#plan cul du soir
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trop perplexe de pourquoi je n'ai pas écouté l'épisode d'abdtr avec gringe en entier alors que c'est mon favorite podcast ever et que je loupe pas un épisode ? que s'est-il passé ca. 2019 quand j'ai bingé tous les épisodes existants pour que je coupe mon écoute 😭 bref je vais rectifier ça rapidos dès que j'ai fini d'écouter gringe parler de cul
#SML (l'animatrice du podcast) est d'ailleurs dans l'épisode plan cul de bloqués j'étais o_o quand je l'ai reconnue#je recommande chaudement ce podcast d'ailleurs !! les épisodes avec Vincent Macaigne et les parents de SML en particulier#pérégrinations#en deni total de il me reste au moins 1h-2h de taf à faire ce soir putaiiin#trop procrastiné sur les corrélations de merde que je dois préparer et analyser oskour
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je ne veux plus
écrire de beaux poèmes
je ne veux plus
puiser dans ma tristesse
cultiver l'attente
je ne veux plus être mon propre terrain de jeu je veux
tisser une intimité avec toi
non les poètes ne disent pas toujours "je veux ken"
parce que les poètes ne se mettent pas toujours
dans les situations les plus faciles ou plutôt
les poètes rendent public que l'amour n'est pas
une situation facile et que comme tout le monde
ils désirent et la tendresse fait tanguer le cœur parfois plus qu'un orgasme
et comme tout le monde les objets de désir ont
un travail des amis un concert ce-soir des émotions un passé un enfant deux enfant trois neveux une tante un peu omniprésente un animal de compagnie des kilomètres entre nous une passion et ce n'est pas nous un boss d'autres gens à texter un loisir un voyage de prévu un plan de vie
c'est pour cela qu'ils nous manquent, cela n'a rien avoir avec leur
sourire leur regard qu'on soutient à toute heure du jour et de la nuit leurs gestes marques d'affection fossettes yeux profonds mains douces mains caleuses mains grandes poignets avant-bras épaules cul torse cuisse mollet ventre dos danse leur rire le fait qu'il nous dise merci leur capacité à nous créer des souvenirs d'un rien pour les autres mais vraiment beaucoup pour nous cette main sur notre épaule leur capacité à mettre la lumière sur nous de ne plus nous faire sentir seul de nous apaiser hop d'un coup par leur présence ce bisou sur la joue ce câlin cette pression inhabituelle cette surprise ce cadeau ce temps ce cadeau cette compagnie ce cadeau alors je dis
merci à toi aussi
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saga: Soumission & Domination 317
Côme et Ludovic encore, journée de chasse !
Côme passe nous voir un soir où son frère doit rentrer chez eux.
Il est tout excité. Je me doute de ce qui s'est passé mais j'attends qu'il me le dise lui-même.
Comme c'est l'heure de l'apéro, Ammed nous sert un plateau de tapas avec nos verres.
Finalement, il se lance. Il me dit que ça y est, il a fait l'amour avec Jonathan et François.
Moi : alors ? Côme : trop bon réellement ! Moi : je t'avais dit qu'ils seraient doux et patients Côme : plus que ça. Je n'ai pas baisé avec eux, nous avons fait l'amour. Moi : ça ne m'étonne pas, même si ce sont mes deux escorts les plus coriaces, je connais leur fond et il est bon ! Côme : tu ne sais pas ce qu'ils m'ont fait ! Moi : non mais j'ai quand même une petite idée, moi aussi j'ai baisé avec eux. Côme : oui, je suis bête, c'est évident ! Moi : désolé mais je suis passé avant toi et je n'ai pas été le seul Côme : je le sais mais quelque part j'espère avoir été plus qu'un simple soir de sexe. Moi : t'as pas eu trop mal (sous entendant au cul) ? Côme : non ils ont été supers. Nous nous sommes embrassés, caressés, léchés et sucés. Ils m'ont préparé la rondelle et, quand Jona m'a enculé, j'ai juste eu une petite douleur quand son gland est entré mais après, c'était trop bon ! Moi : ok, ils ont fait du bon boulot Côme : comment ça du boulot ? Tu leur avais commandé de m'enculer ?
Oups mauvais choix de mots !!
Moi : bien sûr que non, imbécile. Sur le privé, je n'interviens pas. Ce n'est pas moi qui ai formé tous les couples parmi mes escorts ! Côme : ok j'ai eu peur. Moi : mais je suis content qu'ils t'aient fait découvrir cette facette de la sexualité. Et rassure toi, ce n'est pas pour ça que je te demanderais maintenant de taffer avec des clients homme. Côme : je suis content, car j'ai flashé sur eux, pas sur les autres. Ils ont quelque chose qui m'attire. Je ne sais pas quoi mais ça le fait pas avec tes autres escorts, et même toi ou PH. Moi : Merci !! Côme : excuse, j'ai pas voulu dire ça ! Enfin quoi, je vous aime bien, mais j'aurai plutôt un blocage. Je me vois mal partager les mecs de mon frère ! Moi : dommage, je t'aurais pas laissé dormir dans la baignoire. Côme : non, t'aurais pas fait ça ?! Moi : qu'est-ce que tu crois, je n'ai jamais laissé passer un bon plan et foutu comme t'es... Jona et François ont dû bien profiter ! Côme : tu charries, Moi : ne me dis pas que tu regrettes. Côme : non, mais c'était avec eux et pas d'autres ! Moi : OK c'est bien et tu as ma bénédiction pour faire ce que tu veux. Recommencer avec eux si tu as envie, ou pas. Côme : Merci Sasha, t'es trop cool.
PH rentre à ce moment-là. On s'embrasse, il prend le verre que je lui tends et je lui annonce que notre Côme venait de tester son goût pour les hommes. PH comprend de travers et il me dit " maintenant ? Avec toi ? ". Je le détrompe, pas qu'il m'aurait fait la tête, on est au-dessus de ça mais juste la vérité, qu'il a passé la nuit dernière dans les bras de Jona et François.
PH est content qu'il ait choisi ces deux-là. Il lui dit qu'il n'aurait pas pu mieux tomber. Côme lui dit qu'il n'avait pas choisi, que ça lui était tombé dessus. Rire de notre part à la façon dont il dit ça.
Le Mardi qui suit, lorsque Jona et François l'embrassent à pleine bouche devant tous les autres, ça fait un blanc qui dure jusqu'à ce que Ludovic applaudisse son frère. Côme est un peu gêné, je pense qu'il se serait bien passé de cette officialisation. Je vois Ludovic prendre son frère dans ses bras et lui parler tout bas à l'oreille.
Plus tard Ludovic me dira qu'il lui a dit que personne ne le jugeait et qu'il devait prendre ça comme ça venait.
Ça a marché puisqu'il s'est aperçu que tout le monde retournait vite fait à son activité.
C'est seulement sous les douches, que Viktor et Nikolaï lui ont proposé de passer les " voir " s'il était intéressé. Quand il a vu que son refus n'engendrait aucun malaise, il s'est complètement détendu et il n'a pas été le dernier à blaguer avec les autres. Sous les douches, mes escorts partagent souvent sur les petits trucs qu'ils utilisent pour s'entretenir la peau. C'est à qui prêche pour l'épilation à la cire, d'autre pour l'épilation définitive ou le rasage simple. Sans compter l'échange de crèmes apaisantes et autres astuces. On se croirait dans un salon de beauté !!
Anthony donne sa marque d'hydratant. Avec le temps qu'il passe dans l'eau, il en consomme des litres ! Surtout depuis qu'il bosse pour moi et qu'il peut se le permettre financièrement.
Ludovic passe de plus en plus de temps avec nous. Ce qui n'est pas pour nous déplaire. Son père essaye d'en savoir un peu plus sur moi et mes intentions. Je suis invité un dimanche à l'accompagner avec ses 3 fils à la chasse. Ok je ne suis pas un fervent défenseur de la cause animale mais quand même !
Je refuse la première fois mais cède à la seconde invitation. Côme me dit que c'est un des moyens de me mettre son paternel dans la poche. Je passe à la boutique qu'il m'a indiquée et achète ce qu'il faut. Des bottes en caoutchouc doublées cuir, une veste Barbour Sonar Waxed, elle a un petit côté rétro.
La chasse
Je me pointe le dimanche matin dès 7h 30 !! Je ne me voyais pas dormir dans la chambre d'amis tout seul avec Ludovic dans celle d'à côté !
J'ai pas fait attention et suis allé en Mercédès. Evidemment le petit frère ne la rate pas et cash me demande qui j'ai sucé pour l'avoir. Je n'ai pas le temps de réagir que son père l'attrape par l'oreille, le soulève jusqu'à ce qu'il soit sur la pointe des pieds et lui dit que s'il l'entend ne serait-ce qu'une fois avoir ce genre de propos, il retournerait directement à la maison et que ce ne serait que le début de ses problèmes.
J'essaye de temporiser mais le père reste ferme, lui demandant de me présenter ses excuses. Il le fait, je les accepte. Alors que nous partons vers le Range Rover qui doit nous amener à pied d'oeuvre, je vois Côme allonger une claque sur l'arrière du crâne du petit dernier et lui dire un truc que je n'entends pas. Le chien monte dans le coffre. Son père me détaille et me dis que je suis bien équipé. Je réponds tout neuf, première utilisation. Ça le fait sourire. Ludovic est près de moi mais moins collé que d'habitude ! C'est sûr, on n'a pas eu le temps de se faire des bisous !!
Alors qu'on fait les km qui nous séparent de la zone de chasse, le père m'explique la philosophie. J'écoute. Je ne suis pas contre. En fait la chasse se résume à beaucoup de marche, quelques tirs dont certains réussis. Nous trainons donc sur leurs terres toute la matinée avec une pause casse-croute sur le coup des 10h. A défaut d'être passionnant, je prends un grand bol d'air et le gamin se révèle intéressant quand il parle de sa passion. C'est lui qui tue la première bestiole, un faisan. Le père le félicite, c'est amusant comme il est content du compliment. Le labrador le ramène.
On continu, le père et Côme tuent chacun leur bête alors que Ludovic rate toutes celles qu'il vise. J'entends Enguerrand (le petit frère) commencer à se moquer de lui. Un " je pensais que comme t'es amoureux tu saurais tirer droit ! " plein de sous-entendus, lui échappe avant qu'il s'arrête brusquement en se tournant vers son père quelques mètres devant nous.
Je me le réserve pour plus tard celui-là ! Va falloir qu'il apprenne quand s'arrêter.
Le reste de la matinée s'étire doucement et quand il est 13h nous rejoignons le véhicule.
Quand nous arrivons à la maison, madame nous attend le déjeuner prêt. Le temps de laisser les bestioles dans une réserve, de quitter les bottes et nous sommes à table devant un pot au feu brûlant. Elle n'a pas d'aide mais son plat est délicieux. Juste ce qu'il faut pour nous revigorer. Enguerrand me remercie car ma présence leur permet de boire un bon cru. Effectivement le Puisseguin saint-Emilion est tout à fait convenable. Un froncement de sourcils paternel lui rappel de se tenir.
Les sujets de discussion sont neutres. Pas de politique, pas de religion, encore moins de sexe, nos propos se limitent à nos études et à la chasse de ce matin.
Je bande que c'est pas possible ! Madame m'a placé entre Ludovic et Enguerrand et Ludovic ne cesse de passer sa main sur ma cuisse à chaque fois qu'il prend sa serviette sur ses genoux. Il le sait et s'en amuse. A mon tour, je passe ma main sur lui et sa bite déforme ses jeans. On va rire quand il va falloir se lever ! Enguerrand s'est aperçu du petit jeu de son frère et je le sens à la limite de sortir un vanne. Du coup je me tourne vers lui et lui demande où il en est question études.
A 16ans, il est rentré en 1ère (pas en retard le petit) scientifique et quand je lui demande ce qu'il veut faire après le lycée, il me sort " école de commerce, ça l'air de bien payer ". Le sous-entendu est compris par tous et son père lui fait les gros yeux. A cet âge-là, c'est un peu réduit comme admonestation et le petit con enchaîne avec " il suffit de trouver un patron compréhensif " pour bien appuyer au cas où nous n'aurions pas bien compris la première allusion. Là, il me trouve. Je lui demande devant tous si c'est par jalousie envers Ludovic qu'il est aussi acide. S'il le voulait, avec l'autorisation de ses parents, je suis tout prêt à lui présenter des garçons de son âge qui seraient ravi de le dépuceler. La surutilisation de sa main droite l'amenant à proférer des propos ineptes et déplacés. Côme se retient de rire tout comme Ludovic. Les parents, eux, me regardent comme si j'avais enculé le pape devant eux !
En attendant Enguerrand blanchit et se tait. Nous finissons le déjeuner tranquillement. Au café que nous prenons dans le salon, le petit dernier s'est éclipsé. Alors que la mère est partie chercher le café, le père me prend par le bras et me dit qu'il n'est pas d'accord avec ma proposition de tout à l'heure. Ludovic qui l'entend lui dit qu'il n'aura pas le choix avec Enguerrand, tout comme ils n'en n'ont pas eu avec lui. Que si c'est son penchant, il devra faire avec. On est plus au siècle où les homos se mariaient pour que leurs têtes ne dépassent du lot commun.
Il en convient mais nous dit que ce n'est pas une urgence non plus. Je suis d'accord avec lui, moi, je ne suis passé aux garçons qu'à 18ans.
Je ne m'attarde pas, pressé de sortir de cette ambiance conformiste et de retrouver mon PH et ma totale liberté de faits et gestes. Ludovic et Côme s'en aperçoivent. Je me retire non sans avoir remercié comme il se doit mes hôtes.
Comme Ludovic se penche sur moi déjà assis au volant de ma voiture pour me rouler discrètement une pelle, Enguerrand se pointe. Il attend que nous ayons fini pour me dire au revoir et s'excuser de son comportement puéril.
Comme il est penché vers moi, je l'attrape par le cou, lui baisse la tête et lui frictionne les cheveux avec l'autre main. Je le traite de connard et lui dit que c'est du passé. Qu'il comprendra notre situation plus tard. En poussant la porte de la voiture vers le bas, il me glisse qu'il a quand même 16ans.
Ludovic a attendu que je sois rentré pour m'appeler. Je venais de faire un résumé rapide de la journée à PH qui s'amuse de la situation. Je lui parle d'Enguerrand. Il a la même analyse que moi, le petit est jaloux de son frère.
Ludovic me dit qu'après mon départ ç'avait chauffé pour le cul d'Enguerrand. Son père a exigé qu'il m'écrive une lettre d'excuses et l'a interdit de chasse pour les 3 semaines suivante. Ce qui pour un passionné comme lui était ce qu'il pouvait lui arrivé de pire.
J'essaye d'intercéder pour lui, après tout c'est encore un gamin ! Ludovic me dit de laisser faire, ça va juste mettre un peu de plomb dans la tête de ce béta, plutôt que dans les bestioles sauvages qui les entourent.
Le lundi soir il est avec nous. Quand il débarque, je suis avec Max pour sa leçon de français. Enfin je commence parce qu'à son arrivé, Max est tellement excité que le seul moyen de lui rendre sa concentration c'est de l'enculer un bon coup. Il a assez mal pris l'arrivé de Ludovic dans ma vie. Je pense qu'il avait cru un moment que sa situation avec nous prendrait ce chemin. J'avais dû avoir une discussion franche avec lui et les choses s'étaient mises en place comme je le voulais. C'est pas comme s'il n'avait pas été testé au dehors son pouvoir de séduction et testé de nouvelles pratiques. Les moments passés à baiser avec Daniel puis quelques autres de mes escorts n'avaient pas été désagréables. De plus quand il a vu que nos cours continuaient avec le petit " plus ". Ça là totalement rassuré.
Comme il était particulièrement remuant ce soir-là, je l'ai rapidement assis sur mes genoux, planté sur ma bite. C'est la position qu'il adore. Devant le PC sur lequel je lui fais écrire ses dissertations, il aime sentir ma bite lui réchauffer la rondelle. Bon les mouvements que nous ne pouvons retenir de faire, l'empêche d'utiliser correctement le clavier ! Par contre ils sont parfait pour faire monter l'excitation. Max prend appui sur le bureau et utilise ma queue comme un mat sur lequel il fait coulisser sa rondelle. J'aime bien cette position. Sans avoir à bouger, je peux me concentrer parfaitement sur les sensations que me procure son mouvement d'ascenseur. Je sens sa rondelle s'ouvrir à chaque redescentes, coller mon gland, sauter sur les bourrelets de mon prépuce reculé au maximum, et millimètre par millimètre le réchauffement de ma hampe au fur et à mesure qu'elle s'enfonce en lui. Ses contractions ajoutent à ma montée en pression. Il le sait parfaitement et en joue sans honte. A un moment, Max se retourne pour me faire face et ajouter une pelle à sa chevauchée. Ma langue dans sa bouche l'achève ou alors ce sont mes doigts occupés à pincer ses tétons. Il me jute dessus et moi je remplie ma kpote. J'étouffe son hurlement de plaisir en maintenant sa tête pour garder nos lèvres plaquées et nos langues en contact.
Ludovic arrive alors que je viens de me changer, que Max s'est reculotté et que le cours à vraiment commencé. Il me roule une pelle et me dit qu'il monte au 4ème retrouver PH.
Pendant la demi-heure qui suit, toutes les 5 minutes Max me demande quand est ce qu'on les rejoint. Je résiste et lui dis que de toutes les manières qu'il ne compte pas baiser avec nous trois ce soir. Ludovic s'est bien libéré mais pas encore au point de baiser chaque soir avec un mec de plus que nous et en plus différent ! Max me dit que c'est pour ça qu'il faut commencer tout de suite et qu'avec lui ; Ludovic n'aura pas l'impression d'être en concurrence comme avec mes escorts. Physiquement, ses 60Kg ne font pas le poids !
Il a beau argumenter, je ne lui cède pas. J'y tiens à mon Ludovic. Je sais qu'il y viendra et que bientôt tout comme PH et Ernesto, il sera suffisamment en confiance pour me voir baiser n'importe qui et en faire de même. Il saura que comme mes trois autres amours (il faut compter Marc aussi), lui est au-dessus des autres.
Plus tard dans la soirée, même si j'avais fait l'amour à PH la veille, et que Max s'est permis de me vider avant le diner, nous faisons l'amour comme des fous. J'adore son corps de boxer, masser et pétrir ses muscles bien marqués. J'aime passer ma langue sur sa bite, manger ses couilles lisses, saliver sa rondelle plissée. Je ne suis pas le seul car souvent nous commençons nos ébats, PH et moi par honorer son corps de jeune dieu.
Je ne m'en lasse pas ! Il n'est pas de reste et nos langues parfois se retrouvent sur la peau de PH. J'adore faire des pipes à deux. Faire glisser ses lèvres le long d'une bite tout en sentant celles de son partenaire effleurer les siennes, atteindre le gland et de la langue agacer ses terminaisons nerveuses et ce faisant rencontrer l'autre langue et finir par se rouler une pelle avec le gland comme bonbon ou tout simplement piper la bite alors que l'autre bouffe les couilles et se rejoindre en position " gorge profonde ", tout est bon.
Je passerais des heures à parcourir son corps avec ma bouche. Remonter de ses pieds, passer sur son mollet rebondi, couler derrière le genou et détailler le quadriceps pour arriver à son aine et au trésor planté au centre, l'abandonner raide après l'avoir copieusement recouvert de salive pour suivre le sillon qui sépare le six pack, s'égarer à droite ou à gauche pour aller honorer un de ses tétons, là, y passer un peu de temps comme sur son sexe, pour faire monter son excitation et sentir gonfler le bouton de chair, le laisser quand il est rempli de sang et devenu hypersensible, suivre la ligne de sa jugulaire pour atteindre sa mâchoire, en suivre l'arête et du menton passer à ses lèvres, sortir ma langue et les lécher jusqu'à ce qu'elles s'entrouvrent et que je lui envahisse sa bouche, un délice. Heureusement que je ne suis pas anthropophage, je finirais par le manger ! Quand avec PH nous lui faisons subir ce supplice, c'est lui qui nous demande de le prendre sauvagement, de l'enculer grave, de lui défoncer la rondelle. Que devenu une chienne affamée de sexe, nous devons apaiser ses désirs en le faisant jouir de tous les côtés.
Et ça avec PH on sait faire ! L'un devant lui à pomper sa belle tige d'acier alors que l'autre s'occupe de détendre sa rondelle en lui enfonçant une langue pleine de salive, il subit une préparation qui l'amène plusieurs fois aux portes de la jouissance. Nous devons faire bien attention à ne pas le faire craquer trop vite. Quand nous l'estimons prêt, si Marc est là, c'est lui qui passe en premier sinon c'est moi, nous lui enfonçons notre sexe en lui, sans recours possible, profondément, plus ou moins lentement selon notre propre degr�� d'excitation. Heureusement que l'isolation phonique a été bien faite car les cris de plaisirs qui nous échappent alors réveilleraient toute une caserne. Il est arrivé que les premières fois, Ludovic en éjacule direct et me surprenne, ou bien PH, manquant de nous étouffer par le volume de sperme éjaculé. Même dans ces cas, celui qui l'enculait a pu continuer, l'excitation de Ludovic ne retombant pas.
Le lendemain matin, en cours, Morgan m'a dit que ce n'était pas la peine de me demander ce que j'avais fait la veille vu la tête de zombie que je trainais.
Jardinier
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Who is your Greek god ?
Grossomodo un gars rencontré en soirée qui a voulu garder contact alors que moi je pensais que ce serait juste un coup d'un soir mais je me suis dit one life, autant tenter. J'ai direct posé mes limites, je lui ai dit que je ne voulais pas être en couple et je regrette d'avoir fait ça parce que ça nous a enfermé dans une case de plan cul et même si je suis toujours pas sûre de vouloir tenter un truc sérieux avec lui, ça me saoule qu'il y ait cette barrière que j'ai posée beaucoup trop tôt à cause de ma peur de l'engagement. Ça me ferme à d'autres possibilités.
Oups la réponse est partie sur du deep mais je l'appelle comme ça pcq il est musclé, qu'il a des cheveux bouclés puis jsp je trouve que ce surnom donne bien pcq on a vite une image de ce à quoi il peut ressembler puis c'est drôle
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Je sais plus si j'en ai parlé ici. Avec mon copain on a décidé que l'on ne serait plus exclusif uniquement sur la période où je serais en PVT.
On n'en a parlé à très peu de personnes, mais dans l'ensemble elles respectent et sont assez curieuses. Et dans le lot, il y a mon ex, qui vient régulièrement, quand la conversation s'y prend, à me lancer des sous entendus comme quoi "quand tu veux on recouche ensemble".
Et je vais pas vous mentir que, c'est très tentant car le sexe avec lui était toujours au top (malgré mon vaginisme) mais le fait que si je lui demande, il est disponible dans l'heure ça me gêne. Surtout que la date officielle d'ouverture aux plans cul n'est pas encore passé (aka 13 novembre).
On a surtout pris cette décision car :
Je suis la première et seule relation de mon copain. Et il regrette de pas avoir pu tester avec d'autres personnes avant. Donc c'est l'occasion.
Et moi, bah pareil j'ai que lui et mon ex comme expérience. Pas que j'ai pas eu envie de tester tinder pendant les un an où j'étais célibataire entre mes deux relations. Mais mon vaginisme me faisait peur vis à vis d'un coup d'un soir. Aka "oui j'ai envie de coucher avec toi mais aucune pénétration". Je sais que je peux trouver des partenaires compréhensifs, mais bon, j'ai pas l'impression que ce soit courant sur les sites de rencontres. Et j'ai les mêmes peurs pour quand je serais au japon + barrière de la langue. Mais on verra bien. Et en plus, vu que ma libido semble de plus en plus rare, pas sûre que j'ai une aventure de toute la durée du séjour.
#jezatalks#ex#vraiment il est insupportable là dessus#heureusement c'est que des piques#et pas de photos ou autre#et il se tient quand on se voit IRL aussi#donc trkl et mon mec est au courant de ce qu'il se passe
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S.
Il y a ce profil sur lequel je tombe un jour. Des profils, sur les applis de rencontre il y en a des centaines, voire plus. Alors on espère toujours tomber sur le profil qui vous fera chavirer, mais la vérité c’est qu’à force de « swiper » on se fait anesthésier. Les profils semblent être tous les mêmes.
Et donc il y a ce profil un jour. Une fille brune, jolie. Elle s’appelle S.. Un sourire discret mais franc. Et surtout il y a ce truc en plus, ce truc que je vois et qui me parle. Ce truc qui me plait. C’est quelque chose que je n’explique pas. Même en y réfléchissant je n’ai pas la réponse. J’ai rencontré une autre fille il y a quelques mois de ça, qui physiquement lui ressemblait un peu et avec qui j’avais eu des échanges très agréables. Mais après deux rencontres j’ai réalisé qu’il n’y aurait rien de plus. En tout cas rien qui puisse venir de moi, aussi sympathique qu’elle fut, il n’y avait aucune alchimie. Je le lui ai expliqué et elle n’a pas insisté, semblant même touchée par ma sincérité.
S. donc. Il y a « match » et nos échanges débutent. Ils sont fluides et faciles. Elle s’exprime bien et sans faute, c’est toujours appréciable.
Je ne sais plus trop comment nous basculons sur WhatsApp. Elle m'explique qu’elle a deux enfants et qu’elle n’a eu depuis sa séparation qu’une relation « non exclusive ». Un plan cul quoi. Je me dis que si elle est encore sur ce type d’appli c’est peut-être qu’elle cherche autre chose. Je lui explique que pour ma part, je ne suis pas à l’aise dans ce type de relation. Elle me rétorque qu’elle en a un peu fait le tour et qu’elle ne serait pas forcément contre une vraie relation. Et d’ailleurs ma façon de voir les choses l’interpelle.
Problème : nous avons des enfants et nos emplois du temps ne coïncident pas du tout. Nous envisageons de nous voir mais il y a toujours quelque chose qui bloque. Et puis elle est en train de changer de travail et cela l’accapare pas mal. Nos échanges s’espacent puis cessent totalement. Je tente de temps en temps de la relancer. Sans réponse. Ce que j’ignore à ce moment-là c'est qu’elle a changé de numéro.
C’est des mois plus tard que je la retrouve sur la même appli. Je me dis qu’elle va probablement me ghoster et que si elle a cessé de me parler c’est que je ne l’intéresse tout simplement pas. Mais il n’en est rien. La conversation reprend et elle semble enthousiaste de me « retrouver ». Elle me demande de lui envoyer de nouvelles photos de moi, ce que je fais. Elle me dit les apprécier. Ça me surprend toujours mais je commence à accepter l’idée que je puisse plaire à une femme. A. me répétait sans cesse à quel point elle me trouvait beau. P. me l’avait dit aussi, de façon plus clinique. Un constat objectif que j’avais trouvé amusant. Elle m’avait même plusieurs fois expliqué que je pouvais me montrer beaucoup plus entreprenant. Avec elle mais avec les filles en général.
S. et moi n’avons toujours pas d’emplois du temps qui coïncident mais nous percevons quelques jours en semaine qui nous autoriseraient à boire un verre. Nous fixons donc une date et un rdv dans un bar.
Nous sommes donc en semaine, j’ai travaillé, je dors mal, il fait froid, il pleut et ressortir ce soir là est à la limite de la torture. Mais cela fait des mois maintenant que nous discutons (malgré une longue coupure) et je perçois sans savoir vraiment pourquoi, qu‘il y a quelque chose à creuser. Alors je me mets un coup de pied aux fesses et je me rend à ce rendez-vous.
« On part du principe qu’on aura mangé ? Me dit-elle ». Je trouve ça prudent de sa part. Si ça ne le fait pas, inutile que ça se prolonge de trop. Va donc pour un verre.
Nous nous retrouvons donc peu après 21h dans un pub (après sa séance de sport qu’elle ne louperait pour rien au monde).
J’arrive le premier et l’attend à l’extérieur. Quand elle arrive, je la vois se garer sur le parking et je me demande quelle sera la première impression. Si ça ne doit pas le faire, on le sent tout de suite et s’en suit au minimum une heure de souffrance. Plus si on est poli. Et je suis poli.
S. s’avance vers moi, et je sais à ce moment-là que je n’aurai même pas besoin d’être poli. Elle est souriante, élancée, discrète mais avec une présence évidente. Plus jolie que sur les photos où elle ne semblait pas très à l’aise. C’est ce qu’elle dégage qui me plait. Nos premiers échanges sont timides et hésitants. Nous entrons dans le pub, il y a du monde, Nous nous installons au bar et commandons deux bières qui vont nous durer presque 3 heures.
Notre conversation est d’abord banale. Je pense que nous parlons de nos emplois respectifs puis peu à peu nous dévions sur des sujets plus intimes : nos vies, nos séparations, nos enfants, nos histoires depuis que nous sommes séparés. Je me sens à l’aise à son contact, j’aime sa façon de parler. Par moment elle a des tournures de phrase qui pourraient être les miennes et ça me surprend autant que cela me rassure. Je pense que je me livre pas mal. Peut-être trop. Elle me dira plus tard qu’elle m’a trouvé intéressant et touchant. Je ne sais pas dans quelle mesure c’est un compliment. Je pense que c’en est un mais ça résonne en moi comme une mise en garde que je me fais à moi-même de ne pas être cette personne trop sensible qui pourrait agacer à la longue.
La soirée s’étire jusqu’à presque minuit. Autour de nous, les derniers clients quittent le pub et les serveuses s’agitent ostensiblement comme pour nous indiquer qu’il est l’heure de rentrer chez nous. Je paie les bières et me demande si je ne fais pas une bêtise. Mais S. ne m’a pas paru outrageusement féministe et je me dis qu’elle ne prendra pas mal que je m’acquitte de la note. Elle me remercie même.
Je la raccompagne à sa voiture. Moment gênant. Que doit-il se passer à ce moment-là ? Elle me propose de monter dans sa voiture et de me conduire à la mienne qui est garée plus loin. J’y vois une invitation mais je ne suis pas garé assez loin pour justifier qu’on m’y conduise. On fait encore un peu traîner la conversation, j’ai du mal à la laisser. J’ai envie que cette soirée continue. On se dit qu’on va se revoir. « Oui, vraiment ! » je dis, parce que j’en ai vraiment envie et je crois percevoir qu’elle aussi. Mais pour ce soir nous nous laissons. J’approche mon visage du sien pour lui faire la bise et elle pivote légèrement ce qui fait que les commissures de nos lèvres se touchent presque.
*
« Vas-y on s’en fout, on se voit quand même ! »
Notre première rencontre remonte à des semaines. Il ne fait plus aucun doute que nous nous plaisons et que nous voulons nous revoir. Une date a été fixée mais finalement annulée pour une raison qu’elle ne me donne pas tout de suite (un bouton de fièvre).
La fenêtre pour nous revoir entre ce souci et les possibilités suivantes (10 jours plus tard) est étroite, d’où ma proposition de nous voir quand même.
S. accepte. Nous nous verrons le lendemain, un lundi, chez elle comme elle me l’avait déjà proposé.
Elle a même annulé son sport quotidien pour que nous puissions nous voir sans être pressés par le temps. Je note l’effort.
Une fois chez elle, nous nous installons sur son canapé et reprenons notre conversation de l’autre soir. Je la trouve très belle. Et plus que ça elle me plait vraiment énormément. Je regarde ses lèvres et je sens que je la désire. Il est déjà minuit quand je lui dis : « J’ai un problème, tu vois comme je te disais tout à l’heure j’ai encore le sentiment d’être en lutte permanente contre moi-même. Tu vois bien que je ne suis pas le garçon le plus entreprenant du monde, mais l’envie est là même si je me retiens ». Quelques minutes plus tôt, quand je lui ai fait remarquer qu’il était déjà tard elle m’a dit : « Oui, il va falloir faire quelque chose. »
Maintenant elle me sourit : « Et il se passe quoi si tu ne te retiens pas ? »
C’est là qu’on s’est embrassés. Sa bouche a immédiatement été entreprenante. Sa langue de suite présente. Ses lèvres sont charnues et délicieuses. Nous nous sommes longuement embrassés. Elle est venue sur moi, m’a dit que si elle guérie, en revanche c’était la mauvaise semaine du mois. Cela ne m’a pas paru être un problème dans la mesure où le moment était déjà délicieux et plein de promesses.
Elle a commencé à appuyer son entrejambe contre moi. Les soupirs ont fait place aux gémissements. Nos mains sont parties à la découverte de nos corps en glissant sous nos vêtements. J’ai découvert sa poitrine, j’ai sucé ses seins, elle a défait mon pantalon et a caressé mon sexe d’abord à travers mon caleçon. Je ne sais plus dans quel ordre. Je sais qu’elle m’a sucé et qu’elle m’a fait assez confiance pour laisser mes doigts s’aventurer dans sa culotte puis à l’entrée de son sexe. Elle a répété « Putain ! » plusieurs fois en soupirant. « C’est terrible… ». J’ai pincé ses tétons : « Je ne te fais pas mal ? - Non j’aime quand c’est fort… »
Elle m’embrasse et me dit que je suis beau.
Tout cela a duré jusqu’à plus de 2h du matin. A chaque fois que nous faisions une pause, tout repartait dans un baiser. Je crois que je ne pourrais jamais me lasser de ses lèvres.
« Tu peux rester si tu veux… »
Bien sûr que j’aurais voulu, mais nous travaillions tous les deux le lendemain, il était déjà plus de 2h et il était clair que tous les deux dans le même lit, nous n’allions pas dormir.
Sur le pas de sa porte, elle me rend ma veste en jean. « Elle a l’air chaude, je pourrais te la voler. » Je l’enfile et elle vient se blottir contre moi. Elle me serre contre elle. L’espace d’un instant je me dis que la vie n’est pas si compliquée, que c’est ça que je veux : quelqu’un qui a envie de se blottir contre moi. Je glisse mes mains dans son dos pour toucher encore une fois la délicatesse de sa peau si fine. Je sens les muscles tendus de part et d’autre de sa colonne vertébrale et je me dis que je veux rester là.
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Je ne sais pas par où commencer. Par la fin sans doute, car tout est fini. Tout vient de se finir. Le 17 juillet, à 00h ou le 16 juillet à minuit j'ai ouvert la porte pour que tout se finisse. Rien n'a de fin si tout continue dans les souvenirs. Sans doute. Mais le réel se fini, seul les souvenirs et les fantasmes survivent.
J'ai envie d'écrire tout ce dont je me souviens. Les courts métrages après l'orage, les rues vides à cause de la pluie, la nourriture laissé sur le bort d'une fenêtre pour courir. Courir en se donnant la main. Se donner la main, à Paris la nuit, sous la pluie, en sortant de boite pendant que le jour s'est levé. Les marches, les heures à marcher dans les rues à discuter, à se connaitre, à se découvrir mais pas trop, à se protéger mais continuer de ce voir. Le café, l'expresso dans le même café encore et encore, le café dans le bar à 23h parce qu'il ne boit pas, le café qui se renverse le matin sur la plaque de cuisson. Manger, indien ou des pâtes à la sauce tomate ou des ramens. Entendre sa voix, sans m'y attendre les murmures en espagnol ou en italien, les discussions en anglais. Parler, pendant des heures, ne pas vouloir partir pour continuer encore et toujours à parler, jusque 03H, jusque 02H. Jusqu'à ce que mes jambes me fassent mal. Visiter tous les quartiers de Paris en 1H de marche. Wong kar wai et les films que l'on a vu, qu'il a revu pour moi. Sa main sur mes cuisses, dans les miennes, ses mains sur moi, ses yeux sur moi. Nos âmes qui s'entremêlent quand on ne peut se quitter du regard, quand on ne pas s'arrêter de s'embrasser. Les regards qui suffisent pour dire j'ai envie de toi. Les gestes en suspend. Se retenir de dire qu'il est à moi, le fait qu'il murmure que je suis à lui. Le fait qu'il me trouve toujours belle. Désirable et désirée. Qu'il soit ce que je considère comme l'être désiré. Le je t'aime après in the mood for love. La musique, encore et toujours, qui jamais ne s'arrêtait comme une bande son original. Tyler, Kendrick, Sade. Sans doute d'autres mais j'y pense à chaque fois que l'un d'elleux se lancent. Le premier baiser, dans une voiture, tard le soir, la question fatidique "est ce que je peux t'embrasser". Le soulagement. Puis les fois où l'on ne s'embrasse pas. Le simple fait de le vouloir suffisait à combler. La "semaine" "chez lui". Le baiser sur la joue. Les lunettes pour lire les sous titres.
L'incapacité à être plan cul, l'incapacité à dire que l'on se manque. L'impossibilité de créer quelque chose. La peur de se perdre. Se dire aurevoir sans un mot et préférer dire merci. Parce que merci contient tellement plus de choses, il contient les baisers au coin de lèvres, les mains serrées plus fort, les comportements enfantins, les audios, les appels, les sourires, la lumière dorée sur les corps, le froid de l'hiver, la canicule de l'été. Le parc, le piquenique, les discussions dans la voiture, les messages d'anniversaire, les promesses non tenues.
Ne jamais voir la mer, ne jamais découvrir une autre ville, ne jamais faire un musée ensemble.
J'ai peur, j'ai peur d'oublier tellement de choses, j'ai envie de tout écrire en détail, de tout me rappeler. Je sais qu'il se rappelle de beaucoup. J'ai envie de tout écrire. Mais je sais que mon cerveau me fait déjà défaut. Je sais que j'ai oublié des choses, des mots qui m'ont porté. Je suis terrifiée de celle que j'aurais été si j'étais tombée amoureuse. SI je m'étais laissé allé plus encore que ce que j'ai donné. Je suis si heureuse de lui avoir donné autant. Je suis soulagée de ne pas être allée plus loin (même si cétait déjà trop pour lui je crois).
Je suis fière de ce que je suis encore capable de donner même après ma rupture.
Je suis soulagée que ce soit fini, malgré les regards brillants, les mots murmuraient lors des dernières caresses et baisers, l'incapacité de ce dire aurevoir. Faire l'amour pour se dire adieu, quelle idée. Dire merci pour dire aurevoir, quelle idée.
J'écrirais encore beaucoup dessus, je le sais. Maintenant, il faut laisser les gens et les sentiments partir.
Marée basse, je me retire et je pense à moi. J'ai des choses à soigner je crois.
Merci à lui.
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Jour 6 - Mardi 6 Février, 22h45
Deux jours à vivre un rollercoaster. Un lundi abyssal, au bureau, à entendre un 3° membre de la team partir, puis récupérer A. en pleurs parce que... trop de trucs arrivent en même temps.
Ma journée entière d'hier a été déraillée par cette annonce, l'impression de stagner à mon rôle, de ne pas être apprécié pour ce que je suis / vaux - et c'est pas la rémunération qui compense ça. C'est le même feeling que j'avais à HS y'a 5 ans, à me sentir comme un underdog en Support payé pas même 35k dans une ville où le loyer moyen était à 900 balles. Peu importe le salaire en fait, c'est la motivation intrinsèque qui manque, et le salaire absorbe juste que peu de cette frustration.
En dents de scie je disais - aujourd'hui même, réveil la tête dans le cul, le moral dans les chaussettes comme ça m'arrive peu, même quasi jamais. J'ai failli annuler ma séance de kiné qui s'est joué en un tir de dé. 1/2/3 = no go, 4/5/6 = go. J'suis tombé sur un 4, mon coeur m'a dit d'y aller quand même. Allons. Une heure plus tard, ma tête était moins en vrac, probablement n'ayant pas le temps de m'inquiéter pour moi-même (en même temps, partir du kiné à 10h58 pour un call à 11h avec mon boss), mais aussi ayant bougé mon corps.
Et mon boss qui m'explique qu'il va sûrement avoir besoin d'aide en Europe pour leader les équipes, car l'équipe va doubler sur les 9 prochains mois. Changement immédiat de mood, tu m'étonnes - c'était son poste à lui que je souhaitais initialement, mais peu importe. Je m'étais fais à l'idée que ce n'était pas pour moi, pour le moment en tout cas. 4 mois plus tard l'idée revient sur le devant de la scène - cette fois-ci je me reprotège.
Je pense qu'à terme, je souhaite me commit à cette boîte anyway, mais dans les bonnes conditions. Le salaire est indécent, mais dans la tranche des séniors sur Paname à mon rôle - j'ai bien choisi ma voie. Mais la suite est autre chose - Dam, ou pas Dam ? Paname ? Remote en France ? Qu'en sais-je, on verra bien ; l'essentiel reste la patience pour le moment, que ce rôle ouvre ou pas, que je l'aie ou pas, que je reste sur Paris ou pas.
De l'autre côté je n'ai pas dédié une seule seconde à mon projet, et ça fait déjà deux jours. Le temps est rare, les mardis soir je cuisine, dès que j'organise un call avec un.e pote ou que le taff s'étend un peu, même d'une demi-heure, je suis baisé. C'est un coup à rentrer à l'appart, manger, et c'est déjà l'heure de se coucher - regarde aujourd'hui, il est presque 23 heures à l'heure où j'écris ces lignes. J'vais pas commencer à dessiner maintenant.
Quelques tactiques à l'avenir :
Éviter au plus le taff hein, où du moins les meetings tardifs
Si meetings tardifs en vue... prévoir de faire l'activité le matin, de 9 à 10 si possible
Oublier les mardis soir en cooking duty par exemple
Si y'a le temps le soir, s'assurer qu'il y a aussi du temps pour la vie de couple, où prévenir en avance que ça va être mort
Simplement dire non aux autres plans en semaine, y'a des choix à faire et les potos passent à la trappe en ce moment. Priorities.
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TUMEURS URBAINES
Épisode 5
Ava jeta un coup d'œil sur la plate-forme, une de ses collègues lèchait une autre fille qu'elle connaissait vaguement.
Ava savait que c'était un jour où il y avait du monde , ça se bousculait devant les cabines, les mecs devaient toucher leurs salaires où une allocation quelconque.
Ce boulot était paraît-il simple à en croire les gens , c'est de faire de petites scènes un peu coquines au début pour glisser progressivement dans le porno et finir nue de toutes les manières.
Sa collègue de boulot Amanda résumait le truc d'une façon très simple " on passe notre temps à se tortiller, à suer pour que ces cons consomment de l'alcool et se branlent.
Vu comme ça Ava était d'accord.
Ava entre en piste sur cette plate-forme, elle est entourée de dix vitres , baisse l'intensité de la lumière et choisit de se caresser en ondulant son corps et en minaudant, les jambes un peu flèchies elle fait de grandes circonvolutions avec son cul , elle montre ses seins, elle devine l'excitation derrière les vitres .
Elle s'est rapprochée d'une vitre qui c'est allumée, Ava lui colle son cul en gros plan .
Le mec est au micro de sa cabine
- toi je vais te piner, j'ai la queue en feu !
Ava s'exclama :
- branle toi un peu ça te fera du bien !
- grognements...
- imagine que je te branle avec mes seins ...
- salope !
Elle entendit un râle puissant derrière la vitre.
Elle commençait à connaître les ficelles du métier, ces trucs là plus les grossièretés et les insultes ça marchaient bien, ils en redemandaient même, ils fallait leurs donner une bonne dose de cochonneries pour qu'ils se soulagent.
La comédie était finie Ava ramassa ses frusques et disparue derrière le rideau.
Le cirque recommençait toute la journée, parfois elles étaient demandées pour un jeu particulier. Parfois elles étaient deux ou trois pour une demande expresse.
Le but était de faire chauffer les cartes bleues et les consommations d'alcool, c'est tout ce que la direction demandait , elle ne s'occupait pas du reste.
Cet établissement était situé non loin de la préfecture, il y avait une clientèle de jour et une autre totalement différente la nuit.
Cela faisait presque une année que Michel c'était installé chez Ava . L'air de rien il se laissait vivre , il ne bossait pas et ne voulait surtout pas se lever pour chercher du taf.
Ava bonne fille l'encourageait dans sa fainéantise.
Un soir comme à son habitude Ava lui refila un acide qu'ils gobèrent en buvant quelques bières, ils attendaient la montée en jouant à un jeu vidéo et en fumant des joints.
Ava proposa d'aller faire un tour en centre ville, Michel hésita longuement, elle savait qu'il était casanier.
- t'es sûre ! j'ai pas tellement envie
- bouge toi un peu Michel ! fais moi plaisir !
Celui-ci se leva en soupirant.
Une fois dehors l'atmosphère se détendit entre eux.
- il fait bon ce soir ! s'exclama Michel
- Oui !
Ils se promenèrent dans les rues piétonnes encore animées malgré l'heure tardive.
Ils suivaient les nombreux passants encore présents dans les rues.
Ava sentant monter l'acide dans tout son corps lui dit :
- On va au parc !
- d'accord ! répondit Michel soudainement joyeux.
- ça monte ! dit-elle en souriant
- moi aussi !
Ils s'enfoncèrent dans les allées du parc , croisant tout un tas de gens qui allaient et venaient à la recherche d'aventures.
Cet endroit était connu pour ça.
A une certaine heure les familles , les enfants et les vieillards rentraient sagement chez eux , laissant la place à une faune interlope.
Au hasard de leur déambulation, ils tombèrent sur un vieux adossé à un arbre, le pantalon sur les chevilles qui se faisait faire une gâterie par un couple de très jeunes gens.
Ava et Michel se rapprochèrent doucement de la scène pour lorgner un moment.
Le garçon et la fille alternaient les coups de langue avec une métronomie d'une folle rigueur.
Le vieux éjacula et glissa les billets dans la main du garçon.
- Ils sont jeunes murmura Ava à l'oreille de Michel.
- très jeunes !
Ils s'eloignèrent en silence .
Maintenant ils marchaient d'un pas régulier vers un grand bassin où ils savaient qu'ils pourraient tranquillement tremper leurs pieds.
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Hello, aujourd’hui je suis allé mettre les couleurs dans ma pivoine par Eugenie , toujours pas terminé parce qu’il fallait qu’elle aille chercher son gamin à l’école. J’en ai marre de toutes ces maman autour de moi.
Pour le coup j’ai discuté avec Victoria sur Snap toute l’aprèm, là je suis garé devant la maison j’ai impression de rentrer au pensionnat parce que je vais pas pouvoir continuer cette discussion. Alors qu’on parlait de cul on parlait un peu plus d’elle et ça c’était trop cool bon le truc moins cool c’est que elle disait qu’elle avait ressenti d’autres feeling avec d’autres nanas et du coup je me suis un peu vexé intérieurement est-ce que je pensais que ce lien était Cavellec non, mais après elle dit que c’est pas du tout le même hier, a priori avec Orlane, on a vu le souffle coupé le cœur qui s’arrêter à chaque fois qu’elle s’embrasser.
Elle me disait qu’avec svan, c’était devenu plat, plat genre doigtage et elle se met au-dessus d’elle et c’est bien.
Apparemment, Victoria a besoin de le faire au moins une fois par semaine, mais c’est pas toujours le cas là au bout d’un mois elle pète un Cable même juste deux semaines, et même quand elle le fait une fois par semaine bah Pourelles c’est comme manger un bonbon t’as envie de manger le paquet donc t’as envie de leur faire encore plein de fois.
Apparemment, avec Orianne, elle pouvait la faire jouir de toutes les façons possibles.
Dans ce qu’elle m’a cité, table basse, porte du garage contre le mur escalier du skate Park. Bref je ne connais pas les filles mais peut-être des filles qui connaissait que d’un soir quoi.
On a aussi, discuter de notre relation qui qui se serait forcément terminé parce que j’étais à Van et qu’elle aurait fait garagiste et qu’elle aurait voulu rentrer un moment à cherbourg POINT et donc c’était vous est allé chèque.
Mais apparemment le petit speech que j’avais fait sur le faite d’avoir une maison comme partenaire, et sortir de la maison de temps en temps, mais toujours y revenir, apparemment elle l’a pris contant PASQuelle cherche ça, et moi aussi au final je cherche ça. Mais du coup pas ensemble a priori,
D’après elle on pourrait seulement rester ami ou plan cul à la rigueur.
J’avoue que ça m’a un peu blessé, mais c’est plutôt réaliste.
Elle m’a avoué qu’elle était ultra collante en couple, Orianne était parti quatre jours sur Paris pour son boulot, elle a pété un câble pour ça. En gros elle veut énormément de câlins d’amour. Enfin elle est ultra possessive. En fait elle fait absolument pas confiance à sa compagne. 
9/11/23 18:29
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saga: Soumission & Domination 308
Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Eté 2014-3
Léo me suit jusqu'à la maison.
Comme tous les nouveaux venus, il est surpris par le parc automobile et moto qui rempli la cour et le garage ouvert. Les deux Mercedes l'intriguent et il me demande à qui elles appartiennent. Quand je lui dis que le SLS est à moi et le cabriolet à mon copain, il regarde Baz avec un air surpris. J'éclate de rire et lui dis que c'est la voiture de PH qui, en short, nous rejoint attiré par la sonorité étrangère du speed triple.
Les autres occupants de la maison arrivent en maillots et tongs. Là je pense vraiment qu'il se demande où il est tombé. D'ailleurs il se tourne vers moi. Avant qu'il n'ait eu le temps d'ouvrir la bouche, je lui présente tout le monde. PH mon compagnon, Ernesto mon compagnon aussi, Ric un " filleul " expert en muscu, Jimmy un autre " filleul " et Arnaud un petit voisin et j'ajoute que oui, nous sommes tous Pd.
Il reste estomaqué avant que PH, d'autorité lui prenne le bras et le fasse entrer dans la maison. Dans l'entrée, les combinaisons en cuir alternent avec les blousons de même matière. PH m'aide à m'extirper de ma combi mono pièce, je reste en shorty, ajoutant mon marcel sur les patères. Je me tourne vers Léo et lui dis de se mettre à l'aise. Il retire son blouson et ses bottes. Ric lui dit d'en retirer plus s'il veut profiter de la piscine. Il y va un peu vite pour le nouveau venu. Je rassure ce dernier et l'emmène sur la terrasse pour la bière promise. Elles arrivent servies par un Ammed comme toujours en boxer de cuir. Léo ne dit rien mais je sens qu'il n'en pense pas moins. Nous restons avec PH, Ernesto, Ric et Baz alors que Jimmy et Arnaud reprennent leur jeu sur la télé du salon.
Quelques instants de silence reposants suivent les premières gorgées de bière fraiche. Je le laisse reprendre pieds et mes acolytes aussi. Arrivé à la moitié de son verre, il s'éclaircit la gorge et me demande avec un petit sourire où il était tombé. Il comprend vite que la maison abrite un " nid " d'obsédés sexuel ! Je raconte aux autres comment nous nous étions rencontrés, même si PH avait deviné, il connait bien son animal ! Léo ajoute que c'était une première pour lui plutôt abonné aux meufs. Il s'était surpris à ne pas débander quand je l'avais " sauvagement " enculé, soulignant le mot. PH, indigné, m'engueule que ce genre de chose ne se fait pas. Je ris. Léo le rassure qu'après il a vraiment kiffé le plan, surtout qu'il sodomisait alors Baz. Je l'avais suffisamment intrigué pour qu'il me suive. Mais il ne pensait quand même pas trouver à l'arrivée, un tel lieu, plein de beaux mecs chauds et attirants.
C'est à ce moment là que Baz lui a proposé à nouveau de se mettre à l'aise. Il s'est exécuté dévoilant un buste large et musclé, même si moins que Ric mais pas loin de moi. Quand il a glissé ses jeans sur ses cuisses, nous avons pu admirer le boxer Diesel qui couvrait ses fesses et de belles jambes aussi imberbes que son torse. A ce stade il me dit qu'il n'avait pas de maillot vu que les potes chez qui il allait n'avaient pas de piscine. Qu'à cela ne tienne, je l'emmène au sous sol où avec les jocks sont placés une bonne 50aine de maillots de toutes taille pour les invités. Je choisis pour lui un Aussiebum qui met en valeur son joli paquet. Il l'enfile et admire la silhouette que ça lui donne. Quand nous remontons sur la terrasse, il a droit à des sifflets approbateurs.
Nos passons dans l'eau un bon moment de détente. Quand il s'inquiète de l'heure et qu'il nous dit devoir nous quitter, c'est PH qui s'occupe de le convaincre de passer la nuit à la maison. Les arguments vont de " tu as bu une bière ", " tu disposes de plein de petits culs à essayer ", " t'as pas de meuf qui t'attend à l'arrivée "... Il prend son téléphone te explique à ses potes qu'il ne les rejoindra pas ce soir même et qu'il les rappellera le lendemain. Je lui demande si ça ne fout pas en l'air son plan vacances. Il me répond que c'était juste une visite à de vieux copains avant d'envisager ses vraies vacances. Je creuse un peu. Il n'a pour le moment rien de prévu, ayant juste l'idée de descendre dans le sud en camping pour tirer quelques meufs et bronzer un peu.
Ammed apparait avec l'apéro et nous dit que ce soir c'était barbecue. Comme nous ne reprenons, ni volants ni guidons, nous profitons des alcools proposés. Léo est assez Vodka et apprécie celle que nous avons. Je vois qu'il tient très bien l'alcool mais que ça le libère de ses derniers blocages. Il se laisse enlacer par Arnaud qui bande franchement pour le nouveau venu. Et d'après le gonflement de son maillot, je devine que cela ne le laisse pas indifférent non plus !
Bruno arrive voir où est son neveu et par la même occasion comptait bien s'inviter à diner. Le " salut tonton " sortant de la bouche du mec collé à lui, le surprend et le fait repousser ce dernier. Incompréhension d'Arnaud qui se recolle et lui assure qu'il n'y a pas de problème. Il s'en aperçoit de lui-même quand Bruno ayant fini le tour des embrassades est venu lui serrer la main.
Pendant le barbecue, je le sens quand même un peu plus tendu qu'à l'apéro. Il se détend quand Bruno nous quitte sur un " amusez vous bien les enfants, je dois me lever tôt sinon j'aurais bien entamé la nuit avec vous tous ".
Dès que son oncle a disparu, Arnaud se colle de plus belle à Léo et lui met même carrément la main dans le maillot. Bandaison immédiate du récipiendaire des caresses. Eclat de rire général, Ric dit que s'il était hétéro, maintenant il est au moins Bi. Arnaud glisse sur les genoux et entame une fellation sur l'objet de ses convoitises. Jimmy voyant cela ventouse de sa bouche les 24cm espagnols. Je m'arroge Ric pour qui j'ai toujours un faible rapport à la façon que j'ai eu de lui faire exprimer son potentiel. PH quand à lui attire Baz à ses pieds pour obtenir la même chose. Pendant un moment ce ne sont que des bruits de glissements dans des bouches mouillées qui troublent l'atmosphère silencieuse de la campagne.
Ernesto interrompt ce moment de grâce et demandant à notre invité si " cela " ne se rapprochait pas du paradis par hasard. Moment de réflexion de l'interpellé qui finalement admet qu'aucune meuf ne l'avait jamais aussi bien pompé. PH ajoute que ce genre de chose ne peut être parfaitement fait que par un détenteur de bite. Acquiescement de Ric qui a pourtant la bouche pleine lui aussi.
Nouveau moment de silence. Nos quatre pompeurs s'appliquent encore plus après ces propos.
C'est mon tour de rompre le silence et je demande à Léo s'il s'était souvent fait sucer en gorge profonde comme le lui faisait Arnaud. Il admet n'avoir réussi à pousser son gland plus profond que la bouche qu'à une seule occasion et que la fille en avait gerbé sur lui ! Arnaud relève la tête et l'assure que ça faisait longtemps qu'il n'avait plus ce type de réflexe. Puis, il replonge sur sa queue s'enfonçant le plus loin possible le gland dans sa gorge pour le prouver. C'est Léo qui lui a repoussé la tête, pensant que ce petit con allait s'étouffer dessus.
Je pousse les " hostilités " en faisant assoir Ric sur ma bite protégée. Aussitôt, les trois autres pompeurs font de même non sans avoir kpoté chacun sa bite. Et pour Arnaud et Baz ajouté une bonne couche de gel. Une véritable course hippique ! Pendant un moment c'était à qui galoperait le plus vite sur sa " monture " ! J'ai ralenti la compétition voulant profiter convenablement de la rondelle de compétition de mon Ric.
Cotes à cotes nous avons baisé les petits culs avides de nos partenaires, Léo se faisant de plus en plus au corps masculin de son partenaire. Si au départ, le contact avec Arnaud se limitait à son cul et par moment ses hanches, au fil du temps, ses mains se sont égarées aussi bien sur ses épaules que son torse et ses tétons pour finir par branler son petit 17x4,5.
En le regardant je me suis dit qu'avant qu'il parte, j'aurai à nouveau mis ma bite dans son petit cul tout neuf !
En attendant, nous baisons deux par deux sans dévier.les hétéros faut les intégrer doucement dans la pratique homosexuelle si on veut les convaincre à défaut de les convertir.
Léo s'y fait d'ailleurs bien et gère maintenant lui-même la façon d'enculer Arnaud. Il n'hésite pas à changer de position et, même s'il retrouve des réflexes " hétéros ", il les adapte à la situation locale. Le missionnaire est un peu difficile quand une paire de couille s'intercale !
Je trouve même qu'il tient bien la distance et alors que nous avons passé plus de 20mn à labourer chacun notre " rondelle ", il n'a pas encore juté. Ce sera chose faite pourtant quelques minutes plus tard, sous les contractions rythmées du sphincter d'Arnaud. Ric vexé, joue aussi de son anneau musclé pour littéralement pomper ma bite et me faire exploser dans ma kpote.
Les autres couples se font aussi plaisir. Les kpotes se remplissent et nos enculés nous jutent dessus. Je note que ça ne gène pas Léo.
Repos post coïtaux, limite endormissement pour certains !
Alors qu'Ammed arrive avec ses serviettes humides pour un premier " nettoyage ", Baz me demande où nous allions dormir. Il kifferait que nous soyons tous ensemble au second. Ric et Arnaud sont partants eux aussi. Je leur dis que la configuration se prêtera à ce qu'ils se fassent encore enculer avant le matin. Ils répondent que c'est justement le but. Léo est interrogatif. Je lui dis de suivre et nous montons les escaliers. Il comprend mieux mon propos quand il découvre le plateau. L'immense lit, la salle d'eau ouverte totalement, et le projecteur vidéo dénonce sans doute possible les fonctions de cette " chambre ".
Sous les douches, où nous nous frottons les uns les autres, les queues se redressent. Léo qui jusque là n'avait pas fait cas de celles des autres, admet être impressionnée par celle d'Ernesto. C'est vrai que 24 cm x 6 bien droite ce n'est pas courant. Et il avoue n'en avoir jamais vu d'aussi grosses même sur les blacks de son équipe de foot. Ernesto n'en bande que plus.
Je me dis que la porte s'ouvre pour que nous nous fassions son cul quasi vierge. Les autres doivent penser la même chose car, dès le séchage, Léo fait l'objet de toutes nos attentions. Il se retrouve porté jusqu'au lit. Il se laisse rouler une pelle par Arnaud pendant que Baz le pompe et que Ric s'occupe de sa rondelle.
PH, Ernesto et moi les regardons faire. Les coups de langue de Ric sur sa rosette tirent de Léo des gémissements étouffés par la langue d'Arnaud. Baz délaisse la queue de Léo qui risquait de démarrer trop vite et s'attaque aux tétons qui couronnent ses pecs volumineux. Il aime ça aussi le Léo !
Plus bas, Ric s'acharne et m'annonce bientôt que l'anneau est prêt. Je passe le premier. Avec mes 5cm de diamètre, ma bite est la plus fine, et en plus il la connait ! Kpoté et graissée, je rentre facile vu le travail en amont. Léo s'y attendait, il essaye de se détendre pour me faciliter la tâche. C'est Baz qui trouvera le déclic en donnant quelques coups de dents aux tétons qu'il suçait jusqu'alors. Je sens sa rondelle se décrisper et me laisser entrer jusqu'aux couilles. Arnaud se décolle aussi comme Baz, le travail de préparation physique et psychologique terminé.
Léo est sur le dos, les jambes relevées contre son torse et je le plante bien profond.
J'y vais doucement et attends que ce soit lui le demandeur. Ce qui arrive quelques minutes de ramonage plus tard. L'effet d'un gland contre sa prostate, déclenche souvent une acceptation totale de la part de l'enculé. Je travaille sa rondelle en longueur et en rotation pour préparer le passage des mes compagnons en rut. PH m'indique qu'il prendrait bien son tour d'un petit tapement sur ma taille.
Je me retire et PH investi aussitôt la place avant que l'anneau ne se resserre. Ça passe lui aussi jusqu'aux couilles mais avec une petite grimace de Léo. PH attend bien sagement calé au fond de son cul que Léo donne le signal. Ce n'est que quand ce dernier commence à rouler du cul qu'il commence sont limage en règle. Moins long d'un cm que moi, il compense sans problème par son cm de diamètre. Léo le sent bien et nous le fait savoir. Arnaud retourne lui rouler des pelles et Baz reprend son bouffage de tétons. Le dérivatif marche et PH coulisse plus aisément entre ses chairs. Il y reprend même du plaisir après quelques instants un peu chaud.
De mon coté je me dis que pour Ernesto c'est loin d'être gagné ! Il va falloir passer au poppers si on veut qu'il se laisse défoncer le cul par les 24x6 qui équipe mon espagnol. Et d'autant plus qu'il se fait maintenir la bite raide par un Jimmy toujours aussi fan de grosses bites. Je vais jusqu'au frigo chercher le flacon et commence à le chauffer entre mes mains, que les émanations gazeuses soient importantes.
De son coté Léo prend plaisir à se faire baiser. Gaz a laissé les tétons à Arnaud et pompe goulument notre invité. Pour le préparer à ce qui va venir, PH positionne Léo en levrette. En plus, ça facilite le travail de Baz. Il est remplacé par Ric qui se coule difficilement (vu le gabarit) en 69 sous Léo. Sans lui avoir rien dit, nous voyons Léo baisser légèrement la tête et timidement commencer à sucer le gland de Ric. Il goute comme avec un aliment nouveau. Il passe d'abord la langue dessus, fait le tour du gland avant de le prendre totalement en bouche. Un coup de rein plus appuyé de PH lui fait prendre la moitié des 20cm de Ric. Il se redresse par reflexe avant de replonger. Je pense que c'est gagné ! Il sera au minimum un bi convaincu.
Quand il sent que PH se retire, Léo relève la tête. J'en profite pour lui gazer les narines. En même temps Ernesto enfonce d'un coup sec son gland. Râle très sonore de sa part. Je double la dose et ses dernières réserves tombent. Il rougit, chauffe et son anneau cède sous la pression d'Ernesto. Il se retrouve empalé avant d'avoir compris ce qui lui arrivait !
Tenu aux hanches par Ernesto en attendant qu'il se fasse au nouvel intrus, Léo me traite de salaud, que j'aurais pu lui demander et au moins le prévenir. Sans faire cas de ses propos, je lui offre de sniffer du poppers avant qu'Ernesto ne se mette en mouvement. Il attrape ma main et place lui-même sous ses narines le flacon ouvert. Après seulement il hoche la tête vers Ernesto.
Ce dernier fait attention. Il le sodomise sur toute sa longueur mais doucement, Jimmy qui s'y connait en enculage grand format, ajoute du gel pendant les 4 ou 5 premiers retraits du manche.
Sous lui, Ric pompe sa bite qui n'a pas débandé dans l'histoire. A nous 7, nous le stimulons, l'excitons jusqu'à ce qu'il explose le laissant dans un quasi coma. Ric est maculé de sperme et les draps sont à changer !
Ernesto se retire vite tant que Léo est sur son nuage. Jimmy prend le relais et masse la rondelle martyrisée le temps qu'elle se referme.
Autour, nous nous branlons et très vite nous lui jutons tous sur son dos sauf Ric qui lui englue le cou.
Après cette première nuit, nous n'auront pas de mal à le convaincre de passer ses 15 jours de vacances chez nous !
Il me téléphonera plus tard pour me dire qu'il se surprenait maintenant à enculer ses partenaires féminines alors qu'il ne le faisait pas avant ! De plus il devait faire attention à son club de sport (foot et muscu) car il avait tendance à bander quand il n'était pas tout seul sous les douches. Plus sensible maintenant, il se doutait que 3 ou 4 mecs du club devaient être de notre bord. Et comme ils ne faisaient pas partie des plus moches, il allait tenter son coup.
Jardinier
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Semaine du 9/5
Lundi. Etude, travail. Jeunette le soir, qui rentre d'une journée à la mer. Elle reste deux heures, part, puis revient plus tard. Elle met "sa musique", notamment Sébastien Tellier (bonne surprise). Prenant place devant le PC, elle fait sa sélection, explique en quoi les morceaux me sont dédiées par des paroles toutes en clin d’œil, ceci avec mille façons et minauderies charmantes.
Mardi. Matinée au marché. Moiteur et chaleur de l'atmosphère comme les matins au Vietnam. Travail en journée, entrainement le soir. La salle de boxe est attenante à une salle de "muscu". Comparaison des silhouettes : l'art Déco est à la musculature de l'athlète grec ce que le Rococo est à la musculature bodybuilding.
Mercredi. Livraisons. Jeunette au téléphone, furieuse pour un incident de la veille. Scène. Puis elle revient, plus gentille encore.
Jeudi. Achat d'un cadeau chez Carhartt pour un camarade. Vendeuse visiblement LGBT vous réserve un accueil glacial puis elle s'engage dans une sorte de bras de fer mental de froideur qui contraste fort avec les injonctions à la courtoisie, avec la surveillance draconienne qui prévalaient dans ce type de job que je faisais à l'occasion, au début des années 2000.
La nouvelle conseillère bancaire en ligne fait des siennes. Les banques vident vos comptes en vous ponctionnant de mille grignotages par des frais, des agios, des provisions, sans vous prévenir. Dans le même temps elles requièrent des vérifications doubles et triples par "clé digitales" pour que vous puissiez accéder à votre propre compte. Lorsque faire son propre secrétariat devient un parcours du combattant...
Soir. Entrainement.
Vendredi. Courses en prévision de ce qui va suivre. Visite de * venu de Cannes pour quelques jours. Camarade de 25 ans, connu en 1997 à Grenoble. Nous faisons bombance d'un poulet rôti "Français en exil", puis marchons dans le quartier. * tombe une bouteille de vodka, sans moi qui puis à peine en supporter une goutte.
En rentrant nous nous amusons beaucoup du jargon juridique du règlement intérieur de l'immeuble que nous lisons à haute voix plusieurs fois, avec plusieurs accents: "Chaque ayant-droit s'engage à jouir bourgeoisement de son bien immobilier dont il détient la jouissance exclusive en propriété privée, ce dans le cadre strictement prévu par la loi, d'une manière conforme en tous points aux dispositions prévues par l'article... (etc)"
Samedi 14 Mai.
Je traîne * à l'entrainement de boxe. Nous trempons chacun notre maillot puis rentrons. * répare des néons du plan de travail de la cuisine. Il faut aller au "Brico" chercher des pièces manquantes. En chemin nous nous laissons distraire par la vitrine d'un de ces clubs de sport en salle aux murs tous noirs. Nous entrons, un monsieur tout fier nous met la main dessus immédiatement et nous tient une demi-heure pour vendre les services de son club. Nous ne comprenons rien. Tout n'est que "Xcross", "kettlebell", "workshops", "mobility", "TRX", puis "TRX flow", etc. Pourtant nous acquiesçons, pris par l'aspect incongru de la scène, curieux de voir où cela mènera. C'est une expérience... Je ne sais si ce genre de vendeur m'inspire de la peine ou de la colère et demeure stupéfait de la confiance en soi de ce genre de profil. Pas une seconde le monsieur n'a soupçonné qu'il perdait son temps avec nous, ni même n'a demandé quels étaient nos besoins, nos habitudes, nos centres d'intérêt bref, les bases du "probing" et de l'AIDA (Attention-Désir-Intérêt-Achat). Oh mon Dieu si j'avais agi ainsi chez Nespresso ou chez SThree à l'époque, comme les managers m'auraient rabroué!
Aller-retour au "Brico", nous rentrons peaufiner les réparations puis prenons la route direction Seraing dans la province de Liège pour rendre une visite. Grand beau temps, mais toujours cette déglingue sociale latente qui rôde, qui colle au cul de la Belgique francophone. Nous savons tant de choses et ignorons pourtant comment vivre.
Soir, retour à Bruxelles, apéritif place Jourdan, puis pizza du samedi comme de vrais papas Italiens. Atmosphère d'été, ambiance de station balnéaire du sud de la France.
Jour du Seigneur. Seul à l'office du matin. Joie du Regina Caeli: chant bref, ramassé, heureux.
Retour, café araméen avec *, puis nous montons voir Y* chez lui, un vieux Belge qui nous raconte son passé de braqueur des années 70, sa cavale de 10 années au Venezuela, en Afrique, des faits tous vérifiés, point d'affabulations! Il a 4 enfants de 3 femmes différentes. Dire que notre génération s'embarrasse de mille scrupules inquiets avant même d'avoir un seul enfant...
Après-midi. Kermesse devant une église du quartier européen. Nous mangeons, buvons et parlons avec les passants à droite et à gauche. Un ami se joint à nous, il m'enchante à évoquer l'histoire des Chams du Vietnam et du Cambodge, dans leurs zones de peuplement que j'ai connu en 2006, peuple extrêmement beau, proche des Khmères et de cette Asie brune davantage artiste qu'industrieuse, à l'encontre de l'Asie jaune. Autour de nous, de nombreuses filles dont certaines assez charmantes. Je prends quelques numéros, et une fille qui pourtant s'était refusée quelques mois plus tôt, me lance un regard noir alors qu'elle me voit en compagnie d'une autre. Elles vous veulent "célibataires et fidèles", ces chères petites désormais! Les deux camarades et moi descendons à Saint-Josse puis remontons à Schaerbeek, place Dailly, en terrasse. Journée de canicule paisible, passée à traîner, à rire et boire, à croiser des connaissances, à taper la discussion, la vie... Plus tard, dîner ensemble à la maison, puis un tour au parc où nous prenons le frais jusque tard dans la nuit allongés dans l'herbe, tenant des conversations d'hommes. Ce con de * manque de déclencher une embrouille avec 3 cailleras en trottinette parce qu'il les vise de loin avec un pointeur laser. Le genre d'habitudes contractées à Grenoble il y a plus de 20 ans, lorsque nous étions une bande de types aguerris et renseignés.
#Journal#Nepsis#Bruxelles#Schaerbeek#Carhartt#Sébastien Tellier#Xcross#Kettle bell#workshop#mobility#TRX#Seraing#Liège#Belgique
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We don’t have to worry about’ nothing
Lorsqu’Eliott arriva en cours mercredi matin, il vit tout de suite Greg et Lionel, aux côtés d’Hortense et de Célia, qui discutaient avec animation, et il se maudit d’avoir permis à leurs deux groupes de se rapprocher :
Qu’est-ce qui t’es arrivé ? Demanda Célia en apercevant Eliott. Je crois que je ne t’ai jamais vu arriver aussi tard.
Si hier, déclara aussitôt Hortense.
J’étais aussi en retard hier, répliqua Eliott. Mais mon réveil n’a pas sonné, c'est tout.
Deux jours de suite ? T’es sûr que ça va ? Demanda Hortense en plongeant son regard dans celui de son ami, ayant très bien vu le coup d'œil fuyant qu’il avait échangé avec Greg.
Tout va bien, tout va très bien, répondit Eliott en ne relevant pas les yeux vers son amie.
T’as l’air crevé mec. La nuit a été agitée ? Demanda Lionel, un sourire grivois naissant sur son visage.
En entendant les paroles de Lionel, Eliott roula les yeux, se retenant de cogner sa tête contre le plan de travail en face de lui ou de quitter tout de suite la salle de cours alors qu’il se rappelait du fiasco de lundi soir. Ne sachant que répondre sans montrer sa vulnérabilité, fondre en larmes ou se mettre à s’énerver contre lui-même, Eliott se contenta de reposer son regard sur le plan de travail en face de lui. Avant que Lionel ou quiconque d’autre ait eu le temps de rajouter quelque chose, la cheffe Armand entra dans la salle et Eliott bénit son arrivée. Il n’avait pas la foi de subir un interrogatoire en règle pour le moment et se sentait pathétique de ne plus oser regarder Greg dans les yeux. Malheureusement, ou heureusement pour lui, les deux hommes se retrouvèrent à des îlots différents mais toutefois peu éloignés, les forçant à avoir toujours l’autre sous les yeux. Eliott n’avait jamais ressenti la moindre difficulté à revenir vers Greg, motivé par son amour à se montrer présent pour lui quoiqu’il arrive, si bien que les deux hommes n’étaient pas restés loin de l’autre ou fâchés plus d’une journée, mais cette fois, il était empli d’une peur panique à l’idée de l’approcher à nouveau. L’ampleur de ses sentiments avait fortement grandi depuis leur premier baiser, et l’officialisation de leur relation faisait que l'histoire qui n’appartenait précédemment qu’aux deux hommes était désormais une histoire dans laquelle n’importe qui pouvait mettre son grain de sel, que ce soit pour les aider ou semer la zizanie. Lorsque Greg répondit à Hortense d’un ton hautain et méprisant alors qu’elle lui avouait savoir qu’ils n’avaient pas réussi à faire l’amour : “Oh c’est bon tout l’institut est au courant pour mes histoires de cul c’est génial. “, Eliott vit rouge.
Tu pouvais pas la fermer ? Dit-il sèchement à Hortense.
Puis regardant Greg, il s’exclama :
Et toi t’étais obligé de dire ça ?! Tu fais chier !
Sans pouvoir le contrôler, Eliott exprima sa frustration en lançant par terre un bac rempli d’épluchures, surprenant son copain. Que Greg et ses amies soient au courant de sa situation ne le dérangeait pas, il les savait suffisamment attachés à lui pour ne pas se moquer ou faire des vannes stupides. Mais il sut dès que Greg ouvrit la bouche que, impulsif comme il était, il ne pourrait que lui rendre la situation plus difficile à vivre sans le vouloir. Et à croire que l’impulsivité de Greg commençait à déteindre sur lui, Eliott entra dans son jeu en passant ses nerfs sur ce pauvre bac d’épluchures. A peine l’eut-il vu tomber sur le sol que le bruit sembla lui remettre les idées en place et sans mot dire, il alla chercher un balai et une pelle pour les ramasser. Eliott reprit ensuite sa recette, tentant du mieux qu’il pouvait de se concentrer sur autre chose que le sentiment de peur et de honte mêlées qui l’animait. Lors des rapides coups d'œil qu’il lançait furtivement à Greg, ignorant du fait que celui-ci faisait la même chose de son côté, il lui sembla lire sur son visage les mêmes sentiments, doublés d’une forme de culpabilité. Durant tout le cours, il fut impossible pour Eliott de se concentrer pleinement sur sa recette, le conduisant à faire des erreurs stupides que la cheffe lui signala sans toutefois se montrer trop sévère.
Vous allez bien Eliott ? lui demanda-t-elle avec sollicitude avant de s’éloigner de son plan de travail.
Oui cheffe, j’ai juste… Beaucoup de choses en tête. Mais ça ne se reproduira pas.
Quand la cheffe ne fut plus dans son champ de vision, Eliott ne put s’empêcher de prendre sa tête entre ses mains et de frotter ses yeux avec le bout de ses doigts, comme pour se remettre les idées en place. Lorsque la cheffe Armand arriva devant l’assiette de Greg pour la goûter, elle fronça les sourcils devant le visuel du plat mais ne dit rien. Après avoir pris une bouchée, sa mimique se transforma et elle dit :
Vous avez fait des erreurs de débutant aussi Greg.
Oui cheffe mais ça ne se reproduira pas.
Bien malgré lui, son regard se déporta vers Eliott avant de revenir se planter sur la cheffe Armand. Celle-ci regarda les deux hommes qui semblaient tous les deux fatigués, tristes et préoccupés avant de sourire doucement, ayant parfaitement remarqué les regards furtifs qu’ils avaient échangé tout au long de son cours. La journée s’écoula lentement tandis que les deux hommes parvenaient une journée de plus à ne pas se parler, ne sachant quoi dire à l’autre, mais échouant dans leur tentative de chasser l’autre temporairement de leur esprit. La fuite d’Eliott était dans leurs deux esprits, et celui inquiet et empli de culpabilité de Greg repassait le moment en boucle, tentant avec acharnement de comprendre ce qu’il s’était passé. Lorsqu’ils furent libérés à la fin de la journée, ils sortirent de la salle avec Lionel, Célia et Hortense qui tentaient laborieusement d’alimenter la conversation face au mutisme et au manque d’attention de leurs amis respectifs. Comme si le karma avait décidé de leur jouer un tour, ils tombèrent nez à nez avec Charlène. Celle-ci, sous prétexte de saluer Hortense, se rapprocha du groupe, posa un regard intrigué sur les deux hommes et ne put s’empêcher de cracher son venin :
C’est quoi ces têtes de déterrés les mecs ? Première crise de couple ?
Eliott releva la tête comme s’il ne l’avait pas entendu et allait s’éloigner quand Charlène s’exclama avec colère :
Eh ! Je te parle boloss !
Oh désolé Barbie, fit mine de s’excuser Eliott, arborant un grand sourire alors qu’il se retournait vers elle, mais je ne vois pas les garces égoïstes manipulatrices.
Greg, Lionel, Célia et Hortense échangèrent un regard stupéfait : il était si rare de voir Eliott baver sur quelqu’un que lorsque cela arrivait, le phénomène était spectaculaire.
T’as dit quoi là ?! Demanda Charlène en avançant d’un pas menaçant vers le jeune homme.
Tu n’as pas d’oreilles en plus de ne pas pouvoir penser à quelqu’un d’autre que toi sérieux ? Rétorqua Eliott sans se laisser démonter.
Toutefois, une pointe de tristesse plus forte que lui traversa son regard lorsqu’il réalisa que Greg était pile derrière Charlène, dans son champ de vision. Elle, au moins, ne s’était sûrement pas enfuie alors qu’elle allait coucher avec Greg, se dit-il. Eliott secoua la tête, tentant difficilement de ne pas craquer avant de tourner les talons et de s’éloigner à grands pas. Greg avait suivi l’altercation entre son ex et son copain attentivement et cria, lorsqu’il vit Eliott s’éloigner :
Eliott attends !
Les jeunes hommes s’étaient évités la veille, étaient parvenus à reproduire le phénomène le lendemain, mais Greg voulait savoir ce qu’il se passait car Eliott n’avait vraiment pas l’air dans son état normal. Il s’élança à sa poursuite et parvint finalement à l’attraper par le poignet. Lorsqu’Eliott se retourna, Greg vit que les yeux du jeune homme étaient brillants de larmes contenues. Ne sachant pas encore quoi dire, Greg se contenta de prendre le jeune homme dans ses bras et de le serrer contre lui en caressant doucement le dos.
Eliott qu’est-ce qui t’arrive ?
Sans lâcher le jeune homme, Greg les conduisit dans l’amphi, et une fois qu’ils furent enfin à l’abri des regards, il reprit :
C’est.. C'est à cause de moi ? De tout à l’heure lors du cours de la cheffe Armand ? De lundi ? J’ai fait quelque chose de mal ?
Eliott secoua la tête.
Alors qu’est-ce qui t’arrive ?
Face au mutisme d’Eliott, qui ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois sans parvenir à parler, Greg dit doucement :
Eliott, regarde-moi s’il te plaît et parle-moi.
Eliott plongea son regard dans celui de Greg et y lut tant d’amour et d’inquiétude qu’il murmura :
Je me sens pathétique.
Pathétique ? Parce qu’on a passé les deux derniers jours à s’éviter du mieux que l’on pouvait ?
Par exemple, oui. Mais aussi pour m’être enfui lundi soir. J’ai paniqué.
Paniqué ? Dit Greg en fronçant les sourcils. Mais pourquoi ? Ne me dis pas que… c’est ta première fois, souffla Greg, une lumière s’allumant enfin dans son esprit.
Eliott hocha la tête sans parler tandis que Greg murmurait :
Je comprends mieux. Tu avais l’air tellement sûr de toi pourtant.
Toi aussi, répliqua Eliott, mais je pouvais sentir ta nervosité quand je suis rentré dans la chambre lundi. C’est notre première fois à tous les deux, c’est normal que l’on ne soit pas aussi à l’aise qu’on le voudrait.
De quoi as-tu eu peur ? Demanda Greg en prenant une main d’Eliott entre les siennes.
Que tu te moques de moi, de ne pas être à la hauteur…Je pense que tu te rappelles très bien mes provocations, entre t’apprendre à sucer ou te frotter le dos et ailleurs sous la douche. Et finalement je n’ai rien fait, jamais, avec personne. En plus, c’est la première fois que tu fais l’amour avec un homme et je voulais que ce soit parfait.
Greg sourit tendrement devant la confession d’Eliott et allait répondre quand Eliott poursuivit, soudainement intarissable :
Quand tu as commencé à prendre les devants lundi soir, j’ai eu peur que tu ailles trop vite trop loin. Je suppose que j’avais aussi peur de ne pas réussir à te donner du plaisir, à te plaire et de ne te faire aucun effet. Je t’ai déjà confié que je te trouvais beau, mais tu ne m’as jamais dit ce qui te plaisait en moi.
Tu as un sourire à tomber, commença Greg. Lundi, quand tu as détaché tes cheveux, j’ai cru que j’allais m’embraser sur place tellement tu étais sexy. Que dire de tes yeux ? Je ne peux pas résister à ton regard, j’ai l’impression qu’il peut lire jusqu’aux tréfonds de mon âme. Et tu embrasses magnifiquement bien. A chaque fois que tu poses tes mains sur moi, c’est comme si tu déclenchais une étincelle, et je craque encore plus quand tu passes tes mains dans mes cheveux. Je ressens tellement de choses à ton contact. Tu es magnifique Eliott, ajouta Greg en caressant doucement le visage du jeune homme. A l’intérieur comme à l’extérieur.
Quand Greg eut fini ce monologue qu’il avait tenu sans baisser la tête, son regard revenant systématiquement à Eliott, il sourit avant de reprendre :
Et si d’aventure il t’est arrivé de craindre que je t’envoies balader ou que je me moques de toi parce que tu n’es pas encore prêt à faire l’amour, sache que…
A ce moment-là, Greg fit une brève pause pour rassembler son courage avant de déclarer :
Sache que je t’aime. Je t’aime Eliott, à un point tel que ça me ferait presque peur si je n’étais pas aussi heureux. Et j’ai envie de découvrir ton corps, comment te donner du plaisir, connaître la sensation de ta peau contre la mienne ou de ne faire qu’un avec toi. Mais on ira à ton rythme, sans se presser, ensemble. Je ferai tout ce que je peux pour t’aider et te mettre pleinement à l’aise. Et je serais patient.
Le jeune homme vit les yeux d’Eliott s’emplir de larmes, mais c’était des larmes de bonheur, avant que son copain ne se rue vers lui pour le prendre dans ses bras, un sourire éclatant sur les lèvres.
Je t’aime aussi Greg, murmura Eliott à l’oreille du jeune homme.
Pendant plusieurs minutes, les deux hommes restèrent à s’étreindre sans rien dire, savourant le simple fait d’être ensemble, d’avoir enfin discuté et de s’être avoué leurs sentiments. Quand ils relâchèrent leur étreinte, Greg embrassa doucement Eliott qui lui rendit son baiser avant de poser son front contre le sien, heureux.
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ça fait deux semaines que j’ai pas rencontré mon ami (plan cul) et il vient de me dire qu’il ne peut pas me voir ce week-end non plus. j’étais au bout de ma vie et maintenant encore plus. je suis tellement seule. j’avais l’impression de m’étouffer sans lui, il est comme un bol d’air
je vais hyper mal, je touche mon visage machinalement tout le temps, j’arrête pas de manger du popcorn tous les soirs, beaucoup trop de bouffe juste pour sentir quelque chose. je sais pas comment je vais passer encore une semaine sans lui. je le vivrais mieux si j’aurais de la beuh, ça me calme vraiment, mais j’en ai pas. et je ne peux pas acheter plus sans lui car je ne veux pas y aller toute seule
il m’a dit qu’il y a des applis de livreurs de beuh, mais ça me flippe encore plus. mais peut-être je vais craquer et essayer. c’est moins angoissant qu’y aller moi-même
mon kit de point de croix arrive demain, peut-être il me donnerait la moindre stimulation dont j’ai besoin
faire du point de croix > cul
mais non je blague rien n’est mieux que du cul mdr
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