#plan-séquence
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Pamfir 2022
#Pamfir#2022#dmytro sukholytkyy-sobchuk#alors tu fais du ciné ?#petite équipe#steadycam#plan séquence#de la merde#2/10
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La galerie des possibles
Un plan séquence réalisé par les élèves de la classe de 3ème 2.
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Saviez-vous que le cerveau d'un dauphin est plus gros que celui d'un humain ? Ils ont un néocortex complexe qui est associé à des fonctions cognitives supérieures comme la conscience de soi, la résolution de problèmes et la communication. La plupart des choses qui les concernent sont différentes des autres mammifères et l'une d'entre elles est leur façon de jouer. Les dauphins, comme les autres mammifères, adorent découvrir leur environnement et jouer avec tout ce qu'ils trouvent. L'une des formes de jeu les plus intéressantes est la création d'anneaux à bulles en soufflant un flux d'air constant depuis leurs évents. Ils utilisent souvent leur nez ou leurs nageoires pour manipuler les anneaux, les faisant tourner et conserver leur forme. C'est vraiment étonnant que les dauphins puissent créer des anneaux et jouer avec eux d'une manière si réfléchie. Pour les fabriquer et les déplacer, le dauphin doit soigneusement planifier et chronométrer le tout parfaitement et il doit positionner son corps exactement au bon endroit. Ce type de planification et d'exécution nécessite une capacité de réflexion très complexe de la part du dauphin. Le dauphin doit réfléchir à toute la séquence de comportements nécessaires pour former et contrôler correctement les anneaux de bulles. C'est incroyable que les dauphins puissent penser aussi loin et être si précis dans leurs mouvements pour s'engager dans ce jeu. En plus de créer les dauphins peuvent se reconnaître dans un miroir, ce qui est une capacité rarement observée en dehors des humains et des grands singes. Cette conscience de soi est un signe d'intelligence supérieure. Ils peuvent également apprendre des centaines de signaux manuels et de commandes différents lorsqu'ils sont entraînés. Avec leur cognition bien développée, leur curiosité et leur intelligence émotionnelle, certains scientifiques soutiennent que les dauphins devraient être considérés comme des « personnes » non humaines. Et je suis tout à fait d'accord. Que pensez-vous ?
Did you know that a dolphin’s brain is larger than a human’s ? They have a complex neocortex that is associated with higher cognitive functions like self-awareness, problem-solving, and communication. Most things about them are different from other mammals and one of them is their play style. Dolphins, like other mammals, love to explore their surroundings and play with whatever they find. One of the most interesting forms of play is creating bubble rings by blowing a steady stream of air from their blowholes. They often use their noses or flippers to manipulate the rings, making them spin and maintain their shape. It’s truly amazing that dolphins can create rings and play with them in such a thoughtful way. To make and move them, the dolphin must carefully plan and time everything perfectly and position its body in exactly the right place. This type of planning and execution requires a very complex thinking ability on the part of the dolphin. The dolphin has to think through the entire sequence of behaviors needed to properly form and control the bubble rings. It’s amazing that dolphins can think so far ahead and be so precise in their movements to engage in this game. In addition to creating dolphins can recognize themselves in a mirror, which is an ability rarely seen outside of humans and great apes. This self-awareness is a sign of higher intelligence. They can also learn hundreds of different hand signals and commands when trained. With their well-developed cognition, curiosity, and emotional intelligence, some scientists argue that dolphins should be considered non-human “persons.” And I couldn’t agree more. What do you think?
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Je viens de revoir KV1 pour la 1ere fois depuis sa sortie en salle et voici quelques random thoughts :
Venec le Fenec 💯💯
Je trouve que le jeu de Guillaume Gallienne va pas trop avec l'écriture de AA, ça a l'air un peu forcé (le perso en lui-même est sympa par contre)
Loth est complètement à bout, prions pour un putsch dans KV2 sinon j'ai peur pour sa santé mentale
Le Duc d'Aquitaine est incroyable, manupilation émotionnelle tout en délicatesse
Bohort et Gauvain ces petits choux à la crême avec leur petite table ronde je les aime
Fière de Bohort et de son évolution capillaire
Calo se fait toujours tailler parce qu'il est trop chiant j'aime ce running gag
Lui par contre je comprends moins son cheminement capillaire, d'où il sort ces cheveux ?
Séli et Élias : wlw et mlm BFFs 🏳️🌈
Galessin a sûrement passé ces 10 dernières années à bronzer sur un rampart et franchement mood
Gareth a la même manière de parler que Gauvain 🥹
Les filles de Karadoc qui ont AUCUN PROBLÈME à l'idée de buter leur mère 😃
D'ailleurs Mevanwi est incroyable, l'attitude, le costume, une reine
Toujours aussi déçue des retrouvailles entre les semi-croustillants, les resistants de Gaunes et Arthur. Ça fait 10 ans que vous vous êtes pas vus, vous étes censées être proches (surtout Perceval et Arthur), où est la grande séquence émotion ?
Ah pardon, non, on a quand même de très jolies retrouvailles entre Léodagan et les catapultes 🥰
Guenièvre. Juste Guenièvre 💜
D'ailleurs y'a quand même un gros progrès au niveau des personnages féminins par rapport aux debuts de la série
J'aime beaucoup la nouvelle génération, même si je suis pas toujours convaincue par leur jeu
Je trouve que les flashbacks sont pas super utiles niveau narration ou même développement du personnage d'Arthur. Ca nous apprend pas grand chose de plus. À voir si ça a de l'importance plus tard.
La partie de robobrole j'aime bien, c'est l'évolution logique des jeux bizarres de Perceval
Je suis pas fan des répliques qui sont là pour le fan-service, mais y'en avait moins que dans mon souvenir
J'aime bien le running gag des frères et soeurs qui ont l'air de sortir de nulle part (alors qu'ils ont tous été mentionnés à un moment dans la série si je me trompe pas ? À part Gareth peut-être ?)
Du coup j'attends la nièce et la soeur de Galessin et la tatan de Karadoc dans KV2 hein.
Dagonet je me demande ce qu'il a fait pour mériter être à peu près au même rang que Loth, Blaise et le Jurisconsul, et pas sur les ramparts avec Galessin
La bataille finale est parfaite, que ça soit le plan avec les burgondes ou le duel Lancelot/Arthur
Conclusion j'ai beaucoup plus apprécié le film lors de ce deuxième visionnage. J'avais peut-être trop d'attentes quand je l'ai vu au cinéma. Il se passe un peu trop de trucs, y'a un peu trop de nouveaux personnages pas toujours utiles, mais ça pose bien les bases pour la suite. En espérant un retour d'Yvain, et aussi d'Anna parce que je me demande ce qu'elle a foutu pendant 10 ans 🫡
(et puis c'est grâce à ce film que j'arrive enfin à peu près à reconnaître Sting donc c'est toujours ça de prix)
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sunny morning walking thru downtown while the city summer street festival is being set up around meee
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J'ai regardé John Wick 4.
C'était vraiment un super film, les réal ont un gros gros kink sur le travail des lumières + une scène en vue zenitale en plan séquence qui a du coûter plus cher que le PIB du Paraguay. Mais surtout les cascades en voitures ! Quel assurance à vu le projet et à dit "okay on couvre ça, pas de soucis on est pas inquiets"???
Bon et puis au niveau des thèmes on reste sur le discours sur la dette, sur les lois, sur les conséquences des actes.
Franchement, essayez de vous rappeler combien de séries d'au moins 4 films n'ont jamais baissé en qualité au fur et à mesure des épisodes. Pas tant que ça, et clairement John Wick en fait partie.
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PAST LIVES - Il y a des œuvres dont on sait qu’elles vont nous plaire dès les premiers instants. Past lives, nos vies d’avant est clairement de cette catégorie. Mieux, elle nous cueille dès le départ pour ne plus jamais nous lâcher. Et il faut souligner que c’est un premier film, ce qui rend cet essai poétique et parfaitement maîtrisé encore plus louable, et plus touchant.
La réalisatrice et scénariste Céline Song a bien sûr mis beaucoup de son expérience dans cette histoire presque autobiographique, ce qui est souvent l’apanage des premières œuvres. Cette immigrée nord-américaine (ou émigrée sud-coréenne selon d’où on se situe) a donc réalisé un film qui lui ressemble. Elle y fait un parallèle fort avec sa propre histoire, nous la fait presque partager, et nous gratifie d’une passionnante et sublime histoire d’amour pas comme les autres. Elle se caractérise par un amour d’enfance qui se transforme en une sorte de relation manquée qui s’étire sur près de trois décennies. Et que c’est beau, que c’est juste, sensible et intelligent, tout en nuances et en délicatesse.
On sort du film plein de baume au cœur. On n’a pas vu le temps passer (hormis quelques minuscules petites longueurs au milieu du film) et on a assisté à quelque chose de presque magique. Quelque chose qui nous fait encore croire à l’amour sous toutes ses formes même quand il n’est pas consommé.
Le titre fait référence à une sorte de légende bouddhiste prônant les âmes liées à travers la réincarnation mais n’a pour autant rien de surnaturel, de spirituel ou de métaphysique. Ce qui est impressionnant, c'est que cette histoire nous fait rêver, mais justement parce qu'il n’y a pas plus terre à terre. C’est juste l’hypothèse invoquée par les personnages, comme une sorte d’espoir ou la promesse de se retrouver dans une autre vie qui suffit à faire décoller le récit, à sublimer la relation inaboutie.
Song déjoue tous les clichés propres aux films sentimentaux en choisissant le réalisme et la justesse de ton et de point de vue. C’est doux comme une caresse, tendre comme une étreinte et souvent beau à se damner. Elle parvient même à rendre les échanges virtuels de la seconde partie intéressants et cinégéniques. Le trio de de comédiens qui incarne ce film sublime est dans la même harmonie. Sans leur précision de jeu, le long-métrage n’aurait pas le même impact...
Mais au-delà de la puissance des sentiments qu’elle convoque, à travers de simples discussions et la dissection d’un amour qui ne dit pas son nom et ne se réalisera pas, Song nous met une claque de mise en scène encore plus impressionnante puisqu’il s’agit d’un coup d’essai. Sans jamais être prétentieuse ou ostentatoire, sa réalisation est dans la même lignée que le fond de son film : belle, pudique, sobre tout en étant parfois majestueuse.
Un plan sur une flaque de pluie à la magie éthérée, un autre d’une pureté aseptisée où on voit le personnage principal assoupi tandis qu’en second plan flouté arrive un homme qui deviendra son mari ou encore celui qui voit deux enfants prendre deux ruelles différentes, symbole d’une séparation qui les marquera à vie. Même sa façon de filmer New York est pleine de goût.
La séquence initiale est aussi fûtée et originale que le film est bon. On y voit nos trois personnages principaux dans un bar tandis que la discussion de deux personnes qu’on ne verra pas tente de savoir quelles sont leurs liens, ce qui amorce un petit suspense en plus bien vu en plus d’être une idée judicieuse.
Et, enfin, cette fin déchirante de simplicité, bouleversante de tristesse et flirtant avec la nostalgie et la mélancolie des plus grands films romantiques achève de nous convaincre. «
NOTE 16/20 - Past lives, nos vies d’avant est un grand film d’amour du même niveau que N’oublie jamais ou In the Mood for love. Un moment privilégié, où quelque chose de fort et de profondément sensible parvient à se dire et à se faire entendre en chacun de nous.
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La séquence dure plus de vingt minutes, enregistrée discrètement par un membre d’un groupe de sept personnes interpellées, lundi 20 mars, à l’angle des rues des Minimes et du Béarn, dans le 3e arrondissement de Paris. Entre commentaires à caractère sexuel, gifles, menaces et vantardises, ce document sonore, que Le Monde a pu authentifier, jette une lumière crue sur le comportement de fonctionnaires en contradiction totale avec les règles déontologiques autant qu’avec la loi.
Ce soir-là, plusieurs dégradations ont été commises dans les environs au cours d’une nouvelle nuit de protestation contre le recours, jeudi 16 mars, à l’article 49.3 par le gouvernement pour faire adopter sans vote la réforme des retraites. Appelée pour procéder à des interpellations d’émeutiers, qui ont pris l’habitude, depuis plusieurs jours, de se disperser par petits groupes et d’incendier des poubelles – les affrontements directs avec les forces de l’ordre sont plutôt rares –, une unité des brigades de répression de l’action violente motorisées (BRAV-M) parvient à appréhender une demi-douzaine de jeunes gens, sans qu’il soit permis d’établir, pour le moment, leur participation aux incidents.
Une photo, prise sur l’instant, montre une quinzaine de fonctionnaires, reconnaissables notamment à leurs casques de moto blancs, dans leur tenue habituelle qui emprunte autant à l’uniforme de « Robocop » des CRS qu’à l’équipement de n’importe quel motard. Cernant plusieurs jeunes assis sur le trottoir, le dos à la devanture d’un commerce désaffecté, plusieurs de ces fonctionnaires se laissent aller à des propos et des attitudes susceptibles de poursuites pénales, en particulier contre un jeune homme, « le seul Noir du groupe », précise l’un des jeunes gens interpellés. Plusieurs d’entre eux ne se connaissaient pas avant cet épisode.
« Tu sais que tu as une vraie tête à claques ? », lui dit un policier, tandis qu’à l’arrière-plan sonore des voix réclament des précisions sur le nombre de personnes interpellées. « Si tu veux, je te prends tout seul », continue le policier, avant d’intimer le silence au jeune homme, qui tente de répondre : « Ferme ta gueule. »
« Efface ton sourire »
Les propos de plusieurs fonctionnaires, très nettement audibles, sans que le moindre doute soit possible quant à la qualité de ceux qui les profèrent, sont prononcés sur le même ton, alternant menaces, intimidations, menus propos sur les aptitudes des interpellés à la boxe et fanfaronnades guerrières. Ainsi, cinq minutes et quarante secondes après le début de l’enregistrement, l’un des policiers se laisse aller : « T’as tellement de chance d’être assis là, maintenant qu’on t’a interpellé, je te jure, je te pétais les jambes, au sens propre… Je peux te dire qu’on en a cassé, des coudes et des gueules (…), mais toi, je t’aurais bien pété tes jambes. »
Plus grave, à deux reprises en l’espace de quinze secondes, à six minutes et quarante-deux secondes du début de l’enregistrement puis à six minutes et cinquante-cinq secondes, deux bruits de claques retentissent, d’autant plus identifiables qu’ils sont précédés et suivis de propos qui ne laissent aucun doute : un « Efface ton sourire », répété deux fois avant la première gifle puis une nouvelle fois après, et « Tu la fermes ou tu veux la deuxième ? », avant un nouveau claquement.
« Je ne… ferme pas », bafouille le jeune homme.
Une nouvelle voix, manifestement différente de celle du fonctionnaire qui a asséné les deux gifles, demande alors : « Tu commences à bégayer ! T’en re-veux peut-être une, que je te remette la mâchoire droite ? »
Le jeune homme : « Surtout, hésite pas à dire ça là-bas…
– Dire ça où ?, interroge un policier.
– Là-bas.
– Là-bas où ?, insiste le policier.
– Là-bas ! Vous allez me ramener où ?
– Au commissariat ? Mais y a que toi qui parlera, moi j’y vais pas, hein.
– Voilà, c’est pour ça que tu fais ça », conclut le jeune homme.
Puis le policier enchaîne par de surprenantes considérations, ponctuées des rires de ses collègues :
« Tu sais, moi je peux venir dormir avec toi si tu veux…
– Eh ben on y va,l’interrompt le jeune homme.
– … et c’est le premier qui bande qui encule l’autre », reprend le policier.
Une autre voix s’en mêle, toujours à l’adresse du jeune homme : « On va t’apprendre à respecter. En fait, je crois que t’as pas bien compris (…). Regarde tes copains, là : ils respectent, ils ne l’ouvrent pas bêtement, pour rien. » « Je m’en fous », répond le jeune homme. « T’es trop insolent, je te jure c’est un truc de fou », poursuit le policier, avant qu’un autre fonctionnaire n’intervienne à son tour : « Eh, t’inquiète, ta petite tête, ta petite tête, on l’a déjà en photo, t’as juste à te repointer dans la rue aux prochaines manifs (…). La prochaine fois qu’on vient, tu monteras pas dans le car pour aller au commissariat, tu vas monter dans un autre truc qu’on appelle ambulance pour aller à l’hôpital. »
A cet instant, l’ordre est donné de faire mouvement vers le secteur de Château-d’Eau (10e), où de nouveaux heurts sont signalés par radio. « T’as de la chance, dit un policier, on va se venger sur d’autres personnes. »
Interrogé sur ces faits vendredi soir dans l’émission « C à vous », sur France 5, le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a annoncé qu’il allait saisir l’inspection générale de la police nationale (IGPN). « Evidemment que ces propos sont totalement inacceptables, a-t-il déclaré. Nous sommes extrêmement rigoureux sur l’application des règles déontologiques (...). Quand j’entends cette vidéo, je suis très choqué. »
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Tears are not enough pt1 - Séquence 2 :
Back at drawing this last two-part episode of Degrassi season 2. Only draw the characters and wrote the dialogue in page 3 only. This scene brings back the excuse of “My dog ate my homework” and changed it into “My little sister threw orange juice on it”.
And yes, I have to redraw the first panel who is a total failure. I become too dependant of the original plans, making me useless when I have to draw by myself.
#degrassi#degrassi season 2#Tears Are Not Enough#joey jeremiah#Angela Jeremiah#Craig Manning#adaptation
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“Emission Capital sur M6, le 22 octobre 2022. Symbole de l’incohérence de cette alliance étroite de la politique et des médias. "Les bons plans de l’antigaspi face à la flambée de prix de l’énergie" : quelques conseils "de grand-mère" pour économiser le gaz en faisant la cuisine. Tout ce que tout le monde faisait jusqu’à la fin des années 1970. Ne pas gaspiller l’eau ni l’électricité faisait partie de l’éducation des enfants par des parents qui, eux-mêmes, avaient été éduqués et connaissaient les règles du vivre ensemble sans rien gaspiller, parce que gagner sa vie demandait de travailler dur. Puis, peu à peu, s’est installé la société de consommation, société du "toujours plus", société du gaspillage programmé, provoqué par une publicité sans aucune déontologie, sans garde-fou, loin de toute véritable information du consommateur. La preuve de cette indécence : à l’époque de l’ORTF, la publicité à la télévision faisait l’objet d’une règlementation très stricte : la RFP. Par exemple, la Règlementation française de la publicité interdisait de prendre des enfants lors du tournage de séquences publicitaires. La fin de l’ORTF et l’ouverture aux chaînes privées virent le passage des "réclames" à l’endoctrinement tous azimuts par une publicité agressive et trompeuse au possible. Après avoir incité pendant quatre décennies les citoyens à gaspiller à qui mieux mieux, voir les mêmes, élus, journalistes ou animateurs, ainsi que leurs successeurs venir donner des leçons au peuple inconséquent, avec des menaces pour entrer dans le rang de la sobriété. Mais il faut surtout le rendre seul responsable du "réchauffement climatique" et de ses conséquences : quel cynisme, quelle tartufferie, quel mépris pour le peuple ! Comme ces gens sont malhonnêtes, et eux-mêmes profondément méprisables !”
Philippe Belotte, Courrier des lecteurs de La Décroissance, n° 195, décembre 2022- janvier 2023, p. 2.
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Analyse de séquence: Elephant (2003), dir. Gus Van Sant
00:58:16 - 01:00:36
Caractéristiques esthétiques Gus Van Sant refuse le montage pour la séquence analysée : il y a qu'un long plan séquence qui suit Michelle de dos, ce que fait appelle à l’univers des jeux vidéos, un sujet très discuté dans les études sur le film.
Au même temps, le choix d’encadrer Michelle de dos donne l'impression que quelqu’un la suit, qu’elle est coincée, sur préssion, ce qu’on voit dans la scène antérieure, avec la prof de gym qui insiste pour que l’adolescente s'habille plus légèrement pour son cours, même qu’elle soit évidemment pas confortable. Également, elle sera bientôt coincée face à l’attaque des tueurs qui vont, selon l’ordre chronologique, entrer à la bibliothèque et la tirer dessus quelques instants après le début de son travail.
Le choix de mettre Eli et John en flou dans l'arrière-plan mais de maintenir le son de leur conversation si clair indique que dans ce moment-là on accompagne Michelle, mais que, malgré son déconcertement et mal à l'aise, il y aura toujours la coexistence avec les autres adolescents. Elle n’aura pas le temps de s’isoler pour digérer la violence soufferte dans son cours de gym, elle doit continuer à vivre entourée de ses collègues et d’aller travailler.
Indices visuels et sonores La principale fonction des indices visuels et sonores dans cet extrait est de montrer au spectateur l’angoisse de Michelle: La caméra qui la suit comme un policier qui suit un voleur;
la musique, qui est peut-être intradiégétique mais apporte quand même une sensation funèbre; son cri très subtilement entendu parmi l’ambiance.
Structure et enjeux dramatiques La séquence se passe dans un seul temps, sans raccords et sans ellipses. Pendant tout son chemin, on voit le mal à l’aise de Michelle dans le lycée. Après son arrivée à la bibliothèque, elle est encore timide et déplacée, mais l’acte d’avoir une tâche à accomplir semble la distraire un peu de son inconfort général.
L’idée aussi de que Michelle parle à personne dans son chemin et que les deux seuls élèves qu’elle croise interagissent entre eux met en évidence sa solitude et son manque d'habiletés sociales en général.
Description détaillée La séquence est composée d’un long plan séquence, un travelling qui suit Michelle. Ce parcours s’initie avec un plan taille sur la lycéenne de dos, qui sort d’une chambre où la lumière est complètement rouge pour arriver au couloir du lycée, où il y une lumière qui semble naturelle, rentrant des grandes fenêtres du côté droit. On entend l’ambiance du lycée, une musique lente et Michelle qui semble pleurer subtilement.
Au fond du couloir, Eli et John se croisent et discutent brièvement. Ils sont en arrière plan, flous.
L'alarme sonne et Michelle commence à courir et le travelling s’accélère pour la suivre. Elle rentre dans une séssion plutôt obscure. La caméra continue à la capturer de son dos mais l'échelle se serre plus et Michelle rentre en plan épaules.
La personnage entre dans la bibliothèque et le bibliothécaire vient lui parler pour expliquer ses tâches: il faut qu’elle commence par mettre des livres en rayons. Elle prend son chariot et commence son travail. On écoute les bruits des livres manipulés.
Ensuite, Michelle entend un bruit étrange et tourne en arrière, c'est-à-dire vers la caméra, pour regarder ce qui se passe.
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La galerie des possibles
Un plan séquence réalisé par les élèves de la classe de 3ème 1.
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still can’t get that opening scene on the train out of my head
the tension in the camera work and the close ups on their lips
the music going off beat as they begin their “discussion”
the way the fake “plan-séquence” is divided in three acts to parallel and forshadow the plot
but most of all, where De Niro’ Goncharov is cool and collected at first, Al Pacino’s Varan is immediately all fire and brimstone as soon as the ticket puncher sends him that look
it’s not a perfect movie but damn if that opening isn’t a masterpiece!
GONCHAROV (1973) dir. Martin Scorsese
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MARDI 12 NOVEMBRE 2024 (Billet 1 / 3)
« TROIS AMIES » (1h 57min)
Un film d’Emmanuel Mouret, avec Camille Cottin, Sara Forestier, India Hair…
Critiques sur le Site « AlloCiné »
Presse : 3,9 et Spectateurs : 3,6.
De ce metteur en scène, nous avions beaucoup aimé « Mademoiselle de Jonquières » avec Cécile de France et Edouard Baer, et bien aimé « Chronique d’une liaison passagère » avec Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne (même si nous trouvions que ce dernier, très barbu, ne jouait qu’avec à peine un tiers de son visage !).
Suite à une bande-annonce très bien faite et intéressés par le sujet, nous y sommes allés samedi dernier. Nous n’avons pas du tout été déçus. "Trois amies" est un « marivaudage », drôle et délicat… très français « XVIIIe modernisé » (pas l’arrondissement bien sûr !).
La première critique ci-dessous développe tout ce qui nous a plu dans ce film mais n’insiste pas suffisamment sur l’interprétation de Sara Forestier que nous avons trouvée, dans toutes les scènes où elle apparait, plus qu’épatante ! Certes, depuis l’« Esquive » (2003), elle s’est un peu enrobée mais ses rondeurs lui vont très bien. Une « belle » actrice qu’on devrait voir plus souvent au cinéma. Dans « Le nom des gens » (2010), elle était géniale… et le film, so intelligemment drôlissime !
La seconde critique est assez particulière car le film est analysé à partir des musiques choisies par le metteur en scène. Elles nous ont beaucoup plu.
Marina donne aux « Trois amies » ❤️❤️❤️,8 et JM, ❤️❤️❤️,7 sur 5.
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Chantre de la confusion des sentiments, Emmanuel Mouret (« Mademoiselle de Joncquières », « Chronique d’une liaison passagère ») remet, pour son douzième long-métrage, son ouvrage sur le métier. Cette fois, il place l’amitié en première ligne, ses trois héroïnes étant liées par un indéfectible attachement. Rebecca (Sara Forestier) a pour amant Eric, le compagnon d’Alice (Camille Cottin) que celle-ci dit aimer sans passion. Joan (India Hair) quitte Victor, pour lequel elle n’éprouve plus rien. Un tragique accident va rebattre les cartes et faire reconsidérer à chacune son rapport à l’amour.
Entre mélodrame pavé de culpabilité, élégamment dialogué et comédie de boulevard, le réalisateur et sa coscénariste, Carmen Leroi, glissent aussi du fantastique et du surnaturel. C’est une voix bienveillante qui introduit le récit et nous détaille les rues vides de Lyon où va se jouer l’histoire ou plutôt les histoires, puis nous présente avec douceur les personnages. Déambulatoire et bavard, le film arpente les couloirs d’un lycée, les coursives d’un musée, traverse des ponts, des rues, des allées. De superbes plans-séquences embrassent les conversations à deux ou à trois dans un format Scope qui amplifie les passages, les ruptures de ton, les glissements.
C’est brillant, harmonieux. Il y a du Woody Allen (« Hannah et ses sœurs », « Alice »), du Max Ophuls (« Madame de… ») et un vibrant hommage au septième art lorsque certains protagonistes, dans le cocon d’une salle de quartier, savourent le trouble d’Ingrid Bergman dans « les Enchaînés » de Hitchcock ou rient aux chutes sans fin de Buster Keaton. Porté par une interprétation collégiale magistrale, dominé par India Hair (Joan), frêle et forte, Camille Cottin (Alice), blindée et pourtant aventureuse, et Sara Forestier (Rebecca), éperdue et généreuse, « Trois amies », pour dire les liens, les fantasmes, les choix et les hasards, distille une délicieuse délicatesse.
(Source : « nouvelobs.com »)
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Écoutons la musique de « Trois Amies » d’Emmanuel Mouret. Un film qui nous invite à suivre la confusion des sentiments de personnages interprétés par India Hair, Camille Cottin ou encore Sara Forestier en écoutant des airs classiques et la BO de Benjamin Esdraffo.
Comment parler du nouveau drame romantique d’Emmanuel Mouret sans gâcher la surprise qui vous attend ? Il faudrait certainement écouter cet air fiévreux de Beethoven qui nous accueille et nous cueille dès le générique et que vous aurez peut-être reconnu puisqu’il s’agit d’une œuvre de répertoire, le Rondo de la Sonate Pathétique interprétée par Alfred Brendel.
Si cette pièce est utilisée en guise d’ouverture musicale c’est certainement parce qu’elle annonce la couleur de « Trois Amies ». Comme tous les films d’Emmanuel Mouret, celui-ci nous parle d’amour, de couples qui se font et se défont, qui se mêlent, qui s’interrogent sur des airs classiques choisis avec soin par le réalisateur. Comme dans « Les choses qu’on dit les choses qu’on fait », « Mademoiselle de Jonquières » ou encore « L’Art d’aimer », de nombreuses scènes de « Trois Amies » sont rythmées et coloriées par des airs classiques choisis après le montage du film. Ici une Sonate de Scarlatti, là une Fantaisie de Mozart ou encore un Concerto de Bach plantent le décor ou servent d'intermèdes à des scènes du film.
Preuve de la mélomanie d’Emmanuel Mouret, de nombreux choix d’œuvres classiques sont des enregistrements récents, sortis en CD au cours de ces dernières années. Je pense par exemple à la plus importante certainement des musiques additionnelles de « Trois Amies », cette Barcarolle du pianiste et compositeur Charles-Valentin Alkan, qui se balance tendrement, sensuellement enregistrée l’année dernière par le pianiste Bruce Liu.
Tout au long de « Trois Amies », les pièces de répertoire, les extraits de films de d’Hitchcock, Max Linder ou Buster Keaton dialoguent avec une partition originale composée sur-mesure par Benjamin Esdraffo, compositeur collaborant pour la première fois avec Mouret et à qui ce dernier a demandé d’écrire sept petites pages musicales inspirées de Chopin, Poulenc, Chostakovitch et pourquoi pas d’Alkan avec cette autre Barcarolle signée cette fois Benjamin Esdraffo.
Du vrai classique au faux avec les compositions de Benjamin Esdraffo, la bande originale de « Trois Amies » nous permet de combler les silences laissés par les plans et les personnages, de dire avec douceur des choses terribles, de souligner les trajectoires indépendantes et pourtant liées de ces trois amies incarnées par India Hair, Camille Cottin et Sara Forestier, trois personnages comme trois sujets d’une même fugue musicale dessinant l’amour en fuite et son retour sous une forme toujours renouvelée…
(Source : « radiofrance.fr »)
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MOVIES I WATCHED THIS WEEK (#198)
MASTER, A BUILDING IN COPACABANA (2002) is considered one of the best Brazilian movies of all time, and justifiably so. The large 'Edifício Master' is a 12 story apartment building situated in a lower middle class area of Copacabana of Rio. Important documentary director Eduardo Coutinho rented one of the small 1-bedroom units there for a month, so that he could meet and interview dozens of the tenants who live there. In a sparse, simple and unadorned manner, they each talk about their lives, which often were filled with pains, loneliness, hardships and separation. Many of the stories are emotionally sad, some even tragic, and all very human. But so many of them also recite some of the poetry they write, or sing some of the samba songs they compose, and generally opens up without pretensions. Simple and non-judgemental. 9/10.
(I want to see his 'Jogo De Cena' but I can't find a copy online with English subtitles! - HELP, please!)
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PIROSMANI (1969) is my first Georgian masterpiece which was not made by Sergei Parajanov. It's an awe-inspiring biography of Nikolai Pirosmanashvíli. He was a self-taught, naïve Georgian painter who lived during Vincent van Gogh's time, and like him, died destitute and unappreciated by his piers, only to find prominence decades after his death. (Japanese Trailer Above.)
It's an absorbing and visually-stunning film, composed of rural tableaux and primitive folk setting, a mixture of Henri Rousseau, Gauguin, Édouard Manet, Bruegel and Jodorowsky. A sad, slow and formal composition, full of sublime pathos and simplicity. Best film of the week!
After watching it, I discovered an excellent explainer from a YouTube channel called 'Plan-Séquence' (which offer similar analyses about other less-known masterpieces).
(Pirosmani later was also the inspiration for a Russian pop song called 'A million roses', which apparently became a big hit in the 1980's).
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2 CZECH MASTERPIECES:
🍿 First watch: ECSTASY (1933), the controversial, groundbreaking erotic romance, the film that Hitler banned throughout Nazi Germany. Gorgeous, young Hedy Lamarr swimming naked, running naked, showing her breasts, making love and having an orgasm (off screen) was far too indecent for "proper" society to see.
The drama played in a silent movie style, with very sparse dialogue. I saw it in the original German, but there were also French and Czech versions. It also contained an early example of 'Smoking after sex', long before 'The Graduate' and even before 'Now, Voyager'.
Good for Hedy [Not 'Heddy'!] to have invented Frequency-hopping spread spectrum (FHSS), which enabled code-division multiple access (CDMA) communications in World War 2.
🍿 Mr. Prokouk: A Horseshoe for Luck (1946), my earliest slapstick film by famed Czech stop-motion animator Karl Zeman. It introduced the character of Mr. Prokouk, which became an 'Everyman' symbol in Czechoslovakia, as popular as 'The Tramp' and Mr. Hulot. An anti-superstition fable, but also a PSA for recycling.
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I previously only saw 'Larisa', Elem Klimov's biography of his wife, Larisa Shepitko. THE ASCENT (1977), a harrowing World War 2 nightmare, is my first searing masterpiece by her, and the last film she finished before dying young at a car accident. Two Russian partisans starving in the snow, fighting the Nazis, going through hell and losing their souls. it's as heavy as the most depressing Dostoevsky novel, and a prelude to her husband's even darker 'Come and see'. The film was shot outdoors at forty degrees below zero, and you freeze just by watching it. [*Female Director*]
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ANNA KENDRICK X 2:
🍿 WOMAN OF THE HOUR, her new, directorial debut is an ominous feminist nightmare masquerading as a true crime thriller about a sadistic serial killer.
This light comedy about a stupid television show is transformed into a creepy tale of systematic misogyny and degradation. Women led to live in a watchful state of fear wherever they went, always assessing everything and everybody around them, lest they be harmed. The men, and not only the creepy-as-fuck killer, were casually abusive, contemptuous and sexually-harassing. In 1978, it was in the air and water, and completely unremarkable. Thank God it's not like that any more, and women don't have to 'Choose the Bear over Bachelor Number Three'... /s.
Technically, it was well done, with menacing sound track of White Noise ambiance. 7/10. [*Female Director*]
🍿 She's my crush from 'A simple favor', 'Up in the air' and 'Alice, darling' but I didn't realize that she started as a talented child actor and that she could sing (''Ladies who lunch" at 17), and dance as well as act.
THE CALL (2014) was just a little improve thingy where she plays herself in a pink sweater and in an office setting.
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'Color guard' is a combination of cheer-leading/baton twirling/marching band/spinning choreography and high-school dancing competition.
David Byrne staged a big event in 2016 and produced the documentary music performance CONTEMPORARY COLORS because he found this less-known art form fascinating. And he brought in other artist friends to spice it up, like The Beastie Boys, St. Vincent, and Nelly Furtado. Apparently, the making of this production led him to the format of ‘American Utopia’, which was much better, and which I now want to re-watch one more time.
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2+ CHAPLIN MUTUALS FROM 1916:
🍿 THE PAWNSHOP, Chaplin's 6th film at Mutual, and one of his funniest two-reelers. For 25 minutes, he clowns, pratfalls, slapsticks and pantomimes. Edna Purviance is also lovely here. Perfection! 10/10.
🍿 THE RINK (Colorized) was his 8th (out of 12) film for Mutual Films. He plays a clumsy waiter, as well as a master skater, calling himself Sir Cecil Seltzer, C.O.D. Later on, he will show his skating skills again in 'Modern Times'.
🍿 Bonus: I never heard of his home movie NICE AND FRIENDLY from 1922. It's a 10-minutes improvised sketch he made as a wedding present to his friends, the Mountbattens. Strange and private, it's not on a level of any of his 'finished' productions. It features 8 year old Jackie Coogan, a year after 'The Kid', and it ends with the title card: "All of which goes to prove something very profound but we are not quite sure just what it is".
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Max Barbakow's 'Palm Springs' had been one of my favorite Guilty Pleasures in the last few years, and I've seen it 15 times or more, and enjoyed it every time. I just love everything about it. So I was waiting to see what he will cook up next. But the only commonality with his new comedy BROTHERS was the one-time use of the slur name 'Shitbird'... There were simply zero redeeming qualities to this flat, unfunny, formulaic suckface, not even the scene where Josh Brolin was jerking off that orangutan. One point for this being T. Emmett Walsh's last movie. 2/10.
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GEOFFREY JONES X 2:
🍿 LOCOMATION (1975), a terrific British industrial documentary about the transformative history of trains, from it "primitive" beginning in 1825, and how it altered the landscape, the world. It uses a montage of prints, paintings, lithographs, photographs and and clips set to electronic music, but without any words. 7/10
🍿 Jones must have been working for British Rail. His riveting crisp SNOW (1963) was also about the excitement of train riding. From a group of railwaymen shoveling snow on the tracks, to the cozy fun ride in a blizzard, this too was a wonderful hymn to traveling by train. If he was American, this film would be selected to the National Film Registry. Great rhythmic collage, and jazzy soundtrack too.
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I love Ali Wong and seen all her stuff more than once or twice. In her 4th nasty standup which just dropped, ALI WONG: SINGLE LADY she continues to overshare in specific details her intimate and depraved sex-life, but none of it is new or shocking. I still admire her taboo-breaking feminist strength, her constantly-horny independence, and the fact that she doesn't take shit from anybody. But the Chinese-American version of the abject materialism she revels in is not so funny any more. From her decade-long public confessions, I feel sorry for her ex-husband. 4/10.
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3 SHORTS:
🍿 THE GOALKEEPER, a fine mime piece by Jacques Tati. Not sure when or where it is from.
🍿 ESSUN DORMA (1987) was directed by Ken Russell, part of the British anthology music film, 'Aria'. Ten filmmakers were tasked with interpreting a piece of classic opera. M'eh: You could get away with a lot back then.
🍿 ANÉMIC CINÉMA (1926) was the only avant-garde "film" made by dadaist Marcel Duchamp, basically showing some spinning disks like a Seriograph with superimposed dirty, nonsensical proverbs. As offensive as the urinal 'Fountain'.
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BOOKWORM is a new family film from New Zealand about a gifted girl of 11 and her estranged father on an adventure trip out in the wilderness. It started well enough, and I'm a sucker for this plot line, (I watched the similar, and much better, story 'Gifted' with Chris Evans - twice!) - as the girl reminded me of somebody I know... But then I took a break right in the middle of it, and when I returned to it the next day, the whole thing crumbled into a disappointing, unbearable mush. Kiwi nature shots were lovely, and the film was coated with a filter of A.I. sheen, the kind you see on r/midjourney. 2/10.
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2 POLITICAL DOCUMENTARIES ABOUT JAMES CARVILLE:
🍿 "I'm the son of a great salesperson. We have come to devalue salesmanship. But if you're not willing to sell, you're not willing to win."
CARVILLE, WINNING IS EVERYTHING, STUPID is my 3rd documentary by Matt Tyrnauer (After 'The Reagans' and 'Where's my Roy Cohn?'). It's a CNN-produced and CNN-deep exposition, slick and watchable, that can be consumed in the background while doing the dishes. It was made during the last 6 months of Biden's campaign until his bumbling debate in June 2024.
🍿 And, being a completist, and not expecting much from it, I thought I'll also sit through D. A. Pennebaker's (and wife) 1993 THE WAR ROOM, the behind-the-scenes documentary about the Clinton for President campaign. But this is the difference when you have a 'good' filmmaker behind the camera.
It's odd to relive this whole sordid affair a generation later, when all the players were young, unpolished, and relatively untarnished. Fascinating to see how things were done then - as compared to now! 8/10.
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I started watching Elaine May's celebrated A NEW LEAF a couple of times before, and failed. This time, I promised myself that I'll sit through it. Unfortunately, in spite of gritted teeth and frequent stops, I could only tolerate 46 minutes of this overrated 'comedy', before throwing in the towel. I hated everything about it: Walter Matthau as a romantic but asexual anti-hero "playboy", the hoity-toity lifestyle of the ultra-rich class of 1971 Manhattan and herself as the fumbling spinster with her awkward round glasses. Unfunny to the core, annoyingly cringey. Couldn't finish it. [*Female Director*]
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LOVE LIFE - Un film très japonais, parlant comme toujours de famille, de filiation, de tradition, de carcans sociaux... Un récit un peu surfait où les vies ne sont pas épargnées par les épreuves. Un couple fait face à une tragédie avec les impacts et les ressentis qui atteignent les parents et l'entourage.
A partir de ce moment, on assiste à un jeu de pousse-pousse, où les rôles s'interchangent, et les lignes de victimes et des coupables bougent. Le rythme est lent avec parfois des plans séquences assez longs qui nous plongent dans le quotidien ordinaire de chaque être.
Ambiance assez étrange en définitive, probablement parce que les japonais, malgré leur proximité technologique avec l'Occident, restent un peuple surprenant pour nous. Partagés entre modernité et traditions, ils dégagent une impression de raideur, d'immaturité affective, de crispation dans leurs émotions.
Sinon, le film est beau, la photographie superbe, de grands cadrages minutieusement préparés comme des tableaux de Hopper. Sur le fond, c'est peut-être une réflexion sur l'absurdité du destin et l'acceptation du quotidien comme seul remède.
Ou pas…
NOTE 12/20 - Une légère déception après le sublime Harmonium du même réalisateur, qui semble se plagier lui-même plutôt que d'innover.
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