#plaisir sexuel
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Nouvellement nommé à Bouvaine, un sexologue n'a qu'une idée en tête : offrir une vie sexuelle épanouie à tous ses patients. C'est une vérité universelle pour le docteur Sexe, qui mettra tout en œuvre pour arriver ses fins. Pendant ses consultations, il va croiser des éjaculateurs précoces, des nymphomanes en délire et des inversés sexuels. Dans cette pièce de théâtre érotique, vous découvrirez un monde étrange, où le sexe, l'érotisme, le charme et le plaisir s'en donnent à cœur joie pour le plus grand bonheur des lecteurs (et des lectrices). Du grand théâtre érotique signé Julien DORCEL ...
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Je suis un peu inquiète par la montée du puritanisme dans la sphère du RP. Ça ne devrait pas être quelque chose de surprenant, ça suit inévitablement le mouvement que l’on voit de plus en plus sur certains types de réseaux sociaux, avec une chasse au sexe, à la représentation et tout ce qui est jugé peu ou pas en lien avec les bonnes mœurs. C’est triste, car après nous être battus pour une libération sexuelle, on part dans l’effet inverse.
Je ne prêche pas pour ma paroisse, je joue très peu de smut, ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse plus que ça, mais je vois de plus en plus de comportements très sectaires de plus en plus de joueureuses. J’ai vu des gens regretter qu’il y ait autant de smut ou de fos +18, des gens faire la morale à d’autres pour vouloir jouer un certain type d’orientation sexuelle (qu’il y ait ou non idée ou sous-entendu que le personnage n’aurait pas une libido ou un rapport à la sexualité normal (et qu’est-ce que c’est qu’un rapport normal, au final ?)), j’ai vu des gens demander à ce que le RPQ soit limité à des fos privés, j’ai vu beaucoup de gens crier à la fétichisation (sans être soi-même concerné par l’identité concernée, ni réellement savoir ce qu'il en est de la personne en face), j’ai vu des gens faire des remarques déplacées lorsqu’un kink / pratique sexuelle peu courante était mentionnée à coup de « il y a des choses qu’il ne vaut mieux pas savoir », etc.
Est-ce qu’on prône la tolérance ou est-ce qu’on est en train de demander à des gens de se cacher pour avoir une libido ? Je voudrais rappeler, quand même, qu’une grande partie des créations littéraires (ou de la fanfiction) qui fonctionne contient du sexe, que ça soit uniquement grivois ou outrageusement explicite. Le désir sexuel et l’excitation est une chose normale, ne pas en avoir ou peu en avoir l’est aussi, mais c’est un mécanisme qui ne devrait pas être caché. La plupart des fos ont adopté un système de TW, de CW, de hide et de floutage pour ce genre de scènes, et il me semble que la plupart des gens respectent ces règles.
Je pense qu’il faut aussi rappeler qu’un personnage RP n’est pas une personne réelle, qui ne représente pas une situation universelle ou réelle, n’est (normalement) pas la personne derrière l’écran et n’est pas le vecteur de la morale et de l’éthique de cette même personne. On peut écrire quelque chose sans vouloir soi-même le reproduire IRL, on peut écrire quelque chose parce qu’on le fantasme IRL mais qu’on n’a pas l’occasion ou l’envie de le faire soi-même, on peut écrire quelque chose parce qu’on joue avec des poupées et que faire cette chose est un moyen de détente. On peut aussi écrire quelque chose parce que c’est un moyen pour nous de nous sentir mieux, d’explorer des mécanismes, de les comprendre, parce que certains ont besoin de revivre des scènes ou de les créer. On n’écrit pas uniquement pour écrire du juste, du bon, du réel, de la morale ou de l’éthique.
Je crois qu’il faut aussi se rappeler de temps en temps, car ça fait du bien, qu’on ne sait pas grand-chose de la personne en face. Partir du principe qu’une personne est forcément non éduquée, forcément cis hétéro, surtout sur une communauté aussi queer, qu’elle n’a aucune expérience de ce qu’elle joue ou aucune connaissance est un risque moral personnel. A vouloir chercher le mal partout, on finit par le trouver, ou pire l’imaginer. Notre expérience personnelle n’est pas universelle, l’expérience de la personne d’en face non plus, et chaque témoignage apporte de nouvelles visions, mais ne suffit pas à permettre de parler au nom de toutes les personnes. A trop voir le mal, on perd de vue le principe du RP : l’écriture et le plaisir du jeu.
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Puny God :
(Piètre Dieu)
«You really think you can impress me with what you have to oppose ?»
«A bunch of brats...»
«A brother who has lost his sparkle...»
«The shadow of myself...»
«...And a little whore.»
English (translated with Deepl) :
Drawing and inking done by me, and the gorgeous, professional and transcendent colors are by @aeryth-lc (she's talented my girl isn'it? She's talented (☆▽☆) !)
This is an extract from an as yet unwritten story about her Multiverse Manzanoverse ! Or rather, a Multiverse crossover, as Corrupted Nightmare (Kerosene to you and me) and Merciless are not part of it.
We've gone to such lengths for this single extract because it means so much to an Undertale and AU's fan, and to a Killer fan.
It was a real PLEASURE to draw him kicking Nightmare' ass !
Underverse has given our favorite characters moments to shine, to encourage us to respect them in the Fanbase. Thanks to it, Blue and Dream are more badass, Cross has been able to break free...
But there was nothing it could do for Killer for now 😭
How many times have I seen depictions of him as stupid, masochistic, sexually and literaly submissive?
I usually don't ask for reblogs, but please, we have to make Killer rebel, this character has the right to evolve 🙏 at least make your own fanarts, let's create a wave with a hashtag like #freekillersans for exemple !
In any case, here and now, it's his finest hour ✨ let's be happy for him
(aaaand if you could correct it in English to help me improve that would be great too, thank you very much 👍!)
Français :
Dessin et encrage fait par moi, et les magnifiques, professionnelles et transcendantes couleurs sont de @aeryth-lc (hein qu'elle est douée ma copine ? hein qu'elle est douée (☆▽☆) ?)
Il s'agit d'un extrait d'une histoire pas encore écrite concernant son Multivers Manzanoverse (ou plutôt un croisement de Multivers car Nightmare corrompu (Kérosène pour les intimes) et Merciless n'en font pas partie) !
Si on s'est donné tant de mal pour ce simple extrait, c'est qu'il représente énormément pour un fan d'Undertale et AU's et un fan de Killer.
C'était un véritable PLAISIR de le dessiner en train de botter le cul de Nightmare !
Underverse a offert à nos personnages préférés des moments où ils ont pu briller afin de nous inciter à les respecter au sein de la Fanbase, grâce à cette série Blue et Dream sont plus badass, Cross a pu s'émanciper...
Mais elle n'a rien pu faire pour Killer actuellement 😭
Combien de fois j'ai vu des représentations de lui stupide, masochiste, soumis sexuellement et littéralement ?
D'habitude je ne demande pas de rebloger, mais s'il vous plaît, il faut faire en sorte que Killer se rebelle, ce personnage a le droit d'évoluer 🙏 ou bien faites vos propres fanarts, créons une vague avec un hashtag genre #freekillersans par exemple
En tout cas, ici et maintenant, c'est son heure de gloire ✨ soyons heureux pour lui
Killer!Sans belongs to @/rahaf-wabas
Nightmare belongs to @/jokublog
Merciless belongs to @/Mommysnoodraw (not on Tumblr)
Shattered!Dream belongs to @/Galacii-gallery
Lux belongs to @/alainaprana
Paperjam belongs to @/7goodangel
Starway belongs to @/lunnar-chan
Aéryth and Manzanoverse belongs to @/aeryth-lc
#undertale au#nightmare sans#undertale#oc#comic#killer sans#bande dessinée#bd#killer sans fights nightmare#Killer sans vs Nightmare#freekillersans#killer kicks nightmare's ass#killer sans badass#menzanoverse#beautiful colors#shattered dream#merciless sans#paperjam#lux sans#starway#uncorrupted nightmare#self insert#killermare#nightkiller
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saga: Soumission & Domination 354
WE à la campagne-2, Nathan
Dimanche :
Messe pour ceux qui veulent c'est-à-dire les parents et Côme. Nous profitons qu'ils soient partis pour une bonne heure et demie pour nous payer un réveil sexe. La veille nous nous étions couchés avec juste un câlin soft et la chambre d'à côté aussi vu l'avertissement de la veille.
Dès que le bruit du moteur de la voiture s'éteint, nous parviennent des gémissements de la chambre des jeunes.
Ils sont trois, nous aussi et l'épisode de la veille dans la paille m'a rappelé ce qui m'excite chez les jeunes. Le temps de décider mes acolytes de faire les quelques mètres qui nous séparent et nous arrivons alors qu'ils se sucent en triangle.
Les trois corps lisses mais musclés nous font saliver (et pas que) grave. Sachant la maison vide, nous sommes nous aussi à poil. Je regarde mes comparses, ils bandent tout comme moi.
Ils sont tellement pris par le corps de leurs amis qu'aucun ne s'est aperçu de notre présence. Ce n'est que quand ils sentent des mains en trop sur leurs corps qu'ils prennent conscience que nous sommes là. La partouze de la veille fait qu'ils ne sont pas surpris ou même gênés.
Je leur dis de continuer. Je m'accapare la rondelle de Nathan, PH cette d'Enguerrand et Max se retrouve avec la langue de Ludovic à lubrifier sa rondelle.
Ils s'ouvrent comme des fleurs et ils arrivent même à laisser échapper des gémissements de plaisir sur le coté des bites qui pourtant agissent en sourdine vu comme ils s'enfoncent le bâton de plaisir de leur pote bien profondément dans leurs gorges.
Je suis le premier à enfoncer ma bite là où j'avais la langue. Enkpoté contrairement à mes deux amours qui eux peuvent y aller direct. On a beau les secouer hard, ils ne se désaccouplent pas et continuent leurs pompages façon " morts de faim ".
Je caresse le flanc et le dos de Nathan. Il reste doux et de temps en temps je l'agrippe par ses hanches pour appuyer un peu plus mes pénétrations. C'est moi qui pousse à la rotation des sodomites. Un tiers de tour, je me dékpote et encule Enguerrand, cédant ma place à Ludovic et PH entreprend Max.
Mon petit beau-frère est attendrissant et je me penche pour l'embrasser sur la joue. Il sent mes lèvres et se tourne pour me rouler une pelle qui sent un peu la bite. C'est celle de Max et elle s'agite, impatiente d'être à nouveau couverte. Je me penche un peu plus et ce sont deux bouches qui s'occupent d'elle. Et/ou d'elle et des boules associées. J'adore limer sa rondelle, peut être que l'effet " famille " amène une dimension excitante supplémentaire.
Nouveau décalage. Petite hésitation de la part de Ludovic qui se trouve à devoir enculer son frère. S'il a déjà fait l'amour à son grand frère (relire les récits du nouvel an), ce n'est qu'à côté du petit qu'il l'a déjà fait. Cela ne trouble pas Enguerrand qui lui dit d'y aller que ça lui fait plaisir. Sans forcer personne, je reste à ses côtés pour le démarrage.
Ça beau être son petit frère, il n'a pas débandé pour autant. Je lui dis qu'ils se ressemblent tellement que ça tient plus d'une masturbation qu'à une vraie relation sexuelle. Approbation de cette assertion par les 4 autres participants. Je pousse même la délicatesse à positionner le gland de Ludovic juste sur la rondelle d'Enguerrand. Là, c'est ce dernier qui d'un recul franc et décidé, s'empale sur les 19 cm fraternels.
Après ça je peux moi aussi profiter du moment et enculer Max qui commençait déjà à se refermer. En fait c'est meilleur. Son anneau s'est resserré et mon gland doit déplisser la rondelle avant de pouvoir s'enfoncer dedans. Mes mains trouvent ses tétons et sous mes doigts, ils gonflent et son cul se détend. Je peux alors m'enfoncer sans douleur pour personne. Il ne faut pas 5 minutes pour que le duo de frères s'écarte du reste du groupe.
Reconfiguration : Max et Nathan en 69. Les enculeurs restent les même. Le duo ne va pas loin. Il reste sur le matelas juste à nos côtés. Le cul de Max est délicieux mais je suis distrait par le " couple ". La simple sodo se change en sodo plus pelle. La retenue de Ludovic a disparue. Sans mettre autant de passion que dans nos rapports, je le sens bien excité. Enguerrand serre ses bras autour du cou de son frère. C'est plutôt lui qui kiffe le plus cette sodomie ! Quand arrivent les moments de juter, nous 4 nous décollons de notre partenaire et laissons nos spermes les couvrir. Par contre, à côté, ils restent collés jusqu'au bout. Enguerrand éponge la production de Ludovic et jute entre leurs abdos collés. Comble du vice, Enguerrand ramasse sons sperme, le porte à sa bouche et roule un patin à son frère qui n'est toujours pas sorti de son cul.
Mais le temps passe et une messe, c'est finalement court ! On accélère le tempo. Passage sous les douches, groupés, même si elles ne sont pas si grandes qu'au blockhaus, nous arrivons à être habillés et le coeur à 60/65 pulsations/minutes quand ils reviennent de leur obligations dominicales.
Malgré ses protestations, nous aidons tous madame à finir la préparation du déjeuner.
J'observe tout le monde pendant le repas. Pour madame, c'est comme si nous étions tous ses fils. Elle n'hésite pas à reprendre Nathan quand il met ses coudes sur la table au même titre qu'Enguerrand. Elle oblige PH à se resservir le trouvant un peu maigre !
Je le vois se retenir de soulever le bas de son polo et lui montrer ses abdos.
Monsieur est plus réservé et comme moi, analyse plus qu'il ne parle. Je le surprends même à regarder souvent son ainé. Quand son regard glisse sur ses autres fils, il n'est pas aussi pensif. Quand il se pose sur Enguerrand, j'y vois même une tendresse particulière.
C'est vrai que c'est chez lui que le changement a été le plus radical. D'écorché vif à ne pas prendre avec des pincettes, il est redevenu le gamin espiègle, content de vivre qu'il devait être auparavant.
Par rapport aux premiers repas chez eux, il ne règne plus ces tensions qui perturbaient. L'ambiance est gaie et gay aussi. Si des remarques typées " homo " nous échappent, vêtements, mode, bijoux..., les parents s'y font, après la surprise des premières sorties. D'autant plus que mes cadeaux de Noël et du nouvel an ne sont pas forcément du style maison. Courant janvier j'ai fait faire un anneau supplémentaire pour Enguerrand non prévu à l'origine, puisqu'il nous avait rejoint le premier janvier. Il a été trop content que je ne fasse pas de différence avec tous les autres.
Les habitudes de la maison seraient plutôt, au maximum, une chevalière armoriée ! C'est sûr que ma boucle d'oreille, même si les pierres que j'y accroche sont de grandes valeurs, détonne, mais je suis accepté et c'est le principal.
Il fait beau et nous prenons le café dehors. Quand les parents nous laissent, les polos volent et on s'étale sur la pelouse. Il faut profiter de ce temps pour métaboliser la vitamine D et prendre quelques couleurs par la même occasion. Enguerrand cours vite à la maison chercher de quoi protéger nos peaux et après une séance de tartinage qui en a fait bander plus d'un, nous siestons.
Nous sommes réveillés par madame venu voir si nous avions besoin de quelque chose. Elle est surprise que nous soyons tous imberbes, même son ainé qu'elle croyait assez poilu. Innocemment elle nous dit nous trouver très beaux. On abonde tous dans son sens et ça part en sucette. Petits bisous, chatouilles, poursuites et bagarres. Nos cris et chahuts font venir le mari et père. On se calme, nous renfilons nos polos et acceptons un thé avant de partir.
Au retour, je reconduis Nathan chez Julien. Max et Enguerrand restent et partirons directement au lycée demain.
Julien nous attendait avec Second. Nathan monte à sa chambre et je reste discuter quelques instants avec son employeur. Je leur résume le WE et leur dit que le rapprochement avec Max et Enguerrand à l'air de se confirmer. Ces trois-là sont resté collés pendant les 2 jours. Julien est content car le gamin mérite d'être heureux après son année pourrie chez son confrère. Non seulement c'est un gentil jeune homme mais aussi un bon apprenti, travailleur et inventif.
Comme j'entends ça, je me dis qu'il pourrait faire des extra auprès de Pablo. Quand Emma donne de grands diners, il a toujours besoin de petites mains efficaces et professionnelles. Julien connait bien Pablo et me dit que ce serait une bonne idée.
Quand Nathan redescend pour me dire au revoir, je lui soumets ma proposition. Il hésite et nous dit craindre de ne pas savoir assurer, après tout il n'est qu'apprenti charcutier/traiteur. Julien balaye ses arguments et lui dit que lui, à son âge, n'était pas aussi bon.
Quand je passe voir ma mère, je fais ma proposition à Pablo. Il n'est pas contre car souvent il ne trouve que des extra de service mais pas en cuisine. Le fait que ce soit l'apprenti de Julien le rassure sur ses compétences. Il me dit qu'il passera les voir à la boutique et qu'il me tiendra au courant.
Coup de fil quelques jours plus tard. Je me fais presque engueuler d'avoir omis de lui dire qu'en plus le petit mec était canon. Je lui demande s'il croit pouvoir l'embaucher de temps en temps. Il me dit qu'il a beaucoup échangé avec Julien, qu'il a vu le travail de son apprenti et que oui, le gamin est bon en plus d'être volontaire.
Il m'annonce que nous le verrons vite puisqu'il a décidé de le tester le WE qui vient, Emma l'ayant prévenu qu'elle avait invité une 20aine de personnes dont nous sommes. Il pourrait s'en débrouiller seul mais ça va lui permettre de voir ce que notre dernier protégé valait.
Curieux de voir Nathan travailler, j'arrive en début d'après-midi chez Emma. Cette dernière ne se fait pas d'illusion sur la raison de ma présence. On travaille quand même deux heures ensemble et elle me laisse aller en cuisine chercher le thé ! Nathan ne fait pas attention à moi, accaparé par le travail que Pablo lui a donné à faire. Je dois aller le voir et quand je lui fais un bisou sur la joue, il manque de se couper. J'ai droit non pas à un " bonjour Sasha " mais plutôt à " merde tu fais chier".
Je pars avec le plateau de thé. Avant de passer la porte, je me retourne et lui dis " ça intérêt d'être bon sinon c'est ton petit cul qui sera de la fête ".
La réponse de cet impertinent : " arrête, ça me donnerait peut être envie de rater ! ".
Je me fais mettre dehors par Pablo qui me dit qu'ils ont autre chose à faire qu'à bavarder.
PH arrive avec Ludovic à ce moment-là. Thé puis une petite tête dans la piscine avant d'aller se doucher et de passer nos costumes.
Je change mon pendentif d'oreille pour le diamant que m'a offert Emma. Avec un costume noir, c'est ce qui fait le moins excentrique. Cravates bleues, quand on sort de " notre " chambre, Emma éclate de rire. On se regarde pour voir ce qui cloche chez l'un ou chez l'autre. Les costumes sont noirs, pas de tâches, les chemises blanches sont bien repassées, les cravates sont droites, je ne vois pas ce qui cloche.
Emma nous entraine dans sa chambre et en rang d'oignon, nous voyons ce qui l'a fait rire. Trois clones ! Tant pis nous restons comme ça. Les invités devront se débrouiller avec nos têtes différentes.
Les invités arrivent. Avec Emma je les reçois. PH et Ludovic s'assurent de leur côté que personne ne se retrouve seul. Nous sommes heureux quand Henri arrive avec Kev. Cela nous promet une nuit sympathique.
Le diner est excellent et Emma ne reçoit que des compliments. L'entrée est un plat que nous avait encore jamais fait Pablo. Une espèce de pâté en croute à base de foie gras servi avec un jus de truffe, un vrai régal. La surface est croustillante alors que le foie est encore rosé à coeur. Le reste du repas est du même niveau. Les discutions portent sur l'actualité et l'économie.
Ma voisine de gauche me demande où j'ai acheté une pierre aussi pure, en parlant de mon pendentif. Quand je cite la place Vendôme elle comprend mais elle ne peut s'empêcher de me demander ce qu'en a pensé ma mère. Avec un grand sourire, je lui dis que c'est elle qui me l'a offert. Ça lui clou le bec !
Son mari ré accapare la conversation sur un sujet moins...frivole.
Au café, nous nous écartons un peu avec Kev. On a toujours beaucoup de chose à nous raconter ! Je lui explique pour Nathan qui aide Pablo. Dans ses yeux je vois briller comme de la concupiscence. Il me dit que ce sera sympa de " travailler " une nouvelle recrue.
Je n'avais pas pensé que cela pouvait tourner comme cela mais pourquoi pas. Ce n'est pas Pablo qui sera contre. J'avise discrètement Emma que nous comptions finir la nuit chez Pablo. Elle est adorable. Elle me dit que cela tombe bien ils avaient plein de choses à se dire avec Henri. Du coup je suis pressé de voir partir les invités ! Le dernier embarque sa femme vers les 1h du matin. Avec PH, Ludovic et Kev, nous entrons dans la cuisine. Pablo et Nathan sont en train de ranger.
Je m'empare d'une pile d'assiettes et vais pour la ranger. Pablo m'arrête et me dit qu'il fera ça demain. Kev le félicite pour son entrée. Comme ils disent dans les émissions culinaires, il y avait du croquant, du doux avec une pointe d'acide...
Pablo fait la révérence devant Nathan et nous dit que c'est une création de monsieur. Lui qui rougit facilement devient pivoine. Ph lui demande s'il l'a proposé à Julien. Réponse de l'intéressé, il n'avait pas osé et en plus cela demande des ingrédients très chers. Pablo me dit que ça ne l'étonne pas il avait dû le forcer pour qu'il fasse son jus de truffe plutôt qu'un simple râpé.
On laisse donc la cuisine rangée et prenant tout le monde à témoin je propose un petit bain de minuit passé. Nathan n'ose pas dire oui mais non plus non. Je le pousse devant nous. Aux abords de la piscine les vêtements volent et alors que nos deux hommes de l'art prennent une douche nous autres plongeons dans l'eau chaude du bassin. Nous ne retournerons même pas chez Pablo (son appartement au-dessus des garages) pour baiser. La partouze s'initie sur les bords de l'eau. Nathan est subjugué par les 24cm de Pablo. Je lui dis de bien le sucer car quand il va se le prendre dans le cul, faudra qu'il soit bien lubrifié. Il me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, apeuré par l'idée.
Pour le moment il commence avec Kev et ses " petits " 21cm. Pour éviter des dégâts, je prépare et assoupli sa rondelle. Quand le " travail " est bien avancé, je le laisse et avec Ludovic et PH, nous nous occupons de Pablo. Nous ne sommes pas de trop pour nous occuper de Pablo. 2 sont scotchées sur ses attributs, en pipe à deux ou un sur le gland l'autre aux boules. Le troisième oscille entre sa bouche et ses tétons.
On alterne, car chacun veut profiter des dimensions hors normes du mec. Avec un gland aussi gros que sa hampe, on a vite la bouche pleine. Heureusement il adore quand on le travaille à la langue. J'aime aussi ajouter mes dents. Puis brusquement, enfoncer le tout au fond de ma gorge. Je m'étouffe avec un effet d'excitation intense.
Alors que je m'étrangle, je sens ma rondelle lubrifiée par la langue de PH. Je me détends avant de m'assoir sur Pablo, enfin sur sa bite. J'ai préféré cette position où c'est moi qui maitrise la pénétration. Les petits cris de Nathan en train de se faire ramoner le conduit, m'excitent un peu plus et je touche brutalement les cuisses de Pablo de mes fesses. Ludovic me roule un patin et PH fait de même avec mon enculeur. Cela faisait un moment que je ne m'étais pris aussi gros dans le cul. J'ai senti passer chacun des 240 mm qui ont écarté ma rondelle. Je chevauche quelques instants mon " étalon " avant de le passer à PH. A ce moment-là je rejoins l'autre baise en cours. Nathan est chaviré par les coups de queue de Kev. Je lui roule un gros patin et je sens à la force de son roulage de pelle la plaisir qu'il y prend. Je décolle mes lèvres des siennes pour lui demander s'il était prêt pour Pablo. Dans l'ambiance, il accepte et me dit que c'est bon.
Je préviens Pablo et nous procédons à la reconfiguration des emmanchements. Nathan s'installe en levrette et Pablo arrive après avoir changé de kpote. J'attrape un flacon de poppers et lui fourre sous le nez au moment où Pablo entame la pénétration de sa rondelle. Ce n'est pas de trop et malgré cela l'enculage lui provoque quelques grimaces jusqu'à ce que Pablo soit totalement entré. Après il apprécie. Je reste à sa tête pour vérifier qu'il prend bien du plaisir et non de la douleur. Nathan me pousse jusqu'à ce que je sois assis devant lui. Là, il attrape ma queue et me pompe. Il laisse les coups de rein de Pablo rythmer sa fellation. Il est bon ce jeune, je l'avais déjà testé mais ça me confirme ses capacités et son intérêt pour le sexe. Je comprends pourquoi Max et Enguerrand lui ont mis le grappin dessus !
Nous terminons notre mini touze par des expulsions de spermes en direction de Nathan dont nous en couvrons les abdos. Il est 4h du matin quand nous regagnons nos chambres respectives.
PH, Ludovic et moi, nous nous glissons aux côtés d'Emma alors que Kev rejoint son Henri et que Nathan suit Pablo.
Jardinier
it's all about sharing Christmas
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
⚠︎ warnings : caractères sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insécurités, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
Global
l'odeur est très importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crème pour visage, et il fait toujours la tête pendant plusieurs jours à cause de ça.
dans le même thème, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est très jaloux, même s'il ne le montre pas forcément. Il est plutôt du genre à tout intérioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'à ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te défendre par toi-même, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de même, à la maison lorsque tu as un projet en tête, comme un meuble à monter ou un mur à repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la même pièce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier à te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mémoire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est même lui qui te rappelle ta soirée jeu de société avec Ororo ou même tes rendez-vous médicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mémoire, il retient juste ce qui est important à ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le câliner sur le côté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va très bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes énormément en fait et il se souvient de tous, même les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que très peu car ils veulent dire beaucoup à vos yeux. Même si bien sûr, "bub" est celui qu'il a le plus utilisé depuis votre toute première rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi énormément avec “son instinct” comme tu aimes l’appeler. Bien sûr il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problème de santé, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu réfléchis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il s’en fout. Que tu pètes ou rotes ? Il s’en fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu étais malade sur une longue période et la douleur était tellement puissante que tu n’avais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il s’en foutait totalement, tout ce qui importait était que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement à l’aise avec ce genre de sujet, qu’il t’aide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu évites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumé ce qui vous permet d'être tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats à chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa priorité, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures à te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est à toi de le plaquer contre le matelas et de le déshabiller la plupart du temps, même s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, même si tu sais très bien reconnaître les signes.
FOR AFAB : il te répète tout le temps à quel point il aime la manière dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'à ce que ton précum dégoulines sur toute ta longueur, et de même, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accélérer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hésitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour éloigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrôler et que ses griffes sortent.
de même, lorsqu'il a un sommeil agité, il se forcera à rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a déjà passé une heure entière à juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est déjà tellement dur et fermé au quotidien, la chambre est le seul endroit où il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'était le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille époque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste être avec toi. Il a carrément de l'expérience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimé le faire en public ou le dirtytalk. Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est très à l'écoute, et parfois il préfère ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tête qui te préoccupe.
de la même manière, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprécies ce qu'il te fait, là où il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq sièges, le seul et unique où tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crème ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, même s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est même lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux juré avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-être qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'était de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son âge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-père aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent très fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achète de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, même si tu trouves ça dégoûtant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, même s'il évite de te faire goûter trop souvent de peur que tu te mettes à fumer à cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évènements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là, il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colère ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent à des kilomètres et il fait tout pour te faire te sentir à l'aise. Il a même été chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionné.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'équipe occupent une place importante dans son cœur, même s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là-bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est très gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sœur à tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlé de Jean, et honnêtement, au début tu n'aimais pas vraiment parlé d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'était juste une sorte de très très gros crush mais qu'il t'a rencontré et que maintenant rien ne t'égale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux échecs avec Charles, mais tu as préféré ne pas t'en mêler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxième famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la première fois que Logan t'a amené là-bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens là, viens dans mes bras darl'
SEXUALITÉ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet état huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
° x-men masterlist
gif : @/asgardswinter
bannière : @/saradika-graphics and @/thecutestgrotto
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Les 6 règles...
Association : Spencer Reid x Lectrice
Résumé : Tu as eu de mauvaises expériences sexuelle dans le passé et alors qu'un soir vous êtes sur le point de coucher ensemble. Vous lui faîtes par des 6 règles à ne jamais franchir...
Avertissements : MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, aucune réelle scène de sexe mais évoquation de traumatises dû au sexe. Manque de confiance en soi.
Avant Spencer, vous aviez connu des relations tumultueuses. Tous les hommes avant lui vous avaient blessée, ne cherchant que le plaisir éphémère avant de s'éclipser avec des excuses toutes faites :
"Urgence familiale","Ma copine m'attend",ou encore "Nous deux, c'était juste pour s'amuser, on est d'accord ?"
Mais Spencer était différent. Cela faisait trois mois que vous sortiez ensemble, et il n’avait jamais exigé quoi que ce soit. Au début, vous aviez peur de faire quelque chose de travers. Puis il vous avait expliqué, doucement, qu’il voulait prendre son temps. Avec lui, tout semblait naturel. Vous aviez dansé et ri ensemble sous le regard amusé de Derek, et ce soir-là, en rentrant, Spencer vous avait embrassée et plaquée doucement contre la porte.Ses lèvres avaient exploré votre cou alors qu’il vous guidait vers le canapé. Il s’était allongé au-dessus de vous, ses gestes empreints d’une tendresse que vous n’aviez jamais connue. Mais alors que la passion montait, des souvenirs douloureux remontèrent à la surface. Votre corps se crispa.
Spencer s’écarta immédiatement, le regard inquiet.
— Ça va ? demanda-t-il doucement.
— Oui… pardon.Vous tentâtes de le ramener contre vous, de lui faire oublier votre hésitation, mais il resta en retrait, ses yeux débordant de tendresse et de préoccupation.
— On peut s’arrêter là si tu veux.Vous secouâtes la tête.
— Non, non… pardon. C’est juste que…Vous vous redressâtes pour lui faire face, les mots difficiles à trouver.
— Je n’ai jamais eu… de très belles expériences. Alors j’ai quelques appréhensions…Spencer sembla peiné. Il se pencha pour déposer des baisers doux sur votre front, vos joues, puis vos lèvres.
— Je peux faire quelque chose pour t’aider ? demanda-t-il doucement.
— Oui… enfin, est-ce que je peux te demander quelque chose ? Il hocha la tête, attentif, et vous laissa de l’espace, bien que son regard restât rivé sur vous.
— Il y a six choses que je… que je n’aimerais pas faire. Est-ce que tu pourrais les respecter, s’il te plaît ?
Spencer parut surpris un instant, mais il acquiesça. Il vous allongea délicatement sur le canapé, glissa un oreiller sous votre tête pour votre confort, puis se pencha à nouveau, reprenant ses baisers.
— Vas-y, je t’écoute, dit-il entre deux baisers sur votre cou.
Un peu troublée, vous osâtes murmurer :
— Pas par derrière. Et ne me retourne pas sans me prévenir, s’il te plaît.Il s’arrêta pour vous regarder.
— Je peux te demander pourquoi ?
Vous posâtes une main sur ses yeux, gênée.
— Mes exs avaient l’habitude de… me coincer. Tu comprends ?
Il ne bougea pas, respectant votre silence, et reprit doucement ses baisers sur vos joues. Vous retîntes difficilement vos larmes face à tant de délicatesse.
— Continue, ça fait une chose…
— Si tu veux une fellation, demande-moi. Ne prends pas ma tête violemment.
Ses baisers devinrent plus intenses, et il resserra doucement l’étreinte entre vos corps.
— Pas contre les murs, ajoutâtes-vous après un moment. Une fois, ma tête a violemment heurté un mur, et… il n’a même pas pris la peine de vérifier si ça allait.
Votre respiration s’accéléra sous l’effet de ses mains caressant tendrement votre taille.
— Ne tire pas mes cheveux, s’il te plaît, murmurâtes-vous, détournant légèrement la tête.Vous hésitâtes avant de continuer :
— Pas sur le sol non plus. La dernière fois ça m’a laissé des bleus horribles. Votre voix se brisa sur la dernière requête :
— Et si je te demande d’arrêter… promets-moi que tu t’arrêteras.
Spencer enleva votre main pour déposer un long baiser sur vos lèvres.
— Je te promets de respecter ces six règles, dit-il doucement. Mais je te promets aussi qu’aucun homme ne franchira ces limites.
Vous vouliez le remercier, mais les mots se perdirent dans des larmes silencieuses.
Spencer les vit aussitôt et vous serra tendrement dans ses bras, ses lèvres déposant encore des baisers doux sur votre visage.
— Merci, Spencer. Je t’aime tellement.
— Tu mérites le meilleur, répondit-il. Je t’aime aussi.
Cette nuit-là, vous vous endormîtes dans ses bras, sans qu’il ne relâche son étreinte, comme pour vous protéger de tous les souvenirs passés.
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Tu es Gay ?
J'étais étudiant et mon éducation avec ma soeur et Christine m'avait permis de goûter tous les plaisirs des deux sexes. J'avais eu le plaisir de faire l'amour avec Christine à quelques reprises lors de nos jeux de l'après-midi, sur leur demande à toutes les deux. Mais… Je n'avais pas encore eu de relation sexuelle avec une fille en dehors de notre cercle intime. L'occasion s'est présentée avec ma première chérie, rencontrée à l'Université. Le souci, vous vous en doutez, était que sous mes dehors de garçon "normal", j'étais plutôt féminin. Dans l'armoire de ma chambre d'étudiant, il y avait peut être deux ou trois slips de garçon mais ils étaient perdus au millieu des petites culottes, des petites jupes et robes, des collants et de mes nuisettes ! J'avais presque autant de vêtements de fille que de garçon et beaucoup plus de lingerie. C'est dans ce cadre, en fin de soirée, que j'ai reçu ma première chérie dans ma chambre. Je ne lui avais rien dit par peur de la moquerie (j'y avais déjà eu droit à la piscine) et j'avais un peu honte aussi. C'est lorsqu'elle a déboutonné mon jean qu'elle a eu la surprise. Elle a découvert une culotte de coton blanc décorée de dentelle et de petites fleurs qui couvrait mon sexe presqu'entièrement épilé. Elle a eu un petit mouvement de recul et elle m'a dit : " Tu es gay !" Non, bien sûr que non ! J'aime trop les filles et j'aime me sentir bien dans mes dessous ! lui ai-je répondu. Craignant qu'elle parte, je lui ai demandé de m'écouter et je lui ai raconté mon histoire, mes apprentissages… ma vie cachée. Cela a pris un peu de temps et peu à peu elle s'est rapprochée de moi et elle a repris son exploration de mon jean. Nous avons ensuite fait l'amour et je pense que je lui ai donné du plaisir. Mes enseignements reçus de ma soeur et Christine m'ont permis de savoir comment m'y prendre. Nous sommes restés ensemble ensuite pendant quelques semaines nous avons partagé beaucoup de choses, à commencer par mes culottes qu'elle adorait m'emprunter !
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You're gay!
I was a student and my education with my sister and Christine had allowed me to taste all the pleasures of both sexes. I had had the pleasure of making love with Christine a few times during our afternoon games, at their request. But… I had not yet had sexual relations with a girl outside our intimate circle. The opportunity arose with my first sweetheart, whom I met at the University. The problem, as you can imagine, was that under my "normal" boy exterior, I was rather feminine. In the wardrobe of my student room, there were perhaps two or three pairs of boy's briefs but they were lost in the middle of the panties, the little skirts and dresses, the tights and my nighties! I had almost as many girls' clothes as boys' clothes and much more lingerie. It was in this context, at the end of the evening, that I received my first sweetheart in my room. I hadn't told her anything for fear of being mocked (I had already been mocked at the swimming pool) and I was a little ashamed too. It was when she unbuttoned my jeans that she was surprised. She discovered a pair of white cotton panties decorated with lace and little flowers that covered my almost entirely shaved sex. She took a step back and said to me: "You're gay!"
No, of course not! I like girls too much and I like feeling good in my underwear! I answered her. Fearing that she would leave, I asked her to listen to me and I told her my story, what I had learned… my hidden life. It took a little time and little by little she got closer to me and she resumed her exploration of my jeans. We then made love and I think I gave her pleasure. My lessons from my sister and Christine allowed me to know how to do it. We stayed together for a few weeks and shared a lot of things, starting with my panties that she loved to borrow!
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Je voulais réagir là où ça été soulevé récemment mais un poste à part entière me semble finalement plus pertinent.
Quand on vient à parler de sexualité, de la jouer ou non en rp, et comment, il revient toujours à un moment donné dans la conversation des contre-arguments fallacieux. Et ici je voudrais parler de l’inceste.
Et il n’y a pas d’autres façon de le dire que :
L’inceste ne peut pas être une sexualité ou un acte sexuel consenti.
On peut se cacher derrière le fait de parler d’adultes consentants quand on parle d’inceste, mais les modalités mêmes de l’inceste et de son existence empêchent toute notion de consentement. Il existe des ouvrages, des podcasts et des émissions qui détaillent avec précision tous les mécanismes de l’inceste, aussi je vais me contenter d’énoncer brièvement et sans développer :
Que l’on soit enfants ou adultes, les modalités qui permettent à l’inceste d’exister et de perdurer sont la violence (physique ou psychique), la manipulation, le secret et le silence. C’est la culture du silence qui permet à l’inceste de perdurer et qui permet l’emprise. L’inceste, c’est de la violence, de l’abus de pouvoir, une agression sexuelle, du viol.
On ne peut pas parler d’amour dans l’inceste. C’est une relation de pouvoir, de domination (au sens sociologique du terme), c’est quelqu’un (le plus souvent un aîné) qui profite de quelqu’un d’autre de plus vulnérable que lui, un régime de terreur, d’écrasement et de silence imposé par l’incesteur à l’incesté. Les modalités de l’inceste entretiennent la confusion avec l’amour.
Dans une telle configuration, il ne peut pas y avoir de consentement. On ne peut pas associer l’inceste à une sexualité réfléchie et consentie (la sexualité est de l’amour, du plaisir, du consentement, ...).
Pour en revenir au RP : on peut jouer des configurations de relations toxiques, chacun·e trace la limite avec ses partenaires. J’entends et je vois parfaitement l’effet cathartique de jouer et d'interpréter ces dynamiques. J’ai pas envie de faire la police des mœurs, chacun trace sa propre ligne de ce qui lui semble éthique ou moral à jouer. Mais si on s’engage dans ce genre de jeu avec des relations toxiques, que ça soit de l’inceste ou autre, on ne peut pas nier la réalité ; on ne peut pas romantiser, il faut voir comme elles sont : des relations toxiques et néfastes.
On peut aussi se poser la question des motivations à jouer de l’inceste et avoir en tête que le mythe de l’inceste heureux envahit la (pop)culture : GOT, The Borgias, Twin Peaks, House of Dragon, Gainsbourg, Dexter… Ce sont des représentations fantasmées et faussées, qui reprennent les codes de brouillage de l’inceste entre amour et abus. (A ce sujet, je conseille vraiment de lire Dussy, qui explique comme même dans la façon de parler de l’inceste on utilise le vocabulaire de l’affection et de l’amour.)
Si vous voulez vous documenter sur le sujet, je vous conseille :
BEDEAU, Johanna et CIBOULET, Marie-Laure, « L’Inceste », LSD, la série documentaire, France Culture
BIENAIMÉ, Charlotte, « Inceste et pédocriminalité : la loi du silence », Un podcast à soi (podcast)
BREY, Iris et al. - Culture de l’inceste
DROUAR, Juliet - La culture de l’inceste (article médiapart)
DUSSY, Dorothée- Le berceau des dominations, anthropologie de l’inceste
https://facealinceste.fr/
https://incestearevi.org/
KOUCHNER, Camille - La familia Grande
MCDANIELS, Tiffany - Betty
PUDLOWSKI, Charlotte - Ou peut-être une nuit (+ version podcast)
ROJZMAN, Théa - Grand silence
SINNO, Neige - Triste Tigre
TUAILLON, Victoire - La loi de l’inceste (podcast)
TUAILLON, Victoire Qui sont les incesteurs (podcast)
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi.
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dress��e sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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saga: Soumission & Domination 349
Florian préparation 1er contrat (suite), contrat
Dimanche :
Je me réveille en premier. Je visionne en hyper rapide la nuit dans la chambre d'à côté. Rien, ils n'ont fait que dormir mais quand je vois comme nous avons écrasé nous aussi ça ne m'étonne pas.
J'attends mes dormeurs puis décide que c'est suffisant. Je tire doucement la couette qui les recouvre et je les admire. Ils sont beaux dans le sommeil. Instinctivement après mon départ, ils se sont rapprochés et dorment enlacés. La jambe de PH recouvre celles de Ludovic et la tête de ce dernier est collée sur son épaule. Je leur laisse encore quelques instants puis me coule vers eux. Ma langue remonte du gros orteil de Ludo à son aine juste interrompu par le détour de la cuisse de PH.
Son sexe est plus gros qu'au repos mais pas franchement bandé non plus. Sans poser ma tête sur lui, je sors ma langue et vient titiller le bout de gland laissé apparent par son prépuce. Pas de réaction, je m'enhardi. Avec mes lèvres je repousse cette peau et peut ainsi prendre le gland entier dans ma bouche. Je me contente de ça. Je salive puis tourne ma langue dessus. Je dois bientôt reculer ma tête car mon Ludovic se met à vraiment bander. Il gémit. Je le regarde persuadé de l'avoir réveiller mais non. Il doit faire un rêve érotique. Je prends moins de précaution et ça fini par le vraiment le réveiller. Sa main se pose sur ma tête et d'une légère pression m'indique qu'il souhaite plus. Je me penche plus et m'enfonce son gland dans ma gorge. Il m'étouffe, ça me fait bander encore plus.
Ça fait un peu comme le jeu du foulard mais par la face interne. L'étouffement provoque une décharge d'hormones qui booste mon excitation. Je ne me tue pas pour autant et pompe mon mec comme un affamé. Il ne bouge pas pour ne pas réveiller PH mais quand il explose, ses spasmes le secouent et ce dernier ouvre les yeux. Ses premiers mots sont pour nous traiter d'obsédés sexuels.
Ça lui vaut une immobilisation complète et un abus de son corps. Sa bite trouve la bouche de Ludovic comme capuchon et sa rondelle sert d'étui à la mienne. Sur l'écran qui est toujours branché sur la chambre d'à côté, je vois que nos jeunes se sont réveillés aussi avec une libido encore plus alerte. Eux aussi se donnent un peu de plaisir avant le petit déjeuner. J'explose au fond de PH et lui, remplit la gueule de Ludovic qui vient partager avec nous. Trop bon !
On sort de nos chambres en même temps. Embrassades, et on monte au 4ème. Petit déjeuner puis la matinée se passe à travailler nos cours. J'aide Romain en français et nous bossons jusqu'au déjeuner.
L'après-midi je reprends en main la préparation de Florian mais ce coup-ci, seul je le travail au sous-sol. On commence par un passage à la douche interne. Il connait pas mais il aime bien, enfin pas la première fois mais après ça été mieux. Je décide d'en faire autant. Une fois bien propres, j'installe un gode de 25x6.5 sur la selle spéciale et après avoir bien graissé le trou de Florian, je le fais s'assoir dessus. Il y va à son rythme mais doucement il se le prend en entier. Je l'encourage, le flatte, lui fais sniffer un peu de poppers quand il me le demande et sa chevauchée prend des allures de grand prix de l'arc de triomphe. Je l'arrête avant qu'il ne jouisse, j'ai bien l'intention de profiter de ses 7cm de diamètre ! Je m'installe sur le sling et lui demande de me travailler l'anus. Il fait ça bien. Je me gaze à fond en prévision de sa large pine. Quand il me pénètre c'est une véritable défonce avec un grand D. Des 7 de diamètre, j'en ai connu qu'avec mes clients. Mais non suis-je bête, un des lads de Bordeaux en a une de 26x7 mais ça va faire depuis le nouvel an que je m'en suis quand même pas pris une pareille. Il n'est monté que de 18 de long mais ça me va quand même. Ses coups de rein un peu désordonnés au début font place à un rythme bien efficace. Je sniffe à nouveau mon flacon de poppers et mes mains posées sur ses fesses, j'augmente sa cadence de pilonnage. Il butte une fois de trop sur ma prostate et j'explose m'envoyant du sperme jusque dans mes yeux. Il décule vite et je ressens un bref coup de frais avant que ma rondelle se referme. On se calme 1/4 d'heure et je termine sa formation express. Il prend ma place sur le cuir suspendu et je le défonce au gode de la taille juste inférieure à son client. Je rebande, quelle forme ! Du coup je sors le monstre de son cul et lui en enfile un autre très raisonnable. Il ne comprend pas tant que je n'ai pas ajouté ma bite au morceau de plastique. Je le sodomise jusqu'à ce qu'il jute et il résiste bien même après m'avoir limé le cul.
Le client sera content, il ne lui explosera pas en 5mn ! Quand nous en avons fini, une bonne douche fait disparaitre les " salissures ". Un jet d'eau froide sur nos rondelles accélère le processus de rétraction. Retour au 4ème. Les autres nous attendaient pour une bière. Leurs dernières heures studieuses les avaient soulés.
Après diner je reconduis Florian au pensionnat. Quand il sort de la SLS c'est pour tomber sur un de ses potes qui rentrait aussi. Je ne m'éternise pas. Il m'appelle une heure plus tard pour me dire qu'il est grand temps qu'il quitte le lycée, il a dû expliquer pourquoi il revenait en MERCEDES, qui était le mec au volant etc. Il m'a dit qu'il était désolé mais qu'il m'avait fait passer pour un de ses cousins mais qu'il n'est pas sûr que ses détracteurs l'aient cru ! Je ris, le rassure que ce n'est pas grave puisqu'il y avait peu de risque que je croise ses copains de promo.
Le contrat :
Pour rappel le client est black 50ans dans les 1m80 entretenu question tour de taille et surtout une bite de 26x7. Soit le même diamètre que la queue de Florian mais 8cm plus longue. Il y va avec son scooter équipé cuir de la tête au pied. Ça lui donne un look racaille qui va avec son parlé un peu basique encore.
Rapport de Florian :
Je suis un peu stressé. Sasha a eu beau me préparer la rondelle avec les habitants du blockhaus le WE dernier, j'ai un peu les foies. Sasha m'a mis au parfum, le client est monté comme moi avec 8cm de plus en longueur. Jamais encore vu ça en réel. Le scooter 3 roues est génial. Je me fais plaisir à faire des accélérations qui sèchent même les caisses qui attendent comme moi le feu vert. Daniel le mec à qui Sasha m'a envoyé n'a pas voulu me dire le montant de la dépense mais je pense que ça du couter un max. Que des marques, du cuir et le casque est trop kiffant. Il me fait une tête de robot. Les 7 heures de formation entre les pattes de son pote Éric se sont bien passé mais le mec est sévèrement burné ! Sa combinaison de moto fait une coque énorme en haut de ses cuisses. J'aurais bien aimé tâter le morceau mais je veux pas faire honte à Sasha avec un comportement qui va pas. Bon je reviens à mes moutons ou plutôt au loup qui m'attend moi pôvre petit agneau innocent ! Je sonne au portail d'une grande maison particulière. Je dois ôter mon casque pour qu'il me voie à la vidéo. Le portail s'ouvre tout seul et je pousse jusqu'aux marches de l'entrée. Il m'attend en haut. Je suis pas grand mais en contre plongée, il fait géant. Quand je le rejoins je vois qu'il fait bien 15 à 20cm de plus que moi. Il m'accueille gentiment. L'entrée doit faire la moitié de la maison de mes parents ! Il me demande de me " défaire de ma carapace ". Je pose le casque sur une tablette, retire mon blouson. Le fait que je paraisse en marcel (c'est un Léotard) dessous à l'air de lui plaire. Je quitte mes chaussures montantes et fait tomber le pantalon. Je suis en fuseau de gymnastique (sokol), moulant mes jambes et surtout mes fesses rondes. J'en ai choisi un trop petit qui me rentre bien dans la raie des fesses.
Il a devant lui le parfait petit gymnaste en tenue classique du travail aux anneaux. Et à ce que je vois se développer dans son pantalon, ça le fait kiffer grave. Ça déforme le tissu, et je vois le gland descendre vers son genou gauche. J'en étais hypnotisé au point que c'est lui qui m'a rappelé à la réalité. Il me demande de le suivre. On monte l'escalier et on entre dans une grande chambre avec un lit en cage. Un baldaquin je crois mais réalisé en tube. Le plafond est à plus de 3m et je note que je dois pouvoir faire de la barre fixe si le support est solide. Je me lance, au pire je m'étale sue le matelas.
Je saute et attrape la barre au-dessus du pied de lit. Elle résiste et quand je la teste en me balançant un peu, je vois qu'elle est solidement fixée. Je m'échauffe avec quelques mouvements sous la barre avant de me lancer dans un tour complet. Aie ! J'ai pas mes maniques ! Je relâche et tombe le dos sur le grand lit. Je n'ai pas fait attention mais il s'est déshabillé pendant ma petite exhibition. Sur le dos je le vois à l'envers mais il est impressionnant. Le noir est très noir et sa bite un vrai monstre. Il me tire par les épaules vers le bord du lit et quand ma tête est en dehors du matelas, il m'ouvre la bouche et enfonce son pieu. Il bute sur ma glotte et me dis de respirer un grand coup. J'obéi et il me défonce la gorge ! Il se retire et me fait le coup plusieurs fois sa bite devient de plus en plus raide, dure et droite. Quand il bande à fond, avec tout ma bonne volonté j'en laisse bien 4 cm dehors !
Alors qu'il me baise la bouche je tente de me déshabiller. Il m'arrête aussitôt. Il veut me baiser en tenue. J'avais pas pensé à ça mais ça va me la saloper grave et je me vois pas la ramener pleine de sperme à ma mère ! Tant pis ! Il cesse de me détruire la gorge et me retourne comme une crêpe. Mes 70Kg ne semblent pas peser entre ses bras. Il me roule un patin. Sa langue est proportionnée à sa bite, elle envahi ma bouche. Puis il se met à me lécher le corps, enfin les parties nues, cou, trapèzes, épaules, aisselles. Puis il attrape le haut de mon Léotard et le déchire jusqu'au Sokol. Merde ! C'était le plus correct de mes Léotards. Les autres sont soit trop petits soit usés.
Il continu le massacre et je me retrouve à poil, mes vêtements en lambeaux ! Je n'ai pas le temps de pleurer dessus qu'il attrape mes jambes, et les tire vers le haut jusqu'à ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Je pose mes mains au sol et assure l'équilibre. Je le sais actif, j'écarte donc les jambes pour lui présenter mon cul. Il devait attendre ça car il s'est aussitôt penché et direct m'a léché la rondelle. Pour le fun je lui fais un grand écart mais je ne crois pas qu'il s'en soit aperçu. Par contre moi je me rends bien compte qu'il travaille avec sa langue. Si tout à l'heure elle me remplissait la bouche à en vomir, là, elle pointe ma rondelle et la pénètre de quelques cm. Trop bon ! Je redresse mes jambes et emprisonne (gentiment) sa tête entre mes cuisses. Ça repose mes fessiers. Je sens sa salive couler dans mon trou. Mais le temps passe et de rester la tête en bas, je commence à avoir des éblouissements. En appuis de mes jambes sur ses épaules, je me cambre, lentement pour qu'il ait le temps de contrebalancer mon poids. Je m'étale le ventre sur le lit mais reste les reins creusés pour lui signifier que ce n'était qu'un changement de position, pas un refus de me faire bouffer l'oignon.
D'ailleurs il me suit la langue toujours enfoncée dans mon trou. Après peut être 15mn de bouffage de rondelle, il les redresse, pose une de ses mains sur mon dos pour m'immobiliser et j'entends qu'avec l'autre, il se kpote. Quand c'est fait, ses mains agrippent mes hanches et il me tire au bord du lit. Les pieds au sol, j'écarte bien les jambes pour dégager le passage. Il ajoute une dose de gel maousse sur mon cul et s'enfonce dedans.
Merci Sasha pour la préparation sinon il m'aurait fendu en deux. En attendant il ne s'arrête qu'avec ses couilles collées aux miennes, incapable d'en rentrer plus. Moi ça me coupe le souffle. Je sens son gros gland en moi c'est impressionnant comme sensation. Il pousse mes boyaux. Je le laisse un moment me limer la rondelle dans cette position puis me dis qu'il doit en vouloir plus d'un gymnaste. C'est pour ça qu'il s'était battu avec l'autre mec pour m'avoir. Je bascule le buste sur le côté et gardant mes jambes bien à l'équerre, je me retrouve sur le dos, mes chevilles sur ses épaules. Lentement je contracte mes abdos (ce qui fait que je sens encore plus sa grosse bite en moi), pose mes mains derrière son cou et me colle à lui (enfin à mes jambes surtout). Je tends alors les bras vers la traverse du baldaquin et m'accroche à elle. Là, j'utilise la force de mes bras pour monter et descendre sur sa bite. Ça le fait car il cesse de me soutenir les fesses et ses mains caressent mes biceps qui gonflent sous l'effort.
Il me décroche de la barre et me pose dos sur le lit. Son corps recouvre le mien et à part mes épaules qui dépassent sur le côté, je dois disparaitre sous son corps. Sa bite elle est bien restée tout le temps dans mon cul. Puis il attrape des menottes à chaque pilier de coin et je me retrouve enchaîné façon écartèlement comme on en voit dans les fils d'époque. Ce qui me surprend c'est quand il actionne un mécanisme qui tends les chaines puis qui me soulève. Ma ceinture abdominale est sollicitée un max pour pouvoir rester à l'horizontal. Absorbé par ce qu'il me faisait, je n'avais pas noté que je bandais ferme moi aussi. C'est quand il s'est mis à me sucer la bite que je me suis rappelé que j'avais aussi un engin de plaisir devant. Quand il sent que les abdos fatiguent (tremblements importants), il actionne à nouveau son truc et les chaines se rejoignent sur les côtés me pliant en 2 mais bras et jambes écartés. Là il se remet à m'enculer non sans avoir remis une couche de gel. Il ne s'arrêtera plus avant d'avoir juter des litres dans sa kpote. Il m'a fait jouir quelques minutes avant, ça doit être les spasmes de ma rondelle qui ont raison de sa résistance.
Il me décroche et je tombe sur le lit un peu scié par ce qu'il vient de m'infliger. J'étale mon sperme sur mon torse pour pas qu'il coule sur le lit et reprend mon souffle. Le client se dékpote et me montre le résultat de ma prestation. Quand je dis des litres j'exagère mais la quantité qu'il y a, j'avais encore jamais vu ça. Il la jette et me rejoint sur le lit. Il passe son bras sous mon cou, se mets sur le côté et sa main libre vient parcourir mon corps. Elle suit les contours de mes muscles. Il ramasse avec ses doigts mon sperme éparpillé et l'apporte à ma bouche. J'hésite mais après tout c'est le mien et je lui lèche les doigts. Putain que ça doit faire " salope " !
Je bascule sur lui, le repoussant sur le dos et comme un jeune chiot sur un adulte, je cale ma tête en haut de son pec et ma bite trouve place sur son nombril. Il me laisse un moment comme ça. On récupère doucement à la limite de s'endormir. C'est le cas même puisque je me réveille quand il me plonge dans sa baignoire. Un machin immense où il peut se mettre avec moi. Je me laisse faire. Il me lave, c'est bon même si c'est un peu infantilisant. Quand je veux faire pareil, il m'en empêche et je ne fais que le regarder. Séchages, retour dans la chambre. Je ramasse les restes de ma tenue de sport et j'ai dû faire une tête bizarre puisqu'il me dit de ne pas m'en faire. Il en a de bonne ! C'est pas lui qui va devoir en acheter une nouvelle tenue complète. Il me laisse seul alors que je me dis que je vais avoir un peu froid à poil (que je n'ai pas) dans mes cuirs, les seules choses récupérables étaient mes chaussettes. Et vue l'heure avancée de la nuit, ça va cailler ! Il revient avec un grand sac et me dit que c'est pour moi. Je suis surpris mais j'ouvre. Plein de tissus synthétiques, je tire dessus et je sors une bonne demi-douzaine de léotards, pareil de sokol et même de short. Il éclate de rire et me dit que je n'avais quand même pas cru qu'il allait détruire mes vêtements sans les remplacer quand même !
Je suis gêné c'est exactement ce que j'avais pensé. Je les regarde tous. C'est la marque de l'équipe de France. Il me dit de les essayer. Je tombe mon pantalon en cuir et passe les vêtements. Ils sont tous à ma taille et les imprimés qu'il a choisis pour les léotards sont top. Quand je me retourne pour le questionner, il me devance et me dit qu'il avait eu mes tailles par Sasha. Je suis trop content, je commençais à être juste question équipements. Dans le fond du sac je trouve encore plusieurs paires de maniques avec attaches différentes. Je ne sais comment le remercier. Je me colle à lui, tends mes lèvres pour une pelle bien sentie et commence à me frotter contre son sexe. Il me repousse et me dit que j'en ai déjà fait bien assez pour cette fois. C'est vrai que ça va faire 6h qu'on est ensemble. J'ai dû oublier de décrire quelques positions Oups !
Je me choisis l'ensemble que je kiffe le plus avant de remettre mes cuirs. Il me tend une sacoche dans lequel il a mis les autres vêtements. Je ne dis plus rien et accepte ce nouveau cadeau. En plus en cuir, c'est raccord avec le reste. Il s'habille et m'accompagne jusqu'au portail. Je rentre directe au blockhaus. Sasha m'a réservé une chambre au premier et il veut me voir dans quelques heures puisque le matin est déjà là !
Je trouve un mot sur la porte du bureau de Sasha avec mon nom dessus. Il me dit juste de dormir tout ce que je veux ce matin (samedi) et de monter au 4ème pour le petit déjeuner.
Trop content de mon cadeau, je m'endors dedans.
Jardinier
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If Erik Lehnsherr/Magneto was your partner english version here
note : GN!reader et quelque peu de sub!erik
⚠︎ warnings : caractères sexuels (soumission, kink), insécurités, décès
1 470 mots
Global
il a besoin de contact physique et dans n'importe quelle situation. Lorsque vous sortez, il vient souvent t'enlacer sans raison apparente, juste pour te sentir contre lui. En public il doit toujours avoir sa main sur toi, que ce soit ta cuisse, ton épaule, ta main, ton genoux ou même juste ton bras, il faut qu'il ait un contact avec toi. Tu as mis du temps à t'habituer complètement à ses câlins surprises, mais maintenant c'est même toi qui va le rassurer en prenant sa main.
vous ressemblez un peu à un vieux couple : vous sortez vous promener dans la forêt, vous restez quelquefois une semaine entière juste tous les deux chez vous, vous ramassez des pommes de pins. Mais vous êtes comme ça, et vous adorez l'être.
vous habitez loin de la ville, dans une forêt, et grâce à ça vous passez beaucoup de temps dehors à juste regarder la nature vivre autour de vous.
c'était inattendu mais tu as remarqué qu'il avait un corps assez frais. Il n'est pas le genre à te servir de chauffage en hiver par exemple, c'est plutôt toi qui peut prendre cette fonction. Par contre en été c'est assez pratique, ses mains sont toujours froides.
Petites choses du quotidien
lorsqu'il te prend dans les bras il te berce toujours contre lui, que vous soyez debout ou allongés.
de la même manière il passe constamment la main dans tes cheveux, sans forcément les caresser, juste pour sentir la douceur de ces derniers entre ses doigts. Il s'endort d'ailleurs très souvent comme ça, la main dans tes cheveux.
tu aimes beaucoup faire des bouquets de fleurs sauvages, parfois tu les offre à Érik, parfois tu les mets juste dans un joli vase chez vous.
à son tour, il aime beaucoup ramasser des feuilles ou pommes de pin dans la forêt pour après te les montrer et les mettre dans des bocaux, pour faire de la décoration.
tu gardes toujours une bague, un bracelet ou un collier sur toi pour qu'il puisse t'attirer contre lui s'il en a le besoin, et il le fait plus que souvent.
parfois lorsqu'il a du mal à te dire quelque chose alors il va te le dire en allemand, et à cause de ça tu as dû apprendre quelques bases de cette langue. Lors de vos premières années ensemble, il te disait qu'il t'aimait seulement en allemand, car c'était encore trop dur pour lui de le dire autrement.
Vie sexuelle
il n'a pas une libido d'adolescent, en fait il est même assez rarement le premier à engager l'acte. Il t'admire énormément, il a littéralement des coeurs dans les yeux lorsqu'il voit ton corps mais c'est quelque chose de plus profond qu'une excitation sexuelle, il trouve vraiment ton corps magnifique, tellement qu'il veut juste l'admirer en premier et qu'après oui peut-être il aura une érection naissante.
il a tout de même des envies, elles sont juste moins fréquentes que toi.
quelquefois tu vas le regarder avec ces yeux et il comprend immédiatement le message, mais ça ne veut pas dire qu'il a toujours envie, c'est variable en fait.
tu respectes toujours ça. S'il n'a pas envie, il n'a pas envie et c'est tout.
mais il sait aussi que son excitation peut monter avec un peu de temps, et dans ces moments-là tu es toujours là pour l'aider à se sentir à l'aise et en confiance.
c'est aussi pour cela que vous passez beaucoup, beaucoup, de temps sur les préliminaires. Il a besoin de prendre son temps pour être pleinement présent et aussi excité que toi. Mais honnêtement, ça te va. Grâce à ça tu as repris goût aux préliminaires qui été un peu négligés dans tes relations précédentes.
il arrive que tu te fasses plaisir par toi-même, et il a toujours un grand sourire aux lèvres en entendant tes gémissements depuis l'autre bout de la maison. Parfois il toque même à la porte et glisse un petit "je peux te rejoindre ?".
à ton tour, tu lui as appris quelque chose : la masturbation. Ça peut paraître simplet à dire comme ça, mais il n'a jamais pris le temps de le faire, ou s'il le faisait c'était juste mécanique mais jamais pour lui. Alors tu lui as expliqué de nombreuses choses et petit à petit vous avez réintroduit ce plaisir dans sa vie.
peut-être que c'est dû à la mort prématurée de sa mère, ou à son besoin de toujours tout contrôler, mais il a un petit fantasme pour la soumission. Tu l'as remarqué pour la première fois lorsque tu lui as demandé/ordonné de te regarder dans les yeux pendant qu'il venait sur toi. Depuis, tu t'amuses à le menotter au lit (pauvre menottes en fer qui ont fini ratatinées), lui mettre la main sur la gorge ou attraper son visage entre deux doigts, et même toi tu aimes beaucoup ça.
il a assez peu de pénétrations dans vos moments intimes, du moins pénétration "traditionnelle", mais Érik peut te faire jouir de nombreuses fois juste avec ses doigts, il a un peu un don pour ça d'après toi. Tu aimes aussi beaucoup garder tes sous-vêtements et le sentir à travers, c'est encore plus excitant pour vous deux.
Entourage
il ne lui reste plus personne à part toi, et quand tu essaies de lui parler de Charles il se ferme tout de suite.
tu sais qu'il a une grande amitié avec Charles Xavier et tu as essayé pendant longtemps de les raffistoler mais même toi tu sens que la situation est trop compliquée. De ce que t'as dit Érik, lui et Charles n'ont fait que de se réconcilier pour mieux se disputer pendant plusieurs années.
tu as déjà rencontré Raven, ou Mystique, comme elle préfère être appelée. Honnêtement vous pourriez bien vous entendre, mais elle est un peu distante envers toi, et envers tout le monde en général. Malgré ça elle envoie souvent des lettres chez vous, et parfois Érik dit la voir dans la rue, même si toi tu ne vois personne, ou justement trop de monde.
vous n'avez pas vraiment d'amis, donc pas de soirée le samedi soir ou restaurants, du moins pas avec des gens, juste vous deux et ça vous va très bien.
Vulnérabilité
il a des phases où il devient très froid et distant. Dans ces moments-là, tu sais qu'il vaut mieux ne pas essayer de forcer les choses au risque de la braquer davantage.
il a constamment peur de te perdre, de ne pas te protéger suffisamment, et parfois cette peur est plus forte que certains jours alors dans ces cas-là il est persuadé qu'il vaut mieux qu'il te quitte et qu'il parte. Au début, tu as eu beaucoup de mal avec ça, tu avais des difficultés à lui refaire confiance après cette phase paranoïaque, mais le temps a apaisé les choses. Il lui arrive encore d'y penser, de penser à partir pour te protéger de tout potentiel danger qu'il pourrait attirer, mais maintenant il essaie de t'en parler au lieu de psychoter tout seul dans son coin.
tu as appris à utiliser les bons mots pour le rassurer, et surtout à bannir certains mots.
mais il n'est pas le seul à avoir des moments difficiles, il t'arrive aussi d'imaginer le pire ou d'être simplement à plat. À son tour, il est là pour toi comme tu l'es pour lui. Souvent il sait que tu n'as pas envie de parler alors il te forcera à rien, il restera juste avec toi, une main sur ton corps pour te montrer qu'il ne part pas.
Phrases typiquement Érik
À quoi tu penses ?
Fais attention/Ne te brûle pas/Doucement quand tu te lèves/Laisse-moi le faire ok ?
Ça m'a fait penser à toi
Ich liebe dich bärchen
Je veux juste te protéger, tu es si agréable, beaucoup trop pour ce monde
Je ne suis pas cruel mon coeur, simplement réaliste. Regarde autour de toi, des enfants sont tués pour leurs simples ADN, alors pourquoi je devrais être compréhensif envers leurs meurtriers ?
Je ne ferais rien que tu n'acceptes pas
SEXUALITÉ
Je devrais te mettre des fils de fer aux chevilles pour pouvoir contrôler ton joli corps mein schatz
Tu vas encore venir n'est-ce pas ? Oh sweetie ne me regarde pas avec ces yeux-là, tu sais que tu as tout ce que tu veux
Tu savais que ta peau avait un goût sucré ? Non ? Maintenant tu le sais, mein süßes lieblingsdessert
Darling, tu sais que je pourrais briser ces menottes en un claquement de doigt ? Bien sûr que tu le sais, tu es magnifique, si minuscule dans mes bras et so sehr bezaubernd sur mon torse
trad allemand/français : ich liebe dich bärchen -> je t'aime petit ourson ; mein schatz -> m.a.on chéri.e/mon trésor ; mein süßes lieblingsdessert -> mon dessert sucré préféré ; so sehr bezaubernd -> tellement envoûtant.e
° x-men masterlist
gif : Binar on pinterest
bannière : @/saradika-graphics
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Je crois que ce qui me pose le plus de problèmes (à titre personnel, pas de kink shaming) avec le death feedism, c'est que je vois le feedism comme une pulsion de vie. Un élan de joie. Certes, il pousse presque inévitablement à l'excès, mais l'excès n'est pas forcément un saut vers l'abîme.
Le feedism, c'est la gourmandise. Je fais ce post en français parce que malheureusement l'anglais n'a pas d'équivalent précis pour ce joli mot. La gourmandise, c'est le plaisir jouisseur de la bonne chère, sans le travers de l'avidité. C'est une tentation mutine, un pas de côté un peu osé. C'est le frisson galvanisant d'un pantalon dans lequel on ne rentre plus, l'exaltation de nouvelles vergetures. C'est une accumulation de petits riens, une transgression délectable, d'autant plus que pour le commun des mortels elle est complètement décorrélée de la puissance sexuelle qu'elle représente pour ses adeptes.
Et puis c'est le goût pour le goût, le plaisir assumé pour la nourriture. La réunion des plaisirs de la chair et de la chère, leur intrication profonde. Manger d'abord pour manger, savourer, se donner le temps et la liberté de s'adonner à un plaisir décrié par la culture du régime. Mais aussi manger pour grossir, grossir pour grossir. Accepter de prendre plus de place. S'étendre. Ici l'anglais est plus pratique : combien de jeux de mots sur l'ambiguïté de "personal growth". Et bien sûr, manger et grossir pour assouvir un désir sexuel, profond, inconnu, primitif, comme imprimé en nous-mêmes, dans notre propre préhistoire : une préhistoire intime, psycho-sexuelle, personnelle, qui varie selon chacun de nous, mais aussi un besoin à la fois si simple et si entier qu'il paraît provenir des prémices de l'espèce humaine elle-même : survivre par l'alimentation et la reproduction de l'espèce. Choisir la fertilité, le plein, le rond. La synthèse étrange et pourtant si logique qu'opère notre fétichisme entre la sexualité et la nourriture rappellent que dans l'Antiquité gréco-romaine, les plaisirs n'étaient pas partitionnés comme ils le sont aujourd'hui. On parle souvent du fait qu'il n'y avait pas d'homosexualité dans la Grèce et la Rome antique, malgré la quantité de comportements que l'on qualifierait aujourd'hui d'homosexuels. C'est tout simplement parce que le concept de sexualité n'existait pas : ce plaisir n'était pas distinct des autres. Le feedism, c'est en quelque sorte la refondation fétichiste de l'idéal hédoniste. Le syncrétisme des tordus qui s'invite au symposion.
C'est une perte de contrôle revendiquée, parfois un manifeste : mais je préfère quand elle reste une force de vie, un cri de liberté qui enjoint à faire fi des convenances, des injonctions à la fois à la mesure, à la minceur et à la productivité, pour revendiquer un droit au plaisir qui sort de la morale de notre époque qui instaure un contrôle des corps à l'aune de l'exigence de rentabilité, plutôt que quand le feedism devient l'allégorie de l'hubris humain, où la gourmandise pécheresse atteindrait des sommets qui se trouveraient punis dans la maladie ou la mort.
Ce ne sont que des vues personnelles ; je sais bien que les gens qui choisissent le death feedism ne sont pas responsables de la couleur plus sombre que prennent leurs désirs, même si le feedism fait parfois des rares fétichismes à se vivre presque systématiquement comme un mode de vie.
Sur ce, continuez tous à vous gaver, ça vous va bien ;)
#queer feedism#feedisme#feederisme#grossir#french feedee#french feeder#feedism thoughts#feedism français#fétichisme#gainingweightonpurpose#french weight gain#vivreavecunfétichisme
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Le sexe n'est pas de la gym.
L'attraction sexuelle naît de l'excitation
pour être libéré des tabous qui dominent
le reste de nos vies.....✨
Le sexe peut ressembler à une activité sportive,
mais le plaisir naît, surtout,
des réactions de l'esprit.
Je ne comprends pas que cela signifie
ne pas comprendre l'essence de l'érotisme.....✨✨💞🪽
Alain de Botton
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Récemment, j’ai été critiquée pour avoir parlé de la façon dont les femmes doivent donner des préliminaires aux hommes.
Pourtant, le besoin des hommes d’un toucher tendre pour les femmes est quelque chose dont je suis parfaitement consciente depuis que j’ai commencé à donner une thérapie tantrique aux hommes.
Au fil des ans, j’ai tenu les hommes dans leur tendresse et leur vulnérabilité, entendant souvent « Je n’ai jamais dit ça à personne auparavant... » et j’ai vu comment les hommes se transformer après avoir reçu un toucher tendre.
Nous, les femmes, nous nous plaignons de l’agressivité et de la rudesse des hommes, mais c’est la nature masculine.
C’est nous qui détenons le domaine de la tendresse, de la sensualité, de l’orgasme et du plaisir et c’est nous qui devons les initier.
Bien que se plaindre puisse être auto-gratifiant, c’est futile. Pour obtenir ce que vous voulez au lit en tant que femme hétérosexuelle, vous devez comprendre la nature des hommes.
Comprenez leurs peurs et leur anxiété, à quel point ils essaient de réprimer leurs émotions, à quel point ils subissent de la pression pour performer.
Comme ils sont frustrés quand ils arrivent enfin à avoir des relations sexuelles et que ce dont ils ont besoin, ce n’est pas d’une femme molle allongée et qui le prend, ce dont il a besoin, c’est d’une femme pour prendre le contrôle de son énergie sexuelle et le guider.
L’expérience masculine de l’énergie sexuelle est rude et superficielle. C’est nous qui pouvons l’introduire dans les royaumes de la félicité tantrique qui accompagne le sexe lent et profond.
Nous, les femmes, sommes les gardiennes.
Tout comme nos utérus introduisent de nouveaux esprits dans la dimension physique, nos chattes peuvent également introduire nos partenaires masculins dans les royaumes éthérés, si nous laissons notre énergie sexuelle naturelle, l’énergie de la tigresse, prendre le dessus.
Les femmes peuvent amener leur homme à leurs niveaux et l’initier à des niveaux plus profonds d’amour.
~L’art de la chambre à coucher
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Le rapport de l'homme et de la femme, en tant qu'il est radicalement faussé par la loi, la loi dite sexuelle, laisse quand même à désirer qu'à chacun il y ait sa chacune pour y répondre.
Si ça arrive, qu'est-ce qu'on dira?
Non pas certes que c'était là chose naturelle, puisqu'il n'y a pas à cet égard de nature, puisque LA femme n'existe pas.
Qu'elle existe, c'est un rêve de femme, et c'est le rêve d'où est sorti Don Juan.
S'il y avait un homme pour qui La femme existe, ce serait une merveille, on serait sûr de son désir.
C'est une élucubration féminine.
Pour qu'un homme trouve sa femme, quoi d'autre sinon la formule romantique - c'était fatal, c'était écrit. (Jacques Lacan, D'un discours qui ne serait pas du semblant)
Lorsque nous aimons une femme, nous la considérons rarement comme celle qu'elle est en son être propre ; nous nous arrangeons plutôt pour la faire entrer dans le cadre de notre fantasme, la fenêtre par laquelle nous voyons le monde, les coordonnées qui déterminent notre capacité à désirer.
Nous n'identifions donc pas correctement l'être de l'autre, ou plutôt nous nous bouchons les oreilles à son sujet, car hors la médiation du sujet, il n'existe aucun accès à l'être de l'autre.
Aussi n'est-il pas étonnant que, constatant que que nous nous sommes trompés, que le fantasme de l’autre est incompatible avec le principe de plaisir qui domine notre appareil psychique gouverné par le signifiant, l'amour se change en mépris, en violence ou en haine.
La haine n’est que l’impossible de l’amour, sa matrice formelle. Plus on aime, plus on est, plus on hait.
Comment sortir de ce contresens de l'amour dit «romantique» pour lequel il s'agit d'idéaliser la partenaire au risque de la rendre inaccessible, et qui conduit toujours au malheur?
Il n’y a pas d’amour sans haine, mais pas au sens de l’alternative: ou bien l'amour...ou bien la haine, l’hainamoration cela veut dire qu’amour et haine — et ignorance! — sont toujours déjà noués de façon indissociable.
Plus on aime, plus on est, et donc plus on hait.
Voilà pourquoi Eros s'obstine toujours à vouloir trouver ce qu'il y a de réel dans l'affaire, ce qui n’a rien à voir avec vouloir le bien-être de l'autre.
La vérité dans tout ça, c’est une autre paire de manches, dans l'antiquité grecque on le savait très bien, il suffisait qu'une une femme rencontre un dieu (il y'en avait une multitude à l'époque), aussitôt il la poursuivait jusqu'à ce qu'elle se transforme en arbre ou se fige en statue de sel....
«Le parlêtre n’aspire qu’au bien, d’où il s’enfonce toujours dans le pire.» (JL)
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