'intérieur de mes ailes est bleu foncé.
J'ai récemment déterminé que la couleur la plus proche de l'intérieur de mes ailes est le pantone 2955 C (ou hexa 003865, ou RVB (0, 56, 101)). Ce genre de bleu un peu gris. Yup, c'est ça, c'est mes ailes.
Comme c'est étrange de parler d'alterhumanité en français, c'est si.. nouveau. J'aime bien :)
Je sais que je suis un dragon depuis mes 5 ans environ, et en grandissant j'ai eu l'habitude de me présenter en tant que dragon aux gens. Alors maintenant, chaque personne qui me connaît un peu sait que je suis un dragon. J'ignore à quel point les gens comprennent que c'est une partie fondamentale de mon identité, mais ça a peu d'importance finalement. Je suis un dragon et je vis en tant que dragon, et peu importe si les gens pensent que je blague ^^
Ça n'a surpris personne dans mon entourage quand j'ai commencé à porter des cornes. Et aux inconnu.e.s qui demandent, je réponds que ce sont des cornes de dragon. En fait, les gens sont plus intéressæs par comment ça tient sur ma tête plutôt que pourquoi je les porte.
À part cette dame dans la rue qui m'appelait bête du diable mais finalement elle n'avait pas tord, dans sa religion je suis effectivement une bête du diable. Merci du coup ?
Quand j'étais enfant et que j'imaginais mon corps de dragon, j'avais des écailles blanches. C'est que les dragonneaux de mon espèce naissent avec des écailles blanches qui prennent leur couleur brune avec l'âge. Je ne sais pas si je crache quelque chose, mais si je crache quelque chose, ça serait du feu je pense. C'est ce qui me paraît le plus naturel. Cracher autre chose me paraît... étranger.
Je fais parfois des séances de méditation guidée avec des amis dragons, et par deux fois j'ai vu mon corps de dragon avec six pattes au lieu de quatre. Est-ce que je gagne des pattes avec l'âge ? C'est encore un mystère.
Je suis un dragon des montagnes, j'ai la taille d'un élan au garrot à peu près, mais plus gros, plus trapu. Mon habitat préféré est une forêt clairsemée, comme une boulaie, telle qu'on peut en trouver dans le massif des Ardennes. Je chasse cerfs, chevreuils et sangliers, et je pêche du poisson également.
Parfois je sens mes ailes dans mon dos, ou mes crocs dans ma bouche, plus longs que mes dents humaines. Mais ce qui est le plus fréquent pour moi est de sentir le volume général de mon corps. C'est une impression que mon corps s'arrête plus loin que mon corps humain. Que mon corps est beaucoup plus massif et puissant. C'est une sensation très agréable et réconfortante. Même si je ne le vois pas, mon corps véritable est là.
En plus de mes cornes, j'ai comme projet d'acheter un masque de dragon. Plus précisément un masque brodé de la marque Phantomasy. Il ressemblera à ça :
Et dans un futur plus lointain, je pense me faire tatouer des écailles, mais c'est un projet encore à l'état de brouillon. Petit à petit je dragonise mon corps humain :)
J'aime être un dragon plus que tout au monde, c'est la plus grande joie de mon existence. Parfois cela m'attriste profondément, car je ne pourrai jamais avoir un corps s'approchant de mon corps de dragon. Mais ça m'attriste justement parce que j'aime autant mon espèce. Alors en attendant, je profite de mon univers alternatif en tant qu'ètre humain, je mange du chocolat, je regarde Docteur Who et peut-être aurais-je une nouvelle chance s'il y a une vie après celle-ci ✨️
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La lettre P
Pacane
Noix de pécan
Pain doré
Pain perdu
Palette
-> incisive
-> extrémité aplatie d’un bâton de hockey
-> visière
-> (de chocolat) tablette
-> (de bois) même définition que chez vous
Pantoute
Pas du tout, vraiment pas. (Habituez vous a celui-ci parce que vous allez l’entendre 24/7)
Paqueté
Ivre, saoul 🥴
Paqueter
Remplir
Exemples: j’ai paqueté mon char / la salle était paquetée.
Parenté
Groupe de personnes ayant un lien de parenté, famille élargie
Parlable
A qui on peut parler facilement. Facile d’approche, ouvert à la discussion.
Partisans
Supporteurs
Patente
Objet difficile à nommer ou à décrire. Un bidule. Un objet quelconque.
Patenter
Bricoler, réparer, fabriquer quelque chose avec des moyens limités
Patenteux
Bricoleur ingénieux
Patiner
Ne pas répondre aux questions, de trouver des excuses ou faire diversion.
Peinturer
Peindre un mur. (NDLR: peindre sera utilisé presque exclusivement pour décrire l’art de peindre une toile, une fresque…)
Perler
Parler avec l’accent français.
Petit bonhomme
-> terme affectueux pour s’adresser à un garçon
-> insulte s’il s’adresse à un adulte (peu utilisé)
-> (au pluriels) dessins animés
Exemple: Écoute moi ben mon p’tit bonhomme! Si mon p’tit bonhomme a envie de regarder ses p’tits bonhommes à 6h le matin c’est pas toi qui va l’empêcher s’tu clair!
Piasse / piastre
Dollars
Pichou
Personne au physique ingrat, très laid.
Picosser
Agacer, lancer des pointes
Picosseux
Quelqu’un de désagréable, qui picosse 🤣
Piler
-Poser pied, marcher sur
Pissant
Très drôle, amusant
Pissou
Peureux, craintif, lâche
Piton
Jeton, touche, bouton
Pitoune
-> (par un homme envers une femme) femme bien roulée. (Par une femme envers une femme) pétasse
-> (petite) affectueux pour une petite fille
-> tronc d’arbre qui flotte (googlez: drave. C’est super intéressant)
Placoter / placotage
-> Bavarder de choses sans importance
-> médisance, ragot, tenir des propos peu aimables
Planter
-> tomber tête première
-> cesser d’être fonctionner
Plaster
(Prononcer « plast-heure ») provient du terme anglais pour sparadrap, pansement
Plate
-> Monotone, ennuyant, barbant, désagréable
-> dommage, décevant
Exemple: Ah c’est ben plate qu’Edith a pas pu venir voir le dernier film de Gilles Lellouche. Mais bon, elle a pas manqué grand chose c’était vraiment plate. 😈
Pleumer
Perdre une couche superficielle de peau, généralement après un coup de soleil. Peler, desquamer.
Poche
-> nul, maladroit, incompétent
-> grand sac
-> scrotum
-> jeu
Pogner
(Je viens de me rendre compte que ce mot a beaucoup trop de définitions🤣🤣. Attachez vot tuque avec d’la broche on part)
Attraper, avoir du succès, coller, comprendre, devoir, être obligé de, émouvoir, être populaire, être coincé, être timide, être victime de (contracter), prendre, recevoir, rester pris, séduire, se faire attraper, se quereller, surprendre.
(Ouf! J’pense que j’ai fait l’tour)
Poisson
Personne bernée, dupée, crédule, naïve.
Polyvalente
Lycée (cours secondaire qui dure 5 ans, entre 12 et 17 ans)
Poudrerie
Blizzard, neige emportée par le vent
Pourriel
Traduction de « spam » « Junk mail ». Il s’agit de la contraction de « pourriture électronique » et « courriel »
Présentement
Actuellement, aujourd’hui, maintenant.
Mot du jour : pied
Outre le fait de définir la partie du corps, le mot pied est utilisé dans plusieurs expressions. En voici quelques unes.
Être pied
Être maladroit, gauche, nul, mauvais.
Être bête comme ses pieds
Être brusque, impoli, grossier… Parisien quoi! 😬🤣
Se tirer dans l’pied
Se nuire
En pied de bas
Être en chaussette.
Avoir le pied pesant
Conduire vite
Se placer les pieds
Se mettre en position avantageuse
Expressions
Se paqueter la fraise
Boire (alcool) à l’excès.
Paqueter ses p’tits
Ramasser ses affaires et s’en aller
Partir comme un p’tit poulet
Mourir doucement (peu utilisé, mais trop mini)
Partir sur une balloune
-> s’enivrer, parfois durant plusieurs jours (se dit aussi: partie sur une brosse)
-> avoir une lubie soudaine
Pas de chicane dans ma cabane
On ne veut ni querelle ni engueulade dans la maison
Pas si pire
Pas si mal, pas trop mauvais
Passer dans l’beurre
Passer inaperçue, passer dans le vide, rater son coup
Pelleter dans cour du voisin
De débarrasser d’un problème en le refilant à quelqu’un d’autre.
Péter au frette
Mourir subitement
Péter d’la broue
Se vanter
Petit train va loin
C’est en prenant soin de faire les choses correctement qu’on l’assure du succès d’un projet.
Pleuvoir à boire debout
De fortes averses, pluies intenses
Prend ton gaz égal
Façon de dire à quelqu’un de se calmer.
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Vase "Forme Poisson" d'Emile Reiber pour Christofle en alliage de cuivre doré, émail cloisonné et verre coloré (1874) à l'exposition "Christofle, une Brillante Histoire” au Musée des Arts Décoratifs (MAD), novembre 2024.
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Always And Forever
Chapitre 3 -> Bébé surprise
♥*♡∞:。.。 。.。:∞♡*♥ ♥*♡∞:。.。 。.。:∞♡*♥
Un doux après-midi d'automne baignait la petite maison d'un soleil doré. Les feuilles rouges et orange tapissaient le sol, et la cheminée crépitait doucement, diffusant une chaleur réconfortante. Agatha, mère aimante et débordante d'énergie, jouait par terre avec son fils de cinq ans, Nicki.
Rosalia, la belle-mère de Nicki et femme d'Agatha, était assise non loin, à la table du salon. Elle feuilletait un livre en souriant, observant discrètement la scène, prête à intervenir si le chaos devenait incontrôlable.
Nicki s'appliquait à empiler des blocs de bois pour construire une tour.
« Maman, regarde ! Ma tour est presque aussi grande que toi ! » cria-t-il avec enthousiasme.
Agatha plissa les yeux, feignant une évaluation sérieuse. « Hmm... pas mal, mais je pense qu'il manque un petit quelque chose. Peut-être une pancarte qui dit : 'Tour de Nicki, champion du monde !' »
Nicki éclata de rire. « Oui ! Et toi, Rosalia, tu sais construire des tours aussi ? »
Rosalia, surprise d'être soudain au centre de l'attention, posa son livre avec un sourire. « Moi ? Évidemment. Je construisais des tours bien avant ta naissance, jeune homme. »
Nicki leva un sourcil, sceptique. « Prouve-le ! Viens jouer avec nous ! »
Agatha croisa les bras, malicieuse. « Alors, Rosalia ? Prête à relever le défi d'un garçon de cinq ans ? »
Rosalia, un sourire en coin, se leva et s'installa sur le tapis. « Très bien, préparez-vous à perdre. »
La compétition fut lancée, et bientôt les trois s'affairaient à construire la plus grande et la plus solide des tours.
« Oh non ! » s'écria Nicki en voyant sa construction vaciller. D'un geste rapide, Rosalia tendit la main pour la stabiliser, ce qui lui valut un regard impressionné de Nicki.
« T'es forte, Rosalia ! » admit-il en riant.
« Et oui, j'ai mes secrets », répondit-elle avec un clin d'œil.
Mais Agatha, amusée par tant de complicité, fit mine d'être outrée. « Nicki, tu trahis déjà ton équipe ? »
Nicki se redressa avec un grand sourire. « Non, jamais ! Mais je vais quand même lui voler son idée. »
Il éclata de rire en lançant un coussin sur Rosalia, ce qui déclencha une bataille générale où les rires résonnèrent dans toute la maison.
Au bout de quelques minutes, les trois s'écroulèrent sur le tapis, épuisés mais heureux. Rosalia, légèrement décoiffée, regarda Agatha avec un sourire complice.
« Il est encore plus têtu que toi, tu le sais ? »
Agatha haussa les épaules, taquine. « Forcément, il tient ça de moi. »
Nicki, blotti entre elles deux, leva les yeux avec un sourire innocent. « Vous êtes les meilleures ! »
Agatha passa un bras autour de son fils et l'autre autour de Rosalia. Ce moment de complicité improvisé leur rappelait que, malgré les différences et les liens complexes, ils formaient une famille unie.
Alors qu'ils reprenaient leur souffle après la bataille de coussins, Nicki tourna un regard malicieux vers Rosalia.
« Rosalia, fais de la magie ! » demanda-t-il avec excitation, ses yeux pétillant d'admiration.
Rosalia leva un sourcil, feignant l'indifférence. « De la magie ? Mais pourquoi je ferais ça ? »
« S'il te plaaîîît ! » insista Nicki, joignant ses mains dans une supplication exagérée.
Agatha, amusée, intervint. « Oh, allez, Rosalia. Donne-lui un petit spectacle, il adore ça. Et moi aussi, d'ailleurs. »
Rosalia soupira, mais un sourire en coin trahissait son plaisir. « Très bien. Mais attention, je ne fais ça qu'une seule fois ! »
Elle se redressa et tendit les mains devant elle. En quelques secondes, l'air autour d'elle sembla se charger d'humidité, et une sphère d'eau limpide se forma entre ses doigts. Nicki poussa un petit cri d'émerveillement, sautillant sur place.
Rosalia fit ensuite tourner la sphère doucement, lui donnant la forme d'un poisson qui nageait dans l'air. Puis le poisson se transforma en une étoile scintillante, et enfin en une petite vague qui sembla danser devant eux.
Nicki était captivé. « C'est trop beau ! Fais encore un poisson ! »
Rosalia sourit et forma un nouveau poisson, mais cette fois, elle le fit sauter comme s'il plongeait dans une rivière invisible. Agatha, fascinée elle aussi, applaudit doucement.
« Je dois avouer que tu es vraiment douée, Rosalia. C'est magnifique », dit-elle, un grand sourire aux lèvres.
Mais Rosalia, toujours espiègle, fit soudain disparaître le poisson et lança un regard malicieux à Agatha. « Magnifique, hein ? Alors tu ne m'en voudras pas si j'ajoute une petite touche... rafraîchissante. »
Avant qu'Agatha n'ait le temps de répondre, Rosalia fit jaillir un petit jet d'eau directement sur elle.
« Rosalia ! » s'écria Agatha, éclatant de rire en essayant de se protéger.
Nicki se roula par terre de rire. « Maman, t'es toute mouillée ! »
Agatha, les cheveux légèrement trempés, pointa un doigt accusateur vers Rosalia. « Très bien, tu l'as cherché. Attends un peu que je t'attrape ! »
Elle se leva d'un bond et tenta de rattraper Rosalia, qui s'éloigna en riant, une nouvelle boule d'eau prête à l'emploi.
Le salon se transforma rapidement en une joyeuse pagaille, les éclats de rire résonnant dans la maison. Nicki, ravi, les regardait jouer, des étoiles dans les yeux.
« Vous êtes les meilleures ! » déclara-t-il, tout sourire, en sautant dans les bras d'Agatha.
Rosalia, un peu essoufflée, posa une main sur l'épaule d'Agatha, le visage encore illuminé d'un sourire. « Je crois qu'on a fait la journée de ce petit. »
Agatha, regardant son fils rayonnant de bonheur, hocha la tête. « Et la mienne aussi. »
Agatha s'essuya le visage encore légèrement mouillé, une expression mi-agacée, mi-amusée sur les lèvres. Rosalia s'approcha doucement, un éclat taquin dans les yeux.
« Allez, Agatha, avoue que tu t'es bien amusée, même si tu es trempée », dit-elle en souriant.
Agatha haussa les épaules, feignant l'indifférence. « Peut-être. Mais tu vas le payer. »
Rosalia éclata de rire et, avant qu'Agatha ne réplique, elle se pencha et déposa un baiser rapide sur sa joue.
Nicki, qui observait la scène avec attention, éclata de rire en sautillant sur place. « Beurk, un bisou ! » s'écria-t-il, les joues rouges de malice.
Agatha écarquilla les yeux, surprise par le geste. Puis, elle se mit à rire en secouant la tête. « Oh, vraiment, Rosalia ? C'est comme ça que tu comptes m'amadouer ? »
Rosalia haussa les épaules avec un sourire innocent. « Et ça a marché, non ? »
Nicki continua de rire, les mains sur son ventre. « Maman, tu rougis ! Rosalia t'a eu ! »
Agatha, faussement outrée, se tourna vers son fils. « Moi, rougir ? Jamais ! Tu racontes n'importe quoi, petit monstre. »
Mais Nicki, toujours hilare, s'éloigna en courant pour éviter les chatouilles qu'il voyait venir.
Rosalia observa la scène, les bras croisés, son sourire toujours présent. « Vous êtes vraiment adorables, tous les deux », dit-elle doucement.
Agatha la regarda, ses traits s'adoucissant. « Merci, Rosalia. Pour être là. Pour Nicki. Pour moi. »
Rosalia lui fit un clin d'œil. « Toujours. On est une famille, non ? »
Nicki, entendant cela, revint vers elles en courant et se jeta dans leurs bras. « Une famille trop cool ! »
Les trois restèrent là un moment, blottis les uns contre les autres, un mélange de rires et de chaleur dans cette maison où l'amour, malgré ses nuances, trouvait toujours sa place.
Agatha ouvrit les yeux brusquement, le cœur battant encore d'une chaleur familière. Elle mit quelques secondes à reprendre ses esprits, son regard se posant sur le plafond sombre de sa chambre. L'écho des rires de Nicki et Rosalia résonnait encore dans son esprit, vibrant d'une tendresse presque palpable.
Elle tendit instinctivement la main à côté d'elle, mais ne trouva que le vide froid des draps. Le silence de la pièce lui rappela cruellement qu'elle était seule. Elle se redressa lentement, prenant une grande inspiration pour apaiser le poids qui s'était soudain posé sur sa poitrine.
« Encore ce rêve... » murmura-t-elle, sa voix brisée par une émotion qu'elle avait essayé d'enterrer depuis si longtemps.
Elle se passa une main dans les cheveux, les souvenirs encore si vivants qu'ils en étaient presque douloureux. Elle revoyait Nicki, si petit, riant aux éclats. Elle revoyait Rosalia, toujours taquine, mais si protectrice. Et elle se revoyait, plus jeune, plus insouciante, entourée de ceux qu'elle aimait.
Agatha posa les pieds au sol et s'assit au bord du lit. Elle passa une main sur son visage, essuyant une larme qui avait roulé sans qu'elle s'en rende compte.
Son regard se posa sur une photo posée sur sa table de chevet. Elle la prit doucement entre ses mains : une vieille image un peu fanée où elle tenait Nicki dans ses bras, avec Rosalia à leurs côtés, un sourire éclatant sur les lèvres.
« Vous me manquez tellement... » souffla-t-elle, sa voix presque un murmure.
Mais elle savait qu'elle ne pouvait pas s'abandonner à la nostalgie. Le passé était une douceur amère, un rappel de ce qu'elle avait perdu, mais aussi de ce qu'elle devait chérir. Elle se leva, serrant la photo contre elle une dernière fois avant de la reposer.
« Un jour à la fois », se dit-elle, les yeux fermés, tentant de retrouver une certaine paix.
Elle s'approcha de la fenêtre et regarda dehors, le ciel encore teinté de l'aube naissante. La vie continuait, et, quelque part, elle savait qu'elle devait continuer aussi, pour eux, et pour elle-même.
༺♡༻
Wanda se réveilla brusquement, le cœur battant, comme si quelque chose n'allait pas. Elle ouvrit les yeux, et le silence dans la chambre la frappa instantanément. Les draps étaient éparpillés autour d'elle, et une légère lumière filtrant à travers les rideaux donnait à la pièce une atmosphère douce, presque irréelle.
Elle se leva lentement, sentant un malaise étrange se répandre dans son corps. Alors qu'elle se rendait dans la salle de bain, elle jeta un coup d'œil à son reflet dans le miroir. Et là, quelque chose la frappa immédiatement.
Son ventre.
Elle n'était pas juste fatiguée ou malade, elle était... enceinte.
Elle posa une main tremblante sur son ventre, se demandant si ses yeux lui jouaient des tours. Le miroir, comme le reste de la pièce, semblait flou, comme si elle sortait d'un rêve, ou d'un cauchemar. Mais l'évidence était là : elle portait une vie en elle. Une vie qu'elle n'avait jamais attendue, qui semblait avoir surgi sans qu'elle puisse l'expliquer.
Un bruit derrière elle attira son attention, et elle se tourna rapidement. Vision, son mari, entra dans la pièce, l'air un peu perdu, comme s'il se demandait pourquoi elle semblait si perturbée.
« Wanda, tu vas bien ? » demanda-t-il, son regard inquiet parcourant le visage de sa femme. Mais avant qu'elle ne puisse répondre, il remarqua aussi son ventre. Il s'arrêta net, l'expression figée. « Wanda... »
Elle posa les mains sur son ventre, mais aucune explication ne semblait à la portée de ses lèvres. Comment cela pouvait-il être possible ? Elle n'avait aucune mémoire d'une grossesse, aucune idée de comment cela avait pu se produire.
« Ce n'est... pas possible, » murmura Vision, les yeux écarquillés. « Tu... tu es enceinte ? Mais... Comment ? »
Wanda ferma les yeux un instant, ressentant la magie qui flottait autour d'elle, la même magie qui l'avait toujours accompagnée, qu'elle avait contrôlée et utilisée de bien des façons. Mais cette fois-ci, quelque chose était différent. Il n'y avait pas de manipulation consciente de sa part, pas de souhait formulé. C'était... comme si la magie elle-même avait pris le contrôle, agissant sans qu'elle l'ait décidé.
Un frisson la parcourut. Elle tourna ses yeux vers Vision, qui semblait toujours aussi déconcerté.
« C'est de la magie, Vision, » dit-elle d'une voix tremblante, mais pleine de certitude. « Je ne sais pas comment, mais je sais que c'est à cause de ma magie. »
Vision semblait déconcerté. « Ta magie... mais comment... ? » Il s'approcha doucement d'elle, comme s'il cherchait des réponses dans ses yeux. « Est-ce que tu... l'as fait exprès ? »
Wanda secoua lentement la tête. « Non, je n'ai rien fait, rien demandé. Je pense que c'est... le chaos de ma magie, quelque chose que j'ai perdu le contrôle de. » Elle baissa les yeux vers son ventre, comme si elle espérait y trouver une réponse. « Ça ne peut pas être réel, mais je sens cette vie, je sens que c'est réel. »
Vision s'approcha, ses mains tendues, comme pour toucher doucement son ventre. Il semblait tout aussi perdu qu'elle, mais il se rendait bien compte que ce n'était pas quelque chose qu'ils pouvaient ignorer.
« Alors, c'est de la magie... mais pourquoi maintenant ? Pourquoi pas avant ? »
Wanda ferma les yeux un instant, ressentant une vague de confusion et de peur. Elle ne comprenait pas, mais la magie, bien qu'invisible, était là, dans chaque fibre de son être. Peut-être que la réponse résidait dans la magie elle-même, un mystère qu'ils devraient résoudre ensemble.
Elle se tourna vers Vision, son regard rempli d'incertitude. « Je ne sais pas, Vision. Mais... je vais tout faire pour comprendre. Et pour protéger cette vie. »
Tandis que Wanda se retrouvait à naviguer entre la surprise et la confusion, un sentiment étrange de protection et de tendresse grandissait en elle. Son ventre, toujours plus visible, la rappelait constamment à cette réalité étrange et incompréhensible : elle était enceinte, et cette vie grandissait en elle, sans qu'elle n'en ait pris conscience.
Un matin, alors que Vision se penchait sur une pile de livres, de traités sur la maternité et la parentalité, Wanda se leva tôt. Elle regarda son reflet dans le miroir et se surprit à sourire légèrement, malgré l'incompréhension qui flottait autour d'elle. Elle passa une main sur son ventre, murmurant doucement, comme pour se rassurer elle-même.
« Tu grandis, petit être, et je vais tout faire pour que tu sois en sécurité. »
Wanda se dirigea vers la pièce libre de la maison, un espace qu'ils n'avaient pas encore utilisé. Elle y avait commencé à préparer une chambre, une chambre qui, à son grand étonnement, semblait se remplir d'elle-même d'une manière presque magique. Des couleurs douces se répandaient sur les murs, des meubles apparaissaient comme par enchantement, parfaitement adaptés à un futur bébé, même si Wanda n'avait jamais fait le choix de chaque détail.
La magie était là, encore une fois, tissant des fils invisibles autour d'elle, comme si tout ce processus était guidé par une force plus grande qu'elle-même. Elle s'assit doucement au centre de la pièce, les mains sur son ventre, une bouffée d'émotion l'envahissant.
Vision entra quelques minutes plus tard, les lunettes sur le nez, une pile de livres de maternité dans les bras. Il s'arrêta sur le seuil, observant la chambre en train de se créer sous les mains de Wanda, une lueur de compréhension dans ses yeux.
« Tu as commencé à préparer la chambre ? » demanda-t-il, sa voix douce mais pleine d'étonnement.
Wanda hocha la tête, un sourire triste aux lèvres. « Je crois que c'est comme si... tout cela devait arriver. Comme si la magie savait déjà. » Elle se leva et s'approcha de lui. « Mais je me sens perdue, Vision. Est-ce que c'est vraiment ce que nous devons faire ? Est-ce que nous sommes prêts à accueillir cette vie, surtout de cette façon ? »
Vision posa les livres sur une table et la regarda profondément. « Nous n'avons pas beaucoup de réponses, Wanda. Mais nous avons l'un l'autre. Et nous ferons tout ce qu'il faut pour que cet enfant grandisse dans un environnement où il se sentira aimé et protégé. » Il prit doucement ses mains. « Nous serons là pour lui, ou elle. Et nous serons là l'un pour l'autre, peu importe ce que cela signifie. »
Wanda se laissa aller dans ses bras, cherchant un peu de réconfort dans ses bras solides. « J'ai peur, Vision. Je ne sais pas si je peux contrôler ça. Je ne sais même pas si cette vie est réelle. »
Vision la serra un peu plus fort. « Peu importe comment il ou elle est arrivé(e) ici, Wanda. Ce qui compte maintenant, c'est ce que nous ferons pour cette vie. » Il baissa les yeux vers le ventre de Wanda. « Il ou elle est là. Et cela doit signifier quelque chose de profond. »
Wanda sourit légèrement, ses yeux brillants de larmes. « Je suppose que tu as raison. »
Elle se redressa et regarda autour d'elle. La chambre, même si elle était encore inachevée, avait une chaleur étrange, comme si elle appartenait déjà à leur futur enfant. Elle savait que la magie ne ferait pas tout, mais elle comprenait que cette petite créature avait un rôle à jouer, même dans un monde aussi complexe que le leur.
Vision prit sa main et la guida vers la fenêtre. « Nous ferons tout ce qu'il faut. Pour cet enfant. »
Les deux restèrent là un moment, regardant le paysage, plongés dans leurs pensées, mais aussi dans une détermination nouvelle. Peu importe d'où venait la magie, peu importe la façon dont cette grossesse était arrivée, ils étaient prêts à tout pour cet enfant. Parce qu'en fin de compte, l'amour et la protection étaient bien réels.
༺♡༻
Ce matin-là, le soleil brillait doucement à travers les fenêtres de la maison d'Agnès, les rayons réchauffant la pièce d'une lumière douce et agréable. Il était près de 10 heures, et Agnès s'était installée dans son jardin, une tasse de thé à la main, profitant de la tranquillité de la matinée. Le parfum des fleurs s'épanouissant autour d'elle remplissait l'air, créant une atmosphère sereine.
Alors qu'elle savourait sa tasse, un bruit soudain attira son attention. Elle tourna la tête juste à temps pour voir un chien noir et blanc se faufiler sous la clôture, se dirigeant vers elle avec enthousiasme. Max, le chien de Rosalia, courait vers elle à toute vitesse, la langue pendante et la queue battant joyeusement l'air.
Agnès éclata de rire, déposant sa tasse sur la petite table de jardin. "Max ! Qu'est-ce que tu fais ici, toi ?" s'exclama-t-elle, s'abaissant pour accueillir le chien avec de grandes caresses.
Max, heureux de la voir, sauta autour d'elle, reniflant et léchant ses mains avec enthousiasme. Il semblait aussi surpris qu'elle de se retrouver dans son jardin, mais totalement content d'être ici.
"Eh bien, tu es un petit aventurier, toi !" dit Agnès, en écoutant le bruit des pattes du chien tapant sur le sol en terre battue. "Rosalia va être furieuse, tu sais !"
À cet instant, Rosalia arriva en courant, les cheveux en bataille et l'air légèrement paniqué. "Max ! Où es-tu passé, espèce de petit fugueur ?!" s'écria-t-elle, essoufflée en voyant le chien chez Agnès.
Max, tout joyeux, aboya en réponse et se jeta sur Rosalia, comme s'il ne comprenait pas bien ce qui venait de se passer, tout en courant autour d'elle.
Agnès sourit en la voyant arriver. "Il a trouvé un trou sous la clôture, je suppose. Il est ici, tout content." Elle regarda Rosalia en riant. "Il est plutôt rapide, je dois l'admettre."
Rosalia posa une main sur son front, exaspérée, mais amusée à la fois. "Je vais devoir réparer ça encore une fois..." dit-elle, avant de s'approcher de Max pour le saisir par le collier et l'attirer doucement vers elle.
"Désolée, Agnès. Il a un vrai don pour l'évasion."
Agnès rit de bon cœur. "Ne t'inquiète pas, Rosalia. C'est plus drôle qu'autre chose. Mais bon, si tu veux, viens prendre un café pour te remettre de ta course-poursuite."
Rosalia, soulagée, sourit. "Un café, ça m'irait très bien. Merci, Agnès."
Les deux femmes se dirigèrent ensemble vers la porte de la maison, Max trottinant derrière elles, comme si sa petite aventure de la matinée avait été la meilleure chose qui lui soit arrivée. La matinée, bien que débutant sur un imprévu, apporta une légèreté et une complicité nouvelles entre elles, le tout sous le regard d'un Max satisfait, installé confortablement dans le salon.
Agnès et Rosalia s'installèrent autour de la table de la cuisine, un silence apaisant régnant dans la pièce, à l'exception du doux bruit du café qui coulait. Agnès, le sourire aux lèvres, déposa une tasse devant Rosalia. Les deux femmes s'étaient habituées à ces moments de calme, appréciant la simplicité d'un café partagé.
"Alors, comment va ton travail ? Toujours aussi intense ?" demanda Agnès en souriant, prenant une gorgée de son café. Elle savait que Rosalia avait une vie bien remplie, mais elle aimait prendre des nouvelles de ses projets.
Rosalia soupira, une lueur de fatigue dans les yeux. "Oui, c'est un peu épuisant en ce moment. Entre le travail et tout le reste, je ne sais plus où donner de la tête. Et toi, Agnès, comment ça va avec tout ce que tu gères chez toi ?" Elle croisa les bras, l'air à la fois amusé et admiratif. "J'ai l'impression que tu arrives toujours à tout organiser à la perfection."
Agnès sourit, un peu gênée. "Oh, tu sais, il y a des jours où ça va et des jours où ça va moins bien. Mais je trouve toujours du temps pour m'occuper de mes petites plantes et prendre un peu de temps pour moi. C'est important de s'évader un peu." Elle posa la tasse sur la table et se leva pour aller chercher un plateau de biscuits. "C'est un peu comme une petite pause dans la journée, tu vois ?"
Rosalia la suivit des yeux, hochant la tête en signe de compréhension. "Oui, je comprends. Parfois, il suffit de prendre un moment, même court, pour se ressourcer. Sinon, on finit par se perdre dans la course du quotidien." Elle se pencha en arrière, les yeux un peu lointains, avant de revenir au présent. "Je pense que je vais essayer de ralentir un peu. Peut-être que ça m'aidera."
Agnès lui apporta quelques biscuits et se rassit. "C'est parfois plus facile à dire qu'à faire, mais tu sais, prendre du recul, même un tout petit peu, peut faire une grande différence. Parfois, il suffit juste d'écouter ce dont on a vraiment besoin, sans se laisser envahir."
Les deux femmes se plongèrent dans un silence paisible, appréciant simplement la compagnie de l'autre. Il n'y avait pas besoin de mots superflus pour comprendre ce que chacune ressentait. Le café, les biscuits et la chaleur de la conversation suffisaient amplement.
"Tu veux que je t'aide avec quelque chose ? Si tu veux te détendre un peu, je peux te donner un coup de main pour tes projets," proposa Agnès après un moment, bien que l'idée de Rosalia de ralentir semblait être une bonne direction à prendre.
Rosalia secoua la tête, souriant doucement. "Non, je crois que pour l'instant, j'ai juste besoin de me poser un moment. Mais merci, Agnès. Vraiment." Elle la regarda dans les yeux, reconnaissante. "Ça fait du bien de pouvoir parler, sans pression."
"Tu as toujours une place ici pour ça," répondit Agnès avec un sourire chaleureux. "Pas de pression, juste du temps pour nous."
Les deux femmes se laissèrent aller à la douceur du moment, savourant la compagnie de l'autre dans une atmosphère tranquille, loin des préoccupations du monde extérieur. Le temps semblait suspendu, et c'était tout ce dont elles avaient besoin à cet instant.
Rosalia jeta un coup d'œil à sa montre, les sourcils froncés. "Oh, je suis désolée, il est déjà tard," dit-elle en se levant précipitamment. "Je dois vraiment filer chez Wanda. Elle m'a appelée juste avant que je parte, et je crois qu'il y a quelque chose qu'elle veut me montrer."
Agnès la regarda, un petit sourire en coin. "C'est drôle, tu sais, tu sembles toujours rappliquer chez Wanda dès qu'elle t'appelle. C'est comme si elle avait un pouvoir particulier sur toi," dit-elle en plaisantant, mais avec une pointe de curiosité dans la voix.
Rosalia s'arrêta un instant, un peu gênée par la remarque. Elle prit une grande inspiration avant de répondre, comme si elle réfléchissait à la manière d'expliquer sans trop en dire. "Eh bien, Wanda... elle a parfois besoin de moi. C'est une amie. Elle a traversé beaucoup de choses ces derniers temps, et je suis toujours là pour elle quand elle en a besoin."
Agnès la regarda attentivement, un air pensif sur le visage. Elle n'avait pas l'habitude de voir Rosalia aussi réservée, et cela éveillait en elle une certaine curiosité. "Hmm... je vois. Mais tu sais, ça m'a toujours un peu intriguée. Pourquoi, à chaque fois qu'elle t'appelle, tu sembles courir à son secours ? Je me demandais s'il n'y avait pas quelque chose de plus entre vous deux."
Rosalia baissa les yeux un instant, comme cherchant ses mots. Elle avait l'air de vouloir répondre, mais hésitait. Après une pause, elle releva la tête et croisa le regard d'Agnès. "Il n'y a rien de plus, Agnès. On est juste amies. Vraiment." Elle insista, avec un sourire un peu timide. "Je sais que ça peut paraître étrange parfois, mais je tiens à elle. Elle est passée par des choses difficiles, et je suis là pour elle, comme n'importe quelle amie le serait."
Agnès la regarda attentivement, voyant la sincérité dans ses yeux. Elle hocha la tête doucement, se détendant. "D'accord, je comprends mieux maintenant. C'est juste que tu sembles si attentive à elle, parfois je me demande si c'est plus que de l'amitié. Mais je vois que tu tiens vraiment à elle, et je respecte ça." Elle lui sourit, levant la main pour poser une main sur son bras. "Ne t'inquiète pas, Rosalia. Je sais que tu as un grand cœur. Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise."
Rosalia sourit, reconnaissante pour la compréhension d'Agnès. "Merci, Agnès. Tu sais, c'est juste que... parfois, quand quelqu'un passe par des moments difficiles, tu veux être là, tout simplement. Et Wanda, c'est comme une sœur pour moi."
Agnès acquiesça. "Je comprends parfaitement. Il n'y a rien de plus beau que d'avoir des amis sur qui compter, surtout dans les moments durs." Elle se leva alors pour accompagner Rosalia jusqu'à la porte. "Tu sais où me trouver si tu as besoin de parler."
Rosalia lui sourit, un peu plus apaisée, et lui fit un clin d'œil. "Merci, Agnès. Je vais filer, mais je te promets que la prochaine fois, je prendrai plus de temps pour papoter avec toi. À bientôt !"
"À bientôt, Rosalia," répondit Agnès en la regardant partir, une pensée inquiète mais tendre pour son amie.
Elle savait que Wanda avait besoin de beaucoup de
soutien, mais elle espérait que Rosalia ne se perdait pas dans cette relation d'amitié, qu'elle pouvait parfois être plus compliquée qu'elle ne le semblait.
Rosalia quitta la maison, laissant Agnès avec ses réflexions sur les liens invisibles qui tissaient les relations entre les gens, parfois plus forts que tout le reste.
༺♡༻
Wanda se tenait devant le miroir, fixant son reflet avec une étrange expression. Cela faisait quelques jours qu'elle avait commencé à sentir des changements physiques, mais ce matin-là, l'évolution était plus évidente que jamais. Elle observait son ventre, qui semblait avoir doublé de taille en une nuit. À peine la veille, elle avait eu une silhouette normale, mais aujourd'hui, elle portait déjà un ventre de six mois. Elle posa sa main dessus, un frisson la parcourant.
"Qu'est-ce qui se passe ?" murmura-t-elle pour elle-même, incrédule. Elle savait que la magie pouvait influer sur son corps de façons surprenantes, mais cette rapidité d'évolution la laissait déstabilisée.
En même temps, un léger mouvement, comme une pression à l'intérieur de son ventre, attira son attention. C'était presque imperceptible, un petit coup, mais il se répéta rapidement. Wanda posa ses deux mains sur son ventre, ressentant les coups du bébé, un frisson parcourant sa peau.
Elle sourit doucement, mais une inquiétude sous-jacente s'installa rapidement. Les coups du bébé étaient une sensation merveilleuse, mais quelque chose clochait. Ses pouvoirs commençaient à s'agiter à l'intérieur d'elle. Comme si l'émergence de cette nouvelle vie était liée à une perturbation de son contrôle magique.
Elle ferma les yeux un instant, essayant de se concentrer pour apaiser cette énergie qui bouillonnait en elle. Mais plus elle tentait de maîtriser ses pouvoirs, plus ils semblaient s'échapper de ses mains. Des petites distorsions de réalité apparurent autour d'elle — des objets qui flottaient brièvement dans les airs, la lumière qui vacillait. Son regard se porta sur un vase posé sur une étagère, et avant qu'elle ne puisse réagir, il se mit à léviter légèrement.
Wanda paniqua un instant, tendant la main pour tenter de contrôler l'objet, mais au lieu de cela, des éclats de lumière rouge éclatèrent autour d'elle. Elle ferma les yeux, concentrant son esprit, et réussit finalement à faire redescendre le vase. Mais l'angoisse demeurait. Qu'est-ce que cela signifie ? pensa-t-elle.
Les premiers coups du bébé étaient toujours là, plus prononcés, et chaque mouvement semblait s'accompagner d'une poussée de magie incontrôlable. La grossesse, qui était censée être un moment de bonheur et d'émerveillement, devenait une source de confusion et de peur. Wanda savait que ses pouvoirs avaient toujours été instables, mais jamais à ce point.
Elle se dirigea vers la fenêtre, observant le monde extérieur, essayant de se calmer. Elle ne pouvait plus ignorer cette connexion grandissante entre son état physique et ses capacités magiques. Est-ce que mon pouvoir grandit avec cette grossesse ? se demanda-t-elle. Elle serra les poings, essayant de concentrer sa magie pour apaiser les vagues d'énergie qui traversaient son corps. Mais au lieu de la calmer, elle sentit les choses s'intensifier, comme si un lien invisible entre le bébé et elle-même rendait sa magie encore plus volatile.
Il lui fallait absolument en parler à quelqu'un, et rapidement. Mais à qui ? Vision ? Il ne comprendrait peut-être pas. Et Rosalia... elle avait un sentiment confus à propos de ses pouvoirs et de ce qui se passait en elle. Elle devait être prudente, mais Wanda savait qu'elle ne pouvait plus ignorer ce phénomène.
Les coups du bébé se firent à nouveau sentir, plus forts, comme pour lui rappeler que tout ceci, cette grossesse, ce pouvoir, était désormais un chemin qu'elle ne pouvait plus éviter.
Wanda se tenait toujours près de la fenêtre, les yeux fermés, essayant de reprendre le contrôle de ses pouvoirs. Chaque fois qu'elle se concentrait sur sa magie pour apaiser les tremblements qui parcouraient son corps, quelque chose en elle se rebellait, comme un flux incontrôlable d'énergie. Le bébé bougeait à l'intérieur d'elle, et chaque coup semblait amplifier cette vague de magie qui la traversait.
Elle se mordillait la lèvre, fermant les poings dans une tentative de maîtriser la situation. Mais la pression augmentait. Le vase qui avait failli tomber plus tôt se leva de nouveau dans les airs, flottant lentement devant elle, luisant d'une lumière rouge brillante. Wanda frissonna et, cette fois, elle ne tenta même pas de le redescendre.
"Non..." murmura-t-elle, la voix tremblante, alors que les objets autour d'elle commençaient à se déplacer, comme pris dans un tourbillon magique invisible.
À cet instant, la porte d'entrée s'ouvrit doucement, et Rosalia entra sans frapper, comme elle avait l'habitude de faire lorsqu'elle venait rendre visite à Wanda. Mais en la voyant, une tension palpable dans l'air, Rosalia s'arrêta brusquement. Son regard se posa immédiatement sur le flot d'énergie rouge qui remplissait la pièce. Elle plissa les yeux et fit quelques pas en avant, ses yeux passant d'un objet flottant à l'autre.
"Wanda... qu'est-ce qui se passe ?" demanda-t-elle, la voix étonnée, presque inquiète. "C'est... c'est toi qui fais ça ?"
Wanda tourna lentement la tête, ses yeux brillants d'une lueur rouge intense. Elle savait qu'elle ne pouvait pas cacher plus longtemps ce qu'elle était. Elle avait toujours évité de montrer l'étendue de ses pouvoirs à Rosalia, ne voulant pas la perturber ou l'effrayer. Mais aujourd'hui, l'énergie qui la traversait était trop forte, trop incontrôlable.
"Je... je ne sais pas," répondit Wanda d'une voix faible, presque perdue. "Je... je crois que mes pouvoirs se sont amplifiés avec cette grossesse. Mais je n'arrive pas à les contrôler..."
Rosalia observa la scène, son regard passant des objets qui flottaient autour de Wanda à la silhouette de son amie. Un frisson parcourut son échine en réalisant que Wanda ne contrôlait pas seulement des objets — il y avait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant derrière tout ça.
"Tu es une sorcière..." dit Rosalia, les mots sortant lentement, comme si elle venait de faire une découverte importante. Elle s'avança vers Wanda, ses yeux remplis de compréhension, mais aussi de surprise. "Je savais que tu avais des pouvoirs... mais pas à ce point."
Wanda baissa les yeux, gênée, puis souffla doucement. "Je n'ai jamais voulu te le dire, Rosalia. J'ai... j'ai essayé de garder cela caché. J'ai eu peur que si tu le savais, tu me verrais différemment. Mais... je suppose que je n'ai plus de choix, n'est-ce pas ?"
Rosalia s'approcha lentement, ses yeux emplis de curiosité et de préoccupation. "Tu n'as pas à avoir peur de me le dire, Wanda. Je ne te jugerai pas." Elle s'arrêta à quelques pas d'elle, ses yeux fixés sur la lumière rouge qui entourait Wanda. "Mais tu es sûre que tu peux gérer tout ça ? Ce pouvoir... ça a l'air d'être plus que ce que tu avais avant."
Wanda hocha la tête, le regard un peu perdu. "Je pensais que je pouvais tout contrôler, mais avec la grossesse, tout semble déborder... chaque coup du bébé semble amplifier ma magie, et je n'arrive plus à la maîtriser." Elle baissa les yeux, visiblement accablée. "C'est trop pour moi, Rosalia. Je ne sais même pas ce qui se passe..."
Rosalia s'assit près d'elle, posant une main sur son épaule. "Écoute, je ne suis pas une experte en magie, mais je crois que tout ça peut se régler. Peut-être que ce n'est pas une question de contrôle, mais de comprendre ce qui se passe réellement en toi. Cette grossesse, ton pouvoir... c'est un mélange de deux forces énormes."
Wanda la regarda, une lueur d'espoir dans ses yeux. "Tu penses que... je peux retrouver le contrôle ?"
Rosalia sourit doucement. "On va trouver une solution, ensemble. Je sais que tu n'es pas seule, Wanda. Et peut-être que ton pouvoir n'est pas là pour te détruire, mais pour grandir avec toi, pour que tu l'utilises d'une manière différente."
Un silence s'installa entre elles, mais c'était un silence apaisant. Rosalia, en ayant découvert la véritable nature de Wanda, n'était plus dans l'inquiétude pure, mais dans une profonde compréhension. Elle savait que les choses allaient être difficiles, mais elle était prête à aider son amie, peu importe la situation.
Les coups du bébé, plus forts à chaque instant, résonnaient comme un rappel que ce pouvoir, aussi incontrôlable soit-il, faisait partie d'un tout. Une nouvelle vie se préparait à naître, et avec elle, un changement peut-être plus grand que tout ce qu'elles avaient imaginé.
Wanda ferma les yeux un instant, prenant une profonde inspiration pour tenter de maîtriser la tempête intérieure qui la secouait. Elle sentit son énergie, un flot incessant de magie, tourbillonner dans chaque cellule de son corps. Elle avait toujours eu cette connexion particulière avec ses pouvoirs, mais cette fois, l'intensité était décuplée par la grossesse et les mouvements du bébé à l'intérieur d'elle.
Rosalia, silencieuse, attendait en observant Wanda avec bienveillance. Elle savait que l'instant était crucial pour son amie, et que la calmer, la recentrer, était ce dont elle avait besoin. "Respire, Wanda. Respire profondément," dit-elle doucement, sa voix remplie de calme et de douceur.
Wanda hocha la tête lentement, reconnaissant dans la voix de Rosalia une ancre dans cette mer déchaînée de magie. Elle inspira profondément, puis expira lentement, essayant de se concentrer sur sa respiration, de sentir son ventre se soulever et se reposer au rythme de l'air qu'elle absorbait.
À chaque inspiration, l'énergie magique qui tourbillonnait en elle semblait perdre un peu de sa force. Petit à petit, les objets qui flottaient dans la pièce redescendaient lentement, jusqu'à ce que tout se stabilise autour d'elle. La lumière rouge qui baignait la pièce se calma également, s'éteignant presque complètement, comme si Wanda retrouvait son équilibre intérieur.
Le ventre de Wanda se contracta doucement à nouveau alors qu'elle ressentait un autre coup du bébé, plus doux cette fois, comme un rappel de la vie en elle. Mais cette fois-ci, au lieu de paniquer, elle sourit faiblement. "Je... je crois que ça va. C'est juste... difficile à gérer," dit-elle, sa voix encore tremblante mais apaisée.
Rosalia s'assit à côté d'elle, son regard posé sur elle avec une profonde tendresse. "Tu as fait du bon travail, Wanda. Tu as su reprendre le contrôle. C'est normal que ça soit un peu effrayant, surtout avec tout ce qui se passe à l'intérieur de toi. Mais tu es forte, plus forte que tu ne le penses."
Wanda regarda son amie avec reconnaissance, un sourire timide sur les lèvres. "Je ne sais pas ce que je ferais sans toi, Rosalia. J'avais tellement peur de tout ça. Je pensais que je ne pouvais plus contrôler quoi que ce soit, surtout avec ce bébé. Mais... je crois que, d'une manière ou d'une autre, je dois accepter ce qui se passe, et apprendre à vivre avec."
Rosalia lui sourit, posant une main réconfortante sur son bras. "Tu n'as pas à tout contrôler, Wanda. Parfois, la magie et la vie suivent leur propre chemin. Ce n'est pas une faiblesse de ne pas avoir tout sous contrôle. C'est humain."
Wanda ferma les yeux un instant, se laissant envahir par la chaleur des paroles de Rosalia. Elle avait passé tellement de temps à chercher à maîtriser tout ce qui l'entourait, à éviter de perdre son pouvoir, mais à cet instant précis, elle comprenait que la véritable force résidait peut-être dans l'acceptation de ses vulnérabilités. Elle ne pouvait pas tout maîtriser. Et peut-être que ce n'était pas une mauvaise chose.
"Je pense que tu as raison. Peut-être que je dois juste... laisser aller certaines choses," murmura Wanda. "Je dois accepter que ma magie fasse partie de moi, et que ce bébé aussi fait partie de tout ça." Elle posa une main sur son ventre, sentant à nouveau un léger mouvement. "Ce bébé... il va grandir avec mes pouvoirs. Et peut-être que, comme toi, il m'apprendra à trouver un équilibre."
Rosalia lui sourit, émue par la douceur de ses paroles. "Exactement. Vous apprendrez à grandir ensemble, tous les deux. Et je serai là, toujours, pour vous aider à chaque étape."
Les deux femmes restèrent silencieuses pendant un moment, chacune perdue dans ses pensées. Les tensions magiques dans la pièce s'étaient dissipées, et le calme semblait s'être installé. Wanda, apaisée, savait que le chemin qui s'ouvrait devant elle serait difficile, mais elle ne serait pas seule. Avec Rosalia à ses côtés, elle pourrait affronter ce qui viendrait, en apprenant à vivre avec ses pouvoirs et à embrasser la magie de la maternité.
Agnès arriva chez Wanda, surprise de recevoir un appel de sa part à cette heure-là. En entrant dans la maison, elle s'attendait à une conversation sérieuse, mais ce qu'elle trouva à l'intérieur la fit sourire.
Wanda, avec un air espiègle, se tourna vers Agnès, ses yeux pétillants de malice. "Eh bien, eh bien, eh bien," commença-t-elle avec une voix taquine, "si ce n'est pas la personne la plus méprisable de toute cette terre..."
Agnès arqua un sourcil et s'approcha d'un pas tranquille. "Ah, je vois. C'est ainsi que tu accueilles tes invités, Wanda ? Je pensais que tu étais contente de me voir." Son ton était également joueur, comme un défi silencieux.
Wanda la fixa un moment avant de sourire davantage. "Chérie, je sais que je suis ta préférée. Pas besoin de faire semblant," poursuivis Agnes en rigolant, s'inclinant légèrement pour appuyer ses mots.
Rosalia, qui était près de Wanda, observa la scène avec un sourire amusé. Elle savait que ces deux-là avaient une façon bien à elles de se taquiner. Mais alors, comme si l'ambiance était trop légère, Wanda, sans quitter son sourire malicieux, se tourna sérieusement vers Agnès. Wanda, toujours avec son sourire espiègle, passa lentement sa main sur la hanche de Rosalia, un geste tendre et protecteur. Ses yeux se tournèrent ensuite vers Agnès, qui les observait en silence. La pièce, jusque-là pleine de taquineries et de rires, sembla soudainement se charger d'une tension subtile. Wanda, les yeux brillants de malice, brisa le silence avec des mots simples, mais pleins de signification.
"Non, ma personne préférée, c'est Rosalia," dit-elle calmement, mais d'une manière qui semblait marquer un tournant dans la conversation.
Agnès resta figée un instant, son regard se fixant sur la main de Wanda sur la hanche de Rosalia. Une vague de jalousie, qu'elle n'avait pas anticipée, la submergea. Son sourire se fit plus discret, et une froideur imperceptible s'installa dans ses yeux. Elle ne dit rien, mais son silence en disait long. Le léger mouvement de ses lèvres laissait entendre qu'elle cherchait ses mots.
Agnès, sentant que la tension avait pris une tournure qu'elle n'avait pas anticipée, décida de changer de sujet. Elle se força à sourire, faisant mine de ne rien avoir remarqué. "Bon, assez de taquineries pour aujourd'hui," dit-elle d'un ton léger, en jetant un dernier coup d'œil à Rosalia, qui était toujours inconsciente de l'effet qu'elle avait provoqué. "Dis-moi, Wanda, pourquoi m'as-tu appelée ?"
Wanda, comme si elle avait attendu cette question, se redressa un peu, son sourire s'adoucissant. Elle laissa passer un instant de silence avant de se tourner complètement vers Agnès. Elle posa doucement sa main sur son ventre arrondi, son regard s'éclairant d'une lueur d'émotion.
"Regarde," dit-elle, sa voix empreinte de tendresse et de complicité. Elle écarta légèrement son t-shirt pour dévoiler son ventre bien arrondi, qui trahissait sans ambiguïté sa grossesse.
Agnès resta figée un instant, ses yeux se posant sur le ventre de Wanda. Un mélange de surprise et de douceur traversa son regard. Elle n'avait pas vu ça venir. Elle s'était attendue à une révélation importante, mais pas celle-ci. Le ventre de Wanda était bien plus gros qu'elle ne l'avait imaginé, et cela semblait souligner toute la profondeur du changement qui s'opérait en elle.
"Tu... tu es enceinte ?" murmura Agnès, une touche de surprise dans sa voix, mais aussi un brin de tendresse cachée. "Depuis combien de temps ?"
Wanda hocha la tête, son sourire devenant plus large. "Quelques mois maintenant. J'ai commencé à sentir les premiers coups du bébé. Et... je pensais qu'il était temps de te le dire."
Rosalia, qui jusque-là était restée en retrait, se tourna également vers Wanda, les yeux pleins de curiosité et d'admiration. "C'est incroyable," dit-elle doucement, un sourire sincère sur les lèvres. "Tu vas être une super maman, Wanda."
Agnès regarda Wanda, puis son regard se perdit un instant sur le ventre arrondi. Elle était bouleversée par cette nouvelle, mais aussi touchée. Wanda n'avait jamais cherché à cacher quoi que ce soit, et pourtant, là, elle comprenait qu'elle avait été en quelque sorte exclue de cette partie de sa vie. Agnès ne la blâmait pas, mais il y avait un petit pincement dans son cœur, un mélange d'émotion et de regrets.
"Je suis... je suis vraiment contente pour toi, Wanda," finit-elle par dire, son sourire devenant plus doux. "Je suis sûre que tu seras une mère incroyable."
Wanda hocha la tête, son regard se remplissant d'une chaleur douce. "Merci, Agnès. Je l'espère. Mais j'aurai besoin de toi, de toutes les personnes qui me sont chères pour m'aider à traverser tout ça."
Le moment était sincère et rempli d'émotion, et Agnès se sentit touchée par la vulnérabilité de Wanda, même si la jalousie était encore là, cachée derrière son sourire. Elle savait que, malgré tout, elle serait présente pour elle, même si les choses semblaient changer autour d'elles.
Agnès, après un silence pensif, se tourna vers Rosalia, un sourire sincère se dessinant sur ses lèvres. "Tu sais," dit-elle d'un ton plus léger, "Je pense qu'on pourrait aller chercher quelques vêtements pour bébé pour Wanda. Il faut bien commencer à préparer tout ça, non ?"
Rosalia, qui observait Wanda avec un regard rempli de bienveillance, tourna son attention vers Agnès et hocha la tête avec enthousiasme. "C'est une excellente idée ! Wanda mérite d'avoir tout ce qu'il faut pour ce bébé. Et je suis sûre qu'elle adorerait avoir des petites choses choisies avec soin."
Wanda, qui avait écouté la conversation, sourit doucement, touchée par l'intention. "Vraiment, vous n'avez pas à faire ça pour moi, c'est déjà assez merveilleux que vous soyez là. Mais je ne dirais pas non à quelques jolies petites tenues pour le bébé," répondit-elle, sa voix douce et pleine de gratitude.
Agnès lui lança un regard taquin. "Oh, on sait toutes les deux que ce n'est pas seulement pour le bébé. C'est aussi pour toi, Wanda. Après tout, tu mérites de te sentir bien dans cette nouvelle aventure." Elle se tourna ensuite vers Rosalia. "Alors, tu es partante ?"
Rosalia sourit largement. "Bien sûr ! Je suis impatiente de choisir de petites choses mignonnes. Et peut-être qu'on trouvera même quelques surprises pour Wanda."
Agnès rit doucement, avant de se tourner vers Wanda pour un dernier regard. "Ne t'inquiète pas, nous serons prudentes. Et je suis sûre qu'on trouvera des vêtements qui te plairont." Elle se leva et se dirigea vers la porte avec Rosalia à ses côtés.
Wanda les regarda partir, le cœur un peu plus léger, touchée par la générosité de ses amies. "Merci, vraiment. Vous êtes incroyables," murmura-t-elle avant qu'elles ne franchissent la porte.
Alors que Rosalia et Agnès sortaient ensemble, une certaine complicité s'était installée entre elles, et bien qu'Agnès fût encore légèrement émue par tout ce qui venait de se passer, elle savait que ce geste – cet acte de soutien – allait renforcer leur lien, celui de la famille qu'elles formaient à leur manière.
༺♡༻
Agnès et Rosalia se retrouvèrent dans une boutique de vêtements pour bébé, les rayons regorgeant de petites tenues colorées et mignonnes. Agnès, le sourire malicieux aux lèvres, en profita pour rendre l'atmosphère plus légère et... un peu plus électrique.
En parcourant les étagères, Agnès lança un regard complice à Rosalia, qui feuilletait les vêtements avec attention. "Tu sais," dit-elle, d'un ton taquin, "je n'avais pas remarqué à quel point tu avais du goût. Je suppose que tu t'y connais en mode bébé, mais... je me demande si tu choisis des vêtements avec autant de soin pour tes autres amies."
Rosalia tourna brièvement la tête vers Agnès, un léger sourire aux lèvres. "Oh, tu sais, je pense que je suis une experte en vêtements mignons. Mais je ne choisis jamais rien sans m'assurer que ça ira parfaitement, même pour un petit bébé." Elle continua de parcourir les étagères, mais elle sentit l'air entre elles se charger d'une nouvelle énergie.
Agnès s'approcha un peu plus près, effleurant doucement le bras de Rosalia en prenant un petit ensemble de body. "Oh, vraiment ? Alors je suppose que tu pourrais aussi bien choisir des vêtements pour des adultes. Je suis sûre que tu saurais parfaitement comment me faire fondre," dit-elle, un sourire en coin, laissant son geste traîner un instant sur le bras de Rosalia avant de retirer sa main.
Rosalia, un peu surprise par l'audace de son geste, se redressa légèrement, un éclat dans les yeux. Elle feignit une innocence exagérée. "Vraiment, Agnès ? Et moi qui pensais que tu préférais garder tes distances," répondit-elle, son ton légèrement moqueur mais amusé.
Agnès haussait les sourcils, le regard plus pétillant. "Ah, tu sais, je suis pleine de surprises. Peut-être que je devrais te montrer d'autres facettes de ma personnalité," dit-elle en se penchant légèrement en avant, comme pour murmurer un secret. Elle laissa sa main effleurer à nouveau l'épaule de Rosalia, cette fois plus assurée, son sourire s'élargissant.
Rosalia tourna lentement la tête vers Agnès, un sourire en coin se formant sur ses lèvres. "Tu es incorrigible, Agnès. Mais je suppose que c'est ce qui te rend si... intéressante," répondit-elle, son ton doux mais chargé d'un sous-entendu léger.
Agnès s'éloigna alors d'un pas, choisissant un petit chapeau pour bébé avec un sourire satisfait. "Si tu veux vraiment me connaître, Rosalia, il faudra bien plus qu'une simple boutade pour me faire fondre," lança-t-elle, son regard taquin se posant sur son amie.
Rosalia secoua la tête en souriant, mais un petit éclat d'amusement brillait dans ses yeux. "Je ne doute pas de cela," répondit-elle. "Mais soyons claires, Agnès. Tu es la plus rusée des deux. Tu es prête à faire fondre n'importe qui."
Les deux femmes continuèrent de parcourir la boutique, mais l'atmosphère entre elles était désormais chargée de flirt subtil et de taquineries à peine voilées. Agnès, bien qu'elle s'amusât de l'effet qu'elle avait sur Rosalia, savait aussi que cette complicité, cette tension amicale, ajoutait un peu plus de piquant à leur relation. Et elle adorait ça. Après avoir choisi quelques tenues pour bébé, Agnès et Rosalia décidèrent de s'arrêter dans un café du coin pour boire un verre. La journée avait été animée, mais une tension agréable flottait toujours entre elles, comme si le flirt et les taquineries continuaient d'habiter l'air autour d'elles.
Elles s'assirent à une table près de la fenêtre, la lumière douce de l'après-midi caressant leurs visages. Agnès, visiblement de bonne humeur, lança un sourire charmeur à Rosalia avant de prendre une gorgée de son verre. "Tu sais," dit-elle lentement, sa voix teintée de malice, "c'est agréable de passer du temps avec toi. J'avais presque oublié à quel point tu pouvais être... captivante."
Rosalia, assise en face d'elle, la regarda par-dessus son verre, son regard déjà chargé d'un sous-entendu. Elle répondit, d'une voix douce mais pleine de défi : "Oh, Agnès, tu es pleine de compliments aujourd'hui. Mais je me demande... est-ce que c'est vraiment moi qui suis captivante, ou est-ce toi qui sais comment rendre chaque moment intéressant ?"
Les yeux d'Agnès s'étrécirent légèrement, un éclat de plaisir dans le regard. Elle s'approcha un peu de la table, ses lèvres esquissant un sourire subtil. "Eh bien, c'est difficile de résister à un tel charme," dit-elle, un léger rire dans la voix. Puis, ses yeux descendirent légèrement sur le corps de Rosalia, observant la façon dont sa chemise tombait juste parfaitement, ses formes qu'elle trouvait incroyablement séduisantes.
"Tu sais, j'adore la façon dont tu te tiens, Rosalia. Il y a quelque chose d'imparable chez toi."
Rosalia soutint son regard, un sourire en coin naissant sur ses lèvres. Elle n'hésita pas à répondre par un jeu tout aussi provocateur, tout en mordillant doucement sa lèvre inférieure. "Vraiment ? Parce que toi aussi, tu sais parfaitement comment attirer l'attention. Mais je dois avouer que j'aime bien la façon dont tu me regardes," dit-elle, sa voix plus basse, mais sensuelle.
Le jeu de regards s'intensifia, les yeux d'Agnès ne quittant pas Rosalia, et une tension palpable se créa autour d'elles, comme un fil invisible les reliant. Rosalia la fixa, un regard audacieux mais amusé, sentant la chaleur de cette connexion entre elles.
"Et toi, Rosalia," dit Agnès d'un ton plus intime, sa voix presque un murmure, "tu n'arrêtes jamais d'être aussi... séduisante." Elle laissa ses yeux s'attarder sur ses lèvres, avant de les relever lentement vers ses yeux. "Tu es la tentation incarnée."
Rosalia, amusée par la tournure des choses, n'hésita pas à jouer à son tour. Elle se pencha légèrement en avant, son regard se faisant plus intense, sa voix douce mais pleine de sous-entendus.
"Et toi, Agnès, tu es l'une des plus grandes tentatrices que j'ai jamais rencontrées," répondit-elle, ses yeux balayant lentement le corps d'Agnès de haut en bas, avant de revenir à ses yeux. "C'est dangereux de me regarder comme ça, tu sais."
Agnès sentit son cœur s'accélérer légèrement sous ce regard, mais elle ne cilla pas, un sourire provocateur sur les lèvres. "Je suis une grande fille, Rosalia," répondit-elle avec assurance. "Je sais ce que je fais."
Leurs yeux se verrouillèrent à nouveau, le silence autour d'elles devenant presque lourd. Rosalia mordilla encore une fois sa lèvre inférieure, ce petit geste ayant un effet indescriptible sur Agnès. "Tu crois vraiment que tu peux gérer ça ?" murmura Rosalia, une lueur de défi dans le regard.
"Je n'ai jamais eu peur d'un défi," répondit Agnès, son regard brillant d'une étincelle de jeu et de désir.
Les deux femmes étaient maintenant pleinement conscientes de l'alchimie qui se trouvait entre elles. Chaque geste, chaque mot, chaque regard semblait alimenter un feu de plus en plus difficile à ignorer. Et bien que rien de concret n'ait été dit, il était clair que l'attraction entre elles était devenue indéniable.
Leurs regards restèrent un instant suspendus, chacun mesurant l'autre dans un silence chargé d'intensité. Agnès, toujours aussi audacieuse, se pencha légèrement en avant, son sourire s'approfondissant. Elle caressa doucement le bord de son verre, ses doigts effleurant les gouttes d'eau qui s'y étaient formées à cause de la condensation. Chaque mouvement semblait calculé, comme si elle jouait un jeu silencieux avec Rosalia.
Rosalia, pour sa part, ne se laissa pas démonter. Elle répondit à ce défi silencieux par un petit sourire en coin, l'ombre d'un amusement dans les yeux. Elle se laissa un instant aller à l'intensité du moment, avant de briser le silence, sa voix plus basse, plus intime.
"Tu sais, Agnès," commença-t-elle, les yeux toujours ancrés dans les siens, "je suis bien plus difficile à séduire que tu ne sembles le penser."
Agnès éclata d'un petit rire, sa voix légèrement moqueuse. "Oh, je n'ai aucun doute là-dessus. Mais je me demande, Rosalia," dit-elle, se redressant un peu, "Est-ce que tu pourrais résister à une petite dose de ce que je sais offrir ?"
Elle marqua une pause, les mots porteurs de sous-entendus, avant de laisser ses yeux se promener lentement sur le corps de Rosalia, cette fois de manière plus appuyée, détaillant ses gestes avec une attention presque palpable.
Rosalia sentit la tension monter en elle, mais elle répondit d'un ton défiant, le regard brillant. "Et toi, Agnès ? Tu crois vraiment pouvoir jouer à ce jeu sans risquer d'y perdre ?" Elle attrapa son verre et prit une gorgée, ses lèvres effleurant le bord du verre d'une manière sensuellement délibérée. Elle savait très bien que chaque geste avait son impact sur Agnès.
Le petit sourire d'Agnès se fit plus profond alors qu'elle observait chaque mouvement, chaque expression de Rosalia. "Tu sais," dit-elle en murmurant, "je n'ai jamais été une grande perdante." Elle se pencha alors davantage en avant, presque imperceptiblement, son regard se faisant plus intense, capturant celui de Rosalia. "Mais toi, tu es tellement... captivante, Rosalia. J'ai l'impression que je pourrais perdre le contrôle à tout instant, et ça m'excite."
Rosalia sentit son souffle se bloquer un instant sous l'effet de la proximité d'Agnès, sa peau frémissant presque sous la chaleur de son regard. Elle mordilla de nouveau sa lèvre, cette fois avec plus d'intensité. "Je dois dire... que ce n'est pas si facile de me déstabiliser," répondit-elle, sa voix sensuellement rauque. "Mais si tu veux vraiment me tester, je suis prête à voir si tu tiens jusqu'à la fin."
Les regards de l'une et de l'autre se croisèrent à nouveau, un échange silencieux mais plein de promesses. La tension entre elles ne cessait d'augmenter, alimentée par ces gestes, ces sourires et ces mots chargés de sous-entendus.
Agnès, fascinée, se sentit un peu prise dans le jeu qu'elle avait initié. Elle savait que Rosalia n'était pas du genre à se laisser séduire facilement, et cela la rendait encore plus excitée par la situation. Elle se leva lentement, son mouvement fluide et assuré, avant de faire un pas vers Rosalia.
"Je pense que je vais devoir trouver un autre moyen de te faire céder," murmura Agnès, sa voix pleine de défi et de désir. Elle s'arrêta juste à côté de Rosalia, leur proximité se faisant presque électrique, avant d'ajouter, un sourire taquin aux lèvres : "Mais je me demande... est-ce que tu me laisses seulement une chance ?"
Rosalia, toujours aussi sûre d'elle, leva un peu le menton, son regard ne quittant pas celui d'Agnès. "Tu devrais vraiment tout donner si tu veux que je m'abandonne à toi." Elle se redressa légèrement dans son fauteuil, se rapprochant presque imperceptiblement, comme si elle la défiait de faire le premier pas.
Leurs corps étaient maintenant si proches que la moindre brise aurait suffi à faire trembler la tension qui pesait dans l'air. Mais aucune d'elles ne faisait le moindre mouvement décisif, se laissant toutes deux emporter par le jeu, jouant avec cette fine ligne entre désir et contrôle.
Le jeu de regards continua, sans qu'aucune ne cède complètement, mais chacune savait que l'une ou l'autre finirait par se perdre dans cette attirance irrésistible.
༺♡༻
Les agents du SHIELD, postés à la frontière de Westview, observaient attentivement la ville étrange et mystérieuse qui semblait être complètement coupée du reste du monde. Une brume d'incertitude planait autour de l'événement qui s'y était produit : Wanda Maximoff, ou plus précisément, l'entité qu'elle était devenue, avait créé cette ville de toute pièce.
Les rapports étaient clairs, bien que fragmentés : les habitants de Westview semblaient être prisonniers de cette réalité alternative, avec aucune mémoire claire des événements avant d'y être coincés. Des signaux ont été interceptés, et après plusieurs mois d'investigation discrète, les agents du SHIELD avaient découvert que Wanda Maximoff était probablement la source de cette anomalie.
Réunis dans une salle de conférence secrète, à l'intérieur d'un bunker bien protégé, les agents du SHIELD se préparaient à une réunion de stratégie. Ils s'assirent autour d'une grande table, les visages tendus, prêts à discuter des prochaines étapes.
Le directeur du SHIELD, un homme calme et implacable, prit la parole en premier, ses yeux rivés sur les documents étalés devant lui. "Nous avons des preuves claires que Wanda Maximoff est responsable de la création de Westview. Ses pouvoirs, bien qu'extraordinaires, semblent avoir échappé à tout contrôle."
Un agent, un expert en analyses psychologiques, leva la main avant de prendre la parole. "Ce n'est pas seulement un simple acte de pouvoir, c'est une tentative manifeste de manipulation. Wanda a créé une réalité parallèle où elle peut contrôler le temps, les gens, tout. C'est une forme de réalité tissée autour de ses désirs et de ses pertes."
Un autre agent, plus militaire, donna son avis. "Nous avons observé que toute tentative d'entrer dans la ville a échoué. Les forces sont beaucoup plus puissantes qu'on l'avait imaginé. Mais si Wanda a le contrôle de cette ville, cela signifie qu'elle doit aussi être le point de faiblesse. Si nous pouvons l'atteindre, peut-être pouvons-nous résoudre cette situation."
Le directeur hoche la tête en signe d'accord. "Oui, nous avons encore beaucoup à apprendre sur la nature de ses pouvoirs et la structure de cette réalité. Ce n'est pas juste une manipulation psychologique ; elle manipule la réalité elle-même. Les conséquences de ce qu'elle fait ne sont pas juste locales, elles pourraient se répercuter bien au-delà de Westview si elle perd le contrôle."
"Et les habitants ?" demanda un agent, qui avait l'air préoccupé. "Sont-ils conscients de ce qui se passe ?"
"Certains ont repris conscience, mais c'est partiel," répondit l'analyste. "Nous avons eu des témoignages. Certains habitants ont commencé à se rendre compte qu'ils sont coincés dans cette illusion. Mais l'emprise de Wanda est trop forte pour eux. C'est comme une prison mentale."
Un agent plus jeune, un spécialiste des opérations spéciales, fit une suggestion. "Peut-être que l'approche la plus directe serait de chercher un moyen d'intercepter Wanda, de la confronter directement et de comprendre ce qu'elle veut vraiment. Si on la frappe sur ses motivations, peut-être qu'on pourra briser ce cercle."
"Nous devons agir avec prudence," intervint le directeur, "Parce que Wanda n'est pas seulement une menace. Elle a aussi une capacité émotionnelle... Elle manipule non seulement la réalité mais les émotions des gens, les personnes qui l'entourent. C'est ce qui la rend d'autant plus dangereuse. Nous devons être stratégiques. Une confrontation frontale pourrait être suicidaire."
Un silence s'installa dans la salle alors que tout le monde réfléchissait aux risques. Finalement, le directeur reprit la parole : "Notre priorité doit être de comprendre l'origine et la portée de ses pouvoirs. Nous devons aussi nous assurer que nous avons une équipe prête à intervenir si les choses dégénèrent. Nous devons être prêts à tout. La situation à Westview pourrait avoir des conséquences bien plus graves si elle s'étend au-delà des murs de cette ville."
"Quel est notre plan d'action ?" demanda l'un des agents.
"Nous allons établir des lignes de communication secrètes pour observer les événements à Westview. Nous devons recueillir plus d'informations sur la façon dont Wanda interagit avec les habitants. En parallèle, je veux que des équipes d'élite se préparent à pénétrer la ville, mais seulement si nous avons suffisamment d'informations pour garantir leur sécurité. Nous devons apprendre à comprendre cette réalité qu'elle a créée, et pourquoi elle agit de cette manière."
La réunion se poursuivit avec des discussions plus détaillées sur les actions à entreprendre, mais une chose était claire : les agents du SHIELD avaient une mission urgente. Wanda Maximoff n'était plus simplement la super-héroïne qu'ils connaissaient, elle était devenue une force imprévisible, une entité capable de remodeler le monde selon ses désirs. Et le SHIELD allait devoir comprendre comment l'arrêter avant que cela n'échappe complètement à tout contrôle.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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De Julian à Kieran
CORRESPONDANCE PRIVÉE : TOUTE DIVULGATION ENTRAINERA LA PEINE DE MORT
De la part de : Julian Blackthorn de Blackthorn Hall
A l’attention de : Kieran, Roi de la Cour des Ténèbres
Eh bien nous sommes revenus de la Cour des Lumières. Bonne nouvelle : nous avons la pelle à poisson. Mauvaise nouvelle : nous n’avons pas appris grand-chose et nous avons éveillé beaucoup de soupçons. Mais je serai ravi de te raconter le déroulé des événements, en espérant que ça te soit utile. J’espère aussi que tu considèreras que c’est un échange équitable contre la faveur que tu dois maintenant à un phouka. (Je suis quasiment certain que cette faveur impliquera de te demander d’acheter un chapeau.)
Nous étions assez nerveux à l’idée d’y aller, même avec l’invitation d’Adaon : la dernière fois que nous étions dans le Royaume des Fées, ça ne s’était pas bien passé. Tout n’était que fumée grise, neige, phalènes et terres qui dépérissaient. Tout ça semble être du passé maintenant, le Royaume a de nouveau l’air en pleine santé. C’était l’automne là-bas, et le sol était recouvert de feuilles, toutes rouges et dorées.
Bref, nous avons suivi les instructions d’Adaon et sommes entrés dans le Royaume par un vieux tertre dans le parc de Primrose Hill. Nous nous sommes retrouvés dans une clairière où deux immenses portes en bois émergeaient du sol. Et Adaon était là pour nous accueillir, ce qui était sympathique de sa part.
Mais il n’avait pas du tout l’air content. Il s’est précipité vers nous et nous a avoué qu’il avait dû dire à la Reine que nous venions.
- Il ne se passe pas grand-chose sous son toit, a-t-il ajouté, dont elle n’a pas connaissance. C’est pour cette raison qu’elle a la main mise sur le pouvoir depuis tout ce temps, en partie.
Il avait un regard si misérable qu’Emma lui a assuré que tout allait bien et que nous ne faisions rien que la Reine désapprouverait, ni même dont elle se soucierait. Il a vaguement secoué la tête :
- L’on ne sait jamais ce dont Sa Majesté se souciera. Ni ce qu’elle désapprouvera. Elle m’a prié de vous conduire tous les deux dans la salle du trône dès votre arrivée, et c’est donc ce que je dois faire.
Là, j’ai commencé à être un peu plus inquiet. J’ai rappelé à Adaon qu’il avait garanti notre sécurité. Il a répondu :
- Selon les lois de l’hospitalité, sans parler des Accords, elle ne peut pas vous faire de mal ni vous retenir contre votre gré, si votre but est vertueux.
Mais il a de nouveau secoué la tête.
- Laisse-moi deviner, ai-je lancé. La Reine seule a le pouvoir de déterminer si notre but est vertueux ou non.
Adaon a esquissé un faible sourire.
- Exactement.
Mais il nous a conduit vers la salle du trône.
Le thème de l’automne était tout aussi présent dans cette salle que dans la clairière. Même davantage. Mais ce n’était pas par rapport à la fin de la période de végétation, ni à la tristesse que l’été soit fini. C’était plutôt comme une célébration des récoltes. Ce que je veux dire, c’est qu’il y avait des cornes d’abondance débordant de calebasses, de pommes, de poires, d’épis de maïs. Il y avait des ballots de foin, ce qui est assez drôle parce que personne dans cette salle du trône n’a jamais fait de ballots de foin, crois-moi. Des pixies avec des ailes de papillon ardentes faisaient le tour du plafond.
La Reine était, sans surprise, sur son trône. Elle portait une robe qui était faite entièrement, je te le jure, de scarabées d’un vert étincelant cousus ensemble. Ses cheveux encadraient son visage comme une explosion de flammes rouge doré. Elle n’a plus l’air chétif et décharné, tel que la dernière fois que nous l’avions vue, et elle semblait irradier un pouvoir qui lui manquait avant.
Il y avait les groupes d’elfes habituels dispersés dans la salle – des courtisans, je suppose – commérant, gloussant, assis avec indécence. Donc tout paraissait normal de ce côté-là. Ils nous ont à peine adressé un regard. Ils ont simplement tendu le cou, compris que nous n’étions pas intéressants et repris leur flânerie.
Je m’attendais à ce que la Reine se mette tout de suite à nous insulter, mais elle était en réalité assez cordiale. Pas chaleureuse. Mais pas hostile non plus. Évidemment elle a voulu que nous la complimentions pour la décoration d’abord. Elle a désigné la salle du trône d’un grand geste de la main et entamé la conversation :
- Vous avez choisi une charmante saison pour venir nous rendre visite.
- C’est plus fun que la dernière fois, a remarqué Emma.
- Et pourtant, vous avez choisi de revenir, a commenté la Reine comme si ça la réjouissait, malgré… l’absence de fun lors de notre dernière rencontre.
- Nous n’avions pas vu notre ami Adaon depuis longtemps, ai-je déclaré. Le plaisir de sa compagnie nous manquait.
- Si telles sont vos paroles, a répliqué la Reine.
Je suppose que ça se traduit par « C’est clairement des conneries ».
- Comme vous vous en doutez certainement, je ne suis pas sans savoir que votre frère est le consort du Roi de la Cour des Ténèbres.
- Seulement l’un de ses consorts, a corrigé Emma.
La Reine l’a ignorée.
- Assurément, vous avez anticipé que je vous soupçonnerais d’espionnage.
- Nous ne sommes pas ici pour le Roi de la Cour des Ténèbres, ai-je déclaré, mais plutôt pour nos intérêts à la Cour des Lumières. Notre famille est en effet liée à la Cour des Lumières de plusieurs manières. Comme vous le savez.
La Reine m’a également ignoré.
- Votre meilleure défense, selon moi, est qu’il est si évident que l’on vous choisisse comme espions, que certainement Kieran Kingson (je pense que c’était censé être une insulte envers toi, ou moi, ou nous deux) ferait un choix plus réfléchi.
- C’est bien vrai, est intervenue Emma.
- Eh bien, a lâché la Reine. Racontez-moi une fable. Quelle est la raison de votre venue ?
J’ai pensé que nous n’avions rien à perdre avec la vérité – nous ne faisions vraiment rien dont la Reine aurait dû se soucier. Alors je lui ai raconté toute l’histoire : nous avons hérité d’une maison à Londres, la maison est maudite, nous voulons rompre la malédiction. J’ai insisté sur le fait que ni la maison ni la malédiction n’étaient liées au Petit Peuple. (Je n’ai pas mentionné Round Tom, puisque j’ai pensé que ça nous éloignerait du sujet principal.)
Pour rompre la malédiction, nous devons (entre autres choses) obtenir cette pelle à poisson. Nous avons appris qu’elle était ou avait été la propriété de Socks MacPherson le phouka. Nous sommes venus négocier avec lui pour la récupérer, et nous nous sommes arrangés avec Adaon pour recevoir une invitation parce que nous n’avions aucun moyen de contacter MacPherson directement.
- Tout ce que nous voulons, a continué Emma, c’est faire du troc avec MacPherson pour récupérer la pelle à poisson. Nous pouvons faire ça juste ici, dans la salle du trône, si l’on peut le faire appeler.
La Reine a semblé très intéressée tout d’un coup :
- Vous êtes prêt à régler cette affaire ici, sans jamais visiter la Cour à proprement parler ?
J’ai confirmé que nous partagions grandement le désir de la Reine que nous ne visitions pas la Cour.
Elle a paru surprise, mais elle a appelé l’un des courtisans et lui a chuchoté quelque chose.
- On enverra chercher le phouka, a-t-elle annoncé. Prince Adaon, quand les Nephilim auront terminé leur négociation avec lui, vous les escorterez dehors et leur donnerez congé.
Adaon a répondu par une révérence.
- Et maintenant, a repris la Reine avec un rapide mouvement des yeux, je vous prie de m’excuser, car je vois que l’on me demande.
Nous nous sommes décalés pour la laisser descendre de son trône. J’ai vu qu’un homme était entré. Je ne l’ai pas reconnu, mais c’était clairement quelqu’un d’important : il était vêtu complétement différemment de toutes les autres personnes. Au lieu de la tenue appropriée pour la Cour, il portait une cape à capuche gris-vert, et son visage était dissimulé par un masque en forme de tête de faucon. Ses vêtements étaient plus appropriés pour la chasse en forêt que pour autre chose, mais ils étaient parfaitement propres. Je ne savais pas quoi penser de lui. Mais je me suis dit qu’il valait mieux inclure sa description. Tu m’as dit de faire attention à tout ce qui pouvait être nouveau ou discordant, et je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’il l’était.
Nous avons attendu en discutant avec Adaon pendant quelques minutes avant que Socks MacPherson n’arrive. Nous avions déjà rencontré quelques phoukas avant – l’un d’entre eux est le portier du Marché Obscur de Los Angeles, comme tu t’en souviens peut-être – et j’avais pensé que MacPherson serait comme eux, mais non, c’est un type complétement différent. Il portait un immense chapeau rond en fourrure d’où dépassaient ses oreilles. C’était beaucoup pour un seul chapeau.
Il semblait surpris que la Reine nous ait laissés seuls. Il a affirmé qu’il était désolé si nous avions été tourmentés outre mesure à cause de lui. Je lui ai précisé qu’elle avait probablement eu l’intention de nous surveiller de son regard menaçant mais qu’elle avait dû partir à l’improviste. MacPherson a haussé les épaules :
- Elle croit que tout est un mouvement dans sa partie d’échecs à cinq dimensions. Mais parfois, quelqu’un veut simplement m’échanger quelque chose contre un ustensile de cuisine. En parlant de ça, j’ai la pelle à poisson.
Il avait avec lui une sorte de sac fourre-tout dont il a sorti la pelle. Tout de suite, le Détecteur de Fantômes a sonné bruyamment. MacPherson a sursauté et est allé se cacher derrière l’un des groupes de courtisans. Mais nous voyons toujours son chapeau. (Et ses oreilles qui tremblaient au-dessus du chapeau.) Alors nous nous sommes approchés et lui avons expliqué que c’était simplement un outil qui détectait les objets maudits que nous recherchions, et que le bruit était une bonne nouvelle puisque ça confirmait que la pelle à poisson était bien celle que nous recherchions. Puis les courtisans nous ont éloignés ; nous les empêchions de reprendre leur important badinage.
Socks a grommelé, c’était à parier, ce « minable Spoon » lui avait donné une pelle à poisson maudite.
- Je ne sais pas pourquoi j’ai accepté ce marché, a-t-il poursuivi. Je n’en ai même pas l’utilité. Je suis végétarien.
Il nous a enfin demandé ce que nous avions à offrir, nous lui avons annoncé que c’était une faveur de ta part et avons expliqué en quoi nous étions qualifiés pour offrir une telle chose. Il a trouvé l’offre acceptable et nous avons ramené la pelle à poisson à la maison.
En résumé : Sock MacPherson est protégé par la Cour des Lumières mais n’a pas hésité une seule seconde à accepter une faveur de la Cour des Ténèbres. La Reine reste méfiante, elle avait des soupçons sur nous. Mais il faut aussi s’en méfier parce que son comportement était étrange. C’est certain que la Cour des Lumières cache quelque chose, étant donné que la Reine a été extrêmement soulagée au moment même où elle s’est rendu compte que nous n’allions pas quitter la salle du trône pour aller jeter un œil à la Cour. Mon intuition, qui n’a pas vraiment de fondement, c’est qu’elle ne cache pas quelque chose, mais bien quelqu’un – s’il s’agissait d’un objet, sûrement pourrait-elle le cacher quelque part où nous ne pourrions pas le voir ? Mais ce n’est qu’une impression.
C’est tout. Je te suis infiniment reconnaissant, comme toujours, pour toute ton aide. Je suis sûr que tu t’attendais à plus d’informations que le contenu de cette lettre, mais j’espère que tu y trouveras une utilité.
Embrasse Mark et Cristina pour nous. Nous t’embrassons également. Et surtout, gloire à Kraig.
Julian
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/688227415184588800/julian-to-kieran
#cassandra jean#cassandra clare#secrets of blackthorn hall#sobh#the shadowhuter chronicles#tsc#shadowhunters#julian blackthorn#emma carstairs#kieran kingson#phouka#sock macpherson#seelie queen#seelie court#glory to kraig#ghost sensor
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Escale Septentrionales - Promenades aux galeres T3
Tome 3 of the "Promenades aux galères" by the incredible Mediefictions is out :D !
One thousand one hundred and eighty-eight years after the advent of the One. Boreal Lands, so close to the Pole. A stopover in Skara will bring wealth, happiness... and terror. Only when the thaw comes, Lubin will be able to flee the Frozen Lands. While defying the Sea of Perils, he discovers a terrible golden curse, capable of plunging the empire into chaos. Will this fatal discovery be the coming of the often foretold Age of Troubles ?
You can get it there (french only), quick before the Fish God gobs us all !
> https://mediefictions.sumupstore.com/article/escales-septentrionales
( Available in ePub - French only)
/* Krita + Yiynova */
Le tome 3 de la série "Promenade aux galères" par l'incroyable Médiéfictions est sorti :D !
An de grâce mille cent quatre-vingt-huit après l’avènement de l’Unique Terres boréales, au plus proche du pôle. L'escale à Skara fournira richesses, bonheur et terreur. Le dégel permettra à Lubin de fuir les contrées boréales. Pourtant, après avoir défié la mer des périls, il va découvrir une terrible malédiction dorée à même de précipiter les terres d'empire dans le chaos. L'age des troubles, si souvent annoncé, viendra-t-il de cette découverte fatale?
Procurez-vous le vite sur son site avant que le Dieu Poisson ne vous avale tout rond ! > https://mediefictions.sumupstore.com/article/escales-septentrionales
( Disponible également en epub )
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La Nature portée par Daisuke Igarashi
Daisuke Igarashi (né le 2 avril 1969) est un mangaka qui a commencé son aventure au début des années 1990 avec des thématiques de prédilection : la nature et l'environnement tels que les Les enfants de la Mer, Sorcière ou plus récemment Designs. Il a d'abord démarré sa carrière dans la magazine de prépublication spécialisé dans le genre seinen Afternoon (Kodansha).
Quelques une de ses œuvres :
Petite forêt narre l'histoire de Ichiko qui vit dans le hameau de Komori. Elle partage son expérience de la cuisine naturel (elle aborde déjà le circuit court et le bien mangé) mais derrière ce personnage se camoufle une enfance tourmentée. Le personnage a souffert de l'abandon de sa mère… - Disponible en France chez Delcourt.
Le petit monde de Kabocha (One-shot) : Même s'il est est paru au Japon en 2007, il sera disponible en France en septembre 2024 dans la nouvelle collection Le Renard Doré des éditions Rue de Sèvres. Une exploration d'un chat dans son environnement… Sûrement quelques surprises durant ses vadrouilles.
Designs: Histoire originale sur l'hybridation des humains avec la nature ce qui donne des personnages dotés de facultés assez particulières. Le sujet traite donc de l'évolution de la civilisation avec de nouvelles capacités et de nombreuses questions se posent à travers cette histoire sur notre propre évolution avec le monde. Le tome 4 sort le 26 avril 2024.
Sorcières : comment des sorcières sont à la fois le bouclier de la nature ou bien encore des êtres destruteurs. Disponible en France aux Editions Casterman - Sakka.
Saru : Légende issu des profondeurs de la Terre qui a l'apparence d'une puissance singe. Un jour son pouvoir se divise en deux: une partie physique et une partie mentale. Mais au fur et à mesure que la partie physique prend de la force, la partie mentale décroit. Cette décroissance est liée à la magie noire. C'est là qu'intervient Nana et Nawan Namugyaru pour enrayer ce déséquilibre de la nature. Editions Sarbacane
Les enfants de la mer (dernière de couverture - Editions Sarbacane) : Ruka, collégienne éprise de liberté, vit au bord de la mer. Alors que les vacances d'été commence à peine, elle fait la connaissance de deux garçons, Umi et Sora. Ils lui dévoilent un formidable secret : depuis leur plus tendre enfance, ils sont élevés par des dugongs, étranges et doux mammifères marins menacés de disparition. Les deux garçons fascinent Ruka, ils nagent si facilement dans la mer, c'est comme s'ils volaient dans le ciel...
Ce même été, des milliers de poissons disparaissent, comme évanouis, partout dans le monde - en pleine mer, et jusque dans les aquariums. Quelle est la cause de ce phénomène mystérieux ? Et pourquoi tant de gens s'intéressent-ils à Umi et Sora ?
Un conseil : Découvrez cet auteur avec des histoires très atypiques dans l'univers du manga.
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Idée repas léger le soir: Découvrez nos idées faciles
Dans notre quête d'un mode de vie sain et équilibré, l'importance de ce que nous mangeons le soir ne peut être sous-estimée. Opter pour un repas léger avant de se coucher peut avoir un impact significatif sur notre santé globale et notre bien-être. Dans cet article, nous explorerons les avantages d'un repas léger le soir, des conseils pour composer un repas équilibré, ainsi que quelques recettes simples et rapides pour vous inspirer.
Les avantages d'un repas léger le soir
Promouvoir un sommeil de qualité
La digestion d'un repas lourd tard le soir peut perturber notre sommeil en provoquant des reflux acides et une sensation d'inconfort. En optant pour un repas léger, nous permettons à notre corps de se reposer plus facilement et de profiter d'un sommeil réparateur.
Faciliter la digestion
Les aliments lourds et riches en graisses peuvent être difficiles à digérer, surtout lorsque nous nous préparons à nous coucher. Un repas léger, composé d'aliments faciles à digérer comme des légumes et des protéines maigres, permet à notre système digestif de fonctionner plus efficacement.
Maintenir un poids santé
Manger un repas lourd le soir peut contribuer à un apport calorique excessif, ce qui peut entraîner une prise de poids indésirable. En optant pour des repas légers et équilibrés le soir, nous pouvons mieux contrôler notre poids et favoriser une meilleure santé générale.
Conseils pour un repas léger et équilibré
Choix d'aliments faibles en calories
Privilégiez les aliments riches en nutriments mais faibles en calories, tels que les légumes verts feuillus, les fruits frais et les grains entiers. Évitez les aliments transformés et riches en sucres ajoutés qui peuvent entraîner une augmentation de la glycémie.
Opter pour des protéines maigres
Les protéines maigres, comme le poulet, le poisson et le tofu, sont des choix idéaux pour un repas léger le soir. Elles fournissent une sensation de satiété sans ajouter de calories superflues.
Incorporer des légumes et des fruits
Les légumes et les fruits sont riches en fibres, en vitamines et en minéraux essentiels pour notre santé. Ils constituent une base idéale pour un repas léger le soir, ajoutant de la couleur, de la saveur et de la texture à nos repas.
Recettes simples et rapides pour un repas léger
Salade méditerranéenne
Ingrédients :
Laitue
Tomates cerises
Concombres
Olives
Fromage feta
Vinaigrette à l'huile d'olive et au citron
Préparation :
Coupez les légumes en dés et mélangez-les dans un grand bol.
Ajoutez les olives et le fromage feta émietté.
Assaisonnez avec la vinaigrette à l'huile d'olive et au citron.
Servez frais et dégustez !
Poisson grillé avec légumes sautés
Ingrédients :
Filet de poisson (saumon, cabillaud, etc.)
Assortiment de légumes (poivrons, courgettes, oignons, champignons, etc.)
Huile d'olive
Herbes de Provence
Sel et poivre
Préparation :
Assaisonnez le poisson avec du sel, du poivre et des herbes de Provence.
Faites chauffer une poêle avec un peu d'huile d'olive et faites cuire le poisson des deux côtés jusqu'à ce qu'il soit doré et cuit à point.
Pendant ce temps, faites sauter les légumes dans une autre poêle avec un peu d'huile d'olive jusqu'à ce qu'ils soient tendres.
Servez le poisson grillé avec les légumes sautés et dégustez !
Soupe de légumes maison
Ingrédients :
Assortiment de légumes (carottes, céleri, poireaux, pommes de terre, etc.)
Bouillon de légumes
Herbes fraîches (thym, romarin, persil, etc.)
Sel et poivre
Préparation :
Coupez les légumes en dés et faites-les cuire dans une grande casserole avec le bouillon de légumes.
Laissez mijoter jusqu'à ce que les légumes soient tendres.
Ajoutez les herbes fraîches et assaisonnez avec du sel et du poivre selon votre goût.
Mixez la soupe jusqu'à obtenir une consistance lisse et crémeuse.
Servez chaud et savourez cette délicieuse soupe réconfortante !
Options de collations légères pour le soir
Yaourt grec avec des fruits
Le yaourt grec est une excellente source de protéines, tandis que les fruits frais ajoutent une touche de douceur et de fraîcheur. C'est une collation légère et satisfaisante pour combler les petites faims du soir.
Poignée de noix
Les noix sont riches en graisses saines, en protéines et en fibres, ce qui en fait une collation nourrissante et énergisante. Une petite poignée de noix est parfaite pour calmer les fringales nocturnes.
Légumes crus avec hummus
Les légumes crus, comme les carottes, les concombres et les poivrons, sont riches en fibres et en nutriments essentiels. Associez-les à une portion de hummus pour une collation légère et délicieuse.
Conclusion :
Adopter un mode de vie sain commence par des choix alimentaires judicieux, même le soir. En privilégiant les repas légers et équilibrés, nous pouvons favoriser un sommeil de qualité, faciliter la digestion et maintenir un poids santé. Avec les conseils et les recettes proposés dans cet article, vous pouvez créer des repas légers et délicieux pour vous et votre famille.
FAQ :
Est-il mauvais de manger tard le soir ?
Manger tard le soir peut perturber la qualité de votre sommeil et contribuer à une digestion difficile, mais choisir des aliments légers peut atténuer ces effets.
Quels aliments sont bons à manger le soir ?
Des aliments légers et faciles à digérer, comme les protéines maigres, les légumes et les fruits, sont idéaux pour un repas du soir.
Puis-je perdre du poids en mangeant léger le soir ?
Oui, en limitant votre apport calorique le soir et en choisissant des aliments sains, vous pouvez contribuer à une perte de poids.
Dois-je éviter les glucides le soir ?
Il n'est pas nécessaire d'éliminer complètement les glucides, mais il est préférable de choisir des sources de glucides complexes et de les consommer en petites quantités.
Que puis-je boire le soir pour rester hydraté ?
L'eau est toujours la meilleure option pour rester hydraté le soir, mais vous pouvez également opter pour des tisanes ou des infusions sans caféine.
Voir aussi : Idée repas léger le soir: Découvrez nos idées faciles
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file: Aquarium de la Porte Dorée - Poisson 40.jpg
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Vase modèle Deux Poissons
Christofle & Cie Vase modèle Deux Poissons En 1874 Émail cloisonné, bronze galvanique doré, verre coloré H. 39,5 ; L. 23,4 ; P. 14 cm Don, 2019 © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt
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Découvrez l'EuroVelo 6 : une incroyable aventure à vélo de l'Atlantique à la Mer Noire
L'EuroVelo 6 est un parcours cyclable qui traverse l'Europe, reliant l'Océan Atlantique à la Mer Noire. Suivant les côtes, fleuves et châteaux, cette route offre des paysages variés et exceptionnels à explorer en selle. Dans cet article, nous vous présentons un itinéraire détaillé pour découvrir cette voie unique sur deux roues. Le parcours global de l'EuroVelo 6 Ce tracé emblématique s'étend sur plus de 4 000 km, traversant dix pays européens et empruntant principalement des voies vertes ou des pistes cyclables sécurisées. L'EuroVelo 6 suit les cours d’eau majeurs tels que le Rhin, le Danube et la Loire, offrant ainsi des panoramas époustouflants et des sites historiques à chaque étape du trajet. Les différentes sections de l'EuroVelo 6 Afin de faciliter votre voyage, l'itinéraire complet se divise en plusieurs sections, que vous pouvez réaliser séparément ou dans leur ensemble : - La section atlantique (France) : de Nantes à Bâle. - La section rhénane (Allemagne, Suisse, France) : de Bâle à Passau. - La section danubienne (Allemagne, Autriche, Slovaquie, Hongrie) : de Passau à Budapest. - La section centre-européenne (Croatie, Serbie, Roumanie, Bulgarie) : de Budapest au delta du Danube. - La section finale (Roumanie, Bulgarie, Turquie) : du delta du Danube à la Mer Noire. Les étapes phares de l'Itinéraire vélo EuroVelo 6 Découvrez quelques-uns des temps forts de cet itinéraire qui marqueront votre périple : Nantes Située sur l'estuaire de la Loire, Nantes est une ville pleine de charme dotée d'un riche patrimoine historique et culturel. Avant de partir pour l'EuroVelo 6, prenez le temps de visiter le château des ducs de Bretagne, la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul ou encore les célèbres Machines de l'île. Le Val de Loire Inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, le Val de Loire vous émerveillera par ses paysages bucoliques et ses châteaux emblématiques comme ceux de Chambord, Chenonceau, Amboise ou Azay-le-Rideau. Ne manquez pas non plus les jardins de Villandry et les dégustations de vins locaux dans les caves troglodytiques. Strasbourg Capitale européenne et alsacienne, Strasbourg est une étape incontournable sur l'EuroVelo 6. Admirez la magnifique cathédrale Notre-Dame, flânez dans le quartier pittoresque de la Petite France et traversez le Rhin pour rejoindre l'Allemagne via le pont Pierre Pflimlin. Le Danube Le long du fleuve le plus long d'Europe, vous passerez par des sites spectaculaires comme les falaises calcaires de la Porte-de-Bavière, le Parc Naturel Donau-Auen en Autriche ou encore le Parc National Đerdap à la frontière serbo-roumaine. De nombreux villages typiques jalonnent également ce tronçon, permettant de découvrir les traditions locales. Budapest Surnommée la "Perle du Danube", Budapest offre un panorama unique depuis le pont Széchenyi Lánchíd avec ses collines de Buda et la plaine de Pest encadrant le fleuve. Profitez de cette étape pour visiter le château royal, les bains thermaux de Gellért ou le Parlement hongrois, puis dégustez un goulasch traditionnel dans les rues animées. Le Delta du Danube Cette zone protégée offre une biodiversité exceptionnelle et constitue un paradis pour les ornithologues avec plus de 300 espèces d'oiseaux nicheurs. Entre canaux labyrinthiques et marais sauvages, vous partirez à la découverte des traditions ancestrales de la pêche et de l'élevage qui marquent cette région unique. La Mer Noire Votre aventure sur l'EuroVelo 6 se termine sur les plages dorées de la Mer Noire, où vous pourrez célébrer votre réussite en savourant un poisson grillé accompagné d'un verre de vin local. Les stations balnéaires de Varna (Bulgarie) et Constanta (Roumanie) offrent une multitude d'animations estivales pour conclure en beauté ce périple inoubliable. Préparer son voyage sur l’EuroVelo 6 Pour profiter pleinement de ce parcours d’exception, il convient de bien préparer son voyage : - Voies cyclables : informez-vous sur les pistes accessibles et les conditions de circulation dans chaque pays traversé. - Hébergements : réservez vos étapes à l’avance, en tenant compte de la saison et du dénivelé. - Budget : prenez en compte l’ensemble des frais engagés, tels que les transports jusqu’à votre point de départ, la location ou l’achat de matériel, les repas et les visites touristiques. - Gastronomie locale : découvrez lors de votre itinéraire, les spécialités culinaires de chaque région et goûtez aux produits locaux. Avec ces quelques conseils en tête, vous voilà prêt à partir à la découverte de l'EuroVelo 6, des splendeurs naturelles et du patrimoine culturel incomparable qui marqueront ce voyage cyclotouristique hors du commun. Read the full article
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