#perversion narcissique
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halte-mpn · 5 months ago
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C'est toujours la faute d'un tiers, de notre faute... jamais eux / elles ! C'est toujours plus facile et confortable d'accuser, de trouver un coupable ailleurs, plutôt que d'assumer ses pensées / propos / actes et de se remettre en question. Ne parlons même pas d'envisager un travail sur soi... Ça doit donner la grippe ou le cancer... La gangrène peut être bien...
Il faut qu'ils / elles inversent les rôles, tentent de culpabiliser et à force, avec la répétition quotidienne, on finit par y croire, rentrer dans le game et tout faire pour arrondir les angles, essayer de contenter notre partenaire... Au départ on réagit en essayant de remettre la Vérité sur le tapis, les pendules à l'heure... mais à force, vidés de tout, dépités... on en arrive à se croire le coupable, le méchant dans l'histoire et à nous changer nous au lieu du réel détracteur. Quelle folie ! Quelle connerie !
On en arrive même à accepter que cela soit notre faute s'ils / elles se mettent en colère, cassent tout dans la maison, hurlent sur nous, nous poussent, lèvent la main sur nous, nous tabassent presque jusqu'à la mort, que les larmes, le sang coulent...
On a peur de quoi en fait pour en arriver là ? De l'abandon ? De perdre un amour qui n'existe même pas ? D'être mauvais ?
Mais à présent c'est fini tout ça ~~~  et il n'y a plus de place au red flag, même pas une seule fois laisser passer : Tolérance Zéro, quitte à paraître dur, rude ou je ne sais quoi ! Il n'y a plus de possibilité ni de place au risque sous quelle forme que ce soit après avoir vécu cet Enfer.
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christian-dubuis-santini · 4 months ago
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L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci "psychologisant" qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La "perversion narcissique" apparaît pour la premier fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du "pervers narcissique", pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit rappel sur la notion de perversion en psychanalyse
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
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magicalstrawbi · 9 hours ago
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𝗬͟𝗨͟ 𝗕͟𝗔͟𝗠͟𝗕͟𝗜 ;
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Pervers narcissique ; son objectif n'est pas de jouir du mal qu'il fait aux autres (caractéristique du psychopathe) mais de jouir du contrôle absolu qu'il a sur les autres. Plus précisément, il prend plaisir à voir la souffrance de quelqu'un tombé sous son emprise.
Bambi est bien trop familière avec cette définition, parce qu’elle n’est pas un bébé voulu pour les bonnes raisons, n’est pas un bébé attendu avec impatience, un bébé couvé d’amour depuis le ventre de sa mère. Non, elle est simplement le fruit d’une manipulation narcissique de la part de sa mère. Elle est simplement là en guise de piège, d’arme et de chantage pour retenir son père dans une relation des plus bancales. La petite fille ne l’apprend que quelques années après sa naissance, ne capte qu’après les signes de la démence de sa mère. Cette dernière sera toujours jalouse d’elle, montrera toujours des signes agressivité passive envers elle, et cette haine envers la petite fille sera décuplée quand son premier mot sera « papa ». Bambi ne manque de rien dans son enfance, ni même dans son adolescence, parce que même si son père a mis une croix sur cette relation, même si il sait que plus rien n’est à sauver chez sa femme, ça ne l’empêche pas de se plier en deux pour le bien être de sa fille, pour qu’elle puisse avoir de l’amour, suffisamment fort pour remplacer celui de sa mère qui ne bougera même pas un petit doigt pour maintenir son équilibre et son bonheur. Tout se corse, quand Bambi devient une jolie jeune femme, quand elle commence à faire de l’ombre à sa mère avec ses capacités à l’école, avec ses résultats incroyables, et bien entendu avec sa beauté qui est pure et naturelle. Sa mère est jalouse, de la réussite de sa fille, et bien entendu elle est jalouse de la relation fusionnelle entre la jeune femme et son père, parce que lui est là pour la féliciter, parce que lui est là pour l’emmener à la danse, qu’il est là pour l’aider avec ses projets de classe. Elle n’est pas dupe la jeune femme, sent très bien la tension dans sa famille, si bien qu’elle commence à avoir peur de sa mère lorsqu’elle se retrouve seulement avec elle dans l’appartement, attendant impatiemment le moment où son père rentrera à la maison, où il viendra contrer les piques cinglantes de sa mère qui ne peut s’empêcher d’exprimer sa haine envers sa propre fille.
En plus d’être une perverse narcissique. Sa mère était devenue une jalouse maladive. Mais un jour son père ne rentrera pas à la maison. C’est brutal la manière dont on vient annoncer à la mère et à la fille, que le père est décédé dans un incident malheureux. Pourquoi ? Parce que ce dernier en souhaitant féliciter sa fille, la récompenser pour ses résultats à l’école, s’était arrêté dans une parfumerie pour racheter le parfum préféré de Bambi. Sauf qu’il existe toujours des dommages collatéraux, être là au mauvais endroit au mauvais moment. Un braquage qui a mal tourné, c’est la seule explication qu’on leur donne, son père s’est pris une balle de la part du braqueur, qui sous la panique, a laissé libre arbitre à sa folie et à son arme. Bambi ne s’en remettra pas et ressentira bien vite le poids de la culpabilité, se disant bien évidemment que c’est de sa faute si son père est décédé, que tout était de sa faute. Et sa mère semble penser la même chose, quand elle ne cesse de répéter à la jeune femme que c’est de sa faute, qu’elle aura les mains tâchées de sang toute sa vie, qu’elle méritait d’y passer à la place de son mari. C’est horrible pour Bambi qui perd goût à la vie, qui se dit que peut-être sa mère avait raison depuis le début, que si elle n’était pas venue au monde, son père serait toujours de ce monde.
Ça en est trop pour elle, quand elle essaie de partir de la maison, une valise à la main pour échapper à l’emprise toxique de sa mère. Mais une dispute explose, elle se prend un coup et c’est largement suffisant pour qu’elle tombe dans les pommes, et qu’elle se réveille une heure plus tard, les poings et les pieds liés à une chaise. Sa mère venait de la séquestrer dans leur propre appartement. Elle ne sait pas combien de temps elle passe assise sur cette chaise, à crier, à pleurer, à souhaiter mourir sur cette chaise, parce qu’au moins elle ne sentirait plus cette douleur fulgurante dans sa poitrine, parce qu’au moins elle pourrait rejoindre son père qui lui manque tant. C’est une voisine qui l’entend crier, qui est alertée par la chaise qui tombe au sol, quand Bambi dans un dernier élan de force, tente de se dégager. Mais dans son malheur, elle a au moins réussi à alerter la voisine, qui prévient la police et qui dégage enfin la jeune femme de sa prison de fortune. Les prochains jours ne seront pas les plus joyeux de sa vie, voir les pires, mais Bambi ne se sent aucunement coupable de faire face à sa mère au parloir de l’hôpital psychiatrique, quand sa mère y sera enfermée de force suite à ses actes. « Tu finiras comme moi Bambi. Tu n’y échapperas pas. » Ce sont les derniers mots qu’elle entend de sa mère avant de quitter l’hôpital sans jamais se retourner.
La jeune femme peut maintenant jouir d’une vie un peu plus stable, plus confortable, quand elle entre enfin à l’université, quand elle se découvre une passion pour les études de commerces, surtout pour son option droit des société. Elle est studieuse, a toujours un nez dans les bouquins, mais simplement parce qu’elle s’est toujours promis de rendre hommage à son père, de continuer à le rendre fier de là haut, jusqu’à ce qu’elle puisse enfin de nouveau le rejoindre et le serrer dans ses bras. Ayant obtenu un héritage au décès tragique de son père, Bambi garde toutes ses économies sur un compte, économies qu’elle ne touche seulement que pour payer son loyer. Puis elle n’est pas toute seule la jeune femme, parce qu’elle a Jade, et à croire que la jeune femme a été envoyée du ciel pour garder un œil sur elle. Elle est perplexe quand elle vient prendre contact avec elle, qu’elle lui annonce être sa cousine après de multiples recherches. Voyez vous, Bambi n’avait aucune idée qu’elle avait une tante et donc une cousine qui a son âge. Sa mère, dans un élan narcissique, avait coupé court avec toute sa famille, adressant les pires immondices à sa propre sœur quand cette dernière était tombée enceinte à son tour. Dans leurs malheurs, les deux cousines s’étaient retrouvées, et demeurent maintenant inséparables. Il y’a Kyungsu aussi, le meilleur ami de Jade, celui qui deviendra également son meilleur ami, et malgré les différents, malgré les disputes puériles, les trois forment un trio des plus solides.
Le destin peut être bien fait par moments, mais autant dire qu’avec Bambi, il est plutôt rude. Un soir, alors qu’elle rentre de la bibliothèque et qu’elle tente d’échapper à un détraqué qui la suit dans la rue, elle tombe sur une scène à laquelle elle ne devait pas assister. Et c’est un peu un foutage de gueule de la part de l’univers, quand à son tour elle se trouve au mauvais endroit au moment moment. Parce que Set, le leader de Halazia, jette son dévolu sur la jeune femme qui deviendra la cible numéro un de ce dernier. Mais elle n’est pas seule, parce qu’un membre du gang adverse – les Serpents – vient à son secours et qu’il lui propose de la ramener chez elle. C’est comme ça qu’elle fait la connaissance de Junseo, un jeune homme charmant qui est particulièrement doux avec elle. Mais malgré cette douceur, elle est loin de se douter que Sulli, lui a demandé de garder un œil sur elle, de la surveiller et de la ramener au QG pour qu’ils puissent tous la protéger. Elle n’en a aucune idée, parce que son prince charmant ne lui dit rien. Des liens se tissent, la jeune femme développe bien vite des sentiments pour le jeune homme et elle lui donne volontiers son coeur. Coeur qui finira par être brisé quand il la guidera jusqu’au bar, et qu’enfin elle apprendra l’existence des gangs, la surveillance sous laquelle elle était, et surtout le mensonge de la part de Junseo. Elle ne se dispute pas qu’avec lui, mais également avec Jade et Kyungsu qui étaient au courant de tout cette situation, des gangs, parce que son meilleur ami fait partie de Halazia de son côté. C’est que deux semaines plus tard qu’elle reprendra contact avec Junseo, quand il viendra à sa rencontre à une soirée. Et tout semble repartir de plus belle, quand elle lui donne une nouvelle chance, quand ils recommencent à se voir et que purée, pour une fois elle peut jouir de cet amour qu’elle ressent pour l’artiste. Mais on le sait bien, le bonheur ne dure qu’un temps, la tranquillité également, parce que Set fini par mettre la main sur elle, qu’il la séquestre dans un entrepôt, les poings et les pieds liés, et tout le monde est loin de se douter que si Bambi est dans un tel état de panique, ce n’est pas seulement du à la présence malsaine de Set, mais parce qu’elle a déjà vécu cette situation, et que si auparavant elle avait souhaité mourir sur une chaise, là elle voudrait vivre, vivre pour elle et pour Junseo. Son Junseo qui fini par être planté devant ses yeux et qui manque de perdre la vie. Ce sont des nouveaux traumatismes qui font leur apparition, un traumatisme commun au couple qui se coupera du monde, mais la jeune femme se dit que tant qu’elle a son homme à ses côtés, tant qu’elle peut entendre son coeur tambouriner jusqu’à son oreille, elle sait que les choses se passeront bien, que les choses s’arrangeront. Après de longs jours sans donner la moindre nouvelle, Bambi poussera Junseo a s’ouvrir de nouveau au monde, et même si au final ils ne se quittent plus, font tout ensemble par crainte de voir l’autre disparaître de nouveau, elle ne craint plus rien, parce qu’elle est devenue la petite protégée des Serpents et qu’ils veilleront toujours sur elle.
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psykovskyyy · 11 days ago
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Quelle ville quelle campagne
Quel pays quelle station
Quel nulle part voudrait encore de moi
Mon rêve d’ailleurs
Mon rêve d’alien
De dolce vita italienne
S’est dissipé dans un asile psychiatrique
J’ai claqué deux mille balle dans une idée
Juste pour la vomir
Je suis comme la politique
Impossible à croire
Perverse et narcissique
J’attends la prochaine prophétie
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thierrylidolff · 22 days ago
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LA DÉRIVE DES COMPORTEMENTS POLITIQUES : PERTINENCE DE L’ANALYSE PSYCHIATRIQUE ?
VOIR AUSSI SUR METAHODOS : LA PERVERSION NARCISSIQUE ET LA POLITIQUE : « LA PENSÉE PERVERSE AU POUVOIR » ENTRE L’ÉTAT ET SON CHEF, UNE RELATION TOXIQUE ? « NARCISSE ET FRANKENSTEIN » : RÉCIT D’UN « DÉSASTRE ÉCRIT DÈS LES ORIGINES ? » http://metahodos.fr/2025/01/01/85572/ ÉMISSION – Est-il pertinent de mobiliser des concepts psychiatriques pour connaître nos dirigeants ? Publié le lundi 30…
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memebigoudis · 2 months ago
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Quelques conseils pour gérer les Taties Danielle
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Salut, mes Bigoudis chéris ! 
J’espère que vous allez bien et que l'arthrose ne vous a pas complètement rongés depuis mon dernier post.
Aujourd’hui, je veux vous parler de …. Tatie Danielle !
Tatie Danielle : « Vous ne la connaissez pas encore, mais elle vous déteste déjà ! »  Vous vous souvenez de la mise en garde sur l’affiche du film d’Etienne Chatiliez ? Le petit air pincé et vicelard de cette vieille peste, son regard de killeuse à faire froid dans le dos…  
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On a tous dans nos entourages ou nos familles une Tatie Danielle en puissance. Une mamie-peste par excellence qui vous bousille d’une remarque, d’un coup d’oeil : une mamie « kaïra » comme je les appelle ! 
Celle qui pratique la méchanceté au quotidien, l’amour vache (quand elle aime). Peu importe les autres : ses besoins passent en premier, en mode Tatie Danielle qui abandonne son petit neveu dans un parc pour aller se goinfrer de pâtisseries qu’elle adore, mais qu’elle ne doit pas manger, because son diabète !
C’est une plaie humaine : elle pourrit vos journées, cultive le conflit, les grands cris, les arrachages de cheveux. Une drama queen. Un pur specimen de manipulatrice perverse narcissique… ou un travers apparu sur le tard, avec les épreuves, avec la maladie, tout simplement avec la vieillesse. 
Mais, comme dans le film, il peut y avoir une lueur d’espoir, pour peu qu’on détecte la faille dans la cuirasse. Dans le film, Tatie Danielle rencontre une adversaire à sa mesure : sa garde-malade qui lui assène une tarte monumentale quand elle passe les bornes - âmes sensibles s’abstenir !! Tatie Danielle rencontre alors quelqu’un qui pose des limites (musclées, évitez le coup de la baffe), qui ne se laisse pas faire. 
Petit à petit, dans leur ”vachitude”  réciproque, les deux femmes vont développer un respect mutuel qui va tourner à l’affection. Soyons clairs : il n’y a pas de miracle de ce type avec des mamies (papis) de ce type. Mais poser des limites, c’est un début (pas besoin de passer par les baffes, hein ? N’incitons pas à la violence).
Détourner l’attention, c’est bien aussi comme stratégie : si la personne s’énerve, on peut la distraire en changeant de tactique d’approche. Lâcher prise, changer de sujet, si elle veut du répondant, elle n’en obtiendra pas de notre part.
Comprenez bien que la mamie “Tatie Danielle” cherche la confrontation comme une carpe l’eau et elle poussera le propos jusqu’à vous faire craquer, c’est son but  : ne pas répondre, ne pas entrer dans son jeu, la laisser face à elle-même lui causera plus de malaise qu’autre chose, et souvent, elle en restera là. 
L’important, c’est de désamorcer la montée en puissance pour se défaire de son emprise, se protéger émotionnellement avant tout.
Moralité : 
Si Tatie Danielle te cherche un brin, 
laisse la seule dans son purin,
et reviens demain !
Enjoy and share !
See you soon, mes Bigoudis chéris ! 
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zehub · 2 months ago
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«La Pensée perverse au pouvoir», une analyse psychosociologique d'Emmanuel Macron
Marc Joly prolonge ses travaux sur la perversion narcissique, d'abord développés dans le cadre du couple, en s'intéressant à la domination politique.
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oulfav · 8 months ago
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Paris
On peut dire que je suis parisienne après tout. 
Je suis née française à Paris. J'ai vu le jour autant que française a Paris.
On peut lui reprocher ces tonnes de bétons sur lesquels elle vient s'assoir, se poser. Son trône est fait de tunnel de voile de béton et de canalisations, d'égouts fructifiant de nuisibles
Si nuisibles qu'il nous sauvent de la peste ou je ne sais quelle autres maladies funèbres qui auraient été engendré par nos cacas pourrissants sur les déchets organiques, de gaspillage alimentaire déferlant de nos assiettes de parisiens écolos mais repus très vite au vu de nos estomacs crampés de stress et d'anxiété. 
Mais au-dessus.
Tellement de vies, qui se croisent, qui j’aiment, qui se marche dessous, qui s'extasient au sens propre et figuré. Des humains perdue entre désirs et besoins. 
Le sexe, l'argent, la recherche de cette sérénité inaccessible. 
Se mélangent au-dessus de leurs têtes les paysages tantôt haussmanien, tantôt moderne des années 70. Tantôt des façades vitrées sur bien 200m2, reflétant les façades de l'autre côté de l'avenue, et nos faces en sueurs, souriantes ou euphoriquement saoule.
Ce vent qui frappe le visage, ce vent pollué m'est pourtant si cher. Ces arbres perdus à la Defense, me font voyager. 
Cette chimère serait-elle le futur et l'inspiration de Casablanca.
Ce qui est sûre c'est qu'elle est mon amante narcissique, perverse narcissique, qui joue avec moi et se jour de moi. Tantôt me séduit et m’offre ces plus belles allées, ces plus longues ballades, tantôt m’englouti dans ses abysses puantes putréfiantes, ou les hommes sont devenues ogres sans coeur, marchant sur la misère, souhaitant qu’elle soit plus grande pour que sous leur pieds les malheurs se superpose formant une misère de plus en plus haute qui pourra les remontés au sommet, ou au plus proche du sommet.
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pingouins-clairvoyants · 9 months ago
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Donc je vous le redit plus clairement "Mon bonheur c'est de croire en lui. Tout le reste n'est que futilité." Si tu es malheureux, c'est peut-être que tu ne croie pas au bonheur et écoute trop ceux qui n'aide personne et n'ont donc rien à offrir... Penser, c'est comme lire une infinité de mots en une fraction de seconde, y compris des mots qui n'ont pas encore été découverts. Comment pourrais-je transmettre une penser à une personne qui ne sait même pas lire. Donc "Mon bonheur est de croire en lui." Et je compte bien le préserver, car mon bonheur, c'est ma vie et je n'ai pas besoin de prendre la tienne. Puisque le Sapiens est grand, il y a vraiment une Justice, même s'il ne faut jamais oublier de la défendre pour ne pas laisser l'épidémie de haine se rependre. Mais si la perversion est une maladie... Je suis un Scientifique et oui la perversion est à juste titre une maladie. N'est-ce pas ? Par exemple, tuer son prochain par paranoïa perverse, c'est bien ... Soyons sérieux. Vous êtes des Sapiens tout de même. Le Cirque, c'est pour les bêtes sauvages, pas les agneaux. On est bien d'accord . Ma vie... Je compte bien la préserver. Et ne croirais donc jamais celui qui me suggère d'être malade, pour aller mieux. Il ne fait que les prendre, n'aide personne et ne croit même pas au bonheur. Plutôt mourir, mais je vais vivre.
Merci, pour ton offre si intéressante. Le Cratos d'Europe est mou, il me semble. Son empire est infesté par l'autodestruction. Et les criminels rodes librement au milieu des citoyens convaincus, en quête de bonheur et n'ont de cesse de devoir dépolluer leur environnement. Ce sont des bactéries en effet. Dieu merci ce terme ne vise pas de groupe et ne traversera pas le temps. Mr Lapin est de nouveau en congé, probablement jusqu'au premier mai. En lute ponctuelle avec un putois explorateur...
Dieu Merci, mon Livre original est sauf !
Ainsi un autre de mes livres fut de nouveau brulé. Citez moi une personne qui croie au bonheur en tuant des Lapins Savants à leur compte. Donc je ne m'inquiète que de voire des gens que j'aime sombrer dans le malheur. Devoir abandonner, ceux-ci, un temps, si le Démon parvient à les corrompre. Mais peu importe, car le pourri qui te raconterait n'importe quoi pour que tu lui cire les botes à tes dépends ne se tait jamais, sans y être contraint.
Je ne te demande pas de mourir, peux tu simplement me foutre la paix ? Le menteur te dira, moi de même , la porte est par là et c'est moi qui reste ! (Même si moi je tue tous le monde) Et lui aussi. Voila le genre de putois que Mr Lapin doit supporter quelques temps. Il vous souhaite donc, une bonne journée ! Car il a du travail sur les bras.
Je ne l'écrit pas. Sa malveillance pollue mes transmissions. Les siennes ne sont que haine et creusage de tombes dans ma montagne de toutes façons...
Dieu merci, je ne vie plus à côté d'un(e) pervers(e) narcissique. C'est déjà ça. Le problème est ailleurs. Je ne vous ment pas. Et ne vous oblige pas à me croire. Respectons nous...
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vagabondageautourdesoi · 1 month ago
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@editions_anamosa Au moment de la dissolution de l’Assemblée nationale, Marc Joly mettait le mot fin à son étude universitaire sur les pervers narcissiques. Il fut frappé par la correspondance entre ses recherches et la manière dont le pouvoir se comportait.#booktreat
#booktread #booksragram #bookrecommendations #bookstragram #retourlecture ⬇️ https://vagabondageautourdesoi.com/2024/12/13/marc-joly-la-pensee-perverse-au-pouvoir/
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christian-dubuis-santini · 3 months ago
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De la différence induite par le Discours de l’Analyste sur une notion telle que la "perversion" (suite)
Aujourd’hui, le mot "pervers" apparaît dans plusieurs registres, aussi bien pour signifier une condamnation sans appel comme dans le fallacieux bricolage du "pervers narcissique" (cf. infra.) mais aussi dans un sens plus "laudatif" et transgressif («ce n’est pas assez pervers pour moi, j’aimerais quelque chose de plus pervers…)
Dans son exposé sur la "banalité du mal", Hannah Arendt avance qu'Eichmann n'était pas un "pervers sadique", or cette considération fait référence à une notion encore pré-psychanalytique, une représentation de sens commun où le sadique est quelqu'un qui inflige et jouit des souffrances qu'il fait subir aux autres.
Depuis les années 60, Lacan insiste: la position subjective du pervers est une radicale attitude d'auto-instrumentalisation, le pervers se faisant lui-même le pur objet-instrument de la jouissance de l'Autre.
Cela nous a amené à distinguer et articuler plusieurs niveaux en ne confondant pas la perversion, qui est de structure (psychose, perversion, névrose) avec la perversité ou les traits pervers.
La psychanalyse distingue la "perversion vraie", la perversion de structure donc, qui est une position subjective spécifique par rapport à la structure de langage incorporée, donc refoulée, qui est différente de ce que l'on qualifie de discours perverti, soit le Discours Capitaliste qui est le Discours du Maître perverti pas sa copulation avec le Discours de la Science.
Comme nous l’avons déjà évoqué, le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" du fantasme.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
Le sujet pervers est fixé en position narcissique par son identification à la supposée "mère-phallique" de son fantasme, il méconnait donc la Loi, pour dicter sa loi propre, comme étant celle de l'Autre, par lui imaginarisé (par exemple "l'Être suprême en méchanceté" chez Sade) autrement dit celle du Surmoi, qu'il va instrumentaliser à son profit, parce qu’il s’imagine être un défenseur de la loi…
Il se situe dans le fantasme en position d'objet faisant supporter à sa partenaire — qui doit toujours être contrainte, et non pas complice — la division subjective ($) qu'il visualise dans la conflagration de la honte qu'il produit chez elle en dévoilant sa castration à elle (c'est-à-dire en la privant du phallus imaginaire qu'il lui avait attribué, en l'idéalisant, elle - ce que fait Sacher-Masoch en idéalisant Wanda comme étant "la Venus à la Fourrure", qui est en réalité une gourde, et qui ne comprend rien à ce qui lui arrive).
Le sujet pervers lui-même méconnaissant qu'il s'agit de la sienne, de castration, projetée dans l'autre…
Le pervers est lui aussi passé sous les fourches caudines de la Loi - son "Œdipe" a été accompli, il "refoule" aussi bien, et lui aussi ne "sait pas"…
La stratégie du sujet pervers consiste à apporter un "démenti" (Verleugnung) au réel de sa propre castration en substituant l'imaginaire au symbolique.
C'est pour cela que Lacan parle de Verleugnung, qu'il traduit comme étant un "démenti du réel" - qui se distingue du "déni" de la réalité, courant dans le discours politique entre autres…
La perversion apparaît comme une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi. Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
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reveillelemeilleurentoi · 1 year ago
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La perversion narcissique, comment l'identifier ?
Sa place dans le triangle de Karpman : Introduction Le terme de pervers narcissique est très à la mode depuis quelques années. A lire tous les commentaires et témoignages qui apparaissent sur les réseaux sociaux. Mais n’est-il pas un peu utilisé à toutes les sauces ? C’est pourquoi, j’ai décidé d’y consacrer quelques lignes. Voyons quelle est la place de la perversion narcissique dans le…
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puritysimple · 1 year ago
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En pleine remise en question de ma vie. J'ai 27 ans, je vais sur mes 28 ans, je suis née un jeudi, le 25 Juillet 1996. On ne m'appelle pas, j'aimerais juste que quelqu'un sache la vérité.
Frappé, manipulé, et insulté par sa propre mère, perverse narcissique, selon des termes '' New age '' ; que l'on appellera l'autre.
Renié par ses frères qui sont eux dans l'incapacité intellectuelle de comprendre ce qui a pu se passer.
Et enfin, abandonné par son père que l'on nommera Papa ...
Je suis mariée, tatouée, ex personne manipulable, en pleine re- possession de sa vie. Et dans un profond desespoir, je vais à travers ce blog vous raconter, du mieux que je peux ma vie. Sans filtre, sans barrière de manière limpide. Je me vise à vous donner un article par jour, pour pouvoir faire mon cheminement, trouver le pardon et la paix. L'oeuvre d'une vie, sur 10 ans et continuant d'apprécier la vie que j'ai activé actuellement.
Mieux vaut-il vivre avec des remords ou avec des regrets ?
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christophe76460 · 1 year ago
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Conditions masculines et féminines (17) - La perversion narcissique
JE PARTAGE CE SUJET CAR JE CONNAIS DES PERSONNES QUI ONT DU FAIRE FACE A CELA...
LE SUJET EST TRAITE EN 2 PARTIES...
PARTIE 1/2
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thierrylidolff · 22 days ago
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« NARCISSE ET FRANKENSTEIN » : RÉCIT D’UN « DÉSASTRE ÉCRIT DÈS LES ORIGINES ? »
VOIR AUSSI SUR METAHODOS : LA PERVERSION NARCISSIQUE ET LA POLITIQUE : « LA PENSÉE PERVERSE AU POUVOIR » http://metahodos.fr/2024/12/18/85532/ ENTRE L’ÉTAT ET SON CHEF, UNE RELATION TOXIQUE ? http://metahodos.fr/2024/12/19/85516/ ARTICLE – “Alain Minc, un Frankenstein donneur de leçons qui ne reconnaît pas ses erreurs” Par  David Desgouilles MARIANNE Publié le 17/08/2024 David…
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sebastienrobertblr · 2 years ago
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Les smileys
Au début d’internet, il y en avait peu, ils étaient peu utilisés, et je n’ai jamais été fan. Je me souviens que quand leur utilisation a augmenté, je m’étais fait la remarque qu’ils étaient très principalement utilisés par des personnalités manipulatrices et perverses narcissiques. Depuis, je constate avec des exemples plus récents d’ordures de sectes sataniques, qu’ils les utilisent également…
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