#plans cul sur paris
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je-suis-ronflex · 8 months ago
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J'ai repris contact avec un ancien plan cul parce qu'il avait liké ma dernière photo sur Insta en mode je vais prendre des nouvelles et j'ai appris qu'il était encore avec son mec (on avait arrêté de se voir à cause de ça) et que tout se passe bien et qu'ils vivent leur meilleure vie sur Paris et franchement j'ai le giga SEUM alors que y a pas à avoir le seum comme ça je crois que ce monsieur me plaisait bien pour de vrai mais c'est pas grave je vais retourner rager dans mon coin mdr bisous
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 304
Fin juin 2014-1
Avec les beaux jours, je suis de nouveau à 100% de ma forme. J'ai travaillé les jambes et les fessiers en plus de la natation et ça fini par payer !
Le plus important est bien sûr que j'ai retrouvé la totalité de mes capacités sexuelles tant en passif qu'en actif.
J'en profite bien et depuis mon escapade sur Arcachon, je rattrape le temps perdu. Pas un jour sans que je me vide les couilles au moins 2 fois et c'est souvent 3 !
Les WE quand Marc est en déplacement, le blockhaus se rempli de jeunes mecs et ça baise à tous les étages.
Depuis mon accident, comme les barrières que j'avais mis en place entre Boulot et Perso sont tombées, il arrive fréquemment que mes escorts passent à un moment ou un autre quand ce n'est pas le WE entier s'ils n'ont pas de contrat.
Je suspecte même certain de mettre les " bouchées doubles " en semaine pour se dégager certain WE et pouvoir ainsi les passer avec nous (PH, moi, Ernesto quand il remonte de Barcelone et tous les amis de passage qu'ils soient de Paris ou d'ici).
Quand nos gendarmes peuvent venir, c'est WE " no vacancies ". Toutes les chambres sont occupées et les lits pleins (quand nous trouvons la force de les rejoindre !). Leurs gabarits (et pas que celui de leurs bites), attirent mes amis.
Lorsque nous avons réussi à faire monter les deux lads avec Jules avant que la saison ne démarre, ça été la folie.
Thème du WE : Gros calibre et petits culs.
Comme gros calibres, en plus des deux Lads (24x7 et 23 x 6,5), mes deux gendarmes (21 et 22 x 7 et 6) avaient réussi à se libérer. Ernesto nous a rejoints de Barcelone et son frère a pu passer plusieurs fois dans le WE (Emma ne pouvant me le laisser à 100%). Leurs 24x6 avaient toute leur place. J'ai intercédé auprès de Laure pour qu'elle nous libère son mari Xavier (26 x 6,5), ce qu'elle a gentiment accepté moyennant que je passe une soirée chez eux !! Eric et ses 26x7 bien noirs indispensables à ce type de plan, est venu grossir le nombre d' " Actif TTBM ", il a rejoint après ses cours de pilotage en fin d'après midi du samedi. J'ai même pu avoir Jean Black, un des " petits " mecs (de 2,05m quand même) attrapé il y a déjà quelques années par l'intermédiaire de la mère de Jean (cf. historique). Ses exceptionnels 30cm ont trouvé quelques amateurs ! Et, sans être exceptionnel mais quand même honorables et très efficaces, Marc (22x 6) et Hervé (21x5,5) que je ne voyais pas mettre de coté lors d'un tel WE.
Pour les petits culs, j'ai fait le tour des amateurs de gros calibres et ça a été deux jours complet non stop pour eux.
On était plus de 30 amateurs de beaux engins. Que les " jeunes " de mon carnet d'adresse, des derniers venus comme mes escorts médecins et Stéphane, mon chauffard, tous mes autres escorts (dispensés de taf ce WE là) et les petits nouveaux, Max, Guillaume et Anthony, les nageurs ; Kamal le danseur beur, Louis et Franck le nouveau couple, Tic, Tac et le petit Théo mais aussi Second et Julien sans oublier nos motards, Cédric, Daniel, Phil et Luc. Ric à qui j'avais raconté notre descente dans le bordelais a tenu à être des nôtres tout comme Arnaud notre voisin venu de notre campagne avec Jimmy et Maxou aussi.
Tous étaient arrivés avant que Jules accompagné des Lads ne sonnent à l'interphone. Déjà les vêtements étaient en tas près de la porte du monte-charge et même quelques sous vêtement couronnaient l'empilement. Du séjour, nous avions vue sur les jambes et les paquets des nageurs de la terrasse et si ça se tripotait déjà pas mal, personne n'avait encore lancé le " débat ".
A travers Jules, qui venait pour la première fois sans nos gendarmes (déjà sur place), je transmettais au chauffeur les dernières indications afin qu'ils nous rejoignent.
Je descends les accueillir au garage. Ils sont étonnés du nombre de motos et des voitures qui s'étalent sous leurs yeux. Je leur dis que tout le monde est déjà arrivé. Comme je vois que cela stress les deux lads, je les rassure. Jules casse tout en ajoutant que leurs bites de cheval allaient plus voir le jour du WE. Tous mes efforts pour les détendre cassés !! Merci Jules.
Ils trouvent le monte charge sympa et quand nous déboulons au 4ème, PH est devant la porte. Quand il s'efface pour nous laisser passer, ce sont plus de 15 curieux qui mangent des yeux nos deux amis.
Après quelques instants de stupeurs, ils éclatent de rire et commencent à se dépoiler. Ils apparaissent en slip Aussiebum qui baillent sur le pubis, entrainés par leurs services 3 pièces hors normes. Le conseil que je leur avais donné de se faire dédommager par leurs clientes du club du temps passé à les limer a été suivi d'effets ! Je suis content pour eux.
Evidemment ça dégénère ! Je crois que c'est mon petit Max qui s'est jeté le premier à leurs pieds et à embouché dans le mouvement la bite de 24 x 7, dénudée dans la chute, direct au fond de sa gorge. Je le chope par le cou, le relève et excuse nos invités pour ce comportement avide. Max gémi et tout le monde éclate de rire.
Je le relâche et il retombe à genoux la gorge écartelée par le gland de Lad 1. Faut dire que l'appendice, chapeautant un sexe de 24cm x 7, a de quoi étouffer plus d'un mec même très salope !
C'est parti pour un WE de licence et de débauche. Nos deux invités ne feront le tour de la " maison " qu'accompagnés d'une nuée de fan et c'est tout juste, s'ils pourront se retrouver dans les étages à la fin du WE ! J'ai juste eu le temps de les informer sur les quelques règles et pratiques de la maison avant qu'ils ne disparaissent sous les corps imberbes de mes amis
De mon coté je me perds entre les bites de Xavier et d'Eric quand ce n'est pas à enculer les trous vides qui passent devant mes yeux (enfin plutôt ma bite). Alors que Xavier m'encule profondément, et croyez moi, 26cm c'est du vrai " profond ", je lui parle du futur plan avec sa femme. J'ai accepté le plan cul mais je lui propose d'ajouter Max. cela ouvrira à ce dernier le champ des possibles. Je sais qu'en plus, ce petit vicieux sera partant et qu'avec lui et Laure, il testera quelques positions nouvelles. Xavier est Ok et me dit qu'il profitera de ce WE pour tester mon Max. Nous nous séparons avant d'avoir jouit afin de pouvoir profiter d'autres participants.
Je traine un peu et mate quelques " assemblages ". J'ai bien aimé voir Guillaume en levrette, le cul éclaté par Lad 2 avec à ses cotés Anthony pour l'encourager (après tout c'est presque son mec) alors qu'il attendait de se faire saillir à son tour.
J'ai cherché des yeux Jean Black, afin de savoir qui bénéficiait de son sexe hors norme. Je l'ai trouvé sur la terrasse en train de ramoner (avec ses 30cm y' a pas d'autre terme possible) les entrailles du petit Théo. Tic, son mec attitré, était à ses coté pour le soutenir, le féliciter, lui rouler des pelles et branler ses 19cm. Je les ai laissés alors que Jean Black collait ses hanches aux fesses de Théo et que Tic léchait les quelques larmes de plaisir qui coulaient de ses yeux. Enfin, j'ai quand même attendu quelques va et vient pour m'assurer que l'emboitement n'avait pas abimé la " mortaise " !
Plus loin mes deux gendarmes s'en donnaient à coeur joie en parallèle dans les culs de Jona et François en 69. Ils kiffent mes deux escorts les plus sportifs et musclés. C'est même cette caractéristique qui les a attiré tous les deux. Je tais le fait qu'ils sont quasiment confrères. Je les quitte en caressant le dos de François. Ma main glisse le long de sa colonne vertébrale et j'enfonce un doigt le long de la bite de 22x6 qui perfore son anus. François l'a senti passer car il cesse de sucer son mec pour voir qui se permettait de lui élargir encore plus la rondelle. Je profite qu'il tourne la tête vers moi pour lui rouler un patin au goût de sexe. Je retire mon doigt et les laisse tous les 4. Quand je m'éloigne, je vois François reculer jusqu'à pouvoir rouler une pelle à son Jona.
Je descends au rez-de-chaussée voir qui squatte le jardin d'hiver et la piscine. Pas de baise dans l'eau. Je suis content que cette règle soit respectée. Mais par contre les rebords à 1 m du sol sont parfaits pour recevoir les torses des mecs qui se font enculer.
Ils sont 4, cote à cote, à se faire défoncer. Avant de voir à qui appartiennent les culs, je reconnais les enculeurs. Ce sont Pablo et Ernesto accompagné de Marc et Hervé. Les anus qu'ils défoncent appartiennent à Jimmy, Maxou, Kamal et Cédric. Ces deux derniers sont sur la pointe des pieds et les assauts de leurs enculeurs les font à chaque fois décoller du sol ! Et, si j'en juge par leurs gémissements, c'est loin de leur déplaire à ces deux petites salopes !
Marc me demande si ça va. Je l'assure que ça baise à tous les étage et que tout le monde est bien " couvert ".
Des petits cris qui essayent de se faire discrets proviennent de la partie " boisée " du jardin. Je me faufile parmi les troncs de palmiers et autres arbres tropicaux pour découvrir qui produit de pareilles preuves de plaisir. Je trouve Viktor et Nicolaï couchés l'un sur l'autre à se rouler des patins alors que Lad 1 (24x7) les encule alternativement. Ce qui m'avait troublé dans ma reconnaissance de voix c'était que le petit cri provenait à chaque fois d'un des deux et jamais le même. En plus je ne les avais jamais entendus produire de tel sons. Pan sur mon égo ! Lad 1 est plus efficace que moi dans leurs petits culs !!
Je les laisse et remonte sur la terrasse, j'ai envie de me faire mettre profond, accroché à la sculpture centrale. J'arrive à m'accaparer un des gendarmes. Comme je le traine vers le centre du jardin, il me remercie de les avoir invités. Je ris et lui dis que je ne pouvais difficilement envisager une touze " Gros zob et petits Culs " sans eux. Je dégage le couple qui baisait à l'endroit pile où je désirais faire la même chose et enlace mon motard. On commence par une pelle collés/serrés. Ses bras musclés m'attire vers lui et j'en fais de même. Nos pecs s'écrasent et comme nous sommes quasiment de la même taille, nos tétons durcissent à se frotter ensemble. Y'a pas qu'eux qui raidissent. Nos bites font de même. G22 laisse tomber ses mains sur mes fesses et tout en plaquant mon bassin contre le sien, je le sens les écarter. Un petit courant d'air rafraichi ma rondelle en feu. Rapidement un doigt se pose dessus et s'enfonce doucement. J'écrase encore plus ma bite entre nos abdos et me soulève sur la pointe des pieds. Sa queue glisse alors entre mes cuisses et quand je repose les pieds à plat, elle se colle à mon périnée, son gland allant rejoindre son doigt. Je n'en peux plus de toute cette ambiance de sexe. Je le kpote et rapidement reprend la position. Je le pousse contre la statue et entreprend de me faire enculer debout (pour lui). Je m'accroche à son cou et ceinture sa taille de mes jambes. En prenant appuis sur ses hanches et ses deltoïdes, je me soulève jusqu'à sentir son gland se poser sur mon trou. Là je relâche tout et me plante violemment sur sa bite. Elle était raide comme de l'acier et c'est sans difficulté qu'il m'a perforé l'oignon jusqu'à la garde. Bien " salope " j'ai même basculé le bassin en avant pour être sur que le dernier cm de sa longue queue était bien en moi. Ses mains sous mes fesses, G22 m'a aidé à limer ma rondelle. Alors que je le sentais fatiguer, le relais a été pris par Ric. En recherche d'un nouveau plan, il était tombé sur nous et nous donnais un coup de main en attendant un futur coup de queue. Soulager de mon poids direct, G22 a accéléré ses va et vient jusqu'à remplir la kpote alors que je jutais sur son torse. Vu les heures d'excitation passées, je lui en ai mis quelques litres sur les pecs et les abdos.
Repus sexuellement pour cette première partie de journée (démarrée à 10h j'avais juté à 13h) j'ai fait remarquer que nos estomacs eux étaient vides.
Descente d'un étage et direction la cuisine/salle à manger. En traversant le séjour/salon, nous avons croisé plus de mecs en train de manger que de baiser. Et pour cause, la table était couverte de victuailles. Samir avait tout prévu avec Julien (notre charcutier/traiteur et comparse sexuel). En variétés, de quoi satisfaire tous nos invités, même Kamal (le porc était bien séparé du boeuf, ce dernier étant Halal). Avec des tas de légumes et de fruits pour nous rafraichir ce buffet avait tout de revigorant.
Nous avons été rejoints par les deux nouveaux (Lad 1 et 2). Assiettes en mains ils ont admiré la déco. Surtout le tableau du " déjeuner sur l'herbe " version Moitié notre ami peintre et encore plus les versions enregistrées par nos autres amis qui sont projetées juste à coté. Surtout quand elles sont passées de l'image au mini-film plus hardcore !
On discute encore quelques instants. Plus des mecs présents à la touze que du décor. Ils me disent kiffer grave les petits culs et ont repéré celui de Théo et encore plus celui de Cédric rapport à la masse musculaire qu'il a développé (rappel il est maintenant bâti comme Ric en modèle réduit taille 1m70). D'ailleurs le physique de Ric les interpelle aussi. Quand je leur dis que demain en apothéose de leur venue, ils pourraient le prendre en double sodo, ils ne me croient pas.
Je les entraine à la recherche de Ric. Nous le trouvons assis sur la bite de Xavier, en train de se limer la rondelle. Ses cuisses sont gonflées par l'effort alors que de temps à autre, Xavier soulève son bassin dans un choc de chairs. Je me penche et roule un patin à Ric tout en lui pinçant un téton. Gémissement de ce dernier avant qu'il me demande ce que je lui veux. J'aborde le sujet des doubles sodo et lui demande s'il est partant demain pour se prendre les deux Lads en même temps. La réponse est bien sûr positive. Comme le spectacle à fait bander mes deux invités, je les laisse alors que de part et d'autre du couple emboité, ils se placent pour se faire sucer par Ric.
Plus tard dans la soirée, voir les 26cm noir ébène d'Eric se frayer un chemin entre les fesses blanches de Louis sous la surveillance de son Franck m'a poussé à lui enfoncer quelques instants ma queue dans sa gorge. Venant de moi, Franck n'a rien dit et cela lui a montré ce qui risquait quand même de se passer plusieurs fois encore pendant le WE !
Nos lads, sont venus en voiture et c'est jules qui a conduit au retour vu comme ils étaient fatigués. Le lundi j'ai même reçu un appel du moniteur d'équitation pour me demander ce que nous leur avions fait, vu la tête qu'ils avaient.
Jardinier
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tellmesmthngidk · 6 months ago
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Je ne sais pas par où commencer. Par la fin sans doute, car tout est fini. Tout vient de se finir. Le 17 juillet, à 00h ou le 16 juillet à minuit j'ai ouvert la porte pour que tout se finisse. Rien n'a de fin si tout continue dans les souvenirs. Sans doute. Mais le réel se fini, seul les souvenirs et les fantasmes survivent.
J'ai envie d'écrire tout ce dont je me souviens. Les courts métrages après l'orage, les rues vides à cause de la pluie, la nourriture laissé sur le bort d'une fenêtre pour courir. Courir en se donnant la main. Se donner la main, à Paris la nuit, sous la pluie, en sortant de boite pendant que le jour s'est levé. Les marches, les heures à marcher dans les rues à discuter, à se connaitre, à se découvrir mais pas trop, à se protéger mais continuer de ce voir. Le café, l'expresso dans le même café encore et encore, le café dans le bar à 23h parce qu'il ne boit pas, le café qui se renverse le matin sur la plaque de cuisson. Manger, indien ou des pâtes à la sauce tomate ou des ramens. Entendre sa voix, sans m'y attendre les murmures en espagnol ou en italien, les discussions en anglais. Parler, pendant des heures, ne pas vouloir partir pour continuer encore et toujours à parler, jusque 03H, jusque 02H. Jusqu'à ce que mes jambes me fassent mal. Visiter tous les quartiers de Paris en 1H de marche. Wong kar wai et les films que l'on a vu, qu'il a revu pour moi. Sa main sur mes cuisses, dans les miennes, ses mains sur moi, ses yeux sur moi. Nos âmes qui s'entremêlent quand on ne peut se quitter du regard, quand on ne pas s'arrêter de s'embrasser. Les regards qui suffisent pour dire j'ai envie de toi. Les gestes en suspend. Se retenir de dire qu'il est à moi, le fait qu'il murmure que je suis à lui. Le fait qu'il me trouve toujours belle. Désirable et désirée. Qu'il soit ce que je considère comme l'être désiré. Le je t'aime après in the mood for love. La musique, encore et toujours, qui jamais ne s'arrêtait comme une bande son original. Tyler, Kendrick, Sade. Sans doute d'autres mais j'y pense à chaque fois que l'un d'elleux se lancent. Le premier baiser, dans une voiture, tard le soir, la question fatidique "est ce que je peux t'embrasser". Le soulagement. Puis les fois où l'on ne s'embrasse pas. Le simple fait de le vouloir suffisait à combler. La "semaine" "chez lui". Le baiser sur la joue. Les lunettes pour lire les sous titres.
L'incapacité à être plan cul, l'incapacité à dire que l'on se manque. L'impossibilité de créer quelque chose. La peur de se perdre. Se dire aurevoir sans un mot et préférer dire merci. Parce que merci contient tellement plus de choses, il contient les baisers au coin de lèvres, les mains serrées plus fort, les comportements enfantins, les audios, les appels, les sourires, la lumière dorée sur les corps, le froid de l'hiver, la canicule de l'été. Le parc, le piquenique, les discussions dans la voiture, les messages d'anniversaire, les promesses non tenues.
Ne jamais voir la mer, ne jamais découvrir une autre ville, ne jamais faire un musée ensemble.
J'ai peur, j'ai peur d'oublier tellement de choses, j'ai envie de tout écrire en détail, de tout me rappeler. Je sais qu'il se rappelle de beaucoup. J'ai envie de tout écrire. Mais je sais que mon cerveau me fait déjà défaut. Je sais que j'ai oublié des choses, des mots qui m'ont porté. Je suis terrifiée de celle que j'aurais été si j'étais tombée amoureuse. SI je m'étais laissé allé plus encore que ce que j'ai donné. Je suis si heureuse de lui avoir donné autant. Je suis soulagée de ne pas être allée plus loin (même si cétait déjà trop pour lui je crois).
Je suis fière de ce que je suis encore capable de donner même après ma rupture.
Je suis soulagée que ce soit fini, malgré les regards brillants, les mots murmuraient lors des dernières caresses et baisers, l'incapacité de ce dire aurevoir. Faire l'amour pour se dire adieu, quelle idée. Dire merci pour dire aurevoir, quelle idée.
J'écrirais encore beaucoup dessus, je le sais. Maintenant, il faut laisser les gens et les sentiments partir.
Marée basse, je me retire et je pense à moi. J'ai des choses à soigner je crois.
Merci à lui.
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papercrownxyz · 11 months ago
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Jour 6 - Mardi 6 Février, 22h45
Deux jours à vivre un rollercoaster. Un lundi abyssal, au bureau, à entendre un 3° membre de la team partir, puis récupérer A. en pleurs parce que... trop de trucs arrivent en même temps.
Ma journée entière d'hier a été déraillée par cette annonce, l'impression de stagner à mon rôle, de ne pas être apprécié pour ce que je suis / vaux - et c'est pas la rémunération qui compense ça. C'est le même feeling que j'avais à HS y'a 5 ans, à me sentir comme un underdog en Support payé pas même 35k dans une ville où le loyer moyen était à 900 balles. Peu importe le salaire en fait, c'est la motivation intrinsèque qui manque, et le salaire absorbe juste que peu de cette frustration.
En dents de scie je disais - aujourd'hui même, réveil la tête dans le cul, le moral dans les chaussettes comme ça m'arrive peu, même quasi jamais. J'ai failli annuler ma séance de kiné qui s'est joué en un tir de dé. 1/2/3 = no go, 4/5/6 = go. J'suis tombé sur un 4, mon coeur m'a dit d'y aller quand même. Allons. Une heure plus tard, ma tête était moins en vrac, probablement n'ayant pas le temps de m'inquiéter pour moi-même (en même temps, partir du kiné à 10h58 pour un call à 11h avec mon boss), mais aussi ayant bougé mon corps.
Et mon boss qui m'explique qu'il va sûrement avoir besoin d'aide en Europe pour leader les équipes, car l'équipe va doubler sur les 9 prochains mois. Changement immédiat de mood, tu m'étonnes - c'était son poste à lui que je souhaitais initialement, mais peu importe. Je m'étais fais à l'idée que ce n'était pas pour moi, pour le moment en tout cas. 4 mois plus tard l'idée revient sur le devant de la scène - cette fois-ci je me reprotège.
Je pense qu'à terme, je souhaite me commit à cette boîte anyway, mais dans les bonnes conditions. Le salaire est indécent, mais dans la tranche des séniors sur Paname à mon rôle - j'ai bien choisi ma voie. Mais la suite est autre chose - Dam, ou pas Dam ? Paname ? Remote en France ? Qu'en sais-je, on verra bien ; l'essentiel reste la patience pour le moment, que ce rôle ouvre ou pas, que je l'aie ou pas, que je reste sur Paris ou pas.
De l'autre côté je n'ai pas dédié une seule seconde à mon projet, et ça fait déjà deux jours. Le temps est rare, les mardis soir je cuisine, dès que j'organise un call avec un.e pote ou que le taff s'étend un peu, même d'une demi-heure, je suis baisé. C'est un coup à rentrer à l'appart, manger, et c'est déjà l'heure de se coucher - regarde aujourd'hui, il est presque 23 heures à l'heure où j'écris ces lignes. J'vais pas commencer à dessiner maintenant.
Quelques tactiques à l'avenir :
Éviter au plus le taff hein, où du moins les meetings tardifs
Si meetings tardifs en vue... prévoir de faire l'activité le matin, de 9 à 10 si possible
Oublier les mardis soir en cooking duty par exemple
Si y'a le temps le soir, s'assurer qu'il y a aussi du temps pour la vie de couple, où prévenir en avance que ça va être mort
Simplement dire non aux autres plans en semaine, y'a des choix à faire et les potos passent à la trappe en ce moment. Priorities.
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samytbmpoursexfriends · 1 year ago
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Salut je suis Sami j'ai 53 ans très chaud seul sur Paris très grosse queue recherche une petite cochonne pour plan cul
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pensssine · 1 year ago
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Hello, aujourd’hui je suis allé mettre les couleurs dans ma pivoine par Eugenie , toujours pas terminé parce qu’il fallait qu’elle aille chercher son gamin à l’école. J’en ai marre de toutes ces maman autour de moi.
Pour le coup j’ai discuté avec Victoria sur Snap toute l’aprèm, là je suis garé devant la maison j’ai impression de rentrer au pensionnat parce que je vais pas pouvoir continuer cette discussion. Alors qu’on parlait de cul on parlait un peu plus d’elle et ça c’était trop cool bon le truc moins cool c’est que elle disait qu’elle avait ressenti d’autres feeling avec d’autres nanas et du coup je me suis un peu vexé intérieurement est-ce que je pensais que ce lien était Cavellec non, mais après elle dit que c’est pas du tout le même hier, a priori avec Orlane, on a vu le souffle coupé le cœur qui s’arrêter à chaque fois qu’elle s’embrasser.
Elle me disait qu’avec svan, c’était devenu plat, plat genre doigtage et elle se met au-dessus d’elle et c’est bien.
Apparemment, Victoria a besoin de le faire au moins une fois par semaine, mais c’est pas toujours le cas là au bout d’un mois elle pète un Cable même juste deux semaines, et même quand elle le fait une fois par semaine bah Pourelles c’est comme manger un bonbon t’as envie de manger le paquet donc t’as envie de leur faire encore plein de fois.
Apparemment, avec Orianne, elle pouvait la faire jouir de toutes les façons possibles.
Dans ce qu’elle m’a cité, table basse, porte du garage contre le mur escalier du skate Park. Bref je ne connais pas les filles mais peut-être des filles qui connaissait que d’un soir quoi.
On a aussi, discuter de notre relation qui qui se serait forcément terminé parce que j’étais à Van et qu’elle aurait fait garagiste et qu’elle aurait voulu rentrer un moment à cherbourg POINT et donc c’était vous est allé chèque.
Mais apparemment le petit speech que j’avais fait sur le faite d’avoir une maison comme partenaire, et sortir de la maison de temps en temps, mais toujours y revenir, apparemment elle l’a pris contant PASQuelle cherche ça, et moi aussi au final je cherche ça. Mais du coup pas ensemble a priori,
D’après elle on pourrait seulement rester ami ou plan cul à la rigueur.
J’avoue que ça m’a un peu blessé, mais c’est plutôt réaliste.
Elle m’a avoué qu’elle était ultra collante en couple, Orianne était parti quatre jours sur Paris pour son boulot, elle a pété un câble pour ça. En gros elle veut énormément de câlins d’amour. Enfin elle est ultra possessive. En fait elle fait absolument pas confiance à sa compagne. 
9/11/23 18:29
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omagazineparis · 2 years ago
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Sous la douche avec Spider ZED
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Seize heure de l'après-midi : C'est l'heure du goûter et de rencontrer Spider Zed et son nouvel EP "Bien ou quoi". C'est en buvant du café avec beaucoup de sucre et une roulée que le jeune artiste de 23 ans me raconte sa musique et ses nombreuses rencontres. D’abord, Marin a 14 ans lorsqu’il découvre l’écriture et le rap :  « J’écrivais en cours au collège. Puis, avec un autre gars, on allait aux toilettes pendant les récréations et on rappait. J’étais dans un collège privé et le rap n'était pas encore démocratisé, c’était un peu notre secret. C’est plus tard que je me suis plus assumé en même temps que le rap a évolué. » Aussi, c’est à l’époque du collège que Spider Zed rencontre LecHad avec qui il forme le High Five Crew (avec Assassam et Eden Dillinger) : "LecHad et moi, on était dans le même collège mais on se connaissait pas. Puis, on on s'est parlé par message, on s'est rencontré et on s’est entraidé. On avait un duo tous les deux. C’est le premier que j’ai découvert avec qui j’ai beaucoup rappé." Il y'a aussi sa rencontre avec Joanna Doukov : "On s’est également connu à l’époque du collège. Elle est devenue photographe. C'est super intéressant d’avoir un oeil de photographe pour les clips. On travaille très souvent ensemble." Spider Zed, c’est un enfant qui écrit des mots simples pour parler aux adultes. C’est la vie et ses drôles d’étapes : celle où tu aimes puis celle où tu te sépares, celle de ton ex qui revient puis que tu vires, puis inversement. Celle de ton nouveau plan cul, les histoires de tes potes, ton chat, tes parents. Et toi qui sait pas bien ce que tu fais de ta vie. C’est nous quand on remet tout au lendemain parce qu’on a la flemme même si on sait que demain on aura encore la flemme. C’est nous qui sommes jeunes. C’est nous qui aimons, qui faisons l’amour et défaisons l’amour. Et c’est toi qui débandes ou éjacules en trente secondes. Lui qui décrit sa musique comme « enfantine et sincère » revendique son penchant pour l’autodérision : « On peut rire de tout. Je trouve ça plus drôle de dire des trucs tristes avec subtilité et du second degrés que de dire des trucs tristes. Et que ce soit juste triste. Il y’a des gens qui ne sont pas tristes. Ils peuvent trouver ça drôle aussi. Plus de gens vont être touchés et même dans les concerts c’est plus sympa. ». Spider Zed ce n’est pas l’homme araignée mais c’est l’homme qui rend la mélancolie douce, joyeuse, colorée et décalée. Le rappeur se tisse une toile fantasque et loufoque Ce sont des histoires banales qui racontent d’un trait de rap une vérité évidente pas toujours facile à avouer. Ainsi, le rappeur se tisse une toile fantasque et loufoque et se hisse sur YouTube avec plusieurs centaines de milliers de vues. Dans son Ep « Bien ou quoi », Spider Zed et Léo Roi nous offre un feat « Tous les gens ». Ainsi qu’un documentaire avec Le Règlement (chaîne YouTube qui analyse le rap, ses rappeurs et nous offre des freestyles) et un clip réalisé par Julius. À écouter, réécouter, voir et revoir. En fait, Spider Zed, c’est le gars normale qui parle de trucs normaux en s’inspirant de sa vie normale et qui pourtant est super atypique. Des yeux bleus ciels même lorsque le ciel de Paris est gris, il est le héros qui prend le métro, qui écoute de tout et en ce moment le dernier album de Lolo Zouaï. Si tu écoutes le rappeur, il y a de fortes chances pour que tu te reconnaisses. Les mots sont simples et les mots sont vrais. Tu vas relativiser, adorer ses clips et sa façon de danser, esquisser un ou deux sourires. Et sous ta douche tu écouteras Sous la douche et tu penseras à ton ex (ou pas). Spider Zed et son EP "Bien ou quoi" conçu en six mois nous met bien. Et nous donne rendez vous le 7 décembre à la Machine du Moulin Rouge à Paris et aux nombreuses dates de prévues dans toute la France. Read the full article
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unesnaprencontre-blog · 7 years ago
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snapchat-de-sex-blog · 7 years ago
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claudehenrion · 3 years ago
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Mauvaise nouvelle : on a retrouvé la Gauche
   Pour avoir l'air intelligent (?) aujourd'hui, il faut répéter, d'un air componctueux, que les partis politiques ont disparu. C'est une manière de voir les choses. Une autre serait de constater que si on ajoute aux quelque 27 % d'abstentionnistes les bulletins nuls (non-comptabilisés), on tangente  les 30 %, ce qui suffit à mettre en doute la validité de toute victoire. Selon une étude Ifop/Reboot parue hier,19 avril, 14% des Français (et 30% des électeurs de Le Pen et de Zemmour) pensent que l'élection présidentielle est/ a été/ va être "truquée", ce qui devrait se suffire, comme beigne donnée à notre ''démocratie'' de pacotille. Allons plus loin dans la réflexion...
Ce qui crève les yeux, beaucoup plus que toute autre désinformation faite par le ''Microcosme'' germanopratin et la Presse, c'est que cette ''caste'' nous présente tous ceux qui ne sont pas d'accord avec les diktats du ''politiquement correct'' comme étant des ''extrêmes. En d'autres termes, soit vous votez  ''Socialiste'' ou ''Les Républicains''  --et vous représentez donc (4,78 + 1,75) = 6,53  % des électeurs-- et le Système vous qualifie de ''Parti de Gouvernement''... soit vous faites partie des 57,6 % qui avez voté le Pen, Mélenchon ou Zemmour (et même Lassalle et Dupont-Aignan), et vous n'êtes qu'un ''extrémiste''. C'est-y pas beau, ça, Madame ? On est tombé à un point de ridicule tel que Emmanuel Macron lui-même, se sentant très seul sur son ilot peuplé de quelques conformistes qui se croient progressistes, a déclaré (hier) que ses électeurs se situaient à ''l'extrême centre'', ce qui est un gag : si les mots ont encore un sens, un ''extrême centriste'' est forcément un ''extrémiste'' ! Quand je vous dis que ''le monde est fou'' !
Jamais le gouffre sans fond qui sépare le vulgum pecus et la plèbe des lumières-qui-savent n'a été aussi profond. Il est in-combable, ce qui veut dire qu'on ne voit pas, avec les mots qui sont les nôtres, d'issue possible à ce divorce déjà largement consommé... même s'il n'est pas encore officiel ! Et il n'existe pas de ''Plan B''... alors que jamais le besoin d'en avoir un n'a revêtu un tel degré d'urgence... ''extrême'' ! Le pauvre ''français moyen’’ tente de survivre dans un univers que chaque jour, chaque mot, chaque discours présidentiel rend encore plus absurde.
''Surréaliste'' est le mot qui décrit parfaitement cette petite portion de notre histoire récente : c'est dans ce moment de déchirure nationale et de guerre intra-européenne que notre Président n'a eu en tête qu'une seule ''urgence'' : à moins d’une semaine du second tour, il n'y avait rien de plus important que de ''tuer'' ce qu’on appelait le "corps diplomatique" en France. Le Journal Officiel a aussitôt publié cette énormité : la France va être le seul grand pays occidental sans diplomates professionnels. Une histoire de plusieurs siècles s’achève dans la honte, mais la porte est désormais ouverte aux nominations à l’américaine, aux petits copains, aux ''lèche-cul'', aux ''favoris'' ou aux ''mignons du roi''. Dame ! C’est qu’il va falloir recaser dans des sinécures juteuses tous ceux qui vont se retrouver mis à la porte ! De belles carrières de vrais non-professionnels sont en train de naître sous nos yeux. Les paris sont ouverts : dans quelle Ambassade ''Alexandre'' Bénalla va-t-il atterrir ? Pauvre France ! Nous remettrons-nous un jour des méfaits de cette république bananière (d'autres disent ''macronienne''. C'est tout un).
Mais revenons à notre sujet : il est grave ! Car enfin, souvenez-vous des chiffres qui circulaient il y a 2 mois encore : ils hésitaient entre 65 et 70 % de voix résolument engagées à droite et une disparition totale ou peu s'en faut de la gauche, alors que le résultat du premier tour a presque interverti ces chiffres. Et si la bonne vieille Gauche dite à tort ''de gouvernement'' avait été à peine un peu moins con, on se retrouvait avec une néo-Gauche en fait ''extrême'', qui pouvait caracoler largement en tête : (21,96 +4,63 + 2,25 +1,75 + 0,77 + 0,56) = 31,92 %... auxquels on peut ajouter entre 5 et 10 % de ces faux vrais socialistes qui se sont ''macronisés'' par arrivisme, ambition, entrisme, désir de survie, besoin de nuire ou envie de beaux postes, et même quelques abstentionnistes (5 % ? Davantage ?) qui ne se sont pas déplacés par rejet de tout ce qui n'est pas ''intrinsèquement pervers'', selon le mot célèbre du Pape Pie XI le 19 mars 1937 dans l'Encyclique ''Divini Redemptoris''. Reprenons les chiffres : (31,92 + 10  + 5) = ± 47 % pour la Gauche, devenue ''extrême''!  Tremblez rétrospectivement, braves gens : la Gauche la plus absurde et la plus malfaisante a failli être à une épaisseur de trait de l'emporter dès le premier tour. Je laisse chacun frémir à son rythme en imaginant l'étendue des dégâts... dont la France, c'est sûr, ne se serait jamais remise !
Dans notre guigne, pourtant persistante depuis deux quinquennats déjà (c'est... deux éternités !), nous avons finalement eu de la chance, car la présence d'un Mélenchon au second tour est la seule chose qui pourrait me faire voter ''Macron'' ! Mais bon, le pire évité, il reste le mal : un ''ticket'' dont personne n'a envie, un choix borgne entre, comme disent certains excessifs ''la peste et le choléra'' (NDLR - On n'a vraiment pas envie qu'ils attrapent l'un ou l'autre, quand on voit les  diarrhées qui frappent nos ''leaders'' lorsqu'ils sont confrontés à un tout petit virus SARS 2 !). Il n'empêche le verdict est là, terrible, menaçant, impitoyable : 22 % des français, 22 % de ces braves gens que vous croisez dans le métro, chez votre pharmacienne ou au supermarché... ont voté pour Mélenchon, et à ça, il faudra bien trouver une réponse, d'abord parce qu'on risque de le payer très cher aux Législatives, demain, et surtout pour arrêter ce mouvement suicidaire qui ramène nos contemporains à des comportements de ''Lemmings'' suicidaires.
Jamais, dans l'histoire, une seule idée qui pouvait s'inspirer de ce qui peut ressembler à des idées étiquetées ''à Gauche'', n'a fonctionné --même un tout petit peu : jamais, nulle part, et pas un instant, personne ne peut démontrer le contraire : la défaite de 1940, conséquence du Front populaire... les ''changements de braquet'' en catastrophe (et catastrophiques !) de Mitterrand, Chirac, Jospin, Hollande... les 75 millions de morts (chacun) de Staline  et Mao... les Pol-Pot, Castro, Ho, Tito, Hodja, les Kim... la liste est immense ! Mélenchon se fait passer pour le seul ''avenir de l'Homme'', le seul ''vivre ensemble'' (mais face à face ou ''le poing dans la gueule''), le seul horizon indépassable, le ''chantre'' de la démocratie (celle de Chavez ou celle de Castro ?), le sauveur de la jeunesse engagée, le Mahdi (= l'imam caché, le sauveur) de nos banlieues, et le druide des naturopathes antipathiques, des alternatifs de la bobine, des lgbt -et d’autres terrains de chasse, des végans déjantés et des libéro-conservateurs (qui sont une sous-branche des progressistes-populistes, canal christo-judéo-islamiste)... oubliant de citer les black-boks, les islamo-progressistes ou les faux Antifa vrais ultra gauchistes ravageurs...
Que vont donc chercher (avec la certitude de ne pas trouver) les jeunes gens dans ce cloaque de contre-vérités, d'analyse erronées, de non-solutions garanties et de faux espoirs pré-déçus qu'est une pensée ''à Gauche'' ? Sont-ils dupes de ce faux monopole du cœur que s'attribue la Gauche comme un droit imprescriptible... alors qu'elle se fout des gens comme aucun autre régime, jamais : elle est là pour appliquer les pages 1 à 156 du petit livre rouge qui a fait tant de mal à l'humanité, pas pour rendre la vie de chacun plus douce. Mais pour y arriver, elle sait larmoyer, émouvoir, faire appel à tous les mauvais ''bons sentiments'' qui traînent dans les caniveaux de l'actualité. Ne me dites pas que tant de français --et jeunes, en plus !-- se laissent avoir par la fausse empathie méprisante, par les revendications d'égalitarisme inégalitaire, par les vilaines promesses qu'on sait intenables, par les mots creux sciemment vidés de leur sens --de tout sens !  Ce serait trop affreux...
Pourtant quand je vois des pans entiers de notre belle jeunesse basculer dans ce culte de mots insensés, manifester --et de plus en plus souvent, détruire, au nom de concepts entièrement vidés de tout contenu, voire montrer une soif de violence à la limite du nihilisme--, je me dis que le mal est plus profond que tout ce qu'on nous raconte, pourtant déjà si ''extrême'' que nous refusons de croire ce que nous devrions voir, et cherchons des excuses introuvables aux propagateurs de ces malheurs-à-venir. Si je continue ce Blog (ce qui n'est pas certain, à cet instant), la réflexion que nous devrons mener ensemble, chers Amis-Lecteurs, est : tenter de sauver sinon la France (''vaste sujet'' !), au moins une partie des français !   Contribuer au retournement de ces tendances perverses est le seul objectif qui vaille la peine d'être poursuivi ! ''Ephètà'', disait le Christ. A nous d'ouvrir, le plus possible, nos contemporains à la vérité et au danger des mirages...
H-Cl.
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joaniepencil · 4 years ago
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Fanatique de Muffins
Chapitre 6
Avertissement : Violence, masturbation (homme), sexe oral.
Résumé : Billie aurait dû suivre son instinct….
L’heure du dîner approcha et Billie se changea rapidement pour aller rejoindre son frère au parc non loin du poste de police. La journée était parfaite pour la course juste assez chaude. Elle enfila ses leggings noirs et son haut blanc sans manche assorti en Lycra. Ses longs cheveux relevés en chignons, elle attirait les regards des policiers qui prenaient leur diner dans le parc.
Luke : J’arrive dans 2 minutes. Elle reçut le message sur sa montre intelligente.
Billie : Rejoins-moi en route je pars sans toi.
Elle se mit à courir autour du parc en petites foulées. C’était agréable de sentir la brise sur son visage. Le soleil réchauffait sa peau. Elle fit un tour de parc complet avant que Luke la rejoigne.
Tout en courant, elle se demanda bien ce qui avait piqué Sy pour être aussi bête avec elle.
En parlant du loup, elle le vit s’assoir sur un banc avec une jolie collègue féminine. Billie sentit la jalousie étreindre ses tripes malgré tout. Elle poussa un peu son frère.
-Allez Morgan plus vite ! Montre-moi ce que tu as dans le ventre! Elle accéléra et poussa son corps dans un sprint effréné. Luke la suivait aussi vite. Ils se défiaient sans cesse.
Sy les regardait passer sans trop en avoir l’air en discutant avec sa collègue. Derrière lui, il entendit un groupe de patrouilleurs s’exclamer devant le physique avantageux de Billie.
-Bon sang qu’elle est bonne la sœur de Morgan… Je parie qu’elle aime se faire défoncer le cul bien à fond…
-Ne dis jamais un truc pareil devant Morgan! Il va te tuer! Ce mec est pire qu’un chien de garde, dit un autre. Billie commença à ralentir la cadence tranquillement.
Ses poumons lui brulaient à force d’avoir couru mais ça lui faisait un bien fou.
Ils s’arrêtèrent complètement non loin de Sy.
-Tu viens au bar ce soir? On va prendre un petit verre avec quelques potes.
Elle haussa les épaules.
-Où? Je ne sais pas trop.
-Au Goblin vert.
-Haaa tu sais que je déteste aller là-bas il fait tellement sombre que je ne comprends rien à vos discussions! La musique est pourrie en plus…
-Hé Morgan? Ta sœur vient avec toi ce soir? Héla un des types assit non loin. Il se lécha les lèvres de manière suggestive. Il parlait à Luke plutôt que de demander à Billie.
Sy semblait lire des documents maintenant tout seul, il ne releva pas la tête mais il n’en perdait pas une miette. Du coin de l’œil il vit Billie signer quelque chose à son frère avec un air de profond dégoût.
-On se voit plus tard Bill. Bonne après-midi. Dit Luke en donna un baiser sur le front de sa sœur.
Billie répartit en petite foulée et ignora complètement Sy et les autres jeunes hommes qui la regardaient passer devant eux.
-Alors mec ? Elle vient ou non ta jumelle? Luke s’approcha du groupe.
-Pourquoi tu veux savoir ça? Je n’en sais rien.
-Ta sœur est vraiment… top…
-Ma petite sœur ne sera pas ton prochain plan cul mec. Oublie. Tu lui lève le cœur.
Sy se releva et bomba le torse en les toisant du regard les poings sur les hanches. Plusieurs patrouilleurs se redressèrent un peu mal a l’aise.
Sy en imposant avec sa large stature. Il haussa un sourcil.
-Quand vous êtes dans votre quart de travail, je ne veux pas entendre pareils commentaires dégradants. Vous êtes des flics, bon sang, pas des collégiens un peu de tenue!
Celui qui avait dit que Billie était sexy lui répondit.
-Capitaine nous sommes en pause. On ne fait rien de mal ...
-Et alors? Vous représentez quand même la police!
Sy ne se faisait pas d’amis mais il s’en foutait, il n’était pas là pour ce faire des amis. Il avait été engagé pour redresser le poste 34. C’est ce qu’il ferait. Le 34 avait trop longtemps été laisser sans commandement efficace. Ces hommes agissaient comme des adolescents.
Cette après-midi-là, Billie eu une notification sur sa montre. Elle avait une nouvelle demande d’abonnement sur Instagram.
JSyverson.
En entrant dans la maison qu’elle partageait avec son frère elle se laissa tomber dans son canapé en faisait voler ses talons hauts.
Elle ouvrit l’application Instagram et regarda le profil de JSyverson. Elle ne se trompait pas il s’agissait bien de Sy. Elle parcouru ses photos. Il y avait un peu de tout. Son chien, son chalet à la montagne, son camion, quelques motos. Elle vit beaucoup de paysage, il faisait de la randonnée en forêt. Il y avait peu de selfie, quelques-uns le montraient habiller en militaire, le crâne rasé avec sa grosse barde hirsute, dans le désert. Il y avait aussi quelques photos de famille. Elle ne vit pas une seule photo de femme. Elle accepta la demande d’abonnement, et referma son téléphone.
Mia avait besoin de marcher et de jouer. Elle se changea et mit un sweat et un pantalon de survêtement. Elle lança la balle à sa petite chienne durant une petite heure dans le jardin de leur maison.
Elle n’arrêtait pas de penser à Sy. Elle ne comprenait pas pourquoi il savait été si froid avec elle ce matin. Il avait été tellement gentil avec elle la veille, elle avait même cru qu’il allait l’invité puis il l’avait grondé comme une gamine et maintenant il voulait être amis sur Instagram, elle ne comprenait rien. Luke lui lança une balle molle dans le dos pour attirer attention.
Elle fronça les sourcils.
- Tu viens ce soir? » Elle haussa une épaule.
-Je ne sais pas. Elle retourna vers la maison et monta les marches de la terrasse que Luke n’avait pas quitter.
Billie hésita, ils entrèrent dans la cuisine. Elle prit une bière dans le réfrigérateur et prit une gorgée.
-Je n’aime pas ce bar et ce gars Taylor? Il me fait peur...
-Pourquoi?
- Clairement il veut me baiser. Il me met mal à l’aise.
Luke fronça les sourcils.
-Si jamais ce connard te touche je le tue. Allez viens avec moi! Je n’aime pas que tu restes seule le soir.
Il était sérieux et elle le savait. Elle changeait de sujet.
-Dit moi le nouveau capitaine, il n’a pas l’air commode?
Luke haussa les épaules.
- Sy? Il prend son boulot trop à cœur. Il s'imagine qu’il va pouvoir redresser le 34 à lui tout seul. Il se met le doigt dans l’œil mais il est sympa. Tu as bien discuté avec lui l’autre soir non?
- Oui. Je l’ai vu l’autre jour à la banque… Il m’a semblé vraiment très gentil mais aujourd’hui il a été tellement froid et autoritaire …
Elle fit la grimace. Luke haussa un sourcil.
-Je ne le connais pas beaucoup encore. Je ne crois pas que c’était contre toi. Les gars du 34 font n’importe quoi. Il te plaît, je me trompe?
Elle haussa les épaules.
-Je ne sais pas trop. Physiquement oui beaucoup, il faudrait être aveugle pour ne pas le trouver sexy mais.. il m’a presque humilié devant tout le poste. J’ai détesté!
-Tu es trop fière! Tu sais que tu l’as insulté ? Il aurait pu t’arrêter pour ça. Il t’a fait une fleur.
Billie haussa un sourcil en faisant la grimace.
-Peut-être. Je saute dans la douche.
Elle prit une bonne douche chaude en essayant de voir plus clair dans sa tête. Elle avait vraiment cru pendant une fraction de seconde que cela serait possible avec lui. Cela l’attristait un peu. Quelqu’un qui souffle le chaud et le froid comme ça ne l’intéressait pas.
Elle enfila un jeans et un t-shirt noir ultra simple elle se fit une queue de cheval et mit un peu de maquillage. Elle n’avait pas envie d’en faire des tonnes, elle passait ses journées entières coincée dans ses tailleurs et ses talons hauts.
En rentrant dans le salon elle eut la surprise de trouver son frère et Jane en pleine action. Son frère, nu comme un vers était debout face au divan et se faisait faire une fellation.
À voir son visage, il y prenait beaucoup de plaisir. Ses yeux fermés et sa bouche ouverte témoignait de son extase. Jane était assise sur le canapé devant lui sa tête allait et venait d’avant en arrière en avalant la bite de son jumeau. Luke avait le poing fermé sur ses cheveux blonds
-Merde prenez vous une chambre! Elle claqua la porte d’entrée. Elle ne pouvait pas conduire le soir et elle ne voulait pas marcher en ville toute seule la nuit. Elle devait donc les attendre. Elle s’assit sous le porche et alluma son téléphone. Elle n’était pas si choquée de trouver son jumeau dans une telle position.
Les Morgan avaient le sang chaud, Luke et Billie aimaient beaucoup le sexe, Billie aussi c’était fait surprendre plus d’une fois en pleine action un peu partout dans la maison.
Au fond de son cœur Billie enviait son frère il avait trouvé la femme pour lui. Billie, elle, était célibataire depuis presque un an et cela lui pesait.
Cette soirée fut exactement comme elle l’avait prévu. Les amis de son frère buvaient des litres de bière et discutaient dans la lumière tamisée. Quelques-uns lui lançaient des regards languissants. L’un d’eux l’approcha et fit comme beaucoup de gens il essaya de crier en espérant qu’elle le comprenne. C’était encore pire. Il prononçait mal et elle ne comprenait pas du tout.
Finalement, elle en eut assez.
- Je rentre en taxi, signa-t-elle à son frère qui jouait au billard à l’autre bout de la salle. Il leva le pouce pour confirmer qu’il l’avait compris. En passant la porte du bar, on lui agrippa l’épaule et on l’a retourna violemment. Elle eut à peine le temps de voir Taylor avant qu’il ne plaque sa bouche puante et gluante sur la sienne. Elle se débattit férocement, elle le griffa sauvagement au visage. Il la maîtrisa rapidement en passant un bras autour de sa taille. Il força l’entrée de sa bouche en insérant sa langue dedans. Elle paniqua pour de bon quand elle sentit son érection contre son ventre.
Billie se débattit et le mordit à la langue si fort qu’elle sentit le sang dans sa bouche. Il la relâcha et lui donna une grande gifle en plein visage. Billie perdit pied et tomba dans l’entrée du bar. Se cognant la joue sur le mur. Plusieurs personnes se rendirent compte que quelque chose n’alla pas. Taylor tenta de la saisir de nouveau, Billie hurla.
Luke lui tomba dessus comme une masse.
Il lui donna un coup de poing qui le fit tourner de l’œil. Il remit Billie sur pied et la regarda droit dans les yeux pour s’assurer qu’elle allait bien. Elle hocha la tête.
-Rentrons à la maison.
Billie était choquée mais elle allait bien. Sa joue était douloureuse mais elle allait s’en remettre. Luke la borda doucement et resta près d’elle jusqu’à ce qu’elle s’endorme.
Dans un petit appartement non loin de là. Sy arrivait de sa promenade avec Kal. Il avait fini beaucoup plus tard que prévu. Il n’avait pas envie de rentrer chez lui. Son appartement était minuscule et désespérément vide de chaleur. Il avait vraiment hâte de se trouver une maison à son goût et sortir de ce quartier en béton mur à mur.
Il passa sous la douche rapidement et se fit un sandwich. En ouvrant son téléphone, il vit la notification de Billie. Elle avait accepté son invitation même s’il avait été trop rude avec elle ce matin-là.
Il parcourut son profil. Son cœur bondit dans sa poitrine avant qu’une vague de chaleur ne descende beaucoup plus bas dans son caleçon quand il vit une magnifique photo d’une cascade dans la forêt. Billie posa devant, en petit short rose et dos entièrement nu. Ses cheveux longs repousser vers le côté exposait la peau dorée de son dos.
Une randonnée en forêt était une excellente idée. Il appuya sur le petit cœur pour signaler qui aimait la publication avant d’agripper sa bite qui dépassait de son caleçon. Il caressa son membre en grogna, ses cuisses largement ouvertes. La tête renversée par derrière, les yeux fermés il imaginait les mains de Billie au lieu de la sienne. Sa bouche tendre sur son gland. Il accéléra les va et vient et serra sa queue dans son poing.
-Fuck…
L’orgasme puissant le saisit dans les reins et propulsa sa semence sur son ventre
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quicklymag · 4 years ago
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Baiser comme un mec et être seule.
Voilà une des choses que j’aime le plus à Aix-en-Provence : les jours d’automne où il fait bon, mais pas chaud et où les arbres commencent tout juste à se déshabiller ; les hommes avec leurs longs manteaux, les femmes avec leurs manteaux encore plus longs dissimulant leurs cuissardes, le ciel nuageux et le son de la pluie lorsque la nuit tombe. C’est dans ces jours-là qu’il m’est le plus facile de dire “Aix, je t’aime”, ou de dire “je t’aime”, tout simplement. Mais à qui le dire dans une ville où les gens se frôlent, se regardent, se saluent et puis se séparent ? 
Je n’ai plus dit je t’aime avec sincérité depuis tellement de temps que je ne m’en souviens plus. Oh, bien sûr, je l’ai dit à mon ex-petit-ami que l’on surnommera Igor. À cette époque, je pensais réellement être amoureuse de lui. Il était doux, gentil et toujours là pour moi. Mais il faut se méfier des hommes trop parfaits les filles ! Peu de temps avant notre séparation, j’ai découvert qu’il avait envoyé son ex-petite-amie à l’hôpital avec un traumatisme crânien quand elle l’a quitté et qu’il trouvait presque normal qu’il n’ait pas eu de sanction pour ça. Sérieusement ? Igor était un givré et j’ai découvert que j’aimais l’illusion d’être amoureuse -enfin après tout ce temps à souffrir à cause de Monsieur A !- mais que jamais mon coeur n’avait battu pour Igor. Il n’avait été qu’une sorte de plan cul que j’ai présenté à mes parents. Woopsi.  Mon dernier amour remonte à des années maintenant. Monsieur A. Mon plus bel amour sans doute, mais le plus destructeur aussi. Vous voyez Mister Big ? En version aventurier parisien. Séduisant, intelligent, attentionné, doux, fantastique au lit et avec juste ce qu’il faut d’arrogance. L’homme parfait à mes yeux. On s’était rencontrés pendant un séjour au Mexique avant la majorité et ça a été un coup de foudre si violent qu’il dura sept ans. J’étais sa chérie et peu importe ce qu’il pouvait dire, j’étais accrochée à lui comme une moule à son rocher. Il était incroyable et un vrai dieu au lit. Malheureusement, cette relation n’était faite que de “on se verra plus tard, je pars huit mois en Indonésie, mais tu n’es qu’à moi” ; ��On peut se voir un weekend quand je reviens de Thaïlande ? J’arrive le mercredi à Paris, le jeudi je peux être à Aix et je prends mon avion pour le Laos mardi depuis Marseille.” Ta mère ! En sept ans, je n’ai vu Monsieur A qu’une poignée de fois et ça me suffisait. Ces quelques jours étaient fantastiques. Nous les passions au lit où il me faisait vibrer de la tête aux pieds. Nous ne nous levions que pour les besoins vitaux ou encore aller au cinéma et puis je vibrais à nouveau jusqu’à ce que je ne fonde en larmes une fois Monsieur A déposé à la gare. C’était une relation si puissante qu’il m’a fallu des mois pour me rendre compte que Monsieur A n’avait pas autant d’importance à me donner dans sa vie que ce que je pensais.  Mais si Monsieur A réapparaissait dans ma vie après tout ce temps, comment réagirais-je ? Je crois qu’Aix-en-Provence m’a changé. Je ne crois plus en l’amour ni au coup de foudre, même pas en voyant mes amis. Je suis presque la seule célibataire du groupe, et la plus vieille pour couronner le tout, mais j’ai souvent l’impression que leurs relations sont bancales, qu’ils ne sont pas réellement épanouis. Il y a toujours quelque chose à redire, toujours quelque chose qui ne va pas et toujours de quoi se plaindre, mais jamais je ne vais les entendre dire à quel point c’est génial, à quel point ils s’aiment et s’éclatent. Alors pourquoi sont-ils en couple ? Est-ce que l’amour est devenu matière à se plaindre ? Je vis seule depuis mon arrivée sur Aix-en-Provence en 2015 et en dehors d’Igor et Monsieur A, personne n’a jamais visité mon lit. Je me suis concentrée sur mes études et sur rien d’autre. En intégrant mon école, j’ai pris ma vie sociale, les soirées mondaines et ma vie sentimentale et je les ai laissées dans une boîte scellée pour ne les récupérer que lorsque j’aurai terminé mon Master. Mais est-ce que ça en vaut vraiment le coup ? Est-ce que c’était la bonne solution ? Aujourd’hui, je me démarque dans mes études, je suis dans les premières de la classe et je n’ai pas à me plaindre, autant au niveau scolaire qu’au niveau reconnaissance professionnelle. J’ai eu des opportunités que j’ai su saisir et j’en suis ravie. Mais suis-je plus heureuse que mes ami(e)s en couple qui se plaignent sans cesse ? Je vis seule avec mes deux chats dans un des plus beaux quartiers de la ville. J’ai un 30 m² avec deux places de parking dans une résidence de haut standing. Mon appartement fait baver mes amis, la résidence est très belle, je suis bien logée, l’appartement est bien décoré et j’ai une baignoire (oui, c’est un détail important) mais je suis seule. 
Quand je rentre chez moi, je n’ai personne à qui raconter ma journée, à qui me plaindre. Personne pour qui cuisiner, contre qui me blottir la nuit. Je n’ai que mon bel appartement, mes chats et mes bouquins. Mais si je me mettais à baiser comme un mec ? Ne pas avoir d’attache, juste s’envoyer en l’air et rien d’autre. Je l’ai déjà fait avec Igor, alors pourquoi pas recommencer ? Tout simplement parce que je ne peux pas. Enfin, je crois. Avant, quand j’étais blonde, brune ou rousse, on me regardait, on me complimentait, me draguait. Quand j’allais boire un verre à l’Estello, le serveur complimentait ma tenue et me demandait mon numéro. J’avais le droit à des regards, des mecs qui apparaissaient devant mes yeux pour discuter avec moi. C’était agréable, flatteur. Je ne me prenais pas la tête, j’étais bête, je ne savais pas ce que je voulais et m’en foutais. Aujourd’hui, je sais ce que je veux et on ne me regarde plus. Je fais partie des meilleures de ma classe, j’ai acquis une intelligence que personne ne remet en cause, je suis devenue indépendante et surtout : j’ai coupé mes cheveux. C’est idiot, mais vous ne devriez pas minimiser l’impact que se couper les cheveux peut avoir sur votre vie. Je suis passée de cheveux longs et colorés à une coupe garçonne avec ma coloration naturelle. Tout à coup les gens me voyaient plus indépendante, plus sûre, plus intelligente, plus professionnelle, plus intimidante alors que rien d’autre que mes cheveux n’avaient pas changé. Je m’étais juste séparée d’Igor et avait coupé mes cheveux. Moi, j’étais pareille. Rien n’avait changé. Alors du coup, est-ce qu’il faut que je me mette à baiser comme un mec pour me sentir moins seule ? Je n’ai aucune attente de quelconque mec aujourd’hui, je veux juste construire ma vie, mais ça ne veut pas dire que je veux être seule. C’est juste que je n’ai aucune attente, je veux juste que quelqu’un me plaise et plaire à quelqu’un. Mais j’ai l’impression que les hommes cherchent des mannequins nouvelle génération : gros seins, gros cul, mais une taille 0. Les Kardashian, version Lidl qui parcourent le Cour Mirabeau de haut en bas. Du coup, une fille qui n'a pas ces formes ne peut pas trouver de mâle à la hauteur ? Quand, et pourquoi les hommes ont décidé de se farcir ce genre de femme, délaissant toutes les belles Kate Moss, Vanessa Paradis et Charlotte Gainsbourg ? On devrait réussir à vivre dans une société moderne où on ne peut instaurer un standard de beauté sous prétexte d'un nombre de followers conséquent. On ne devrait pas avoir à se juger les unes et les autres, ni sur notre tour de hanche, ni sur notre tour de poitrine (même si j'enfermerai bien les Kardashian dans une salle sans wifi avec toutes ces Gigi Hadid et autre Doja Cat). 
Une femme qui ne passe pas dix heures par semaine à la salle à faire des squats doit forcément se faire refaire une partie de son corps pour espérer plaire ? Comment des filles naturelles peuvent être attirées, voir intimidés, par ces filles plastifiées de partout ? Mais ma plus grande question : une femme se définit-elle par sa chevelure ?
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alexar60 · 5 years ago
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Une histoire d’amour
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Loin des contes de fées, quoi que, souvent, les contes de fées commencent tristement et finissent de la même façon, un jeune homme rencontra une femme. Il tomba éperdument amoureux d’elle au point de la côtoyer souvent, très souvent. Sa famille riche s’opposa à cette relation, menaçant même de couper les finances au jeune toujours étudiant. Dès lors, il trouva du travail, utilisant ses dons de musicien dans des pianos-bars et même dans la maison-close où il avait rencontré sa belle. Parce qu’elle y travaillait comme prostituée.
Il n’aimait pas travailler dans le bordel. D’abord à cause de la fréquentation des autres clients envers la femme qui l’aimait, mais aussi parce qu’il y régnait une ambiance glauque. Les filles se forçaient à sourire et à plaire aux clients avides de se vider les bourses. Parfois, il devait aider le gros, un colosse payé à jouer l’eunuque du harem. C’était un ancien boxeur endetté et il faisait bien son taf. Il empêchait les clients de battre les filles malgré quelques claques trop rapides pour être évité, et surtout, il empêchait les filles de sortir.
Alors, le petit étudiant travaillait oubliant au passage d’étudier. Il faisait tout pour avoir les moyens de rejoindre sa belle. Quand il était ailleurs, il pensait à elle en jouant du piano ou de la guitare. Quand, il jouait dans le bordel, il cherchait souvent son regard triste et quand ses yeux croisaient les siens, la jeune femme retrouvait une petite étincelle qui réveillait son sourire. Bien qu’il s’en doutât, elle ne lui a jamais dit qu’elle était héroïnomane. C’était aussi une manière de la garder dans cette maison de luxure.
Dès son arrivée, dès que son cul s’assit sur une chaise, elle eut droit comme cadeau à une seringue dans le bras. Elle voyagea et du haut de ses treize ans, elle découvrit un monde fantastique, un conte de fées. Deux jours plus tard, elle était dépendante et dut accepter d’être dépucelée par un riche homme d’affaire. La forte somme partit directement dans les caisses de la mère maquerelle. Pendant dix ans, grâce ou à cause de son physique juvénile, elle était la cerise sur le gâteau, la poupée qu’on voulait pour dormir, le fantasme des pervers, le morceau de choix… l’attraction principale du bordel.
Maintenant, elle a vingt-trois ans et déjà en fin de carrière. Elle sait qu’il ne lui reste que quelques années à passer dans ce cloaque sordide qu’elle regrettera car, n’ayant pas de quoi payer sa liberté, elle finira dans une maison d’abattage. Elle a entendu parler de ces terribles lieux. Les filles passent leur journée allongées, les jambes écartées, servant de vide-couilles à tout ce qui passe, sans même pouvoir se laver entre-deux passes…Elle refuse de vivre ça.
Un jour, après quelques minutes ensemble, elle parla de ce cauchemar à son prétendant. Il la rassura, et promit de tout faire pour la faire sortir. Mais tout son argent passe déjà dans leur relation. Il n’avait rien pour acheter sa liberté déjà assez chère. Pourtant, une nuit, une idée vint à la tête. Il passa la journée à réfléchir, à travailler cette idée pour la mettre en application. Durant une pause de la jeune femme, il profita pour prendre la sienne et aller lui parler. Ils discutèrent d’un plan d’évasion.
Au début, sceptique, elle savait ce qui lui arriverait si elle était reprise. Il persista si bien qu’elle accepta. Deux semaines passèrent avant qu’il ne se sente prêt. Il arrêta de jouer du piano, passa lentement entre les couples en pleine discussion. Il s’approcha du gros. Elle était assise à la table la plus proche, discutant avec un vieux qui puait déjà la mort. Il sortit une cigarette et demanda au garde-du-corps s’il avait du feu. Le géant chercha un briquet dans ses poches et là ! Sans s’y attendre ! Profitant du brouhaha des rires et des discussions, l’amoureux sortit un couteau qu’il planta à plusieurs reprises dans le torse du gros transperçant en même temps son cœur ! Personne ne remarqua ses mains rougies. Personne ne vit la promise se lever, ni sortir par la petite porte. Mais tout le monde entendit le gros s’écrouler comme une merde sur le sol. Les premiers cris intervinrent en même temps que l’apparition de la flaque de sang sur le carrelage.
Ils étaient dehors, courants comme des fous. Ils allaient tant bien que mal le plus loin possible. Elle soufflait comme jamais. A chaque inspiration, elle retenait cet air qui avait un goût enivrant, il sentait bon la liberté. Elle courait avec un sourire. Ils allèrent chez lui. Il récupéra sa valise contenant le minimum, quelques vêtements pour elle et lui. Puis, ils marchèrent, rasant les murs en espérant ne pas avoir été suivi jusqu’à la gare. Ils prirent le premier train.
Eux-mêmes ne savaient quelle était la destination, qu’importe ! Ils dormirent l’un contre l’autre, ou plutôt, tête contre tête toute la nuit pendant le voyage. Puis au matin, elle ouvrit les paupières et découvrit ce qu’elle avait oublié et rêvé de revoir: la lumière du jour, un rayon de soleil. A vivre dix ans enfermée, elle ne savait plus à quoi ressemblait la lumière du jour. Elle pleura. Il s’en rendit compte et la serra contre lui. Bien qu’il sentît la sueur, elle apprécia le réconfort de son corps à ce moment.  Elle le remercia. Ils vécurent un temps cachés dans une ferme puis quand ils furent oubliés des proxénètes, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants
Non, c’est faux ! Sa dépendance à l’héroïne était telle qu’elle ne réussit pas à s’en défaire. Alors, sans moyen, sans possibilité d’en acheter. Elle sortit dans un café et appela le seul endroit où elle savait qu’elle aurait de la drogue : la maison de passe. Ils sont arrivés le lendemain et attendirent le petit étudiant. Après l’avoir attaché, ils violèrent chacun leur tour, sous ses yeux, l’amour de sa vie puis la frappèrent au point de la défigurer. Et pour être certain qu’elle y passera, elle eut droit à une dose, la dernière… la mortelle. Lui, ils ne l’ont pas touché… une simple balle dans la tête maquillé en suicide à suffit. Après quelques pots-de-vin, les gendarmes conclurent à un crime passionnel. Il a tué sa compagne et s’est suicidé ensuite. J’avais prévenu, ce n’est pas un conte de fées.
Peu avant de mourir, ils eurent ce souvenir commun. C’était une discussion avant qu’il ne paye pour monter avec elle. Retenons donc en mémoire, ce couple assis à une table, se dévorant de leurs yeux pétillants en se tenant par la main. Il demanda quel cadeau elle aurait voulu de lui. Un sanglot retentit dans son esprit, une larme vint à son œil quand elle répondit en murmurant: « Revoir le soleil ».
Alex@r60 – juillet 2020
Photo de Brassaï. Une maison close monacale. Rue Monsieur-le-Prince, Quartier Latin, Paris  1931
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