#plan cul du soir
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camisoledadparis · 20 days ago
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saga: Soumission & Domination 356
24h du Mans moto-2
17-04, soir : Comme nous arrivons dans la cour du château, nous rejoignent les derniers motards du groupe. Marc arrive avec Éric et Cédric en passager et Daniel. L'écurie s'étoffe d'une CBR1000RR, du GSX R1000 que j'ai offert à Éric et du GSX R 750 de Daniel. Juste avant la pluie !
Ils ont fait la route ensemble et nous disent avoir rencontré beaucoup d'autre moto allant vers le circuit et pas mal de collègues de nos deux gendarmes.
Je fais la présentation de notre logement du WE et de ses commodités. On se met à l'aise. Les combis sont suspendues un peu partout et comme les autres nous restons en shorty, boxer ou slip selon les préférences de chacun.
De la piscine nous arrivent des cris et des hurlements. Quand on arrive, c'est pour tomber sur une bataille dans l'eau. Bien sûr tout le monde est à poil. Le temps de laisser le peu qui nous restait sur le corps et nous nous joignons à l'échauffourée. 
Ça passe au stade " sexe " alors même que personne n'a encore gagné. Les nouveaux n'ont plus l'air d'être fatigués. Ils se lancent dans la mêlée. PH et Ludovic reviennent des chambres avec les kpotes, le gel et du poppers.
Je me régale avec les 23x6.5 du Lad motard. Les gendarmes sont appréciés aussi tout comme Éric et son black mamba.
La partouze bat son plein quand Nicolas (notre hôte) arrive voir si nous avons besoin de rien et vers quelle heure nous comptions dîner. Vu le bruit qu'on fait, il ne pouvait se tromper sur nos activités, donc il devait vouloir participer ! C'est d'ailleurs ce qui lui arrive. Près de l'entrée, Frank était en train d'enculer Jules aux côtés d'un " médecin " en train de démonter le cul de Kamal et d'un de ses confrères celui d'Arnaud. Ils se sont décollés le temps de l'attraper et de l'envoyer tout nu au centre de la mêlée. Sa grosse bite attire Cédric habitué aux gros calibre (rappel : c'est le régulier d'Éric). Il se fait donc bouffer la queue jusqu'à l'os, Cédric en mode " garçon en manque ".
Je me reconcentre sur mon cavalier. Quand il n'est pas en train de chevaucher un étalon, ce sont les 184CV de son ZX10R débridé. Il sait maitriser sa monture et quand il enfonce la totalité de sa bite, il obtient mon obéissance totale !
Ludovic passe me voir entre deux plans. Il me roule une pelle et me dit de bien profiter avant de trouver Marc sur son chemin. Il se fait bloquer, retourner et enculer tout en se faisant pousser sous moi (je suis en levrette). Il embouche ma bite raide et est excité de l'intérieur alors que j'embouche son gland.
Pas besoin de bouger pour nous deux. Ce sont les coups de rein de nos deux enculeurs qui activent nos pipes. Quand Marc tire les jambes de Ludovic pour mettre ses chevilles sur ses épaules, il m'enfonce plus profond sa queue au fond de ma gorge. Trop bon ! Nous nous régalons de nos glands respectifs et de la mouille qui en coule. Quand on se met à juter c'est l'apothéose. C'est je pense aussi ce que pense nos enculeurs que l'on sent se libérer dans nos entrailles (enfin kpote chez moi).
Quelques minutes pour retomber sur terre.
Petit coup d'oeil panoramique. Certains ont déjà juté comme nous mais il reste un petit groupe qui n'en a pas terminé. Je m'approche alors que mes comparses prennent la direction des douches. En fait c'est un mini gang-bang. Nicolas est sur le dos en train d'attendre les jets de spermes des 6 mecs debout au-dessus de lui.
Il ferme les yeux quand ça se met à pleuvoir sur lui. Il reste quelques minutes sous cette couverture avant que les participants l'aident à se relever sans glisser. Il reçoit autant de tape dans le dos que de mecs encore présent. Il apprécie le respect que ça sous-entend. Ce n'est pas parce qu'il s'est fait couvrir de sperme après s'être pris plusieurs mecs dans le cul qu'il n'est pas estimable pour autant.
Il nous accompagne aux douches puis nous précède à la salle à manger. Quand nous y arrivons, il a organisé un grand buffet avec plats chauds.
Dans une ambiance assez bruyante, nous commençons à nous restaurer. Les entrées sont simples et bonnes, principalement constituées de crudités et de charcuteries locales. Les rillettes du Mans sont délicieuses !
Nous voyons pour la première fois son cuisinier alors qu'avec lui Nicolas amène les plats chauds. Je comprends pourquoi il nous l'avait caché ! Le mec doit avoir dans les 20/25 ans, carré de gueule et d'épaules, ses cheveux courts et ses boucles d'oreilles et surtout son cul rebondi moulé dans un jeans trop petit, attirent sur lui les sifflets de ma petite troupe.
Ils nous présentent des cotes de boeufs de 6 ou 7 cm d'épaisseur, grillée sur le dessus embaumant les herbes. Une pierre chaude est là pour recuire si quelques un le préféreraient.
Quand il tranche, l'eau nous coule de la bouche. Elles sont grillées en extérieur et le centre est bleu mais chaud. A part Kamal qui lui demande de passer sa tranche sur la pierre, nous nous régalons de sa cuisson parfaite. Là aussi notre hôte privilégie les élevages locaux. Les 6 cotes disparaissent et il ne reste plus que les os ! Le cuisinier est un peu scié. Il y avait presque 4 kg de viande ! Ça n'empêche pas le plateau de fromages de se faire dévaster à son tour.
Il est évident que l'aide culinaire de Nicolas a reçu plus d'une invitation pour le reste de la soirée. Il nous éconduit gentiment arguant du fait qu'il était hétéro et qu'il avait une copine. Evidemment sa sortie soulève un tollé général. Comme si le fait d'avoir une amie, de lui faire l'amour pouvait l'empêcher de prendre du plaisir avec nous.
Entre notre journée sur le circuit à piétiner, les trajets en moto de certains, la touze et le repas, nous sommes morts de fatigue. On se répartit dans les chambres et les lits au petit bonheur la chance.
18-04 :
Je me réveille dans les bras d'un des gendarmes. Je ne suis pas seul puisqu'avec nous dans ce grand lit dort encore Ludovic.
Je le réveille et nous prenons une douche vite fait. Descendus dans la salle commune nous retrouvons la moitié du groupe en train de petit déjeuner. Ils sont déjà bien réveillés et jouent un peu à chauffer le cuisinier.
Nous ne sommes pas pressés puisque le départ n'a lieu qu'à 15h et que le ciel a du mal à se dégager. On discute avec Nicolas pour savoir si nous rentrons diner ou pas.
Après échanges d'avis, il est décidé que non mais qu'ils nous préparent un en-cas froid pour dans la nuit.
Habitués à des invités anglais, le petit déjeuner est conséquent et nous permettra sans problème d'attendre le soir. Avec un sandwich quand même entre temps !
La deuxième moitié du groupe arrive, les yeux encore collés de sommeil. Certains sont encore en boxer et ils sont bandants mal réveillés comme ça. Ils sont condamnés à faire le tour de la table pour les bisous. Quelques langues fraîches approfondissent ces baisers. Mal réveillés mais les dents brossées quand même ! Cédric retrouve les genoux de son Éric, tout comme Arnaud qui se colle à son Léo.
On discute de la journée à venir. Les plus impatients d'y aller sont évidemment ceux qui n'y sont jamais venus. Ils veulent voir les courses qui précédent le départ. Donc on presse un peu le mouvement.
Douches rapides pour ceux qui en ont besoin. On se glisse dans nos combis. Éric me fait la réflexion qu'on va encore attirer des remarques homophobes. Je nous regarde avec plus d'attention. Effectivement, on est quelques-uns peut être un peu trop " moulés " par le cuir. Tant pis pour les cons.
On quitte nos hôtes et fonçons vers le circuit. Notre petite troupe conflue avec d'autres motards en provenance de Paris. Pour plus de pratique et de sécurité, j'ai pris pour tous des entrées pour un parking gardé à l'intérieur du circuit. Du coup on y laisse les motos et les casques.
Il fait suffisamment chaud pour ouvrir nos combis. Ludovic retire même son t-shirt et réenfile son blouson. Il donne des idées à d'autre et on est la moitié à laisser deviner nos pecs et nos abdos sculpturaux. Comme pas un n'arbore de pilosité, ça attirera encore plus les remarques " déplacées ". On se faufile jusqu'en face des stands pour voir le départ des side-cars. On y reste le temps de les voir passer plusieurs fois puis nous déambulons le long du circuit.
Les néophytes sont surpris de voir que certains motards dorment sur les talus qui bordent la piste. En fait la plupart cuvent déjà l'alcool qu'ils ont ingurgité sans modération.
Après la coupe des 125cc, Marc nous offre à boire. Piétiner pendant 2h30 ça donne soif ! On commence gentiment avec des demis. On partage quelques barquettes de frites en attendant de manger plus tard.
A partir de là, on se disperse. De toutes les façons tous nos smartphones contiennent la totalité des numéros de téléphone des mecs présents et puis on se donne un rendez-vous pour diner ensemble. Marc part avec Éric et Cédric. Je reste avec PH, Ludovic les 2 gendarmes et Jules. On traine dans le village en attendant le départ. Du coup quand il faut se placer, les abords du circuit sont blindés. Moi perso je m'en fous un peu mais Jules et Ludovic sont un peu déçus. En haut des escaliers, entre deux tribunes sur la ligne des stands, des spectateurs devant nous nous bouchent la vue.
G1 attrape Jules et le balance sur les épaules de G2. Je m'accroupi et dis à Ludovic de faire pareil. Il faut que PH le pousse mais une fois que je suis redressé, il domine la foule et voit la piste. Heureusement qu'il n'a pris que 5Kg depuis qu'on s'entraine ! Je peux tenir un bon moment ses 80Kg sur mes épaules. Il reste perché le temps du tour de chauffe et du départ puis glisse au sol. Instinctivement quand il est à terre, il me tourne et me roule une pelle, juste pour me remercier. Evidemment ça déclenche une remarque homophobe. Je me tourne pour voir de qui elle émane.
Un mec 30/35ans moche comme un cul ! La réponse est rapide : " rassure toi, avec ta tête tu n'as aucune chance de m'attirer ". Eclats de rires des mecs qui nous entourent, le pauvre type part plus gêné que nous. Un " mon héros " de la part de Ludovic qui me tombe dans les bras sur un registre mélodramatique achève l'entourage.
Je commence à avoir faim et je ne suis pas le seul. On s'appelle et nous déjeunons tous ensemble. Hot-dogs frites, nous callent pour quelques heures.
Puis on repart dispersés après avoir confronté notre début d'après-midi. Marc, au récit de notre mésaventure, nous dit d'être plus discrets quand même.
Refus de notre part, on ne va pas donner raison aux cons quand même ! Et puis ce n'est pas comme si nous ne savions pas nous défendre.
Avec PH je recherche un petit moment la chapelle. Alban nous a signalé qu'un sculpteur du milieu 20ème en avait réalisé les piliers. On rame un peu car cette dernière n'est plus à l'endroit originel justement nommé " virage de la chapelle ". Elle a été reconstruite de l'autre côté du circuit. Photos, vues générales puis en détails et envoie à l'artiste.
Remerciements immédiats avec demande de prise en gros plan de certains détails particuliers. On passe bien 1h à ces bêtises mais ça fait plaisir à Alban.
Retour dans la foule, et oui la chapelle n'attire pas beaucoup de motards !
On retrouve sur la passerelle Dunlop Frank, Louis, Arnaud et son Léo qui viennent en sens inverse. On se joint à eux et on va trainer les " boutiques ". Les " cuirs " sont de qualité médiocre. On regarde beaucoup mais il n'y a pas grand-chose qui retient mon attention.
Je m'arrête dans l'une d'elle plus pour son vendeur que pour sa marchandise. Le mec est mignon, un peu petit mais une bonne tête, boucle d'oreille à droite comme moi et un torse large mis en valeur par un t-shirt deux tailles trop petites.
Il me demande ce que je cherche et, avant que je n'aie eu le temps de répondre, m'assure qu'il a surement ça en boutique. Je le prends au mot et lui dis que c'est le cas puisque son petit cul outrageusement serré dans son jeans était dans la boutique. Il rit jaune mais entre dans le jeu.
Lui : " désolé vous êtes tombé sur le seul article qui n'est pas à vendre car déjà vendu ".  
Moi : " ce doit être négociable si le montant de mes achats est conséquent ? "
Lui : il me déshabille du regard, j'ai toujours le haut de ma combi ouverte sur mon torse musclé et glabre et me sort un " faut voir ".
Je fais le tour de la boutique les autres sont entrés aussi et encombrent les deux allées.
J'avise un T-shirt noir logoté -24h du Mans moto 2015-. Je lui demande conseil pour la taille et lui demande si ça se porte aussi près du corps que le sien.
Réponse du vendeur " bien sûr ". À mon " OK je veux voir ", il n'hésite pas retire le sien et enfile celui que j'ai repéré. Il reste suffisamment longtemps torse nu pour que j'admire son torse large et imberbe aux pecs terminés de deux gros tétons dont un percé d'un anneau inox. Une fois qu'il a enfilé le nouveau T-shirt, je m'approche et passe la main sur le tissu " pour me rendre compte ". Il me laisse faire. En essayant de tester l'épaisseur du tissu, je le pince avec difficulté (il est sec le mec !) et du coup attrape un morceau de chair entre mes doigts. Frisson du propriétaire et en baissant les yeux, je vois sa braguette bien gonflée.
Il s'écarte et fouille pour me chercher un exemplaire et me dit de l'essayer. Je me défais du haut de ma combi qui tombe bas sur mes hanches dévoilant la totalité de mon torse nu et la ceinture d'un bottomless de chez Addicted. Quand je lève les bras pour enfiler le vêtement trop petit, ma combi descend un peu plus dévoilant cette spécificité de mon shorty. Il me dit que je suis bien foutu et à son tour il essaye d'attraper le tissu et pince mon téton libre (de piercing). Je ne peux que laisser échapper un gémissement compromettant. Il tire un peu le bas du t-shirt pour l'amener à ma ceinture et ce faisant touche mon sexe remonté vers mon nombril. Il ne peut plus douter que je bande ! Les copains bouchent toujours les entrées et font que nous sommes tranquilles au fond de l'échoppe. J'attrape son petit cul de mes deux mains et le plaque contre moi en cherchant ses lèvres. Il se laisse faire et je peux malaxer son boule. Je sens au comportement de sa langue dans ma bouche qu'il est prêt à aller plus loin. Je lui dis que c'est cool et que les mecs qui remplissent ses allées sont des potes.
Je m'arrange de sa boucle de ceinture et des boutons du jeans pour pouvoir le descendre sous ses fesses. Mes doigts s'aventurent alors entre les deux masses musculaires et trouve une rondelle accueillante. Chaud le mec, pas de slip ! Je me kpote et dans le même mouvement, je le retourne et enfonce ma bite entre elles, puis dans son cul. Là, c'est son tour de gémir. Heureusement que les motos tournent sur le circuit tout près.
J'entends plusieurs fois " le vendeur est pris, vous pouvez revenir plus tard ? ". J'accélère le tempo tout en faisant attention qu'il " monte " en même temps que moi.
Je le fais juter contre la toile du fond et moi, sous la contrainte des spasmes de sa rondelle, je rempli ma kpote.
Réajustement. Je lui dis que je garde le t-shirt mais qu'il m'en faut 22 autres avant de corriger le chiffre à 24 en pensant à notre hôte et son cuisinier.
PH me rejoint et on se roule un patin. Je vois les yeux du vendeur s'ouvrir tout grand. PH le rassure et lui dit qu'il n'est pas jaloux et que j'ai eu la chance d'être le premier à le voir. Sous-entendu, ç'aurait pu être lui.
Avec mes amis présents, nous estimons les différentes tailles à approvisionner. Comme je ne veux pas m'embarrasser, il nous garde le paquet jusqu'à sa fermeture.
Quand nous viendront le chercher, on trouvera nos achats mis dans un petit sac à dos offert par la maison. Bon, c'est vrai qu'après l'avoir défoncé, je n'avais pas eu le coeur de lui demander une ristourne.
Jardinier
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Ugly Sweater
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mamaasawriter · 8 months ago
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je ne veux plus
écrire de beaux poèmes
je ne veux plus
puiser dans ma tristesse
cultiver l'attente
je ne veux plus être mon propre terrain de jeu je veux
tisser une intimité avec toi
non les poètes ne disent pas toujours "je veux ken"
parce que les poètes ne se mettent pas toujours
dans les situations les plus faciles ou plutôt
les poètes rendent public que l'amour n'est pas
une situation facile et que comme tout le monde
ils désirent et la tendresse fait tanguer le cœur parfois plus qu'un orgasme
et comme tout le monde les objets de désir ont
un travail des amis un concert ce-soir des émotions un passé un enfant deux enfant trois neveux une tante un peu omniprésente un animal de compagnie des kilomètres entre nous une passion et ce n'est pas nous un boss d'autres gens à texter un loisir un voyage de prévu un plan de vie
c'est pour cela qu'ils nous manquent, cela n'a rien avoir avec leur
sourire leur regard qu'on soutient à toute heure du jour et de la nuit leurs gestes marques d'affection fossettes yeux profonds mains douces mains caleuses mains grandes poignets avant-bras épaules cul torse cuisse mollet ventre dos danse leur rire le fait qu'il nous dise merci leur capacité à nous créer des souvenirs d'un rien pour les autres mais vraiment beaucoup pour nous cette main sur notre épaule leur capacité à mettre la lumière sur nous de ne plus nous faire sentir seul de nous apaiser hop d'un coup par leur présence ce bisou sur la joue ce câlin cette pression inhabituelle cette surprise ce cadeau ce temps ce cadeau cette compagnie ce cadeau alors je dis
merci à toi aussi
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chifourmi · 8 months ago
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Who is your Greek god ?
Grossomodo un gars rencontré en soirée qui a voulu garder contact alors que moi je pensais que ce serait juste un coup d'un soir mais je me suis dit one life, autant tenter. J'ai direct posé mes limites, je lui ai dit que je ne voulais pas être en couple et je regrette d'avoir fait ça parce que ça nous a enfermé dans une case de plan cul et même si je suis toujours pas sûre de vouloir tenter un truc sérieux avec lui, ça me saoule qu'il y ait cette barrière que j'ai posée beaucoup trop tôt à cause de ma peur de l'engagement. Ça me ferme à d'autres possibilités.
Oups la réponse est partie sur du deep mais je l'appelle comme ça pcq il est musclé, qu'il a des cheveux bouclés puis jsp je trouve que ce surnom donne bien pcq on a vite une image de ce à quoi il peut ressembler puis c'est drôle
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jezatalks · 2 years ago
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Je sais plus si j'en ai parlé ici. Avec mon copain on a décidé que l'on ne serait plus exclusif uniquement sur la période où je serais en PVT.
On n'en a parlé à très peu de personnes, mais dans l'ensemble elles respectent et sont assez curieuses. Et dans le lot, il y a mon ex, qui vient régulièrement, quand la conversation s'y prend, à me lancer des sous entendus comme quoi "quand tu veux on recouche ensemble".
Et je vais pas vous mentir que, c'est très tentant car le sexe avec lui était toujours au top (malgré mon vaginisme) mais le fait que si je lui demande, il est disponible dans l'heure ça me gêne. Surtout que la date officielle d'ouverture aux plans cul n'est pas encore passé (aka 13 novembre).
On a surtout pris cette décision car :
Je suis la première et seule relation de mon copain. Et il regrette de pas avoir pu tester avec d'autres personnes avant. Donc c'est l'occasion.
Et moi, bah pareil j'ai que lui et mon ex comme expérience. Pas que j'ai pas eu envie de tester tinder pendant les un an où j'étais célibataire entre mes deux relations. Mais mon vaginisme me faisait peur vis à vis d'un coup d'un soir. Aka "oui j'ai envie de coucher avec toi mais aucune pénétration". Je sais que je peux trouver des partenaires compréhensifs, mais bon, j'ai pas l'impression que ce soit courant sur les sites de rencontres. Et j'ai les mêmes peurs pour quand je serais au japon + barrière de la langue. Mais on verra bien. Et en plus, vu que ma libido semble de plus en plus rare, pas sûre que j'ai une aventure de toute la durée du séjour.
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tellmesmthngidk · 6 months ago
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Je ne sais pas par où commencer. Par la fin sans doute, car tout est fini. Tout vient de se finir. Le 17 juillet, à 00h ou le 16 juillet à minuit j'ai ouvert la porte pour que tout se finisse. Rien n'a de fin si tout continue dans les souvenirs. Sans doute. Mais le réel se fini, seul les souvenirs et les fantasmes survivent.
J'ai envie d'écrire tout ce dont je me souviens. Les courts métrages après l'orage, les rues vides à cause de la pluie, la nourriture laissé sur le bort d'une fenêtre pour courir. Courir en se donnant la main. Se donner la main, à Paris la nuit, sous la pluie, en sortant de boite pendant que le jour s'est levé. Les marches, les heures à marcher dans les rues à discuter, à se connaitre, à se découvrir mais pas trop, à se protéger mais continuer de ce voir. Le café, l'expresso dans le même café encore et encore, le café dans le bar à 23h parce qu'il ne boit pas, le café qui se renverse le matin sur la plaque de cuisson. Manger, indien ou des pâtes à la sauce tomate ou des ramens. Entendre sa voix, sans m'y attendre les murmures en espagnol ou en italien, les discussions en anglais. Parler, pendant des heures, ne pas vouloir partir pour continuer encore et toujours à parler, jusque 03H, jusque 02H. Jusqu'à ce que mes jambes me fassent mal. Visiter tous les quartiers de Paris en 1H de marche. Wong kar wai et les films que l'on a vu, qu'il a revu pour moi. Sa main sur mes cuisses, dans les miennes, ses mains sur moi, ses yeux sur moi. Nos âmes qui s'entremêlent quand on ne peut se quitter du regard, quand on ne pas s'arrêter de s'embrasser. Les regards qui suffisent pour dire j'ai envie de toi. Les gestes en suspend. Se retenir de dire qu'il est à moi, le fait qu'il murmure que je suis à lui. Le fait qu'il me trouve toujours belle. Désirable et désirée. Qu'il soit ce que je considère comme l'être désiré. Le je t'aime après in the mood for love. La musique, encore et toujours, qui jamais ne s'arrêtait comme une bande son original. Tyler, Kendrick, Sade. Sans doute d'autres mais j'y pense à chaque fois que l'un d'elleux se lancent. Le premier baiser, dans une voiture, tard le soir, la question fatidique "est ce que je peux t'embrasser". Le soulagement. Puis les fois où l'on ne s'embrasse pas. Le simple fait de le vouloir suffisait à combler. La "semaine" "chez lui". Le baiser sur la joue. Les lunettes pour lire les sous titres.
L'incapacité à être plan cul, l'incapacité à dire que l'on se manque. L'impossibilité de créer quelque chose. La peur de se perdre. Se dire aurevoir sans un mot et préférer dire merci. Parce que merci contient tellement plus de choses, il contient les baisers au coin de lèvres, les mains serrées plus fort, les comportements enfantins, les audios, les appels, les sourires, la lumière dorée sur les corps, le froid de l'hiver, la canicule de l'été. Le parc, le piquenique, les discussions dans la voiture, les messages d'anniversaire, les promesses non tenues.
Ne jamais voir la mer, ne jamais découvrir une autre ville, ne jamais faire un musée ensemble.
J'ai peur, j'ai peur d'oublier tellement de choses, j'ai envie de tout écrire en détail, de tout me rappeler. Je sais qu'il se rappelle de beaucoup. J'ai envie de tout écrire. Mais je sais que mon cerveau me fait déjà défaut. Je sais que j'ai oublié des choses, des mots qui m'ont porté. Je suis terrifiée de celle que j'aurais été si j'étais tombée amoureuse. SI je m'étais laissé allé plus encore que ce que j'ai donné. Je suis si heureuse de lui avoir donné autant. Je suis soulagée de ne pas être allée plus loin (même si cétait déjà trop pour lui je crois).
Je suis fière de ce que je suis encore capable de donner même après ma rupture.
Je suis soulagée que ce soit fini, malgré les regards brillants, les mots murmuraient lors des dernières caresses et baisers, l'incapacité de ce dire aurevoir. Faire l'amour pour se dire adieu, quelle idée. Dire merci pour dire aurevoir, quelle idée.
J'écrirais encore beaucoup dessus, je le sais. Maintenant, il faut laisser les gens et les sentiments partir.
Marée basse, je me retire et je pense à moi. J'ai des choses à soigner je crois.
Merci à lui.
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saarbruckenpage · 6 months ago
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plan cul toulouse : Expériences avec plan-cul-toulouse
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papercrownxyz · 11 months ago
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Jour 6 - Mardi 6 Février, 22h45
Deux jours à vivre un rollercoaster. Un lundi abyssal, au bureau, à entendre un 3° membre de la team partir, puis récupérer A. en pleurs parce que... trop de trucs arrivent en même temps.
Ma journée entière d'hier a été déraillée par cette annonce, l'impression de stagner à mon rôle, de ne pas être apprécié pour ce que je suis / vaux - et c'est pas la rémunération qui compense ça. C'est le même feeling que j'avais à HS y'a 5 ans, à me sentir comme un underdog en Support payé pas même 35k dans une ville où le loyer moyen était à 900 balles. Peu importe le salaire en fait, c'est la motivation intrinsèque qui manque, et le salaire absorbe juste que peu de cette frustration.
En dents de scie je disais - aujourd'hui même, réveil la tête dans le cul, le moral dans les chaussettes comme ça m'arrive peu, même quasi jamais. J'ai failli annuler ma séance de kiné qui s'est joué en un tir de dé. 1/2/3 = no go, 4/5/6 = go. J'suis tombé sur un 4, mon coeur m'a dit d'y aller quand même. Allons. Une heure plus tard, ma tête était moins en vrac, probablement n'ayant pas le temps de m'inquiéter pour moi-même (en même temps, partir du kiné à 10h58 pour un call à 11h avec mon boss), mais aussi ayant bougé mon corps.
Et mon boss qui m'explique qu'il va sûrement avoir besoin d'aide en Europe pour leader les équipes, car l'équipe va doubler sur les 9 prochains mois. Changement immédiat de mood, tu m'étonnes - c'était son poste à lui que je souhaitais initialement, mais peu importe. Je m'étais fais à l'idée que ce n'était pas pour moi, pour le moment en tout cas. 4 mois plus tard l'idée revient sur le devant de la scène - cette fois-ci je me reprotège.
Je pense qu'à terme, je souhaite me commit à cette boîte anyway, mais dans les bonnes conditions. Le salaire est indécent, mais dans la tranche des séniors sur Paname à mon rôle - j'ai bien choisi ma voie. Mais la suite est autre chose - Dam, ou pas Dam ? Paname ? Remote en France ? Qu'en sais-je, on verra bien ; l'essentiel reste la patience pour le moment, que ce rôle ouvre ou pas, que je l'aie ou pas, que je reste sur Paris ou pas.
De l'autre côté je n'ai pas dédié une seule seconde à mon projet, et ça fait déjà deux jours. Le temps est rare, les mardis soir je cuisine, dès que j'organise un call avec un.e pote ou que le taff s'étend un peu, même d'une demi-heure, je suis baisé. C'est un coup à rentrer à l'appart, manger, et c'est déjà l'heure de se coucher - regarde aujourd'hui, il est presque 23 heures à l'heure où j'écris ces lignes. J'vais pas commencer à dessiner maintenant.
Quelques tactiques à l'avenir :
Éviter au plus le taff hein, où du moins les meetings tardifs
Si meetings tardifs en vue... prévoir de faire l'activité le matin, de 9 à 10 si possible
Oublier les mardis soir en cooking duty par exemple
Si y'a le temps le soir, s'assurer qu'il y a aussi du temps pour la vie de couple, où prévenir en avance que ça va être mort
Simplement dire non aux autres plans en semaine, y'a des choix à faire et les potos passent à la trappe en ce moment. Priorities.
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verver · 1 year ago
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TUMEURS URBAINES
Épisode 5
Ava jeta un coup d'œil sur la plate-forme, une de ses collègues lèchait une autre fille qu'elle connaissait vaguement.
Ava savait que c'était un jour où il y avait du monde , ça se bousculait devant les cabines, les mecs devaient toucher leurs salaires où une allocation quelconque.
Ce boulot était paraît-il simple à en croire les gens , c'est de faire de petites scènes un peu coquines au début pour glisser progressivement dans le porno et finir nue de toutes les manières.
Sa collègue de boulot Amanda résumait le truc d'une façon très simple " on passe notre temps à se tortiller, à suer pour que ces cons consomment de l'alcool et se branlent.
Vu comme ça Ava était d'accord.
Ava entre en piste sur cette plate-forme, elle est entourée de dix vitres , baisse l'intensité de la lumière et choisit de se caresser en ondulant son corps et en minaudant, les jambes un peu flèchies elle fait de grandes circonvolutions avec son cul , elle montre ses seins, elle devine l'excitation derrière les vitres .
Elle s'est rapprochée d'une vitre qui c'est allumée, Ava lui colle son cul en gros plan .
Le mec est au micro de sa cabine
- toi je vais te piner, j'ai la queue en feu !
Ava s'exclama :
- branle toi un peu ça te fera du bien !
- grognements...
- imagine que je te branle avec mes seins ...
- salope !
Elle entendit un râle puissant derrière la vitre.
Elle commençait à connaître les ficelles du métier, ces trucs là plus les grossièretés et les insultes ça marchaient bien, ils en redemandaient même, ils fallait leurs donner une bonne dose de cochonneries pour qu'ils se soulagent.
La comédie était finie Ava ramassa ses frusques et disparue derrière le rideau.
Le cirque recommençait toute la journée, parfois elles étaient demandées pour un jeu particulier. Parfois elles étaient deux ou trois pour une demande expresse.
Le but était de faire chauffer les cartes bleues et les consommations d'alcool, c'est tout ce que la direction demandait , elle ne s'occupait pas du reste.
Cet établissement était situé non loin de la préfecture, il y avait une clientèle de jour et une autre totalement différente la nuit.
Cela faisait presque une année que Michel c'était installé chez Ava . L'air de rien il se laissait vivre , il ne bossait pas et ne voulait surtout pas se lever pour chercher du taf.
Ava bonne fille l'encourageait dans sa fainéantise.
Un soir comme à son habitude Ava lui refila un acide qu'ils gobèrent en buvant quelques bières, ils attendaient la montée en jouant à un jeu vidéo et en fumant des joints.
Ava proposa d'aller faire un tour en centre ville, Michel hésita longuement, elle savait qu'il était casanier.
- t'es sûre ! j'ai pas tellement envie
- bouge toi un peu Michel ! fais moi plaisir !
Celui-ci se leva en soupirant.
Une fois dehors l'atmosphère se détendit entre eux.
- il fait bon ce soir ! s'exclama Michel
- Oui !
Ils se promenèrent dans les rues piétonnes encore animées malgré l'heure tardive.
Ils suivaient les nombreux passants encore présents dans les rues.
Ava sentant monter l'acide dans tout son corps lui dit :
- On va au parc !
- d'accord ! répondit Michel soudainement joyeux.
- ça monte ! dit-elle en souriant
- moi aussi !
Ils s'enfoncèrent dans les allées du parc , croisant tout un tas de gens qui allaient et venaient à la recherche d'aventures.
Cet endroit était connu pour ça.
A une certaine heure les familles , les enfants et les vieillards rentraient sagement chez eux , laissant la place à une faune interlope.
Au hasard de leur déambulation, ils tombèrent sur un vieux adossé à un arbre, le pantalon sur les chevilles qui se faisait faire une gâterie par un couple de très jeunes gens.
Ava et Michel se rapprochèrent doucement de la scène pour lorgner un moment.
Le garçon et la fille alternaient les coups de langue avec une métronomie d'une folle rigueur.
Le vieux éjacula et glissa les billets dans la main du garçon.
- Ils sont jeunes murmura Ava à l'oreille de Michel.
- très jeunes !
Ils s'eloignèrent en silence .
Maintenant ils marchaient d'un pas régulier vers un grand bassin où ils savaient qu'ils pourraient tranquillement tremper leurs pieds.
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pensssine · 1 year ago
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Hello, aujourd’hui je suis allé mettre les couleurs dans ma pivoine par Eugenie , toujours pas terminé parce qu’il fallait qu’elle aille chercher son gamin à l’école. J’en ai marre de toutes ces maman autour de moi.
Pour le coup j’ai discuté avec Victoria sur Snap toute l’aprèm, là je suis garé devant la maison j’ai impression de rentrer au pensionnat parce que je vais pas pouvoir continuer cette discussion. Alors qu’on parlait de cul on parlait un peu plus d’elle et ça c’était trop cool bon le truc moins cool c’est que elle disait qu’elle avait ressenti d’autres feeling avec d’autres nanas et du coup je me suis un peu vexé intérieurement est-ce que je pensais que ce lien était Cavellec non, mais après elle dit que c’est pas du tout le même hier, a priori avec Orlane, on a vu le souffle coupé le cœur qui s’arrêter à chaque fois qu’elle s’embrasser.
Elle me disait qu’avec svan, c’était devenu plat, plat genre doigtage et elle se met au-dessus d’elle et c’est bien.
Apparemment, Victoria a besoin de le faire au moins une fois par semaine, mais c’est pas toujours le cas là au bout d’un mois elle pète un Cable même juste deux semaines, et même quand elle le fait une fois par semaine bah Pourelles c’est comme manger un bonbon t’as envie de manger le paquet donc t’as envie de leur faire encore plein de fois.
Apparemment, avec Orianne, elle pouvait la faire jouir de toutes les façons possibles.
Dans ce qu’elle m’a cité, table basse, porte du garage contre le mur escalier du skate Park. Bref je ne connais pas les filles mais peut-être des filles qui connaissait que d’un soir quoi.
On a aussi, discuter de notre relation qui qui se serait forcément terminé parce que j’étais à Van et qu’elle aurait fait garagiste et qu’elle aurait voulu rentrer un moment à cherbourg POINT et donc c’était vous est allé chèque.
Mais apparemment le petit speech que j’avais fait sur le faite d’avoir une maison comme partenaire, et sortir de la maison de temps en temps, mais toujours y revenir, apparemment elle l’a pris contant PASQuelle cherche ça, et moi aussi au final je cherche ça. Mais du coup pas ensemble a priori,
D’après elle on pourrait seulement rester ami ou plan cul à la rigueur.
J’avoue que ça m’a un peu blessé, mais c’est plutôt réaliste.
Elle m’a avoué qu’elle était ultra collante en couple, Orianne était parti quatre jours sur Paris pour son boulot, elle a pété un câble pour ça. En gros elle veut énormément de câlins d’amour. Enfin elle est ultra possessive. En fait elle fait absolument pas confiance à sa compagne. 
9/11/23 18:29
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softnasty · 2 years ago
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trop perplexe de pourquoi je n'ai pas écouté l'épisode d'abdtr avec gringe en entier alors que c'est mon favorite podcast ever et que je loupe pas un épisode ? que s'est-il passé ca. 2019 quand j'ai bingé tous les épisodes existants pour que je coupe mon écoute 😭 bref je vais rectifier ça rapidos dès que j'ai fini d'écouter gringe parler de cul
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camisoledadparis · 5 hours ago
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saga: Soumission & Domination 373
Noël 2015-3,
25 au soir.
Dès qu'ils sont partis ça part en touze ! Nous sommes tous nus en quelques minutes et je retrouve mes Samir et Ammed habituels vêtus de leurs seuls boxers en cuir maintenant bien patinés.
Ça sonne !! Fuck ils ont oubliés quelques choses (un des parents) et on est déjà tous à poil.
Heureusement ce ne sont que Dorian avec Julien venu voir si son petit apprenti s'était bien tenu !
Ils montent et ont la demi-surprise de nous trouver déjà tous biens chauds. Quelques âmes charitables les aident à arborer la même tenue que nous et ils entrent dans la mêlée.
Je me fais la réflexion que serait quand même bien si les derniers arrivants se faisaient Nathan. Je suis sûr que ce dernier ne refuserait pas.
Je pars à sa recherche et le trouve en levrette à subir les assauts de Dan. Je me penche et lui fais part de ma dernière idée. Vu qu'il était déjà bien parti dans son trip, il met un peu de temps à tilter. Il demande un temps mort à son étalon et nous nous écartons quelques minutes.
Il argumente que ça va surement gêner Julien avec qui il a établi un relationnel stable. D'un autre côté, il ne sait pas comment le remercier lui et Dorian. Connaissant mes deux amis, je suis sûr que ce n'est pas parce qu'ils l'auraient baisé ce soir qu'ils abuseraient plus tard de la situation. Là-dessus il est d'accord avec moi.
Nous laissons en plan Dan qui part chercher son bonheur avec un autre partenaire et cherchons son maître de stage. Nous les trouvons tous les deux à s'occuper de Duke. A bien y réfléchir c'est plutôt l'inverse !  Les carrures et les " équipements " de mes deux Pros l'ont attiré comme le miel un ours (bon un ourson tout imberbe d'accord !).
Pas d'explication, je pousse Nathan dans le trio. J'observe de loin (enfin à 2m). Il faut quelques minutes aux deux ainés pour s'apercevoir de qui les avait rejoints. Bref mouvement de recul de la part de Dorian alors que julien, le nez entre les fesses de son apprenti, n'a toujours pas capté. Nathan lui fait " chut " d'un doigt sur ses lèvres avant de les ouvrir pour engloutir son manche. Je vois Julien se redresser et kpoter sa queue pour enfiler le cul qu'il venait de préparer. Il ne devine pas qui il encule, Dorian, avec ses mains posées sur la tête de Nathan (pour bien maîtriser le ramonage de sa gorge) camoufle son identité. De plus de dos à 4 pattes ça pourrait être n'importe lequel de mes " petits frères ".
Il capte au moment où il échange sa place avec Dorian. Nathan relève la tête et plonge sur le gland de son maitre de stage avant que ce dernier n'ait le temps de se reculer. Après c'est trop tard ! Le plaisir apporté par la douceur de la gorge de son apprenti le soude à lui. L'aspiration au fond de sa gorge encore plus. Je les laisse et me trouve un duo où m'intégrer.
Pablo m'accueille avec plaisir et je m'intercale entre lui et Duke échoué sous sa coupe après son remplacement par Nathan. Je me glisse dans le cul de Duke et collé à son dos lui glisse dans l'oreille de bien serrer son anneau. Chose qu'il fait parfaitement au ressenti de la compression de ma bite. Pablo profite de cette position pour introduire ses 24 x 6 bien au fond de mon trou.
Après quelques instants où j'ai été l'élément moteur du trio, Pablo a pris la relève. Il m'a pilonné la rondelle et chacun de ses coups de rien m'envoyait taper mes couilles contre celles de Duke alors que mon gland cherchait à aller encore plus profond en lui. Un simple " Gorgeous " provenant de Duke a salué ce changement de rythme.
Je retrouve mon ibère dans ce qu'il a de plus impérieux (complètement différent de son frère malgré une bite identique). Son gros gland à force de buter contre ma prostate fini par m'envoyer au 7ème ciel et je jute dans ma kpote alors que je maintiens Duke au plus près de moi, le pilonnant dur mon dernier cm de bite. Quand je recule brutalement, je provoque l'explosion de mes deux partenaires. Duke me jute dans la main alors que je ressens chacune des éjaculations qui gonflent encore plus le volume de Pablo (enfin par Kpote interposée).
Petit repos, je roule un patin à Duke alors que Pablo nous quitte pour aller enculer plus loin. Il me demande si aux prochaines vacances françaises, ses trois nouveaux amis pourraient revenir en Californie, il aimerait bien les emmener visiter le Grand Canyon, aller jusqu'à Las Vegas. Je suis d'autant plus d'accord que ce sera le dernier mois de ma présence à Berkeley.
Quand il apprend ça, il est content puis déçu que mon séjour ne dure pas plus longtemps. Je ne pense pas mentir en lui affirmant que ce n'est pas parce que je ne serais plus en Californie qu'il cessera de voir mes " petits frères ". Je crois bien qu'ils sont suffisamment accrochés pour que je sois bon à payer quelques allers et retours France-Californie.
Cette affirmation me vaut une nouvelle pelle qui de remerciement dévie en un nouvel appel de sexe.
Nous nous faisons rejoindre par ses trois amis avant que je ne replonge ma queue dans son intimité. Petite fête de retrouvaille, d'autant plus forte qu'ils apprennent que la fin de mes études aux USA ne sonnera pas celle de leurs contacts. Du coup je me fais violer par 4 énergumènes en rut !!
C'est Ludovic qui me tire de cet enchevêtrement de corps. Quand il en apprend la raison, il me dit que c'est de ma faute, j'ai qu'à être plus circonspect dans mes déclarations !! Merci le soutient !!
Semaine inter fêtes :
 Débarquons à Paris pour que nos américains en prennent plein les yeux. Nous squattons l'appart de Kev et aussi celui d'Henri sur l'insistance de ce dernier.
Kev est encore plâtré mais avec une coque en fibre de verre qui ne l'immobilise plus.
Les journées nous laissons les jeunes trainer ensemble et avec Dan et Tyler nous parcourons, musées et sites remarquables de la capitale. L'affluence touristique est plus faible que de normale, rapport aux attentats de novembre !
Je m'éclipse du groupe le temps d'aller cherche ma commande place Vendôme. En plus des participants de l'année dernière qui manqueraient notre " Nouvel an " pour rien au monde, cette année je dois ajouter mes trois invités.
" Mon " vendeur n'est pas en vacances et s'il m'introduit dans un salon privé, moi je m'introduis dans son cul. Il est mouillé tellement il attendait ma visite. Je l'encule en prenant mon temps, lui le torse posé sur la table de présentation puis, lui le dos sur cette même table ses jambes relevées vers le plafond puis, moi assis dans le fauteuil client et lui les deux jambes passées sur les accoudoirs qui me branle la bite avec sa rondelle.
La chose faite, on vérifie un par un les bracelets que j'ai commandés. En raccord avec les anneaux de l'an passés, en or rose aussi mais gravé " Blockhaus 16 ". 83, ça prend du temps !! Le chiffre m'a été donné par PH qui n'as pas préciser qui sera là. Je sais qu'il y aura tous mes escorts homos et les potes mais qui peut ou ne peut pas venir je ne le sais pas !
Henri profite de notre passage pour nous " sortir " dans un grand restaurant de la capitale. Les consommateurs sont un peu revenus depuis les lendemains des attentats mais il est déjà 20h30 et la salle est loin d'être pleine. Notre table de 15, Ric et Nathan nous ont rejoints détone. Duke est muet jusqu'au milieu du repas, impressionné par le service. Les serveurs qui connaissent bien Henri sont souriants à nous passer les assiettes. Ils prennent un soin particulier auprès de Kev qui ne peut aps encore dissimuler complètement son état.
J'en vois même un draguer ouvertement Duke qui ne sait plus où se mettre.
L'ambiance est bonne et nous sommes un peu bruyants. Notre table attire les regards et beaucoup de sourires. Henri a beau avoir presque 3 fois nos âges, il nous comprend quand même. Ric impressionne Tyler et Duke qui ne l'avaient pas encore rencontré. Son physique même dissimulé sous ses vêtements coupés sur mesure ne laisse personne indifférent. Je discutais avec Alban et Henri quand je me suis aperçu que Duke n'était plus à table. Quand il revient, je note qu'il ne peut cacher un air satisfait.
Dessert et café pris nous partons après que je me sois " battu " avec Henri pour la note. Bien sûr il a gain de cause et règle nos diners. Du coup je laisse le pourboire et les 200€ que je glisse au serveur qui nous raccompagne me valent un merci appuyé.
Dans la rue je coince Duke et le questionne jusqu'à ce qu'il m'avoue s'être fait le serveur qui l'avait chauffé. Il m'avoue que c'est quand même une première pour lui, même à San Francisco, il n'avait jamais consommé sur place.
J'éclate de rire, lui tape dans le dos et lui souhaite la bienvenue en France. Enguerrand lui demande s'il avait été actif ou passif avec le mec. Réponse de l'intéressé " actif, son cul était trop tentant " et non seulement il l'avait défoncé mais le mec ruait du cul pour la prendre plus hard encore !!
Retour à l'appart de Kev pour notre dernière soirée à Paris. Nous buvons un verre quand sonnerie de la porte. Kev va ouvrir et revient avec 3 bomecs qui nous les présentent comme ses potes de muscu. Je reconnais dans le plus balaise celui dont il m'avait déjà parlé et qui est " super équipé ". Ils boivent avec nous mais ça dérape vite à ce pourquoi ils étaient venus, c'est-à-dire un bon plan baise !
Avec le format de Ric et la bite d'Ernesto, faut dire que le balaise se pose en fantasme vivant !!
Je me l'accapare direct et mon petit cul étroit sous un dos et des épaules bien larges à l'air de lui faire de l'effet. Nous nous étalons dans le grand séjour et même l'escalier qui monte à la chambre.
Pour ma part, j'étale ma conquête dos sur la table basse et entreprend de vérifier le tonus musculaire de la bête. Je m'étale sur lui. A part les épaules qui sont de même largeur, tout le reste chez lui est plus hypertrophié que chez moi. Je descends sur ses pecs et bouffe ses gros tétons en érection. En même temps j'empoigne ses pecs épais et les presse avec difficulté. Je descends plus bas, ma langue suit le sillon entre ses blocs d'abdos. J'atteins son gland avant le nombril, bien avant d'au moins 5cm, la taille de son gland quasiment !! Je ne peux m'empêcher d'ouvrir grand ma bouche pour abriter cette merveille. Comme je fais une pause, il m'attrape par la nuque et d'une seule poussée me défonce la gorge et plaque mon nez contre son pubis épilé. En bonne " salope " je déglutis rapidement pour masser sa bite. Là c'est lui qui s'arrache de ma bouche en gueulant un " la saloooope " qui fait éclater de rire plus d'un participant !!
Quand je le reprends en bouche il est plus circonspect et me laisse gérer la pipe. J'alterne le jeu de ma langue sur son gland, décolletage de la couronne, pénétration de ma langue en pointe dans son petit trou.... Avec des plantages dans les profondeurs étroites du début de mon oesophage.
Alors que j'ai son gland bien profond dans ma gorge, il me soulève le bassin et me fait tourner pour nous placer en 69. J'ai l'impression de ne peser que quelques kilos vu la facilité avec laquelle il m'a basculé. Il me suce un peu puis attaque direct l'objet de sa convoitise, ma rondelle encore fraiche. Alors que je m'occupe a bien lubrifier sa bite, il en fait de même avec cette dernière. Je sens sa langue progresser et pousser sa salive. Quand il estime que je dois être préparé plus profond, ce sont ses doigts qui prennent la relève et j'en sens un puis rapidement 2 et enfin 3 pénétrer mon intimité. Cela dure un bon moment jusqu'à ce qu'il m'estime prêt à le recevoir. Je ne voulais pas le vexer mais ça va faire un moment que je le suis, prêt !
Il se couche sur le dos et je l'enjambe de face. Les mains en appui sur ses gros pecs, je descends mon bassin pour faire le contact gland / rondelle. Il m'a traité de salope, il va voir que ce n'était pas juste une promesse. Je bouge un peu des hanches pour bien me placer puis d'un coup d'un seul, je me plante ses 24x6 jusqu'aux couilles. Là, c'est lui qui cri son plaisir. Moi je me retiens, et savoure cette pénétration violente mais à la hauteur de mon désir. Je reste un moment les fesses écrasées contre ses cuisses avant de le chevaucher façon grand prix de l'arc de triomphe. Là il doit bien admettre que c'est moi qui mène le jeu. Ce sont mes fréquences de va et vient, mes différents degrés de compression de rondelle qui dirigent sa courbe de plaisir. Kev qui l'entend gémir s'approche de moi et me dit de ne pas le lui " gâcher " car il n'est pas sûr de pouvoir être aussi bon que moi. C'est flatteur !!
Son pote lui dit de me laisser faire. Il se laisse encore mener quelques minutes puis reprend la barre. Il se redresse, plie ses jambes sous moi et d'un coup de rein nous met debout. Enfin lui, car moi je suis accroché à son cou, mes bras enserrant mes chevilles posées sur ses épaules. De nouveau j'ai l'impression de ne rien peser. Il campe ses pieds un peu écartés sur le sol et avec ses gros bras, m'écarte le bassin du sien avant de relâcher son effort et que, naturellement, mes fesses reviennent s'écraser contre lui, son gland me pénétrant au plus profond de mon trou. Trop, trop bon !!!
Je bande comme un fou et mes couilles écrasées contre ses abdos à chaque retour à la position de départ me procurent un plaisir/douleur mélangé. Alors que je comptais bien tirer le jus de ses couilles avant de moi-même partir, c'est l'inverse qui se produit. Les montées de plaisir qui me provient de ma rondelle et de ma prostate maltraitée à chaque passage de son gros gland se confond avec la douleur renvoyée par mes couilles écrasées au même moment. J'explose et recouvres nos pecs de grosses giclées de sperme. J'ai le plaisir de sentir en moi que mes contractions d'anus ont raison de sa résistance et il repli sa kpote. Avant d'être totalement vidé, ses jambes cèdent et alors qu'il s'agenouille sur le tapis, je m'enfonce une dernière et très profonde fois sa bite dans le cul. Ça me procure une dernière poussée de plaisir qui me fait gémir comme la dernière des salopes ... que je suis à ce moment-là. Je serre mon anneau à le bloqué tout au fond de moi et quand je relâche l'effort, il explose dans sa kpote.  
On s'écroule sur le côté en se déboitant. Kev nous rejoint et me demande comment je trouve son " culturiste ". Seule réponse possible, " trop bon ".
Je ne peux m'empêcher de lui demander ce qu'il fait pour le nouvel an. Il ne déparerait pas dans notre bande et plus d'un lui servirait de kpote vivante !
Il est déjà pris et m'explique qu'il réalise une prestation pour un mec !!
Les autres se finissent et de tous les côtés ça gémi, ça exprime le plaisir pris par ou dans le corps du partenaire.
Nous finissons la nuit tous ensemble dans l'appart de Kev
Le lendemain retour au Blockhaus.
Jardinier
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TIREZ LES ROIS ! 🤴 
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grand-mechant-loup · 2 years ago
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S.
Il y a ce profil sur lequel je tombe un jour. Des profils, sur les applis de rencontre il y en a des centaines, voire plus. Alors on espère toujours tomber sur le profil qui vous fera chavirer, mais la vérité c’est qu’à force de « swiper » on se fait anesthésier. Les profils semblent être tous les mêmes.
Et donc il y a ce profil un jour. Une fille brune, jolie. Elle s’appelle S.. Un sourire discret mais franc. Et surtout il y a ce truc en plus, ce truc que je vois et qui me parle. Ce truc qui me plait. C’est quelque chose que je n’explique pas. Même en y réfléchissant je n’ai pas la réponse. J’ai rencontré une autre fille il y a quelques mois de ça, qui physiquement lui ressemblait un peu et avec qui j’avais eu des échanges très agréables. Mais après deux rencontres j’ai réalisé qu’il n’y aurait rien de plus. En tout cas rien qui puisse venir de moi, aussi sympathique qu’elle fut, il n’y avait aucune alchimie. Je le lui ai expliqué et elle n’a pas insisté, semblant même touchée par ma sincérité.
S. donc. Il y a « match » et nos échanges débutent. Ils sont fluides et faciles. Elle s’exprime bien et sans faute, c’est toujours appréciable.
Je ne sais plus trop comment nous basculons sur WhatsApp. Elle m'explique qu’elle a deux enfants et qu’elle n’a eu depuis sa séparation qu’une relation « non exclusive ». Un plan cul quoi. Je me dis que si elle est encore sur ce type d’appli c’est peut-être qu’elle cherche autre chose. Je lui explique que pour ma part, je ne suis pas à l’aise dans ce type de relation. Elle me rétorque qu’elle en a un peu fait le tour et qu’elle ne serait pas forcément contre une vraie relation. Et d’ailleurs ma façon de voir les choses l’interpelle.
Problème : nous avons des enfants et nos emplois du temps ne coïncident pas du tout. Nous envisageons de nous voir mais il y a toujours quelque chose qui bloque. Et puis elle est en train de changer de travail et cela l’accapare pas mal. Nos échanges s’espacent puis cessent totalement. Je tente de temps en temps de la relancer. Sans réponse. Ce que j’ignore à ce moment-là c'est qu’elle a changé de numéro.
C’est des mois plus tard que je la retrouve sur la même appli. Je me dis qu’elle va probablement me ghoster et que si elle a cessé de me parler c’est que je ne l’intéresse tout simplement pas. Mais il n’en est rien. La conversation reprend et elle semble enthousiaste de me « retrouver ». Elle me demande de lui envoyer de nouvelles photos de moi, ce que je fais. Elle me dit les apprécier. Ça me surprend toujours mais je commence à accepter l’idée que je puisse plaire à une femme. A. me répétait sans cesse à quel point elle me trouvait beau. P. me l’avait dit aussi, de façon plus clinique. Un constat objectif que j’avais trouvé amusant. Elle m’avait même plusieurs fois expliqué que je pouvais me montrer beaucoup plus entreprenant. Avec elle mais avec les filles en général.
S. et moi n’avons toujours pas d’emplois du temps qui coïncident mais nous percevons quelques jours en semaine qui nous autoriseraient à boire un verre. Nous fixons donc une date et un rdv dans un bar.
Nous sommes donc en semaine, j’ai travaillé, je dors mal, il fait froid, il pleut et ressortir ce soir là est à la limite de la torture. Mais cela fait des mois maintenant que nous discutons (malgré une longue coupure) et je perçois sans savoir vraiment pourquoi, qu‘il y a quelque chose à creuser. Alors je me mets un coup de pied aux fesses et je me rend à ce rendez-vous.
« On part du principe qu’on aura mangé ? Me dit-elle ». Je trouve ça prudent de sa part. Si ça ne le fait pas, inutile que ça se prolonge de trop. Va donc pour un verre.
Nous nous retrouvons donc peu après 21h dans un pub (après sa séance de sport qu’elle ne louperait pour rien au monde).
J’arrive le premier et l’attend à l’extérieur. Quand elle arrive, je la vois se garer sur le parking et je me demande quelle sera la première impression. Si ça ne doit pas le faire, on le sent tout de suite et s’en suit au minimum une heure de souffrance. Plus si on est poli. Et je suis poli.
S. s’avance vers moi, et je sais à ce moment-là que je n’aurai même pas besoin d’être poli. Elle est souriante, élancée, discrète mais avec une présence évidente. Plus jolie que sur les photos où elle ne semblait pas très à l’aise. C’est ce qu’elle dégage qui me plait. Nos premiers échanges sont timides et hésitants. Nous entrons dans le pub, il y a du monde, Nous nous installons au bar et commandons deux bières qui vont nous durer presque 3 heures.
Notre conversation est d’abord banale. Je pense que nous parlons de nos emplois respectifs puis peu à peu nous dévions sur des sujets plus intimes : nos vies, nos séparations, nos enfants, nos histoires depuis que nous sommes séparés. Je me sens à l’aise à son contact, j’aime sa façon de parler. Par moment elle a des tournures de phrase qui pourraient être les miennes et ça me surprend autant que cela me rassure. Je pense que je me livre pas mal. Peut-être trop. Elle me dira plus tard qu’elle m’a trouvé intéressant et touchant. Je ne sais pas dans quelle mesure c’est un compliment. Je pense que c’en est un mais ça résonne en moi comme une mise en garde que je me fais à moi-même de ne pas être cette personne trop sensible qui pourrait agacer à la longue.
La soirée s’étire jusqu’à presque minuit. Autour de nous, les derniers clients quittent le pub et les serveuses s’agitent ostensiblement comme pour nous indiquer qu’il est l’heure de rentrer chez nous. Je paie les bières et me demande si je ne fais pas une bêtise. Mais S. ne m’a pas paru outrageusement féministe et je me dis qu’elle ne prendra pas mal que je m’acquitte de la note. Elle me remercie même.
Je la raccompagne à sa voiture. Moment gênant. Que doit-il se passer à ce moment-là ? Elle me propose de monter dans sa voiture et de me conduire à la mienne qui est garée plus loin. J’y vois une invitation mais je ne suis pas garé assez loin pour justifier qu’on m’y conduise. On fait encore un peu traîner la conversation, j’ai du mal à la laisser. J’ai envie que cette soirée continue. On se dit qu’on va se revoir. « Oui, vraiment ! » je dis, parce que j’en ai vraiment envie et je crois percevoir qu’elle aussi. Mais pour ce soir nous nous laissons. J’approche mon visage du sien pour lui faire la bise et elle pivote légèrement ce qui fait que les commissures de nos lèvres se touchent presque.
*
« Vas-y on s’en fout, on se voit quand même ! »
Notre première rencontre remonte à des semaines. Il ne fait plus aucun doute que nous nous plaisons et que nous voulons nous revoir. Une date a été fixée mais finalement annulée pour une raison qu’elle ne me donne pas tout de suite (un bouton de fièvre).
La fenêtre pour nous revoir entre ce souci et les possibilités suivantes (10 jours plus tard) est étroite, d’où ma proposition de nous voir quand même.
S. accepte. Nous nous verrons le lendemain, un lundi, chez elle comme elle me l’avait déjà proposé.
Elle a même annulé son sport quotidien pour que nous puissions nous voir sans être pressés par le temps. Je note l’effort.
Une fois chez elle, nous nous installons sur son canapé et reprenons notre conversation de l’autre soir. Je la trouve très belle. Et plus que ça elle me plait vraiment énormément. Je regarde ses lèvres et je sens que je la désire. Il est déjà minuit quand je lui dis : « J’ai un problème, tu vois comme je te disais tout à l’heure j’ai encore le sentiment d’être en lutte permanente contre moi-même. Tu vois bien que je ne suis pas le garçon le plus entreprenant du monde, mais l’envie est là même si je me retiens ». Quelques minutes plus tôt, quand je lui ai fait remarquer qu’il était déjà tard elle m’a dit : « Oui, il va falloir faire quelque chose. »
Maintenant elle me sourit : « Et il se passe quoi si tu ne te retiens pas ? »
C’est là qu’on s’est embrassés. Sa bouche a immédiatement été entreprenante. Sa langue de suite présente. Ses lèvres sont charnues et délicieuses. Nous nous sommes longuement embrassés. Elle est venue sur moi, m’a dit que si elle guérie, en revanche c’était la mauvaise semaine du mois. Cela ne m’a pas paru être un problème dans la mesure où le moment était déjà délicieux et plein de promesses.
Elle a commencé à appuyer son entrejambe contre moi. Les soupirs ont fait place aux gémissements. Nos mains sont parties à la découverte de nos corps en glissant sous nos vêtements. J’ai découvert sa poitrine, j’ai sucé ses seins, elle a défait mon pantalon et a caressé mon sexe d’abord à travers mon caleçon. Je ne sais plus dans quel ordre. Je sais qu’elle m’a sucé et qu’elle m’a fait assez confiance pour laisser mes doigts s’aventurer dans sa culotte puis à l’entrée de son sexe. Elle a répété « Putain ! » plusieurs fois en soupirant. « C’est terrible… ». J’ai pincé ses tétons : « Je ne te fais pas mal ? - Non j’aime quand c’est fort… »
Elle m’embrasse et me dit que je suis beau.
Tout cela a duré jusqu’à plus de 2h du matin. A chaque fois que nous faisions une pause, tout repartait dans un baiser. Je crois que je ne pourrais jamais me lasser de ses lèvres.
« Tu peux rester si tu veux… »
Bien sûr que j’aurais voulu, mais nous travaillions tous les deux le lendemain, il était déjà plus de 2h et il était clair que tous les deux dans le même lit, nous n’allions pas dormir.
Sur le pas de sa porte, elle me rend ma veste en jean. « Elle a l’air chaude, je pourrais te la voler. » Je l’enfile et elle vient se blottir contre moi. Elle me serre contre elle. L’espace d’un instant je me dis que la vie n’est pas si compliquée, que c’est ça que je veux : quelqu’un qui a envie de se blottir contre moi. Je glisse mes mains dans son dos pour toucher encore une fois la délicatesse de sa peau si fine. Je sens les muscles tendus de part et d’autre de sa colonne vertébrale et je me dis que je veux rester là.
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lounesdarbois · 3 years ago
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Semaine du 9/5
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Lundi. Etude, travail. Jeunette le soir, qui rentre d'une journée à la mer. Elle reste deux heures, part, puis revient plus tard. Elle met "sa musique", notamment Sébastien Tellier (bonne surprise). Prenant place devant le PC, elle fait sa sélection, explique en quoi les morceaux me sont dédiées par des paroles toutes en clin d’œil, ceci avec mille façons et minauderies charmantes.
Mardi. Matinée au marché. Moiteur et chaleur de l'atmosphère comme les matins au Vietnam. Travail en journée, entrainement le soir. La salle de boxe est attenante à une salle de "muscu". Comparaison des silhouettes : l'art Déco est à la musculature de l'athlète grec ce que le Rococo est à la musculature bodybuilding.
Mercredi. Livraisons. Jeunette au téléphone, furieuse pour un incident de la veille. Scène. Puis elle revient, plus gentille encore. 
Jeudi. Achat d'un cadeau chez Carhartt pour un camarade. Vendeuse visiblement LGBT vous réserve un accueil glacial puis elle s'engage dans une sorte de bras de fer mental de froideur qui contraste fort avec les injonctions à la courtoisie, avec la surveillance draconienne qui prévalaient dans ce type de job que je faisais à l'occasion, au début des années 2000.
La nouvelle conseillère bancaire en ligne fait des siennes. Les banques vident vos comptes en vous ponctionnant de mille grignotages par des frais, des agios, des provisions, sans vous prévenir. Dans le même temps elles requièrent des vérifications doubles et triples par "clé digitales" pour que vous puissiez accéder à votre propre compte. Lorsque faire son propre secrétariat devient un parcours du combattant...
Soir. Entrainement.
Vendredi. Courses en prévision de ce qui va suivre.  Visite de * venu de Cannes pour quelques jours. Camarade de 25 ans, connu en 1997 à Grenoble. Nous faisons bombance d'un poulet rôti "Français en exil", puis marchons dans le quartier. * tombe une bouteille de vodka, sans moi qui puis à peine en supporter une goutte.
En rentrant nous nous amusons beaucoup du jargon juridique du règlement intérieur de l'immeuble que nous lisons à haute voix plusieurs fois, avec plusieurs accents: "Chaque ayant-droit s'engage à jouir bourgeoisement de son bien immobilier dont il détient la jouissance exclusive en propriété privée, ce dans le cadre strictement prévu par la loi, d'une manière conforme en tous points aux dispositions prévues par l'article... (etc)"
Samedi 14 Mai.
Je traîne * à l'entrainement de boxe. Nous trempons chacun notre maillot puis rentrons. * répare des néons du plan de travail de la cuisine. Il faut aller au "Brico" chercher des pièces manquantes. En chemin nous nous laissons distraire par la vitrine d'un de ces clubs de sport en salle aux murs tous noirs. Nous entrons, un monsieur tout fier nous met la main dessus immédiatement et nous tient une demi-heure pour vendre les services de son club. Nous ne comprenons rien. Tout n'est que "Xcross", "kettlebell", "workshops", "mobility", "TRX", puis "TRX flow", etc. Pourtant nous acquiesçons, pris par l'aspect incongru de la scène, curieux de voir où cela mènera. C'est une expérience... Je ne sais si ce genre de vendeur m'inspire de la peine ou de la colère et demeure stupéfait de la confiance en soi de ce genre de profil. Pas une seconde le monsieur n'a soupçonné qu'il perdait son temps avec nous, ni même n'a demandé quels étaient nos besoins, nos habitudes, nos centres d'intérêt bref, les bases du "probing" et de l'AIDA (Attention-Désir-Intérêt-Achat). Oh mon Dieu si j'avais agi ainsi chez Nespresso ou chez SThree à l'époque, comme les managers m'auraient rabroué!
Aller-retour au "Brico", nous rentrons peaufiner les réparations puis prenons la route direction Seraing dans la province de Liège pour rendre une visite. Grand beau temps, mais toujours cette déglingue sociale latente qui rôde, qui colle au cul de la Belgique francophone. Nous savons tant de choses et ignorons pourtant comment vivre.
Soir, retour à Bruxelles, apéritif place Jourdan, puis pizza du samedi comme de vrais papas Italiens. Atmosphère d'été, ambiance de station balnéaire du sud de la France.
Jour du Seigneur. Seul à l'office du matin. Joie du Regina Caeli: chant bref, ramassé, heureux. 
Retour, café araméen avec *, puis nous montons voir Y* chez lui, un vieux Belge qui nous raconte son passé de braqueur des années 70, sa cavale de 10 années au Venezuela, en Afrique, des faits tous vérifiés, point d'affabulations! Il a 4 enfants de 3 femmes différentes. Dire que notre génération s'embarrasse de mille scrupules inquiets avant même d'avoir un seul enfant...
Après-midi. Kermesse devant une église du quartier européen. Nous mangeons, buvons et parlons avec les passants à droite et à gauche. Un ami se joint à nous, il m'enchante à évoquer l'histoire des Chams du Vietnam et du Cambodge, dans leurs zones de peuplement que j'ai connu en 2006, peuple extrêmement beau, proche des Khmères et de cette Asie brune davantage artiste qu'industrieuse, à l'encontre de l'Asie jaune. Autour de nous, de nombreuses filles dont certaines assez charmantes. Je prends quelques numéros, et une fille qui pourtant s'était refusée quelques mois plus tôt, me lance un regard noir alors qu'elle me voit en compagnie d'une autre. Elles vous veulent "célibataires et fidèles", ces chères petites désormais! Les deux camarades et moi descendons à Saint-Josse puis remontons à Schaerbeek, place Dailly, en terrasse. Journée de canicule paisible, passée à traîner, à rire et boire, à croiser des connaissances, à taper la discussion, la vie... Plus tard, dîner ensemble à la maison, puis un tour au parc où nous prenons le frais jusque tard dans la nuit allongés dans l'herbe, tenant des conversations d'hommes. Ce con de * manque de déclencher une embrouille avec 3 cailleras en trottinette parce qu'il les vise de loin avec un pointeur laser. Le genre d'habitudes contractées à Grenoble il y a plus de 20 ans, lorsque nous étions une bande de types aguerris et renseignés.
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maria03648763 · 4 years ago
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We don’t have to worry about’ nothing
Lorsqu’Eliott arriva en cours mercredi matin, il vit tout de suite Greg et Lionel, aux côtés d’Hortense et de Célia, qui discutaient avec animation, et il se maudit d’avoir permis à leurs deux groupes de se rapprocher :  
Qu’est-ce qui t’es arrivé ? Demanda Célia en apercevant Eliott. Je crois que je ne t’ai jamais vu arriver aussi tard. 
Si hier, déclara aussitôt Hortense. 
J’étais aussi en retard hier, répliqua Eliott. Mais mon réveil n’a pas sonné, c'est tout. 
Deux jours de suite ? T’es sûr que ça va ? Demanda Hortense en plongeant son regard dans celui de son ami, ayant très bien vu le coup d'œil fuyant qu’il avait échangé avec Greg. 
Tout va bien, tout va très bien, répondit Eliott en ne relevant pas les yeux vers son amie. 
T’as l’air crevé mec. La nuit a été agitée ? Demanda Lionel, un sourire grivois naissant sur son visage. 
En entendant les paroles de Lionel, Eliott roula les yeux, se retenant de cogner sa tête contre le plan de travail en face de lui ou de quitter tout de suite la salle de cours alors qu’il se rappelait du fiasco de lundi soir. Ne sachant que répondre sans montrer sa vulnérabilité, fondre en larmes ou se mettre à s’énerver contre lui-même, Eliott se contenta de reposer son regard sur le plan de travail en face de lui. Avant que Lionel ou quiconque d’autre ait eu le temps de rajouter quelque chose, la cheffe Armand entra dans la salle et Eliott bénit son arrivée. Il n’avait pas la foi de subir un interrogatoire en règle pour le moment et se sentait pathétique de ne plus oser regarder Greg dans les yeux. Malheureusement, ou heureusement pour lui, les deux hommes se retrouvèrent à des îlots différents mais toutefois peu éloignés, les forçant à avoir toujours l’autre sous les yeux. Eliott n’avait jamais ressenti la moindre difficulté à revenir vers Greg, motivé par son amour à se montrer présent pour lui quoiqu’il arrive, si bien que les deux hommes n’étaient pas restés loin de l’autre ou fâchés plus d’une journée, mais cette fois, il était empli d’une peur panique à l’idée de l’approcher à nouveau. L’ampleur de ses sentiments avait fortement grandi depuis leur premier baiser, et l’officialisation de leur relation faisait que l'histoire qui n’appartenait précédemment qu’aux deux hommes était désormais une histoire dans laquelle n’importe qui pouvait mettre son grain de sel, que ce soit pour les aider ou semer la zizanie. Lorsque Greg répondit à Hortense d’un ton hautain et méprisant alors qu’elle lui avouait savoir qu’ils n’avaient pas réussi à faire l’amour : “Oh c’est bon tout l’institut est au courant pour mes histoires de cul c’est génial. “, Eliott vit rouge. 
Tu pouvais pas la fermer  ? Dit-il sèchement à Hortense.
Puis regardant Greg, il s’exclama : 
Et toi t’étais obligé de dire ça ?! Tu fais chier ! 
Sans pouvoir le contrôler, Eliott exprima sa frustration en lançant par terre un bac rempli d’épluchures, surprenant son copain. Que Greg et ses amies soient au courant de sa situation ne le dérangeait pas, il les savait suffisamment attachés à lui pour ne pas se moquer ou faire des vannes stupides. Mais il sut dès que Greg ouvrit la bouche que, impulsif comme il était, il ne pourrait que lui rendre la situation plus difficile à vivre sans le vouloir. Et à croire que l’impulsivité de Greg commençait à déteindre sur lui, Eliott entra dans son jeu en passant ses nerfs sur ce pauvre bac d’épluchures. A peine l’eut-il vu tomber sur le sol que le bruit sembla lui remettre les idées en place et sans mot dire, il alla chercher un balai et une pelle pour les ramasser. Eliott reprit ensuite sa recette, tentant du mieux qu’il pouvait de se concentrer sur autre chose que le sentiment de peur et de honte mêlées qui l’animait. Lors des rapides coups d'œil qu’il lançait furtivement à Greg, ignorant du fait que celui-ci faisait la même chose de son côté, il lui sembla lire sur son visage les mêmes sentiments, doublés d’une forme de culpabilité. Durant tout le cours, il fut impossible pour Eliott de se concentrer pleinement sur sa recette, le conduisant à faire des erreurs stupides que la cheffe lui signala sans toutefois se montrer trop sévère.
Vous allez bien Eliott ? lui demanda-t-elle avec sollicitude avant de s’éloigner de son plan de travail. 
Oui cheffe, j’ai juste… Beaucoup de choses en tête. Mais ça ne se reproduira pas. 
Quand la cheffe ne fut plus dans son champ de vision, Eliott ne put s’empêcher de prendre sa tête entre ses mains et de frotter ses yeux avec le bout de ses doigts, comme pour se remettre les idées en place. Lorsque la cheffe Armand arriva devant l’assiette de Greg pour la goûter, elle fronça les sourcils devant le visuel du plat mais ne dit rien. Après avoir pris une bouchée, sa mimique se transforma et elle dit : 
Vous avez fait des erreurs de débutant aussi Greg. 
Oui cheffe mais ça ne se reproduira pas. 
Bien malgré lui, son regard se déporta vers Eliott avant de revenir se planter sur la cheffe Armand. Celle-ci regarda les deux hommes qui semblaient tous les deux fatigués, tristes et préoccupés avant de sourire doucement, ayant parfaitement remarqué les regards furtifs qu’ils avaient échangé tout au long de son cours. La journée s’écoula lentement tandis que les deux hommes parvenaient une journée de plus à ne pas se parler, ne sachant quoi dire à l’autre, mais échouant dans leur tentative de chasser l’autre temporairement de leur esprit. La fuite d’Eliott était dans leurs deux esprits, et celui inquiet et empli de culpabilité de Greg repassait le moment en boucle, tentant avec acharnement de comprendre ce qu’il s’était passé. Lorsqu’ils furent libérés à la fin de la journée, ils sortirent de la salle avec Lionel, Célia et Hortense qui tentaient laborieusement d’alimenter la conversation face au mutisme et au manque d’attention de leurs amis respectifs. Comme si le karma avait décidé de leur jouer un tour, ils tombèrent nez à nez avec Charlène. Celle-ci, sous prétexte de saluer Hortense, se rapprocha du groupe, posa un regard intrigué sur les deux hommes et ne put s’empêcher de cracher son venin : 
C’est quoi ces têtes de déterrés les mecs ? Première crise de couple ? 
Eliott releva la tête comme s’il ne l’avait pas entendu et allait s’éloigner quand Charlène s’exclama avec colère : 
Eh ! Je te parle boloss ! 
Oh désolé Barbie, fit mine de s’excuser Eliott, arborant un grand sourire alors qu’il se retournait vers elle, mais je ne vois pas les garces égoïstes manipulatrices. 
Greg, Lionel, Célia et Hortense échangèrent un regard stupéfait : il était si rare de voir Eliott baver sur quelqu’un que lorsque cela arrivait, le phénomène était spectaculaire. 
T’as dit quoi là ?! Demanda Charlène en avançant d’un pas menaçant vers le jeune homme. 
Tu n’as pas d’oreilles en plus de ne pas pouvoir penser à quelqu’un d’autre que toi sérieux ? Rétorqua Eliott sans se laisser démonter. 
Toutefois, une pointe de tristesse plus forte que lui traversa son regard lorsqu’il réalisa que Greg était pile derrière Charlène, dans son champ de vision. Elle, au moins, ne s’était sûrement pas enfuie alors qu’elle allait coucher avec Greg, se dit-il. Eliott secoua la tête, tentant difficilement de ne pas craquer avant de tourner les talons et de s’éloigner à grands pas. Greg avait suivi l’altercation entre son ex et son copain attentivement et cria, lorsqu’il vit Eliott s’éloigner : 
Eliott attends ! 
Les jeunes hommes s’étaient évités la veille, étaient parvenus à reproduire le phénomène le lendemain, mais Greg voulait savoir ce qu’il se passait car Eliott n’avait vraiment pas l’air dans son état normal. Il s’élança à sa poursuite et parvint finalement à l’attraper par le poignet. Lorsqu’Eliott se retourna, Greg vit que les yeux du jeune homme étaient brillants de larmes contenues. Ne sachant pas encore quoi dire, Greg se contenta de prendre le jeune homme dans ses bras et de le serrer contre lui en caressant doucement le dos. 
Eliott qu’est-ce qui t’arrive ? 
Sans lâcher le jeune homme, Greg les conduisit dans l’amphi, et une fois qu’ils furent enfin à l’abri des regards, il reprit :
C’est.. C'est à cause de moi ?  De tout à l’heure lors du cours de la cheffe Armand ? De lundi ? J’ai fait quelque chose de mal ? 
Eliott secoua la tête. 
Alors qu’est-ce qui t’arrive ? 
Face au mutisme d’Eliott, qui ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois sans parvenir à parler, Greg dit doucement : 
Eliott, regarde-moi s’il te plaît et parle-moi.  
Eliott plongea son regard dans celui de Greg et y lut tant d’amour et d’inquiétude qu’il murmura : 
Je me sens pathétique. 
Pathétique ? Parce qu’on a passé les deux derniers jours à s’éviter du mieux que l’on pouvait ? 
Par exemple, oui. Mais aussi pour m’être enfui lundi soir. J’ai paniqué. 
Paniqué ? Dit Greg en fronçant les sourcils. Mais pourquoi ? Ne me dis pas que… c’est ta première fois, souffla Greg, une lumière s’allumant enfin dans son esprit. 
Eliott hocha la tête sans parler tandis que Greg murmurait : 
Je comprends mieux. Tu avais l’air tellement sûr de toi pourtant. 
Toi aussi, répliqua Eliott, mais je pouvais sentir ta nervosité quand je suis rentré dans la chambre lundi. C’est notre première fois à tous les deux, c’est normal que l’on ne soit pas aussi à l’aise qu’on le voudrait.
De quoi as-tu eu peur ? Demanda Greg en prenant une main d’Eliott entre les siennes. 
Que tu te moques de moi, de ne pas être à la hauteur…Je pense que tu te rappelles très bien mes provocations, entre t’apprendre à sucer ou te frotter le dos et ailleurs sous la douche. Et finalement je n’ai rien fait, jamais, avec personne. En plus, c’est la première fois que tu fais l’amour avec un homme et je voulais que ce soit parfait. 
Greg sourit tendrement devant la confession d’Eliott et allait répondre quand Eliott poursuivit, soudainement intarissable : 
Quand tu as commencé à prendre les devants lundi soir, j’ai eu peur que tu ailles trop vite trop loin. Je suppose que j’avais aussi peur de ne pas réussir à te donner du plaisir, à te plaire et de ne te faire aucun effet. Je t’ai déjà confié que je te trouvais beau, mais tu ne m’as jamais dit ce qui te plaisait en moi. 
Tu as un sourire à tomber, commença Greg. Lundi, quand tu as détaché tes cheveux, j’ai cru que j’allais m’embraser sur place tellement tu étais sexy. Que dire de tes yeux ? Je ne peux pas résister à ton regard, j’ai l’impression qu’il peut lire jusqu’aux tréfonds de mon âme. Et tu embrasses magnifiquement bien. A chaque fois que tu poses tes mains sur moi, c’est comme si tu déclenchais une étincelle, et je craque encore plus quand tu passes tes mains dans mes cheveux. Je ressens tellement de choses à ton contact. Tu es magnifique Eliott, ajouta Greg en caressant doucement le visage du jeune homme. A l’intérieur comme à l’extérieur.
Quand Greg eut fini ce monologue qu’il avait tenu sans baisser la tête, son regard revenant systématiquement à Eliott, il sourit avant de reprendre : 
Et si d’aventure il t’est arrivé de craindre que je t’envoies balader ou que je me moques de toi parce que tu n’es pas encore prêt à faire l’amour, sache que… 
A ce moment-là, Greg fit une brève pause pour rassembler son courage avant de déclarer : 
Sache que je t’aime. Je t’aime Eliott, à un point tel que ça me ferait presque peur si je n’étais pas aussi heureux. Et j’ai envie de découvrir ton corps, comment te donner du plaisir, connaître la sensation de ta peau contre la mienne ou de ne faire qu’un avec toi. Mais on ira à ton rythme, sans se presser, ensemble. Je ferai tout ce que je peux pour t’aider et te mettre pleinement à l’aise. Et je serais patient.
Le jeune homme vit les yeux d’Eliott s’emplir de larmes, mais c’était des larmes de bonheur, avant que son copain ne se rue vers lui pour le prendre dans ses bras, un sourire éclatant sur les lèvres. 
Je t’aime aussi Greg, murmura Eliott à l’oreille du jeune homme. 
Pendant plusieurs minutes, les deux hommes restèrent à s’étreindre sans rien dire, savourant le simple fait d’être ensemble, d’avoir enfin discuté et de s’être avoué leurs sentiments. Quand ils relâchèrent leur étreinte, Greg embrassa doucement Eliott qui lui rendit son baiser avant de poser son front contre le sien, heureux. 
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saarbruckenpage · 6 months ago
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mollymooon · 3 years ago
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ça fait deux semaines que j’ai pas rencontré mon ami (plan cul) et il vient de me dire qu’il ne peut pas me voir ce week-end non plus. j’étais au bout de ma vie et maintenant encore plus. je suis tellement seule. j’avais l’impression de m’étouffer sans lui, il est comme un bol d’air
je vais hyper mal, je touche mon visage machinalement tout le temps, j’arrête pas de manger du popcorn tous les soirs, beaucoup trop de bouffe juste pour sentir quelque chose. je sais pas comment je vais passer encore une semaine sans lui. je le vivrais mieux si j’aurais de la beuh, ça me calme vraiment, mais j’en ai pas. et je ne peux pas acheter plus sans lui car je ne veux pas y aller toute seule
il m’a dit qu’il y a des applis de livreurs de beuh, mais ça me flippe encore plus. mais peut-être je vais craquer et essayer. c’est moins angoissant qu’y aller moi-même
mon kit de point de croix arrive demain, peut-être il me donnerait la moindre stimulation dont j’ai besoin
faire du point de croix > cul
mais non je blague rien n’est mieux que du cul mdr
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