#paul d’amour
Explore tagged Tumblr posts
p1nb4ll · 4 months ago
Text
a few of my favorite photos from the t.d.n website
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
28 notes · View notes
neloangelo · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
tool at the hollywood scientology pavilion 1993
142 notes · View notes
finntias · 2 months ago
Note
OH DANG YOU LIKE TOOL?! *high fives you*
which of their songs are your most favorite, if you had to pick uhhh i dunno, three or four?
im so serious my heart start palpitating.
Yes…�� Yes i do like tool … .
they’ve been a special interest of mine for about ? two years now maybe? my dads a really big music nerd so i’ve always loved things with interesting time signatures and things you can just. Tell are so hard to play. that being said i am NOT a musician, i like to sing but that is sorta it, but i cant help trying to tap along to the tempo even though i have No clue what it is. their songs are just so easy to get lost in and have so much to say…. fuck i love tool dude
that is a HARD question but there are a few that immediately come to mind . i’ll only share 3 bc i have a lot of thoughts
- culling voices. GAWD DUDE ITS SO GOOD. i really wish maynard sang like that more, honestly. it’s so? i don’t know, haunting? in a beautiful way. i didn’t know he could play the piano until i hear this one. i only listened to it the first time about a month ago but its been on repeat ever since
- ænema , it used to be my favorite song of all time and was for a good while before i first heard the last one, i like it’s message, and i like how he delivers it. but the reason it was my all time fav was because of verse 5, its well into the song but the build up is so good. it is so so so so so beautiful
- right in two. just look up the lyrics and readthem theyre so so so sos sosososososooso good. i lovelovelove the idea of angels looking down at us in amusement, more confused than judgmental as we animals are using the intelligence and free will that father entrusted us with to destroy each other. i’m not religious in anyway, but if you know me you know i adore angels and biblical themes. it gets me everytime
6 notes · View notes
0possil · 5 months ago
Text
so like. not to be annoying or whatev but i made a tool tumblr community thing if any wants to join:
4 notes · View notes
thebowerypresents · 1 year ago
Text
Ministry & Gary Numan – Terminal 5 – March 19, 2014
Tumblr media
A pair of highly influential acts — Chicago industrial rockers Ministry and English synth-pop godfather Gary Numan — brought their North American tour to Terminal 5 on Tuesday, the first night of spring.  
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Photos courtesy of Silvia Saponaro | @Silvia_Saponaro
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
7 notes · View notes
trublooder · 27 days ago
Note
Have you listened to Feersum Ennjin? It's Paul's solo project, and he does most everything on it including singing!
ahhh yes i have! i made some gifs from the fishing grounds video, wish they could be higher quality but we got crumbs to work with 😭
Tumblr media
0 notes
smokeclovesrainashes · 3 months ago
Text
Today’s music: I will only complicate you
0 notes
dixvinsblog · 2 months ago
Text
Un jour un poème d’amour - Paul Éluard (1895-1952)-L'Amoureuse
Elle est debout sur mes paupièresEt ses cheveux sont dans les miens,Elle a la forme de mes mains,Elle a la couleur de mes yeux,Elle s’engloutit dans mon ombreComme une pierre sur le ciel. Elle a toujours les yeux ouvertsEt ne me laisse pas dormir.Ses rêves en pleine lumièreFont s’évaporer les soleilsMe font rire, pleurer et rire,Parler sans avoir rien à dire. Capitale de la Douleur
0 notes
lesvraismaraboutdubenin · 1 year ago
Text
RITUEL D’AMOUR AVEC SUCRE - PUISSANT MARABOUT PAUL EKUNDAYO
En général, le besoin d’un rituel d’amour avec sucre avec le nom se ressent dans les situations ou les affections, les situations amoureuses ne se remarquent plus. Vous ne vivez plus une vie amoureuse remplie d’amour et de désir avec votre compagnon. Des distances commencent à naître au fil des jours entre vous et vous désirez alors remédier à cela. Le désir de resserrer les liens avec la…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
dreamingofu4 · 3 months ago
Text
🕰️ dark academia character playlist for my maladaptive day dreamers 💭
Izuku Midoriya: The French Library - Franz Gordon
Katsuki Bakugo: La Solitude - Joshua Kyan Aalampour
Shoto Todoroki: Experience - Ludovico Einaudi
Ochako Uraraka: Clouds - Luke Faulkner
Tenya Iida: Somewhere in Between - Jacob Lavallee
Tsuyu Asui: Carnival of the Animals: The Swan - Camille Saint-Saëns
Momo Yaoyorozu: The English Affair - Howard Harper-Barnes
Hitoshi Shinso: Reflections - Toshifumi Hinata
Eijiro Kirishima: Lux Aeterna - Clint Mansell, Kronos Quartet
Mina Ashido: Masquerade Waltz - Aram Khachaturian
Mezo Shoji: Nocturnal Waltz - Johannes Bornlöf
Koji Koda: Secrets of the Earth - Lama House
Denki Kaminari: Where is my Mind? - Piano Cover • The Blue Notes
Kyoka Jiro: Waltz No.2 - Dmitri Shostakovich
Rikido Sato: Gymnopédie No.1 - Erik Satie, Philippe Entremont
Hanta Sero: Mariage d’Amour - Paul de Senneville
Mashirao Ojiro: Sonder - Niall Byrne
Toru Hagakure: There Will Be Rain - Million Eyes
Fumikage Tokoyami: .Goëtia. - Peter Gundry
Yuga Aoyama: Merry-Go-Round Life - Joe Hisaishi
Minoru Mineta: And We Walk After - Trevor Kowalski
30 notes · View notes
abridurif · 1 month ago
Text
La première étude de l’homme qui veut être poète est sa propre connaissance, entière ; il cherche son âme, il l’inspecte, il la tente, l’apprend. Dès qu’il la sait, il doit la cultiver ; cela semble simple : en tout cerveau s’accomplit un développement naturel ; tant d’égoïstes se proclament auteurs ; il en est bien d’autres qui s’attribuent leur progrès intellectuel ! – Mais il s’agit de faire l’âme monstrueuse : à l’instar des comprachicos, quoi ! Imaginez un homme s’implantant et se cultivant des verrues sur le visage. Je dis qu’il faut être voyant, se faire voyant. Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d’amour, de souffrance, de folie ; il cherche lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n’en garder que les quintessences. Ineffable torture où il a besoin de toute la foi, de toute la force surhumaine, où il devient entre tous le grand malade, le grand criminel, le grand maudit, -- et le suprême Savant ! – Car il arrive à l’inconnu ! Puisqu’il a cultivé son âme, déjà riche, plus qu’aucun ! Il arrive à l’inconnu, et quand, affolé, il finirait par perdre l’intelligence de ses visions, il les a vues ! Qu’il crève dans son bondissement par les choses inouïes et innommables : viendront d’autres horribles travailleurs ; ils commenceront par les horizons où l’autre s’est affaissé. Arthur Rimbaud, Lettre à Paul Demeny, 15 mai 1871
16 notes · View notes
au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
Text
Tumblr media
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin,
une fenêtre ouverte,
une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille,
désir à combler,
faim à satisfaire,
un cœur généreux,
une main tendue,
une main ouverte,
des yeux attentifs,
une vie : la vie à se partager.
Paul Éluard, extrait du recueil Derniers poèmes d’amour
41 notes · View notes
alexar60 · 2 years ago
Text
Changement
Tumblr media
C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
83 notes · View notes
nemosisworld · 2 years ago
Text
Tumblr media
Amoureuse au secret derrière ton sourire
Toute nue les mots d’amour
Découvrent tes seins et ton cou
Et tes paupières
Découvrent toutes les caresses
Pour que les baisers dans tes yeux
Ne montrent que toi toute entière.
Paul Eluard
20 notes · View notes
singeratlarge · 1 year ago
Text
Tumblr media
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
HAPPY HEAVENLY BIRTHDAY to Elvis Presley. When he turned 11, his mother Gladys took him to the Tupelo Hardware Company Store and bought him his first guitar: A 1947 Kay flat-top K19. He’d play this guitar throughout his school years and at his first Sun recording session. Also on this day: In 1956 his double-A single “Don’t Be Cruel/Hound Dog” went to #1 and stayed there for weeks. Fast forward to 1993 and the United States Post Office issued an Elvis Presley stamp. 
Sidebar: 1n 1976 David Bowie demo’d the song “Golden Years” with Elvis in mind to cover it (for unclear reasons Elvis nixed it even after making a demo). Rewind to 1960 when Elvis recorded the song “Black Star” (later re-titled “Flaming Star”). That song directly inspired the Black Star theme of Bowie’s final work, and it’s remarkable that Bowie was also born on the same day as Elvis.
In 2022 Baz Luhrmann released the ELVIS film, a biopic that most people think “got it right,” portraying Elvis as channeling Pentacostal church rapture with juke joint energy into one voice, one vibration. He looms over me, be it through mindful study or cultural resonance—in 1989 I named my back-up The Rover Boys after the surname for The Million Dollar Quartet a.k.a Elvis’s legendary 1956 jam session with Johnny Cash, Jerry Lee Lewis, and Carl Perkins. Like many professional musicians, I started with cover bands playing in bars, and I’m certain I’ve learned many Elvis hits + in my solo set I do gospel songs that he favored.
Elvis’s “Can’t Help Falling in Love” is based on “Plaisir d’Amour,” a 1784 French chanson by Jean-Paul-Égide Martini, re-written by hit-making team Hugo & Luigi w/George David Weiss. The lyrics are informed by poet Alexander Pope and Bible verses. I always enjoyed the tune, but when I heard Bob Dylan cover it, I became inspired to play it. Dylan gave it a gospel flair, and that triangulation with God’s love is what I aim for when I do it. Here’s my cover of it with stories https://www.youtube.com/watch?v=ZEeb6uPiQWI&t=217s Meanwhile, HB EP 
#Elvis #Presley #birthday #black #star #DavidBowie #GoldenYears #Martini #chanson #HugoandLuigi #DavyJones #Monkees #Epiphone #johnnyjblair #Kayguitar #HoundDog #Dontbecruel #king #milliondollarquartet #Johnny #Cash #JerryLeeLewis #CarlPerkins #BobDylan #Dylan #singeratlarge #postage #stamp
12 notes · View notes
orion1962 · 6 months ago
Text
real
Tumblr media
thoughts?
30 notes · View notes