#place du Capitole
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photos-de-france · 5 months ago
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Jean Dieuzaide, Le mariage des funambules, place du Capitole, Toulouse, 1954.
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jazzerdoc · 1 year ago
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😭😭😭😭
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Locations in Red, White & Royal Blue 
The White House, Kensington Palace, Place du Tertre, West Hollywood, The Beekman Hotel, Lake Lyndon B. Johnson, The Victoria and Albert Museum, Austin, Texas 
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carraways-son · 11 months ago
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Mercredi
Quelques bonheurs du jour : la lune, bien dégagée en fin d'après-midi, à son presque premier quartier (ce sera pour demain) ; les lumières du couchant sur l'horizon où s'étaient regroupés les nuages ; l'envol d'un goéland sur la Garonne ; le plaisir d'observer les mouettes rieuses perchées au-dessus de la chaussée du Port Garaud dans leur plumage d'hiver (avec un point noir sur la joue, à la place de la cagoule noire estivale). On le voit, les humains sont plutôt absents de ces bonheurs, mais il y a Tumblr, et puis je suis tout excité d'attaquer "La hyène du Capitole" de Simon Liberati, l'un de mes écrivains contemporains préférés.
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didierleclair · 5 months ago
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LA MASCARADE DÉMOCRATIQUE EN OCCIDENT
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Donald Trump, le candidat républicain et ancien président des États-Unis, a réussi à échapper à toutes les embûches sur sa route vers une deuxième chance pour présider la destinée des États-Unis d’Amérique.
Récemment, un tueur a attenté à sa vie. Je déplore toute violence et cette tentative d’assassinat en particulier. Cela dit, je reste médusé par la chance qui auréole cet homme adoré de ses partisans.
Son autre grande victoire est d’avoir convaincu la majorité des juges de la Cour suprême de son pays qu’il pouvait se représenter aux élections américaines de novembre 2024. On peut qualifier cette réussite d’apothéose de sa carrière politique.
En effet, sur le plan personnel, c’est un coup de maître. Aucun président dans l’histoire moderne américaine qui a encouragé une insurrection au Capitol (en 2021) n’a pu se lancer dans une seconde participation aux élections présidentielles.
La plus haute cour du pays donne suffisamment de temps à Donald Trump pour tenter de se faire réélire en novembre. S’il gagne, il retrouvera l’immunité contre tout procès à titre de président.
En mots clairs, la Cour suprême s’est débarrassée d’un problème qui pesait lourd sur la conscience des juges. Donald Trump a nommé la majorité des membres de cette cour. Les juges ne se sont pas montrés ingrats. Il s’agit d’un retour d’ascenseur.
C’est aussi le cas du président français, Emmanuel Macron. Aucune ressemblance dans l’idéologie des deux hommes, même si Macron est un pêcheur en eau trouble. Il a été ministre dans un gouvernement socialiste et président dans un gouvernement de droite. Il fait ce que bon lui semble.
Ainsi, malgré la victoire aux élections législatives d’une coalition de gauche au titre grandiloquent (Le Nouveau Front populaire), Emmanuel Macron refuse de nommer un Premier ministre issu de cette coalition victorieuse. Il prend son temps, il suppute et sourit pour les photos.
Les députés victorieux sont nerveux. Ils craignent qu’il décide de mettre en place une alliance avec les perdants pour nommer un Premier ministre de droite. Il pourrait aussi déclencher l’article 16 de la Constitution française qui lui donne les pleins pouvoirs en cas de situation de danger pour la république et ses institutions. Le général de Gaulle l’avait fait à la suite du putch en Algérie en 1958.
Ceci entraînera une levée de bouclier chez les politiciens de gauche. Ils cogneront à la porte du Conseil constitutionnel, l’équivalent de la Cour suprême, pour examiner si les conditions de l'instauration des pleins pouvoirs au président de la République sont légitimes.
Qui désigne les membres du Conseil constitutionnel ? Le président de la République, aidé du président de l’Assemblée nationale et du Sénat. Mais Emmanuel Macron a dissous le parlement.
Récapitulons, si vous le voulez. Donald Trump a nommé de nombreux juges de la Cour suprême aux États-Unis et Emmanuel Macron est responsable de choisir les membres de la Cour constitutionnelle en France. Ces pouvoirs sont au cœur de la question de la démocratie en Occident. L’indépendance de la justice au sein de ces pays n’est pas réelle, surtout quand il s’agit des questions politiques.
Nous assistons à la fonte du dôme d’acier occidental sous les rayons du soleil de la vérité. Plus l’édifice se liquéfie, plus nous découvrons les rouages que nous sommes supposés ignorer. Le magicien a laissé sortir le lapin du chapeau alors qu’il a égaré sa baguette magique.
Donald Trump n’a jamais cru à la Cour suprême, à son rôle objectif. C’est pour ça qu’il a nommé des juges qui pensent comme lui. Emmanuel Macron n’a pas d’idéologie. Il ne croit pas non plus que la Cour constitutionnelle puisse l’empêcher de régner. Nous avons deux démagogues qui n’ont qu’un objectif : le pouvoir. Ils sont prêts à montrer au monde entier que l’Occident n’a pas de système véritablement démocratique. L’essentiel est d’accéder au pouvoir ou d’y rester.
Didier Leclair, écrivain
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lizzybeth1986 · 2 years ago
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Wordlessly
Book: The Royal Romance
Pairing: None. Kiara & OC (Céleste, her cousin).
Rating: G
Summary: There is a lot on little Kiara's mind as she goes biking with her cousin Céleste. Can Céleste help her?
Word Count: 3, 191 words
Tagging @kiaratheronappreciationweek for Day 4: Family, @choicesficwriterscreations for FotW, and @choicesmonthlychallenge for the prompt Warm Hugs
A/N: This fic takes place two months after Queen Eleanor's death. Joëlle and Kiara (7 years old) are in Orleans, Loire with Joëlle's sister Jeanette. Jeanette has an older daughter, Céleste (9) and twins Céline and Cédric (6). Kiara is closer to Céleste, Ezekiel is closer to Céline, and Cédric is actually quite close to both siblings and to their cousins in Morocco (Hakim's side of the family). This fic also has a lot of connections to Ch 3 of Eleanor's Kitchen, which shows Joëlle and Queen Eleanor as best friends.
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It will be a fine summer morning at the main square of Place du Martroi, Kiara's cousin promises her. Just the perfect time, and weather, to gear up for an hour-long bike ride. Maman can spend some time alone with Tatie Jeanette, and seek some of her much-needed solace at the cathedral nearby. And they can spend fifteen minutes cycling around Kiara's favourite thing to see in Orléans: the Jeanne d'Arc statue.
The Maid of Orléans sits mounted on her horse, sword in hand, proud and determined. Her bronze frame, stained a rusty blue-green from centuries of heat and dust and oxidisation, is cast into an alluring interplay of light and shadow against the morning sun. Joan of Arc, a heroine of France, the woman her aunt Jeanette was named in honor of. Kiara remembers a similar statue - of Captain Guard Val Greaves - at the Capitol square...not too far from the royal palace...
...Kiara instantly loses her smile. Then she shakes her head and tries to concentrate on something else.
"Cette statue gravement endommagée au cours de la duexieme guerre mondiale a eté restaurée en 1950 grâce a la générosité des habitants de la Nouvelle Orléans." She reads the plaque at the foot of the statue slowly, mentally substituting some of the all-too-familiar words into another language, as she always does. It's not easy - some of them are too big for her...like "inhabitants" and "generosity"...but she thinks she can understand the essence of it.
There was a Second World War, the war ruined the statue, and people from New Orleans helped make it look better than before. She knows already - from a map of the United States of America in her father's study desk - that New Orleans is a city there, near the Mississippi river. Baba told her lots of people speak French there too, but a different kind of French.
She tries to remember the bigger words she read on the plaque, but already they're slipping from her memory. Zeke would laugh and call this an exercise in futility, if he were here instead of at Orphys with Baba, Céline, Cédric and Tonton Henri - after all, weren't you raised on both French and English, Kiki? Haven't you been doing this your whole life? It can't be that challenging for you anymore.
But Kiara no longer deals with languages for just the challenge. Now she does it for the sheer joy of playing around with words that mean similar things in different places.
Céleste brushes away a stray leaf that has landed on her head, covering one of her tightly-coiled, intricately-braided cornrows. For perhaps the fiftieth time, Kiara admires the back of her cousin's head, where the braids form the shape of a heart near the nape of her neck. Silently she makes a promise to ask Maman to try it out once on her. When Maman feels more herself again.
Kiara traces a nervous finger over her own braids. They're perfect now - tiny coiled cornrows on her scalp, thicker braids raised high by hairbands that looked like a cluster of grapes, a side parting that took Kiara time to get used to but that she cannot help but admire now. But oh, how much Maman must have suffered today to get it right.
One slip of her hand. Then two. A braid hanging looser than usual, a thin cornrow looking slightly thicker and uneven, a stray curly strand winding out of an arrangement so meticulously planned and designed. It was so unlike Maman, who could do more intricate styles than this blindfolded and with her arms behind her back. The unfamiliar, puzzled frown between Maman's eyes was now threatening to become permanent.
By the sixth mistake she let out a rough growl, fisted her hands and paced agitated to the other end of the room, leaving an entire section of Kiara's hair half-done. When Kiara turned to look, Maman's back was facing her but her shoulders were shaking.
Tatie Jeanette, who had just completed her final touches on Céleste's cornrows, moved over to Maman, placing a hand on her shoulder. "Take a few minutes off, Joli," she said gently, "Renée has made some chamomile-spiced apple tea. That's your favourite now, right? It's in the kitchen. Still hot. It should calm your nerves. Go."
Kiara froze, wondering if her aunt had made a mistake by mentioning the tea was apple-flavoured. The last time Maman had such a drink was the last time she was with...with...
She winced. A very vague image of the late Queen as Kiara remembered her - raven-haired, gentle, smiling, a faint rose smell emanating from her wherever she went - floated at the fringes of her memory. She was grateful she didn't have a memory of what that face looked like in death. It was already painful, watching her funeral procession from a distance that day, Princes Leo and Liam walking behind her coffin, heads bent, steps measured. The older prince's jaw was tight and his eyes reddened and blazing...but the image that would forever stay with her, was the blankness on the face of the boy she often called her playmate. Every time she thought about his dark, unfocused gaze, an odd chill slithered through her spine.
If this was how she felt about that funeral, she can't imagine just how painful it must have been for Maman. Biding her goodbyes at the coffin, her voice at the Mass trembling midway through the late Queen's favourite hymn. After the adults from the Great Houses poured earth from their hands towards the lowered coffin at burial, Baba tightened his hands around Maman's shoulder, her sobs muffled in his jacket.
"It's going to take a while for Maman to go back to being Maman again," he'd whispered in Kiara's hair just before their flight to France, "But she'll get there. I promise you."
She'd felt less nervous when Baba said that. It was now two weeks since that flight, but on more days than not, Kiara didn't feel so sure.
When Maman took longer than usual to return, it was Céleste who saw the look on her face and convinced her to check on her in the kitchen.
"But what do I say?" Kiara whispered worriedly. These days everything she'd tried to say to comfort her seemed to have the opposite effect. Oh, Maman was very lovely about it, running an affectionate hand through her hair and smiling down at her, but the smile never seemed to reach her eyes like it always did.
Céleste shrugged. "Who said you had to say anything?"
Easy for Céleste to say. Everybody always said her oldest cousin gave the best hugs in the family. Soft, light ones for the kids younger than them, tentative ones for adults she didn't know, the tightest ones reserved for her parents. Kiara on the other hand always felt her body too awkward for good hugs. All knees and elbows poking at softer flesh. She felt uncomfortable giving them, and the leaving of an embrace always felt so odd on both sides. It was why she was so fond of talking her way through comforting people.
Only, this was a time where that kind of comfort didn't seem to change anything.
Thankfully, Maman's shoulders were no longer shaking when Kiara's feet padded their way to the kitchen. Her arms were gripping the counter, shoulders slumped, tired. The teacup was still full, all the steam in it long gone.
Kiara gulped. "It's okay, Maman," she said softly, "we don't have to go out today. It's always nice to have one whole day to just rest and do nothing, no, Maman?"
Again that look. Again that soft hand on her head. Again that smile that didn't reach Maman's eyes.
Kiara had struggled through 5 languages so far in her young life. Each time she failed to get things right, her chest felt tight and her shoulders heavy. But all that suddenly felt like nothing to the failure she experienced now.
Maman did Kiara's braids. Perfectly, meticulously, not a single strand out of place. But Kiara felt none of the victory they always experienced when Maman nailed a hairdo. In place of the joy and anticipation they both always had while braiding her hair, was a steely determination, a mechanical sequence of movement. As if Maman was thinking of something else and wanted not to, really badly.
"T'es prête?" Céleste says, her foot on the pedal of her cycle, waiting for her cousin to join her on their hour-long ride to Parc Floral de la Source. It's not where Céleste would have liked to take her, but it's still a beautiful place and she's sure her cousin would love the butterflies there.
"Yeah," Kiara says softly, "I'm ready." She runs back to her own cycle, bought two years ago the moment she'd seen Céleste on a bicycle, so connected to the act of riding it that the vehicle almost seemed like an extension of her. This beauty, bought by her aunt, is black and silver and deceptively fragile-looking, but very sturdy. Just like herself, Kiara would like to believe.
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The sun is kind to them today. Its light streams silently through the trees and glistens over the Loire river, so it turns molten gold from the limpid blue of the early morning. The Loire à Vèlo path is a sandy white expanse of road, empty except for the few cyclists dotting the horizon.
Kiara presses her feet to the pedals as hard as she can, the light breeze turning into a sharp burst of wind when she picks up speed. The spaces in her scalp feel the cool kiss of fresh air as she struggles to catch up with Céleste.
She envies her older cousin for her speed and ability on a bike, but not too much. They all have their passions, after all. Céleste never had the knack for languages that Kiara did, or the love for animals that Zeke did, or even the raw artistry that her baby sister Céline was already beginning to show at age 6 - but by God did she work her magic if you gave her a bicycle!
It was the first birthday present she'd ever asked her parents for, and there was never a day you'd see her without it. Already the family was in awe of how she managed to cycle the entire Loire à Vèlo route last year, at the tender age of 8.
Already she had her answer ready for every school exam paper that had the question: "Qu'est-ce que tu veux faire quand tu seras grande ?". When I grow older, I will be tête de la course at Le Tour de France.
Tête de la course. The head of the race.
It's never going to be a matter of can, or maybe, or even should. Not for Céleste. It's a matter she has already had settled in her head. She will never imagine her future another way.
Kiara presses down on the pedals, even harder, enjoying this little race with her cousin. Even if it's one she's sure to lose.
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Royal blue. Butter yellow. Purple at the center with orange fringes. The butterfly enclosure at Parc Floral de la Source has papillons in colours Kiara can't even begin to imagine.
Yet somehow, it is the black-veined, white-speckled, flame orange Monarch butterfly that most fascinates her. Kiara is almost tempted to touch its wings, to see if she'd find her fingers stained in fiery-hued dust as she'd always dreamed would happen. But she won't. She doesn't want to scare the poor thing away.
Lots of butterflies come to our garden. Come sometime in the morning, you'll see loads.
Kiara jerks her hand away as if stung. She isn't sure why these words, in the gentle tones of the young prince who used play tag and soccer with her, would give her a feeling of unease, rather than the usual mild fondness. Maybe because it has been almost a year since she last visited the palace gardens; perhaps because - if her parents' urgent whispers in the study were anything to go by - it is doubtful she would ever get to visit it again.
The last she saw of it, Her Majesty's (Call me Tatie Eleanor! she would hiss if Kiara ever tried to be formal around her) plans to create a hedge maze in the gardens had just begun to take form. There was very little to show of it back then, and Maman had whispered to her when they drove home that it would be roughly five to seven years before the maze looked anything like "Ellie's plans".
"Will it be fun?" she'd asked Maman when they'd reached half of the way back to Castelserraillan.
"Oh, very!" Maman said, a big grin on her face. "Ask your auntie Eleanor next time if you don't believe me. She used to spend all her time playing in garden mazes when she was a child."
Kiara frowned a little, suddenly remembering something.
"I thought Tatie Eleanor got the idea from that visit to Château de Villandry we took with her, two years ago!"
"That too!" Maman responded, grinning. "She loved visiting that place so much because it reminded her of her childhood." Her smile was now sweet, and a tiny bit conspirational. "We gave her that, ma fée."
Shivering, Kiara follows Céleste's lead outside to the open space that holds the spicy, woody, slightly-vanilla scent of purple irises.
Their housekeeper Renée packed them an enormous, sumptuous lunch before they left home; the cycling and the walking have made Céleste and Kiara ravenous enough to devour almost every spare morsel. Except, of course, one solitary baguette, which Céleste insists they keep so they can feed the flamingoes.
The birds make noises that sound like a cross between a loud honk and a piercing screech, scrambling to lay their claim on the pieces Céleste tosses their way. Kiara laughs, her fingers absently sweeping over the calm waters of the little Loiret tributary.
"I really wanted us to go to Château de Villandry today," Céleste's tone is that of a slight whine. "You always loved running through the garden labyrinth there."
Absently, Kiara pouts and throws another piece of the baguette to the birds.
"It's okay if we don't," her voice is almost a whisper, so soft Céleste has to strain to hear it. "This place was quite lovely!" If there is a false brightness she notices in her cousin's tone, Céleste doesn't allow herself to dwell on it.
They sit like that for a while - exactly how long Kiara can't recall - but when they're about to leave she calls out to her cousin. "Where would Maman and Tatie Jeanette be now?"
"Waiting for us at the canal," Céleste murmurs. She stops as she notices Kiara tense. "Don't look so scared, Kiki. Tatie Joli won't be sad forever."
Almost immediately, Céleste bites her tongue in a tacit apology. She's never been one to be very good with her words, and oftentimes - like this one - they come out sounding all wrong.
"Oh well," Kiara says, sighing, "It's not like anything I say will help. The more I talk, the sadder she gets. Maybe I should just..."
"Just what?"
"I don't know. Stop talking?"
The two girls are silent as they make their way back to where they'd kept their bicycles. It's only when they're about to mount that Kiara thinks to ask her.
"Céleste..."
"Hmm?"
"How do you know what kind of hugs your Maman wants?"
Céleste gives her a funny little look, like she's about to say I thought you'd never ask. But she shrugs instead.
"I don't always know, really. Sometimes I just try it and see if it works. Sometimes Maman doesn't want to listen to anything... sometimes she just wants someone to hold her tight. She lets me know."
"And if she doesn't like it?"
Céleste smiles. "I try something else. At some point I'll find something she likes!"
That's what I do with Maman too. Kiara thinks. But with words. Never with touch.
Kiara doesn't say a word after that. Not when they mount on their cycles, not when they exit the park, not when they reunite with their mothers at the canal, not even when they're back at the foot of the Jeanne d'Arc statue. Maman and Tatie Jeanette take turns to stare oddly at how unnaturally silent she seems, but Céleste's hand lightly touching her elbow reassures her. Lets her know that she doesn't need to talk until she feels like it.
Before they head to Tatie Jeanette's house, Céleste turns to her mother. "What about Château de Villandry next weekend, Maman? Kiki always liked the maze gar-"
She stops abruptly, noting with regret Kiara's panicked gaze and the terrified shake of her head.
Her voice is lower, more incoherent than a mumble. Her hands are folded in front of her, the perfect picture of a contrite child. "... we'll find another Château to visit, Maman. Sorry."
Too late. Maman holds it together, somehow, for a few minutes, before she excuses herself to her sister's study.
"I'll make you both a mug each of chocolat chaud... you'll like that!" Tatie Jeanette's voice seems falsely bright.
It is now Céleste who says nothing, as she gives Kiki one last, tight hug before she retreats to her room. Strangely, that action calms her a little.
Maman isn't at the desk of Tatie Jeanette's study, or even seated on one of the sofas or chairs. She is a crumpled figure on the floor, her body enfolding into itself, trying to look as invisible as possible even if she knows there is no one else in the room.
Kiara almost opens her mouth to speak, then snaps it shut. She stares at the lonely, defeated figure of her mother, remembering every scrape of knee that she had patted and every tiny arm-bruise she had given a little kiss to. Wordlessly.
Wordlessly, Kiara bends to her mother's eye-level. Lightly, tentatively, she wraps her arms around Maman's shoulder, keeping a small distance between their bodies.
After what feels like an age but must have been only two minutes, she feels something shift. Her mother angles her body more towards the circle of Kiara's arms, allowing them to tighten. Slowly, ever so slowly, Maman's hands make their way to the center of her spine, burrowing her daughter closer into her space. Against her cheek, Maman's own feels a little wet. But her body is more relaxed, the stress lines on her face receding.
Before this, Kiara had juggled with many possibilities to show comfort. Bringing up Queen Eleanor's name, never mentioning Queen Eleanor's name. Trying to talk more about this tragedy, trying to talk about literally everything else. Nothing had worked so far before this. Who knew that silence and touch could accomplish in 20 seconds what all the hours of talking couldn't?
Maman's hand rubs rhythmically along Kiara's back. Whether it's to return the gesture of comfort, or as an apology for not being the kind of mother she wanted to be for Kiara these days...Kiara has no idea.
What she does know, is that she hopes they get more chances. To share silence. To share comfort. To share - mother and daughter - the blanket-heavy warmth of these wordless embraces.
--
NOTES:
Two bits of foreshadowing here:
1. New Orleans: this was a bit of foreshadowing I included, because my TRR MC Esther hails from New Orleans.
2. The Monarch butterfly is the sigil of Krysanthe, the duchy that eventually Hana becomes the Duchess of.
Translations and additional notes:
1. Tonton - Like Tatie for aunt, Tonton is a nickname used to address your uncle.
2. Huge thanks to @thecapturedafrique for her suggestion of the girls wearing cornrows in summer! She'd also recommended styles, two of which I'd zeroed in on for Céleste and Kiara. The first one is Céleste's, the second Kiara's:
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3. T'es prête? - Are you ready? (when said to a girl/woman)
4. "Qu'est-ce que tu veux faire quand tu seras grande ?" - What do you want to be when you grow up?
5. Tête de la course - Head of the race.
6. Papillon - Butterfly
Places mentioned in France:
The fic is largely set in Orléans, a city that's situated close to the Loire River.
Place du Martroi: The Martroi square is the main square of the city of Orleans, where stands the equestrian statue of Joan of Arc carried out in 1855 by Denis Foyatier.
Loire à Vèlo: La Loire à Vélo is a unique, 800km cycle route. It forms the western section of the EuroVelo 6 route (linking Black Sea to Atlantic) (basically you get a great view of the river through this cycling route).
Parc Floral de la Source: a French garden situated to the south of the River Loire, in the La Source neighbourhood of the town of Orléans, in the département of Loiret. The source of the Loiret tributary can be found at the center of this park.
Château de Villandry: The Château de Villandry is a grand country house located in Villandry, in the département of Indre-et-Loire, France. It is especially known for its beautiful gardens and has an intricate labyrinth/maze garden arrangement too.
Orphys: This is a country in the Cordonia universe which is home to the princesses Lerato and Lesidi.
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lours-postal · 1 year ago
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2023 – 574
12 secondes
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delta-rpg · 11 months ago
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CHRONOLOGIE - PARTIE 3
● ANNEE 1860 - Alix Passel, jeune sorcier d'une famille de classe moyenne, tente de faire chanter le roi actuel, Iossif Lazos. Il revendique être son fils illégitime, né d'une aventure du roi avec sa mère vingt ans plus tôt. Iossif, paniqué par la nouvelle et de peur de faire polémique à la cour, fait assassiner Alix, sa mère et sa fratrie. ● ANNEE 1866 - Après plusieurs années de recherche, ce qu'il reste de la famille Passel découvre ce que le roi Iossif a fait aux leurs. Ils se rapprochent alors des Bylilly et deviennent membres de la Boulè de Thémis. ● ANNEE 1872 - Iossif Lazos est assassiné lors d'un déplacement dans le Capitole. La garde royale ne retrouvera jamais l'assassin du roi, Cybil Passel, cousine d'Alix, tué douze ans auparavant. Les enfants d'Iossif sont également assassinés dans les jours qui suivent par Cybil. ● ANNEE 1883 - Persuadée de devoir rendre justice et venger sa famille ainsi que le peuple sorcier des horreurs commises par la royauté, Cybil Passel demande de l'aide à Némésis par des offrandes et des prières. Celle-ci lui apparait un jour et la convainc que sa famille est destinée à corriger les erreurs commises par la famille royale. Elle leur donne le droit de tuer pour le "bien commun". ● DE 1895 A 1901 - Première guerre sorcière aux Etats-Unis, principalement entre les royalistes et ceux qu'on appelle alors les dissidents. Les frontières entre les villes sont fermées et la garde royale emprisonne ou tue chaque sorcier qui pourrait poser problème selon eux. Le leader de la Boulè de Thémis, Uric Bylilly, est exécuté sur la Grande Place du Capitole, ainsi que tous les membres du conseil qui sont retrouvés par la garde royale. Plusieurs membres de la cour royale et quelques Lazos perdent également la vie, très probablement de la main d'un Passel. ● ANNEE 1911 - Pour les dix ans de la fin de la guerre sorcière, une édition spéciale des Douze Travaux a lieu. Le nombre de sorciers est doublé et tous les anciens participants encore vivants peuvent être tirés au sort. Cette édition est l'une des plus violentes ayant eu lieu jusqu'à présent et plus de la moitié des jeunes sorciers y participant ont été tués ou gravement blessés. ● ANNEE 1919 - La monarchie sorcière va au plus mal ; la fin de la guerre n'a pas aidé le peuple sorcier à avoir une meilleure opinion de la cour royale et des Lazos, au contraire. La pauvreté est de plus en plus présente et la natalité au plus bas, alors que beaucoup ont perdu la vie pendant la guerre. Les révoltes refont surface et de plus en plus de sorcier se rangent du côté des anti-royalistes et de la Boulè de Thémis. ● ANNEE 1921 - Suite à la malédiction donnée par Hécate il y a plus de deux cents ans aux Lazos, ces derniers ont de plus en plus de mal à donner naissance au futur héritier du trône. L'infertilité fait rage dans la famille et beaucoup de nourrissons Lazos meurent peu de temps après leur naissance. ● ANNEE 1925 - La seconde guerre sorcière éclate et cette fois-ci, la Boulè et ses alliés sont bien mieux préparés que lors de la première. La garde royale est vite débordée et même parmi celle-ci, certains commencent à douter de la légitimité des Lazos à continuer à régner sur le peuple sorcier américain.
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boucli · 2 years ago
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Ô Toulouse ! Film Washi X, C41 (à Place Du Capitole, Toulouse.) https://www.instagram.com/p/CnTix7goXm_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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moon-girls-stories · 2 years ago
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~ Hunger Games ~ Finnick Odair X F!Reader
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Synopsis : Être la fille de Snow n'est pas toujours facile. En fait, ça ne l'est jamais. Encore plus lorsque le chéri du Capitol vous plaît. Et si ce n’était que ça…
Point de vue Reader :
Je suis allongée de tout mon long sur mon lit king size, bouquinant un vieux livre d’histoire  qui raconte la chute de l’ancienne politique. Mais je ne reste pas tranquille bien longtemps, l’un des serviteurs de mon père venant toquer à la porte de ma chambre.
-Entrez !
Le serviteur entre après mon ordre. Il se courbe en avant alors que je me redresse en une position assise.
-Jameson, je vous ai déjà dit que vous n’aviez pas à vous courber devant moi sans la présence de mon père. Redressez vous. 
-Excusez moi mademoiselle. Votre père vous demande dans son bureau.
-N’est-il pas en réunion avec les vainqueurs du 4 ?
-Il demande votre présence. Je n’ai pas plus d'informations.
Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à talons transparents, ajustant ma robe courte faites de grandes plumes synthétiques blanches. 
-Comment suis-je, Jameson ? Et sois honnête.
-Magnifique, comme à votre habitude. Mais si je peux me permettre…
Il entre complètement dans ma chambre et se dirige vers mes bijoux. Je l’observe faire, lui souriant gentiment. Il récupère un joli collier d’épaule fait de diamant sublime. Ceci est un cadeau de Cina et César pour mon 19ème anniversaire. Il m’aide à le mettre avant de reculer de deux grands pas.
-Très bien, allons-y maintenant ou mon père risque de s’impatienter.
-Je suis convaincu qu’il l’est déjà.
Je ricane avant de mettre une main devant ma bouche. Je me tourne vers Jameson, c’est un vieux monsieur bien conservé qui est au service de mon père depuis des années maintenant. Il m’a vu grandir et a essuyé d’un revers de main tous mes chagrins. Il me connait surement mieux que mon père.
-Jameson, nous ne mettons pas dans l’embarras. Les murs ont des oreilles vous savez.
-Bien sûr, mademoiselle.
Nous marchons à la hâte jusqu’au bureau de mon père, parlant tranquillement de plusieurs sujets sans importance avant de discuter des futurs Hunger Games, ce jeu ne va pas tarder à faire son grand retour.
-Quel district allez-vous parrainés cette année ?
-Je ne sais pas encore. J’aimerai aller à la rencontre des districts un par un, être en contact avec eux pour savoir quoi mettre en place pour les aider. 
-Votre demande sera refusée, mademoiselle. Les habitants de ces districts essaieront sans aucun doute de vous tuer pour se venger du président.
-Au risque de se faire incendier par mon père ? Je ne les crois pas aussi stupide, Jameson.
-Je ne veux que votre sécurité.
-Et mon père fera toujours en sorte que je le sois. Ne vous en faites pas, faites moi confiance.
Après la fin de ma phrase nous entrons sans même avoir toqué dans le bureau. Je marche jusqu’à mon père qui est assis face aux vainqueurs du district 4. Je lui embrasse la joue tendrement en m’excusant de l’attente.
-Tu es très jolie aujourd’hui. Me complimente-t-il.
-Merci, papa. Jameson m’a aidé à choisir.
Il regarde le serviteur qui a fermé les portes et reste planté devant elle, droit comme un piqué. Il lui adresse un mouvement de tête avant de me présenter d’un mouvement de main les vainqueurs. 
-Tu dois sûrement les connaître. 
-Oui bien sûr, j’ai beaucoup entendu parler de vous.
-En bien j’espère. Me sourit le seul tribut mâle.
Finnick Odair, le chouchou du Capitol entier. Enfin il est aussi connu pour les expériences incroyables qu’il offre au lit.
-Cela dépend des domaines. 
Il me sourit, ses dents blanches bien alignées scintillantes alors que Mags pose une main sur le bras d’une petite rousse, Annie. Elle a gagné ses jeux sur un pur coup de chance. Mais je suis heureuse qu'elle ait pu survivre à l’arène. 
-Pourquoi ma présence ?
-Je voulais que tu les rencontres. J'aimerais te  laisser la gestion des Hunger Games, d’ici quelques années. Il est temps que tu apprennes.
Mon visage devient livide alors que je me tourne vers lui, complètement démunie.
-Je ne suis pas une grande fan de la violence, tu le sais bien, papa. Je ne suis pas convaincue que je sois la meilleure personne pour superviser un jeu de mort imminent.
Ma réponse n’a pas l’air de lui plaire, je le vois à la contraction de sa mâchoire et ses yeux vicieux qui se posent sur moi. Je prends une inspiration avant d’essayer de m’expliquer. 
-Ecoute-moi pour une fois, s’il te plaît. Les Hunger Games sous mon commandement seront une catastrophe, je ne peux pas faire ça aussi bien que toi. Je n’ai pas ton expérience.
-C’est pour cela que tu apprendras à mes côtés. Je serai ton formateur. Ton apprentissage commence dès cette année.
Je jette un regard à Jameson qui me fait signe d’accepter. Je me retiens de soupirer et souris à mon père, comme si j’étais heureuse de la responsabilité qu’il me donne.
-Je ne te décevrai pas, papa.
-Je le sais. Finnick s’occupera de ton introduction aux dessous des Hunger Games. Tout est déjà vu avec lui.
-Oh. Très bien. Pourquoi pas les vainqueurs du 1 ou du 2 ?
-Je m’occuperai de toi comme une princesse. Les autres sont un peu brutes.
-Mais il faut l’être pour gagner les jeux, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, mais il faut savoir être pleins d’autres choses pour gagner.
-J’ai hâte que vous m’en appreniez plus, monsieur Odair.
Je lui souris sincèrement, ce qui semble le perturbé un peu. Mon père toussote faiblement, me ramenant à lui.
-Finnick restera au petit palais avec toi, ta sœur et les domestiques.
-Bien.
-Peux-tu l’accompagner avec Jameson ?
-Avec plaisir.
Je me tourne pour faire face à Finnick qui est déjà debout, disant au revoir aux deux femmes. Je l’observe silencieusement et patiemment, il tient à elle, cela se voit par ses gestes. Il est tendre et protecteur avec elles. Il finit par se tourner vers moi avec un fin sourire mais qui ne reflète rien de particulier. Je l’invite à me suivre alors que Jameson nous ouvre les portes. 
-Jameson, demandez aux domestiques de préparer notre voyage au petit palais. Qu’ils fassent les valises, je pense que nous allons y rester un long moment.
-Très bien mademoiselle.
-Merci. Suivez-moi, je pense pouvoir vous emmener à un endroit qui devrait vous plaire.
-Ah oui ? Quel est cet endroit, mademoiselle Snow ?
- T/P T/N.
Il me regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas vraiment alors que je ricane de son état. Mais je ne compte pas lui expliquer quoi que ce soit, s’il veut savoir il devra demander.
-Par ici.
Il me suit jusqu’à l’extérieur dans les jardins avant qu’on n’entre dans une serre. On suit un petit chemin avant d’arriver sur une piscine ressemblant plus à un lac à l’eau bleu turquoise magnifique.
Je me tourne vers le vainqueur et vois sa mâchoire se décrocher. Je ricane légèrement attirant son attention alors je mets une main sur ma bouche, étouffant mon rire. Il attrape doucement mon poignet et le tire doucement vers le bas, me souriant comme s’il voulait me charmer.
-Je n’ai jamais entendu quelque chose de si mignon.
Je n’ai le temps de rétorquer que Marlo débarque comme un bourrin. 
-Ne la touchez pas, vous n’en êtes ni digne ni autorisé.
-Marlo. Ai-je coupé alors que mon agent de sécurité s'approchait de Finnick, l'éloignant de moi.
-Et vous, mademoiselle, il va falloir que l’on revoit les règles de sécurité. Me dit-il durement alors que je le regarde suppliante. Et ne me faites pas votre regard de chaton en détresse. Cela ne marche pas.
Il prend ma main et me fait prendre une distance absolument exagérée du vainqueur du 4. Ce dernier sourit, amusé de la situation, pour autant je ne trouve rien de drôle.
-Visiblement s’il faut que je révise les règles de sécurité il faut que tu révises tes bonnes manières, Marlo.
-Mademoiselle n’est pas en mesure de me réprimander.
-Et pourquoi ?
-Parce que vous vous mettez en danger telle la petite fille naïve que vous êtes !
Je fronce les sourcils, nous sommes repartis pour une longue dispute pleine de cris et d'insultes.
-Hé, n’hausse pas le ton sur elle. Elle n’a fait que me montrer cet endroit.
-Où il y a de l’eau. Et tu es un tueur hors pairs au sol autant que dans l’eau.
-Il ne me fera pas de mal, Marlo. Ce n’est pas un monstre !
-C’est un tueur, mademoiselle. C’est du pareil au même.
-Vous avez fait de lui un tueur de ce que je sache alors cessez votre hypocrisie ! 
-Mais…
-Dehors ! Immédiatement !
-Votre père… !
-Je viens de te donner un ordre, exécute le ou tu le seras.
Le grand homme en smoking noir dévisage longuement Finnick avant de me regarder froidement mais je tiens son regard.
-Je ne serai pas loin.
-Parfait, faites en sorte que je ne vois pas votre tête d’ici notre arrivée au petit palais.
Il acquiesce avant de se poser je ne sais trop où en dehors de la serre.
-Tout va bien ? Me demande le blond, le visage penché en avant.
-Ce n’est pas moi qui a été insulté. Allez-vous bien, vous ?
Il semble surpris mais chasse le sentiment en quelques secondes seulement. Cette capacité à passer d’une émotion à une autre est inquiétante. Il arbore maintenant un sourire suffisant.
-Je n’ai pas pour habitude qu’on me pose cette question. Mais ça va, j’ai vécu pire.
-J’imagine.
-Vous n’avez pas l’air de vraiment savoir mon parcours. Suivez-vous les Hunger Games, mademoiselle ?
-Pas vraiment, je n’aime pas ce jeu. Il est stupide. Je préfère lire des livres contant l’histoire. Mais récemment j’ai dû m’y intéresser. Pour vous.
-Pour moi ? Interroge-t-il, presque au bord de l’hilarité.
Je fronce les sourcils, ne trouvant pas le sujet drôle.
-Riez-vous des tributs morts dans l’arène monsieur ? Ou encore de la pauvreté dans laquelle vit les populations des 5 à 12 ? Parce que je ne trouve pas cela amusant.
-Non, pardon. 
-Vous êtes quelqu’un de bizarre. Est-ce que Marlo a raison, êtes-vous fou ?
-Je suppose qu’il faut être un peu fou pour survivre au jeu. Qu’est-ce que vous en pensez ?
-Je pense qu’il faut être courageux et fort. Dans plein de domaines.
-Vous n’avez pas totalement tort.
-Bien sur.
Un blanc s’ensuit alors que je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Les tributs choisis ne peuvent décidément pas tous être un peu fous. Comment mon père aurait su que ces tribus étaient fou avant même que les jeux commencent ? Soudain j’entends le bruit d’un plongeon avant que de le ne m’éclabousse sur la joue. Je laisse échapper un cri de surprise avant de regarder le lac, Finnick est dedans, torse nu, seulement avec son pantalon ample. Son tee-shirt est par terre, à quelques pieds de moi. Il ressort de l’eau plus loin, secouant la tête en reprenant sa respiration.
-L’eau est-elle à votre convenance, monsieur Odair ?
-Aussi parfaite que vous, mademoiselle.
Son compliment raisonne dans la serre alors que je ne peux m’empêcher de rire à sa bêtise. Je m’installe sur un transate alors qu’une domestique arrive pour me demander les collations que je souhaite, je lui demande simplement deux limonades fraîches. Entre-temps, Jameson revient vers moi, apportant deux trois livres pour m’occuper. Il observe longuement Finnick faire des longueurs avant que je ne lui donne un coup de coude léger sur son côté, il me regarde à présent.
-Jameson, ne le regardez pas comme s’il venait d’une autre planète. C’est impoli.
-Se mettre à moitié nu devant vous est impolie, mademoiselle.
-Je l’aurai trouvé stupide s’il se baignait tout habillé.
-Il est vrai.
-Le trouvez-vous stupide Jameson ?
-Finnick Odair est quelqu’un de très malin, mademoiselle. C’est pour cela que vous devez redoubler de méfiance.
-Vous, vous avez parlé avec Marlo, je me trompe ?
-C’est possible.
Je souris à leurs comportements surprotecteurs mais dans tous les cas Finnick va m’accompagner de partout pendant un certain temps alors autant le mettre à l’aise dès maintenant. 
-Nous partirons ce soir. 
-Superbe. Merci, Jameson. Vous pouvez disposer.
Il semble hésitant avant de se courber en avant et de quitter la serre. C’est alors que Finnick nage vers moi avant de sortir de l’eau. L’eau ruisselle sur sa peau bronzée, venant finir leur course sur son vêtement.
-La vue vous plaît mademoiselle T/N ?
Je le regarde droit dans les yeux, les joues chauffantes alors que la honte grimpe en flèche dans mon corps. Je bafouille des excuses avant de porter mon attention sur mon livre d’histoire. Il s’amuse de la situation, ricanant joliment, mais encore une fois quelque chose me dérange de sa manière de faire. On dirait que toutes ses réactions sont faussées par je ne sais trop quoi. 
Il s’assoit à côté de moi, sur le transate parallèle au mien. Je ferme mon bouquin et le fixe dans les yeux, il fait de même me souriant.
-Puis-je poser une question ?
-Vous devrez payer.
-Comment payer ?
-Oh vous voulez vraiment poser votre question… 
-Dites moi.
-Un secret. Et vous aurez ma réponse.
Je fronce les sourcils, il veut un secret ? Pourquoi faire ? Je trouve ça totalement déplacé.
-Les secrets sont personnels. 
-C’est ce qui est intéressant.
-Et les gens vous disent leurs secrets ?
-Bien sûr.
-Qu’ont-ils en échange ?
Son visage se ferme quelques secondes avant qu’il ne détourne le regard, se massant le menton, comme s’il réfléchissait à la meilleure réponse.
-Qu’est-ce que vous connaissez sur moi ?
-Que vous êtes le vainqueur mâle du district 4, tout le monde vous idolâtre au capitol mais je ne comprends pas pourquoi. Vous êtes certes beau garçon et charmant je ne trouve pas que vous avez une âme exceptionnelle.
Il me regarde comme si j’étais un extraterrestre et je ne comprends pas. L’ai-je vexé ?
-Vous ne me voulez pas alors ?
-Vous vouloir pour quoi faire ?
 -Mon corps. 
Là, c'est moi qui le regarde comme s’il venait d’une autre planète. Je prends enfin conscience de ce qu’il m’avance et je lui envoie mon livre dans la figure, le surprenant. Il se l’est pris dans le nez.
-Hé !
-Non mais qu’est-ce que vous avez dans la tête ?
-C’était une simple question.
-Nous devons nous préparer pour le voyage ! Magdalen, donnez lui de quoi se sécher et dites à Jameson de s’occuper de lui. 
-Oui, mademoiselle.
Je me tourne vers Finnick toujours aussi rougeoyante. Je ne sais pas quoi lui dire alors je le dépasse en récupérant mon second livre. Je lui laisse cependant celui qu’il a dans les mains. Je me tourne de nouveau vers lui et le lui montre de l’index.
-En espérant qu’il vous serve un minimum à vous instruire.
Puis je quitte la serre, retrouvant directement Marlo.
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tomorrowusa · 1 year ago
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Rep. Derrick Van Orden (R-WI-03) has it in for teens.
Congressman Derrick Van Orden of Wisconsin is a MAGA Republican who has a habit of disrespecting teens.
‘Jackasses,’ ‘little s‑‑‑‑’: GOP congressman curses out teenage Senate pages 
Rep. Derrick Van Orden (R-Wis.) is in hot water after he cursed out a group of teenage Senate pages in the Capitol rotunda early Thursday morning.
According to a transcript written by a page minutes after the incident and obtained by The Hill, Van Orden called the pages “jackasses” and “pieces of s‑‑‑,” and told them he didn’t “give a f‑‑‑ who you are.”
The pages are a group of 16- and 17-year-olds who assist Senate operations, and when the Senate works late — as it did Wednesday night on National Defense Authorization Act amendments — pages generally rest nearby in the rotunda.
“Wake the f‑‑‑ up you little s‑‑‑‑. … What the f‑‑‑ are you all doing? Get the f‑‑‑ out of here. You are defiling the space you [pieces of s‑‑‑],” Van Orden said, according to the account provided by the page.
“Who the f‑‑‑ are you?” Van Orden asked, to which one person said they were Senate pages. “I don’t give a f‑‑‑ who you are, get out.”
“You jackasses, get out,” he added.
The incident, which occurred just after midnight, outraged members of the upper chamber, with one calling the string of remarks “horrible.”
[ ... ]
Van Orden did not dispute the exchange and defended his actions when asked by The Hill.
“The history of the United States Capitol Rotunda, that during the Civil War it was used as a field hospital and countless Union soldiers died on that floor, and they died because they were fighting the Civil War to end slavery. And I think that place should be treated with a tremendous amount of respect for the dead,” he said.
Van Ordrn’s defense was pathetic and hypocritical when you look into the company he keeps.
GOP Candidate Bankrolled Jan. 6 Riot Trip With Campaign Cash
Van Orden, a former Navy SEAL and small-time actor, has previously acknowledged attending the Jan. 6 rally, but has repeatedly claimed he never entered the Capitol grounds. However, social media posts from the riot suggest that isn’t true.
A Facebook image from Jan. 6 shows Van Orden standing on a wall on the Capitol grounds that was inside a restricted area. (The Daily Beast recreated the photo on Friday and confirmed that Van Orden would have had to cross police barricades to reach that area.)
Yep, Van Orden was one of the terrorists who assaulted the US Capitol on 06 January 2021. He yelled at teen Senate pages for taking pictures of the rotunda while lying down – apparently a tradition for pages. But did Van Orden yell at his terrorist buddies who smeared their own shit on the Capitol?
MAGA mob rioters smeared their own feces throughout the Capitol and 'tracked brown footprints' in several hallways during violent siege
But wait, there’s more!
Back in his home district, Van Orden yelled at a teen library assistant for a Pride Month display at the public library.
Congressional candidate Derrick Van Orden confronted teen library staffer over Gay Pride display
A staffer at a southwestern Wisconsin library says a Republican congressional candidate threatened her over a gay pride display. 
Kerrigan Trautsch, a page at the Prairie du Chien Memorial Library, told the La Crosse Tribune that Derrick Van Orden came into the library on June 17 and complained loudly about a display of fiction and nonfiction books about homosexuality in the children’s section. The display was part of the library’s efforts to recognize Pride Month. 
Trautsch, who was 17 at the time, describes herself as an advocate for the LGBTQ community. She said Van Orden was angry, and that he said the books offended him and that taxpayers shouldn’t have to see them.
[ ... ]
“He was full-on shouting at this point and he kept aggressively shoving the books around,” she said.
Van Orden ended up checking out every book from the display except one a library patron was already reading, she said. She went home and told her parents that she didn’t feel safe at work anymore.
He’s obviously a homophobe in addition to being a pal of poop smearing insurrectionists.
Van Orden is a first-class asshole. He fits in well in a GOP caucus which includes Marjorie Taylor Greene, Matt Gaetz, George Santos, and Lauren Boebert.
Many high profile House GOP assholes like MJT come from super safe districts. But that isn’t the case with Van Orden.
In 2022 Democratic Gov. Tony Evers carried Van Orden’s WI-03. And Van Orden himself won by only 3.8% of the vote last year.
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The right sort of Democrat with a good campaign could send Van Orden back to MAGAland where he can smear the walls with poop like his friends on January 6th.
Here’s WI-03.
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Though it’s gerrymandered, WI-03 does contain four branches of the University of Wisconsin system. So Florida students trying to escape Ron DeSantis’s takeover of that state’s universities can find refuge at a U of W campus in Wi-03 while helping to make House Republicans a minority again.
And keep WI-03 in mind next year if you like to make individual contributions to congressional candidates.
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collinederigaud · 2 years ago
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Le nom des rues
C’était la première fois depuis presque 30 ans que je retrouvais cette ville comme je l’avais connue enfant, puis jeune adulte.
Qu’est-ce qui, lors de mes précédents séjours, m’a tenue éloignée de ce passé ? Pourquoi ai-je réduit le périmètre de mes pérégrinations en évitant un dédale de rues intimes ?
Ce jour de mai, je marche avec ma belle-sœur dans le quartier des Carmes, puis nous remontons la rue des Filatiers. Je lève les yeux, je reconnais les lieux, et je redécouvre ces rues dont le nom s’était effacé de ma géographie personnelle – pas les essentielles, bien sûr, celles où j’ai vécu (rue du Languedoc, rue Croix-Baragnon), ni les artères principales (rue d'Alsace-Lorraine, rue de Metz), mais toutes les autres. Celles aux sonorités romanesques : rue des Trois-Banquets, rue des Puits-clos, rue de la Pomme, rue Genty-Magre… Et ailleurs, rue Perchepinte, rue du Coq d’Inde, rue des Paradoux.
C’est étrange cette sensation d’être si loin de moi.
Car c’était moi qui remontais ces rues la nuit, le jour, sans prendre garde à la beauté de la ville. C’est moi faisant demi-tour pour revenir à une soirée, c’est moi assise sur cette fontaine place de la Trinité ; c’est moi sous ce porche avec des garçons de mon âge.
Terre inconnue, terrain connu.
C’est ce que je ressens dans ces venelles au tracé sinueux – tours et détours pour remonter le temps.
Ce soir de mai, je prends un verre avec l’amoureux de mes 18 ans et sa femme, place du Capitole. Au détour d’une phrase, une rue, encore, m'atteint en pleine mémoire.
“Alors lui, aujourd’hui, il habite en plein centre, rue Ninau, tu vois ?”
Je me sens pâlir… j’hésite… rue Ninau… ce nom… et puis ça me revient. Rue Ninau. Thierry. Mon frère. Mon frère aîné de retour à Toulouse dans les années 1980, après avoir perdu son boulot. Mon frère si mal accueilli (pas accueilli, en fait) dans l’appartement des parents. Mon père lui octroyant un lit dans l’entrée pour qu’il n’ait pas l’idée de rester. Et donc mon frère, pour son bien et le nôtre, trouvant une chambre d’étudiant rue Ninau. Oui, notre chance à nous : on allait le voir, Benoit et moi. On s’échappait de l’appart’ rue du Languedoc pour monter le petit escalier et le retrouver dans sa piaule rue Ninau. On était là, tous les trois. Thierry, Benoit et moi.
On me dit que ce qu’il manque à Toulouse, c’est l’eau… mais la Garonne et le canal sont là, et la marée remonte en moi comme en tous les lieux où j’ai vécu, ceux qui portent la trace de l’éternelle jeunesse – et de l’amour.
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patricia-huchot-boissier · 2 years ago
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YENNAYER 2973 / 2023 à TOULOUSE Celebration de YENNAYER 2973 (Nouvel An Berbere 2023), Place du Capitole a Toulouse, Dejeuner de Yennayer (Degustation de plats traditionnels Kabyles et Berberes) et Spectacle musical, organise par l Association Kabyle Berbere Toulouse AFRIKA31 pour promotion de la culture kabyle, berbere et amazigh a toulouse. France, Toulouse le 15 Janvier 2023. ➡️ #AbacaPress #Abaca #Saif #Photographie #presse ➡️ #toulouse #Culture #Berbere #Yennayer #2973 #2023 #Kabyles #musique #danse #famille #photography #femmephotographe #photodocumentaire #press #photographie #leicawomenfotoproject #leicawomen #myleicaphoto #femmes #photojournalisme @leicawomen #womenstreetphotographers #womenphotographer #photodocumentary 📸 photo @patricia.huchot_boissier / @_abaca_ / #LaSaifImages Série disponible sur #PixPalace et #Reuters https://linktr.ee/p.huchotboissier (à Toulouse) https://www.instagram.com/p/CndAwK7DcX9/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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actu-juridique · 24 days ago
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Relire la justice constitutionnelle à travers l'œuvre du doyen Favoreu ?
https://justifiable.fr/?p=1719 https://justifiable.fr/?p=1719 #constitutionnelle #doyen #Favoreu #justice #lœuvre #Relire #travers Présentation   Ce colloque est organisé à l’occasion des vingt ans de la disparition de Louis Favoreu.   Programme   5 Décembre   9h00 : Ouverture du colloqueDoyen de la Faculté de droit et de sciences politiques d’Aix-en-Provence –Jean-Baptiste PerrierDirection de l’UMR DICE – Caterina SeverinoPrésidence de l’AFDC – Julien BonnetDirection de l’ILF – Ariane Vidal-Naquet 9h15 : L’Ecole aixoise de droit constitutionnel : introduction réflexiveXavier Magnon, Aix Marseille Université   § I – La construction d’une légitimité de la justice constitutionnelle en France Première séance, présidée par Olivier Lecucq, Université de Pau La légitimité du juge constitutionnel ne tient pas seulement en ce qu’il n’a pas le dernier motAriane Vidal-Naquet, Aix Marseille Univ. D’une approche prescriptive du droit comparé vers une approche descriptive : quel état du droit comparé constitutionnel ?Otto Pfersmann, HCESS Je ne motive pas donc je suis… pasWanda Mastor, Université de Corse Du transfert des méthodes : de la science du droit administratif à la science du droit constitutionnelFabrice Melleray, Sciences Po Paris Débats   12h30 : Déjeuner   14h00 : Le Conseil constitutionnel est-il une cour constitutionnelle ?Thierry di Manno, Université de Toulon La constitutionnalisation du droit face à la conventionnalisation du droitLaurence Burgorgue-Larsen, Université de Paris 1 Démocratie et Etat de droit, quelle place pour la justice constitutionnelle en France ?Marthe Fatin-Rouge Stefanini, Aix Marseille Univ. Débats 15h15 : Pause 15h30 : De la politique saisie par le droit à la politique contre le droitDenys de Béchillon, Université de Pau (via ZOOM) Le principe de constitutionnalité sans… la ConstitutionRégis Ponsard, Université de Reims Critiques doctrinales et légitimité du Conseil constitutionnelJulien Bonnet, Université de Montpellier 1 Débats 17h00 : Fin des travaux   6 Décembre   § II – La construction d’un nouveau discours sur le droit constitutionnel Seconde séance, présidée par Ferdinand Mélin-Soucramanien, Université de Bordeaux 9h00 : Est-il encore nécessaire de proposer des modèles de justice constitutionnelle ?Julien Padovani, Université de Paris 1 Les droits international et européen sont-ils sur ou sous la Constitution ?Patrick Gaïa, Aix Marseille Univ. Faut-il considérer le Conseil constitutionnel comme un protecteur des droits et libertés ?Laurence Gay, Aix Marseille Univ. Débats 10h15 : Pause 10h30 : Des règlements autonomes à la place du pouvoir réglementaire dans la ConstitutionNathalie Jacquinot, Université de Toulouse Capitole De l’acte de gouvernement au self-restraint du juge constitutionnelHubert Alcaraz, Université de Pau Remettre en cause les différentes catégorisations en contentieux constitutionnel ?Guillaume Tusseau, Sciences Po Paris Débats   12h30 : Déjeuner   14h00 : L’exception d’inconstitutionnalité était-elle la question ?Caterina Severino, Sciences Po Aix De la supra-constitutionnalité à la micro-constitutionnalitéCarine David, Aix Marseille Univ. La justice administrative française a-t- elle besoin d’un statut constitutionnel ?Didier Ribes, Aix Marseille Univ. Débats 15h15 : Pause   § III – Table Ronde conclusive – De l’héritage à l’émancipation 15h30 : Présidée par Joseph Pini, Institut catholique de Toulouse Avec : Didier Maus, Aix Marseille Univ. – Jean-Louis Mestre, Aix Marseille Univ. – Elise Carpentier, Aix Marseille Univ. – André Roux, Aix Marseille Univ. – Ferdinand Mélin-Soucramanien, Université de Bordeaux – Thierry Renoux, Aix-Marseille Univ. – Aurélie Duffy-Meunier, Aix Marseille Univ. – Olivier Lecucq, Université de Pau – Francis Delpérée, UCLouvain – Xavier Philippe, Université de Paris 1 – Olivier Le Bot, Aix Marseille Univ. – Sophie de Cacqueray, Aix-Marseille Univ. – Stéphane Caporal, Université de Saint-Etienne – Annabelle Pena, Université de Toulon – Guylène Nicolas, Aix Marseille Univ. 16h30 : Fin des travaux     Pour toutes les informations concernant le colloque et l’accès en Zoom : https://dice.univ-amu.fr/fr/dice/ilf Colloque organisé par l’IE2IA, Université de Pau et Pays de l’Adour, l’ILF, le DICE, faculté de droit, Aix-Marseille Université ; l’EMRJ, Université de Corse sous la responsabilité scientifique de Caterina Severino, Xavier Magnon et Wanda Mastor Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
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carraways-son · 1 year ago
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Mardi
Amusé de découvrir la lune jouant ce soir avec un hula hoop rose. Retour à mes basiques après deux soirées consécutives à faire outrageusement la fête place du Capitole, avec un couple proche, dans l'étonnante douceur de la nuit toulousaine.
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machaonreads · 2 months ago
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Whumptober 13 : Team as Family
Une seconde famille, Les Trois Mousquetaires
Louis de La Valette savait se montrer un hôte attentif et accommodant, surtout lorsqu'il accueillait des invités de marque et, a fortiori, lorsque l'un d'entre eux était un ami aussi cher à son cœur qu'Armand, cardinal de Richelieu. D'ordinaire, on dégustait à sa table saucisses, foie gras et cassoulet jusqu'à plus faim, on buvait du vin puissant du Languedoc en suçant des sucreries à la violette, le tout au son des luths et des vièles qu'harmonisaient expertement les musiciens du Capitole, dont les chansons à l'ancienne manière plaisaient à l'archevêque de Toulouse. Cultivé et curieux, il conviait à sa table des savants et des salonnières, et contribuait lui-même largement aux brillantes conversations qu'il suscitait ainsi.
Ne rien pouvoir offrir de ce luxe à Armand et à son compagnon de voyage, le très respectable comte de Tréville, capitaine des mousquetaires du roi, le mettait au désespoir.
Mais la discrétion quant à leur séjour chez lui devait être absolue : le triste attentat dont ils avaient été victimes à Aucamville le confirmait absolument. Non qu'Armand eût informé Louis des objectifs de leur mission, car ce cardinal-là était secret comme ses chats ! Cependant, Louis aussi baignait dans l'Église et l'État depuis de nombreuses décennies, même s'il pêchait en eaux moins profondes que son compagnon de vocation : par cette longue habitude, il savait décrypter les présages de la sédition et les inquiétudes du roi. Le duc de Montmorency s'agitait beaucoup ; il s'agitait trop...
S'il apprenait que les fanatiques financés par Marie de Médicis avaient réussi à blesser grièvement le premier ministre et le capitaine Tréville, avant que ceux-ci ne trouvassent refuge dans les appartements de l'archevêque, le duc dépêcherait des assassins pour finir le travail jusque dans la sacristie de la cathédrale Saint-Étienne.
Aucune information sur leur présence ne devait donc filtrer à l'extérieur. Par peur des fuites, Louis avait installé ses pensionnaires dans sa propre chambre à coucher et congédié tous ses domestiques, ne gardant dans la confidence qu'Antoine, son secrétaire particulier. La suite d'Armand et de Tréville, elle, ne comptait en tout et pour tout que quatre mousquetaires. Enfin, trois mousquetaires et un soldat qui n'avait pas encore officiellement intégré la compagnie, mais qui était manifestement déjà très lié à ses compagnons. C'était à leur arrivée in extremis que le ministre et le capitaine devaient d'avoir survécu à l'embuscade, car ils avaient traversé la France à une allure presque inhumaine quand ils avaient découvert le complot par un heureux concours de circonstances, en enquêtant sur un inquiétant trafic de bronze dans les quartiers les plus mal famés de Paris.
(À chaque fois que les détails de cette investigation revenaient dans la conversation, Louis se signait avec ferveur, ému par la protection que Dieu accordait ainsi à ses serviteurs.)
À eux six, ils avaient lavé les blessures, avaient dressé des attelles et des pansements ; Antoine se chargeait des commissions et racontait dehors à qui voulait l'entendre que l'archevêque était maintenu au lit par une forte fièvre. Ce mensonge justifiait au passage ses fréquents arrêts chez l'herboriste.
La dévotion des mousquetaires à leur chef sautait aux yeux. Louis avait dû invoquer les meilleurs arguments de la casuistique, soutenus par des traits de rhétorique qu'il ne fourbissait d'ordinaire que pour clouer le bec aux jésuites, afin de les chasser de la chambre, où ils étaient déterminés à dormir en chien de fusil sur le tapis, au pied du lit qui, faute de place, hébergeait tout à la fois leur capitaine et leur ministre.
(Pour des raisons que vous comprendrez sans doute aisément, si vous connaissez la France, et si vous avez l'usage du monde, la chambre de l'archevêque était la seule pièce de ses appartements à n'avoir pas de fenêtre.)
Seul leur souci de la santé du capitaine, qui avait grand besoin de calme et de repos pour se remettre de la strangulation dont les marques noires restaient horriblement voyantes contre sa trachée – et des coups de masse qui lui avaient brisé le bras droit –, avait finalement convaincu ces soldats loyaux de quitter la chambre. Ils se relayaient néanmoins devant la porte, qu'ils maintenaient ouverte à toute heure, surveillant l'intérieur autant que l'extérieur, comme s'ils jugeaient qu'une troupe de mercenaires, aux poches chargées de poudre par le duc de Montmorency, représentait pour leur précieux commandant un danger égal à celui que posait Armand, pourtant toujours inconscient depuis que l'un des reîtres lui avait transpercé les reins avec son épée.
Ouais. Le cardinal de La Valette en savait beaucoup sur les actions de son ami Richelieu, mais même à un homme d'Église aux yeux aussi ouverts que les siens, semblable précaution paraissait excessive. Il y avait, indubitablement, un passif derrière, qu'Armand lui raconterait peut-être, s'il se rétablissait. (Plût à Dieu.)
Après des épisodes de lucidité intermittente, Tréville reprit définitivement connaissance le surlendemain de leur arrivée. Ce plein éveil fut salué par ses hommes en la plus étrange procession que Louis eût jamais vue. 
Le jeune D'Artagnan, dont c'était alors le tour de garde, se précipita au chevet de son chef en rameutant ses compagnons de la voix ; il échangea quelques mots avec Tréville d'un ton vibrant de joie et de soulagement, puis s'appliqua, pour la quinzième fois peut-être, à étaler sur le bras écrasé l'onguent de sa mère, qu'il préparait tous les jours avec un soin infini. Le dénommé Aramis imita son exemple, vérifiant chacun des points de suture qu'il avait cousus lui-même et plaisantant sans discontinuer pour dissimuler l'intensité de son émotion. Porthos serrait la main gauche de Tréville avec tant de force que Louis s'inquiéta un instant pour la survie de cet appendice encore valide, tandis qu'Athos, dont la réserve coutumière trahissait une éducation noble, se tenait au pied du lit et clignait profusément des yeux.
Ils firent un tel boucan qu’ils finirent par tirer Armand aussi de son faux sommeil, précipitant Louis à son tour au chevet de son ami, auquel il tendit un godet rempli d’eau. Le réveil de Richelieu rafraîchit un peu l’humeur des mousquetaires, mais pas celle de leur capitaine, qui adressa au cardinal rescapé un large sourire de contentement.
Il y avait, là aussi, une histoire, que Louis espérait bien apprendre bientôt de la bouche d’Armand : Dieu lui pardonne ses péchés, le cardinal de La Valette aimait les cancans beaucoup plus qu’il ne devrait. Et si Armand et Tréville restaient trop discrets, il était sûr que ces mousquetaires dévoués n’avaient pas leur langue dans leur poche : le plus jeune membre du quatuor, par exemple, témoignait d’un tempérament loquace entièrement à son goût…
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theoriedelesthetique · 3 months ago
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𝐡 𝐞 𝐫 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Selene est née à Panem, dans le District 2, le même jour exactement que son frère Sirius, les deux étant jumeaux. Ils sont les cadets de la famille, puisque déjà, leurs parents avaient donné naissance, deux ans auparavant, à Solar, en faisant donc l’aîné. Vivant dans le District 2, ils sont plutôt aisés, et vivent une enfance tranquille, compte tenu du fait qu’on ne leur demande pas grand-chose. Leur père est un Pacificateur, même s’il possède un esprit rebelle. C’est ce même esprit rebelle, qui lui vaudra de se faire emprisonner, et puis exécuter, juste devant les yeux de leurs trois enfants, pour leur apprendre ce que c’est, de désobéir. Selene et Sirius ont seulement neuf ans, et ne réalisent pas tellement ce qu’il se passe, lorsqu’ils sont placés chez leur oncle. Solar, en revanche, commence à cultiver une haine amère du Capitole, et un esprit de vengeance qu’un enfant de onze ans ne devrait pas avoir. Et on ne peut pas spécialement dire que leur oncle soit particulièrement attentionné avec eux : il s’en moque royalement, semblant plutôt agacé d’avoir trois enfants à sa charge. Mais peu importe, puisque rapidement, ils passent tous l’âge légal, et leur nom est inscrit pour la Moisson. Leur oncle voit cela comme une façon de se faire davantage d’argent, histoire que les gosses lui servent à quelque chose. Ainsi, il encourage les enfants à poursuivre un entraînement de carrière, peu importe si c’est légal. Solar et Selene s’y appliquent, docilement, mais Sirius, lui, s’y refuse, et se tourne vers la maçonnerie, tentant d’oublier que lui aussi peut être tiré pour les Hunger Games.
Selene a des années d’expérience, désormais, lorsque son nom est tiré lors de la Moisson pour les 73èmes Jeux. Elle est soulagée, parce que ses frères, eux, sont en sécurité. Elle sait, la petite brune, que Solar aurait pu s’en sortir, mais elle sait aussi qu’il ne se serait jamais porté volontaire, pas même pour sauver Sirius. Elle a la tête haute, quand elle monte sur l’estrade. A ses côtés, un tribut masculin, Leehan, qui s’est porté volontaire, qui roule des mécaniques, et qui a l’audace de sourire. Selene, pourtant, n’a pas peur. Si elle doit mourir, au moins, elle mourra en se battant. Tout le monde sait qu’elle est une carrière, certes, et elle a un regard froid et distant, bien sûr, mais au vu de son gabarit, peu la pensent capable de s’en sortir, pas même son mentor. Après tout, elle est petite et menue, et c’est ouvertement, devant les yeux de tout Panem, qu’elle refuse l’alliance avec Leehan, qu’elle juge hautain et arrogant. Selene lui promet une chose : il ne s’en sortira pas. Il n’ira pas plus loin que la Corne d’Abondance. Alors forcément, tous la désignent comme perdante, une sacrée mauvaise joueuse avec trop d’ego, et ce même si, durant les entraînements précédant les jeux, elle montre une certaine habileté avec son arme préférée, l’épée. Elle est brutale, même si elle est plus maline qu’elle en a l’air, et elle fait tout pour obtenir un score convenable. Moyen. Ne pas se faire remarquer. 
Mais surtout, la particularité de Selene, c’est qu’elle ne ment pas.
Contrairement à ce qu’on lui conseille, lorsque la sonnerie résonne, elle se dirige droit vers la Corne d’abondance, et sa première victime, sans aucune foutue hésitation, et elle a déjà les yeux sur sa première victime. Leehan. Elle lui avait promis, après tout. La différence avec Selene, c’est qu’elle ne se bat pas pour son district, elle ne se bat pas pour l’honneur, elle se bat pour ses frères. 
Après avoir fait tomber à leur tour les membres du district neuf et cinq, elle est blessée par un carrière du quatre, ce qui la place en queue de liste, encore une fois. Et même si son bras gauche ne suit plus entièrement, cette blessure, malgré la perte de sponsors, lui offre la plus belle chose qui pouvaient lui arriver. La plus cruelle, aussi.
Octavia.
C’est une alliance aussi bienvenue que cruelle, quand, manifestement, Selene s’attache à la jeune femme - tout en sachant qu’elles ne peuvent pas survivre à deux. 
Ce qu’elle ne sait pas, cela dit, c’est qu’à la maison, au District 2, Solar a rejoint les Pacificateurs, et cherche à embrigader avec Sirius avec lui - Selene, donc, se bat pour deux garçons qui ne sont même plus de son côté.
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𝐡 𝐞 𝐫 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Bien que Selene ne soit pas très loquace, habituée à passer après ses frères, elle peut se montrer plus chaleureuse si elle se sent à l’aise, mais c’est une facette d’elle qu’on ne voit principalement qu’avec ses frères - et puis, dans l’arène, avec Octavia uniquement.
⁕ Selene n’a jamais été très forte pour cacher son dédain pour le Capitole. Après tout, ce dernier lui a tout pris, en commençant par ses parents. Elle n’a aucune honte à défier les règles, même si elle doit en manger les conséquences ultimes, et les punitions qui viennent avec - mais quand c’est son oncle qui est abattu, dans une forme de sanction, elle n’arrive même pas à en pleurer. 
⁕ Quand la révolte voit le jour, naturellement, les pas d’Octavia la mènent vers le Commandant Lyme, sa seule vraie figure d’autorité qu’elle respecte au sein du District 2. C’est aussi la seule personne à qui elle admet le fait qu’elle est terrifiée de ce que peuvent donner les jeux de l’Expiation, et qu’elle a encore trop de cauchemars récurrents.
⁕ L’arme favorite de Selene est l’épée, sans aucun doute, puisque c’est avec cela qu’elle s’est entraînée. Son entraînement de carrière, par ailleurs, sera son plus gros atout au sein de l’arène. Non seulement elle est formée pour survivre dans différents environnements, mais elle est également apte à cacher la plupart de ses atouts, et joue très bien la carte de la naïveté pour qu’on la sous-estime. Son autre vrai atout, c’est sa force, qu’elle cache habilement. Il serait mal avisé de la juger uniquement sur ce qu’on voit - elle peut supporter bien plus que ce qu’on imagine.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, Selene est relativement petite, et paraît frêle, ce qui semble être, au départ, un désavantage certain au cœur de l’arène. Pourtant, son gabarit lui permet une certaine agilité et une certaine souplesse qu’elle est capable d’utiliser à bon escient. Selene est brune, comme tout le reste de sa famille, ce qui est un signe distinctif chez les Jung, et comme ses deux frères, elle possède également un grain de beauté sur l’épaule gauche. Membre d’un des districts les plus aisés, elle a pu se faire tatouer bien aisément, et possède une longue épée dans le dos. 
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Selene est assez silencieuse, de manière générale, et plutôt réservée, ce qui résulte surtout du fait qu’elle ne fait confiance à quasiment personne - c’est un avantage pour elle, dans l’arène. En réalité, Selene est surtout en colère, tout le temps. Quand elle prend la parole, elle peut ainsi se montrer particulièrement hargneuse. Mais même si Selene a du mal à donner sa confiance, elle est d’une loyauté exceptionnelle, ce qui explique, donc, que quand elle propose des alliances, elle le fait sérieusement, et dans le but de se protéger. Selene est également particulièrement stratège. Son attitude de manière générale ne semble pas l’aider pour les sponsors au sein de l’arène, mais ça lui permet de ne pas se retrouver trop affectée par la situation des Jeux de la Faim.
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