#planche illustrée cha cha cha
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lechatnoirdelalune · 7 years ago
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Des Chats : Images Sans Paroles (Quelques Chats : Photos Sans Mots) http://www.mfa.org/collections/object/des-chats-images-sans-paroles-some-cats-pictures-without-words-155562 1898  Théophile-Alexandre Steinlen (français (né en Suisse), 1859-1923), éditeur Ernest Flammarion (français, 1846-1936) Lieu d'édition : Paris, France Ouvrage illustré contenant de nombreux gillotypes après dessins, ainsi qu'une couverture en lithographie couleur Livres illustrés (Paris: Ernest Flammarion [1898?]) Folio; 28 feuilles; Tissu mi-gris, planches lithographiques originales de l'artiste. Illustrations de chats, accompagnés de personnes, d'autres animaux, etc. Paris: Ernest Flammarion [1898?] © 2018 Musée des Beaux-Arts, Boston
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justforbooks · 4 years ago
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Les débuts de Jean-Jacques Sempé!
La première série d’images de Sempé pour les laboratoires Le Brun date de 1957. Il collabore déjà au journal belge Le Moustique, un titre familial des Editions Dupuis où il s’essaiera à une première version en bande dessinée du Petit Nicolas, genre qui ne lui conviendra jamais vraiment. C’est au journal Sud-Ouest Dimanche, grâce à Henri Amouroux qu’ il publie la première histoire illustrée du Petit Nicolas avec son ami René Goscinny Mes vacances de Noël le 2 avril 1959 juste avant la création du journal Pilote dans lequel le personnage connaitra son véritable envol. Sa carrière parisienne démarre dès 1956 à Paris Match, et à cette même époque, les laboratoires pharmaceutiques rivalisent d’inventivité pour séduire la clientèle de médecins,en faisant appel au talent de dessinateurs d’humour. Les « signatures » de la fin des années 50 sont plus portées sur un humour gaulois, et les plus connues se nomment Bellus, Dubout, Aldebert, Faizant, Effel et surnagent  parmi un bataillon d’aimables tacherons de la gaudriole illustrée.
Sempé regarde, parmi ses ainés du côté de Chaval, l’autre bordelais et de Bosc l’avignonnais, qui font les beaux jours de Paris Match. Il fait ainsi figure de benjamin de la bande, et résiste avec André François, Siné et Tetsu à la médiocrité ambiante d’un humour populaire dont se régalent les lecteurs de France Dimanche et Ici Paris, pour ne citer que les plus connus. Le dessin se doit d’être « rigolo » avant d’être intelligent et la révolution d’Hara Kiri avec Cavanna, Topor, Fred, Reiser, Cabu en fer de lance, se prépare. C’est donc une place à part que va occuper Sempé pendant les 50 ans à venir, en héritier unique (ou presque) d’un dessin d’humour à l’anglo-saxonne (Punch et le New-Yorker en tête) dans la lignée des Peter Arno, Ludwig Bemelmans, Chas Adams ou encore James Thurber. Ces douze planches n’ont pas encore la finesse de ses maîtres, mais restent quand bien même au dessus de la mêlée, et c’est donc avec un grand plaisir, que nous les exhumons de nos archives. D’autres sont à venir pour la nouvelle année…
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alainlesourd-14 · 6 years ago
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George BARBIER
Vichy (I) ou Soyez tous bien sages (pl.2, La Gazette du Bon ton, Eté 1915 n°8-9)
Lucien Vogel éditeur, Paris Eté 1915, 36,5x24cm, une feuille.
Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Elle représente des modèles de Paquin, Doucet, Beer, Chéruit, Martial et Armand, Premet et Callot.
Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco.
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s’adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l’or ou au palladium.
L’aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode – il a déjà participé à la revue Femina – décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n’existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l’esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes […] J’étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d’art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D’autres talents viennent rapidement rejoindre l’équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l’histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas…
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
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George BARBIER
Vichy (II) ou Le Jeu des marionnettes (pl.3, La Gazette du Bon ton, Eté 1915 n°8-9)
Lucien Vogel éditeur, Paris Eté 1915, 36,5x24cm, une feuille.
Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Elle représente des modèles de Callot, Jenny, Paquin, Martial et Armand, Doeuillet et Lanvin.
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