#on est jamais mieux servi que par soit même
Explore tagged Tumblr posts
smoakqueenz · 10 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Marie Claire Korea featuring SUGA (May 2023 Issue) with new photo
11 notes · View notes
camisoledadparis · 1 month ago
Text
saga: Soumission & Domination 330
Sosthène par Sosthène, mes Asiates
Sosthène me fait le récit de sa première prestation. Je lui dis de ne me formuler que ses impressions, j'ai déjà reçu le compte rendu de son séjour à Paris.
Sosthène :
Sasha vient de me mettre dans le train. Les premières c'est classe. Je suis entouré de vieux et mes jeans tranchent un peu parmi les costumes. D'être attendu sur le quai par un chauffeur qui porte une pancarte à mon nom, c'est étrange pour moi. Il prend mon bagage et je le suis sans un mot. Il me dit que monsieur XXX m'attend et qu'il me conduit chez lui. Je n'ai jamais été servi et ça me met un peu mal à l'aise.
Quand je rencontre Henri, je suis très stressé. Je suis seul, pas comme la fois où j'ai rencontré Marc. Rien à voir ! Il me reçoit très gentiment. Et je me détends quand il commence à parler littérature. Le stress revient quand Kev pour qui je suis le cadeau arrive. Je ne comprends pas au départ. Il semble désagréablement surpris de me voir assis avec son " Père/Amant ". Cela s'éclaircit quand je suis présenté comme son présent d'anniversaire. Vite il m'emmène chez lui. Je suis surpris je croyais qu'ils vivaient ensemble. Son appartement est très beau. Les tableaux et sculptures, très orientés homo sont quand même beaux. Le mec est un rapide, il me bouscule direct sur son canapé et me met nu en quelques secondes ! Je n'ai pas le temps de penser que je suis déjà en train de l'embrasser. Tout ira très vite et sans voir le temps passer, je me retrouve vidé, encore plein de sa bite, écrasé par son corps rompu par l'exercice.
Un vrai tourbillon, sans avoir l'intensité de ce que j'ai vécu avec Justin, c'est très étrange comme j'ai vraiment aimé ça. Kev est un amant très fort et sa science de l'amour est consommée.
Mais nous ne sommes pas en avance pour son diner d'anniversaire. Je m'emmêle les pinceaux avec ma cravate il m'aide et son corps dans mon dos m'excite encore.
Le restaurant dans lequel Henri nous emmène est un des meilleurs de Paris. Je suis un peu gauche et cela m'énerve intérieurement. Je suis très gêné quand Henri me tend un petit paquet semblable à celui qu'il offre à Kev. Il insiste et je trouve un jonc en or qu'il m'oblige à passer à mon poignet. Je suis très embarrassé. Kev me persuade d'accepter en me disant qu'il me va même mieux qu'à lui. C'est vrai que l'or ressort bien sur ma peau un peu trop bronzée.
Pendant le retour à l'appartement, j'ai beau faire un effort je finis par ne pouvoir retenir l'émerveillement que je ressens à parcourir le Paris des grands monuments. La nuit qui suit ne nous laisse que quelques heures de sommeil. Il m'a éreinté. Je crois bien l'avoir sodomisé autant de fois que lui m'a labouré l'anneau. Je l'avais cru actif pur mais sa rondelle n'était pas à son coup d'essai.
Le dimanche il me propose/impose une balade dans Paris. Le métro c'est assez " spécial " mais avec Kev à mes côtés, je ne crains rien. Je suis comme un gamin et j'ai l'impression que lui aussi. Devant la tour Eiffel, il m'embrasse devant tout le monde puis s'en prend à un type qui nous aurait insultés. J'ai un moment peur que cela ne dégénère mais c'est finalement pour l'autre que cela fini mal puisqu'il préfère partir avec une femme vulgaire à son bras. Dans les escaliers qui montent au 3ème, je sème Kev qui me rejoint en soufflant. Cela ne m'empêche pas de lui rouler un patin tellement je suis content. Apres avoir vu Paris d'en haut, nous nous faisons draguer à la terrasse du café du Louvre par 2 bataves femelles en chaleurs. Kev les détrompe en me roulant une nouvelle pelle. On se sépare en riant tous les 4 de leur méprise. Pris par l'ambiance détendue que Kev a su faire naitre entre nous, je loupe mon train. Alors que je vais pour m'affoler, Kev minimise le fait et même si je le presse, il me calme et j'arrive à prendre le train suivant. Je suis gêné qu'il se soit cru obligé de m'accompagner à la gare.
Dès que le train démarre, j'appelle Sasha pour le prévenir. Evidemment ce n'est pas grave pour lui. Je travaille jusqu'à l'arrivé.
Alors qu'il me prend dans ses bras et me claque une bise sur les joues, il note tout de suite le bracelet qui orne mon poignet.
Comme je le vois essayer de le retirer et que plus il essaye et moins il y arrive, je lui suggère du savon mais qu'il est tout à fait en droit de le garder. Les cadeaux d'Henri sont toujours de valeur et je lui montre ma voiture, 50% provient de ses largesses. J'ajoute que l'or donne un joli reflet à sa peau et lui dit que quand il se fera poser son piercing au téton, cela sera raccord. Je lui demande s'il a pensé à un animal à placer à l'opposé du tigre. Comme rien ne vient je lui propose une tête de jaguar, un animal de la forêt amazonienne. Le noir pourrait être réalisé avec des émaux ou un travail de l'or différent.
Il m'écoute et de dit rien.
Je le revois le mardi soir pour la séance " sport ". Il porte toujours son jonc en or. Je lui demande s'il l'avait ôté depuis Paris. Il me répond que non seulement il l'avait remonté et coincé sur son avant-bras sous ses chemises pour ne pas avoir de question chez lui. Echauffements, musculation, Jona voudrait le voir plus large. Il estime que quelques cm de plus de tout de poitrine seraient du plus bel effet. Ce n'est que pour son combat qu'il le retire.
Je le regarde combattre. Avec João il adopte naturellement un style coulé très esthétique. Je demande à François de remplacer notre brésilien. Le combat gagne en efficacité. Sosthène se retrouve plus souvent à terre mais il progresse vite. Je suis plus particulièrement les deniers arrivés. L'émulation qui règne les booste et avec le régime préconisé par Jona, les semaines qui passent voient leurs carrures s'élargir et la balance accuser des prises de muscle intéressantes. Je vais devoir équiper la serre de postes supplémentaires de musculation. Le second étage commence à être un peu petit et comme je ne compte pas étaler les jours d'ouverture générale, c'est la seule solution. La terrasse autour de la grande piscine est tout à fait propice à recevoir une douzaine de poste sur les 25m de long.
Ils se donnent tous à fond. Mes " médecins " qui n'arrivent qu'à venir qu'une séance sur deux sont en meilleurs forme qu'à leur embauche. Même une fois par semaine, cela les sort de leurs bouquins et ils sont plus équilibrés ! De plus, ils ont acquis maintenant un niveau suffisant pour maitriser n'importe quelle brute épaisse qui essayerait de passer en force. Certains ont déjà eu recours à leurs nouvelles compétences pour maitriser des excités avant qu'ils ne deviennent trop méchants. Les urgences voient passer une faune assez hétéroclite.
Je suis obligé de calmer mes clients. Depuis que les fiches de João et de Sosthène sont apparues sur mon site privé de réservation, ils reçoivent jusqu'à 5 demandes par semaine. Alors qu'ils ne sont plus " primo-prestation ", certains clients n'hésitent pas à proposer un règlement supplémentaire pour avoir leur compagnie prioritairement. Cela se fait sans préjudice pour mes autres escorts qui performent bien. Le chiffre d'affaire de ma société, sans même compter la part Espagnole ne cesse de monter et avec une progression à 2 chiffres, je participe bien à l'effort national. Pas de licenciements chez moi !
Question placements, André (mon banquier et celui des comptes " escort " de mes employés) s'en charge personnellement. Même si la façade officielle est irréprochable, il préfère ne pas confier mon dossier à un collaborateur. De plus ça l'amuse d'optimiser au mieux les avoirs de mes équipiers.il n'est pas mauvais à ce petit jeu et ses résultats sont souvent proches des deux chiffres eux aussi.
Il me faut 2 semaines pour équiper le jardin de deux nouveaux postes de développé couché, un de développé incliné, une gamme de paires d'altères de 10 à 34 Kg avec trois bancs à inclinaison variable, un poste papillon/oiseau et une chaise romaine avec option traction. J'achète aussi une tour 4 postes pour y travailler les dorsaux, et les bras plus une presse à jambes. Ils me sont livrés et posés. Les installateurs sortent de chez moi un peu cassés même s'ils faisaient honneur à la société. S'il n'y avait les palmiers et les plantes grasses, la cour ressemblerait à une véritable salle de sport. Surtout que de l'autre côté de la piscine j'ai installé pas loin de 50m² de tatami, que l'on puisse s'entrainer à plus de deux à la fois.
Quand mes Escorts découvrent les nouvelles installations, ils sont ravis. Parfois les attentes pour se partager un poste dépassaient des 2mn. Jona, lui, se demandait bien comment il allait pouvoir gérer les exercices de tous. Il a passé une soirée à réorganiser les passages sur les postes en intégrants les nouveaux. Et chacun reçoit sa nouvelle feuille de travail en conséquence. Ric passe voir mon installation. Alors qu'il venait de temps à autre s'entrainer avec nous, il avait cessé faute de place. La nouvelle installation lui plait bien. Sosthène et João qui font sa connaissance sont impressionnés par la masse musculaire qu'il a développée. C'est le plus hypertrophié de nous tous mais comme il a tout travaillé, le résultat est très harmonieux.
Mes premiers Asiatiques
Je recrute aussi les deux asiatiques qui étaient sortis des listes. Lâm et Khang, ils sont amis mais pas petits amis. Ce sont deux français d'origine vietnamienne. Petits formats, 1m70 et 1m72, légers et peu musclés. Ils vont détoner par rapports à mes autres Escorts mais c'est l'idée préconçue que nous en avons et que mes clients vont attendre. Cheveux noir, raides et courts ils sont le parfait physique asiatique.
Je les aborde alors qu'ils sont en train d'écluser un demi dans le bar à coté de leur Fac de langues. Je m'assois à leur table et dit les avoir remarqué et qu'ils seraient idéaux pour le travail d'Escort que ma société propose. J'ajoute rapidement que ma société propose les services de traducteurs mais pas dans les langues asiatiques. Avant qu'ils n'aient réagis, je leur demande quelles langues ils parlent. Alors que l'un me demande qui je suis, l'autre me répond déjà. Ils parlent vietnamien, le mandarin et le cantonais aussi. Le second en même temps me demande ce que je leur veux et qui je suis. Je remercie le premier et réponds au second. Etat civil, nom de ma société, prestations proposées. Je précise officielles. Là je les intrigues avant qu'ils ne comprennent le sous-entendu. En bons homos coming-outés, ils me préviennent qu'ils ne sont pas intéressés par les femmes. Du tac au tac, je leur dis que cela tombe bien la majeur partie de mes clients le sont aussi. Rapidement je leur donne une idée du revenu mensuel qu'ils seraient à même de se faire. Avec des parents immigrés et aux revenus modestes, ça les interpelle évidemment. En cité U, le dossier que j'ai sur eux m'a informé qu'ils ne mangent même pas au Restau-U. 
Celui qui m'avait répondu me demande des précisions. L'autres est plus circonspect. J'entre dans les détails, leur explique que j'ai déjà 23 escorts réguliers qui travaillent pour moi. Je leur dis qu'ils ont bien compris la partie non décrite du travail et que c'est bien par elle qu'ils peuvent se faire de tels salaires. J'explique ma stratégie de diversification ethnique et ajoute que cela passe aussi par des stéréotypes. Ils se doutent bien de celui qui est accroché à leurs basques. Le plus expansif acquiesce car c'est souvent pour cela qu'ils sont dragués. Je leur demande si c'est contre leurs penchants ? Il rit et me dit que j'ai du pot, qu'ils rentrent tous les deux pile-poil dans l'imagerie. Ils n'aiment rien moins que de se faire défoncer grave. Je leur demande s'ils iraient jusqu'à montrer les mêmes stéréotypes de soumissions que leurs cousins de l'est. La réponse est immédiate, si c'est ce qui est demandé par le client alors ils peuvent s'adapter. Je me tourne vers le moins disert. Il opine de la tête. Quand je leur demande s'ils sont partants alors, j'ai droit à 2 oui très nets.
Je leur demande de passer à l'adresse de ma carte que je leur donne. On se fixe le lendemain fin d'après-midi.
En bons petits soldats, ils sont devant la porte à 18h pile. Je les fais entrer et nous montons au premier. Ils sont captivés par la frise de mon bureau (photographies de mes escorts). Le plus bavard me dit qu'il comprend alors mon besoin de diversification. Je remplis leur dossier avec les renseignements qui me manquaient. Notamment la taille de leurs sexes. Avec 15x4 et 14x3, ils ne se situent pas dans le haut du tableau. Quand ils se mettent à poil, je leur dit que c'est trop fourni autour ! Ça ne leur pose pas de problème de tailler là. En sport ils vont faire plaisir à Jona avec leur pratique de la boxe Thaï. Je les emmène à la salle de bain et en chemin explique le fonctionnement de l'étage entièrement dédié à la société, chambres et dressing aussi. Je les guide dans l'élagage de leur pilosité et ils en sortent parfaits. Nous finissons le dossier. Je leur donne l'adresse du labo dans lequel ils vont devoir se faire analyser. Il comprenne la démarche même si je leur dis que toutes les relations se font sous kpote. Je note scrupuleusement leurs tailles et mensurations. Je vais devoir acheter en urgence de quoi couvrir leurs fesses. Je n'ai que Maxou dans leurs dimensions et n'ai pas un très gros stock en sous-vêtements. Surtout que quand ils essayent un des ES que j'ai pour lui, c'est juste une taille trop grande !! Mon magasin de vêtement va ramer aussi pour leur trouver des costumes et smokings. Comme ils ne vont commencer probablement qu'avec des contrats " sexe ", j'aurai le temps de les équiper.
Alors que le plus ouvert contourne le bureau pour tenter de me montrer comment il est dans la baise, je le retiens. Moi qui, d'habitude, saute sur tout ce qui bouge, je suis bloqué devant eux. Je suis le premier surpris, c'est une réaction que je n'avais encore jamais eu encore. Je m'en excuse et leur dit que j'aurais un spécialiste le WE prochain pour les tester. Là, je pense à Marc qui se fera un plaisir de les formater comme leurs homologues restés au pays. D'ici là, ils ont juste le temps de passer dès le lendemain au labo pour avoir les résultats vendredi.
Sans être pour autant vexés, ils acceptent le plan.
Samedi Après-midi :
Marc est prêt, je lui en avais déjà parlé et il attend avec impatience de voir quelles sont les différences avec les petits mecs qu'il culbute habituellement et ce qu'il va devoir leur apprendre. Il m'a demandé d'intégrer Hervé qui commence lui aussi à avoir une bonne expérience de leurs " pratiques ". Du coup Ernesto est arrivé pour le WE. Après tout, il n'y a pas de raisons que seuls nos " vieux " soient à la fête !
Mes deux recrues arrivent à l'heure convenue. Je vois qu'ils se sont préparés. Leurs vêtements sont plus près du corps, ils sentent discrètement le parfum.
Je les conduis au premier où je leur présente Marc et Hervé. La suite est ce que je vais voir sur les caméras qui équipent l'étage.
Ils entrent tous les 4 dans une des grandes chambres de l'étage. Lâm et Khang savent surement qu'ils doivent se faire serviables. Ils commencent par déshabiller nos deux quadras, prenant soin de bien plier les vêtements avant de venir en retirer un autre. Une fois nos hommes nus, ils les font se coucher sur le lit en ayant pris soin de placer sous eux des draps de bains présents sur la commode. Ils tirent de leurs sacs à dos des huiles et s'en servent pour les détendre et les masser. Je les vois s'écarter le temps de se mettre nus eux aussi avant de reprendre le massage. A ce stade, ils chevauchent les cuisses de leur " patients " et massent leurs dos avant de descendre sur les fessiers. Une fois replacés à genoux entre les cuisses écartés de Marc et d'Hervé, je peux les voir masser la rondelle et le périnée de leurs victimes. Quand ils les font se tourner sur le dos, je remarque que leurs derniers massages ont eu des effets. Les bites de nos deux Mâles sont raides ! Là, pas d'huile mais de la salive. Je les vois pomper à poser leurs nez sur les abdos de Marc et Hervé. Ils ont l'air de bien se débrouiller et j'entends Marc approuver. Après quelques minutes de suce, ils remontent manger les tétons tout en frottant leurs petits pecs contre les sexes qu'ils viennent d'abandonner. C'est finalement très bandant la différence de format entre eux et nos hommes. Alors que seul avec eux, je n'avais pas eu d'excitation, là, à les mater, je bande !
Sur l'ordre de Marc, ils enfilent les kpotes sur les bites qui vont les défoncer. En fait je vois Marc et Hervé rester sur le dos et les deux petits nouveaux s'assoir sur leurs queues. Ils bossent bien et leurs cuisses fines ont de la résistance ! Ils s'échangent leurs axes de va et vient et reprennent leurs fonctions de branlage par sphincter anal. J'entends les commentaires que s'échangent Marc et Hervé. Ils ont l'air assez content de la soumission de mes deux asiatiques. Hervé dit même que c'est assez proche de ce qu'il trouve sur place. Marc est d'accord. Ils ont apprécié le massage préliminaire, très bien réalisé.
Je récupère le quatuor après leurs douches pour faire un débriefing. Mes deux hommes sont d'accord pour dire qu'ils se sont très bien débrouillés. L'attente que l'on peut avoir concernant un jeune asiate est bien comblée par leur façon de faire. Lâm m'explique que sa mère est masseuse et ajoute tout de suite, de peur qu'on se méprenne, mais sans sexe.
Comme ils ont réussi leurs examens de passage, je leur annonce qu'ils seront proposés à la clientèle dès la semaine suivante. Comme ils n'ont pas encore le permis, ils se déplaceront en taxi le temps de le passer. C'était une question d'argent qui sera vite réglé dès leur première prestation.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
7 notes · View notes
norellenilia · 2 years ago
Text
Eldarya, A New Era - Episode 16
Originellement publié ici le 25 janvier 2023.
Par tous les saints, deux épisodes de parlotte inutile à la suite ? Vraiment ??
Tumblr media
Je sais que l’épisode 17 est sorti aujourd’hui et qu’il serait temps de commenter l’épisode 16, mais vraiment la seule différence avec le 15 c’est qu’on est à la Garde et pas à Yaqut, c’est terrible. Ça parle, ça parle, mais ça dit rien d’intéressant, ça tourne encore à la propagande hua-esque, et même la scène d’action est rendue comique avec l’évolution du familier. J’ai dépensé 2854 maanas, sachant que j’ai choisi de faire 3 scènes facultatives (et que j’en regrette une lol) CDC TO : Valkyky le Silencieux CDC ANE : Personne, route de Mathieu
Tumblr media
Retour sur la scène de bataille avec des familiers communs apparemment presque aussi puissants qu’un dragon. Comme quoi faut pas sous-estimer les familiers communs, hâte de voir des Crylasms de guerre et des Cargoches de combat. C’est la pagaille, entre le familier qui sert à rien, les vampires qui sont perdus sans les ordres de leur chef et Leiftan qui est parti se planquer parce que, spoiler, il sert à rien non plus. Nan vraiment, à quoi ça sert de s’obstiner à l’intégrer aux épisodes missions s’il a aucune raison d’y être ?? Il a, littéralement, servi à rien dans l’épisode 15, les blabla sur la morale ne comptent pas il a rien dit de pertinent. Il aurait pas été là ça n’aurait strictement rien changé. Quand soudain, alors que des Rookhs allaient s’abattre sur Erika et son familier, ce dernier les repousse de sa soudaine forme évoluée ! « Bah tu vois Nore, c’est pour ça que le familier a été intégré à l’épisode, c’était pour qu’il ait une évolution spectaculaire lors d’un moment crucial 🙄 » Spectaculaire, spectaculaire, moi tout ce que ça m’évoque c’est l’anime Pokémon à chaque fois qu’il y en a un qui évolue de manière complètement loufoque pour les besoins du scénario alors qu’il a rien foutu depuis 200 épisodes, désolée de pas me réjouir.
Tumblr media
« Vite ! Le scénario m’appelle ! »
Et visiblement c’est contagieux puisque Skala se met à évoluer elle aussi pour protéger tout le monde. Si j’avais su qu’il suffisait de mettre les familiers en danger pour qu’ils évoluent plus vite j’aurais changé de méthode pour faire évoluer les miens, qui a besoin d’une potion d’évolution quand on peut envoyer le familier au casse-pipe ? Et alors que la plupart des Rookhs sont en déroute, horreur, malheur, l’un d’eux s’attaque à Nevra !! Il est blessé !!! Il crache du sang !!!! En plus le soleil s’est levé !!!!! Va-t-il survivre ?????? Eh oh c’est bon tout le monde sait ici qu’un CDC ne peut pas mourir avant la fin d’une saison, suspense inutile. Ça aurait mieux marché si ça avait été Chrome ou Karenn, au moins on aurait pu caresser l’espoir de pouvoir être débarrassé-e-s de l’un des deux. Orgelz, affectueusement surnommé Gaston par mes soins de par sa ressemblance avec le méchant de La Belle et la Bête en termes de couleurs et de capacités cognitives, s’énerve parce qu’ils ont tous failli y rester et qu’on ferait mieux de rentrer à Yaqut ! Karenn le fait rapidement taire parce qu’il n’a aucune autorité, et franchement la question c’est bien comment il a pu devenir chef, de base. Nous reprenons alors la route en compagnie de Mathieu, inquiète de ce qui nous attend sur le chemin, mais aussi de ce que nous allons trouver en rentrant au QG. Notre héroïne est également hantée par de sombres pensées : elle se persuade que de toute façon, tout le monde va canner de manière horrible et qu’aucun d’eux ne connaîtra des jours paisibles. On dirait moi quand je pense à l’état actuel du monde mdr Gaston tente de convaincre les autres vampires de la dangerosité de la Garde qui les manipule etc, mais heureusement, il a un QI à 2 chiffres et le premier c’est 0, du coup absolument personne ne l’écoute et il ferme son clapet à la première remontrance d’Erika puis de Karenn. Quand je pense qu’on nous a vendu cet individu comme un potentiel danger, il a jamais fait peur à qui que ce soit, je comprends même pas l’intérêt de ce personnage… Il est censé être celui qui a mis Yaqut dans la situation dans laquelle elle est à présent, mais comment c’est possible quand il est infoutu d’avoir le dessus sur une abrutie finie comme Erika ? Bref, le reste du voyage on s’en fiche, on rentre au bercail.
Tumblr media
Incroyable, les nouvelles sont plutôt bonnes, personne n’est mort, le QG est intact, y’a juste Hua qui est « souffrante » et qui n’assistera pas au rapport devant le Conseil. Nous prenons un repas bien mérité avec nos compagnons de galère, et lors d’une discussion sur le réarrangement du refuge, Lance déclare qu’ils ne vont pas pouvoir tenir un tel rythme d’accueil de réfugiés très longtemps et qu’il faut songer à réparer les perturbations dans le maana. Et là Karenn s’énerve et accuse Lance de sous-entendre que c’était une perte de temps d’accueillir les vampires, je ? Je sais que c’est pour introduire le pseudo-dilemme moral sur la présence des vampires au QG, mais j’ai beau relire le dialogue, la formulation de Lance était limpide ; pour moi il dit juste qu’accueillir les réfugiés c’est cool, mais bientôt on aura plus la place, donc au lieu de continuellement mettre des pansements sur un os cassé, ce serait bien de songer à mettre un plâtre, si je puis me permettre cette métaphore. Donc bon oui elle est à cran machin, mais la faire s’énerver sur une phrase vraiment pas ambiguë ça la met pas vraiment en valeur. Vient l’heure du Conseil. Feng Zifu entame la séance en s’adressant aux « gardiens, gardiennes, Leiftan et Mathieu, » ce qui semble sous-entendre qu’effectivement Mathieu a eu une suspension et non une mise à l’épreuve comme dit pourtant dans l’épisode 14 ??? Du coup vraiment qu’est-ce qu’il fout en MISSION ?????
Tumblr media
Y’a déjà Leiftan qui se fait embarquer sans raison dans des missions officielles, là
Je sais que je tourne en boucle là-dessus mais c’est quoi l’intérêt d’avoir un système de Garde avec des règles et une hiérarchie à respecter si c’est pour que des gens qui n’en font plus partie, temporairement ou non, puissent continuer à travailler dedans et à participer à des missions officielles et potentiellement dangereuses, surtout quand ils en ont été exclus pour avoir été dangereux ????? Bon je pense que ça fait partie des causes perdues de la saison mais bon. Je le soulignerai quand même à chaque fois que l’occasion se présentera :’) Tiens à propos de trucs à souligner, je sais pas si j’en ai déjà parlé, mais Où EsT eNtErRé VaLkYoN ???????? AHEM. Karenn raconte donc les événements de la mission. À la fin de son récit, Chù intervient en rappelant que l’on vient de ramener dans les murs de la cité 80 vampires menés par un fou furieux qui déteste la Garde, vampires qui se délectent également du sang de l’élue de l’Oracle et de son compère humain qu’on aime bien aussi, du coup est-ce que c’était vraiment une bonne idée de les ramener là ? Bien sûr Karenn s’énerve, d’autant plus que j’ai choisi d’être d’accord avec Chù à chaque fois (même si je ne savais pas qu’elle allait en venir là, elle a juste décrit les faits, donc bon), et si je comprends qu’elle le prenne pas bien, je continue d’être d’accord avec Chù, dans le sens où les vampires ont choisi la solution de la survie, mais ça ne veut pas dire qu’ils ne peuvent pas être dangereux, il faut rester méfiants le temps qu’ils s’acclimatent, surtout au cas où l’un d’entre eux serait assez bête pour écouter Gaston. Malgré tout, Karenn n’admet pas qu’on puisse émettre des réserves et hausse le ton (c’est cool elle insulte une cheffe de Garde et on lui dit rien lol), perso j’pense qu’elle devrait redescendre un peu, ou « toucher de l’herbe » comme on dit en anglais. Bien sûr qu’ils sont des réfugiés, mais bien sûr aussi qu’ils viennent d’un milieu qui les a rendus très hostiles à la Garde, donc il faut faire gaffe. Surtout si l’un d’eux s’en prend à Erika, ok elle est bête comme ses pieds et serait à peine un troufion de base si elle avait pas ses pouvoirs d’aengel et son pass Perso Principal, mais il paraît qu’elle est la clé pour sauver Eldarya, si elle crève parce qu’un vampire a décidé de faire une entorse à son régime, ils sont pas dans le caca :’) Jamon nous fait ensuite un discours sur la Grande et Belle Garde qui tend la main aux miséreux et qui a pas peur du danger, Chù rétorque que de là à amener le danger dans nos jardins quand même, Jamon dit que la Garde est assez forte pour se battre dans ses propres jardins, et j’rigole parce que quand y’avait Ashkore qui se baladait dans le QG au vu et au su de tous ils ont jamais été très efficaces pour l’arrêter 😆 Le conseil se finit et Erika veut parler avec Zif à propos de Hua. Mais il reste muet comme une carpe (Erika se dit « bien sûr comme si un membre de l’Étincelante allait me donner une info juste parce je le demande » mais lol c’est pas comme si c’était déjà arrivé), avant de tout de même lui proposer de poser directement la question à la fenghuang.
Tumblr media
Après une discussion bouffe-maana sur la pluie, le beau temps et les tensions entre PNJ, nous commençons à aborder le problème qui turlupine Erika : la santé de Hua. Alors j’ai vu que d’autres personnes y ont pensé et je les rejoins, mais la dernière fois qu’on a vu les fenghuangs mal en point, c’était après le bris du Cristal, vous savez le truc qui avait causé la première rupture du rythme nycthéméral (je remets le mot compliqué parce qu’on a toujours l’air plus cool quand on utilise des mots compliqués c’est la loi). On avait été les voir exprès, tout ça pour juste aller cueillir des gousses de Qirin et j’sais pas quoi, faire une vague prière et ça avait donné « un remède et vaccin, » on a jamais su contre quoi mais apparemment ça avait marché et on avait servi quasiment à rien et ça m’avait énervée. Du coup je sais pas pourquoi on en reparle pas ici. Hua nous semble terriblement affaiblie. Ce qui fait peur à Erika, parce qu’elle a l’habitude de la voir « si solaire, si volontaire ; d’ordinaire, il émane d’elle une puissance indescriptible. […] Si elle s’effondre, elle emportera la Garde dans sa chute. Et Eldarya toute entière la suivra. Tout disparaîtra. » WOOOOOOW alors on va se calmer deux minutes, déjà ??
Tumblr media
Je pensais qu’on en avait déjà assez vu avec la Secte de Sainte Miiko, moi ??
Même vibe que quand on disait de Miiko qu’elle puisait beaucoup dans son énergie « pour faire tenir cette Garde et le monde » et qu’elle faisait « une apparition divine » sur son Chiromagnus dans la bataille finale, là, faut pas déconner, on a assez soupé de l’adoration malsaine de Miiko, c’est pas pour la retrouver avec Hua ! Moi qui pensais qu’on y gagnerait largement au change même si j’étais pas trop fan de Hua, je me suis bien faite avoir. Alors oui elle prend moins de décisions stupides que Miikonne, mais elle reste une grosse cachottière (ça se voit et elle ment délibérément en disant que non non elle sait pas pour certains trucs) dont les décisions ne doivent pas être contestées, sauf qu’elle c’est pas parce qu’elle a un passé triste c’est parce qu’elle est grande, belle, généreuse et qu’elle a le don de soi-disant sonder le cœur des gens… Du coup on se doit de l’adorer, de l’admirer, et maintenant ça y est, sans elle la Garde et le monde disparaîtront… Déjà j’ai envie de dire, je pense que la Garde se porterait très bien sans elle, Zif est toujours là, et Nevra me semble un bon candidat de remplacement (ok il préfère aller sur le terrain mais clairement il sait être un chef). Quant à sa puissance, lol, Lance a dit lui-même que s’il voulait prendre le contrôle de la Garde, rien ne l’en empêcherait, et Nevra serait pareil. Puis on a appris que les fenghuangs sont les moins puissants des trois races originelles du Sacrifice Bleu. L’on commence à parler du lien de ces trois races au Cristal, au maana, du fait que tous les feghuangs ne réagissent pas pareil, que Chù est la potentielle nouvelle phénix maintenant que Hua a renoncé au poste, etc. S’en suit un blabla sur les pouvoirs des fenghuangs, qui non contents de pouvoir voir le monde en version maana pour certains, peuvent également influencer les personnes autour d’eux pour d’autres. C’est très probablement le cas de Zif, qui n’a qu’à lever le petit doigt, presque littéralement, pour que l’attention soit tournée vers lui. Erika craint que ce ne soit aussi le cas de Hua, et que ce serait pour ça qu’elle est actuellement cheffe de la Garde, mais celle-ci lui précise qu’elle ne possède pas ce genre de pouvoirs. Faudrait pas qu’on vienne à penser qu’elle puisse ne pas être une oie blanche mdr Concernant Chù et ses pouvoirs, Hua pense qu’elle les sous-estime grandement, et s’en suit une discussion sur ce qu’est le phénix et les épreuves qu’iel doit passer pour accéder à ce statut quasi-divin. On a enfin une liste desdites épreuves, la première étant « pardonner à autrui, » une autre étant « sacrifier une partie de soi-même/abandonner une chose qui nous est chère. » D’où l’obsession sur le pardon et le sacrifice, c’est ça ?
Tumblr media
Je comprends mieux, à présent !!
J’aime bien aussi parce qu’ils parlent de l’épreuve d’accepter sa mort machin et que Hua l’a passée en acceptant le fait qu’elle allait bientôt mourir ou je sais pas quoi, mais cette épreuve c’est dans l’épisode 30 qu’elle l’a passée quand elle s’est foutue devant Eweleïn pour la protéger de la bataille où elle aurait pas dû être en tant que médecin mdr Bref ça débat de pourquoi Chù est très probablement la prochaine phénix et pas Hua, parce que Hua, en plus d’être Belle, Grande et Généreuse, elle est aussi Humble et sait reconnaître ses faiblesses, qu’elle est magnifique !!! Ensuite Hua s’en va et on parle avec Zif parce que oh là là tout est konplké depuis mon réveil, au moins avant c’était simple je savais que je devais arrêter Lance mais maintenant je ne sais plus à quel saint me vouer :’( Non bibiche on est juste passés d’un scénar nanardesque mal écrit où c’était très clairement les gentils contre les méchants (avec le seul méchant intéressant complètement gâché) à un scénar mieux écrit mais qui tente vainement de se faire passer pour ce qu’il n’est pas, c’est à dire moralement ambigu. Qui croit une seule seconde à ce dilemme, vraiment ? Ça aurait pu marcher, on aurait pu légitimement se poser la question, si et seulement si les méchants évoqués comme Tenjin et Orgelz avaient été crédibles une seule seconde. Tenjin c’est un archétype de méchant où à aucun moment on essaie de nous faire avoir de l’empathie pour lui, et Orgelz mdr c’est pas un méchant c’est le side-kick du méchant dans le meilleur des cas. Même Papounet, qui avait un super potentiel de méchant, est tombé dans le piège de méchant de cartoon où il manque que le rictus de haine et le rire « muhuhuwhahahaha ! » Puis bah la Garde on en parle plus hein, dès qu’il y a des doutes, même dans ce dialogue, un perso les dissipe immédiatement, ici Zif nous dit que de toute si on avait pas ramené les vampires c’était 100 victimes assurées, que là on a le contrôle on peut s’assurer qu’ils se tiennent à carreaux, pas le droit de questionner sinon Karenn va s’énerver et si Karenn s’énerve c pas bien parce qu’elle est du côté des gentils é_è Puis bon même ça, à la fin de l’épisode on nous dit que les vampires se font à leur nouvel habitat, ils aident à fabriquer le sang de synthèse et les autres habitant-e-s du refuge s’habituent à eux. On est pas à l’abri d’un dérapage, certes, mais même là la question morale évoquée dans le Conseil et dans ce dialogue est évacuée. Après, dialogue sur le fait que ui on peut pas prévoir les conséquences de nos actions, si on avait tué Lance il y a 7 ans p’t’être Nevra serait mort aujourd’hui, si on avait tué Tenjin p’t’être y’aurait eu un conflit de succession meurtrier, de la pitié de Bilbon peut dépendre le sort de beaucoup etc, sur le fait qu’on sait pas ce qui va se passer mais osef on cherchera juste des solutions, allez perds pas espoir on est tous avec toi Erika le Pouvoir de l’Amitié™ vaincra et ceci et cela et depuis combien de temps je suis sur cette scène avec Hua et Zif là ???
Tumblr media
Alleeeez, avec ça c’est bientôt la fin de l’épisode, n’est-ce pas… ?
Tumblr media
Nous accourons au chevet de Nevra qui s’est réveillé, mais le bougre s’ennuie, peu habitué qu’il est à être du côté des éclopés forcés de rester au lit. Erika lui propose de lui apporter des inventaires en retard ou des rapports de missions à recopier, « vu que personne n’a jamais le temps de les faire »… Meuf y’a deux minutes tu disais que tu savais pas quoi faire de ta journée à part te promener pourquoi tu te portes pas volontaire ??? Je sais pas si le coup de la promenade c’était une vanne de votre part sur le fait que quand elle déclare avoir enfin le temps de se poser après avoir couru tout le QG pour demander leur avis aux PNJ sur tout et n’importe quoi tout ce qu’elle sait faire c’est aller se promener, mais dans tous les cas vous faites rien pour la rendre agréable, votre perso principale, c’est incroyable. Je note aussi qu’il paraît que dans cette scène, sur la route de Nevra, alors que son gars lui livre ses doutes et ses faiblesses, elle tout ce à quoi elle pense c’est le KU le SAIKS le ZIZI, parce qu’on a oublié que c’était un jeu de romance, maintenant c’est un jeu de popotin mais que quand on y pense entre trois épisodes de faux dilemmes et de faux méchants. Après Karenn et Maora débarquent, et Karenn fait une critique de l’hétérosexualité en tant que système qui force les meufs se mettre en compétition entre elles pour séduire les mecs mais ça va c’est juste pour énerver sa réac de mère 🙄 D’ailleurs j’aime pas Maora, elle a eu l’air d’être une mauvaise mère et j’aime pas les réacs, et je déteste le fait que Karenn veuille forcer Nevra à se réconcilier avec elle, parce que c’est encore dans votre lignée débile de « faut pardonner tout à tout le monde » gneugneu mes fesses. On a la scène avec Leiftan wouah trop beau quelle émotion snif snouf bravo le daemon, moi j’ai surtout vu que si on a choisi les réponses « daemon » lors de certains choix de l’histoire (genre ce qu’on fait pour ouvrir la porte de la cellule de Caméria dans l’épisode 13), alors Leiftan nous jarte de sa conscience. Très bonne idée, sauf que perso, même si j’ai pris des choix daemon, j’ai pas vraiment souvenir d’avoir pris des choix aengel (peut-être sur le bateau, je sais plus), plutôt des choix neutres, ou alors je sais vraiment pas ce qui est pris en compte, du coup je suis triste de pas être perçue comme daemon par le jeu :’) Vient ensuite la séquence de scènes facultatives. J’ai fait celle de Mathieu, puisque je suis sa route, mais bon dieu que je l’ai regretté. La scène s’étirait. En longueur. Toutes ces actions. Décrites en une phrase. Très courte. Pendant 10 ans. C’est indigeste. Vous le savez. Mais vous continuez. Parce que vous vous en fichez qu’on aime pas. Donc vous dites au scénariste de faire des phrases courtes. Plein. Tout plein. Pour faire plein de petites boîtes de dialogues. Quitte à rallonger pour rien. Comme quand on fait une dissert���. Peu importe si ça a du sens. Ou de l’utilité. Bref. En ce qui concerne la scène, un des seuls trucs que j’ai retenus parce que j’ai littéralement pas lu j’ai cliqué comme si j’étais sur Cookie Clicker tellement je voulais sortir de là, je note que Mathieu est de nouveau autorisé au labo parce que « situation être critique, » ils doivent vraiment être désespérés parce qu’il me semblait que c’était acté qu’il était super nul en alchimie et que ça rendait Chù complètement folle. Après j’ai été voir Chù parce que malgré de grosses faiblesses dans son personnage y’a des moments où j’aime beaucoup sa répartie, puis après je suis allée voir Lance parce que jsp j’avais envie mdr. Les jours qui viennent sont relativement calmes donc on suppose qu’Erika ne fout rien de ses journées à part se promener et s’envoyer en l’air avec Mathieu alors qu’elle pourrait s’occuper de mille et une façons différentes, entre l’aide au refuge, au labo, à la bibliothèque (tiens d’ailleurs pensée pour le fait qu’en saison 1 j’avais choisi la spécialité bibliothèque et ça avait servi à : rien), MAIS BON. On arrive enfin à la révélation de cette fin d’épisode : Chrome et Karenn vont se marier !!!
Tumblr media
Youpi.
Bon j’ai jamais caché ma détestation de ces deux personnages, surtout Karenn, donc ça m’intéresse pas, et j’ai pas encore joué à l’épisode 17 mais j’ai pas les mots pour vous dire à quel point j’ai PAS HÂTE de devoir jouer la « sœur d’un jour » de Karenn et de devoir faire un crédit pour payer la tenue que Purriry va nous forcer à acheter sous couvert de « ma chérie en tant que sœur d’un jour tu te dois d’être jolie heureusement je suis magnanime je te fais un rabais de 0,1 % pour ne pas que tu aies à porter tes guenilles habituelles hihihihohoho ! » Discours sur le fait que « on se marie au cas où on ait plus l’occasion de le faire après » (et on rappelle que Karenn c’est la meuf qui avait gueulé sur Chrome quand il avait dit « arrête de te disputer avec ton frère au cas où tu puisses plus lui parler après » hein MAIS BON), oh là là si on meurt après-demain et bien demain dansons, fin de l’épisode. ENFIN.
Tumblr media
Nan vraiment, deux épisodes comme ça à la suite c’est éreintant, ça marcherait seulement dans une histoire qui n’est pas épisodique comme celle-ci. Parce que là, on joue le 15, c’est chiant, tant pis ce sera pour le prochain, et là BAM, le 16, de la parlotte aussi, rien n’a avancé depuis deux épisodes (déso mais ramener des vampires assoiffés ok c’est une péripétie mais ça apporte quoi à l’intrigue ? C’est l’épisode 16 sur 20, les gars), du coup c’est mal agencé. Et puis là le 17 je pense pas qu’on va beaucoup avancer non plus, ça va laisser trois épisodes pour tout conclure ? Mais ça va être bâclé ?! On sait toujours pas ce qui cause les perturbations du maana, vous avez laissé entendre que Tenjin voulait se venger, on sait pas ce qui se passe avec le mal des anciens ou si ça va juste se régler en sauvant le monde, on sait pas pourquoi Hua savait pour les balles, faut caser une confrontation avec les templiers, avec Papounet, faut qu’on sache où est enterré Valkyon (je suis sérieuse, je comprends pas que ça n’ait jamais été dit, alors même que je l’ai mis en CDC de saison 1), bref ça commence à faire pas mal de choses à caser en 3 épisodes, tout en prenant le temps de faire les choses bien. Et ça c’est pas un truc auquel vous nous habituez. Beaucoup des faiblesses de scénario et d’écriture viennent de la saison 1 qui, on le sait, n’a jamais su briller pour sa construction et sa cohérence. Et si l’écriture s’est quand même bien améliorée (notamment pour l’orthographe, cet épisode était plutôt garni mais pas autant qu’a pu l’être The Origins), y’a pas non plus masse d’efforts qui ont été faits pour rectifier le tir niveau cohérence, ça a même empiré pour les portails. Pourtant je crois que vous avez conscience de certains défauts qu’on vous reproche (même si parfois les reproches sont compris comme ça vous arrange vous…), parce que j’ai repéré dans cet épisode à plusieurs reprises des répliques qui ressemblent à des sortes de clins d’œil à ce qui a pu vous être reproché : - Erika qui dit « oh je sais pas quoi faire, peut-être j’irai me promener » - Koori qui fait une remarque sur le fait qu’on sait plus combien de temps s’est écoulé depuis qu’Erika a su que Lance était dans la Garde - Lance qui a oublié le mot « nycthéméral » C’est bien beau de nous faire remarquer que vous avez noté, mais ce serait encore plus beau d’agir. Oui c’est relou que la seule activité qu’on puisse faire faire à Erika en dehors des phases de récit c’est d’aller se promener pour parler aux PNJ. Oui c’est déstabilisant de n’avoir absolument aucune notion de temps dans le jeu, on sait pas placer les événements par rapport aux autres et ça n’aide pas à se plonger dans le récit. Non en soi y’a aucun mal à caser des mots « savants » ou des expressions obsolètes dans un récit, mais si ça ne correspond pas au langage du personnage qui les emploie, à part pour se sentir supérieur ou répondre à un pari de caser des mots rigolos ça sert pas à grand-chose, surtout pour des trucs du style « le plaisir m’a débordée » ça dsl j’ai cherché (eh non je suis pas du style à dire que « si je connais pas c’est que ça n’existe pas ») et j’ai rien trouvé à part une vague occurrence sur un site d’escort girls mdrrr Je pense que j’ai assez parlé de l’obsession malsaine qui se développe pour Hua de la même manière qu’on avait eue pour Miiko, vraiment on s’en passera, merci bien. Le dilemme envers la Garde, envers les méchants qu’on a épargnés, ça tombe à l’eau parce que l’histoire n’est absolument pas construite pour qu’on puisse avoir la moindre empathie envers eux ou le moindre doute envers les intentions de la Garde ; chaque fois qu’il y en a ils sont balayés, du coup se poser la question de savoir si c’était bien d’épargner les ennemis bah oui c’était bien parce que la Garde fait le Bien, et les intentions de la Garde bah elles sont toujours Pures et Pacifiques parce que la Garde est un Rempart contre les Forces du Mal, point à la ligne. Aucune marge de manœuvre, on nous fait une pub et puis y’a tromperie sur la marchandise. J’ai rien contre une histoire 100 % gentils contre 100 % méchants, hein, mais si c’est ça que vous voulez faire bah faites-le, et présentez pas des dilemmes moraux alors que y’a pas de dilemme si la réponse est évidente. Je vais dire un truc positif comme ça on m’accusera pas d’être une rageuse qui rage : c’est pas mal le coup des scènes facultatives, ça permet de choisir quel perso on veut voir ou bien de speed à la suite du scénario mdr. M’enfin j’ai pas trop d’espoir parce qu’à l’épisode 13 de TO on avait eu les quêtes secondaires pour savoir à qui aller parler quand fallait faire le tour de tous les habitants du QG mais c’est jamais réapparu… :( J’ai le sentiment que je vais souffrir comme jamais à l’épisode 17 en me coltinant Karenn et en me faisant voler par Purriry, mais qu’à cela ne tienne, on arrive bientôt à la fin de la saison alors je vais pas lâcher maintenant !!! En vous souhaitant une bonne journée, prenez soin de vous et à bientôt !! :D
Tumblr media
Priez pour mon âme svp
11 notes · View notes
papirouge · 2 years ago
Note
Tu penses quoi des musulmans ?
Je me suis déjà plusieurs fois exprimée à leur sujet en disant à quel point cette religion était destructrice pour les femmes et les apostats. J'ai même perdu une mutual à cause de ça....😢 Mais je ne suis pas du genre à censurer ce que j'ai à dire lorsque ça implique de sauver des âmes ¯_(ツ)_/¯ Depuis que je suis Tiktok, je suis énormément exposée à des débats interreligieux (principalement musulman vs Chrétien) et je suis consternée du manque de mauvaise foi des Musulmans. Déjà, ces consternant de constater que les gens croient mieux connaître la Bible que les Chrétiens alors qu'ils sont toujours à côté de la plaque (alors que les Chrétiens ne s'intéressent pas au Coran - parce que la Bible nous est largement suffisante). Mais, leur façon de sortir des versets hors de leur contexte. Y'a un guss qui s'est servi d'une des paraboles de Jésus en faisant croire que les actions des PERSONNAGES de l'histoire c'était Jésus.... et ne parlons pas d'un autre qui, après qu'un Chrétien ai cité un passage de Matthieu dans laquelle Jésus parle, a répondu "mdr Matthieu c'est pas Jésus qui parle mais Matthieu🤪" ....le gars il a pas compris que même si les évangiles étaient écrits par les apôtres, il leur arrivait de directement citer les paroles de Jésus....🤦🏾‍♀️ BREF, c'est gens là ne comprennent pas la Bible, mais pensent qu'avec leur vieux gotcha claqués au sol qu'ils ont appris dans leurs écoles coraniques ils peuvent coincer les Chrétiens alors que nous ça fait beeellle lurette qu'on a appris à contre-arguer ces attaques classiques & prédictibles contre notre religion. Mais ce qui est choquant, c'est leur énorme manque de mauvaise foi ; genre des fois, quand on leur prouve par a + b que ce qu'ils disent est faux, qu'on sort le verset qui contredit ce qu'ils avancent...ils sortent le fameux argument de "la Bible est falsifiée".. mais en même temps, ils se servent de la Bible pour justifier les dingueries de l'Islam, genre "dans la Bible c'est pareil" alors que 1)non, il y a des choses qui sont sanctionnées en Islam qui ne le sont pas dans la Bible 2)qqch qui est dans la Bible =/= prescription pour les CHRÉTIENS). De plus, certains Musulmans aiment dire que Jésus était Musulman, que Mohamed était annoncé dans la Bible, et que je ne sais d'autres sottises...alors what's the truth? si la Bible est falsifiée, pourquoi vous vous en servez pour vos délires de Jésus Musulman/Mohamed annoncé par la Bible? pourquoi ces passages ne seraient pas "falsifiés" aussi?🤦🏾‍♀️ J'ai même récemment vu sur Youtube un Musulman dire qu'il y avait un prophète dans la Bible qui étaient "marié à une mineure" mdrrrr Je lui ai demandé c'était lequel, jamais eu de réponse 💀 Franchement, ces gens sont des mythomanes compulsifs, et au final ça nuit à leur image plus qu'autre chose. Les voir faire des zumba pour justifier leur prophète pédophile qui se marie à une enfant de 6 ans, c'est quelque chose quand même.... 😅honnêtement ils devraient faire profil bas et se taire avant d'attaquer les Chrétiens, car contrairement à leur Mohamed marrieur d'enfant, Jésus était irréprochable. Voilà pourquoi ils sont obsédés à l'idée d'attaquer la Bible (plus particulièrement l'ancien testament) et faire comme si les Chrétiens suivent les mêmes prescriptions que les Juifs. Non, les Chrétiens ne sont pas polygames. Non, le Christianisme n'encourage pas le mariage avec les enfants. Non, le Christianisme n'autorise pas de frapper sa femme si elle se refuse au "devoir conjugal". Non, le Christianisme ne pousse pas à la violence contre qui que ce soit. Tous ces dossiers accablants sont dans l'Islam, mais regarde les ouvrir leur gosier contre les Chrétiens alors que ce ne sont pas nos coreligionnaires qui tuent et terrorisent les gens aux quatre coins du monde au nom de notre religion... Leur projection est incroyable.
1 note · View note
charlottalaregion · 2 months ago
Text
Après la mort du cycliste Paul Varry, quelles réponses politiques ?
Je suis encore bouleversée par l’assassinat de Paul Varry, cycliste parisien écrasé par un automobiliste. En étant vélotaffeuse et cycliste du quotidien, militante vélo et écologiste et mère d’un cycliste de 19 ans, je suis particulièrement touchée par ce drame, ce meurtre. 
Mais en tant que responsable politique, il est de notre responsabilité de dépasser la compassion et se mobiliser pour agir, pour pacifier l’espace public, pour tendre vers le zéro mort dans nos rues, pour sécuriser les déplacements à vélo. “Plus jamais ça”
Tout d’abord il faut rappeler que le vélo est un mode de déplacement éminemment vertueux, que ce soit pour la qualité de vie en ville (silencieux, non polluant et qui prend peu de place sur l’espace public), pour la santé, pour le pouvoir d’achat, pour la planète et le climat. Il est donc essentiel de le placer au cœur des alternatives à la voiture individuelle, et de sécuriser les déplacements à vélo car c’est le principal frein à la pratique au quotidien. 
Voici quelques pistes d’actions qui sont à mettre dans le débat public.
Les forces de police doivent être des alliées de la sécurité des cyclistes et des piétons. Les comportements des automobilistes mettant en danger des plus vulnérables doivent être sanctionnés de façon beaucoup plus systématique. Car à chaque fois qu’on laisse faire un stationnement gênant, l’utilisation d’une piste cyclable, un refus de priorité, on met directement en danger un cycliste dans un carrefour ou un croisement, un cycliste ou un piéton qui doit contourner l’obstacle, un piéton qui manque de visibilité pour traverser. Il y a beaucoup trop de tolérance pour les infractions au code de la route commises par les automobilistes. Et la police passe beaucoup plus d'énergie à sanctionner les cyclistes eux-mêmes qu’à les protéger de la violence motorisée.
De même, il n’est pas normal que les agressions quotidiennes, verbales ou physiques, envers les cyclistes soient impunies. Les cyclistes agressés savent hélas qu’il ne sert à rien de porter plainte. Rares sont ceux qui le font, car même avec une vidéo, les automobilistes responsables sont rarement poursuivis ou condamnés. Comme pour les violences sexistes et sexuelles, la police doit être formée et mieux accueillir les plaignants et ne pas minimiser ou nier les agressions subies. Avec la mort de Paul, la parole s’est libérée, et les cyclistes doivent être écoutés.
Certains disent que les embouteillages rendent fous et que c’est ça qui crée une tension extrême chez les automobilistes. Mais soyons clairs : les embouteillages ne sont pas créés par les pistes cyclables ou les rues piétonnes, mais sont créés par un trop plein de véhicules motorisés. Oui il y a trop de voitures en ville, et les politiques visant à restreindre et contraindre la circulation automobile sont bénéfiques pour la sécurité de tous. En particulier le développement des ZTL (Zones à Trafic Limité) est une piste très intéressante et plus efficace que les ZFE. Développer les alternatives à la voiture, c’est plus de cyclistes, plus de piétons qui prennent les transports en commun … et moins de congestion in fine, ce qui profite à ceux qui ont réellement besoin de leur véhicule pour se déplacer, à commencer par les taxis et les PMR. C’est aussi une ville apaisée, moins bruyante et avec moins de conflits d’usage.
La violence routière est aussi une affaire de vitesse et de poids des véhicules. La vitesse combinée au poids du véhicule augmentent gravement la gravité des accidents - ou des agressions dans le cas présent. Une tonne cinq contre moins de 100 kg, c’est le pot de fer contre le pot de terre. Celui qui a écrasé Paul délibérément, s’est servi de sa voiture comme d’une arme. Les SUV sont à ce titre clairement en cause. Trop lourds et avec une moins bonne visibilité, ils donnent à leurs propriétaires un sentiment de supériorité et de puissance qui génère une certaine agressivité sur la route. Alors comment réduire les SUV ?  la Mairie de Paris a décidé de taxer le stationnement de ces véhicules. C’est un premier pas. Allons plus loin, en taxant en général les SUV (le malus sur le poids est trop haut et beaucoup de SUV passent au travers), mais surtout en créant un permis spécial, un permis B+. Avec la dangerosité des véhicules, les responsabilités ne sont pas les mêmes, la formation doit donc être renforcée. 
La sécurité des cyclistes passe par des aménagements, notamment par la création de (vraies) pistes cyclables - et non des bandes cyclables alibi. Mais il convient surtout de mettre le paquet sur les carrefours et croisements. Ainsi le plan vélo doit donner la priorité à la sécurisation des carrefours. Or des mairies bloquent encore des projets et la politique austéritaire du gouvernement a fait deux victimes : le budget vélo et le fond vert. Il est urgent d’investir pour décarboner nos mobilités quotidiennes et sortir de la dépendance automobile.
Enfin, la question de l’éducation est peut-être la plus difficile, mais la plus nécessaire. Le savoir rouler ensemble et le partage apaisé de l’espace public doivent s’apprendre à tout âge. Cela passera peut-être par une réécriture du code de la route en considérant le milieu urbain, pour en faire un code de la rue. L’acculturation au partage de l’espace public passe par une régulation de la publicité, qui vante partout les valeurs de domination et liberté des voitures. Enfin, le fait que 84% des présumés responsables d’accidents mortels soient des hommes montre aussi que le problème de la violence motorisée est très genré. Là encore, l’éducation des garçons et des hommes reste la clé.
Charlotte Nenner, Conseillère régionale IDF et Co-secrétaire des Écologistes Paris
@charlottavelo 
0 notes
fortunetellersdilettante · 2 months ago
Text
Ne reprenez, Dames, si j’ay aymé : Si j’ay senti mile torches ardentes, Mile travaus, mile douleurs mordentes : Si en pleurant, j’ay mon tems consumé,
Las que mon nom n’en soit par vous blamé. Si j’ay failli, les peines sont presentes, N’aigrissez point leurs pointes violentes : Mais estimez qu’Amour, ê point nommé,
Sans votre ardeur d’un Vulcan excuser, Sans la beauté d’Adonis acuser, Pourra, s’il veut, plus vous rendre amoureuses :
En ayant moins que moy d’occasion, Et plus d’estrange et forte passion. Et gardez vous d’estre plus malheureuses.
Ne reprenez, Dames, si j’ai aimé, Si j’ai senti mille torches ardentes, Mille travaux, mille douleurs mordantes. Si, en pleurant, j’ai mon temps consumé,
Las ! que mon nom n’en soit par vous blamé. Si j’ai failli, les peines sont présentes, N’aigrissez point leurs pointes violentes : Mais estimez qu’Amour, à point nommé,
Sans votre ardeur d’un Vulcain excuser, Sans la beauté d’Adonis accuser, Pourra, s’il veut, plus vous rendre amoureuses,
En ayant moins que moi d’occasion, Et plus d’étrange et forte passion. Et gardez-vous d’être plus malheureuses!
Quelle, et si fine, et si mortelle, Que soit ta pointe, blonde abeille, Je n’ai, sur ma tendre corbeille, Jeté qu’un songe de dentelle.
Pique du sein la gourde belle Sur qui l’Amour meurt ou sommeille, Qu’un peu de moi même vermeille Vienne à la chair ronde et rebelle !
J’ai grand besoin d’un prompt tourment : Un mal vif et bien terminé Vaut mieux qu’un supplice dormant !
Soit donc mon sens illuminé Par cette infime alerte d’or Sans qui l’Amour meurt ou s’endort !
La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet;
Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair… puis la nuit! — Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité?
Ailleurs, bien loin d’ici! trop tard! jamais peut-être! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais! priv8
Accablé de paresse et de mélancolie, Je resve dans un lict où je suis fagoté, Comme un lièvre sans os qui dort dans un pasté, Ou comme un Dom Quichot en sa morne folie.
Là, sans me soucier des guerres d’Italie, Du comte Palatin, ny de sa royauté, Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon ame en langueur est comme ensevelie.
Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, Que je croy que les biens me viendront en dormant, Puisque je voy des-jà s’en enfler ma bedaine,
Et hay tant le travail, que, les yeux entr’ouverts, Une main hors des draps, cher Baudoin, à peine Ay-je pu me résoudre à t’escrire ces vers.
Quand au mouton bêlant la sombre boucherie Ouvre ses cavernes de mort, Pâtres, chiens et moutons, toute la bergerie Ne s’informe plus de son sort. Les enfants qui suivaient ses ébats dans la plaine, Les vierges aux belles couleurs Qui le baisaient en foule, et sur sa blanche laine Entrelaçaient rubans et fleurs, Sans plus penser à lui, le mangent s’il est tendre. Dans cet abîme enseveli J’ai le même destin. Je m’y devais attendre. Accoutumons-nous à l’oubli. Oubliés comme moi dans cet affreux repaire, Mille autres moutons, comme moi, Pendus aux crocs sanglants du charnier populaire,
Seront servis au peuple-roi. Que pouvaient mes amis? Oui, de leur main chérie Un mot à travers ces barreaux Eût versé quelque baume en mon âme flétrie; De l’or peut-être à mes bourreaux… Mais tout est précipice. Ils ont eu droit de vivre. Vivez, amis; vivez contents. En dépit de Bavus soyez lents à me suivre. Peut-être en de plus heureux temps J’ai moi-même, à l’aspect des pleurs de l’infortune, Détourné mes regards distraits; A mon tour, aujourd’hui; mon malheur importune: Vivez, amis, vivez en paix.
PENCHÉ contre un grand fleuve, infiniment mes rames M’arrachent à regret aux riants environs ; Âme aux pesantes mains, pleines des avirons, Il faut que le ciel cède au glas des lentes lames.
Le cœur dur, l’œil distrait des beautés que je bats, Laissant autour de moi mûrir des cercles d’onde, Je veux à larges coups rompre l’illustre monde De feuilles et de feu que je chante tout bas.
Arbres sur qui je passe, ample et naïve moire, Eau de ramages peinte, et paix de l’accompli, Déchire-les, ma barque, impose-leur un pli
À André Lebey.
Arbres sur qui je passe, ample et naïve moire, Eau de ramages peinte, et paix de l’accompli, Déchire-les, ma barque, impose-leur un pli Qui coure du grand calme abolir la mémoire.
Jamais, charmes du jour, jamais vos grâces n’ont Tant souffert d’un rebelle essayant sa défense : Mais, comme les soleils m’ont tiré de l’enfance, Je remonte à la source où cesse même un nom.
En vain, toute la nymphe énorme et continue Empêche de bras purs mes membres harassés ; Je romprai lentement mille liens glacés Et les barbes d’argent de sa puissance nue.
Ce bruit secret des eaux, ce fleuve étrangement Place mes jours dorés sous un bandeau de soie ; Rien plus aveuglément n’use l’antique joie Qu’un bruit de fuite égale et de nul changement.
Sous les ponts annelés, l’eau profonde me porte, Voûtes pleines de vent, de murmure et de nuit, Ils courent sur un front qu’ils écrasent d’ennui, Mais dont l’os orgueilleux est plus dur que leur porte.
Leur nuit passe longtemps. L’âme baisse sous eux Ses sensibles soleils et ses promptes paupières, Quand, par le mouvement qui me revêt de pierres, Je m’enfonce au mépris de tant d’azur oiseux.
En languissant et en grefve tristesse Vit las mon cueur, jadis plein de liesse, Puis que l’on m’a donné mary vieillard. Hélas, pourquoy ? Rien ne sçait du vieil art Qu’apprend Vénus, l’amoureuse deesse.
Par un désir de monstrer ma prouesse Souvent l’assaulx : mais il demande : ” où est-ce ? “, ou dort peult estre, et mon cueur veille à part En languissant.
Puis quand je veux lui jouer de finesse, Honte me dict : ” Cesse, ma fille, cesse, Garde-t’en bien, à honneur prens esgard. “ Lors je réponds : ” Honte, allez à l’escart : Je ne veulx pas perdre ainsi ma jeunesse En languissant. 
Quand l’oeil aux champs est d’esclairs esblouy, Luy semble nuict quelque part qu’il regarde: Puis peu à peu de clarté resjouy, Des soubdains feuz du Ciel se contregarde. Mais moy conduit dessoubs la sauvegarde De ceste tienne, et unique lumière, Qui m’offusca ma lyesse premiere Par tes doulx rayz aiguement suyviz, Ne me pers plus en veue coustumiere. Car seulement pour t’adorer je vis.
Le Chêne un jour dit au Roseau : “Vous avez bien sujet d’accuser la Nature ; Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau. [poetry-adblock]Le moindre vent, qui d’aventure Fait rider la face de l’eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d’arrêter les rayons du soleil, Brave l’effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l’orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
– Votre compassion, lui répondit l’Arbuste, Part d’un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu’à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. “Comme il disait ces mots, Du bout de l’horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L’Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu’il déracine Celui de qui la tête au Ciel était voisine Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts.
Le temps a laissé son manteau. De vent, de froidure et de pluie, Et s’est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau.
Il n’y a bête, ni oiseau Qu’en son jargon ne chante ou crie : Le temps a laissé son manteau.
Rivière, fontaine et ruisseau Portent en livrée jolie, Gouttes d’argent d’orfèvrerie, Chacun s’habille de nouveau : Le temps a laissé son manteau.
La cigale ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’août, foi d’animal, Intérêt et principal. » La fourmi n’est pas prêteuse : C’est là son moindre défaut. « Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. — Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. — Vous chantiez ? J’en suis fort aise : Eh bien ! Dansez maintenant. »
Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue elle allait à grands pas ; Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple, et souliers plats. Notre laitière ainsi troussée Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait, en employait l’argent, Achetait un cent d’oeufs, faisait triple couvée ; La chose allait à bien par son soin diligent. « Il m’est, disait-elle, facile, D’élever des poulets autour de ma maison : Le Renard sera bien habile, S’il ne m’en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s’engraisser coûtera peu de son ; Il était quand je l’eus de grosseur raisonnable : J’aurai le revendant de l’argent bel et bon. Et qui m’empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? »
Perrette là-dessus saute aussi, transportée. Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ; La dame de ces biens, quittant d’un oeil marri Sa fortune ainsi répandue, Va s’excuser à son mari En grand danger d’être battue.
Le récit en farce en fut fait ; On l’appela le Pot au lait.
Derrière moi la plaine, comme jadis en Chine quand je montais l’été vers Kouliang. Le pays aplati par la distance et cette carte où l’on ne voit rien tant que l’on marche dedans, Le chemin qu’il a fallu faire avec tant de peine et de sueur de ce point jusqu’à un autre point, Tant de kilomètres et d’années que l’on couvrirait maintenant avec la main ! Le soleil d’un brusque rayon çà et là fait revivre et luire Un fleuve dont on ne sait plus le nom, telle ville comme une vieille blessure qui fait encore souffrir ! Là-bas la fumée d’un paquebot qui part et la clarté spéciale que fait la mer, – L’exile à plein coeur accepté dont nous ne sortirons qu’en avant et non pas en arrière ! Le soir tombe, considère ce site nouveau, explorateur! Ce silence à d’autres étonnant, qu’il est familier à ton coeur ! Les montagnes l’une sur l’autre se dressent dans une atten- tion immense. Il faut beaucoup d’espace pour que la vie commence, Pour que le souffle du large soit arrêté et que les eaux en ce cirque déchiré soient recueillies ! J’écoute le bruit qu’elles font et le soupir de tous ces villages sous moi dans le sucre et dans le riz. Ma maison que j’ai abandonnée pour toujours, je n’ai qu’à me retourner pour savoir qu’elle est là-bas. (J’entends le vent, pendant que je lis les Psaumes, qui fait remuer les stores de la vérandah.) Je sais que tout est fini derrière moi et que le retour est exclu. Donne avec un profond tressaillement, mon âme, dans ce pays complètement inconnu ! Pourquoi tarder plus longtemps sur ce seuil préparateur ? Viens, si le nom d’un Père a pour toi quelque douceur
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ;
Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne.
Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine,
Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.
Ô toison, moutonnant jusque sur l’encolure! Ô boucles! Ô parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l’alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l’air comme un mouchoir!
La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d’autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum.
J’irai là-bas où l’arbre et l’homme, pleins de sève, Se pâment longuement sous l’ardeur des climats; Fortes tresses, soyez la houle qui m’enlève! Tu contiens, mer d’ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts:
Un port retentissant où mon âme peut boire À grands flots le parfum, le son et la couleur Où les vaisseaux, glissant dans l’or et dans la moire Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D’un ciel pur où frémit l’éternelle chaleur.
Je plongerai ma tête amoureuse d’ivresse Dans ce noir océan où l’autre est enfermé; Et mon esprit subtil que le roulis caresse Saura vous retrouver, ô féconde paresse, Infinis bercements du loisir embaumé!
Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues Vous me rendez l’azur du ciel immense et rond; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m’enivre ardemment des senteurs confondues De l’huile de coco, du musc et du goudron.
Longtemps! toujours! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu’à mon désir tu ne sois jamais sourde! N’es-tu pas l’oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir?
L’ONDE majestueuse avec lenteur s’écoule ; Puis, sortant tout à coup de ce calme trompeur, Furieux, et frappant les échos de stupeur, Dans l’abîme sans fond le fleuve immense croule.
C’est la chute ! son bruit de tonnerre fait peur Même aux oiseaux errants, qui s’éloignent en foule Du gouffre formidable où l’arc-en-ciel déroule Son écharpe de feu sur un lit de vapeur.
Tout tremble ; en un instant cette énorme avalanche D’eau verte se transforme en monts d’écume blanche, Farouches, éperdus, bondissant, mugissant…
Et pourtant, ô mon Dieu, ce flot que tu déchaînes, Qui brise les rochers, pulvérise les chênes, Respecte le fétu qu’il emporte en passant !
0 notes
christophe76460 · 8 months ago
Text
Tumblr media
Dimanche 14 Avril 2024 ❤ 🙏 Version audio: https://jmp.sh/M6YRvmJd
« Vainqueurs par celui qui nous a aimés » Réf: (Rom 8:37)
Proverbes 19:23 (BDS)
« Craindre l’Eternel mène à la vie et, comblé, on passe même la nuit à l’abri du malheur. »
Dans la vie de tout les jours nous pouvons avoir à faire face à des situations qui viennent opprimer au point d’emprisonner nos pensées sans le vouloir. Qui n’a jamais senti une sensation de fatigue et d’épuisement comme si toutes situations nous dépassaient? Comment passerons nous ce jour sans faillir alors que la peur paralyse? Rappelons-nous maintenant la pensée même de Jésus devant ce qu’il savait devoir subir à notre place et nous y trouverons les pistes dont nous avons besoins. Il s’est tenu pour nous sans faillir afin qu’en lui nous puissions porter aussi notre croix et vivre en nous aussi sa victoire et notre restauration dans son amour. Aujourd’hui il nous comprend quelques soit notre situation, les versets 37 et 38 en Matthieu 26 nous l’indiquera tant bien: « Il commença à être envahi d’une profonde tristesse, et l’angoisse le saisit. Alors il leur dit: Je suis accablé de tristesse, à en mourir. Restez ici et veillez avec moi! » Il fit ensuite ce que nous ferions mieux de faire aussi en remettant son sort au Père et de le supplier afin qu’il puisse se tenir selon sa volonté. C’est en Jésus maintenant que nous trouvons en nous aussi sa victoire à la croix dont nous portons. Nous pouvons comprendre les paroles d’Isaïe 40:29-31: « Il redonne des forces à celui qui en manque, il rend courage à celui qui est épuisé. […] ceux qui mettent leur espoir dans le Seigneur retrouvent des forces nouvelles. Ils s’envolent comme des aigles, ils courent sans se fatiguer, ils avancent sans s’épuiser.» Non seulement la joie se retrouve en nous, l’apôtre Paul décrit cette mort à nous-même afin que nous goûtions aussi la vie qui est caché avec Christ qui règne et siège aussi en Esprit, il dit: « J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi. » Galates 2:20, Amen! Voyez vous-même les (Psaumes 37:5-6) dont Jésus lui-même s’est servi comme nous le devrions aussi, vous direz certainement le Oui et l’Amen avec nous à la gloire de Dieu le Pere, de Jésus Christ dans l’Esprit du Dieu vivant et Saint, Amen!
Romains 8:37
« Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. »
Pour Jésus Christ Seul médiateur avec Dieu par le sang de son alliance
Texte illustration Denis LaPierre
0 notes
mysteresurterre · 1 year ago
Text
Rétrospective rôliste - Utopiales 2023
C'étaient mes premières Utopiales et... j'ai bien aimé. Tiède. Pas chaud bouillant. Peut-être parce que je ne suis pas le cœur de cible des Utopiales, je ne sais pas trop, pourtant je lis un peu de SF, j'aime explorer les messages derrière les œuvres, je veux savoir ce que l'art dit de nous... Il y a plein de choses que j'ai aimé et qui m'ont bouleversé (Elène Usdin et ses dessins poignants sont en haut de la liste). Je n'ai pas de partie que j'ai détestée et pourtant le bilan total est tiède... allez savoir pourquoi.
Bon venons-en aux jeux !
L'organisation opaque n'a pas vraiment aidé à se mettre dans le bain. J'avais prévu une partie courte le matin (Œil Noir v1) et une longue l'après-midi (Knight). Il m'a fallu un temps d'adaptation au système numérique pour proposer mes parties ce qui est à l'origine du chaos organisationnel de ma première journée. Une fois l'appli en main, plus de soucis.
Première chose - la carte X
Sur toutes les tables, outil génial en convention (et pas que). Avoir la carte me rappelle de parler du contrat, à expliciter qu'on est tous là pour passer un bon moment. Je ne comprends toujours pas ceux qui la remettent en cause (hein ? oui, c'est arrivé plusieurs fois). Au "pire" (notez-les guillemets), elle prend une place riquiqui sur la table et a servi de pense-bête à l'animateur et aux joueurs et joueuses. Au "mieux", quelqu'un l'utilise.
Deuxième chose - une avalanche de jeunes joueurs et joueuses.
Oui, jouer aux Utopiales était un bonheur pour jouer avec des enfants, des plus petits à l'adolescence. J'ai eu l'occasion d'en avoir sur 3 de mes 4 sessions à des âges divers. Et vous savez quoi ? C'était une bouffée de fraicheur, d'enthousiasme et aussi drôle. Seul petit regret : j'ai eu une très jeune fille (11 ou 12 ans) sur ma partie de 4h et elle a un peu décroché. C'est parfaitement normal. La longueur, le bruit ambiant (c'était difficile même pour moi), un combat sûrement un chouïa trop long et un besoin une carte, même vague, aurait aidé...
Au final, elle m'a quand même remercié et elle a sorti une phrase qui m'a marqué et montre que le jeu de rôle a encore du progrès à faire : "est-ce qu'il y a des chevaliers femmes parmi les personnages ?"
Troisième chose - une personne un peu à part
Je ne suis pas nantais et donc pas membre de LudiNantes. J'ai fait mes parties, vu Pierre Rosenthal... mais jamais vraiment échangé avec qui que ce soit. J'aurais aimé un moment pour se rencontrer le mercredi... une excuse, une occasion de voir comment fonctionnait le système de proposition de partie en ligne aussi.
Quatrième chose - jouer à un jeu dont l'auteur et l'autrice sont présentes
Antre-Monde édition était là et j'aurais aimé échangé plus longuement avec. Beaucoup plus longuement. Je n'ai fait que leur dire que j'allais faire une partie sur Knight et qu'il et elle pouvaient m'envoyer des gens pour qu'elles et ils puissent tester le jeu. Cela dit, même si nos échanges étaient courts, ils ont été très plaisants ! J'espère recroiser ces deux personnes en d'autres circonstances, avec plus de temps et une humeur moins recroquevillée.
___
Les parties en elles-mêmes
Sur Knight, j'ai éprouvé la nouvelle structure du scénario. Un mystère en nœuds (node-based) qui amène plus de diversité et de rebondissements. C'est l'impression que j'en ai parce que je sais bien où sont les indices et vers où ils pointent. De là, j'ai plus d'espace mental pour improviser plein d'autres éléments sans briser la cohérence de la piste du scénario.
Sur la deuxième session de Knight avec seulement des adultes, j'ai pu expérimenter pour la première fois une fin alternative et toutes les nuances offertes par la non-linéarité. C'était gratifiant à un niveau personnel et pour les joueurs qui ont vraiment eu la sensation de mener une enquête.
Pour l'Œil Noir, j'ai repris un scénario que j'adore et je l'ai encore fait évoluer au fil de mes impros. C'est un scénario simple et efficace, facile à jouer avec des enfants et des débutants. J'avais oublié d'amener mes documents le premier jour - dont l'énigme. J'ai dû la refaire à la va-vite et elle fonctionnait, les phrases d'indice étaient juste un peu moins travaillées.
J'ai intégré plus de magie, de liberté. Le dragon (divulgâché maintenant) parle et donne un peu plus d'intérêt à un personnage au charisme élevé. L'environnement a évolué et je pense que je vais plutôt partir sur un scénario de sécheresse que de maladie.
Bilan : toutes les parties m'ont apporté quelque chose. Une confiance plus forte pour rôler avec des enfants surtout. Grand merci à toutes celles et ceux qui ont partagé une histoire avec moi autour de la table et chapeau bas à la famille du Vendredi matin qui aura su mettre un brin de surprise et d'humour supplémentaire dans ma journée.
0 notes
tntky · 3 years ago
Text
Je n’aime pas le monde dans lequel je vie
Currently listening to: Lonely-Justin Bieber (such a vibe tbh) 
Je vais finir par le faire fuir. Je vais réussir à le pousser à bout comme tout le monde. Pourquoi je me donne tant de mal à me mettre le monde a dos, à toujours trouver quelque chose à détester chez la personne d’en face ? Pourquoi je broie du noir comme ça ? Pourquoi c’est si facile pour moi de détester les autres. 
Je n’aime pas le monde dans lequel je vie, j’ai envie d’y mettre fin parce que j’en ai marre. Marre de vivre la même chose tous les matins. Cette noirceur qui est en moi est en train de prendre le dessus et je crains que cette fois elle arrive à en avoir raison de moi. 
Je ne veux pas retourner chez la psy, je veux pas demander de l’aide haut et fort parce que je ne veux pas que les gens commencent à revenir par pitié. J’ai des remords et je n'arrive pas à me pardonner le mal que j’ai pu faire à certaines personnes que j’ai salement utilisées pour aller mieux. Ces personnes qui ont servi à assouvir mes besoins d’égoïste que j’avais à l'époque. 
Je n’arriverais jamais à être heureuse peu importe ce qu’on me met entre les mains parce que je ne sais pas comment l'être. Je ne peux pas me contenter des simples choses de la vie comme le sourire d’un enfant ou ce genre de conneries parce que j’ai constamment ce besoin obsessionnel d'être rassurée, un peu comme si je craignais que cet instant ne m’échappe. Et c’est vrai, le bonheur est volatile. On le définit soit même à ce qu’il parait. Alors que la tristesse et tout le poids du monde c’est beaucoup plus facile à porter sur son dos, tel un poids, c’est lourd et ça fait tache mais c’est bel est bien présent. Tu te le coltine à longueur de journée et on te lance des “tu as l’air fatigué…" 10,000 fois par jour. Alors que non mec non, je n’ai pas l’air fatigué, mon visage reflète simplement le fait que j’ai juste envie de mourir c’est tout. 
Alors je me justifie en me disant qu’en vérité, je n’ai pas “envie de mourir”... ce n’est pas vraiment ça. J’ai surtout envie que ça s'arrête… la vie. Je ne veux pas me réveiller un matin de plus. Et je m’accroche. Je vous jure que j’en fournis des efforts pour rester là, même à ne rien faire. J’aime quand même certaines choses de cette vie et c’est tristement les mêmes choses que j’arrive encore à aimer mais que je fini quand même par pousser à bout.
Je suis dépressive. Je n’aime pas la vie. Je râle tout le temps, je me sens mal à l'aise dans toutes les situations possibles, j’ai tout le temps envie de me cacher, d'être enfermée dans le silence de mon chez moi mais qu’est que je me sens putain de seule même si cette solitude en devient confortable. Et pourtant j’aimerais pouvoir aimer la vie, pouvoir sortir dehors et respirer sans me sentir suffoquer mais c’est difficile. Aidez-moi à m'en sortir s’il vous plaît. 
0 notes
news2pjm · 2 years ago
Text
OFFRE-TOI LE DISQUE Il s’appelle Origami et il est recommandé Par les plus grands experts en matière* De développement indie pop personnel ! Event FB pour les éveillés Campagne Ulule pour les campanules
*ORIGAMI: INDIE POP & BILLETS DOUX Alors qu’en ce jour de fête commerciale de l’amour j'ai enfin décidé d’annoncer publiquement la sortie physique de mon 3e album, les quelques curieux et privilégiés à avoir d’ores et déjà plongé dans les 9 plages d’Origami, ses plis et replis, intimes et extimes, ont de leur côté accepté de témoigner de leur expérience. Ambiance voyage voyage et courriers du cœur. Morceaux choisis. 1. Jeanne Morisseau : "Magnifique album, harmonieux, profond. Qui commence fort et s'apaise. Des ambiances aimantes, toujours de bon ton. Un gars qui cherche mais est quand même sûr de trouver. Merci pour cette petite nef tombée du ciel. Qu'elle soit." 2. Natacha Banaix : "J’aime beaucoup, ambiances envoûtantes et opaques. Les textes sont très beaux, incisifs. J’ai une préférence pour "Sakin" et sa douce mélancolie. L’autre soir j’ai tout réécouté. L’album est vraiment génial. On dirait qu'il nous fait voyager dans les labyrinthes les plus saillants de tes vies intérieures..." 3. Olivier Triboulois : "Nouveau très bel album : les textes, les compos, les arrangements. J’en conseille vivement l'écoute ! Ma préférée est "Center Parcs", un tube en puissance ! Mais selon l’humeur et le moment on appréciera plutôt telle ou telle chanson. J'aime beaucoup aussi "Amy". Il est très riche en ambiances, je pense que je vais découvrir d'autres sonorités au fil des écoutes. La pochette, le livret et l'artwork sont aussi très réussis !" 4. Rita Bagha : "J'ai aimé lire les paroles et tenir l’objet entre mes mains. A l'écouter, il me semble que c'est un râga du matin. J'ai aimé la diversité des voix, leurs mélanges et leurs déploiements. J'ai senti la musique comme un refuge, presque un talisman. C'est grand et habité de multiples dimensions. Ça m'a empli d'une douce énergie. J'y replonge dès que possible." 5. Alexandre Ruiz : "J’y ai souvent trouvé un côté Arnaud-Fleurent Didier sauce tribal. Cool." 6. Dave Le Monocle : "Cet Origami est un petit bijou !" 7. Jan Youri : "Un bel univers planant, surprenant, cohérent et fignolé avec amour. "Origami", qu'est ce qu'elle est belle ! C’est ma préférée avec "Ciel de Shoah". Tout ça m’a fait penser aux deux premier albums de Jay-Jay Johanson, le coté jazz en moins, la touche pop en plus !" 8. Francis Randriamamonjisoa : "Je suis en train d'écouter Origami, il est absolument divin, mortel ! Franchement, c'est à minima 15 pointures au-dessus du dernier Dominique A... " 9. Bribinvoile Compos : "Avec "Parfois" en 1, on part direct en voyage ! En 3 et 4, "Ciel de Shoah" et "Center Parcs" forment pour moi le cœur de l'album, son espace dynamique, qui ravira les plus pressés. "Origami" est le seul morceau qui m’échappe encore. Très ésotérique, celui-ci monte haut et c’est dur de s'en défaire. Sa fin marque une saturation des sens. "Caprice des Dieux" relâche la tension, on sent qu'on a passé le col, que vient le réconfort, et c’est le cas avec "L’Amour au Soleil", "Sentima" et "Sakin", des sortes de bonus tracks très doux qui semblent remercier tous ceux qui sont restés après la fin... J'aime ces albums où on voyage !" Amen ! On est jamais mieux servi que par soi-même surtout lorsqu’on récolte le philtre que l’on sème. Alors voilà, me suis-je dit, commençons en douceur et grande pompe par nous lancer les fleurs que l’album a reçu. Après tout le chemin parcouru - j’y reviendrai - ça fait rudement plaisir. Merci, mercy, mer sea ! Et comme ce n’est que le début, force avec vous et faites que ça dure. Let's go ! Sylvain Fesson / Sf En partenariat avec The Queen is Dead Records (Laurent Auffret) Et le webzine Indie Pop Rock (Yan Kouton)
0 notes
camisoledadparis · 2 months ago
Text
saga: Soumission & Domination 299
Mise aux enchères de mon premier Escort  réellement " vierge " de mec
Quand PH est rentré, je lui ai raconté l'évolution de mon troisième Escort pour femme. Quand je lui ai parlé des enchères, ça ne l'a pas étonné puisque c'est ce que je fais avec tous mes nouveaux Escorts. Ce qui l'a par contre surpris c'est que Brun 1 accepte d'y laisser sa virginité.
Autant battre le fer pendant qu'il est chaud. J'étudie mon fichier clients et avec PH je sélectionne ceux qui auront le privilège de participer à la vente. Evidement, André mon banquier en fait partie. Le père de Pierre aussi. Par contre j'écarte Xavier qui préfère les corps plus " 18 ans tout juste " tout comme DGSE est ses trip particuliers. A la fin j'ai une liste de 8 noms, bien suffisant pour obtenir une jolie bataille.
J'envoie à tous le même mail, annonçant l'offre exceptionnelle d'un véritable puceau avec les hommes, complétée d'une description précise de l'individu avec photos de face et de dos ainsi que le prix de départ.
Ils me répondent tous positivement et je reçois même un appel d'André (le seul à avoir mon n° direct) pour me tirer les vers du nez. Le seul détail que je lui donne en plus, c'est la certitude qu'il pourra quand même lui rentrer son gros pieu (27x7) dans le cul bien que cela soit sa première sodomie (je compte pas les godages !).
Le jour de l'enchère ils sont tous connectés dix minutes avant le lancement. La virginité cela a toujours excité les mâles actifs ! Ça démarre vite comme d'habitude. Puis ça se calme alors que le double du maxi jamais enregistré est atteint. Je relance la bataille en diffusant une photo de Brun 1à 4 pattes prise de l'arrière dévoilant sa rondelle épilée. Photo prise avant le passage de ses godes et donc présentant un anus tout beau, rose pâle légèrement plissé.
Il ne fallait que cela pour relancer la machine. Ils ne sont bientôt plus que deux à se battre. André a laissé tomber depuis quelques milliers d'Euros. Ce sont évidement les deux plus riches de ma sélection (richesse héritée et amplifiée). Je suis content pour Brun 1, car ce ne sont pas les mieux membrés même s'ils présentent quand même des bites autour des 25cm par 6 tous les deux. Cela devient vertigineux ! PH à coté de moi n'en revient pas. Je ne connaitrais pas les deux individus, je pourrais être inquiet quand à la validité de leurs offres mais là je sais qu'ils assureront.
La bataille se termine alors que le montant avoisine celui que j'obtiens lors des Gang Bang avec Ric. Frais déduits, il va lui rester un beau paquet à mon nouvel Escort.
Le gagnant est un de mes plus anciens clients. C'est aussi le plus riche ! Je sais aussi qu'avec lui, Brun 1 va démarrer dans la douceur et que le mec va passer du temps à achever la préparation de son cul. Il n'est pas du genre à enculer à sec (en fait je n'ai aucun client comme cela !). Comme il aime son confort, il souhaite que mes Escorts arrivent déjà bien préparés, boyau vidé, anus assoupli mais pas lubrifié car il aime bouffer les rondelles. Le rasage et l'épilation devront être parfaits, là-dessus c'est un maniaque. Il ne faudra pas que j'oublie de refaire passer Brun 1 chez l'esthéticienne la veille.
J'appel mon nouvel Escort pour lui annoncer la nouvelle. Il est scié quand je lui annonce le montant qu'il va percevoir pour sa première prestation. Il me dit qu'il ne s'est même pas fait ça sur toute son année passée. Je le calme aussitôt et lui rappelle que c'est un " one shoot " et qu'il émargera après dans les 1 000 à 2 000 selon le temps passé. Il me dit le comprendre mais que ça lui avait quand même fait un choc. Il me demande s'il avait commencé avec une femme cela aurait été pareil. Je lui rappelle que ce montant était du à sa virginité seule. Pour m'assurer que mon client sera bien servi, je demande à Brun 1 de passer me voir avant son rendez vous.
Le jour dit, Ammed me descend au premier. Brun 1 arrive et se déshabille devant moi. Il me dit s'être passé le corps avec une crème que lui a donné l'esthéticienne après son " rafraîchissement ". Je lui dis d'approcher et passe ma main sur sa peau. Nickel ! En dehors du triangle de poils ras au dessus de sa verge, une véritable peau de bébé. Le client va adorer ! Il me tourne le dos et se penche en avant. Pour me faciliter la vue, il s'écarte les fesses avec les mains et je peux admirer sa rondelle. Elle aussi, impeccable, est tellement rose pâle et fermée que je lui demande s'il se l'était préparée. Réponse, il s'était enfoncé son plus gros gode 1/2 heure plus tôt.
Je pose mon majeur gauche dessus et je n'ai effectivement pas besoin de pousser fort pour qu'il entre profondément. Je le retire, propre bien sûr, et le félicite. Une petite tape sur la fesse le fait se redresser. Je réitère mes recommandations et l'envoie taffer.
Retour client :
Appel ravi dès le départ de mon nouvel Escort de chez lui. Il a trouvé très excitant de se faire un garçon vierge de toute relation homosexuelle. Il ajoute qu'il avait mis autant parce que tout ceux qu'il avait eu dans son lit avaient toujours été des " secondes mains ". Il en avait été tellement excité qu'il l'avait baisé deux fois de suite et du coup me proposait une rallonge. Comme il ne faut jamais contrarier un client, je le laissais lui-même fixer la nouvelle somme. Je sais bien qu'il nage dans le fric mais là, sans s'approcher du salaire d'un joueur de foot de premier niveau, il me proposait celui annuel d'un cadre plus que moyen !
Le coté mercantile évacué, je lui demandais comment s'était débrouillé mon nouveau poulain. Il n'a pas tari d'éloges. Comme quoi il l'avait sucé avec juste ce qu'il fallait de maladresse. Surtout quand il avait poussé son gland dans sa gorge. Il avait cessé après l'avoir presqu'étouffé trois fois. Cela l'avait amusé mais il me demandait de veiller à ce que la prochaine fois il sache le prendre entier en bouche. Coté physique général, sa stature et sa carrure plus mature que mes autres Escorts (qui pourtant ne lui rendent rien question volume musculaire à l'exception de Jimmy et de Maxou) l'avait agréablement changé. Mais il avait surtout été excité d'être le premier à lui mettre une bite de chair dans le cul. Du coup il n'en avait pas débandé après avoir joui et c'était pour cela qu'il l'avait enculé une deuxième fois. Il a apprécié quand même de n'avoir pas eu à lui manger la rondelle et à passer des heures à le doigter avant de pouvoir l'enculer, comme cela aurait été le cas d'un mec vierge et non préparé.
Il avait aussi adoré le contraste : Homme et Peau de bébé. Tout comme le contraste de cette douceur de peau avec la taille de sa bite.
En fait, tout lui avait plu dans ce nouvel Escort et qu'il le redemanderait de temps à autre, surtout au tarif habituel. Je lui faisais quand même la remarque que quelques autres clients seront aussi intéressés par lui et qu'il ne serait probablement pas disponible avant quelques semaines et même mois car il n'avait pas énormément de plages disponibles dans son agenda.
Retour Brun 1 :
Transcription de l'enregistrement fait à mon bureau du récit qu'il m'a fait.
Je suis arrivé chez X. J'en menais quand même pas large en attendant qu'il m'ouvre. Tu m'avais décrit le mec et il répondait exactement à l'image que je m'en étais fait. Le seul truc qui m'a surpris c'est sa tenue. Je l'avais imaginé en costume et là, il était devant moi en pantalon velours et pull col cheminé.
Il me fait entrer et me guide vers son salon. Dans la cheminée un gros feu de bois et des canapés en cuir couverts de plaids. Il m'a offert à boire mais je n'ai pas eu le temps de mettre mes lèvres dedans qu'il me demandait de me mettre nu. Un peu gauche j'ai retiré mes vêtements et sous vêtements. Il m'a dit de tourner devant lui. J'ai vite vu que le tissu, pourtant large, de son pantalon à pinces était tendu par sa queue. Il m'a demandé d'approcher et je suis resté debout entre ses jambes écartées. Là il a passé ses mains sur toute la partie de mon corps entre mes genoux et mon nombril. Il m'a félicité pour la douceur de ma peau, ne se gênant pas pour pousser ses doigts entre mes deux fesses. Il s'est relevé du canapé et a continué sa palpation sur le haut de mon corps, continuant de répéter que j'étais vraiment très doux et que le contraste avec mon développement physique l'excitait au plus haut point. Ça le je pouvais manquer de le voir et de le sentir vu que le velours frottait mes cuisses.
J'ai commencé alors à lui retirer ses vêtements. Le pull est parti assez facilement par-dessus sa tête et sans le regarder plus que cela je me suis attaqué aussitôt à sa ceinture et sa braguette. Le pantalon est tombé à ses pieds et sa bite est venue claquer son ventre, il n'avait pas de slip. C'est vraiment gros les vraies bites de 25x6. Même si mon gode est dans ces dimensions là, la réalité est autrement plus impressionnante. Je suis resté figé devant le spectacle et c'est lui qui a repris la main en poussant sur mes épaules. Je savais ce qu'il voulait. Un peu peur quand même ! J'ai commencé par lécher puis sucer son gland. Je me suis enhardi à plonger la tête plus encore et par trois fois j'ai réussi à passer son gland dans ma gorge. J'ai failli vomir, Sasha, faudra que tu me montre comment y arriver facile sans ces hauts le coeur. Je lui dis que c'est assez simple que je lui montrerai plus tard. J'ai eu l'impression que je suçais correctement car il ne m'a pas repris. Assez rapidement, il m'a tourné et m'a demandé de m'agenouiller sur le canapé le buste sur l'accoudoir. J'ai senti alors sa langue et ses doigts travailler mon anus. Il a beaucoup salivé et ses doigts sont rentrés assez facilement vu le godage en règle auquel je m'étais astreint avant de venir te voir (moi Sasha ndlr). Il n'a pas insisté beaucoup et j'ai rapidement senti son gland se poser sur ma rondelle. Un coup d'oeil m'a confirmé la présence de la kpote et je me suis détendu mentalement. J'ai senti un lubrifiant couler sur ma fente jusqu'à la jonction de nos deux corps et sans me prévenir, il a poussé son gland dans mon trou. Je n'ai pu retenir un petit cri, plus de surprise que de réelle douleur. Mais ça l'a freiné un peu. Il m'a flatté la taille comme il aurait fait des flancs d'un cheval et m'a dit qu'il y irait doucement. Il a tenu parole et tout en continuant à lubrifier sa bite, il me l'a enfoncée lentement. Finalement c'est quand même bien meilleur qu'une bite en plastique, même celles moulées sur un acteur porno ! Il m'a sodomisé relativement peu la première fois car il s'est mis a juter après à peine 5 minutes. Il est ressorti de mon cul et m'a dit de ne pas bouger qu'il allait revenir. En fait je crois qu'il a été se laver la bite, car en revenant, il s'est encapuchonner son pieu qui n'avait pas débandé. Là, j'en ai pris pour mon salaire ! Je me suis fait démonter le cul pendant pas loin d'une heure ! Il m'a fait changer plusieurs fois de position et s'est achevé en me prenant en levrette. Les fois où j'enculais la meuf, c'était ma position préférée ! On a une bonne prise en main du sujet et on maitrise le rythme et la profondeur de la saillie avec plus de finesse. C'est exactement ce qu'il a fait avec moi. Je ne connaissais pas ce coté la de l'acte de sodomie mais il me l'a fait suffisamment apprécier pour que je finisse par en jouir sur son tapis.
Il a eu l'amabilité de se retirer à la fin, me provoquant une dernière éjaculation. Il m'a dit de rester comme ça et j'ai vite senti la chaleur de son sperme quand il atterrissait sur mon dos.
Après m'avoir emmené me doucher, et avant de partir, il m'a dit qu'il t'appellerait pour revoir les conditions de cette prestation. Ça m'a foutu un coup, je pensais avoir assuré quand même ! Il a du voir que j'avais pâli, car il m'a rassuré et a ajouté que comme je l'avais supporté deux fois pour une première, ça méritait un bonus.
Je lui fais part alors du nouveau montant qu'il va toucher. Il me dit alors qu'après ça je peux lui demander ce que je veux, qu'il est prêt à tout. Je tempère son enthousiasme. Et lui rappel qu'il a déjà vu pas mal de tordu arriver aux urgences avec la rondelle défoncée ou occupée par des objets au minimum incongrus ! Et ça je n'en veux pas chez moi ! Du sexe, oui, de la domination et même du SM ou de l'uro et du fist (sous certaines conditions), ok mais pas plus ! Il est d'accord et ajoute que son " prêt à tout " n'était pas une invitation au " suicide ".
Je lui demande d'être discret envers ses collègues qui n'auront, eux, pas cette chance de gagner autant. Même si leurs premières prestations pour moi devraient quand même leur valoir une rétribution doublée.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
1 note · View note
a-room-of-my-own · 3 years ago
Note
Est-ce que tu as vu au fait que les hypocrites de LREM sont maintenant partants pour faire entrer le droit à l'avortement dans la constitution, alors qu'ils s'y sont automatiquement opposés en 2018 quand LFI le proposait (soit-disant que c'était de la parano et qu'en France on fera jamais ça, faut arrêter de croire qu'on est comme les polonais ou les espagnols – sous-entendu "on est plus civilisés"). Ce qui me tue c'est que ce sont des EUROPÉISTES, or là on voit bien à leur réaction qu'ils se considèrent comme culturellement plus proches des US que de la Pologne ou même l'Espagne. Et bien sûr, ils n'ont absolument aucune conscience du processus par lequel la droite monte au pouvoir petit à petit.
Ben après je ne vois pas l'intérêt de faire rentrer la droit à l'avortement dans la constitution alors qu'il est déjà garanti par la loi. Si l'idée c'est se protéger de l'extrême droite - un peu un chiffon rouge en France sur ce plan étant donné que c'est un droit acquis et soutenu par une très grande majorité de la population - ce ne sera pas plus efficace qu'une loi étant donné que n'importe quel parti peut faire une réforme constitutionnelle.
Là ils sont en train de calquer un débat américain sur la France. Aux États-Unis l'avortement était jusqu'à présent permis via une jurisprudence, et aucun gouvernement n'a garanti ce droit par une loi fédérale. Ce qu'Obama aurait pu faire par exemple quand il avait la majorité. Les démocrates se sont servi de la menace contre le droit à l'avortement (votez pour nous ou Roe vs Wade va être révoqué) comme le PS / LREM se servent du "front républicain" pour être réélus : dans les deux cas ça fait monter l'extrême droite, et dans le cas des États-Unis, ils se sont brûlés à force de jouer avec le feu.
Comme en France on a déjà la loi de 1974, plus la loi contre l'entrave à l'IVG de 2017. Donc le truc le plus proche pour jouer à "voilà ce que j'aurais fait si moi j'étais président de l'Amérique" c'est la Constitution. Mais c'est de la démagogie et les électeurs de Macron ne se trouvent pas aux USA que je sache.
De toute façons, je m'en contre-tape que le droit à l'avortement soit dans la Constitution quand les budgets consacrés à la contraception ne sont pas suffisant, quand se faire avorter reste compliqué, quand on préfère déclencher des fausses couches de l'enfer via médicaments plutôt que de faire des avortements par aspiration parce que ça coûte moins cher. J'ai des amies qui ont souffert le martyr avec le RU-486, administré beaucoup trop tard, avec de bonnes séquelles psychologiques sans parler de la souffrance physique. Les femmes qui avortent devraient être beaucoup mieux accompagnées et la situation est loin d'être satisfaisante.
14 notes · View notes
ainosenshifansub · 3 years ago
Text
Avis sur “Tropical-Rouge! Precure”
Comme après chaque fin de saison, il est temps de donner mon avis sur la saison de “Precure” qui vient de se terminer!
Si ça vous intéresse, cliquez pour lire!
Commençons par parler des thèmes par rapport au titre:
  “Tropical-Rouge! Precure”, c’est ainsi que cette saison qui vient de s’achever s’appelait et il faut le dire on a eu tout ça.
  Sans compter la façon de parler de Manatsu, cette saison nous a offert pas mal de choses très tropicales. L’été, la mer, des palmiers, danses et musiques festives, coquillages et crustacés... on y était!
  Le maquillage, car oui “Rouge” était là pour ça! Ça aussi c’était présent. Les accessoires pour se transformer, la méthode de Manatsu pour se redonner du courage, les épisodes centrés sur ça... Manquait plus que les tutos beauté XD
Maintenant, parlons de nos héroïnes et d’autres personnages individuellement:
  Manatsu: j’ai jamais vraiment aimé les Precure Rose (à part Mana), et avec Manatsu ça n’a pas échappé. Beaucoup trop énergique et embêtante, je l’ai trouvé plus agaçante qu’autre chose. La plupart ont un passé qui fait qu’elles sont ainsi, mais pour Manatsu on l’a eu assez tard et donc l’effet n’a pas été le même.
  Laura: une sirène qui devient même une Precure! Je sais que c’était pas mal attendu, et ça a dû plaire à beaucoup. Vraiment beaucoup d’épisodes sur elle, c’était véritablement la deuxième héroïne de cette histoire (elle a même eu ses propres accessoires et est même allée jusqu’à commander une technique à plusieurs!). On a eu le droit à des épisodes centrés sur le fait qu’elle était une sirène pour ensuite enchaîner sur des épisodes sur le fait qu’une fois “humaine” elle découvrait les joies du Mondes Humains (dont un vraiment pas utile). J’aimais bien Laura, mais c’était beaucoup... A la fin, malgré tout ce qu’elle dit et tous les moments passés avec ses amies, elle décide tout de même de rentrer chez elle pour devenir Reine... sans grandes conséquences au vu de la toute fin de la saison.
  Sango: elle est mignonne et c’est répété plusieurs fois (puis c’est pas faux). On a eu vent de son passé assez vite pour mieux comprendre son caractère et on a suivi son évolution tout le long de la saison. Elle a eu plus d’épisodes centrés sur elle que certaines, mais qui n’ont finalement mené à rien... Dommage de nous faire des épisodes “Sango devient mannequin” pour finir sur “En fait non, je vais continuer ce que je faisais au début”.
  Minori: une Precure intello et meganekko, c’est une première et ce n’était pas pour me déplaire même si je préfère les JK. Son passé a mis longtemps a être creusé et elle a eu une évolution assez basique. Elle reprend l’envie d’écrire qu’elle n’avait jamais vraiment perdue mais qui était simplement un peu bloquée. On retiendra encore la “Poker face” dans sa description, c’était un peu exagéré comme terme XD
   Asuka: une Precure rouge avec un caractère fort, garçon manqué, etc... Vraiment pas mon genre, mais c’était un peu la grande sœur du groupe. Un passé avec Yuriko qui a mis très longtemps à être dévoilé et réglé alors qu’ils n’ont pas cessé de nous le référencer tandis que nous étions dans le flou... Elle et Yuriko se sont réconciliées un peu comme ça et Asuka décide finalement de reprendre le tennis après avoir fait toute une scène, c’était juste un petit désaccord donc. Le fait qu’elle aime les choses mignonnes a été complètement inutilisé.
  Les méchants: la Sorcière de la Procrastination n’a véritablement servi à rien, elle a dormi quasiment toute la saison et son sort a été réglé en un seul épisode. Que ce soit sa raison de faire tout ce qu’elle a fait ou celle de Butler, c’était bof. J’ai bien aimé Elda, mais autant elle que les autres généraux... ils n’ont pas été très menaçants et n’étaient quasiment là que pour de la figuration. Sans compter la fin, les Precure se sont plutôt vite et sans problèmes débarrassé de leurs ennemis sans se soucier d’eux comme si c’était secondaire de s’en occuper.
  Autres: les pauvres amies de Sango qui ont été abandonnées très vite après l’arrivée de Manatsu. Mentions spéciales pour Aoi et Saki, les deux personnages secondaires que j’ai le plus apprécié! La Reine du Grand Ocean était plutôt en second plan, mais elle ne pouvait pas non plus faire grand chose. Pauvre Kururun qui existait simplement sans avoir grande utilité. Je ne demande pas à ce que la fée soit importante, mais tout de même XD
  Aunete/Cure Oasis: le minimum a été dit sur elle et le plus gros à la toute fin quand il ne restait que peu d’épisodes. Elle a été beaucoup trop utilisée comme grande force pour sauver les Precure d’un problème contre lequel elles ne pouvaient rien faire.
L’histoire, divers commentaires:
  Un peu comme une certaine saison qui avait fait la même, cette saison s’est très peu concentrée sur ce que nous avons l’habitude de voir dans “Precure”. Beaucoup trop d’épisode de scène de vie diverses et quasiment rien en rapport à un affrontement face des ennemis tentant de détruire le monde ou autres. Les Precure ne se sont jamais vraiment senties menacées et n’avaient que peu d’intérêt à se débarrasser des méchants au plus vite (malgré la mission de Laura du 1er épisode). Tout s’est finalement réglé sur la fin dans les derniers épisodes et avec beaucoup de facilité.
  Les épisodes centrés sur les personnages ont tardé et étaient mal découpés/espacés et beaucoup n’ont offert que peu d’intérêt.
  Beaucoup d’humour dans cette saison mais pas toujours en bien. De nombreuses scènes qui se voulaient sérieuses étaient souvent coupées d’un trait d’humour pas forcément nécessaire.
  Niveau affrontements et combats, certains ont été pas mal. Au niveau de l’animation et de la mise en scène, les gros combats d’histoires ont été appréciables. J’espère que Toei va garder ça pour plus tard.
  Concernant les transformations et attaques, elles sont restées assez basiques voir même comique pour la toute dernière. Rien de bien transcendant à noter.
  La toute fin qui s’est voulue émouvante en majeure partie pour finalement ôter le côté triste assez vite et simplement. Se quitter en pleurs puis voir ses souvenirs être effacés pour tout retrouver quasiment après... ça ne donne pas le même résultat. Une coupure différente avec plus d’épisodes aurait sûrement pu améliorer ça même en gardant la même fin.
  On notera qu’il s’agissait encore d’une saison avec moins d’épisodes et peu de gimmicks. Quasiment par d’artéfacts à trouver ou de formes/attaques différentes et même les épisodes power-up n’ont pas eu le même impact que nous leur connaissons.
  Dommage pour l’apparition de la nouvelle héroïne qui s’est fait en extra, genre “on est obligés mais on sait pas comment implémenter ça” XD
On résume:
  Une saison amusante et riche en couleurs qui m’a finalement déçu. Certaines choses que l’on attend dans un “Precure” pas retrouvées. Je n’ai rien contre les slice-of-life, mais j’aurais préféré un meilleur ratio. Beaucoup de résolutions faciles, un manque de sérieux et d’enjeux. Une saison plus courte que les autres qui m’a étrangement paru plutôt longue.
__
J’espère que je ne me suis pas trop emmêlé et que j’ai su rester clair. J’ai sûrement oublié des petits détails en voulant ne pas trop en écrire, mais il fallait bien terminer sinon mon avis n’allait jamais sortir XD
5 notes · View notes
josefavomjaaga · 4 years ago
Text
Eugène disobeys. Kinda.
As related before, in November 1813 Eugène had refused an offer made to him by his father-in-law to join the Allies, and he had sent a report of the event to Napoleon. Who had answered in his usual laconic way: 
Paris, November 28, 1813
My son, I receive your letter of the 22nd, 11 PM. I recognize Austria's politics very well in there; that's how she creates so many traitors.
(According to the secret envoy, Prince von Thurn und Taxis, the reaction of Eugène’s father-in-law on hearing that Eugène had refused was similarly brief: »Je les ai bien dit.« - »I had so told them that before.«)
So, that was that. In case Eugène had expected a pat on the head (which he clearly had), he got no such thing.
However, three months later Eugène would be in a position to be accused of treason (or at least disobedience) himself. On February 16, 1814, he received an order via Clarke:
Le Duc de Feltre (Clarke) à Eugène, Fevrier 9, 1814
Monseigneur,
l'Empereur me prescrit par sa lettre datée de Nogent-sur-Seine le 8 de ce mois de réitérer à Votre Altesse Impériale l'ordre que Sa Majesté lui a donné de se porter sur les Alpes aussitôt que le roi de Naples aurait déclaré la guerre à la France. D'après les intentions de Sa Majesté, Votre Altesse Impériale ne doit laisser aucune garnison dans les places d'Italie, si ce n'est des troupes d'Italie, et elle doit de sa personne venir avec tout ce qui est français sur Turin et Lyon, soit par Fenestrelle, soit par le mont Cenis. L'Empereur me charge de mander à Votre Altesse qu'aussitôt qu'elle sera en Savoie elle sera rejointe par tout ce que nous avons à Lyon.
***
Monseigneur,
the Emperor instructs me by his letter dated Nogent-sur-Seine on the 8th of this month to reiterate to Your Imperial Highness the order which His Majesty gave him to proceed to the Alps as soon as the King of Naples had declared war on France. According to the intentions of His Majesty, Your Imperial Highness must not leave any garrison in the places of Italy, except for the troops of Italy, and he himself is to come with all that is French to Turin and Lyon, either by Fenestrelle, or by Mont Cenis.
The Emperor charges me to mandate to Your Highness that as soon as he is in Savoy he will be joined by all that we have in Lyon.
This message was also supposed to be sent via telegraph, but it never seems to have reached Milan that way. Only on February 16, after receiving it via courier, Eugène writes back, asking Clarke for clarification. Leave? In the case that Murat attacks us? Or like – right now? Why? So far the Neapolitans still seem to be quite undecided; we can hold on a lot longer here.
Before Clarke can send another order, Eugène, on February 18, receives not one but two family letters:
Josephine à Eugène, (Février 9)
Ne perds pas un instant, mon cher Eugène, quels que soient les obstacles, redouble d'efforts pour remplir l'ordre que l'Empereur t'a donné. Il vient de m'écrire à ce sujet. Son intention est que tu te portes sur les Alpes, en laissant dans Mantoue et les places d'Italie seulement les troupes du royaume d'Italie; sa lettre finit par ces mots: « La France avant tout, la France a besoin de tous ses enfants! »
Viens donc, mon cher fils, accours ; jamais ton zèle n'aura mieux servi l'Empereur. Je puis t'assurer que chaque instant est précieux.
Je sais que ta femme se disposait à quitter Milan; dis-moi si je peux lui être utile? Adieu, mon cher Eugène, je n'ai que le temps de t'embrasser et de te répéter d'arriver bien vite.
***
Do not lose a moment, my dear Eugene, whatever the obstacles, redouble your efforts to fulfil the order the Emperor has given you. He has just written to me on this subject. His intention is that you should go to the Alps, leaving in Mantua and the places of Italy only the troops of the kingdom of Italy; his letter ends with these words: "France above all, France needs all her children! "
Come then, my dear son, hurry; never has your zeal served the Emperor better. I can assure you that every moment is precious.
I know that your wife was preparing to leave Milan; tell me if I can be of use to her? Farewell, my dear Eugene, I have only time to embrace you and to tell you again to arrive very soon.
And Hortense to Eugène (10 Février)
Je t'envoie la lettre de l'Empereur à l'Impératrice et la réponse de notre mère; je ne comprends rien à tout cela... Au reste, la paix se fait, car on en parle beaucoup; cela ne nous empêchera peut-être pas d'être pris à Paris, mais tout cela sera décidé dans peu de jours. Ce qui prouve bien que l'Empereur ne comptait pas sur toi pour venir en France, c'est que d'après sa lettre il dit ne t'avoir ordonné de quitter l'Italie que quand le roi de Naples lui déclarerait la guerre, et cette guerre à laquelle il devait bien s' attendre depuis longtemps, je parie qu'il s'est toujours fait illusion et ne l'a pas crue possible... Il est vrai qu'il est plus pénible de voir des torts à ceux qu'on a beaucoup aimés. Tes proclamations sont à merveille et tu ne dois jamais envier ton voisin victorieux et puissant. Tu vas t etrouver dans un grand embarras... Suis ta tête, elle te fera mieux juger ce qu'il faut faire étant de près, et je suis sûre que tu suivras toujours ton cœur en faisant ce qui sera le mieux pour servir l'Empereur, et que lui-même ne pourra jamais en douter. Comme c'est là la seule récompense que tu attends, il serait pénible de ne pas l'obtenir...  
***
I am sending you the Emperor's letter to the Empress and our mother's reply; I do not understand any of this... Besides, peace is on the way, because there is a lot of talk about it; this will perhaps not prevent us from being caught in Paris, but all that will be decided in a few days. What proves that the Emperor did not count on you to come to France, is that according to his letter he says that he ordered you to leave Italy only when the King of Naples declared war on him, and this war, that he must have expected for a long time, I bet that he was always under the illusion and did not believe it possible... It is true that it is more painful to see faults in those whom one has loved very much. Your proclamations are wonderful and you should never envy your victorious and powerful neighbour. You will find yourself in great trouble... Follow your head, it will make you better judge what to do being close, and I am sure that you will always follow your heart in doing what is best to serve the Emperor, and that he himself can never doubt it. As this is the only reward you expect, it would be painful not to obtain it...
Now Eugène, usually rather stoic and timid when dealing with Napoleon, and used to some level of verbal abuse from his step-father ever since he became viceroy of Italy, for once has had enough. What do his mother and sister have to do with any of this? He’s held out in Germany in 1813, after the Russian disaster, after Murat had left, and (as he seems to have told his Bavarian family) never even got a »thank you« for his efforts to keep the remnants of the Grande Armée together. Back in Italy he receives some lukewarm allusions about »Don’t forget to bring the silverware when you leave Italy!« - and now, instead of giving a clear order for once, Napoleon feels the need to make Eugène obey by getting involved the ex-empress? As if Eugène needed some extra incentive to follow Napoleon’s orders?
So Eugène does the logical thing: not follow Napoleon’s order. Instead, he indignantly points out how he has done nothing wrong and goes to great lengths to explain to Napoleon why he thinks this whole evacuation plan is crap anyway. (Which, admittedly, he is probably right about.)
Eugène to Napoleon, Volta, February 18, 1814
Sire, une lettre que je reçois de l'impératrice Joséphine m'apprend que Votre Majesté me reproche de n'avoir pas mis assez d'empressement à exécuter l'ordre qu'elle m'a donné par sa lettre en chiffres, et qu'elle m'a fait réitérer le 9 de ce mois par le duc de Feltre.
Votre Majesté a semblé croire aussi que j'ai besoin d'être excité à me rapprocher de la France dans les circonstances actuelles, par d'autres motifs que mon dévouement pour sa personne et mon amour pour ma patrie.
Que Votre Majesté me le pardonne, mais je dois lui dire que je n'ai mérité ni ses reproches ni le peu de confiance qu'elle montre dans des sentiments qui seront toujours les plus puissants mobiles de toutes mes actions.
L'ordre de Votre Majesté portait expressément que, dans le cas où le roi de Naples déclarerait la guerre à la France, je devais me retirer sur les Alpes. Cet ordre n'était que conditionnel; j'aurais été coupable si je l'eusse exécuté avant que la condition qui devait en motiver l'exécution eût été remplie. Mais, cependant, je me suis mis aussitôt, par mon mouvement rétrograde sur le Mincio et en m'échelonnant sur Plaisance, en mesure d'exécuter la retraite que Votre Majesté me prescrivait, aussitôt que le roi de Naples, sortant de son indécision, se serait enfin formellement déclaré contre nous. Jusqu'à présent ses troupes n'ont commis aucune hostilité contre celles de Votre Majesté; le roi s'est toujours refusé à coopérer activement au mouvement des Autrichiens, et, il y a deux jours encore, il m'a fait dire que son intention n'était point d'agir contre Votre Majesté, et il m'a donné en même temps à entendre qu'il ne faudrait qu'une circonstance heureuse pour qu'il se déclarât en faveur des drapeaux sous lesquels il a toujours combattu. Votre Majesté voit donc clairement qu'il ne m'a point été permis de croire que le moment d'exécuter son ordre conditionnel fût arrivé.
Mais si Votre Majesté veut supposer un instant que j'eusse interprété ses ordres de manière à me retirer aussitôt que je les aurais reçus, qu'en serait-il résulté?
J'ai une armée de 36,000 hommes, dont 24,000 Français et 12,000 Italiens. Mais de ces 24,000 Français, plus de la moitié sont nés dans les États de Rome et de Gênes, en Toscane et dans le Piémont, et aucun d'eux assurément n'aurait repassé les Alpes. Les hommes qui appartiennent aux départements du Léman et du mont Blanc, qui commencent déjà à déserter, auraient bientôt suivi cet exemple des Italiens, et je me serais trouvé dans les défilés du mont Cenis ou de Fenestrelle, comme je m'y trouverai aussitôt que Votre Majesté m'en aura donné l'ordre positif, avec 10,000 hommes à peine, et attirant à ma suite sur la France 70,000 Autrichiens, et l'armée napolitaine qui alors, privée de la présence de l'armée française qui lui sert encore plus d'appui que de frein, eût été forcée aussitôt d'agir offensivement contre nous. Il est d'ailleurs impossible de douter que l'évacuation entière de l'Italie aurait jeté dans les rangs des ennemis de Votre Majesté un grand nombre de soldats qui sont aujourd'hui ses sujets.
Je suis donc convaincu que le mouvement de retraite prescrit par Votre Majesté aurait élé très funeste à ses armes, et qu'il est fort heureux que, jusqu'à présent, je n'aie pas dû l'opérer.
Mais si l'intention de Votre Majesté était que je dusse le plus promptement possible rentrer en France avec ce que j'aurais pu conserver de son armée, que n'a-t-elle daigné me l'ordonner? Elle doit en être bien persuadée, ses moindres désirs seront toujours des lois suprêmes pour moi; mais Votre Majesté m'a appris que dans le métier des armes il n'est pas permis de deviner les intentions, et qu'on doit se borner à exécuter les ordres.
Quoi qu'il en soit, il est impossible que de pareils doutes soient nés dans le cœur de Votre Majesté. Un dévouement aussi parfait que le mien doit avoir excité la jalousie; puisse-t-elle ne point parvenir à altérer les bontés de Votre Majesté pour moi, elles seront toujours ma plus chère récompense. Le but de toute ma vie sera de la justifier, et je ne cesserai jamais de mettre mon bonheur à vous prouver mon attachement, et ma gloire à vous servir.
***
Sire, a letter I received from Empress Joséphine informs me that Your Majesty blames me of not putting enough eagerness into carrying out the order which you gave me by your letter in cipher, and which you had reiterated to me on the 9th of this month by the Duke of Feltre.
Your Majesty also has seemed to believe that I needed to be induced to approach France in the present circumstances, by other motives than my devotion to His person and my love for of my fatherland.
May your Majesty forgive this, but I have to tell Him I have not deserved either his reproaches or the little confidence He shows in sentiments which will always be the most powerful motives for all my actions.
Your Majesty's order explicitly stated that, in the event that the King of Naples should declare war on France, I was to withdraw to the Alps. This order was only conditional; I would have been guilty if I had executed it before the requirement for its execution had been fulfilled. But, nevertheless, I placed myself at once, by my retrograde movement on the Mincio and by spreading out towards Piacenza, in a position to execute the retreat which Your Majesty prescribed for me, as soon as the King of Naples, coming out of his indecision, had finally formally declared himself against us. Up to now his troops have not committed any hostility against those of Your Majesty; the King has always refused to cooperate actively in the movement of the Austrians, and, only two days ago, he informed me that his intention was not to act against Your Majesty, and at the same time he gave me to understand that it would only take a fortunate circumstance for him to declare himself in favour of the flags under which he has always fought. Your Majesty can therefore clearly see that I was not allowed to believe that the moment to execute his conditional order had arrived.
But if Your Majesty wishes to suppose for a moment that I had interpreted his orders in such a way as to withdraw as soon as I had received them, what would have been the result?
I have an army of 36,000 men, 24,000 of whom are French and 12,000 Italians. But of these 24,000 Frenchmen more than half were born in the states of Rome and Genoa, in Tuscany and Piedmont, and surely none of them would have re-crossed the Alps. The men from the departments of Lake Geneva and departments of Léman and Mont Blanc, who are already beginning to desert, would soon have followed the Italians' example, and I would have found myself in the defiles of Mont Cenis or Fenestrelle, as I will find myself there as soon as Your Majesty has given me a positive order, with barely 10,000 men, drawing after me 70,000 Austrians as well as the Neapolitan forces, which then, deprived of the presence of the French army which is still more of a booster than a brake, would have been forced at once to act offensively against us. Moreover, it is impossible to doubt that the entire evacuation of Italy would have thrown into the ranks of Your Majesty's enemies a great number of soldiers who are today His subjects.
I am therefore convinced that the movement of retreat prescribed by Your Majesty would have been very fatal to His arms, and that it is fortunate that, up to now, I have not had to carry it out.
But if Your Majesty's intention was that I should return to France as quickly as possible with what I could have kept of His army, why did He not deign to order me to do so? He must be well persuaded of this: His smallest desires will always be supreme laws for me; but Your Majesty has taught me that in the profession of arms it is not permitted to guess at intentions and that one must limit oneself to carrying out orders.
Be that as it may, it is impossible for such doubts to have arisen in the heart of Your Majesty. Such perfect devotion as mine must have excited jealousy; may it not succeed in altering Your Majesty's goodness to me, it will always be my dearest reward. The aim of my whole life will be to justify it, and I shall never cease to place my happiness in proving my attachment to you, and my glory in serving you.
In his letter to Josephine of the same date, he opens up even more, complaining loudly:
[…] I had not believed I had reached the point where I needed to give the Emperor proof of my fidelity and my devotion! I can, in all this, see only one thing: that I have enemies, and that they are jealous of the, I dare say honourable, way in which I have managed to get through the most difficult circumstances. To this, I will respond by the testimony of truth. Here it is in its entirety:
For over three months that I had remained without direction or instruction from the Emperor, I received from him, around the 1st of February, only a ciphered letter, which told me that, in the event that the King of Naples declared war on France, I was to withdraw to the Alps. This order was thus conditional, and seemed to say to me: " In such a case you will not be able to hold out in Italy; in this case you must cover the gates of France, etc."
But I had put myself in direct contact with the king; I sent him every day, since his arrival in Bologna, an officer who made him think of peace as being near, who confided in him the indignation which the army felt, who told him that he would be lost forever in history if he dipped his hands in French blood; finally, that it was quite obvious that the enemy was playing with him. […]
And so on, and so on. He’s clearly feeling hurt by what he sees as Napoleon’s distrust. He – of course – also tells his (pregnant) wife Auguste about it, who is not too happy about Napoleon’s behaviour towards Eugène anyway and only too ready to share Eugène’s indignation.
And this in turn will set the stage for the final chapter of this tragicomedy: the big question of Auguste’s confinement.
26 notes · View notes
sammyjomcl · 4 years ago
Text
Cela faisait longtemps que je n'avais pas écrit quelque chose... mais là j'avoue que l'épisode 11 m'a un peu frustrée vu que ça commençait bien... Nath en uniforme... enfin! Et hop, episode fini. J'en voulais plus! Et comme on n'est jamais mieux servi que par soi-même... je vous partage un petit texte écrit sur mon téléphone en une petite heure donc désolée si jamais vous trouvez des petites coquilles malgré mes relectures! Cette petite histoire suit directement la fin de l'épisode. C'est plutôt coquinou, y a pas de rapport décrit mais on reste dans le roleplay avec Nath en uniforme. C'est pas grand chose mais ça reste un moment de couple comme j'aimerais en voir souvent sur le jeu.
Je le rajouterai aussi sur le forum sur mon topic d'histoires, qu'il faudra que je clôture un jour d'ailleurs...
Bonne lecture à celles qui auront le courage de se lancer à suivre ce petit texte! A LIRE QUE SI VOUS AVEZ FAIT L'ÉPISODE 11.
******
J'ai presque envie de m'endormir mais mon envie de plus prend le dessus. Je suis toujours blottie, nue, contre mon bel inspecteur de police après un moment de passion bien mérité. Enfin nous avons pu nous retrouver. Ses doigts jouent doucement sur ma peau, dans de lentes caresses aériennes et rien que ces petits gestes menacent de me faire frissonner. Je me retiens de soupirer de satisfaction et tourne la tête pour voir observer mon Apollon. Mes yeux rencontrent les siens et je note qu'il a un sourire amusé aux lèvres.
-Je n'ai pas le souvenir d'avoir raconté de blagues pendant notre... "interrogatoire". Qu'est ce qui vous fait sourire ainsi, inspecteur?
Il se met franchement à rire et je jubile de le voir détendu, visiblement heureux et surtout, dans mes bras.
-Ma chère Su, quand je t'ai passé les menottes, je n'imaginais pas que tu te serais totalement prise au jeu. Je t'ai trouvée particulièrement excitée... et excitante. C'est vraiment l'uniforme qui te fait cet effet-là ?
Je fais la moue quelques secondes avant d'y réfléchir. Je me redresse et mes yeux se perdent sur son corps. Je ne peux m'empêcher de rire doucement à mon tour en remarquant qu'il porte encore la chemise de son uniforme, ouverte complètement sur son torse... et rien d'autre.
-Hum... je n'y ai jamais pensé sérieusement mais l'uniforme rend super bien... ou plutôt il te va terriblement bien et ça me fait craquer. Après si tu veux essayer de louer d'autres uniformes... pour qu'on compare...
-Je suis déjà content que mon uniforme n'ait pas été abîmé. J'ai cru que les boutons de la chemise allaient lâcher sous tes ongles!
-Peut-être la prochaine fois...
Je lui dis ça en me mordant la lèvre et ses yeux pétillent, si bien que je sens qu'on va rentabiliser cet uniforme pendant encore un petit moment. Mais j'ai envie de lui parler un peu aussi...
-J'avais surtout besoin de te retrouver, Nath. Ne pas se voir à cause du boulot, je comprends. On ne peut rien y faire. Mais ça fait un moment qu'on ne fait que se croiser et l'inquiétude de te voir partir pour une mission dangereuse... tout ça me fait vraiment apprécier chaque seconde ensemble et je veux en profiter à fond.
Il n'y a que de la compréhension et de l'affection  dans ses yeux dorés. 
-On a encore toute la soirée et la nuit juste pour nous. Et... je sais que j'aurai pas mal de travail encore certains jours à venir mais je vais aussi faire ce que je peux pour avoir un peu de repos. Peut-être même des vacances...
-Oh j'adorerais qu'on programme quelque chose !
-Si ça te dit on peut continuer à en parler dans la cuisine. J'ai préparé des petites choses qu'on peut cuisiner à deux.
Je dois avouer que l'idée de cuisiner à deux puis de me remplir un peu le ventre me séduit complètement.
-Je ne peux pas te résister quand tu me parles comme ça... d'ailleurs... tu remets ton uniforme?
-...
-Je l'amènerai chez le pressing demain, promis!
Il secoue la tête alors qu'il explose de rire. Il s'extirpe du lit et me regarde droit dans les yeux alors qu'il remet chaque vêtement doucement. Je ne rate pas une miette du spectacle, le tissu glissant sur sa peau, moulant ses muscles... Il a bien raison, l'uniforme me fait de l'effet mais son charme naturel reste ma plus grande faiblesse.
-Et toi ma chérie, tu devrais aussi t'habiller. Te mettre en uniforme de travail peut-être ?
-Euh... je n'ai pas d'uniforme si ce n'est un tablier.
-C'est déjà pas mal non? Ça ne te dit pas de jouer le jeu?
Son petit sourire en coin en dit long.
-Tu veux dire... le tablier et... c'est tout?
-Tu as besoin d'un tablier de toute façon, on va en cuisine...
Il soutient mon regard avec un petit air de défi mais je vois bien que l'idée lui plaît beaucoup. Hum... nue sous le tablier? Après tout... pourquoi pas... 
-A vos ordres inspecteur!
Il s'attendait sûrement à ce que j'oppose de la résistance. Je me lève et me dirige vers la cuisine, son regard m'accompagnant sur tout le trajet. J'attrape un tablier et j'allais l'attacher quand je sens ses mains se saisir des ficelles afin de le faire lui-même. Ses doigts effleurent délibérément ma peau et j'adore ça.
Je ne vais pas me mentir, le tablier ne couvre pas grand chose et je suis du coup presque nue dans la cuisine, sous le regard de braise de mon beau blond qui a l'air satisfait de son plan. Je ne vais cependant pas me plaindre, c'est très... stimulant.
-Alors, qu'est-ce qu'on cuisine?
Il a du mal à détourner ses yeux de moi mais il finit par sortir différents petits plats et je suis épatée en voyant ce que j'ai sous les yeux.
-Tu as fais de la pâte à pizza et tu as préparé de la sauce ? Oh tu as même préparé de la garniture... on va se faire une superbe pizza!
- C'est l'idée...
Je voudrais presque prendre une photo de mon officier qui cuisine comme un pro. Il étale avec dextérité la pâte et en peu de temps elle prend forme, prête à être garnie. 
On prend peu de temps pour cuisiner en général et là je trouve ça super qu'il ait pris sur son temps de repos pour préparer un bon repas, d'autant que c'est super mignon de voir qu'il n'a jamais oublié son affection pour la cuisine italienne. J'ai cependant l'impression qu'il passe plus de temps à me regarder qu'à penser à la pizza. Je ne peux pas lui en vouloir, d'autant que le voir en uniforme dans la cuisine est une grande source de distraction. Mais chaque chose en son temps.
Blanche vient se frotter contre les jambes de son maître. Il est vrai que nous l'avons un peu oubliée depuis un petit moment.
-Ma Blanche... je vais te donner à manger pendant que Su finit de préparer la pizza.
Il me jette un petit regard alors que je m'attelle à finir de déposer la garniture sur ce qui va devenir une bonne pizza faite avec amour. Une fois au four, je sors de la cuisine et retrouve mon cher et tendre en train de caresser Blanche qui mange son repas.
-Ta petite princesse aux poils longs te réclame souvent tu sais.
-Elle me manque aussi. Savoir mes amours à la maison pendant que je m'occupe de délinquants, parfois ça me donne juste envie de leur sauter à la gorge pour qu'ils avouent vite fait et que je puisse rentrer vous retrouver... malheureusement, ce n'est pas si simple.
Il se lève et s'approche de moi. L'ambiance légère qui règne dans l'appartement depuis que je suis rentrée devient un peu plus sérieuse. Il pose son front contre le mien et passe une main dans mes cheveux.
-Je voudrais être là. Tout le temps. Pour te soutenir quand tu as du boulot. Pour t'emmener au restaurant. Pour me poser au Cosy Bear juste pour te voir t'activer dans tous les sens. Pour passer une soirée à rien faire. Ou même pour essayer une série d'uniformes et répondre à tes désirs.
-Je sais.
-Quand je suis sur le terrain ou même au poste... je me donne à 100%. Parce que je sais que ça en vaut la peine, de se battre pour que la société soit un peu plus sûre. Alors je fonce. Et je sais que quand mon travail est bien fait, je peux laisser tout ça derrière moi et rentrer te retrouver. Je sais que ce boulot me prend trop de temps. Mais tu es ce que j'ai de plus précieux. Je suis fier de ce qu'on a, de ce que nous sommes devenus. Et je suis vraiment désolé de te causer du souci, Su... je me doute que ça doit aussi t'affecter dans ton travail.
-Nath... Ne sois pas désolé. Je suis la première ravie que tu aies trouvé ta voie. On savait tous les deux que ça ne serait pas facile tous les jours. Tu aimes ton travail et tu le fais bien. Du moment que tu me reviens... Mais plus j'y réfléchis... plus je pense que jamais je pourrai être totalement sereine en te voyant partir. Il faut juste que j'aprenne à vivre avec cette angoisse pour la gérer et ne pas la laisser me pourrir.
Il embrasse mon front puis descend sur chacune de mes joues jusqu'à couvrir mon visage de baisers. Il glisse jusqu'à mon oreille...
-Dis-moi ce qu'il te faut pour que ce soit plus supportable. N'hésite jamais à me parler même si ce n'est pas facile. Je peux tout entendre venant de toi. Je sais qu'on a des exemples peu encourageants sous les yeux... rien que quand je vois Éric et comment son couple a tourné...
Il me serre fort contre lui et je l'étreins à mon tour.
-Je refuse que cela nous arrive. Je sais qu'on ne maîtrise pas tout et que les choses évoluent de façon étrange mais j'ai passé bien assez de temps loin de toi. Je suis prêt à te menotter au lit pour te garder près de moi...
-Hum inspecteur, ne seriez-vous pas en train d'abuser de votre autorité ?
Je sens que cette discussion nous a fait du bien et que je suis plus légère. Les mains de mon cher inspecteur se promènent dans mon dos et descendent de plus en plus alors qu'il plonge ses lèvres dans mon cou. J'aurais pu rire devant la situation précédente : lui en uniforme et moi nue sous mon tablier, en train de parler sérieusement. Mais au final, on a laissé tomber nos barrières, notre stress du quotidien et là on peut juste profiter.
-Nath... il faudrait peut-être surveiller la pizza  non? Ça commence à sentir super bon...
Il desserre son étreinte légèrement et soupire.
-J'imagine qu'il vaut mieux éviter de faire cramer l'appartement...
-Oui et reprendre des forces c'est pas plus mal. Parce qu'après je compte bien utiliser les menottes sur toi.
-Tu vas utiliser mes menottes contre moi? C'est la honte pour un flic de se faire avoir de cette façon...
Je me mets sur la pointe des pieds pour murmurer à son oreille...
-Je te promets de bien les utiliser, tu n'auras pas à regretter et peut-être même que tu en redemanderas...
Je me dirige vers le four pour en extraire la pizza et l'amener à table. Nath me dévore des yeux et je vois bien que ma proposition lui donne envie de remettre le repas à plus tard. Je ne me démonte pas et fais le service. Il finit par me rejoindre à table et je dois me retenir de glousser comme une lycéenne. Le reste de la soirée s'annonce excellent et finit de tourner la page sur ces jours d'anxiété.
27 notes · View notes
christophe76460 · 1 year ago
Text
Tumblr media
LA FOLIE DE LA CROIX
Le pécheur ne peut découvrir Dieu par lui-même
Sans être aidé et illuminé, dans son état naturel et sans l’Évangile, le pécheur ne trouvera jamais le chemin vers Dieu. En fait, il ne le cherchera même pas.
« Mais l’homme naturel n’accepte pas les choses de l’Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge » (1 Co 2.14).
Il est mort et aveugle spirituellement et il n’a aucun espoir de découvrir Dieu par lui-même. Or, même lorsqu’on présente l’Évangile de la croix aux pécheurs, ils le rejettent. Dans 1 Corinthiens 1.18, nous lisons :
« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent. »
Le pécheur ignore et nie le chemin vers le salut
Même lorsqu’on montre à un pécheur le seul chemin vers le salut, il l’ignore et le nie. En revanche, 1 Corinthiens 1.18 poursuit :
« mais pour nous qui sommes sauvés elle est une puissance de Dieu ».
La prétendue sagesse de l’homme, celle qui selon la théologie naturelle devrait nous diriger vers Dieu, le force à rejeter le message de la croix et la seule puissance qui est en mesure de le sauver.
Que pense Dieu de la sagesse de l’homme ?
Paul continue dans 1 Corinthiens 1.19,20 :
Aussi est-il écrit :
Je détruirai la sagesse des sages, Et je rendrai nulle l’intelligence des intelligents. Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le raisonneur de ce siècle ? Dieu n’a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde ?
En d’autres mots, amenez les esprits les plus aiguisés, les communicateurs les plus articulés, les meilleurs débatteurs, amenez-moi l’élite, et je vous montrerai un groupe d’insensés. Dans Actes 17, Paul est à Athènes et les Écritures nous disent qu’il « sentait au-dedans de lui son esprit s’irriter, à la vue de cette ville pleine d’idoles » (Ac 17.16). Dans l’Aréopage, le lieu de rassemblement des philosophes et des intellectuels de l’époque, il a confronté leur ignorance ridicule et proclamé le seul message par lequel ils pouvaient être sauvés.
Hommes Athéniens, je vous trouve à tous égards extrêmement religieux. Car, en parcourant votre ville et en considérant les objets de votre dévotion, j’ai même découvert un autel avec cette inscription : À un dieu inconnu ! Ce que vous révérez sans le connaître, c’est ce que je vous annonce. Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme; il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses.
Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure; il a voulu qu’ils cherchent le Seigneur, et qu’ils s’efforcent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est ce qu’ont dit aussi quelques-uns de vos poètes : De lui nous sommes la race… Ainsi donc, étant la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l’or, à de l’argent, ou à de la pierre, sculptés par l’art et l’industrie de l’homme.
Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils ont à se repentir, parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts… (Ac 17.22-31.)
Les individus à qui Paul s’adresse étaient probablement les esprits les plus aiguisés de l’époque et suspendre un écriteau était le mieux qu’ils avaient trouvé à faire pour inclure toutes les déités qu’ils auraient pu omettre. C’est sans doute le meilleur résultat qu’on peut espérer de la théologie naturelle : un sentiment de culpabilité provenant du fait d’avoir méconnu le vrai Dieu de l’univers.
Le seul espoir de salut se trouve dans la prédication de la croix
Revenons à 1 Corinthiens 1, au verset 21, qui constitue le point culminant du passage :
« Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu, il a plu à Dieu dans sa sagesse de sauver les croyants par la folie de la prédication. »
Il s’agit bel et bien du Grand Mandat reformulé. Le seul espoir de salut se trouve dans la prédication de la croix. Paul admet qu’un tel message est une pierre d’achoppement pour les Juifs et de la pure stupidité pour les païens (1 Co 1.23). Il a bien raison. D’un point de vue humain, croire que la mort horrible et humiliante d’un charpentier juif il y a plus de deux mille ans a une quelconque incidence sur la vie moderne – qui plus est, qu’elle offre une sorte d’expiation par substitution pour nos péchés – semble de la folie. Toutefois, comme Pierre l’a proclamé avec hardiesse devant les prêtres et les dirigeants d’Israël :
« Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Ac 4.12).
Pour quelle raison le salut se trouve-t-il en Christ seul ?
Paul répond à cette question dans 1 Corinthiens 1.29-31 :
« afin que personne ne se glorifie devant Dieu. Or, c’est par lui que vous êtes en Jésus-Christ qui, par la volonté de Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice, sanctification et rédemption, afin, comme il est écrit, que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur. »
En fin de compte, l’Évangile n’est pas pour les orgueilleux, les arrogants ou ceux qui croient qu’ils peuvent y accéder par eux-mêmes. Dieu a intentionnellement choisi un message fou pour nous humilier et garantir qu’aucun homme ne puisse se glorifier de son intelligence. Il a choisi la croix pour réprimer toute inclination à penser que nous avions réussi à le trouver par nous-mêmes. Toute la gloire revient à Dieu.
Cet article est tiré du livre : La Bonne Nouvelle de John MacArthur
0 notes