#perruche à collier
Explore tagged Tumblr posts
Text
Perruche à Collier - Originaire d'Inde, elle est apparue en France à cause de lâchers accidentels d'individus destinés à la vente depuis l'aéroport d'Orly
Lieu : Parc des Cytises, Bénifontaine
#animaux#animals#photo#photo animalières#animals photography#pet#animaux domestiques#animaux sauvages#wild animals#perroquet#parrot#parkeet#perruche#oiseau#bird#zoo#oiseau exotique#exotic bird#perruche à collier#rose-ringed parakeet#ringneck parrot#kramer parrot
3 notes
·
View notes
Text
La grande Perruche à collier. Pl. 30. | Histoire naturelle des perroquets t.1 | Biodiversity Heritage Library | rawpixel
#françois levaillant#jacques barraband#psittacula krameri#perruche à collier#cotorra de kramer#rose ringed parakeet#psittaculidae#nature illustration#scientific illustration#biological illustration
3 notes
·
View notes
Text
Les termes de remplacement, grand remplacement, petit remplacement sont inacceptables. Ils sont le fait d'un esprit brillant mais femelle et surtout passif, ils portent en eux-même la résignation à une situation finale alors même qu'elle est en cours. Se résigner à ce mot pour qualifier une tentative de génocide est une faute contre la cause. Remplacement est un mot de compteur de cheptel, c'est un vocabulaire de statisticien neutre: "Dans le parc de Sceaux les perruches à collier ont remplacé les mésanges huppées", non pas, mais des haïsseurs de mésanges ont organisé le surpeuplement du parc par des lâchers répétés d'immondes perroquets tueurs sortis d'Afrique qui se nourrissent des oeufs de mésanges et qui ont été sélectionnés pour cette raison précise. "Remplacement", un type du CNRS pourrait l'employer pour commenter des cartes hachurées parcourues de flèches directionnelles : "on assiste à....", "on le voit donc, des situations qui changent et qui...". Baratin de science-potard qui veut faire avaler au peuple "à éduquer" les couleuvres de "l'inéluctable".
"Remplacement" induit soit passivité soit neutralité, tant chez l'émetteur du mot que chez l'auditeur. Tant que l'on vit il n'y a pas de remplacement. Il n'y a pas de remplaçeur non plus, il y a des squatteurs, des profiteurs, des ingrats, des fuyards, des troglodytes, des coucous, des nuisibles, des excitateurs de perruche, des apporteurs de perruches, cela à foison. Le Grand Squat. La Grande Occupation. La Grande Usurpation. La Grande Invasion (Usmaini). La Grande Spéculation. Le Grand Outrage. La Grande Profanation. La Grande Extorsion. Le Grand Chantage. Le Grand Pillage. Le Grand Racket. La Grande Tentative. La Grande Intimidation. La Grande Menace. La Grande Impureté. La Grande Perversion. Le Grand Déshonneur. La Grande Puanteur. N'importe quoi qui exprime la Grande Agression telle qu'elle est vraiment sur le terrain réel. Mais remplacement ment.
Comment un pays se défend d'une invasion lorsque la frontière est tombée? Comme une cellule. Comment une cellule se défend d'une intrusion? Par sa MEMBRANE. La membrane, appliquée à un peuple privé de frontière c'est son intelligence collective, son être collectif, son ingénierie sociale, sa Charité interne couplée à son hostilité externe, ses greniers abondants en interne couplés à sa politique de terre brûlée en externe, ses femmes réservées qui savent qu'elles portent la race de leur peuple.
13 notes
·
View notes
Text
112
16 décembre 2024 
Croquis jardin du Luxembourg, aquarelle perruche à collier jusqu’à l’arbre 
0 notes
Text
0 notes
Text
Sourire du matin,
Un drôle de pigeon pas mûr,
Plus bavard qu’une pie
Vient profiter de victuailles
Disposées pour les moineaux.
Une touche de soleil tropical
Dans la grisaille et la pluie.
Et quand je ferme les yeux,
La perruche à collier
M’emmène dans sa forêt.
1 note
·
View note
Text
Summertime sadness
Auto repost
C'est tellement un marronnier que ça me surprend que je n'aie pas déjà une entrée de blog avec ce titre. J'ai honte, basic tumblr bitch coincée en 2014. Je traîne la tristesse estivale depuis toujours. Quelque chose dans l'effervescence des jours sans fin qui me laisse sur le carreau. Étourdie et hagarde, spectatrice plutôt qu'actrice. Je regarde de l'extérieur et j'en ai le tournis. Moi qui vais toujours si vite peine à distinguer la familiarité dans ce trop plein de lumière.Je ne suis pas non plus un oiseau de nuit, simplement désarçonnée par la crudité du mois de juin, assommée par la cruauté des rayons du soleil.Juin c'est ce dernier mois d'école où on regarde la télé en comptant les heures un morceau de savane sécos à la bouche. Un supplice interminable, plein de promesses d'un été qui sera franchement probablement à chier, passé en rase campagne à rêver d'un jour meilleur. Que dans chaque voiture qui passe surgisse quelque chose de fantastique, ou du moins quelque chose, n'importe qu'elle chose. L'été je rêvais d'autant plus du moment où j'aurai grandi, quand je serais belle et amoureuse.
J'ai grandi et même un peu vielli. Je suis devenue plus belle et tombée amoureuse. Mais l'été c'est toujours pas ma putain de saison. Je sens trop mon corps, les absences et les promesses non tenues.Alors j'ai toujours préféré bosser, choisi activement d'être en retrait plutôt que de subir. Il y a eu quelques moments de grâce bien sûr. Ces dernières années j'ai prolongé la saison jusqu'à l'automne, en Méditerranée ou ailleurs et j'ai adoré ce décalage. J'ai eu un bébé d'été, un cadeau d'une telle lumière qu'elle en est devenue le soleil de mon existence.Mais même là, le début, les premières suées, les nuits agitées du bourdonnement des moustiques et des chants assourdissants des perruches à collier me soûle.Le tout à chacun qui se sent obligé de proclamer qu'il part, qu'il part en vacances, lui me colle la gerbe. Cette urgence à profiter d'une pause toujours trop courte. La médiocrité des gens qui fument en terrasse, boivent du mauvais rosé et vivent pour une quinzaine à chier dans un airbnb mal isolé.La Lumière trop crue de l'été n'offre pas de mystère, pas de cachette. Je ne trouve plus là la poésie, que de l'inconfort et des gens qui parlent trop fort.En fait je comprends que j'ai le cafard du 31 décembre le 30 juin. J'ai quel âge pour toujours compter en années scolaires ? Moi qui ai fait tant d'effort pour ne pas devenir prof je fais toujours mon rythme et mes bilans de vie quand on remise les cartables au placard. À contrario Noël c'est vraiment maman où je vibre sans trouver ridicule l'avalanche de bons sentiments.Je tourne autour du pot depuis 4 paragraphes, vérité c'est que ma mélancolie estivale est d' une puérilité adolescente pathétique. Je l'ai écrit plus haut j'ai grandi et j'ai vieilli. Il est peut-être temps pour moi de bazarder mes vieilles rengaines et d'embrasser la saison des suées et du melon comme celle d'une nouvelle chance.
0 notes
Text
Haute Garonne, 19 decembre 2021
Perruche à collier.
Au début uniquement un oiseau d'ornement, la perruche à collier est désormais dans plusieurs régions de France, principalement dans les grandes villes (comme Toulouse ou Paris). Elle se regroupent en bandes très bruyantes et apportent un peu de couleurs tropicales à la grisaille de nos métropoles.
3 notes
·
View notes
Photo
Surprise ! Un jour de novembre 2021.
Perruche à collier - Psittacula krameri
En Ile-de-France - article LPO
#Le refuge sans bornes#LPO#refuge LPO#foret de fontainebleau#Pays de Fontainebleau#perruche à collier#psittacula krameri#fontainebleau#oiseaux#LPO IDF#LPO Ile de France
0 notes
Photo
le gang prêt à te défoncer les oreilles
#birds#birb#perroquet#kwak#rose#bleu#jaune#perruche#hyacinthe#ara hyacinthe#perroquet rosalbin#perruche à collier#dessin#mspaint#mspaintdoodle#mspaintdrawing#dessin informatique#drawing#digital drawing#digital doodle#my art#artist on tumblr#artists on tumblr#mspaintart#bradypus
16 notes
·
View notes
Text
La Perruche à collier noir. Pl. 45. | Histoire naturelle des perroquets t.1 | Biodiversity Heritage Library | rawpixel
68 notes
·
View notes
Text
Mes invitées à collier du 1er janvier, autour d'une table bien dressée... BONNE ANNÉE !
15 notes
·
View notes
Text
Summertime sadness
C'est tellement un marronnier que ça me surprend que je n'aie pas déjà une entrée de blog avec ce titre. J'ai honte, basic tumblr bitch coincée en 2014. Je traîne la tristesse estivale depuis toujours. Quelque chose dans l'effervescence des jours sans fin qui me laisse sur le carreau. Étourdie et hagarde, spectatrice plutôt qu'actrice. Je regarde de l'extérieur et j'en ai le tournis. Moi qui vais toujours si vite peine à distinguer la familiarité dans ce trop plein de lumière. Je ne suis pas non plus un oiseau de nuit, simplement désarçonnée par la crudité du mois de juin, assommée par la cruauté des rayons du soleil. Juin c'est ce dernier mois d'école où on regarde la télé en comptant les heures un morceau de savane sécos à la bouche. Un supplice interminable, plein de promesses d'un été qui sera franchement probablement à chier, passé en rase campagne à rêver d'un jour meilleur. Que dans chaque voiture qui passe surgisse quelque chose de fantastique, ou du moins quelque chose, n'importe qu'elle chose. L'été je rêvais d'autant plus du moment où j'aurai grandi, quand je serais belle et amoureuse.
J'ai grandi et même un peu vielli. Je suis devenue plus belle et tombée amoureuse. Mais l'été c'est toujours pas ma putain de saison. Je sens trop mon corps, les absences et les promesses non tenues. Alors j'ai toujours préféré bosser, choisi activement d'être en retrait plutôt que de subir. Il y a eu quelques moments de grâce bien sûr. Ces dernières années j'ai prolongé la saison jusqu'à l'automne, en Méditerranée ou ailleurs et j'ai adoré ce décalage. J'ai eu un bébé d'été, un cadeau d'une telle lumière qu'elle en est devenue le soleil de mon existence. Mais même là, le début, les premières suées, les nuits agitées du bourdonnement des moustiques et des chants assourdissants des perruches à collier me soûle. Le tout à chacun qui se sent obligé de proclamer qu'il part, qu'il part en vacances, lui me colle la gerbe. Cette urgence à profiter d'une pause toujours trop courte. La médiocrité des gens qui fument en terrasse, boivent du mauvais rosé et vivent pour une quinzaine à chier dans un airbnb mal isolé. La Lumière trop crue de l'été n'offre pas de mystère, pas de cachette. Je ne trouve plus là la poésie, que de l'inconfort et des gens qui parlent trop fort.
En fait je comprends que j'ai le cafard du 31 décembre le 30 juin. J'ai quel âge pour toujours compter en années scolaires ? Moi qui ai fait tant d'effort pour ne pas devenir prof je fais toujours mon rythme et mes bilans de vie quand on remise les cartables au placard. À contrario Noël c'est vraiment maman où je vibre sans trouver ridicule l'avalanche de bons sentiments.
Je tourne autour du pot depuis 4 paragraphes, vérité c'est que ma mélancolie estivale est d' une puérilité adolescente pathétique. Je l'ai écrit plus haut j'ai grandi et j'ai vieilli. Il est peut-être temps pour moi de bazarder mes vieilles rengaines et d'embrasser la saison des suées et du melon comme celle d'une nouvelle chance.
4 notes
·
View notes
Text
Perruches
Photo de perruches à collier verts
6 notes
·
View notes