#poésies inédites
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N’écris pas. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre. Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre ; Et frapper à mon cœur, c’est frapper au tombeau. N’écris pas ! N’écris pas. N’apprenons qu’à mourir à nous-mêmes. Ne demande qu’à Dieu… qu’à toi, si je t’aimais ! Au fond de ton absence écouter que tu m’aimes, C’est entendre le ciel sans y monter jamais. N’écris pas ! N’écris pas. Je te crains ; j’ai peur de ma mémoire ; Elle a gardé ta voix qui m’appelle souvent. Ne montre pas l’eau vive à qui ne peut la boire. Une chère écriture est un portrait vivant. N’écris pas ! N’écris pas ces deux mots que je n’ose plus lire ; Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ; Que je les vois brûler à travers ton sourire ; Il semble qu’un baiser les empreint sur mon cœur. N’écris pas !
Marceline Desbordes-Valmore, “Les Séparés”, Poésies inédites (1860)
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"Marthe" de René Char, ou l'amour intense et courageux : épisode • 2/20 du podcast L'Instant poésie de Clara Ysé | France Culture
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The youngest recruit
Gen (no ship) - Severus Snape centric - De-aged Severus Snape
Read it on AO3 !
The fourth chapter is online ! Here's an excerpt :
“What kind of book?”
“A French poetry book and a potion book about beetles.”
“A French poetry book?”
“Poésies inédites, by Marceline Desbordes-Valmore. Why? You know something, Evans?”
“Severus hate poetry. He used to say…” she trailed off a moment, like if she was trying to remember it better. “He used to say that it’s a mess of fancy words for self-congratulating snobs.”
That did sound like him. But how that woman knew that, he had no idea…
Summary :
1979. The order of the phoenix is slowly losing the war against Voldemort.
When Albus Dumbledore finds a de-aged Severus Snape, he sees an opportunity. As soon as the death-eater get his memories back, they will be able to get information that might change the balance of the war.
Meanwhile, Severus Snape, nine-year-old, convinced that he had been kidnapped by very weird people, starts planning his evasion.
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VIVRE EN POÉSIE AVEC METAHODOS : PRÉVERT S’ANIME À MONTMARTRE
ARTICLE – La poésie de Jacques Prévert s’anime au musée de Montmartre 23 octobre 2024 par Clémence Varène LE BONBON Jusqu’au 16 février 2025, venez découvrir toute la puissance onirique de Jacques Prévert dans le cadre idyllique du musée de Montmartre. L’institution dresse un portrait inédit de l’artiste, trop souvent réduit à ses talents de parolier et de poète, qui nous invite à plonger dans…
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Hello Wattpad
Après quelques mois d’écriture en brouillon sur Tumblr…
J’ai décidé de me lancer sur Wattpad, mon premier projet s’appellera Mémoire d’Automne
Vous pourrez peut-être revoir quelques écrits qui étaient et qui seront sur mon Wattpad. La poésie est mon arme secrète pour écrire ce que je ressens réellement. Dans mon premier recueil de poésie je parlerai d’une histoire d’amour qui naîtra jamais il y aura parfois de l’imagination et du réel. Récemment je rêvais de ce garçon depuis un long moment, il est connu sur les réseaux et récemment j’ai appris qu’il était acteur et donc il a été cette inspiration pour mon premier recueil mais je ne dévoilerai pas son identité pour le protéger et cela me regarde que moi et dans certains de mes écrits comme : Amour d’automne, Lettre à toi, Désolée si je pense à toi, Tu n’es pas un hasard ou encore Je veux qu’il me dise… (il est devenu mon inspiration pour ce premier recueil)
Je parlerai aussi de mon combat avec la santé mentale et de ce qu’il m’empêche de tomber amoureuse, mes doutes, la peur de l’amour, je ramène enfin ma plume sur Wattpad et y aura des écrits inédits sur Wattpad.
Donc voici la couverture que vous verrez le 16 Octobre sur mon Wattpad : Babydollpoetry et il y aura 2 écrits par jour sur ce premier projet ! Je débarque enfin sur Wattpad et prête à dévoiler ma plume vers des cœurs inconnus !
(PS: Je serai toujours présente sur Tumblr et ça sera comme mon brouillon avant l’écriture finale sur Wattpad 💌) Vos likes m’ont donner la force de débuter sur Wattpad donc n’hésitez à me follow la bas aussi !
Rdv le 16 octobre pour l’intro + les 2 premiers écrits inédits sur Wattpad 📝🥰
Rêver d’une histoire d’amour avec quelqu’un qui naîtra jamais ? C’est possible surtout si il est déjà connu sous les lumières des projecteurs
Memoire d’Automne à partir du 16 Octobre sur Wattpad !
Ne vous inquiétez pas je ne quitterai pas Tumblr ici c’est tellement ma safe place oui je peux m’exprimer librement mes sentiments, émotions… ☺️
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ola! juste une petite histoire pour vous.
Mossiba et les singes de La Chiffa.
( extrait de mon roman inédit à ce jour mais à paraître Inchallah)
(...) L'inépuisable richesse de ce pays serait-elle la source de ses malheurs à l'image du fameux voyageur cloué au sol à cause de ses bagages trop lourds à porter? Dans ce cas, les autorités compétentes ont bien raison de jeter du lest.
Oui pas besoin de s'emmerder avec des saints d'Augustin ou des saints d'on ne sait d'où? Pas besoin de Kahéna, de Jugurtha ou de Juba 2. Pas besoin de chemins qui mènent à Rome. Pas de Casbah, de touristes, d'art brut ou de futurisme. Pas besoin d'Albert Camus, de vin d'Algérie, de turqueries ou de Mouloud Mammeri. Pas de bigoudis, de rimiti, de monokinis ou de ouistitis ... Motus et bouche cousue! Une seule poésie, un seul écrit, un seul cri : " one, tou, tri, viva l'Algérie " ! Quand je vois ces tyrans musulmans d'aujourd'hui, je me dis tout bas : heureusement que les Chrétiens nous ont chassé d'Andalousie ! Car que serait l'Espagne sans ses Salvador Dali, ses Garcia Lorca, ses sensuelles danseuses flamenco, sa divine sangria, son Real de Madrid et ses flamboyants olas? Ollé ola! Viva España! "
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Les effets de la littérature fantastique du XIXe siècle anglais sur l’imaginaire contemporain
Dracula (1897), Frankenstein (1818), L’étrange Cas du Dr Jekyll et Mr Hyde (1886)... On ne présente plus ces oeuvres classiques qui ont façonné le XIX siècle anglais. Frankenstein se voit souvent considéré comme la première oeuvre de science-fiction littéraire (bien que cette affirmation soit largement remise en cause), et Dracula comme le premier roman de littérature vampirique : ces chefs-d’oeuvre aux multiples interprétations et adaptations peuvent-ils encore surprendre le lectorat moderne ? En effet, la lecture de ces oeuvres fantastiques peut parfois susciter un certain manque. La cause d’un tel sentiment peut s’expliquer par l’absence de surprise et l’incapacité à s’attendre à quelque chose. Cependant, leur renommée peut aussi être un facteur favorisant leur appréciation par le lectorat, notamment par la richesse de leur texte. En prenant en considération ces éléments, il peut être intéressant de développer une réflexion : comment ces romans ont-ils transcendé leur époque jusqu’à la nôtre ?
I- Dracula
La popularité du vampire, déjà très présente dans la poésie du XVIIIe siècle, s’est répandue par le biais de l’image mystérieuse et angoissante façonnée par Bram Stoker. C’est ainsi toute une mode qui se crée autour de lui. D’une certaine façon, c’est moins le roman que sa créature qui fascine : à sa sortie, on retient Dracula parce qu’il incarne une créature nouvelle, un inédit qui inspire la prestance et la peur dans un décor gothique tout aussi sombre. C’est cette création et son caractère particulier que l’on célèbre encore aujourd’hui, c’est l’exploration de cet être mythique qui donne matière aux adaptations et aux inspirations. Les adaptations cinématographiques, par exemple, prennent une certaine liberté quant à la narration de l’histoire (et c’est bien naturel, le livre et l’écran sont deux médias très différents). La figure de Dracula reste néanmoins toujours centrale et le récit se construit autour de lui, parfois bien plus que dans l’œuvre de Stoker où il n’apparaît finalement que peu et toujours brièvement. Je pense notamment aux innombrables adaptations de Dracula devenues de véritables références telles que Nosferatu le vampire (Friedrich Wilhelm Murnau, 1922) et Bram Stoker’s Dracula (Francis Ford Coppola, 1992), qui ont accentué la fascination engendrée par le roman original.
Quelles peuvent être les divergences entre les interprétations du lectorat moderne et du lectorat de l’époque ? Il est difficile de se faire sa propre idée quand celle-ci a été influencée par des siècles d’images populaires. Et comment se représentait-on Dracula en 1897 ? On peut se demander si Stoker a volontairement dressé un portrait sommaire de son personnage pour laisser place à l’imagination de ses lecteurs, ou si selon lui la créature du vampire était suffisamment impressionnante pour ne pas nécessiter une description en profondeur. Toujours est-il que l’image de Dracula varie selon l’œil de celui qui l’adapte : monstre sanguinaire, bourgeois excentrique, toutes ses représentations dégagent un archétype qui s’est ancré dans l’imaginaire collectif. Le XIXe siècle, dépourvu de cet archétype, s’est potentiellement construit une image tout autre du célèbre vampire. Cette image était peut-être plus proche de celle de Bram Stoker, qui décrit simplement un monstre plutôt laid à la cruauté palpable, mais elle se fait héritière de notre vision moderne un peu plus diversifiée.
Les lecteurs d’aujourd’hui sont également privés du suspens pourtant central de l’histoire, qui a sûrement contribué à son succès de l’époque — lire Dracula, de nos jours, n’implique pas un grand sens de mystère, au contraire de la peur que peut toujours insuffler le récit (car une peur connue n’est pas nécessairement une peur qui s’annule). La peur à l’époque provenait purement du monstre, de sa figure angoissante, tandis que la peur aujourd’hui semble découler d’un mélange entre la créature et toute sa réputation.
Son succès qui ne tarit pas se doit donc surtout à l’écriture aiguisée de Stoker et au monstre issu de légendes qu’il a réussi à ériger en icône.
II- Frankenstein
Nous avons affaire ici à un roman qui a également transcendé son époque par sa modernité et par la question qu’il pose : du créateur ou de la créature, qui est le monstre ? Frankenstein fascine du fait de cette dualité qui s’est inscrite dans l’imaginaire collectif et qui, au fil des siècles, a donné lieu à des semblants de réponse quant à l’identité du véritable monstre. Là où Dracula captive pour son personnage, Frankenstein s’illustre pour le débat autour duquel son histoire se construit. Pour son époque, c’est un roman moderne : pour la nôtre, c’est un classique qui a lui aussi donné lieu à beaucoup d’adaptations, et même de réécritures.
Le phénomène Frankenstein pousse à penser que la littérature est en mouvement constant, qu’elle n’est pas assignée à un socle qui la maintient dans un état statique. Les œuvres les plus avant-gardistes d’une époque peuvent devenir les classiques d’une autre, vestige mémorable du passé ; le temps s’écoule et la littérature le suit en s’adaptant et se modelant. Quelle surprise pour un lecteur du XVIIe siècle anglais de découvrir le roman de Mary Shelley, les déboires d’un homme qui a voulu s’élever au rang de Dieu en donnant la vie à une créature qu’il finira par rejeter, les subtilités de l’écriture presque morbide de Shelley, l’étonnement et peut-être même la terreur au travers des paysages de montagne et des pluies battantes qui façonnent le récit. L’inconnu est total, tandis qu’il a disparu pour un lecteur de notre siècle. Cette absence de mystère est compensée par la question du monstre qui ne cesse de créer des débats : le génie de Shelley réside en sa capacité à avoir soulevé une question universelle, qui se retrouve dans toutes les époques.
III- Dr Jekyll et Mr Hyde
Pour terminer cet article, je parlerais du roman de Stevenson, qui pose lui aussi une question existentielle et intemporelle : l’homme est-il composé uniquement de bien ou de mal ? oStevenson, lorsqu’il donne la parole au bon docteur Jekyll, affirme ”man is not truly one, but truly two” ; encore aujourd’hui, cette affirmation résonne, bien au-delà du roman.
L’étrange Cas du Dr Jekyll et Mr Hyde est un roman qui tient le lecteur en haleine car sa narration est jalonnée par un dualisme mystérieux dont la résolution n’a lieu qu’à la toute fin. Dans un Londres brumeux et angoissant, on suit différents protagonistes gravitant autour de deux êtres, tentant de percer leurs secrets. En matérialisant l’idée d’une coexistence du bien et du mal, Stevenson signe une œuvre qui fascinera sur plusieurs générations. Cependant, cette interprétation de l’oeuvre se fait moins présente dans les lectures contemporaines : ces deux (ce ?) personnage ont été tellement repris par la culture populaire qu’il est devenu impossible d’en ignorer l’issue. Il serait intéressant de pouvoir découvrir cette oeuvre sans savoir ce que réserve la fin, en se demandant réellement ce qu’il va advenir des protagonistes et en ne connaissant rien d’eux au préalable, mais c’est impossible justement parce que la littérature est évolutive. Tout comme Dracula, le docteur Jekyll et son double, Mr Hyde, sont désormais tous deux des icônes : ils symbolisent la bataille intérieure de l’humain.
La société d’aujourd’hui est héritière de ce type de roman, et la culture contemporaine s’appuie sur les histoires qu’il raconte. Leur aspect de mystère et de suspens a été éclipsé par le prestige qui s’en dégage, que ce soit par des personnages devenus célèbres ou des questions qui soulèvent un débat. Un classique se lit aussi pour le reflet de l’époque qu’il dépeint : dans ses lignes se trouvent bien souvent une critique, ou du moins une description incisive, de la société dans laquelle l’auteur évoluait. C’est pourquoi il est intéressant et même pertinent de lire ces innovations classiques d’un œil neuf tout en prenant en compte leur contexte ; ma sensation d’inachevé liée à l’absence de surprise a pu être un peu mise de côté par la rationalisation de mes lectures. Ces histoires suscitent aujourd’hui de nouveaux sentiments, différents de ceux expérimentés par les gens qui les ont vu apparaître : peut-être est-ce là le secret de leur longévité.
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HABITANT + SUICIDE MOTORHEAD + M_D_R + SARA LEHAD & VINCENT JEHANNO
MERCREDI LE 20.12
HABITANT SUICIDE MOTORHEAD M_D_R SARA LEHAD & VINCENT JEHANNO
LES NAUTES
1, Quai des Célestins 75004 M° Sully-Morland
P.A.F. 6€
20:00 portes
20:45 action !
HABITANT Duo électronique composé de Mara Krastina & de Colline Grosjean, respectivement bassiste-chanteuse et batteuse de l'excellent groupe post-punk motorique " suisse " MASSICOT ( autres projets " parallèles " incluent Ensemble Nist-nah, Pêche Plate... ).
Mara chante en letton et joue du synthé analogique. Colline chante ( en français ) et mêle percussions acoustiques ou digitales à des samples de field recordings. Le résultat est un mix de pièces élastiques que l'on peut parfois appeler des chansons. Sons concrets, polyphonie et motifs rythmiques à tempos variables tissent une atmosphère à la fois joyeuse et ambiguë.
Poésie lettone, espace acoustique contre espace digital, danser ou ne pas danser, se réjouir et prendre peur.
SUICIDE MOTORHEAD
Duo à trois et parfois à deux, c'est ainsi, c'est comme ça ! " ( ... ) la muzzique kontemporaine pour les nülles.Au commencement, il y eut le concert de PILOU-PILOU aux NAUTES, le 5 janvier 2015.Toutes les personnes qui ont assisté à ce concert ont fondé un groupe en rentrant chez elles, en métro. Donc SUICIDE MOTORHEAD, c'est la Turangalîla symphonie tendance Lounès Matoub (Ur Shisif Ara). Sous influence du dernier Ligeti et du premier Gérard Grisey (i Luhqed Zhir). A fond sur l'axe OTH/HOUSEMARTINS, embouchure de la Seine et bords de la Loire. (Yedhwayam). Sterling Morrison Makossa X Elton John Cage orchestra etc etc. "
TOUT est dit.
Électronique - bande magnétique - performansse. SM [ ce sont ] ( a priori ) : Paul Laurent - Beavis Martin - Romaric Sobac.
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M_D_R
Nouveau trio ( éphémère ? ) / avant-première mondiale / rencontre inédite ( du moins en public ) entre Marina Goussina ( aka Marina Levallois ), Delphine Dora et Romain 'Roro' Perrot. On devine qu'il y aura du synthé, des effets, de la voix humaine, des nappes et des notes, de la mélodie ( ? ) ou presque, et de l'ambiance feutrée... .. On peut avoir tout faux aussi. Étant donné qu'il s'agit d'une toute première fois, nous ne disposons à ce jour d'aucun lien permettant d'en savoir plus. Vous pouvez néanmoins faire des paris, anticiper, checker les liens individuels déjà existants pour ces individus distincts et bien occupé.e.s.
SARA LEHAD & VINCENT JEHANNO Duo inédit - - du moins en public ( info non vérifiée à 82% ), autre (avant)première mondiale donc.
Électronique / bande magnétique / field recordings / feedback ) impro in situ à chaud.
Sara ( " Improvisation, noise, no-input " ) se définit comme " improvisatrice et compositrice travaillant à l'intersection entre musiques électroacoustiques / improvisées et noise" - on pourrait en dire autant de Vincent.
" Le live actuel s’appuie sur du feedback de table, des boucles de rétroactions qui déploient des énergies telluriques, tonitruantes et déchirantes. Comme des voix qui gardent le silence depuis des temps immémoriaux et qui s’expriment enfin dans un vouloir dire qui transcende un sens univoque."
Vincent improvise avec son instrument principal - un Revox B77, collecte du field recordings et en joue.
" Il accumule de la bande magnétique. Il enregistre aussi, avec deux micros cardioïdes. On dit des enregistrements de terrain. Parce que ce qui compte, c’est le terrain. Mais aussi le cadre. Qui bouge. On dit aussi phonographie. Parce qu’il y a inscription. On y entrevoit du quotidien et des marées. Des micros et des hauts-parleurs qui relationnent. "
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https://soundcloud.com/vincentjehannohttps://vincentjehanno.fr/
Fly - Jo L'Indien
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Le 19, CRAC Montbéliard : programme de décembre 2023
Voici le programme du 19, Centre Régional d’Art contemporain, de Montbéliard de décembre 2023 : Fugitive, Émilie Soumba Du 2 décembre 2023 au 14 janvier 2024 au 19, Crac Vernissage + concerts Secret Signals de P.E.S*, État glaise & LordxGonzo vendredi 1er décembre à 18h30. La Box du 19 est un dispositif de soutien à la jeune création contemporaine qui invite chaque année un artiste sélectionné par un jury composé par l'équipe du 19, Crac et Stéphane Prigent en 2023 - à produire une œuvre inédite. Pour cette 8ème édition, Émilie Soumba est lauréate de l’appel à projet lancé aux étudiant·es et jeunes diplômé·es des écoles d’art des régions Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est et l'artiste invitée à investir la Box du 19 avec son installation Fugitive à l’occasion des Lumières de Noël de la Ville de Montbéliard. Le vendredi 1er décembre, la soirée de vernissage sera suivie de trois concerts exclusifs programmés par Kerozen (Stéphane Prigent) avec le projet Secret Signals de P.E.S*, État glaise et LordxGonzo pour une soirée électronique, noise fleurtant avec l’ambient et la poésie sonore. La radio expérimentale mulhousienne Node sera également présente pour enregistrer et diffuser les concerts en direct. Fais-le toi-même si t'es pas content (F.L.T.M.S.T.P.C) Commissariat : Stéphane Prigent (Kerozen) Jusqu'au 14 janvier 2024 au 19, Crac F.L.T.M.S.T.P.C est une maison de micro-édition qui publie des livres, des fanzines et des disques. Depuis 1999, elle rassemble et diffuse les pratiques d’artistes contemporains issus de différents horizons invités, par Stéphane Prigent, à répondre à des protocoles ou aux logiques sérielles qu’il orchestre. En savoir plus sur l'exposition. Dimanches 3 décembre et 7 janvier à 15h30 : visites commentées de l'exposition, gratuit. Fermeture exceptionnelle à 16h00 les 24 et 31 décembre. Atelier DO IT Samedi 2 décembre 2023 de 15h00 À 17h00 Initiation à l’art de l’imprimé maison - photocopie, sérigraphie, façonnage - une après-midi d’atelier avec Stéphane Prigent (Kerozen), artiste et commissaire de l'exposition Fais-le toi-même si t'es pas content. Atelier sans limite d’âge. Gratuit, réservation conseillée au 03 81 94 13 47 ou [email protected] La boutique de Noël est de retour au 19, Crac ! Vinyles, cassettes, fanzines, éditions jeune public, cartes postales pop-up, livres d'artistes, goodies... Retrouvez des créations de Stéphane Prigent (Kerozen), de P.E.S*, du label SCUM YR EARTH, de François Henninger, de Lisa Guépratte, d’Élise Grenois, du collectif Badaboum, mais aussi les éditions de l'Articho ou encore les affiches du magazine Kiblind. infos > 03 81 94 13 47 ou [email protected] Read the full article
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"Je m’écris" d’Andrée Chedid, une étude de soi : épisode 1/20 du podcast L'instant poésie de Keren Ann | France Culture
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MARDI 8 AOÛT 2023 (Billet 1 / 4)
« L’ATELIER DES IMAGES » - CHAGALL, PARIS – NEW YORK
En 2021, nous avions vu ici l’Expo consacrée à Salvador Dali que nous avions beaucoup aimée. JM y est même retourné avec sa nièce, Maïlys et Jérôme, son fiancé de l’époque (ils se sont mariés entre temps et viennent hier d’avoir un joli BB, Simon, 3kg 2 à la naissance – nous l’avons appris lorsque nous étions au restaurant après avoir quitté « l’Atelier des Images »).
Nous ne savons pas si tous les peintres et leurs œuvres peuvent « supporter » une telle « mise en lumières ». Une chose est sûre, cela fonctionnait très bien avec Dali (il est vrai que la musique des Pink Floyd collait à merveille aux projection) et de la même façon avec Chagall. Son style inclassable, ses couleurs très particulières et ses personnages aussi étranges qu'attachants nous ont transportés dans son univers, aux confins de la poésie et de l’onirisme.
La bande-son de l’Expo est EXCEPTIONNELE ! Au moment on l’on voit, projetés sur tous les murs de l’Atelier, les vitraux qu’il a créés, on entend un morceau au saxophone d’une beauté inouïe. Si vous aimez cet instrument, allez sur Internet et tapez « Portrait of a Romantic – John Surman ». Certains passages frôlent le sublime.
Chagall fait partie des peintres modernes que nous apprécions beaucoup. Nous avions vu une belle rétrospective de ses « Années russes », il y a longtemps, en 1995, au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris et visité son TRES beau et émouvant Musée à Nice, essentiellement consacré à ses œuvres religieuses et spirituelles, et puis quelques uns de ses tableaux dans différents endroits… mais grâce à cette Expo, nous l’avons rencontré dans une autre dimension. Chagall s’écrit avec 2 « l » ou 2 « ailes » ?
(Texte trouvé sur le Site de « l’Atelier des Lumières »)
« Une exposition numérique inédite présente l’ensemble de sa création, dévoilant une œuvre ancrée dans son temps, au croisement des nouveautés artistiques et culturelles de son siècle. Paris et New York, capitales emblématiques de l’art moderne, représentent deux étapes cruciales dans la longue trajectoire de l’artiste. Paris est sa ville d’élection, offrant, grâce aux avant-gardes des années 1910, un vivier de recherches expérimentales au jeune peintre d’origine russe, qui les nourrit de ses propres références culturelles. New York est d’abord un lieu d’exil dans les difficiles années 1940, qui, pourtant, donnera une nouvelle impulsion à la créativité de l’artiste.
Après la guerre, plusieurs expositions et commandes artistiques majeures tisseront encore des liens entre Paris et New York et rappelleront Chagall aux États-Unis, jusque dans les années 1970. Sans vouloir être enfermé dans une école ou dans un mouvement parmi ceux qu’il a côtoyés et observés, Chagall a su nourrir son œuvre des expériences les plus diverses et les plus actuelles, dans chacune des villes et des continents où il a vécu.
Le temps de cette exposition immersive, tous les thèmes qui composent l’imaginaire de l’artiste défilent sur les murs de l’Atelier des Lumières. Ils sont jalonnés d’extraits de musique classique, klezmer (musique instrumentale de fête qui était autrefois jouées dans les communautés juives d’Europe de l’Est) ou jazz, qui font aussi partie intégrante de son univers culturel.
Témoin des grands événements historiques du XXe siècle, des plus sombres aux plus rayonnants, Chagall fait ainsi de son art audace et imaginatif son premier instrument d’engagement, de paix et d’espoir. »
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Ma dernière séance … Cléo, Melvil et Moi
Ma dernière séance ... Cléo, Melvil et Moi
Une très belle surprise et un joli moment de poésie, avec des scènes du quotidien bouleversées par le contexte inédit de Paris confiné. Le noir et blanc ajoute de la sensibilité, de la douceur … un vrai moment de cinéma comme on aimerait en voir plus souvent. La photographie est superbe surtout les cadrages et la lumière dans des rues et sur les façades parisiennes 😉Beaucoup d’émotion grâce aux…
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A la rentrée, le musée de l'Orangerie à Paris met en lumière une période particulière dans la carrière d'Amedeo Modigliani : les années où Paul Guillaume devient son marchand. L'occasion de découvrir les liens qui ont uni l'artiste et son mécène.
Un an après la grande exposition qui s’est déroulée à la Barnes Foundation (Philadelphie, États-Unis), le musée de l’Orangerie (Paris, Ier arrondissement) rend à son tour hommage à Amedeo Modigliani (1884-1920). Du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024, l’institution présentera « Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand », un événement inédit qui se concentre sur un moment précis de la carrière du peintre et sculpteur : les années où Paul Guillaume (1891-1934) est devenu son marchand. Un siècle après leur rencontre, cette exposition explorera les liens qui unissent l’artiste et son mécène : du soutien du collectionneur à la spécificité des œuvres produites pendant cette période, en passant par leurs passions communes.
Une rencontre qui lance Modigliani sur la scène artistique parisienne
Modigliani arrive à Paris en 1906. Trois ans plus tard, il rencontre Constantin Brancusi (1876-1957) qui l’initie à la sculpture. Jusqu’en 1914, Modigliani s’y consacre presque exclusivement. De 1914 jusqu’à sa mort en 1920, l’artiste renoue avec la peinture et réalise principalement des portraits. En 1914, Paul Guillaume démarre son activité de marchand et découvre l’artiste juif d’origine italienne par l’intermédiaire du poète Max Jacob (1876-1944). Pour l’encourager et le soutenir, le jeune galeriste français lui loue un atelier à Montmartre, achète, vend et collectionne ses œuvres, ce qui fait peu à peu connaître Modigliani dans les cercles artistiques et littéraires de Paris.
En 1915 et 1916, l’artiste réalise plusieurs portraits peints et dessinés de son mécène. Le musée de l’Orangerie, qui conserve aujourd’hui la collection Paul Guillaume qui comprend cinq toiles de Modigliani, détient le premier tableau de cette série de portraits. Intitulée Paul Guillaume, Novo Pilota (1915), l’œuvre montre le jeune marchand de 23 ans en costume, élégant et sûr de lui.
Des portraits de Cocteau, Moïse Kisling, Béatrice Hastings et Jeanne Hébuterne
En tout, plus d’une centaine de toiles, une cinquantaine de dessins et une dizaine de sculptures de Modigliani sont passées entre les mains de Paul Guillaume. « Ce nombre dénote à la fois l’implication du galeriste dans la promotion de l’artiste mais aussi son goût personnel pour ses œuvres, largement présentes sur les murs de ses différents appartements », décrit le musée de l’Orangerie dans un communiqué. Parmi celles-ci, Modigliani a brossé les portraits des figures majeures du Paris de l’époque, telles que Max Jacob, André Rouveyre, Jean Cocteau ou encore Moïse Kisling, mais aussi des modèles inconnus, et d’exceptionnels ensembles de portraits des femmes qui ont partagé la vie de l’artiste, comme l’écrivaine Béatrice Hastings puis la jeune peintre Jeanne Hébuterne, sa dernière compagne et la mère de son enfant.
Avec une sélection d’œuvres emblématiques, les commissaires de l’exposition Cécile Girardeau, conservatrice au musée de l’Orangerie, et Simonetta Fraquelli, historienne de l’art et commissaire de « Modigliani Up Close » à la Fondation Barnes, évoqueront les différentes caractéristiques de ce corpus. À l’aide des écrits de Paul Guillaume, elles exploreront également les liens intimes entre le peintre et son marchand, et notamment leur intérêt commun pour l’art africain, la littérature et la poésie. Enfin, elles mettront en lumière le rôle essentiel du galeriste dans la diffusion de l’œuvre de Modigliani sur le marché de l’art en France et aux États-Unis dans les années 1920, où Paul Guillaume conseille et vend au Dr. Albert C. Barnes, médecin et riche collectionneur, plusieurs œuvres de l’artiste.
Pour compléter l’exposition inédite, le 1er décembre prochain, une journée d’étude sera organisée dans l’auditorium du musée d’Orsay. Thierry Dufrêne, professeur à l’université de Nanterre, Cécilie Champy-Vinas, directrice du musée Zadkine, et Cécile Girardeau échangeront ainsi sur la place de Modigliani dans le marché de l’art parisien, entre 1900 et 1939.
« Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand »
Musée de l’Orangerie
Jardin des Tuileries, Paris 75001 - FRANCE
du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024
Texte Par : ConnaissancedesArts
#breizh#bretagne#brittany#cotesdarmor#amedeo modigliani#france#orsay#louvre#the metropolitan museum of art#peintre#peinture#kunstgalerie#kunstmuseum#kunst und kultur#kunstdruck#meet the artist#artcollectibles#artcollector#original art#painter#painting#ii paintbrush#artistsupport#artistsoninstagram#artists on tumblr#art#artistic#artwork
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perdre ?
Je soigne le moment, je choisis où je vais poser l’ordinateur sur la table, la tasse de café à proximité, le bouquin que je quitte pour écrire, le chat qui me tourne le dos et profite de la fraîcheur du matin, la mer au loin, qu’on voit danser, je prête attention aux gestes, aux bruits que font l’écran qu’on ouvre, puis les cliquetis des lettres enfoncées dans le clavier, qui s’intercalent entre les chants de la fauvette, dans le pin, et les coups du voisin qui défonce un mur. C’est ici que commence pour moi la poésie, que le texte ne fera que prolonger, le poème dans lequel je convoque le souffle qui courait sur ma peau, hier soir, sur cette plage de galets bondée, quand la joie s’était entremêlée au vent, que le vent était devenu ma joie, me parcourant par vagues, vive et chaude, inédite. Nora était près de moi, le soleil embrassait mon corps de ses lèvres brulantes, le vent l’enveloppait d’un drap doux et sans poids, tendre, bouleversant : je me laissais envahir par cette joie, et j’ai perçu alors son pouvoir d’effraction, d’écrasement, j’ai senti ce qu’il fallait consentir à perdre pour la laisser entrer, pour autoriser la caresse à s’emparer de ma peau, il fallait s’autoriser à vivre, je veux dire : à renaître, donc à laisser mourir celui que j’étais encore juste avant de pénétrer dans l’eau froide et sale de Corbières, dix minutes plus tôt, dix minute avant la joie, qui n’en finissait pas de me mettre au monde.
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Dim. 4 juin à 18h : MARION COUSINEAU
nouvel album : Nuances (chanson/slam/poésie – Québec/France)
La franco-québécoise Marion Cousineau promène ses chansons des deux côtés de l’Atlantique depuis 2018. Elle cultive au travers de ses voyages une envie de dire et de donner, une capacité d’écoute et de présence qui font de ses concerts des moments qui nous habitent encore longtemps après que le rideau soit tombé.
Son univers lui ressemble, fait de personnages étonnants, de moments fugaces finement esquissés avec respect et humanité. Seule en scène, à la basse ou au piano, oscillant entre poésie douce et slams captivants, elle offre une énergie régénérante, une performance inédite dont on se souvient.
Marion Cousineau : chant, basse, piano, looper www.marioncousineau.com www.facebook.com/marioncousineauchanson
1ère partie : Quand Didier Tangue
Quand un auteur compositeur interprète de talent, biberonné aux grand noms de la chanson française, rencontre un contrebassiste virtuose et un habile accordéoniste, il nait une alchimie vertigineuse, de quoi nous faire vaciller, et quand Didier Tangue il y a de forte chances pour qu'il nous entraine dans la danse...
Réservation : [email protected] ou au 04 75 93 73 90 Ouverture du Bo'bar à 17h30 & cantine à 20h30
Participation aux frais : 7€-12€-18€
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