#père et fill
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Voilà le père de mon oc monkie kid.
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Etoiles et Pomme
#qsmp#qsmp fanart#qsmp global#qsmp france#etoiles#pomme#pomme the egg#j'étais sur le stream d'Etoiles et la relation père fille qu'il avait avec Pomme était trooop mignonne j'ai pas pu m'empêcher de dessiner x3#Pomme is precious and must be protect at all cost
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Ma nièce, quatre ans moins un mois, à côté du château de sable que je lui ai construit avec amour: Maintenant tu t'en vas !
Moi : Comment tu parles à ta tante ?
Elle, d'un ton exaspéré : S'il! Te! Plaît!
Moi, tout aussi exaspérée : Je me souviens pas que tes cousins aient été aussi insolents
Elle : C'est juste que t'as oublié !
#à trois ans elle a sorti à mon frère :#'et pis d'abord t'es pas mon père !'#j'aurais pas été là j'y aurais pas cru#là cest une mini adulte#elle régurgite toutes les phrases que les adultes lui disent#90% des fois dans le bon contexte#c'est un petit cœur dans la majorité des cas#mais elle a un putain de caractère#cest bien la fille de son père#blabla
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Here we go again...
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'être la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici.
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains.
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots.
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple.
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant.
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte.
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir.
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur.
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé.
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir.
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. »
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… »
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! »
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur.
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet.
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou.
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable.
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé.
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. »
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent.
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme.
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur.
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur.
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait.
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier…
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. « Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement.
« Hein ? Quoi ? » Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée.
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même.
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux.
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur.
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu.
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie.
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais.
La nuit de noces.
#hahahhaha#j'adore ce texte je suis navrée mais je suis grâce fière#guenièvre ma puce tu mérites tellement mieux#cet Au me passionne pour la différence de la langue / impossibilité de communiqué#mais surtout la différence de religion et de culturelle#genre historiquement c'est trop intéressant#et tout ça vu par le prisme de la relation de ces deux loulous#je vais essayer d'être plus régulière dans la répartition de ces one shot parce que j'ai retrouvé pleeeeeeeein d'idée#kaamelott#arthur x guenièvre#arthur pendragon#guenièvre#mention spécial à léodagan de souffrir en direct du mariage de sa fille#et aussi au père Blaise de bien faire son Taff pour une fois#guesswhogotanamefics#kaamelott AU#kaamelott multilanguage AU#original writing#one shot#fanfic
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Père et fille
#image#photography#illustration#portrait#photo art#illustrator on tumblr#photocomposition#vintage#digital portrait#père et fille#daddy and daughter#man and kid#fillette#creative art
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Quand y'a rien qui va depuis quelques jours.
Une gastro qui a évolué en infection des intestins.
Téléphone pro perdu.
Ma voiture qui ne démarre plus.
Le chéri qui débarque chez moi bourré et d'étrange humeur.
Puis ensuite on se voit en coup de vent sans profiter d'être ensemble.
Le directeur de l'école de C, qui me propose un projet fou mais avec un délai impossible.
Bref.
Je vais aller hiberner.
#il est temps que je rentre chez mon père moi#go me faire chouchouter comme un bébé#fille à papa#et fière de l'être#j'vais retrouver mon p'tit frère aussi#mon bébé a tellement grandis#et grossi haha en un an en Corée
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pékin express va devoir payer pour ma thérapie, ascenseur émotionnel pour Axel et JC wa
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Brasserie de France : bière et vin, chemin commun
Chez Brasserie de France à Beaune, la bière fait « fût » de tout bois, surtout quand on lui applique un élevage à la façon des vignerons. Armand Heitz et Pascal Charles, qui viennent de produire leur propre gamme, témoignent de ce que peuvent apporter leurs procédés viticoles à une bière de terroir. Goût et circuit-court sont les grands gagnants de l’histoire. Le brasseur Arthur Lacroix…
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j’suis estomaquée d’à quel point j’suis influençable ça me dégoûte, genre, je m’étais décidée pour une assurance pour mon futur appart’, sauf qu’aujourd’hui, j’avais rendez-vous avec ma banquière pour qu’elle fasse le virement pour le notaire, et dans la foulée, elle me fait un devis de sa banque parce qu’ils font aussi des assurances (d’ailleurs le bail des banques qui se la jouent aussi assureur, m’enfin bref) et LE PIRE, c’est que c’est mine de rien 5e + cher que l’assurance que j’avais repéré, MAIS MOI LA SOMBRE CONNE, je me laisse embobiner par son blabla en mode “bah je vous les donne les 5e c’est rien” “euuuh pour toi c’est rien, pour moi c’est un repas stp” (je lui ai pas dis ça of course parce que j’ai la répartie d’un poisson rouge irl) et résultat, je me retrouve avec une assurance que je n’ai ABSOLUMENT pas souhaité qui me coûte à l’année 50e + cher, VOILA VOILA. en vérité je vous le dis, y’a pas plus CONNE et DEBILE et NULLE que moi, genre, j’ai rarement été aussi dégoûté de ma personne qu’actuellement, limite on me dit “tu savais que la terre était plate ?” j’vais y croire ??????? comment j’peux être SI influençable ????? mon père a raison putain, je suis conne et y’a rien à faire avec moi, c’est trop tard genre, c’est pas à 33 ans que j’vais changer quoi c’est fini, j’vais finir ma life avec des gens qui m’auront arnaqué, mais vraiment, j’suis dégoûtée de moi, je me donne littéralement envie de vomir comment c’est possible d’être MOI et d’être encore en vie dans ce putain de monde.
#pardon j'suis au bord de l'épuisement mentale comme je l'ai rarement été#et le pire je dois rien montrer à la maison parce que mon père va me dire que je fais mon orgueilleuse et ma petite princesse prétentieuse#qui croit que le monde va se mettre à ses pieds#et quand je m'écrase askip je dois arrêter de jouer la comédie#enfin#askip aussi y'a pire donc j'ai pas le droit de me plaindre#et c'est vrai que y'a pire#mais dans ce cas là pourquoi les êtres humains ont des émotions#parce que si j'en crois mon père c'est INTERDIT d'en avoir#parce que le monde c'est la jungle et que montrer des émotions c'est être faible#j'vous dis pas le jugement qu'il m'a fait quand je lui ai annoncé que j'avais pris l'assurance de la banque#la déception et la lassitude et le dégoût dans son regard#du père désabusé mais pas étonné non plus parce qu'il sait que sa fille est conne#le dépit voilà il m'a lancé un regard de dépit#j'ai envie d'me faire vomir pour me débarrasser de cette bile dégueulasse qu'est moi-même
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Marie de Lattre - La promesse
Pour son premier roman, La promesse, Marie de Lattre propose un récit puissant, émouvant, nécessaire par son caractère universel, sur la puissance de vie d’un enfant de huit ans qui change d’identité, de famille et, grâce au soutien et à l’amour d’un duo, arrive à grandir et à vivre sa vie d’adulte même s’il pense toujours que le pire peut arriver. Marie de Lattre a consacré deux décennies à…
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#Amour#Autofiction#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Exposition#Famille#Guerre#histoire#Histoire d&039;amour#Histoire de famille#Littérature contemporaine#littérature française#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Père et fille#PHOTOGRAPHIE#Premier roman#Relation père-fille#roman#Secrets de famille#Shoah
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Il y a quelque chose d'intéressant dans cette révélation qu'Aaravos était un père. C'est que Viren et Harrow se sont sacrifiés pour quelque chose. Viren c'était pour Katolis et sa famille, pour Harrow c'était pour ses fils et payer le prix de ses actes. Leola n'était qu'une enfant, Aaravos dit que les humains ont accompli ça d'eux même. Et vu que dans le flashback, on voit Leola utiliser la magie. Ça a dû les inspirer pour utiliser la magie primale. Du coup Aaravos a choisi de vivre et sa fille est morte laissant un père inconsolable et prêt à se venger.
There's something interesting about the revelation that Aaravos was a father. It's that Viren and Harrow sacrificed themselves for something. Viren's was for Katolis and his family, Harrow's was for his sons and to pay the price for his actions. Leola was just a child, and Aaravos says the humans did it themselves. And given that in the flashback, we see Leola using magic. That must have inspired them to use primal magic. So Aaravos chose to live and his daughter died, leaving a father inconsolable and ready to take revenge.
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Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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Some fluff with Kylian where readers pregnant and they have a lazy day, watching movies as he rests her feet on his lap because he knows he much she loves when he tickles her feet, trailing his fingers all over her soles and playing with her toes to make her giggle and as she’s laughing she feels the baby kick so she gets up shocked and grabs Kylian’s hand to feel the baby kick and they’re both in awe please💗
♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡
Monday...the best day for a day off. Kylian had a match yesterday evening so he had a rest day today. When he asked me what I wanted to do I said, "I just want to spend quality time with you," as my arms hung around his shoulders.
"So movie day?" He asked as he rubbed my sides and I excitedly nodded.
We were well into our fifth movie. The coffee table was littered with pizza boxes and different types of snacks, courtesy of my cravings. My back rested against the couch armrest and my legs were stretched over Kylian's lap.
I wiggled my toes when Kylian drew his middle finger on the sole of my right foot. I looked at him with squinted eyes and he smiled. Kylian massaged my feet and it felt so good. Since my pregnancy was progressing my feet were swelling and aching more often. Playing with my toes, he lifted them to his nose and sniffed. He made a disgusted face and wrinkled his nose causing me to burst into laughter.
"Kylian, stop. You know my feet don't smell. You're the one with stinky feet," I said.
"Quoi?" (what), he looked at me in surprise.
"Yes. You're the one who runs in boots all day. Sweating and everything," I stated.
"Take it back," he threatened with amusement on his face.
"No," I shook my head.
"Take it back," he said again. He trailed his fingers all over my soles making me giggle.
"No," I said in fits of giggles. I tried to pull my legs from his hands but he grasped them firmly.
Kylian then started to tickle me. His fingers danced across my soles, making me laugh uncontrollably. I suddenly gasped when I felt something hit me from inside my belly. Kylian instantly stopped his assault on my feet, worry adorning his face.
"What's wrong?" He asked. His eyes roamed my body for physical evidence of distress.
"He kicked," I said. I was 22 weeks along. I usually felt small flutters but they would be gone quickly. But this was a kick, I felt it clearly.
Kylian's eyes went wide, and a smile spread on his face, "really?"
"Yes. Here," I take his hand and put it on the right side of my protruding belly but nothing happens for a few seconds. "Maybe, if you say something..." I suggest.
Kylian scoots closer to me and places both his hands on my stomach. He leans closer to my stomach and speaks, "Mon fils, voici ton père. Je t'aime tellement et j'ai hâte que tu viennes pour que nous puissions jouer au football ensemble" (my son, this is your dad. I love you so much and I can't wait for you to arrive so we can play football together).
The baby kicked when he mentioned football and matching smiles instantly appeared on our faces.
"He likes football," Kylian said making me giggle. "Il va être une star," (he is going to be a star).
"Oui, tout comme son papa," (yes, just like his papa), I said cupping Kylian's cheek.
A loving look filled his eyes, and he kissed the palm of my hand. He crawled over me, careful not to crush my belly and pressed his lips against mine.
"Je t'aime," he said.
"Je t'aime," I replied.
For the rest of the day, Kylian's hand remained on my stomach. The corners of his lips lifted every time the baby kicked.
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tu sais que je t'aime bien, non? p2
pair: Fred Weasley x reader requested by anonymous
can you do a pt 2 to tu sais que je could you do a pt 2 to t’aime bien, non? where they’re at the order, and she’s still learning English, and Sirius know English so he knows what she’s saying when she makes small comments, whether about someone or about Fred. And they talk a lot in French, and she’s glad she can talk ‘normally’. she grew up without a dad, or a good father figure and that’s what Sirius was to her. And Fred learning bits of French, mainly just flirty stuff 😂
masterlist | navigation | p1
❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿
Y/N had grown used to the bustling activity at the Order of the Phoenix. Grimmauld Place was a stark contrast to the serene halls of Beauxbatons, but it had its own charm. It was chaotic and loud, with people constantly coming and going. But in all the noise, Y/N found comfort in small moments.
One of those moments was her time with Sirius Black.
Sirius had taken an immediate liking to Y/N. He was quick to realize that she wasn’t comfortable speaking English all the time, and when he found out she spoke French, he effortlessly switched languages. It was a relief to Y/N, who felt her shoulders relax every time they chatted in her native tongue.
“Comment tu vas aujourd'hui, Y/N?” Sirius asked one afternoon, as they sat in the kitchen with mugs of tea.
Y/N smiled, feeling at ease. “Je vais bien, merci. C’est agréable de parler en français.”
“Je comprends,” Sirius replied, his voice warm. “C’est bien d’avoir quelqu’un à qui parler aussi. Cette maison peut être un peu trop parfois.”
Y/N nodded, looking around at the dark walls of Grimmauld Place. It wasn’t just the house that could be overwhelming; it was everything—the war, the uncertainty, and the fact that she was so far from home. But Sirius made it feel less lonely. He’d become like a father to her, something she never really had growing up.
“Merci, Sirius. Tu es vraiment comme un père pour moi,” Y/N said softly, her voice full of emotion.
Sirius paused, his expression softening as he looked at her. “Et tu es comme une fille pour moi, Y/N. Je serai toujours là pour toi.”
The sincerity in his voice made her heart swell. It was nice to have someone who cared, who understood her without needing translation. She had Fred, of course, but there was something special about her bond with Sirius. He filled a void in her life she didn’t even know was there.
As the weeks went on, Y/N spent more and more time with Sirius, talking in French about anything and everything. They’d sit together during Order meetings, exchanging comments about the others in the room.
“Regarde Fred, il a l’air tellement concentré,” Y/N whispered one evening, watching Fred from across the room as he listened to Moody talk about the latest mission.
Sirius chuckled, leaning in closer. “Il est toujours concentré quand il s’agit de toi.”
Y/N blushed, trying to hide her smile. “Tu crois?”
“Je le sais,” Sirius replied with a knowing grin. “Il n’arrête pas de te regarder quand tu ne fais pas attention.”
Y/N felt a warm flutter in her chest. Fred had been learning bits of French too, mainly picking up on the flirty things she would say. He was getting better at it, though his accent was still terrible, which she found adorable.
One evening, after everyone else had gone to bed, Y/N and Fred were sitting together in the living room, the fire crackling softly in the fireplace. Y/N was reading, and Fred was leaning against her, pretending to read but mostly just watching her.
“Tu es belle ce soir,” Fred whispered in clumsy French, a proud smile on his face.
Y/N laughed softly, shaking her head. “You’re getting better, Fred.”
“I had a good teacher,” he said, grinning as he laced his fingers with hers.
Y/N leaned in, pressing a kiss to his cheek. “Je t'aime, Fred,” she murmured, feeling bold.
Fred’s eyes sparkled, and he responded with a mischievous smile, “Je t'aime aussi, Y/N. Did I say that right?”
She nodded, giggling. “Perfectly.”
Fred puffed up his chest in mock pride. “Maybe I’ll become fluent in French just so I can understand all the lovely things you say about me.”
“Oh, you’d like that, wouldn’t you?” Y/N teased, bumping her shoulder against his.
Fred smirked, leaning in closer. “I’d like it even more if you kissed me again.”
Y/N rolled her eyes but couldn’t resist. She leaned in, capturing his lips in a soft kiss. Fred deepened it, pulling her closer as they both melted into the moment.
When they finally pulled away, Y/N rested her head on Fred’s shoulder, feeling content.
“Fred,” she started, “I’m really glad you’re learning French.”
“Yeah? Why’s that?” Fred asked, brushing a strand of hair behind her ear.
“Because it means you understand me better,” Y/N said softly. “And I like that.”
Fred squeezed her hand, his voice full of affection. “I like it too, Y/N. But you know, even if I don’t understand everything you say, I think I get the important stuff.”
Y/N looked up at him, her heart full. “What’s that?”
“How much you care about me,” Fred replied, his voice serious for once. “And how much I care about you.”
Y/N felt tears prick her eyes, but they were happy tears. She knew that even with the language barrier, their feelings were clear. Love didn’t need translation.
“Je t'aime, Fred,” she said again, her voice barely above a whisper.
Fred kissed her forehead, his voice soft as he replied, “Je t'aime, Y/N.”
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Bonjour, bon Dimanche ☕️ 🥐 🍑 et bonne Fête des pères
Robert Doisneau et sa fille Francine à Montrouge🗼 1949
Photo ©Collection Doisneau
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