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saga: Soumission & Domination 317
Côme et Ludovic encore, journée de chasse !
Côme passe nous voir un soir où son frère doit rentrer chez eux.
Il est tout excité. Je me doute de ce qui s'est passé mais j'attends qu'il me le dise lui-même.
Comme c'est l'heure de l'apéro, Ammed nous sert un plateau de tapas avec nos verres.
Finalement, il se lance. Il me dit que ça y est, il a fait l'amour avec Jonathan et François.
Moi : alors ? Côme : trop bon réellement ! Moi : je t'avais dit qu'ils seraient doux et patients Côme : plus que ça. Je n'ai pas baisé avec eux, nous avons fait l'amour. Moi : ça ne m'étonne pas, même si ce sont mes deux escorts les plus coriaces, je connais leur fond et il est bon ! Côme : tu ne sais pas ce qu'ils m'ont fait ! Moi : non mais j'ai quand même une petite idée, moi aussi j'ai baisé avec eux. Côme : oui, je suis bête, c'est évident ! Moi : désolé mais je suis passé avant toi et je n'ai pas été le seul Côme : je le sais mais quelque part j'espère avoir été plus qu'un simple soir de sexe. Moi : t'as pas eu trop mal (sous entendant au cul) ? Côme : non ils ont été supers. Nous nous sommes embrassés, caressés, léchés et sucés. Ils m'ont préparé la rondelle et, quand Jona m'a enculé, j'ai juste eu une petite douleur quand son gland est entré mais après, c'était trop bon ! Moi : ok, ils ont fait du bon boulot Côme : comment ça du boulot ? Tu leur avais commandé de m'enculer ?
Oups mauvais choix de mots !!
Moi : bien sûr que non, imbécile. Sur le privé, je n'interviens pas. Ce n'est pas moi qui ai formé tous les couples parmi mes escorts ! Côme : ok j'ai eu peur. Moi : mais je suis content qu'ils t'aient fait découvrir cette facette de la sexualité. Et rassure toi, ce n'est pas pour ça que je te demanderais maintenant de taffer avec des clients homme. Côme : je suis content, car j'ai flashé sur eux, pas sur les autres. Ils ont quelque chose qui m'attire. Je ne sais pas quoi mais ça le fait pas avec tes autres escorts, et même toi ou PH. Moi : Merci !! Côme : excuse, j'ai pas voulu dire ça ! Enfin quoi, je vous aime bien, mais j'aurai plutôt un blocage. Je me vois mal partager les mecs de mon frère ! Moi : dommage, je t'aurais pas laissé dormir dans la baignoire. Côme : non, t'aurais pas fait ça ?! Moi : qu'est-ce que tu crois, je n'ai jamais laissé passer un bon plan et foutu comme t'es... Jona et François ont dû bien profiter ! Côme : tu charries, Moi : ne me dis pas que tu regrettes. Côme : non, mais c'était avec eux et pas d'autres ! Moi : OK c'est bien et tu as ma bénédiction pour faire ce que tu veux. Recommencer avec eux si tu as envie, ou pas. Côme : Merci Sasha, t'es trop cool.
PH rentre à ce moment-là. On s'embrasse, il prend le verre que je lui tends et je lui annonce que notre Côme venait de tester son goût pour les hommes. PH comprend de travers et il me dit " maintenant ? Avec toi ? ". Je le détrompe, pas qu'il m'aurait fait la tête, on est au-dessus de ça mais juste la vérité, qu'il a passé la nuit dernière dans les bras de Jona et François.
PH est content qu'il ait choisi ces deux-là. Il lui dit qu'il n'aurait pas pu mieux tomber. Côme lui dit qu'il n'avait pas choisi, que ça lui était tombé dessus. Rire de notre part à la façon dont il dit ça.
Le Mardi qui suit, lorsque Jona et François l'embrassent à pleine bouche devant tous les autres, ça fait un blanc qui dure jusqu'à ce que Ludovic applaudisse son frère. Côme est un peu gêné, je pense qu'il se serait bien passé de cette officialisation. Je vois Ludovic prendre son frère dans ses bras et lui parler tout bas à l'oreille.
Plus tard Ludovic me dira qu'il lui a dit que personne ne le jugeait et qu'il devait prendre ça comme ça venait.
Ça a marché puisqu'il s'est aperçu que tout le monde retournait vite fait à son activité.
C'est seulement sous les douches, que Viktor et Nikolaï lui ont proposé de passer les " voir " s'il était intéressé. Quand il a vu que son refus n'engendrait aucun malaise, il s'est complètement détendu et il n'a pas été le dernier à blaguer avec les autres. Sous les douches, mes escorts partagent souvent sur les petits trucs qu'ils utilisent pour s'entretenir la peau. C'est à qui prêche pour l'épilation à la cire, d'autre pour l'épilation définitive ou le rasage simple. Sans compter l'échange de crèmes apaisantes et autres astuces. On se croirait dans un salon de beauté !!
Anthony donne sa marque d'hydratant. Avec le temps qu'il passe dans l'eau, il en consomme des litres ! Surtout depuis qu'il bosse pour moi et qu'il peut se le permettre financièrement.
Ludovic passe de plus en plus de temps avec nous. Ce qui n'est pas pour nous déplaire. Son père essaye d'en savoir un peu plus sur moi et mes intentions. Je suis invité un dimanche à l'accompagner avec ses 3 fils à la chasse. Ok je ne suis pas un fervent défenseur de la cause animale mais quand même !
Je refuse la première fois mais cède à la seconde invitation. Côme me dit que c'est un des moyens de me mettre son paternel dans la poche. Je passe à la boutique qu'il m'a indiquée et achète ce qu'il faut. Des bottes en caoutchouc doublées cuir, une veste Barbour Sonar Waxed, elle a un petit côté rétro.
La chasse
Je me pointe le dimanche matin dès 7h 30 !! Je ne me voyais pas dormir dans la chambre d'amis tout seul avec Ludovic dans celle d'à côté !
J'ai pas fait attention et suis allé en Mercédès. Evidemment le petit frère ne la rate pas et cash me demande qui j'ai sucé pour l'avoir. Je n'ai pas le temps de réagir que son père l'attrape par l'oreille, le soulève jusqu'à ce qu'il soit sur la pointe des pieds et lui dit que s'il l'entend ne serait-ce qu'une fois avoir ce genre de propos, il retournerait directement à la maison et que ce ne serait que le début de ses problèmes.
J'essaye de temporiser mais le père reste ferme, lui demandant de me présenter ses excuses. Il le fait, je les accepte. Alors que nous partons vers le Range Rover qui doit nous amener à pied d'oeuvre, je vois Côme allonger une claque sur l'arrière du crâne du petit dernier et lui dire un truc que je n'entends pas. Le chien monte dans le coffre. Son père me détaille et me dis que je suis bien équipé. Je réponds tout neuf, première utilisation. Ça le fait sourire. Ludovic est près de moi mais moins collé que d'habitude ! C'est sûr, on n'a pas eu le temps de se faire des bisous !!
Alors qu'on fait les km qui nous séparent de la zone de chasse, le père m'explique la philosophie. J'écoute. Je ne suis pas contre. En fait la chasse se résume à beaucoup de marche, quelques tirs dont certains réussis. Nous trainons donc sur leurs terres toute la matinée avec une pause casse-croute sur le coup des 10h. A défaut d'être passionnant, je prends un grand bol d'air et le gamin se révèle intéressant quand il parle de sa passion. C'est lui qui tue la première bestiole, un faisan. Le père le félicite, c'est amusant comme il est content du compliment. Le labrador le ramène.
On continu, le père et Côme tuent chacun leur bête alors que Ludovic rate toutes celles qu'il vise. J'entends Enguerrand (le petit frère) commencer à se moquer de lui. Un " je pensais que comme t'es amoureux tu saurais tirer droit ! " plein de sous-entendus, lui échappe avant qu'il s'arrête brusquement en se tournant vers son père quelques mètres devant nous.
Je me le réserve pour plus tard celui-là ! Va falloir qu'il apprenne quand s'arrêter.
Le reste de la matinée s'étire doucement et quand il est 13h nous rejoignons le véhicule.
Quand nous arrivons à la maison, madame nous attend le déjeuner prêt. Le temps de laisser les bestioles dans une réserve, de quitter les bottes et nous sommes à table devant un pot au feu brûlant. Elle n'a pas d'aide mais son plat est délicieux. Juste ce qu'il faut pour nous revigorer. Enguerrand me remercie car ma présence leur permet de boire un bon cru. Effectivement le Puisseguin saint-Emilion est tout à fait convenable. Un froncement de sourcils paternel lui rappel de se tenir.
Les sujets de discussion sont neutres. Pas de politique, pas de religion, encore moins de sexe, nos propos se limitent à nos études et à la chasse de ce matin.
Je bande que c'est pas possible ! Madame m'a placé entre Ludovic et Enguerrand et Ludovic ne cesse de passer sa main sur ma cuisse à chaque fois qu'il prend sa serviette sur ses genoux. Il le sait et s'en amuse. A mon tour, je passe ma main sur lui et sa bite déforme ses jeans. On va rire quand il va falloir se lever ! Enguerrand s'est aperçu du petit jeu de son frère et je le sens à la limite de sortir un vanne. Du coup je me tourne vers lui et lui demande où il en est question études.
A 16ans, il est rentré en 1ère (pas en retard le petit) scientifique et quand je lui demande ce qu'il veut faire après le lycée, il me sort " école de commerce, ça l'air de bien payer ". Le sous-entendu est compris par tous et son père lui fait les gros yeux. A cet âge-là, c'est un peu réduit comme admonestation et le petit con enchaîne avec " il suffit de trouver un patron compréhensif " pour bien appuyer au cas où nous n'aurions pas bien compris la première allusion. Là, il me trouve. Je lui demande devant tous si c'est par jalousie envers Ludovic qu'il est aussi acide. S'il le voulait, avec l'autorisation de ses parents, je suis tout prêt à lui présenter des garçons de son âge qui seraient ravi de le dépuceler. La surutilisation de sa main droite l'amenant à proférer des propos ineptes et déplacés. Côme se retient de rire tout comme Ludovic. Les parents, eux, me regardent comme si j'avais enculé le pape devant eux !
En attendant Enguerrand blanchit et se tait. Nous finissons le déjeuner tranquillement. Au café que nous prenons dans le salon, le petit dernier s'est éclipsé. Alors que la mère est partie chercher le café, le père me prend par le bras et me dit qu'il n'est pas d'accord avec ma proposition de tout à l'heure. Ludovic qui l'entend lui dit qu'il n'aura pas le choix avec Enguerrand, tout comme ils n'en n'ont pas eu avec lui. Que si c'est son penchant, il devra faire avec. On est plus au siècle où les homos se mariaient pour que leurs têtes ne dépassent du lot commun.
Il en convient mais nous dit que ce n'est pas une urgence non plus. Je suis d'accord avec lui, moi, je ne suis passé aux garçons qu'à 18ans.
Je ne m'attarde pas, pressé de sortir de cette ambiance conformiste et de retrouver mon PH et ma totale liberté de faits et gestes. Ludovic et Côme s'en aperçoivent. Je me retire non sans avoir remercié comme il se doit mes hôtes.
Comme Ludovic se penche sur moi déjà assis au volant de ma voiture pour me rouler discrètement une pelle, Enguerrand se pointe. Il attend que nous ayons fini pour me dire au revoir et s'excuser de son comportement puéril.
Comme il est penché vers moi, je l'attrape par le cou, lui baisse la tête et lui frictionne les cheveux avec l'autre main. Je le traite de connard et lui dit que c'est du passé. Qu'il comprendra notre situation plus tard. En poussant la porte de la voiture vers le bas, il me glisse qu'il a quand même 16ans.
Ludovic a attendu que je sois rentré pour m'appeler. Je venais de faire un résumé rapide de la journée à PH qui s'amuse de la situation. Je lui parle d'Enguerrand. Il a la même analyse que moi, le petit est jaloux de son frère.
Ludovic me dit qu'après mon départ ç'avait chauffé pour le cul d'Enguerrand. Son père a exigé qu'il m'écrive une lettre d'excuses et l'a interdit de chasse pour les 3 semaines suivante. Ce qui pour un passionné comme lui était ce qu'il pouvait lui arrivé de pire.
J'essaye d'intercéder pour lui, après tout c'est encore un gamin ! Ludovic me dit de laisser faire, ça va juste mettre un peu de plomb dans la tête de ce béta, plutôt que dans les bestioles sauvages qui les entourent.
Le lundi soir il est avec nous. Quand il débarque, je suis avec Max pour sa leçon de français. Enfin je commence parce qu'à son arrivé, Max est tellement excité que le seul moyen de lui rendre sa concentration c'est de l'enculer un bon coup. Il a assez mal pris l'arrivé de Ludovic dans ma vie. Je pense qu'il avait cru un moment que sa situation avec nous prendrait ce chemin. J'avais dû avoir une discussion franche avec lui et les choses s'étaient mises en place comme je le voulais. C'est pas comme s'il n'avait pas été testé au dehors son pouvoir de séduction et testé de nouvelles pratiques. Les moments passés à baiser avec Daniel puis quelques autres de mes escorts n'avaient pas été désagréables. De plus quand il a vu que nos cours continuaient avec le petit " plus ". Ça là totalement rassuré.
Comme il était particulièrement remuant ce soir-là, je l'ai rapidement assis sur mes genoux, planté sur ma bite. C'est la position qu'il adore. Devant le PC sur lequel je lui fais écrire ses dissertations, il aime sentir ma bite lui réchauffer la rondelle. Bon les mouvements que nous ne pouvons retenir de faire, l'empêche d'utiliser correctement le clavier ! Par contre ils sont parfait pour faire monter l'excitation. Max prend appui sur le bureau et utilise ma queue comme un mat sur lequel il fait coulisser sa rondelle. J'aime bien cette position. Sans avoir à bouger, je peux me concentrer parfaitement sur les sensations que me procure son mouvement d'ascenseur. Je sens sa rondelle s'ouvrir à chaque redescentes, coller mon gland, sauter sur les bourrelets de mon prépuce reculé au maximum, et millimètre par millimètre le réchauffement de ma hampe au fur et à mesure qu'elle s'enfonce en lui. Ses contractions ajoutent à ma montée en pression. Il le sait parfaitement et en joue sans honte. A un moment, Max se retourne pour me faire face et ajouter une pelle à sa chevauchée. Ma langue dans sa bouche l'achève ou alors ce sont mes doigts occupés à pincer ses tétons. Il me jute dessus et moi je remplie ma kpote. J'étouffe son hurlement de plaisir en maintenant sa tête pour garder nos lèvres plaquées et nos langues en contact.
Ludovic arrive alors que je viens de me changer, que Max s'est reculotté et que le cours à vraiment commencé. Il me roule une pelle et me dit qu'il monte au 4ème retrouver PH.
Pendant la demi-heure qui suit, toutes les 5 minutes Max me demande quand est ce qu'on les rejoint. Je résiste et lui dis que de toutes les manières qu'il ne compte pas baiser avec nous trois ce soir. Ludovic s'est bien libéré mais pas encore au point de baiser chaque soir avec un mec de plus que nous et en plus différent ! Max me dit que c'est pour ça qu'il faut commencer tout de suite et qu'avec lui ; Ludovic n'aura pas l'impression d'être en concurrence comme avec mes escorts. Physiquement, ses 60Kg ne font pas le poids !
Il a beau argumenter, je ne lui cède pas. J'y tiens à mon Ludovic. Je sais qu'il y viendra et que bientôt tout comme PH et Ernesto, il sera suffisamment en confiance pour me voir baiser n'importe qui et en faire de même. Il saura que comme mes trois autres amours (il faut compter Marc aussi), lui est au-dessus des autres.
Plus tard dans la soirée, même si j'avais fait l'amour à PH la veille, et que Max s'est permis de me vider avant le diner, nous faisons l'amour comme des fous. J'adore son corps de boxer, masser et pétrir ses muscles bien marqués. J'aime passer ma langue sur sa bite, manger ses couilles lisses, saliver sa rondelle plissée. Je ne suis pas le seul car souvent nous commençons nos ébats, PH et moi par honorer son corps de jeune dieu.
Je ne m'en lasse pas ! Il n'est pas de reste et nos langues parfois se retrouvent sur la peau de PH. J'adore faire des pipes à deux. Faire glisser ses lèvres le long d'une bite tout en sentant celles de son partenaire effleurer les siennes, atteindre le gland et de la langue agacer ses terminaisons nerveuses et ce faisant rencontrer l'autre langue et finir par se rouler une pelle avec le gland comme bonbon ou tout simplement piper la bite alors que l'autre bouffe les couilles et se rejoindre en position " gorge profonde ", tout est bon.
Je passerais des heures à parcourir son corps avec ma bouche. Remonter de ses pieds, passer sur son mollet rebondi, couler derrière le genou et détailler le quadriceps pour arriver à son aine et au trésor planté au centre, l'abandonner raide après l'avoir copieusement recouvert de salive pour suivre le sillon qui sépare le six pack, s'égarer à droite ou à gauche pour aller honorer un de ses tétons, là, y passer un peu de temps comme sur son sexe, pour faire monter son excitation et sentir gonfler le bouton de chair, le laisser quand il est rempli de sang et devenu hypersensible, suivre la ligne de sa jugulaire pour atteindre sa mâchoire, en suivre l'arête et du menton passer à ses lèvres, sortir ma langue et les lécher jusqu'à ce qu'elles s'entrouvrent et que je lui envahisse sa bouche, un délice. Heureusement que je ne suis pas anthropophage, je finirais par le manger ! Quand avec PH nous lui faisons subir ce supplice, c'est lui qui nous demande de le prendre sauvagement, de l'enculer grave, de lui défoncer la rondelle. Que devenu une chienne affamée de sexe, nous devons apaiser ses désirs en le faisant jouir de tous les côtés.
Et ça avec PH on sait faire ! L'un devant lui à pomper sa belle tige d'acier alors que l'autre s'occupe de détendre sa rondelle en lui enfonçant une langue pleine de salive, il subit une préparation qui l'amène plusieurs fois aux portes de la jouissance. Nous devons faire bien attention à ne pas le faire craquer trop vite. Quand nous l'estimons prêt, si Marc est là, c'est lui qui passe en premier sinon c'est moi, nous lui enfonçons notre sexe en lui, sans recours possible, profondément, plus ou moins lentement selon notre propre degré d'excitation. Heureusement que l'isolation phonique a été bien faite car les cris de plaisirs qui nous échappent alors réveilleraient toute une caserne. Il est arrivé que les premières fois, Ludovic en éjacule direct et me surprenne, ou bien PH, manquant de nous étouffer par le volume de sperme éjaculé. Même dans ces cas, celui qui l'enculait a pu continuer, l'excitation de Ludovic ne retombant pas.
Le lendemain matin, en cours, Morgan m'a dit que ce n'était pas la peine de me demander ce que j'avais fait la veille vu la tête de zombie que je trainais.
Jardinier
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18/09/2023 -- Photo 1:
Quelques annonces importantes à vous faire pour l'avenir de blog :
Dans un premier temps, je vais encore augmenter le rythme de publication puisque j'ai quelques changements de prévus pour les photos, une nouvelle signature arrivera dans quelques semaines ( techniquement je pourrais la mettre maintenant mais ça me prendrait énormément de temps et ça masquera juste l'ancienne, du coup je reste sous ce format là en attendant d'y arriver. )
Ensuite, je vais mettre en place une FAQ où je pourrais répondre à vos questions ( je retire d'avance les questions portées sur le sexe et les demande d'envoie de photos réelles des modèles où de moi même ), je ferais en sorte de vous y répondre avec un maximum de détails lors de l'événement. Je pense que je ferais une photo = question et ça prendra peut être 2-3 jours.
Et pour finir, mise en place d'un concours mensuel. Je prendrais les 3 personnes les plus actives du blog ( like, commentaire, partage comptent pour atteindre les 3 premières places ) et je ferais une séance de 5 photos chacun qui seront publier le même jour sur le blog avec une identification ^^
Voilà pour les petites infos, je reviendrais vers vous pour les mises en place de date
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du coup je viens de voir le dernier épisode des petits meurtres et je vais essayer de faire une critique (comme pour l'épisode les souris dansent).
d'abord j'ai tout de suite capté le personnage autiste et ça m'a même surprise quand Rose a dit le mot parce que je me suis habituée à juste des sous-textes très souvent involontaires (en plus il a le même prénom que mon frère qui est aussi autiste mdr). mais ça m'a fait plaisir de voir que Rose était attentive à son trouble, ça c'est mon comfort character <3 !!
par contre vu que les auteurs savent que les personnes autistes existent, j'aurais aimé que ça se fasse peut-être plus tôt parce que je suis sûre que Marlène, Arlette et Le Goff (dans la saison 3) sont autistes (et vraiment sûre de chez sûre pour Arlette).
J'adore Rose, je veux tellement la voir avec une femme (Gréco si possible svp) purée, c'est tellement une high femme, je l'aime (son costume noir là cette femme est LESBIENNE !!!!). Et la scène avec Annie à la fête chez les patrons de l'agence.. je veux juste des lesbiennes pitié. aussi j'ai failli oublier mais j'adore le fait qu'elle soit toujours autant féministe, et même plutôt radicale pour son milieu (c'est sûr elle a lu dworkin ma vie)
En parlant des patrons, j'ai bien aimé la directrice de l'agence, surtout son jeu et ses robes :').
aussi, c'est plus général mais j'adore voir des acteurs et des actrices que j'ai déjà vu soit dans d'autres épisodes de la série soit ailleurs !
pour les points plus négatifs, la romance d'Annie m'a ennuyé, je trouvais que quitte à lui donner un love interest masculin, elle avait plus d'alchimie avec François de l'épisode 2 (peut-être parce que ce personnage a un nom de famille sépharade aussi).
le truc Rose/Max j'ai soufflé, à chaque épisode j'ai peur qu'ils les mettent ensemble (ex : la bande annonce de l'épisode 5) et là j'ai vraiment eu peur, en plus qu'elle l'empêche d'avoir un rendez-vous.
aussi le fait que le garçon autiste soit un pervers (je dis pas que ça n'existe pas) est peut-être pas le meilleur move quand c'est le premier personnage canoniquement ayant ce trouble dans la série mais personnellement ça ne m'a pas trop dérangé, ils pourront toujours rattraper leur coup.
mais ces deux premiers points m'ont assez gêné, d'autant plus que j'ai toujours un peu du mal avec Blum. je vais développer vite fait mais la relation Marlène/Swann était différente parce que même si Marlène avait une obsession pour le commissaire de la même manière que Blum, il y a dans la saison 3, même si les rôles des sexes sont inversés, un déséquilibre des pouvoirs et un homme harcèle littéralement une femme puisqu'elle lui a explicitement répété à plusieurs reprises qu'elle n'était pas intéressée. en plus, je trouve que la blague s'essouffle assez vite et j'aurais aimé voir Bob un peu plus !!
mais malgré ça, j'ai passé un bon moment, j'adore ce trio !!
mais si je devais faire un classement des épisodes de la saison 3, je pense que ça serait :
épisode 2 (celui avec les mannequins)
épisode 5 (le bar)
épisode 1 (beaucoup parce qu'on découvre le trio 💙)
épisode 3 (chirurgie esthétique)
épisode 4 (groupe de musique, presque à égalité avec le 3 parce que les deux ont des très bons points forts mais aussi quelques points faibles)
épisode 6 (je l'ai bien aimé mais il est avec un net écart après le 4)
bref, il a apparemment fait 3,5 millions d'audience, j'espère que ça va encourager la production et france 2 à ne pas annuler la série.
et j'ai trop hâte pour le prochain épisode, je le sens bien, il y aura des cosmonautes français dans les années 1970s, ça a l'air d'avoir les mêmes vibes qu'OVNI(s) qui est une série que j'adore :') !!
#les petits meurtres#les petits meurtres d'agatha christie#french stuff#french tv show#french side of tumblr#up the baguette#sophia talks#je suis pas une très bonne critique mais j'avais envie d'en parler#bref la prochaine fois je vais parler de mon rapport en tant que lesbienne butch à la caractérisation d'Alice après le miroir se brisa#et je vais dessiner Rose avec une petite amie butch
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18 mars
l’autre jour j’ai de nouveau rêvé de mon fan musicien de la maison poème et puis hier il est apparu dans les trois petits ronds des vues de mes stories et tout d’un coup j’avais envie de sortir avec lui, qu’il m’apprenne à composer de la musique et qu’on chante des chansons douces ensemble comme dans une comédie romantique pour ados, ou juste la la land, oubliés mes rêves de dj lesbienne les seins à l’air les bras musclés, je voulais juste être la muse d’un musicien bouclé qui joue de la guitare et qui a eu le malheur de me montrer qu’il avait de l’intérêt pour moi, même si c’était dans le noir et qu’on s’est pas parlé et qu’il me trouve très probablement moche, puisque je suis moche. mais hier en traversant le pont qui enjambe le rhône je me suis dit: et si je me reconvertissais à l’hétérosexualité? j’en ai marre d’être lesbienne, ça mène à rien. et puis j’ai pensé à magdalena du workshop de bruxelles, quand sofia avait demandé à plusieurs personnes du public leur orientation sexuelle pendant son stand-up (décidément, c’est une obsession), tout le monde avait répondu un truc plus ou moins cryptique ou drôle et magdalena avait simplement dit i’m bisexual, le plus sérieusement du monde. peut être qu’elle pourrait devenir mon nouveau modèle de bisexuelle.
l’autre soir s. tirait des plans sur la comète et elle a décidé qu’on irait voir le spectacle de la compagnie de danse dont fait partie magdalena à prague, juste après le festival de perfomance à genève en mai, et mon coeur a fait un bond, j’avais envie de leur parler de laura a. mais impossible, alors j’ai laissé échapper and i’ll see magdalena! et s. a dit who’s magdalena? et le plus fièrement du monde j’ai dit she’s a dancer of the company. je CONNAIS une danseuse de la compagnie. j’en connais même DEUX, dont une avec qui j’ai vécu une petite histoire d’amour non aboutie dans un univers parallèle. les danseuses sont mes rockstars. mais elles avaient pas l’air impressionnées plus que ça. au workshop à bruxelles, pendant un des exercices, elle faisait des mouvements de va et vient de sexe contre tout ce qu’elle trouvait dans la salle et ça me faisait penser aux trucs que font la horde au ballet national de marseille et maria metsalu et le young boy dancing group et puis toute la scène berlinoise aussi et ça rejoint les textes de l’anthologie douteuse d’élodie petit et de marguerin le louvier et ça semble être un truc très en vogue en ce moment, le sexe? ça me fascine un peu et en même temps ça m’exaspère parce que je me dis, that’s all you were able to come up with? je veux vous voir danser, pas baiser. mais en même temps, je suis très très obsédée par la bande annonce de the well de maria metsalu où deux danseuses sont collées l’une à l’autre de manière très sexuellement chargée en ondulant du corps sur de la musique lancinante et inquiétante. c’est sensé se passer au fond d’un puits et c’est sensé être une fille et son double, je crois. je meurs d’envie de le voir.
f. s’est levée à midi, ce qui m’a laissée toute la matinée pour écrire tranquillement installée sous ma couette sur le canapé. on a mangé du pain noir avec de la confiture, ma pomme de hier coupée en quartiers et des oeufs durs qui étaient sensés être des oeufs à la coque. après ma douche dans la cuisine elle m’a demandé si elle pouvait voir mes seins, parce qu’ils vont les lui opérer à peu près à la même taille que les miens, alors j’ai posé mon tshirt et mon soutien-gorge et elle les a soupesés pour comparer avec les siens et j’ai soupesé les siens et je lui ai dit que j’avais des complexes parce qu’ils pendaient trop et elle disait que c’était normal, non? et j’ai dit je sais pas, je connais pas trop d’autres poitrines. quelle tragédie. je suis déjà ressortie de ma brève rechute dans l’hétérosexualité. je pourrais aussi tout simplement accepter ma bisexualité, mais ça m’amuse de faire des sauts de l’un à l’autre comme ça. la fluidité c’est trop chiant. c’est plus intéressant de me couper en deux, d’être deux personnes à la fois, ou pas à la fois justement mais de passer de l’un à l’autre, comme si je traversais une frontière à chaque fois, comme si je passais dans un autre monde, un autre royaume, le royaume dj les seins à l’air les bras musclés et le royaume muse de r.d. le musicien. sauf que j’ai jamais été les seins à l’air, ni la muse de qui que ce soit encore.
quand je suis avec s. je me sens automatiquement plus masculine. c’est très bizarre. j’avais tout le temps peur que, maintenant qu’elle a visiblement plus de crush sur moi, elle me trouve chiante. j’étais persuadée qu’elle se demandait ce qu’elle avait bien pu me trouver à prague. j’étais soulagée qu’elle ait plus de crush sur moi mais en même temps j’aime bien quand je plais aux gens, ça me donne confiance en moi, alors forcément quand je leur plais plus j’en perds un peu. en plus j’avais tout le temps peur qu’elle croit que moi j’avais toujours un crush sur elle, ce qui n’est absolument pas le cas, mais je pouvais pas m’empêcher de me sentir un peu ridicule. je suis exaspérante.
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Quand tu seras, petit(e) !
Autant l’admettre tout de suite : je ne suis pas encore conçu ou conçue. Ce qui implique que je suis encore loin d’être né ou née. Il faudra pour cela que mes parents se rencontrent. Par pur hasard, bien sûr, qui fait si bien les choses. J’imagine qu’ils se seront aperçus une première fois dans une librairie. Elle aura vu qu’il s’intéressait au Procès de Kafka, livre qu’elle a lu et apprécié elle aussi. « Beau gosse avec ça ! » a-t-elle pensé en se dirigeant vers un autre présentoir. Or quelques jours plus tard la scène se répète dans la rue. Sauf que c’est lui cette fois qui l’a vue arriver de loin. « Très jolie ! » s’est-il dit, mais comment l’aborder ? Son cœur est peut-être déjà pris ? Une idée pourtant : faire semblant d’être perdu. Lui demander le chemin. Comment ça, elle sourit ? Elle me demande même comment j’ai trouvé Kafka ? Elle m’a vu dans le librairie l’autre jour ? Ça alors��! Et si on allait boire un café ensemble pour discuter du Procès ? Dans cette taverne là-bas, d’accord ?
Ils se sont donc plu. Ils se sont revus. D’abord parfois, puis souvent. Et à chaque rendez-vous ils se sont « plu de plus en plus ». Ils ont fini par se tutoyer. Ils ont parlé de Kafka, mais pas seulement. Ils ont voulu savoir ce que l’un et l’autre « faisaient dans la vie ». Quels étaient leurs études, leurs goûts, leurs passe-temps, sinon leurs craintes et phobies. Et la réaction de l’autre fut souvent : « Moi aussi ! » Or quand on se plaît à ce point, pourquoi ne pas rester ensemble ? D’abord toute une journée, puis toute une nuit. Soi-disant pour « dormir ensemble », sauf qu’ils ont très peu dormi.
Et c’est là que c’est bien parti pour que moi j’existe un jour. Car sur les dix millions de spermatozoïdes de « mon père » – je peux désormais l’appeler ainsi – c’est le mien qui l’a emporté. En adresse, en vitesse, en stratégie de survie. L’emporter sur dix millions, vous imaginez le travail ! Or l’idéal d’un spermatozoïde, c’est de rencontrer un ovule. En l’occurrence, c’est « mon » spermatozoïde (entendez celui de mon père) qui a trouvé « mon » ovule (entendez celui de ma mère), la fusion des deux faisant un futur humain, la promesse d’un organisme qui sera peut-être moi, si la grossesse de « ma mère » – je peux désormais l’appeler ainsi – se passe normalement.
En attendant, je ne suis qu’un embryon, un organisme vivant certes, mais pas plus vivant que la graine en terre qui deviendra blé, puis pain, biscuit ou gâteau. D’ailleurs, à ce stade-là, suis-je conçu ou conçue ? Réponse : on ne le saura que dans sept semaines. Comme tous les embryons humains, je développe bien sûr un système reproducteur, avec des organes appelés « gonades », mais qui restent sexuellement neutres pendant environ cinquante jours. Pendant ce temps, qui est plus long qu’un carême, j’aurai encore le choix du sexe, autrement dit, je peux encore devenir une fille ou un garçon. En nageant dans le liquide amniotique, bien nourri par le cordon ombilical, j’aurai tout le loisir de soupeser le pour et le contre de chaque genre. Pour parler comme le toubib, je serai doté d’ovaires ou de testicules, d’un vagin ou d’un pénis.
Mais tout ça, c’est de l’anatomie que j’apprendrai au lycée. En attendant, ce qui m’intéresse, c’est ce cocon moelleux, ce petit monde clos dans lequel je baigne. Car désormais je ne suis plus un embryon mais un fœtus. Mon cœur a commencé à battre, j’ai une grosse tête avec des trous d’yeux, de narines et d’oreilles. Et vous avez vu ces moignons, qui annoncent déjà mes bras et mes jambes, puis mes mains et mes pieds ? Mais il me faudra encore sept mois pour devenir un vrai bébé, un qui entend et qui parle, qui gigote ou donne des coups de pied dans le ventre de sa mère.
Or c’est au bout de ce laps de gestation, alors que je suis bien habitué à mon petit nid – qui est d’ailleurs devenu de moins en moins petit tout au long des mois – qu’un branle-bas se déclenche. Ça vibre et secoue, ça tremble et tressaille. C’est comme si quelqu’un criait : « Allez hop, mauvaises troupes ! Assez fainéanté ! Sors de là, et plus vite que ça ! » Sortir, moi je veux bien, mais par où ? Il n’y a qu’un seul chemin, une voie étroite d’ailleurs, mais j’inventerais n’importe quel prétexte pour pouvoir rester. Car on sait ce qu’on a, mais on ignore ce qu’on aura ! Dehors ils appellent ça la vie. C’est l’air libre, on est bien d’accord, mais aussi des courants d’air, des maladies, des accidents, peut-être la guerre. Et c’est pour ça qu’avec mes organes phonatoires désormais opérationnels, je lancerai dans ce nouvel espace acoustique un grand cri, mon cri primal en quelque sorte, qui fera sourire ma mère et l’accoucheur. Mais qui ressemble à celui de Joseph K. à la fin du Procès. Peut-être parce qu’on ne comprend pas plus pourquoi on est condamné à vie que condamné à mort ?
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Vieillir jeune...
C'est souvent que les gens de ma génération, qui ont donc entre 85 et 95 ans, font des allusions --rarement ''que réjouissantes''-- à leur âge. A la question rituelle ''Comment vas-tu ?'', ma réponse unique –pour éviter d’avoir à répondre !-- est : ''Comme les jeunes !'', la provocation étant si évidente que le questionneur passe à autre chose... Lorsque j'ai eu un de mes 2 cancers, je me plaignais un jour devant mon fils Emmanuel de la fatigue, de la lassitude, et de l'impression de ''ne plus en pouvoir'' qui sont une des conséquences de ce mal. Il m'a bloqué : ''Arrête, avec ton cancer ! Ta seule maladie, c'est ton année de naissance'', analyse que j'ai, depuis, faite mienne : du coup, je fais sans cesse des plans à 20 ans, sur tous les sujets !
Tout ça pour vous dire que l'Insee vient tout juste de publier une étude que je trouve passionnante (''1934'' oblige !) sur les centenaires français... Et comme tout être actuellement vivant peut être un candidat à cette modification de l'état civil qu'est le Centennat, je pense utile de la partager avec mes chers contemporains des deux sexes (car un des rares avantages qu'il y a a avoir notre très grand âge, c'est que personne ne vient nous titiller en nous susurrant vicieusement que, bien que vivant comme un homme depuis pas loin de 90 années, j'étais peut-être une ex-nana qui s'est ignorée tout ce temps-là, ou que mes amies d'enfance, par ailleurs arrières grand-mères comblées, pourraient être des mecs avec tous leurs défauts : sans hormones a-sexuantes et sans chirurgie castratrice, on laisse leurs idioties aux imbéciles qui se croient révolutionnaires en proférant des insanités dystopiques.
La France, mes bien chers frères, qui va si mal dans la totalité de tous les autres domaines, cercles, secteurs, villes et villages, métiers, tranches d'âge, etc... est et reste donc, cette année encore, une sorte de paradis pour ''vioques'', nous confirme l'INSEE : juste derrière le Japon, nous sommes bien installés sur le podium, avec plus de 30 000 centenaires en stock, et en progression notable... pendant qu'une partie de la jeunesse et nos ''actifs'' syndiqués foutent le pays en l'air en refusant de voir ce qui, pourtant, crève les yeux, et en psalmodiant des slogans ''hors sol'', de Bastille à Nation (Nous sommes les seconds en longévité, mais les premiers en connerie, ça c'est sûr !). Contre ce que dit la Gauche et ce que croient entre 70 et 90 % des français, nous caracolons, hardi, petit, devant l'Espagne, l'Italie et la Suisse... ce qui n'est pas rien. A titre de comparaison, les centenaires étaient 1610 en 1970, et... 16 288 en 2010 – soit presque un doublement entre 2010 et 2022 !
Un détail amusant : la progression a été régulière à (+ 8 %) par an... sauf de 2015 à 2019 où on a constaté une chute très nette... due (ont dit les démographes) au déficit de naissances qu'il y a eu entre 1914 et 1918. Autrement dit, je puis déjà vous annoncer qu'il y aura un déficit de centenaires en Russie et en Ukraine dans les années 2120 : jamais ce blog n'a mérité son nom Comprendre demain comme aujourd'hui ! Depuis, la courbe a repris sa pente, avec un (+ 15 %) régulier... qui aurait pu être plus élevé –car rien n'est jamais simple-- sans un léger fléchissement de la courbe pour cause de covid. (NB : il faut dire que, avec tout ce qu'on a fait subir aux vieux, rebaptisés ''les plus vulnérables d'entre nous'', ce qui a autorisé –soi-disant-- à les tuer en masse, via le confinement, la solitude, les intubations, le Rivotril obligatoire (le monstrueux décret du 29 juin 2020), le vaccin inapproprié et le masque inutile obligatoires, l’interdiction de sortir et/ou de recevoir la moindre visite etc, ils avaient toutes les raisons de quitter à jamais ce pays de dingos...).
Loin derrière notre fierté nationale Jeanne Calment et ses 122 anniversaires au compteur... (Jolie perf' !), et derrière sa ''demoiselle d'honneur'' la religieuse Sœur Andrée –seulement 118 printemps recensés-- la moyenne de nos centenaires se situe à 103 ans et notre nouvelle doyenne, elle, n'a ‘’que’’ 112 ans... (NB : elle ne peut qu'améliorer son record personnel, ce que nous lui souhaitons, avec une immense tendresse). Mais le point sur lequel je voudrais insister, c'est que, en cas de continuité des conditions géopolitiques qui prévalent actuellement (c’est-à-dire en l'absence de guerre nucléaire, pour appeler les choses par leur nom), les projections relatives au nombre de nos centenaires, qui est actuellement de 0,04 % de la population française, devraient continuer à augmenter, en nombre et en pourcentage. Jusqu'à ce que, selon les Experts ès-vieillerie, le nombre de centenaires atteigne logiquement, voire dépasse les 76 000, soit 0,1 % de la population française, en 2040--et ça, c'est après-demain ! Mais ce n’est pas tout !
Les prévisions annoncent 156 623 centenaires en 2060 et 211 482 en 2070 (admirez la précision, illusoire, des chiffres !), et on comprend de moins en moins le néfaste combat d'arrière-garde de nos manifestants pour gagner ''epsilon %'' aux prochaines élections syndicales, d'autant plus que les démographes les plus optimistes parlent d'un véritable saut quantique, valable pour toutes les tranches d'âge, même après les 64 ans objets de toutes les fureurs Pauvre France ! (NDLR: mon ‘’non-macronisme’’ revendiqué garantit que cette opinion est non-influencée).
On trouve aussi, dans cette étude, des considérations parfois surprenantes. Par exemple : 86 % de ces centenaires sont des femmes (elles sont bien plus malines que nous : c'est elles qui nous ont fait croquer la pomme... et nous ont fait trouver ''ça'' délicieux !). Et ''in cauda chocolatum'' : plus de la moitié des centenaires vit ''à la maison'', et très grand âge n’est donc plus toujours synonyme de dépendance, de naufrage, ou EHPAD... ce qui est une superbe nouvelle, reconnaissons-le.
Autre nouvelle, excellente pour les uns et atroce pour les autres : les suicides de vieux –quasiment absents des statistiques nécrologiques-- vont faire une entrée en fanfare (mais sans fanfare, en même temps ! ) dans la littérature obituaire, et ce, grâce à Macron, qui réussit, par le biais détourné d'une loi qui ouvre la porte à plein d'excès, à concrétiser son rêve : que son règne, chaotique et cahotique, laisse une trace dans l'histoire pour une raison autre que l'addiction quasi-pathologique au 49-3 ou que la californisation osée du 9-3 : pour que la mort des vieux devienne une option ''au choix'', surtout des héritiers. (On parie ?) (NB : à la condition que son suicide-par-un-autre soit comptabilisé en Suicides et non dans les Assassinats).
Car les Attali, Minc, Aurore Berger, Méchencon et tant d’autres de ces catastrophes ambulantes pour la France et les français, nous ont prévenus, cent fois, mille fois, que ces ''bouches inutiles'' que sont les vieux étaient en trop et de trop, et la Presse vendue est tombée dans leur piège mortel. Notre bêtise nous tuera, et il ne servira à rien d'écrire en lettres de sang ''Untel ma tuer''... comme on vient de le faire pour Hollande, sur le nucléaire : quand le mal est fait, ''après l'heure, c'est plus l'heure'' !
Couac il en soit (celle-là, je l'aime bien !), seul l'espoir fait... survivre, et demain nous appartient, chers amis octogénaires avancés –que je préfère qualifier de ''Onctueux-génaires'', et bientôt sans âge, puisque nous serons ''non-âgenaires'' en attendant notre ''Centennat-bon-pied-bon-oeil'' qui, si on en croit le poncif bien connu, n'a jamais été aussi près qu'aujourd'hui... Haut les cœurs, ô mes frères futurs centenaires : la statistique et l'INSEE nous ouvrent tout grand le chemin !
H-Cl.
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Le monde en brèves en vrac (1er juillet 2023). Le centre-ville de Grenoble a vécu des pillages de magasins de vêtements la nuit passée: une razzia sur les burkinis? / Souvenir d’un dessin de Pétillon dans Le Canard enchaîné: une mère annonce avec émotion à son mari avoir surpris leur fils essayant un vêtement de leur fille, « Ahmed portait le voile de sa sœur en se regardant dans le miroir! » Pride, bro! / Dans le bus, début 2022, une dame à une autre: « Zemmour est fou. Moi mon petit-fils est métis. Toute la France est métissée. » / Lors de la visite presse de l’exposition du trésor de l’abbaye Saint-Maurice au Louvre pour les 1500 ans de la création du monastère, en 515, dans le canton du Valais, une conservatrice du musée raconte la vie de saint Maurice d’Agaune, Chrétien d’Egypte avant le schisme copte, originaire de Thebes en Haute Égypte, dont la peau foncée indiquait plutôt qu’il était originaire de Nubie, plus au sud. La cathédrale de Magdebourg en Allemagne lui est conjointement dédicacée avec Catherine, la grande sainte d’Alexandrie qui fut martyrisée avec une telle violence sur une roue que celle-ci se cassa sous les coups infligés à la martyre. A Magdebourg, la statue du saint montre sa carnation noire, « une altérité négative, à l’époque », rappelle la conservatrice. / Durant le « printemps arabe » en Égypte, la police avait tiré sur les manifestants, brisant la confiance du peuple en cette institution. Au président Hosni Moubarak, succéda Mohamed Morsi, président du parti Liberté et justice, une vitrine des Frères musulmans. L’armée le renversa au bout d’un an et trois jours. Un ami français qui avait vécu en Égypte pendant plus de dix ans regrettait la dictature de Moubarak: « au moins, il n’y avait pas de délinquance, marqueur de la démocratie. » Ses paroles n’engagent que ceux qui y adhèrent. / Je n’ai jamais compris ce glissement pernicieux de certains lexiques: les transports en commun sont devenus les transports, les cités de banlieues sont devenues les quartiers, fumer un joint est devenu fumer, les refus d’obtempérer sont devenus la norme. Wesh. / On murmure que le Vatican serait pressenti comme médiateur de l’insurrection qui embrase la France, pour son expertise sur le sexe des anges. Chérubins, séraphins, archanges et Satan lui-même, ange déchu, sont attendus à tire-d’aile. / Ne pas confondre les expressions tirer son coup et tirer sa révérence. / Mauvaise année pour les poubelles. Laissez les ripeurs reposer en paix! / Enfîn, retour à Grenoble où la boutique Lacoste a été pillée. Généralement cette marque blanchit l’argent de la drogue à son corps défendant, comme toutes les marques choisies par ces jeunes qui gagnent de l’argent en chouffant, verbe dont on attend l’entrée dans le Larousse 2025. Un journaliste interroge un voleur à capuche: « Pourquoi faire ça? - C’est pour Nahël! » Le gars, y ment.
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MERCREDI 19 AVRIL 2023 (Billet 2 / 4)
Maïlys, notre nièce, en ce moment en vacances avec sa petite famille (Jérôme, Salhomé et Louca) dans un magnifique Riad proche d’Essaouira (nous vous montrerons des photos à la fin de la semaine) est enceinte… et, nous le savons depuis peu, ce sera un garçon.
Si le couple n’a fait aucune cachoterie sur le sexe de l’enfant, par contre le choix du prénom restera une décision intime entre eux deux. Les 2 enfants seront sûrement associés.
Pour les aider, nous avons trouvé amusant de leur faire suivre cet article publié dans la Newsletter du Bottin Mondain.
Chers Maïlys, Jérôme, Salhomé et Louca, ce Billet est pour vous.
______________________________
Cette année encore le Bottin Mondain est heureux de partager avec vous le palmarès des prénoms les plus donnés en 2022. Suivez-nous pour en lire les tendances !
Entre 2021 et 2022, chez les garçons, nous avons le plaisir de vous annoncer que le prénom Louis reste en tête du peloton. Paul et Joseph disparaissent des dix premiers rangs tandis qu’Augustin remonte de la sixième à la deuxième place et qu’Arthur redescend en cinquième position. Edmond surgit en troisième place et Maxence en quatrième. Léopold, Achille, Amaury, Georges et Martin disparaissent pour laisser la place à Calixte, Charles, Côme et Eloi. Le Bottin Mondain reste fidèle aux grands saints !
Contrairement aux garçons, chez les filles, l’on ne retrouve curieusement aucun prénom similaire à l’année 2021 en 2022 ! Même l’indétrônable Marie disparaît au profit de Thaïs qui se hisse en première place, suivie par Castille, Aliénor, Brune et Céleste. Les saintes et les reines de jadis inspirent néanmoins toujours autant. Adieu Joséphine, Isaure, Philippine, Sixtine, Zélie, Agathe, Albane et Camille ! Bonjour Laëtitia, Adélaïde, Jacinthe, Jeanne et Léonore.
Ci-dessous, le Palmarès des prénoms « Garçons et filles » :
Question pour un « Cinéphile Champion » ?
Quels étaient les prénoms des enfants interprétés dans le film de René Clément « Jeux Interdits » (1952) par Georges Poujouly (11 ans) et Brigitte Fossey (5 ans) ?
Vous donnez votre langue au chat ?
Ne cherchez plus, c’était Michel et Paulette…
A l’époque, Paulette devait être un prénom super-attendrissant pour une petite fille blonde aux yeux bleus.
Entre parenthèses, même dans un film en N&B, on « voyait » que des yeux pouvaient être bleus. Cf Michel Morgan dans « Quai des Brumes ».
NB Nous vous remercions de noter qu’on peut apprendre plein de choses dans le Blog… Tant pis pour ceux qui le lisent en diagonale !
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Courtage du sexe, le courtier inscrit les numéros de ses locataires sur un site porno. Deux ans, dont six mois ferme, c’est la peine infligée à Fodé Keïta, par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Courtage du sexe, Fait divers,Courtage ,sexe ,courtier , numéros , locataires , site porno,senegal, Courtage du sexe : le courtier inscrit les numéros de ses locataires sur un site porno Âgé de 35 ans, le prévenu a été reconnu coupable hier, de diffusion d’écrits contraires aux bonnes mœurs, tentative d’extorsion de fonds, menace, violence et voie de fait au préjudice des sœurs, Monique et Sophie Dione. Courtier, demeurant à Liberté 6, Fodé Keïta avait fait des annonces de location sur Facebook. C’est dans ces circonstances que Sophie et sa petite sœur, Monique Dione, sont entrées en contact avec lui, pour disposer d’une chambre. Mais, Fodé Keïta avait remis aux deux jeunes filles le numéro du bailleur, pour leur permettre de visiter la pièce. A lire aussi Aliou Cissé Publie La Liste Des Joueurs pour les Éliminatoires Can 2023, Vendredi Après cette étape, le logeur a exigé deux mois de caution aux frangines qui se sont exécutées en lui versant le montant en mains propres. Monique et Sophie vont s’installer dans la chambre. Refus des deux sœurs de céder à son chantage Mais, elles se sont attirées les foudres de Fodé Keïta, qui leur réclame l’équivalent d’un mois de loyer en guise de commission, sous peine de nuire à leur réputation. Devant le refus des deux sœurs de céder à son chantage, Fodé publie le numéro de Monique Dione, accompagné de la photo de nu d’une autre fille et d’écrits salaces sur un site de prostitution. Comme si cela ne suffisait pas, il menace ses deux victimes de passer à la vitesse supérieure. Monique recevait des appels incessants d’hommes qui lui ... Devant le tribunal de Dakar statuant en matière de flagrants délits, pour tentative d’extorsion de fonds Pendant ce temps, Monique recevait des appels incessants d’hommes qui lui proposaient des parties de galipettes. Atterrées, Monique et Sophie Dione estent en justice. Traduit hier, devant le tribunal de Dakar statuant en matière de flagrants délits, pour tentative d’extorsion de fonds, écrits contraires aux bonnes mœurs, menace, violence et voie, le prévenu déclare qu’il voulait juste donner une bonne leçon aux parties civiles. « Elles ont directement finalisé avec le bailleur sans pour autant m’associer aux négociations. C’est ce qui m’a mis en rogne. Et je me suis vengé en publiant le numéro de Monique sur un site pornographique », a-t-il admis. Interrogée sur les faits, Sophie Dione narre que le prévenu la harcelait d’appels téléphoniques. « Quand il m’a demandé une commission, je lui ai conseillé d’en parler avec le logeur, car aucune obligation ne me noue avec lui. Mais, il nous a traitées d’ingrates, avant de présenter Monique comme une fille de joie. Après sa publication, il m’a envoyé un message pour me dire : « Je n’en ai pas encore fini avec vous », affirme-t-elle. Monique a, quant à elle, allégué qu’elle continue à recevoir des propositions indécentes. D’après Rewmi, le maître des poursuites a invité le tribunal à réprimer à la hauteur de la gravité des faits, pour éviter toute récidive. A lire aussi Le Trophée De La Can À Matam, Ce Mardi Il a ainsi requis deux ans, dont six mois ferme. Le conseil de la défense a sollicité une application bienveillante de la loi, soutenant que le parquet ne peut pas être plus royaliste que les plaignantes, qui n’ont rien demandé. Placé sous mandat de dépôt le 20 mai dernier, le maître-chanteur a finalement écopé de deux ans d’emprisonnement, dont six mois ferme.
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Janvier 2023 : "Gender Recognition Act" bloqué (UK) & Projets de lois trans/phobes (USA)
Comme d’habitude on va débuter avec la France. Ce mois-ci 3 infos à partager.
Une première info positive :
La section Éthique et Déontologie du conseil national de l’Ordre des Médecins a émis un avis positif quant à une prise en chargedes chirurgies pour les mineur·es trans. Ça concerne seulement le cas des mastectomies pour les mineurs transmasc’ puisqu’il est positionné sur le même plan que les chirurgies esthétiques et/ou réparatrices chez les mineur·es qui seraient cis. Comme ça pourrait être le cas avec une gynécomastie par exemple. (Gynécomastie qui, je le rappelle, est une croissance anormale de la poitrine chez les mecs cis.)
La réponse de la section indique je cite, que « dès lors que des actes de chirurgie esthétique peuvent être pratiqués sur des mineurs, une torsoplastie effectuée dans le cadre d’une transition de genre pourrait être considérée comme un acte de chirurgie réparatrice ou reconstructrice [...] et être pratiquée sur un mineur après information et consentement de ce dernier et des titulaires de l’autorité parentale. »
Au passage petite annotation personnelle de vieux grincheux qui aime bien râler : le terme de « torsoplastie » est, à tort, de plus en plus utilisé pour parler de mammec’ (alors que chirurgicalement ça n’a a rien à voir), mais il est en fait bien question de mastectomie ici hein. On ne parle pas de BMS.
Bref, en tous cas, c’est quelque chose de positif.
Deuxième info :
La ville de Paris va ouvrir à partir de mai 2023 2 espaces consacrés à la communauté LGBTQ+.
Un premier espace qui sera un lieu d’accueil pour les personnes les plus vulnérables et stigmatisées de la communauté, donc ça comprend bien évidemment les personnes trans.
Le lieu sera géré par 7 structures :
l’ARDHIS (qui est une association pour la reconnaissance des droits des personnes homo et trans à l’immigration et au séjour),
OUTrans (qui est une asso d’auto-support trans parisienne),
l’ANKH (qui gère les victimes de LGBTQI+phobies dans les pays du Machrek et du Maghreb),
Wassla (qui est une asso plutôt orientée vers un public LGBTQI+ arabe de ce que j’ai pu comprendre),
l’Espace Santé Trans (qui est une asso qui rassemble des militant·es et professionnel·les de santé trans et cis pour améliorer l’accès et la prise en charge de la santé des personnes trans),
le FLIRT (qui est un collectif transféminin)
et XY Média (qui est un média transféministe francophone).
Ce lieu permettra de mettre en place des permanences et groupes de paroles. Il y aura également la mise en place du tout premier centre national d’archives LGBTQ+ dédié à la mémoire des minorités sexuelles.
Et troisième info assez rapide, la CEDH (la Cour Européenne des Droits de l'Homme) a émit son refus de faire figurer la mention de "sexe neutre" sur l'état civil d'une personne intersexe strasbourgeoise malgré ses nombreuses requêtes.
Quelques news concernant nos ami·es britanniques. Quelques semaines après son vote au Parlement écossais, le gouvernement britannique, à travers son Premier ministre britannique Rishi Sunak, a bloqué et stoppé la réforme du "Gender Recognition Act". J’avais parlé de ce projet de loi dans le dernier T-News en expliquant que la loi permettrait aux personnes trans de changer plus facilement leur mention du sexe à l’état-civil, et que ça avait été adopté. Pour la première fois depuis la création du Parlement écossais, le gouvernement britannique a exercé son droit de veto. On en est là par transphobie quand même. Le Pays de Galle a condamné ce blocage. L’Écosse aussi. Il y avait déjà des tensions entre l’Écosse et l’Angleterre, donc là, cette histoire ne va rien arranger entre les deux.
Depuis cette annonce, différentes mobilisations, comprenant jusqu’à plusieurs centaines de manifestant·es, ont eu lieu pour dénoncer ce blocage.
Deuxième info, le Scottish Rugby a modifié ses critères d'éligibilité de sa politique de participation relative au genre. Il va suivre les recommandations de World Rugby et du groupe pour l'égalité des conseils sportifs en ne permettant qu’aux personnes ayant été assignées femme à la naissance de pouvoir participer au rugby féminin. Ça ne vaut que pour la partie du sport où il y a du contact. (Parce qu’apparemment il existerait une version du rugby sans contact.) Ça n’impacte que les femmes trans, pas les mecs trans qui, eux, peuvent continuer de jouer en équipe masculine. Cette nouvelle règle sera appliquée à partir du 1er février 2023.
Troisième info, lors d’un rassemblement une activiste Gender Critical britannique a cité et fait référence à Adolf Hitler pour justifier la lutte contre les personnes trans. Rien que ça..
Alors ce n’est pas nouveau à proprement parlé. Les discours antisémites (et complotistes) reviennent et se croisent souvent avec les idées transphobes de ces groupes là. On en a encore une fois la preuve.
Quatrième et dernière info, le secrétaire à la Justice du gouvernement britannique a déclaré que les femmes trans qui, je cite « ont des organes génitaux masculins » ou qui ont été condamnées pour une infraction sexuelle (donc j’imagine que ça vaut aussi pour tout ce qui peut toucher au travail du sexe) ne seront désormais plus incarcérées dans les prisons pour femmes. (Sauf en cas de « circonstances exceptionnelles ». Alors, reste à savoir ce qui pourra être considéré comme tel… Là, au vu du communiqué, le fait d’avoir fait modifier ses papiers, ou d’avoir transitionné depuis longtemps, ne changeraient à priori pas le type d’incarcération si les femmes trans rentrent dans une des catégories citées.)
Les 2 types de catégories évoquées n'ont aucun lien l'une avec l'autre donc c’est étrange de les raccorder entre elles.
Clairement ça a juste pour but d’accentuer encore davantage la violence que vont subir ces femmes (parce que c’est ce qu’il se passe pour les femmes trans en prison, il y a des cas de viols et d’agressions répétés).
Une info rapide, dans la province pakistanaise du Sindh, un minimum d’1% des sièges des conseils locaux seront désormais réservés aux personnes trans pour leur permettre d’être inclues. Donc info plutôt positive.
Et pour terminer, vous vous en doutez, les États-Unis :
Pour l’instant, plus de 150 projets de loi ciblant les droits LGBTQ+ (au sens large) ont été déposés dans une vingtaine d’états pour 2023. On s'attend à ce que cette année établisse un nouveau record pour les législations anti-LGBTQ+ là-bas. Et que les « gros » projet de lois, plus agressifs (on va dire ça comme ça) ne passent pas mais facilitent le passage des projets de loi considérés comme plus « soft » (mais tout de même négatifs et rétrogrades).
Concernant les projets de loi visant spécifiquement les personnes trans, on a du positif et du négatif.
Comme d’habitude, ce sont toujours les mêmes types de loi qui sont proposées, et ça concerne à chaque fois plusieurs états.
Côté propositions de loi négatives, cela viserait à :
- Interdire les soins d’affirmation de genre pour les moins de 18, 21 ou 26 ans. Sachant que pour l’état du Mississippi, consentir à des soins trans en ayant moins de 21 ans pourrait être considéré comme un crime avec une peine allant jusqu’à 10 ans de prison.
- Mettre fin aux soins d'affirmation de genre pour les jeunes trans, les obligeant à détransitionner médicalement en les retirant de leurs bloqueurs de puberté et/ou de leur hormonothérapie.
- Obliger les agents gouvernementaux (par exemple le personnel d’une école) à informer les parents par écrit d’une "non-conformité de genre" si leurs enfants présentaient un genre autre que celui de leur genre assigné à la naissance.
- Mettre en place plusieurs bathroom bills pour interdire un accès aux toilettes, vestiaires, etc. aux personnes trans.
- Interdire aux personnes trans (y compris mineures) de faire du sport dans un cadre scolaire.
- Définir le drag comme étant je cite "une personne qui s'habille avec des vêtements et utilise un maquillage du « sexe opposé » au sexe de naissance de la personne, en faisant une performance". Donc ça touche aussi aux personnes trans. Comme j’avais pu l’expliquer dans je ne sais plus quel épisode de T-News, ça pourrait impacter une personne trans qui ferait du théâtre, du chant, de la danse, etc.
En cas de violation, ces projets de loi prévoient une sanction pénale.
- Définir le sexe comme n’étant qu’uniquement le « sexe biologique » de naissance. Donc comme à chaque fois que ce genre de projet est présenté, ça vise à bloquer et poser problème pour tout ce qui est relatif à l’administratif.
- Ce qui rejoins un autre projet de loi qui exigerait que les actes de naissance ne comportent que le sexe biologique et interdiraient les marqueurs de genre X – donc neutre ou non-binaires.
- Définir la notion juridique de « père » et de « mère » d’une manière qui exclurait volontairement et explicitement les personnes trans.
- Redéfinir la notion de « matériel sexuel explicite » des livres présents en bibliothèques publiques pour y inclure entre autre « l'identité sexuelle » et « l'identité de genre ».
Alors il y a aussi les notions de « rapport sexuel déviant » et de « perversion » d’ajoutées là-dedans, sans que ce soit vraiment définis dans le projet de loi.
Avec une formulation intentionnellement et suffisamment vague comme c’est rédigé ici, ça pourrait s'appliquer à à peu près tout et n'importe quoi. Ce qui fait que le public, si le projet de loi était amené à passer, serait autorisé à soumettre des demandes de retrait aux bibliothèques concernant des livres qui enfreignent ce projet de loi. Celles-ci seraient alors obligées de retirer le livre soumis à la demande de retrait dans les 30 jours suivant la réception de la demande. Et celles qui continueraient de stocker de tels livres seraient coupables d'un délit de classe B, passible d'une peine pouvant aller jusqu'à 30 jours de prison, d'une amende de 1 500 $, ou des deux.
Donc, sous couvert de « protection des enfants », les lecteurices de tous âges se verraient interdit·es d'accéder à des textes ayant une ou plusieurs thématiques LGBTQ+.
On est sur un projet de loi à visée de censure pure et simple.
Autre chose, une nouvelle peu réjouissante puisque l’interdiction vient d’être signée avec effet immédiat : après l’Alabama et l’Arkansas, c’est au tour de l’Utah d’interdire les soins d’affirmation de genre pour les mineur·es trans.
Les jeunes qui sont déjà sous THS ou bloqueurs pourront à priori continuer de l’être, mais ce ne sera plus possible pour les personnes mineures d’accéder à ces traitements à partir de maintenant dans l’Utah.
Aussitôt annoncé, la ACLU Utah et le NCLR ont indiqué qu’ils entameraient des procédures légales pour contester et tenter de faire annuler ce passage de loi.
Et pour terminer côté projets négatifs, il y a 2 projets de loi qui ont échoués (donc ça permet de faire ma transition vers des infos plus positives) :
- En Virginie, les législateurs ont voté à l'unanimité pour rejeter un projet de loi qui aurait obligé les étudiant·es trans à obtenir une ordonnance du tribunal pour mettre à jour leur nom à l'école.
- Et un second projet de loi, qui a été assez largement moqué, et à juste titre, qui aurait infligé des amendes de 1 500 $ aux personnes utilisant les pronoms des personnes trans qui n’étaient pas associés à leur « acide désoxyribonucléique ». Rien que ça…
Alors, vous vous demandez très certainement d’où sort ce machin et quel est le lien !? Bah écoutez, apparemment et selon le projet de loi, c’est cet acide qui établirait le genre d’une personne. Parce que pourquoi pas après tout !? Bon.. Du coup ce n’est passé et c’est tant mieux !
En terme de loi et propositions de loi positives, nous avons ce mois-ci :L’Illinois qui a introduit le « Patient and Provider Protection Act » qui est une proposition de loi qui protégerait les patient·es et les prestataires de soins d’affirmation de genre (et d'avortement également) contre toute extradition vers leur état d'origine pour des « crimes » consistant à obtenir des soins d’affirmation de genre ou des avortements dans l'Illinois ou dans un état tiers. On a également un projet de loi similaire pour le Minnesota. Un autre projet de loi qui fournirait l'équité en matière de soins de santé trans aux personnes trans du Maryland sous couverture Medicaid. Ça les empêcherait d'être victimes de discrimination dans le cadre de soins d’affirmation de genre (avec les épilations, les chirurgies, etc.)
Et pour terminer, c’est acté, la Californie devient officiellement un état refuge pour les réfugié·es trans qui fuient des états ayant des politiques de criminalisation comme la Floride, l'Alabama et le Texas. Cette loi empêche l'extradition et permet à la Californie d'avoir compétence sur les cas de garde de jeunes trans qui se voient refuser des soins d'affirmation de genre en dehors de l'état.
Quelques autres infos en lien avec les USA :
Le New England Journal of Medicinea publié une étude, comprenant un total de 315 ados trans et non-binaires âgé·es de 12 à 20 ans sur une période de 2 ans de traitement hormonal, qui montre que la santé mentale des ado trans s'améliore considérablement après avoir reçu des soins d'affirmation de genre. Notamment avec une diminution des symptômes de dépression et d'anxiété.
The Trevor Project (qui est un organisme à but non lucratif qui vise à soutenir et faire de la prévention sur le suicide auprès des jeunes queers de moins de 25 ans) a sorti les résultats d’un récent sondage qui montre que près de 86 % des jeunes trans et non-binaires affirment que les récents débats autour des projets de loi anti-trans aux États-Unis ont eu un impact négatif sur leur santé mentale au cours de la dernière année. Ce qui est juste énorme !
45 % d’entre elleux ont été victimes de cyber-intimidation, et près d'une personne sur trois a déclaré ne pas se sentir en sécurité pour aller chez le médecin ou à l'hôpital lorsqu'il ou elle était malade ou blessé·e.82 % des jeunes trans et non-binaires disent que les menaces de violence contre les espaces LGBTQ+, tels que les centres communautaires, les prides, les spectacles de drag ou les hôpitaux et cliniques qui prennent en charge les personnes trans, leur causent souvent du stress ou de l'anxiété.
Je cite pas tous les résultats, comme d’habitude ce sera en barre de description si besoin. Mais ce qui se dégage des résultats c’est principalement de l’anxiété, de la peur et de la colère vis-à-vis des politiques transphobes en cours.
Tout autre chose, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a demandé aux universités d'état de compiler des rapports sur tout financement public utilisé pour fournir des soins de santé d’affirmation de genre à des personnes trans.
Le but est de recueillir un large éventail de données depuis 2018, ce qui comprends le nombre de personnes « diagnostiquées » avec une dysphorie de genre, le nombre de personnes qui ont demandé a bénéficier de chirurgies et traitements ou médicaments qui rentrent dans le cadre d’une transition, etc. Il a été également demandé des informations sur toutes les politiques ou procédures, y compris celles rédigées mais non adoptées, liées aux soins d'affirmation de genre au cours des 5 dernières années.
Officiellement, cette collecte de données est ordonnée pour s'assurer que les administrateurs, je cite "gèrent les ressources institutionnelles et protègent l'intérêt public" de manière appropriée. Mais en pratique, ça tend surtout vers une ouverture pour une suppression du financement de toute institution qui offrirait des soins de ce type, comme ça peut déjà être le cas pour les programmes Florida Medicaid dont une interdiction est déjà en vigueur.
Dernière info avant de conclure :
Le conseil d’administration de l’entreprise Meta a appelé à mettre à jour la politique de nudité de Facebook et Instagram (qui font, toutes 2, parties de la société mère Meta) pour inclure les personnes trans et gender non-conforming. Ça touche principalement la politique de guidelines sur les tétons des personnes perçues comme femmes.
Cette recommandation vient après qu'Instagram ait supprimé une photo de deux personnes couvrant leur poitrine nue pour promouvoir une collecte de fonds pour une mastectomie.
Cette politique impacte les personnes trans, non-binaire mais également les femmes cis. Par conséquent, le conseil a recommandé d’établir des « critères clairs, objectifs et respectueux » qui ne discriminent pas sur la base du sexe ou du genre.
Donc, nous verrons bien si ces recommandations seront mises en place ou pas dans le futur.
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🔗 Les sources :
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reve & journal
le dernier etait le père du garçon, depuis l'accident il sait maintenant dire en français "mon fils est mort" fin de rêve et réveil
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des visions me hantent.. des femmes aux corps sexualisés, le sexe revient comme une annonce publicitaire, intrusif, machinal, inhumain, toc a la porte, simple d’esprit
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Inventions
Un tapis roulant petit format pour pouvoir faire le moonwalk (sur place)
Un pantalon cousu de telle sorte que l'on puisse s'asseoir n'importe où à condition de fléchir les jambes. On ne pourrait malheureusement pas s'accroupir avec un tel pantalon, ou alors il faudrait prévoir deux modes, avec une pièce de tissu à déplacer par exemple
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petit coeur cherche concubine, piètre amant et encore plus piètre causeur reste désireux de trouver partenaire et de partager quelque séance de gymnastique rythmique et de tendresse planifiée ☆☆☆♡♡♡☆☆☆
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Formidables heures du soir, Humeur rose et plumard, En modeste couillard, Le Dugland repose, Fièrement…
Demain camion ! nous nous déplacerons de nuit en folie, Les étoiles n'y brillent pas, Si bien qu'à l'écran, On n'affiche plus le nord.
Ceux qui en souffrent n'y sont pour rien, Mais, voyons… Mon cirque, mon manège lui, commence tard, Quand les soucis mènent au placard, Et mettent à piétiner ce vil héron.
Lorsque cette journée s'achève, Cette vie peut parfois suffire, Confortablement alité, En grotesque gratte couille, En ébranle tourment, Vulgaire échappatoire au sordide grégaire.
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Les moustigres ont une manière de voler surprenante, ils se meuvent assez vite pour leurrer la vision de leur cible et se rendent ainsi invisibles. Malgré leurs antennes à rayures noires et blanches plutôt criardes, la vitesse de leur mouvement rend pour le moins difficile la focalisation de l'oeil sur ce corps devenu zigzaguant tout en étant de surcroît silencieux. Une fois posés, ils piquent en douceur et se gavent du nectar tant convoité. Cela les enivre et accapare leur attention, les rendant ainsi vulnérables.. L'instant d'après ils demeurent au même endroit, aussi plat et rouge que le centre du drapeau (hyp hyp hyp ( ) ) Nippura !
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en classe : - Thomson, baisse d'un ton ! - Sony ! C'est bientôt fini ce bruit blanc ? Là copie vierge de la semaine dernière cela ne suffisait pas peut être..? Pendant l'étude chaque écran diffusait un programme différent, il y avait des plans rapprochés de célébrités ou des vieilles ganaches de cow-boys en noir et blanc ou encore des dessins animés aux couleurs criardes. Parfois les écrans communiquaient en formant des phrases à l'aide de fragments de films ou de séries..
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Question pour ma psy :
Si je me sens allégé, vous sentez vous proportionnellement encombrée à l'issue de la séance ?
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Idées de costume (concert) Un chat jaune à rayures (maquillage) Une belle re Une voiture (style robot humanoide)
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Les réveils sont de plus en plus difficiles Douleur généralisée, souffle court Nez sec.. Je m'endors dans un linceul au tissage d'une finesse de soie. Au motif chinois.. la propagande est sulfurique Macron reçoit les maîtres du monde en bon camarade et se joue une fois de plus des millions de spectateurs dépassés par cet énième fiasco
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Je suce des tombes bien parquées des tombes à l'aperol C'est vraiment sympa Je ne sais pas maîtriser ça Pas d'erreur c'est bien mes bourdes Qui brisèrent la glace Compose le numéro de l'assurance Et touche la dope que je crame d'avance Les francs scandent tort aux exilés Barbelé bien taillé pour les fins lièvres Bousculée puis renversée Une gazeuse ne paye pas le loyer Le canif ne rembourse pas la tente Les affamés s'évanouissent
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1er juin
Les punaises s'accouplent, les coccinelles font bailler leurs élitres, les bourdons butinent des fleurs blanches de jeunes orties, et la lumière crue donne aux yeux une précision que l'hiver avait tu. Mais la migraine ne donne pas encore de fleurs, verrai-je pousser un lotus dans mes yeux bleus amourant la verdure en pagaille ? Bleue la couleur du ciel volée à la mer, insouciant aujourd'hui, caractériel demain. La coccinelle me présente trois points. Trois fois rien. Elle s'abrite du soleil qui tape sous un brin d'herbe. Vient alors Britannica à l'aspect caoutchouteux, en barbouze toute l'année, aux racines bien vissées..!
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Je traverse des paysages. Des tableaux aux milles personnages Tous habillés de shorts Personne n'a son pareil Le guide se glisse discrètement entre les groupes et me présente la rue des oliviers Il y a un tas de noyaux dans le caniveau et des moucherons qui se régalent de farine. Pour ne pas avoir à m'ennuyer je reste muet et je garde grandes ouvertes mes paupières qui surplombent des vallées de cerfs et de violettes. Une plume de goudron, de la bile Ça coule... Tout doux, les grands vomissent les mous, et c'est doux, Tout doux. Comme un bichon qui fait le beau.
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T9 oracle
Pour la première année de collecte et le reste de la semaine prochaine, le temps, et les accentuations de maisons n'ont pas d'objet non plus. Des portes, fenêtres, volets roulants électriques et électroniques de votre commande chez les parents de la part de vos angles en fonction des besoins des entreprises, commerce de gros bisous et bonne journée.
Je suis pas encore si je peux pas faire le bon sens. Prenez garde cependant à ne plus recevoir de nouveau, il y en a qui ne doutent pas trop de monde.
La verdad no se puede hacer el cambio de planes y fondos para los dos, tres dotaciones contra el derecho de acceso al servidor.
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Ma petite personne vous remercie. Merci merci de vous être intéressé à cette petite personne qui vous le rend bien. La voilà qui n'a strictement rien à dire et qui s'endort sur des pétales fanées. La rose s'endort tandis que les travailleurs travaillent. Le phasme, le cloporte, la mante. Personne n'est dupe. Mais personne ne juge non plus. Comment serait-on placé pour juger de la souffrance ? Sentiment peu avenant et stigmatisant. L'alcool est traître et dévoile la cruauté des sentiments. La nausée est là. Pauvre. Tu ne sais profiter gaiement. Pauvre. Ton estomac demande réparation. Pauvre. Vivement demain. Ce soir la douleur et la nausée auront le dernier mot.
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Magnifique pair de moonboots Pas cher peu chère Vous n'en trouverez pas ou peu à ce prix mon chéri Cest les boots à kiki Les moonboots en colori ! En vrai peau de bête Comme les indiens d Amériques
Moooon ! Boooots…. Bottes de lune ohé pierrot Du bateau au semaphosphore Narration baratin baratin baratin
Une vraie peau de lièvre En remontant le tiers fesse ne serait ce pas un litre d'âne quand barbara semporte : Minerve ! C'est superbement dit Quand au sens il tombe sous la fatuité de cette vie
La souffrance est elle une vertu ? Pendez moi au moins la tête à l'endroit
Souffrir c'est vivre encore vivre Il suffit d'un léger détachement pour y parvenir Sourire gentiment et ne plus se faire de soucis Comme un dimanche matin
Il faut s'occuper Oui parfaitement. S'occuper pour vivre Ou ne rien faire Cela rend légume rester planté au champ d'y rougir en mars d'y verdir en avril d'y jaunir en mai etc. (c'est scandaleux) On me dira va t'en toi et tes mauvais augures Et alors j'irai ronchonner comme un gland Tombé du chêne et verreux Le chapeau désarçonné Humide et creux dans un parterre touffu De feuilles mortes et belles comme une mortadelle !
Profite la pub est finie Enfin libre et chéri Vadrouille en bohème Entre les gens gâtés de paresse
Voilà cest chez toi Regarde ; prend conscience De tes sens extraordinaires Stop Barrage de crevettes aux flatulences dépareillées arbre à mousson, bulle gasteropède, mutisme aberrant.
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Gatlif
Danses populaires Tableaux enchantés D'une société parfaite L'harmonie des arts Danses et poésie Ennivree de voyage Les barques sombres dérobent la lumière du fleuve Tableaux silencieux Une musique divertissante Laisse place à des personnages sans noms Coiffures et souliers gras Un rapport au monde marchand Les pigeons sont bien dodus Un ours fait rire des enfants qui machouillent leur rustine Le petit percussionniste qui s'entraîne sur des souliers usés Et les parvenus réchauffent les salles de la Timsoara Tyran tu as détruit la Roumanie… caucescu Ou sommes nous ? Dans quel patelin boueux au dessus ou en dessous de la méditerranée ? On remonte les balcans, la grisaille des terres s'empare des paysages aux essences noueuses Vibraphones, chiens et enfants, tous semblent transits et étourdis par la rapidité et le volume des prestations C'est hypnotisant, cela frappe, les métaphores sont collantes, elles ont peine à se détacher et soulignent un sens déjà épuré par la mise en scène
misère et convivialité La solitude est plus terrible encore et si la fuite ne trouvait sa place dans aucun recoin de la planete terre, serait-on condamnés à errer éternellement, un voyage sans fin, sans repos ni salut Voilà ce que l'on chante
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Envisager sérieusement le retour de ces personnes qui sont de l'immigration, qui ne se sentent pas français et qui n'aiment pas la France dans le pays auquel ils se sentent attaché. Philippe vardon en 2012 chef de file des identitaires nicois
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Je viens des profondeurs de l'infini, tout au bout de ce que l'on appelle la nuit des temps. Lorsque la matière était encore informe et où l'informe n'avait ni couleur ni texture. Dans cette antre logeait le néant.
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La ville était parfaitement calme. Abandonnée comme en plein mois d'août. Dansaient au balcon les maquereaux de la zone vêtus de costards scintillants. Tout était bleu, même le sable rose. Les travailleurs labouraient encore le ciel, de nuit comme de jour. On entendit un soupir depuis les galeries souterraines, suivi d'un cri, silex de cendres.
-À ton silence voici toutes les pièces de mon palais d'or ! Des feuilles vermoulues tombent dans les abîmes silex de cendres, griffe, tu le dois, ce muret. Près de la cours des oies et des fontaines englouties. Au pied du chêne qui se tord, se trouve l'or assoupli en notre secret de plomb.
Tout cela remonte dans l'inconscience d'une foule sept années durant. Le voyageur ne cessa de se tromper d'adresse. À terme des sept années la cité engloutie s'était modifiée, sous l'effet de nombreux courants marins. Fort probablement que seules l'oisiveté et l'indécision propres à ces habitants attenuèrent le hiatus. Il aurait fallu redoubler d'efforts en menant de nombreux chantiers à terme pour contrecarrer ces aléas canoniques mais le bleu envahissait les esprits et l'oxygène se faisait plus que rare. Ses rues et ses bâtiments se trouvèrent tout à fait retournés et dans son ascension relative le scaphandrier de cire se demandait avec inquietutde 《pourquoi ma ville bien aimée》 se trouve t-elle aussi changée ? allant jusqu'à la confondre avec une chaîne de corail abritant de nombreuses moules, des patelles et autres pousse-pâtes… Il n'avait plus les yeux en face des trous à force de vouloir toujours regarder le même point, étant alors à l'horizontale. L'alarme des sirènes ne faisait qu'ajouter du trouble aux idées mélodiques qui parcouraient son esprit lâche. Il divaguait et pensa entre deux bulles d'allure saxonnes :
-Adolphe Thiers you son of a beach !
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Pute . Jus de Pute . Et ton lampadaire n'a plus de jus . Tout a été pompé . Il fait nuit . Les lampadaires éclairent depuis la rue en pente . Cette chambrette minuscule . Dans une barraque du vieux Nice . Ça sent le vieux . La vieille histoire rance . baigné de jus . De salive et de sucre à l'ombre de vieilles mansardes . La nuit jaune orangée et des pupilles dilatées. Pas vraiment sombre. Le bleu nuit découpe des ombres qui épousent les angles de la pièce, des boiseries à la fenêtre sont projetées sur des murs obliques. Jus de pute. Après un saut dans l'oubli. Des bulles remontent des eaux troubles et rediffusent ce parfum disparu.
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Les Yuezhi avaient vécus dans les pâturages arides du bassin du Tarim, dans l'actuel Xinjiang, jusqu'à ce qu'ils fussent repoussés à l'ouest par les Xiongnu entre -176 et -160. Les cinq tribus Yuezhi ou soumises sont connues sous les noms de Xiūmì, Guishuang, Shuangmi, Xidun et Dūmì. Les Yuezhi atteignirent le royaume hellénistique des Gréco-Bactriens, dans le territoire de la Bactriane (extr. nord de l'Afghanistan et Ouzbékistan) autour de -135 et déplacèrent les dynasties grecques locales, qui se réinstallèrent dans le bassin de l'indus (actuel pakistan), dans la partie occidentale du royaume indo-grecque.
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Ils ont bétonné d un ciment clair une allée devant la grande tour de gagarine côté leader price, il y a des traces dans le béton là où les fleurs en mémoire du jeune homme tué, deux personnes sont là l'un d'eux explique : il y a ses cheveux.
Je traverse la cité en prenant une trajectoire indécise, alambiquée
Avec donas, il a une sorte de diable de caddy avec un panier assez bas, comme une corbeille à linge ou à fruit, avec quelques tas de paquets informes , toutes les boîtes aux lettres sont en l'air, collées au plafond, sur des racks, ou plus bas, certaines ont brûlé, les ascenseurs sont en panne. Il va falloir monter à pied. Je lui propose de laisser ses affaires, mais il dit vouloir les garder. Après une ascenscion d'un étage, l'escalier donne à ma grande surprise sur un couloir spacieux avec des tapis larges qui forment une bande centrale et des bandes de laiton au niveau des marches pour l'empêcher de s'agglutiner en montagnes de plis, il ne monte plus dès le premier étage car il en manque une partie sur la moitié inferieure d'un étage, on peut deviner le palier supérieur et le plafond en pente à sa gauche qui se trouve être la partie inférieure du même escalier démoli un peu plus bas.. En rebroussant chemin on s'aperçoit qu'un deuxième escalier semble s'engouffrer vers les étages supérieurs..
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Ce ministère est situé si bas qu'il ne peut pas tomber et il échappe à l'écrasement par la platitude.
Régime violent et plat. On n'a même pas le plaisir d'être opprimé par quelque chose de grand. 1851 Hug0
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Coucou, je sais pas si tu as vu, mais le Parisien a publié un article sur une ado trans qui regrette sa transition. Je peux pas le lire en entier (vive le paywall...) mais si qn a un abonnement ça pourrait être intéressant, on en parle pas bcp en France. Il s'appelle "«J’ai des regrets mais je peux vivre avec» : Sacha, 19 ans, va redevenir Anna"
J'ai l'abo
Jusqu’à ses 14 ans, Sacha (le prénom a été changé) s’appelait Anna. Après avoir annoncé à ses parents qu’il souhaitait changer de sexe, il a fait sa transition pendant ses années de lycée. Avant une «descente au enfers» à 18 ans où il s’est rendu compte qu’il regrettait son choix.
Par Bérangère Lepetit
Sacha (le prénom a été changé) a le teint pâle et de longs cheveux châtains très fins. Ses traits sont délicats, il porte un sweat à capuche noir et ample dans lequel il disparaît et un sac à dos, noir également, d’où émergent de gros classeurs d’étudiant. Dans la rue, il arrive qu’on l’appelle « mademoiselle ». Mais dès qu’on entend le son de sa voix grave, on s’adresse à lui comme à un homme. Sacha paraît très jeune mais il parle avec une grande maturité, comme s’il avait déjà vécu plusieurs vies. C’est le cas. À 19 ans, il s’apprête à changer de prénom pour la deuxième fois. À l’état civil, Sacha est encore un homme et on utilise le pronom « il » pour le désigner, ce qui lui convient pour l’instant.
Sacha n’a pas trop l’habitude de raconter ses vies mais aujourd’hui, il le fait presque avec entrain. Parfois, il esquisse même un sourire. Il est venu ce matin nous raconter ses regrets. « Il y a un an, j’aurais beaucoup pleuré en parlant de ça », lâche-t-il. Les larmes ont séché. Reste une analyse sans concession. De la colère, aussi.
« J’avais 14 ans, et écouter à ce point ce que dit quelqu’un de 14 ans, ça pose problème »
Sacha est né Anna. Il était femme mais s’est vite ressenti « garçon manqué », confie-t-il. Enfant, il joue au foot, préfère arpenter les rues de son quartier à vélo plutôt que de préparer la dînette. « J’avais les cheveux longs mais on me confondait avec mon petit frère. M’habiller moulant, comme les filles, c’était la torture. »
Arrive l’adolescence et le « gros malaise ». Nous sommes en 2016, dans une petite ville de la région parisienne. Au collège, il passe du temps devant Internet. En regardant des vidéos sur YouTube, il entend parler pour la première fois de transidentité. C’est une révélation : « Je me suis dit : Ça ressemble à toi. »
Au début de la 3e, à 14 ans, il coupe ses cheveux et demande à ses amis de l’appeler avec un prénom masculin. Adopte un look androgyne. Un soir, quelques semaines plus tard, il annonce à ses parents qu’il est trans et veut prendre des hormones masculines. Ses parents l’écoutent, attentifs, bienveillants. « Sauf que j’avais 14 ans, et écouter à ce point ce que dit quelqu’un de 14 ans, ça pose problème », assène-t-il maintenant.
Puis tout va très, trop vite : le psychiatre réputé qu’il va consulter à Paris, les séances « expéditives» de cinq à dix minutes qui ne servent qu’à confirmer son choix. « On m’a mis sur des rails. À aucun moment les raisons profondes qui me poussaient à changer de sexe n’ont été abordées ». À la fin de la seconde, débutent les premières injections de testostérone, une ampoule toutes les trois semaines. Tous les matins, Sacha enfile un binder (sous-vêtement compressif permettant d’aplatir la poitrine) dont il a encore un souvenir amer : « J’étais très sportif et ça m’étouffait. Souvent, je n’arrivais plus à respirer. »
À l’état civil, pour le lycée, ses proches, sa famille, Anna devient Sacha. À sa grande satisfaction, les effets de la « T » arrivent vite. La pilosité. Les muscles saillants qui se développent. La voix grave, virile. Sacha est « très content », se rappelle-t-il, d’autant plus que son entourage accueille ces changements sans surprise ni jugement. « Au lycée, où je ne connaissais personne au départ, j’étais juste le mec qui muait un peu vite, un peu tard, mais ça passait. »
« Je me disais que je ne pourrais jamais revenir en arrière »
L’été avant la terminale, il se fait retirer les seins sous anesthésie générale. « J’étais obsédé par l’idée de pouvoir passer l’épreuve de sport au bac en respirant », rappelle-t-il. Après l’opération, le lycéen a désormais 16 ans, un corset postopératoire, des comprimés antidouleur à gogo et, soudain, des questions l’assaillent. « Il y avait comme une voix bizarre en moi. Un truc qui me demandait : Est-ce que tu détruis ta vie ? Est-ce que tu détruis ton corps ? »
Les mois passent. Sacha ne parvient pas tout à fait à apprivoiser ce nouveau corps mais tait ses angoisses. Nous sommes en 2020 et l’épidémie de Covid s’abat sur la France. Le lycéen passe un bac « arts appliqués » devant un écran d’ordinateur. Il le décroche avec mention Très bien puis intègre, comme souhaité, une école de dessin.
Un jour, peu avant Noël, les doutes remontent d’un coup. C’est « la descente aux enfers », lâche-t-il. Pendant deux ou trois mois, il pleure nuit et jour. « Je pleurais le matin dans le RER, mais aussi pendant les cours, le soir aussi. Je m’enfonçais dans un truc affreux. Je me disais que je ne pourrais jamais revenir en arrière. » Pétri de regrets, hanté par les pensées suicidaires, il arrête les injections de testostérone, s’enfonce dans la dépression. Ses parents, inquiets, l’écoutent, encore et toujours puis l’emmènent voir une autre psychiatre. Elle lui sauvera la vie.
« J’ai envie de m’aimer moi-même »
Sacha a fini par relever la tête. Une colère, vivace, profonde, a remplacé la tristesse. Elle lui permet de tenir debout. Comment se sent-il désormais ? Fille ? Garçon ? Les deux ? « J’ai décidé d’être une fille biologique qui a un style masculin. J’ai envie de m’aimer moi-même. J’ai des regrets, mais je peux vivre avec », répond Sacha qui a compris qu’il nourrissait, adolescent, une forme de «misogynie intériorisée » et que « la puberté, ce n’est pas la période idéale pour faire de tels choix».
Par ailleurs, Sacha n’aime pas trop les étiquettes mais « pense qu’(il est) bi ». Il a de « petites histoires, parfois avec des filles, parfois avec des garçons ». Rien de sérieux. « La prise et l’arrêt de testostérone ont pu avoir un impact sur la libido mais pas grand-chose de plus, j’étais attiré par les filles et les garçons avec ou sans prise d’hormones », confie-t-il.
« Je me laisse vivre », répète l’étudiant qui ne veut surtout pas faire subir à son corps de nouveaux traitements. Dans quelques mois, Sacha demandera à son entourage de l’appeler à nouveau Anna. Mois après mois, il récupère sa féminité. Ses règles sont revenues. Il a retrouvé ses longs cheveux, espère que sa fertilité ne sera pas altérée (les bilans hormonaux sont encourageants), consulte un orthophoniste et saura « d’ici six mois, tenir une voix androgyne ».
Mais il ne retrouvera jamais sa voix de femme. Il explique aussi qu’il a perdu sans surprise, depuis l’arrêt de ses injections, de la pilosité, de la masse musculaire. « Pour porter les courses, c’est chiant, glisse-t-il en souriant, comme s’il racontait une bonne blague. Son histoire, Sacha essaye aujourd’hui « d’en rire plus que d’en pleurer ».
#la transition sauve des vies#qu'ils disaient#courage Anna ♥️#gender critical#vous avez remarqué comme c'est le cas type de ce qu'on dénonce depuis des années ?
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