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120 BPM (Beats Per Minute)
Movies watched in 2024
120 BPM (Beats Per Minute) (2017, France)
Director: Robin Campillo
Writers: Robin Campillo & Philippe Mangeot
Mini-review:
What a powerful and impactful film. It left me both floored and speechless. I think it should be mandatory watching for younger queer generations, cause it feels like many of them have forgotten what our predecessors had to go through to build the society we currently live in (even if there still are many things to fix). It's definitely a hard, painful watch, but trust me when I tell you this: it's absolutely worth it. And even if you're not interested in these topics, the movie is superbly directed, written and acted. It's clear that everyone involved set out to give this story the special film it deserved. And thanks to them, I won't forget about 120 BPM anytime soon.
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"I'm not sick enough?"
120 battements par minute (Beats Per Minute), 2017.
Dir. Robin Campillo | Writ. Robin Campillo & Philippe Mangeot | DOP Jeanne Lapoirie
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Daniel Defert est mort. Il a longtemps été dans mon imaginaire le mari un peu falot de Foucault qu’éclipsaient facilement les jeunes fringants de son entourage, Guibert en tête. Mais en vrai, c’était quelqu’un ce type. Il a fondé le GIP (groupe d’information sur les prisons) et AIDES. Il écrivait en 84 cette lettre que retranscrit Philippe Mangeot et d’où provient cet extrait: «La libération de nos pratiques sexuelles n’est pas l’alpha et l’oméga de notre identité. Il y a urgence à penser nos formes d’affection jusqu’à la mort, ce que les hétéros ont institutionnalisé depuis longtemps. Je ne retournerai pas mourir chez maman. Nous risquons de nous laisser voler une part essentielle de nos engagements affectifs. Défamiliarisons notre mort comme notre sexualité ». J’ai été ramenée à cette histoire tardivement dans ma vie. Mon exil jeune avait été ma manière de défamiliariser mon rapport au monde tout en faisant l’impasse sur une mise à l’épreuve de mon hétérosexualité naturalisée. En retraversant cette histoire du VIH à rebours de ses inventions et de son drame, j’ai pu ramasser ici et là mes propres forces pour défaire ce qui avait encabané ma vie et mes relations. Je conserve une tendresse particulière pour ce type, un peu moqué un peu mal aimé, la figure veuve du philosophe spectaculaire, qui lavait les draps et gardait la maison en même temps que de mener à bas bruit des batailles vitales.
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120 battements par minute (2017)
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Review: 120 Battements Par Minute (Beats Per Minute)
Review: 120 Battements Par Minute (Beats Per Minute)
It’s not hard to see why this film swooped the French Cesars this year and took out the top prize. 120 Battements Par Minute is a supreme example of a film that’s palpably alive on screen. Impassioned performances and exhilarating execution abound as we traverse the tragedy and rebellion of the AIDS crisis in Paris as told through the eyes of ACT UP. A hands down absolute must see!
The history of…
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#Interview: Scannain Talks 120 BPM at the Lux Prize ceremony
After the Lux Prize ceremony in Strasbourg, Scannain had the opportunity to talk to the representatives of the French finalist, 120 BPM (Beats Per Minute). Besides being nominated for the Lux Prize, 120 BPM received the Grand Prix at the Cannes Film Festival earlier this year and will be France’s candidate for the Best Foreign Language Film at the next Oscars.
120 BPM follows the actions of the…
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120 Beats per Minute (French: 120 battements par minute) is a 2017 French drama film about homosexuality and the AIDS epidemic, set in France in the 1990s. Campillo and co-screenwriter Philippe Mangeot drew on their personal experiences with ACT UP in developing the story.
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120 Battements par minute- Robin Campillo
Par Manon Garandeau – 12 septembre 2017
Fin d’été 2017, le nouveau film de Robin Campillo fait battre le cœur de la critique et des spectateurs emportés dans ce maelstrom d’émotion et d’engagement qu’est « 120 Battements par minute ». Entre documentaire et fiction, ce long-métrage retrace l’évolution du mouvement « Act Up Paris », association issue de la communauté homosexuelle et qui défend les droits de toutes les personnes atteintes du SIDA, au début des années 90. C’est dans cette ambiance de révolte, d’espoir et de militantisme que se dessine l’histoire d’amour entre Nathan (Arnaud Valois), jeune séronégatif nouvellement impliqué chez « Act Up », et Sean (Nahuel Perrez Biscayart), activiste séropositif dont la rage de vivre et l’engagement transcende la tragédie de la maladie.
S’il est bien un sujet que « 120 Battements par minute » défend avec ferveur c’est cette nécessité de l’engagement et de la lutte pour les libertés et les droits à travers le militantisme associatif. Ancien militant d’ « Act Up Paris », Robin Campillo a voulu mettre en lumière la détermination et l’implication de cette génération qu’est la sienne, animée à la fois par la colère et l’espoir d’un monde plus juste. Confrontée depuis une dizaine d’années à l’inertie des pouvoirs publiques français et à l’hypocrisie des laboratoires pharmaceutiques face au sort des malades atteints par le SIDA, la jeunesse s’insurge, recourt parfois à des procédés perçus comme démesurés pour répondre à la violence qui leur est faite. Au-delà du choc provoqué par les jets de faux sang sur les murs du labo Melton Pharm, le film vient rétablir la légitimité des actions d’« Act Up » en pénétrant non seulement au cœur des opérations mais aussi de leurs coulisses. L’amphithéâtre où se déroule les RH (=réunions hebdomadaires) est un terreau propice à la confrontation ou la complémentarité de points de vue exprimés démocratiquement. Chacun fait part des idées, des projets, des retours d’actions concernant les multiples commissions du mouvement. Ainsi, lorsque Sophie (Adèle Haenel) revient sur le déroulement d’une action du groupe visant à attirer l’attention de l’Etat face à la détresse des séropositif, elle perçoit l’action comme un échec puisqu’elle donne une image violente d’ « Act Up ». Sean la contredit vivement en affirmant, qu’au contraire, l’opération coup de poing est parvenue à renforcer la détermination des activistes. L’intensité de cet échange réside en la (re)diffusion de la scène en question au fil des propos des protagonistes. En clair, le film est une invitation à s’unir dans la différence autour d’un combat commun contre la maladie et l’indifférence des acteurs de la vie politique et sociale face à l’ampleur de l’épidémie. Il est également un appel au devoir de mémoire d’une histoire récente mais menacée par l’oubli.
« Le sexe est avant tout une question politique » souligne la philosophe Elsa Dorlin (Le Monde). Ce propos soulève d’une part les problématiques liées aux genres, aux orientations et aux pratiques sexuelles dans la construction identitaire individuelle et collective – d’ailleurs très présentes dans le film puisque la majorité des militants et des malades d’ « Act Up » ne correspondent pas à la norme cisgenre et hétérosexuelle – et d’autre part évoque l’approche de sujets reliant santé publique et de relations privées comme l’épidémie du SIDA. Dans « 120 Battements par minute », politique et intime s’entrelacent à chaque instant dans la vie des personnages et notamment au sein du couple formé par Sean et Nathan. Du baiser symbolique lors d’une campagne de prévention dans un lycée au questionnement sur la responsabilité personnelle et publique dans la transmission de la maladie en plein acte sexuel, ces deux aspects sont indissociables. En outre, le spectre de la mort hante significativement la vie des personnages, qu’ils soient séropositifs ou non, et les poussent à se jeter corps et âme dans la vie. L’affiche du film représentant le personnage de Sean dans ce moment de liesse qu’est la première gay pirde à laquelle « Act Up » participe semble cristalliser cette relation paradoxale entre joie de vivre et l’emprise d’une mort prochaine. La force de ce long-métrage réside également dans la palette d’émotions et la justesse du jeu proposée par les acteurs, allant du cynisme à la colère en passant par la tendresse et la tristesse, sans jamais tomber dans l’écueil d’un pathos exacerbé. Par conséquent, « 120 Battements par minute » constitue cette invitation du politique dans la vie privée, sans jamais altérer les sentiments de personnages habités par la rage de vivre et le besoin d’aimer intensément face à la maladie, l’indifférence et l’injustice.
« 120 Battements par minute » invite sans aucun doute à se pencher sur la relation entre le grand et le petit, le microcosme qu’est « Act Up » face au macrocosme que représente la société française, l’invitation du politique au cœur de l’intime et vice-versa, le corps malade et ses cellules où chaque jour la maladie gagne du terrain. Les rouages de cette mécanique ne seraient rien sans le soin que le réalisateur accorde à la musicalité de ce film choral. De manière discrète mais symbolique le rythme du relief à la voix d’une jeunesse qui s’accroche à la vie. Robin Campillo confie avoir choisi un tel titre en se référant au rythme de la house music (124 battements/minute), emblématique des années 90. Seuls deux morceaux d’époque –Smalltown Boy de Bronski Beat (1984) et What about this love ! de Mr. Fingers (1992) – deviennent leitmotiv et servent le projet d’ « Act Up », à savoir adopter une vision positive et une attitude combattive face au SIDA. Enfin, les battements de cœur qui inaugurent le long-métrage se substituent aux beats de la house sur laquelle dansent les militants après chaque action, comme pour ressentir ce sentiment de puissance face à la mort et à l’indifférence ambiante. Ce glissement du cœur à la house met en évidence l’immortalité des idéaux et de l’engagement qui transcende des corps en souffrance, menacés par l’épidémie.
Parmi la myriade de films acclamés par la critique ces dernières semaines, « 120 Battements par minute » est sans aucun doute celui qu’il faut s’empresser de voir. Une fresque historique qui fait l’apologie de l’engagement et de la joie de vivre, puissantes armes contre l’indifférence voire l’ignorance qui frappe la société française des années SIDA. Connaître hier pour mieux comprendre aujourd’hui et appréhender demain, tel pourrait être le mot d’ordre de cette génération soucieuse de transmettre son histoire en héritage à une jeunesse qui malgré les avancées, doit continuer le combat en faveur de traitements plus adaptés et d’un regard bienveillant sur la maladie, à travers toute la planète. A peine trois semaines après sa sortie, la multiplication par cinq du nombre de personnes présentes aux réunions d’ « Act Up Paris » (Zafimehy, RTL). Le film a également été choisi pour représenter la France aux Oscars 2018 dans la catégorie « Meilleur film en langue étrangère », signe de l’engouement grandissant que suscite l’œuvre de Campillo.
Références 120 Battements par minute. Réalisateur Robin Campillo. Producteurs Hugues Charbonneau & Marie-Ange Luciani. Scénario de Robin Campillo & Philippe Mangeot. Les Films de Pierre, 2017. Actuellement au cinéma (sortie nationale le 23 août 2017) Dorlin, Elsa. « Le sexe est avant tout une question politique. » Le Monde. 8 mars 2010. http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/03/08/le-sexe-est-avant-tout-une-questionpolitique_1316145_3224.html. Consultée le 12 septembre 2017 Zafimehy, Marie. « Après "120 battements par minute", les réunions d'Act Up font salle comble ». RTL. 9 septembre 2017. http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/apres-120- battements-par-minute-les-reunions-d-act-up-font-salle-comble-7790019391. Consultée le 12 septembre 2017
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(via L'évènement Philippe Mangeot - L'Observatoire des Passions #5 - Centre Pompidou) L’observatoire des Passions # 5. Avec Paul B. Preciado et Volmir Cordeiro. 17 juin 2018 . Petite salle. Paris.
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Écart vie-mort / 120 BPM
En imaginant mourir un garçon sexuellement désiré quelques jours après avoir vu 120 BPM de Robin Campillo, co-écrit avec Philippe Mangeot, où apparaît entre autres l’excellent Simon Guélat (je peux le dire, j’y étais), je me dis que ce qui rend l’idée de la mort si violente, monstrueuse, c’est la taille du décalage entre l’intensité d’une vie particulière et la platitude de la mort universelle, la distance à parcourir en une seconde (la dernière) depuis l’état de vie maximale, chaude, jusqu’à l’intensité zéro, froide, nulle de la mort, jusqu’à la nullité et la zéroïté de la mort. Plus grand le décalage, plus saisissant l’état de mort.
Or par un drôle de hasard, cette vision et la sensation associée se sont manifestées à moi juste après que j’ai vu ce film qui contient des images très fortes de jeunes humains intensément vivants gisant puis mourant - du sida. A moins que cette chronologie dissimule une causalité, auquel cas cette impression surgie un matin au réveil, cette re-révélation de la violence extrême de la mort avant l’heure serait d’une certaine façon ma mémoire synthétique de ce film, sa trace sensorielle, son souvenir limbique.
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« Un jour, nous obéirons aux injonctions d’une gamine de 13 ans »
Philippe Mangeot, ex-président d'Actu Up, et Flore Berlingen, à la tête de l'ONG Zero Waste France, discutent de l'évolution du militantisme.
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#La Petite Ecole : tout juste un an !
Merci
A l’équipe du Garcia Lorca Thierry Claes Mélanie Cortembos Walid Hilo Fernand Deligny Alya Hilo Maria Montessori Axel Pleeck Khawla Al Rifai Giorgio Agamben Bruno Herin Yannick de Henau Valérie Lenders Sophie Senecaut Halima El Jardi Bachana Dogonaze Delphine Florence Marie Andre Lee Mei Hua Léon Delvaux Fra Angelico Gastone Novelli Bouchra Ouizguen Zineb El Houmi Yasmina Ali Saskia Patricia Emsens Claude Lévi-Strauss Dominique Mangeot Sébastien Marandon Koen Geurts Biser Mina Gilbert Lydie Wisshaupt Anton Drutskoy Ivan Pirlet Marc Janssen Edmon Jabes Monique Debauche Arnaud Bozzini Olivier Belenger Eric Mercenier Philippon Toussaint David Crous Walter Benjamin Imad Christine Pirotte Farid Sahli Lucie Donckier Augusto Boal Charlotte Chloe Anne Sophie Marguerite Beauduin Sylvia Steisel Michael Demey Vincent Macaux Marion Beeckmans Bahia Houssaine Martine Morissens Léopold Havenith José Luis Villalobos Prats Hélène Borderie Aïka Mittler Maud Hagelstein Anne Berger Nicolas de Callatay Nicolas Casula Célestin Freinet Françoise Dolto Alexander Neil le marché des Tanneurs Florence Van Acker Zoé Salmon Georges Didi-Huberman Nathalie Marchal Alain Maingain Jacques Feron Michel Foucault Jacques Moriau Aline Jacques Claudio Guthmann Charles Reznikoff la librairie Tropismes Henri David Thoreau Perrine Humblet Emmanuel Levinas Anna Schroder Samia Maafi l’asbl Bravvo le journal Biscoto les élèves de 5TQ de l’institut Sainte Marie Alexandre de Henau Alan Bernard Buntinx Nathalie Teuwissen Aby Warburg Solange Vigne Dominique Burgrave Suzanne Kumert Pina Bausch Giorgio Morandi Anne De Frenne Jacques Rancière Pierre Paolo Pasolini Dominique Emsens Paolo Freire Isabelle Henricot Sarah Van Parys Philippe de Henau Yves Cardoen Joseph Beni Bice Lazarri Boris Charmatz Hélène de Fabribeckers Alizée du Bus de Warnaffe Henri Matisse Loris Malaguzzi Roland Barthes Itinéraires AMO Anne et Jean-Pierre Thys Thierry Thieû Niang Fonds Joseph Schepers – Germaine Lijnen la Fondation Roi Baudouin Giorgio Griffa Rabab Khairy Léon Spilliaert le centre doc du Collectif alpha William Turner Tharek la vieille Chechette François de Henau l’école Hamaïde Bruce Chatwin Pierre de Lune Hannah Arendt Yael Ohayon les élèves de 9e et 10e de l’école Decroly Jean Paul Gutiérrez La Smala asbl et puis tous ceux dont nous n’avons pas les noms ...
aux enfants : Mohammed Mustafa Anas Adul Zineb Rahma Khalil Ahmad Mirella Fatih Kazafi Fairuz Bedour Amira Kaddour Victor Amin Iman Nawfel Mohammed Eduardo Maria Ahmad Oussama Mohammed Yassin Walid Khaled Mohammed Zahieh Sanaa Noura Fatima Yara Mohammed Zineb Khaled Ousseinatou Al-Hassan Khaleto Amal Esraa Manuela ainsi qu’à leurs parents
Juliette et Marie
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‘BPM (Beats Per Minute)’ Delivers Real & Honest Truths About Activism
“BPM (Beats per Minute)” is a defiantly messy film, portraying both the personal and political lives of the Paris ACT UP chapter in the early 1990s as they struggled to bring AIDS out of the shadows, by confronting the public and state with its devastation while providing help and community to victims. There’s a deeply earned feeling of authenticity to the film, drawn from the personal experiences with ACT UP of director Robin Campillo and co-writer Philippe Mangeot.
Continue reading ‘BPM (Beats Per Minute)’ Delivers Real & Honest Truths About Activism at The Playlist.
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L'urgence de ralentir
Dans le cadre des Bio'Jours en Franche Comté.
Projection du film L'urgence de ralentir, suivie d'un débat avec le réalisateur Philippe Borrel : le vendredi 8 septembre, à 20 h 30, au cinéma Méliès à Lure et le samedi 9 septembre, à 17 heures, dans la salle culturelle municipale de Faucogney et la Mer.
Odile Mangeot | [email protected]
Comment, dans un monde où l’accélération s’impose en règle, des initiatives émergent pour redonner sens au temps et inventer de nouveaux modèles pérennes.
« Course suicidaire et inconsciente », selon Edgar Morin, l'accélération financière et technologique, déconnectée du rythme de l’homme, mène notre système à l'épuisement et vers des catastrophes tout à la fois écologiques, économiques et sociales. Mais alors que des algorithmes accentuent de manière exponentielle la spéculation financière hors de tout contrôle, aux quatre coins de la planète des citoyens refusent de se soumettre au diktat de l'urgence et de l’immédiateté, pour redonner sens au temps. En Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine ou encore en Inde, Philippe Borrel (Un monde sans humains ?) est allé à la découverte de ces initiatives, individuelles et collectives, qui proposent des alternatives basées sur d’autres paradigmes.
Reprendre le contrôle
Au Rajasthan, le Barefoot College fondé par Bunker Roy recrute des femmes de milieux ruraux pour les former à l'ingénierie solaire ; les villes de Romans-sur-Isère et de Bristol ont mis en place une monnaie locale pour résister à la toute-puissance des banques ; à Ithaca, au nord de New York, des coopératives font leur preuve pour relocaliser l'économie... À rebours du « train fou » du modèle dominant, ces alternatives citoyennes, qui rejoignent les analyses de philosophes, sociologues, économistes et scientifiques, pourraient bien être les pionnières du monde de demain. Autant de gestes qui remettent l’homme au cœur du système.
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120 latidos por minuto: La película que te lleva al interior de un movimiento
"120 latidos por minuto", la favorita de muchos para que fuera la ganadora del certamen de la Palma de Oro en Cannes, simplemente por despertar un entusiasmo casi unánime. Ganadora del Premio del Jurado y seleccionada para representar a Francia en los Premios Oscar.
ACT-UP fue un grupo de acción directa que se fundó en Nueva York para llamar la atención, informar y concientizar a la sociedad sobre la pandemia del VIH/ sida y la gente que lo padecía. El término ACT-UP además de ser un acrónimo (AIDS Coalition to Unleash Power) también refleja a una forma de actuar, en inglés se refiere a algo así como una rabieta, un berrinche en público.
La cinta recrea las acciones del grupo ACT-UP en Paris de los años 90. Es importante mencionar que cuando se identificó el VIH y se reportaron los primeros casos y cuando este número empezó a crecer exponencialmente, hubo mucho miedo pero también mucha desinformación sobre las formas de contagio; sobre esto, se crearon estigmas acerca de quiénes eran los portadores. Los gobiernos se negaban a reconocer el problema y no estimaban los recursos necesarios para la investigación médica, en aquel entonces era una total condena de muerte. Hoy en día un seropositivo tiene acceso a medicamentos que lo hace vivir una vida prácticamente normal.
En el filme, ACT-UP intenta presionar al presidente de Francia de ese entonces Francois Mitterrand para que atendiera el problema y creara políticas públicas para proteger a los enfermos de sida. Estos miembros llevaban a cabo acciones muy vistosas para poder informar de una manera efectiva y lograr su objetivo.
Hacer el recuento de lo que se hizo en estos años de desinformación y de silencio, por supuesto tiene un valor histórico y social muy importante, pero no sería suficiente para que una película fuera digna de ganar el premio del jurado de Cannes, ¿qué es lo que hace que 120 latidos por minutos trascienda el solo recuento de los hechos? Fácil, la mirada del director; Robin Campillo trabaja el material, sumerge al espectador en el interior del movimiento y lo hace diluyendo la división entre lo personal y lo político. No es una película donde se narra la lucha de unos activistas que están defendiendo una causa, más bien se enfoca en personas que están muriendo y están luchando por sobrevivir; este sentido de urgencia se comunica en cada una de las escenas.
La razón principal de Robin Campillo y su co-guionista Philippe Mangeot es que fueron activistas de ACT-UP; además de que este director tiene un oído muy particular de llevar la realidad a la ficción y hacerla sentir como realidad. De hecho ya habíamos visto esta misma sensación de realidad cuando fue guionista de "La Clase (2008" del director Laurent Cantett que retrata a un profesor que da clases a estudiantes con diversos orígenes culturales y cuyas clases se llevan a cabo discusiones muy acaloradas. En ocasiones el espectador puede pensar que varias escenas de "La Clase" fueron improvisadas cuando en realidad sólo es un buen trabajo de guión.
En la manera de narrar la tragedia, silencio y desinformación de "120 latidos por minuto", se nos permite ver cómo los miembros de esa organización vivían sus vidas con plena convicción, libertad y diversión a pesar de que sus vidas fueran cortas. Una manera de hacernos entrar a esta dimensión es narrando la relación íntima de Sean (uno de los fundadores de ACT-UP seropositivo que ya comienza a tener síntomas de la enfermedad) y de Nathan (un recién llegado que no está infectado por el virus pero que tiene afinidad con las causas que defiende Act-up), llevándola hasta sus últimas consecuencias y en donde se juega la carta más poderosa de la película justamente porque Campillo se niega a ceder al chantaje sentimental, es decir, no vuelve dramáticas escenas que son indudablemente trágicas por si solas. En la conferencia de prensa en la que presentó esta película en Cannes el dijo que el le había tocado vestir para su funeral a un novio suyo que murió a causa de SIDA, el director lo vivió en carne propia pérdidas devastadoras y sin embargo, las escenas en la película son tremendamente sobrias y contenidas y a la misma medida son conmovedoras y poderosas.
Lo que tiene "120 latidos por minuto" es sobretodo un enorme trabajo de guión y de dirección y no tanto un asunto de biografía, es decir, no es necesario vivir una experiencia para tener el derecho de recrearla simplemente este proyecto está en la obligación de establecer un vínculo emocional y honesto con este tema.
No se la pierdan, todavía está disponible en la CINETECA NACIONAL y en algunas otras salas.
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