#on dirait moi le matin
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pour @pigeonneaux (pas un Titanix, finally :D)
#orelsan#vraiment le clip de Des histoires a raconter est pour moi le meilleur niveau looks#Orelsan et Gringe ils sont tous les deux si beaux la#est-ce que je fais ca au lieu du mille trucs que j'ai a faire pour l'uni?#peut-etre#btw j'ai fait le dessin d'Henry que j'ai posté hier sur la meme page que ce dessin-la#et comme ils tiennent tous les deux un mug#c'est tres rigolo l'ambiance#on dirait moi le matin#my art
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J'ai fait une nouvelle tasse pour compléter petit à petit la série des tasses jaunes-dedans, mon petit plaisir du matin c'est d'aller trouver les fruits un peu plus mûrs que la veille et les manger au petit déj, et heu j'ai fait une chauve-souris en céramique elle est un peu foirée mais je l'aime bien on dirait un chauve-cochon.
Par contre j'ai proposé à une amie de faire avec moi la formation en bégaiement que j'ai achetée et elle a accepté bien sûr mais elle n'est pas dispo maintenant et du coup c'est frustrant je l'attends pour commencer et en fait je crois que je vais commencer sans elle et que ça ne fera pas de tort de voir les cours deux fois.
Je me suis réveillée cette nuit pour me demander de quelle couleur sera la troisième tasse jaune-dedans, j'ai aussi fait une sorte de cauchemar que je faisais quand j'étais très jeune, à savoir un livreur qui frappe fort à la porte, j'ouvre et il a une taille démesurée et il veut absolument vérifier une ampoule dans la maison et il force le passage et au lieu de vérifier l'ampoule, il commence à taper dans les murs et les murs se rapprochent. Je suis de nouveau dans une période avec beaucoup d'introspection et je me dis que j'ai peut-être touché une corde sensible puisque même les cauchemars d'il y a 30 ans se repointent. Il faudrait que j'exploite ça mais je ne sais pas trop comment.
Je suis fatiguée. En gros tout va bien mais ma fatigue m'empêche de profiter, j'appréhende les événements dans lesquels je me suis engagée et qui pourtant vont me plaire, parce que j'appréhende la fatigue physique et sociale que ça va m'apporter. Je suis fatiguée nerveusement et physiquement par le boulot, par le probable covid dont j'ai du mal à sortir, par Nougat qui ne supporte pas Oreo et Muffin, du coup il a sa pièce à lui pour la nuit, du coup il gueule dès 4h du matin parce qu'il en a marre d'être seul. Je ne sais plus poser mon attention, je dois mettre des rappels pour tout, j'oublie mon thé, mon pc, mon tel, l'horaire, les changements d'horaires, les anniversaires, les courses, et j'en ai marre de ce temps pourri. Je ne lis pas assez et pourtant je suis dans le troisième tome de mon livre préféré de tous les temps.
Les examens de l'ado commencent lundi, il a l'air plus investi que les autres années et aussi plus autonome du coup je suis plus sereine pour l'instant, c'est un peu bizarre que les examens soient le truc le moins lourd du moment enfin on en reparle dans quelques jours.
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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Jean-Philippe (partie 2)
La journée suit son cours, je suis plus ou moins concentrée à la job. Mais ça, c’est juste parce que c’est le 4 à 6 du jeudi. Je suis toujours fébrile à l’idée de boire du vin. Je parle de la situation à mes ami·es.
« Est-ce que je lui réécris? », leur demande-je, sachant très bien que je vais pondre une belle petite phrase accrocheuse à Jean-Philippe dans deux verres de vin no matter what. Je ne fais qu’assurer mes arrières.
Mes ami·es me conseillent autant qu’iels me déconseillent de renchérir avec une phrase timidement coquine. OK, les chum·es. Je vais écouter mon petit cœur dans ce cas-là. C’est correct.
On est deux verres de vin plus tard. It’s time.
Je largue mon attaque en DM : « Si jamais ça te tente d’avoir une compagnonne d’écriture pour un de tes shows, on pourrait se motiver dans un café. SI JAMAIS! »
Ew, j’ai dit « compagnonne ». Moving on.
Il prend du temps à répondre.
Fuck. J’ai tout gâché.
Je vis mon 4 à 6 comme tous les jeudis: j’enchaîne les verres de blanc. J’embarque sur le rouge, je me sens un peu triste. Je commence à être fatiguée. C’est prenant, se mettre out there. Se rendre vulnérable. De laisser sa destinée amoureuse dans le cellulaire d’un autre. Pis y’est en couple, anyway. Qu’est-ce que je fais?
Je quitte le 4 à 6 pour me réfugier dans ma torpeur avec mon chat. J’ai faim. Je traverse le parc près de chez moi quand je reçois trois textos. Trois.
C’est Jean-Philippe.
« C’est pas tombé dans les mains d’un sourd » (le comique) « C’est sûr que j’écris rien si t’es là par contre J’ME CONNAIS! » « Mais sait-on JAMAIS. »
Attendez. Je pense que mon cœur m’a lâché. C’est ça, mourir? Est-ce qu’on peut mourir de bonheur? Enterrez-moi vite au parc Baldwin. J’ai besoin d’une pause pour reprendre mes esprits.
Je relis ses messages. J’écris rien si t’es là par contre. Si je suis là. Je vais être partout où tu veux, mon homme. Il est définitivement célibataire. Ou TRÈS ouvert. Ça, c’est clairement du flirt. Je ne peux plus le nier, moi qui ai tant espéré.
It’s on, bitches. Je sors l’artillerie lourde avec ma répartie et des flèches coquines, mais sans plus. Je dois le faire languir un peu. Macérer. Comme un bon vin, qui peine à être dégusté.
Je lui propose qu’on se jase ça ce soir, tant qu’à. Il est 19h et je suis juste assez alcoolisée pour être drôle, flirty. J’ai pas besoin d’alcool pour être comme ça, c’est juste que je me sentais particulièrement chatte. Meow.
« On dirait qu’on est dûs pour se jaser, hein? », me répond-t-il. Oui, Jean-Philippe. On est plus que dûs. Je te dirai pas que je regarde des shows dans lesquels tu figures pis je m’imagine toutes sortes de scénarios coquins. Dis-moi pas que je vais les réaliser? Me donnerais-tu cette chance-là?
Voyons, je suis complètement coucou. Je fan girl trop. Mais il me donne juste assez de jus pour que j’aie envie de finir le litre au complet. Je bois ses paroles.
On se dit qu’on va se reparler de nos disponibilités, parce que ce soir il est trop fatigué. Normal. Ben correct, c’était un peu précipité. Faut que je me calme. Faut QU’ON se calme. Je le veux en forme quand on va se voir parce que God knows que ce ne sera pas reposant.
Cue la nuit.
Ding de-ding de-ding.
Mon alarme du matin sonne, mais j’étais déjà réveillée. Beaucoup trop excitée à l’idée qu’on se réécrive. Je lui écris mes dispos. J’attends d’avoir les siennes.
« Maudit, y’a rien qui fonctionne pour moi! », m’a-t-il rédigé. Bon. Pas grave. On trouvera un moyen.
Il continue à écrire. Les trois petits points de suspension bondissent.
Ils arrêtent.
Ils bondissent.
Ils arrêtent.
J’ai un mauvais feeling.
Suis-je allée trop loin? J’ai les mains moites, les genoux mous, le cœur en guénille. Qu’est-ce qu’il veut me dire?
Vvvvz vvvz (un son de vibration).
« L’autre truc qui me chicotte, c’est que je suis terriblement en couple. Hier, je suis complètement tombé sous ton charme mais puisque ça devient flirty tout ça (en tout cas, complètement de mon bord je dois t’avouer) je suis plus prudent ce matin je dirais. On est un couple qui se permet quand même certaines libertés occasionnelles, mais on est plutôt dans un mode plus serré vu qu’on essaie de faire un bébé. »
Quoi.
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Ce matin tu te lèves et reviens quelque minutes après te blottir contre moi.
M’embrasse partout, me caresse puis me pelote. Te collant à mon corp je sens ta verge vigoureusement dur alors j’ouvre les yeux et tu te lève te tenant devant moi afin de m’offrir en spectacle ton anatomie excitée .
Tu ouvre le tiroir et sors une boîte de préservatifs , tu en prend un et le place sur ta verge .
Il est l’heure que ma cheffe soit ramenée sur terre ! Me dit tu .
Tu te jettes sur moi : vous êtes une cheffe horrible avec vos employés etc , tu me fouille profondément avec deux doigts et me pénètre ta queue tendu.
Tu finis en moi sur le ventre . Je retire ta capote , tu ne voulais pas mettre enceinte ta cheffe on dirait 😂😇
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20 avril
pendant qu'on mangeait des lasagnes aux blettes l. nous racontait ses souvenirs d'enfance au bord de la pétrusse, la maison de sa tante avait une porte secrète à la cave qui menait dans la falaise de la ville mais elle a été détruite pour construire un mini golf. ça m'a un peu changé les idées, jusqu'à ce que la conversation tourne vers trouver un travail, ce qui m'a de nouveau donné envie de pleurer, parce que quand on me parle de travail j'ai envie de pleurer, c'est une loi de l'univers. surtout quand on m'en parle avec bienveillance. elle avait pas du tout l'air de me juger, alors que peut être qu'elle me jugeait un peu parce que juste avant elles parlaient de ces jeunes qui veulent plus travailler avec maman, comme si j'étais pas là à table avec elles, moi une jeune qui ne veut pas travailler. elle m'a demandé ce que j'aimerais faire dans l'idéal et j'ai dit je sais pas. dans l'idéal j'aimerais mourir. ou être rockstar, ou comédienne. ou écrivaine-femme au foyer. dans l'idéal j'aimerais être mariée. et être sur scène. un mix de tout ça. mais je pouvais pas lui dire ça elle m'aurait prise pour une frappadingue, même si elle a dit dans l'idéal, elle a pas dit dans une réalité alternative. elle m'a dit que mes cheveux étaient très jolis. je m'étais dit que mes nouveaux cheveux allaient me motiver à faire quelque chose de ma journée mais non je suis au lit et j'ai envie de rien et en plus j'ai mangé trop de lasagnes aux blettes.
hier soir r. m'a envoyé une vidéo d'un ado qui répète YOU MATTER devant une caméra de sonnette de porte et évidemment je l'ai pris personnellement et j'ai eu envie de jeter mon téléphone par la fenêtre. l'autre jour je lui ai raconté mon anecdote de la thérapeute qui m'avait envoyée chez le prêtre parce que d'après elle je manquais d'amour et qu'elle disait qu'elle pouvait plus rien pour moi et puis tant qu'à faire je lui ai aussi parlé de maman et du fait que je me sentais pas aimée et après je me suis dit putain mais moi c'est tout ou rien, ou je reste fermée comme une huître ou je me mets toute nue avec toutes mes blessures à la vue. et ça me rend malade qu'il soit extra gentil avec moi et me demande régulièrement comment je vais parce qu'il sait que je suis fragile, et maintenant il sait aussi que je suis complètement cassée, mais je veux pas être sa pote fragile et vaguement drôle qui aime la bonne musique et qui sait écouter les problèmes des autres avec bienveillance. je veux qu'il pense à moi 24/7 et qu'il ait envie de me voir tout le temps, je veux rencontrer sa fille et qu'on cuisine ensemble dans sa petite cuisine en enfilade, je veux prendre le train avec lui et m'endormir sur son épaule et me réveiller sur la côte belge parce que je sais rester réaliste dans mes fantasmes et me promener sur la plage avec lui en mangeant une glace, ou pas, je m'en fous, je veux juste être avec lui. je veux tellement être avec lui que j'en dors pas la nuit. même j. ne me rendait pas aussi malade. mais c'était y a dix ans, j'avais accumulé moins de solitude.
ce matin chez le coiffeur j'imaginais ce qu'il dirait si je lui racontais tout. et ça fait UN AN que ça dure?? et t'es toujours pas passée à autre chose? non brian. j'avais envie que tout le monde dans le salon de coiffure vienne me présenter ses sincères voeux de bon rétablissement ou juste sa compassion en me gratouillant la tête pendant que moi je gratouillais la tête du petit chien blanc qui dormait dans mes bras.
22 avril
j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. je suis sortie marcher pendant une heure pour prendre l'air et m'aérer le cerveau mais ça marche pas, je me retrouve exactement au même endroit en rentrant. je me demande si j'arriverais à écrire ailleurs. je crois que oui. le lundi après-midi maintenant maman ne travaille plus et ça me fait prendre conscience qu'une fois qu'elle sera à la retraite à la fin de l'année j'aurai plus le choix, je serai obligée de déménager parce qu'elle sera à la maison toute la journée et ce genre de cohabitation intense est inenvisageable. j'ai huit mois pour préparer mon départ. samedi l. disait qu'elle avait lu que l'état comptait embaucher 1500 personnes bientôt et j'ai dit ah ben oui je regarderai alors que non je regarderai pas. elle m'a aussi parlé de son amie écrivaine qui vit à vienne et qui gagne de l'argent en rédigeant des annonces publicitaires pour un journal (??) mais qu'elle gagne qu'une centaine d'euros avec ça et maman a demandé comment elle faisait pour vivre alors et l. a dit elle est mariée. i rest my case, je dois me marier.
23 avril
j'ai parlé de mes soucis d'occupation à a. hier soir et elle m'a dit pourquoi tu ferais pas des études d'océanographie? c'est ton truc non la mer? et puis elle m'a suggéré de faire du wwoofing, si jamais je me retrouve sans plan au mois de décembre, y a toujours le wwoofing. mon éternel plan de fuite que je ne déclenche jamais. mais je peux pas faire ça indéfiniment. je suis pas le genre de personne à pouvoir vivre de wwoofing et d'eau fraîche comme ces gens en commentaires dans les groupes fb que j'ai rejoint dans le but de me motiver. par exemple dimanche dans la forêt j'ai croisé une bande de jeunes avec des sacs à dos et une carte et un chien comme le club des cinq, ils avaient l'air un peu perdus et ils écoutaient de la musique sur un téléphone en fond sonore et y en avait un qui disait j'en peux plus je dois manger un truc et puis il a commencé à grêler et un peu plus loin j'ai croisé un couple de pré-retraités en doudoune fine à petits bourrelets avec des bâtons de marche et j'avais mille fois plus envie d'être eux que le groupe de jeunes avec leurs sacs à dos. c'est pas que j'avais vraiment envie d'être eux, mais je tendais plus vers eux, vers leur mode de vie, je sais pas, ils représentaient comme une espèce de réconfort, après avoir croisé les autres en train de galérer avec leur aventure. mais j'ai pas toujours préféré les vieux aux jeunes de toute façon? en fait je crois j'échapperai juste jamais à mon désir de vivre une vie de retraitée aisée dans ma jolie maison confortable.
j'ai l'impression que tous mes raisonnements tournent en rond et que je me cogne contre toujours le même mur, et que tant que je serai coincée ici tout ce que je dirai sera faussé. peut être que je devrais changer l'utilisation de mon journal et ne noter plus que les trucs positifs, et donc non faussés, plus de raisonnements et de plaintes et de jérémiades, que les choses qui sont bien et simples et concrètes et là et qui méritent d'être remarquées. alors: je suis toujours assez contente de me lever le matin même si je fais rien de particulier, en ce moment il fait soleil et c'est toujours mon moment préféré de la journée. hier soir a. m'a complimentée sur mes nouveaux cheveux. je lui ai prêté sabir et point de chute parce qu'elle voulait lire mes textes. j'ai échangé des sourires avec le chef de choeur et ça c'était bien aussi. pour une fois j'ai pas une seule fois plongé dans le puits de tristesse. peut être qu'il l'a remarqué. peut être qu'il a compris que j'avais rejoint cette chorale uniquement dans un but thérapeutique, vu comment je chante/chante pas quand j'en peux plus. enfin au début c'était pour chanter mais je me suis vite rendu compte que c'était au dessus de mes capacités vocales. j'ai aussi vu un cheval hier, ou un poney plus probablement, et puis en rentrant de ma promenade dans les champs j'ai mangé les restes de mon cheesecake de ce weekend. j'avais aussi fait une très bonne tarte pomme-poire à la cannelle parce qu'il me restait de la pâte et je l'ai finie hier soir devant c ce soir en rentrant de la chorale. voilà pour la journée d'hier.
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Cette nuit horrible on dormait profondément quand soudain quelqu'un sonne à la porte, moi je me réveille en sursaut mon mec non, la personne à la porte s'acharne sur la sonnette, je finis par secouer mon mec, il dit "qu'est ce qui se passe ?" Je lui dis "y a quelqu'un qui sonne !!!!!!" alors il se lève il va vers la fenêtre mais il voit personne devant la porte, on va à l'autre fenêtre et là il y a une voiture dans notre cour !!! Sachant que nos deux voitures ne sont pas garées chez nous ce soir exceptionnellement ! Alors là on se fige on est en train de se dire "ok c'est des cambrioleurs qui vérifient si on est là ou pas" moi bah j'hyperventile j'attends juste d'entendre quelqu'un trafiquer la serrure mon mec dit "attends on dirait la voiture de mon pote machin je vais lui envoyer un message" ok mais pk il viendrait chez nous à cette heure et pk il sonnerait à la porte au lieu de t'appeler !!!!! Heureusement le gars ne dormait pas et évidemment à la question "es-tu dans notre cour présentement ?" Il répond "bah non je suis chez moi" du coup on appelle la police qui nous rassure et nous dit qu'avec la plaque d'immatriculation il va regarder qui c'est et là il nous dit "ah ben c'est un de vos voisins" ah ???? Tout ça pour ça ???
Et du coup le mec est question est revenu ce matin, il a expliqué qu'en fait comme notre rue monte vachement avec le verglas il a pas pu aller jusque chez lui donc il s'est garé chez nous ! Il a ajouté après "je voulais juste vous prévenir" mais monsieur il faut pas sonner chez les gens au beau milieu de la nuit quand toutes leurs lumières sont éteintes 😭😭😭😭
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Scalp-El
Coup d'Esprit, dans la nuit, de scalpel, délicat comme un éclair de lune, un voile agité par le vent. Tranchant, froid et sec.
A moitié nu sur son balcon. Une clope. Avec une robe de chambre contre la marée montante. Armure de chevalier gueux paumé dans le temps, chaque parcelle de peau à vif, il se sent vivant. Une sorte de tourbillon qui prend forme, sensation fantôme d'être parti de lui et d'offrir à plus grand un intérieur infime. Et ainsi habité, de se recoucher.
Réveil, c'était un rêve, forcément, puisqu'il y a ce réveil. Et ce café, et le lendemain matin. Je me sens plein, les muscles, la nuque, les seins enfin la poitrine, le torse, marrant de parler de mes seins, jamais désignés comme "mes seins" mais des pointes tétonnesque sur une poitrine qui me couvre comme un gant. Hmm, ce gant, sur mes seins... C'est un matin étrange que de penser à ma propre sensualité m'était étranger, j'habite un corps comme s'il s'était donné à moi. Oh, je n'avais jamais... ça... non plus... A moitié habité de moi, normal qu'il y ait eu un tel vide, oh corps je ne te savais pas, excuse-moi. Il y a comme un pleur qui se change en douceur. Et autour, toutes ces sensations, filaments de sens qui relient, à l'organisme-temps; lui. Je me sens, et dans ce temps je le sais, lui. Appelons-le Leeil. La divinité soi, intégrée à son espace-temps.
Vivante chose vibrante, cordes tantriques de sensation temps qui relient, donc ; et en jouer, joue-t-on de cet instrument. Un danseur prend le pas. Danseur et donc il y a un chanteur, aux claviers noirs et blancs. Ambiance langoureuse des corps mi-homme mi-femme enfiévrés de désir.
Trop neutres
C'était encore un rêve, dans un rêve dans une nuit, mensonge qui masque l'irréalité du matin et d'un instant de créativité d'être à soi. je suis à moi et mon corps m'appartient. Très féminin comme sensation. Transformation comme lorsque un chant, d'une note, vrille l'espace jusqu'au tympan et se répand comme de l'encre sur l'eau, le son dessine dans mon cerveau une pensée-image de la perfection.
Il paraît que l'Univers est né de sons. Fondamentaux. Leurs vibrations dans la matière étaient celle de l'angoisse d'un être qui paraissait.
Donc de la sensualité-moi, j'en suis arrivé à la théorie de l'univers-origine. Il y a résonance. Est-ce qu'y planer, c'est une question de vibration ? Alors Superman... Je me sens trop moi pour être lui ? (Heu, mec, c'est une évidence.)
Envie d'écrire, ce matin, intéressante forme, image-temps/image-mouvement, le fondement du cinéma est-il aussi celui de ma conscience ? A l'échelle de l'échelle de Planck ça doit avoir du sens. (Relire Deleuze - le dire, ça fait tellement classe : j'ai étudié Deleuze. En toute honnêteté, il faut avoir été confronté à de très très grands penseurs théoriciens pour faire sauter les limites. Ils étaient bien barrés dans leurs sensation-monde ! Comme de regarder Lynch en tentant de pénétrer sa pensée créatrice... Expérience transcendante, à ajouter au lâcher-prise total de son propre corps libéré de l'obligation d'être moi cet égo formé.
J'ai oublié une parenthèse
fermante
)
(Voilà c'est fait ne pas oublier de la refermer) (la parenthèse
Bon, je vais faire quoi aujourd'hui de cette sensation ? Lire. Passer l'aspirateur ? Lire et passer l'aspirateur. Etendre une lessive, non ? (Un doute, ai-je fait une lessive que je n'ai pas étendue ?)
J'aimerais... Avoir du bois à couper ! Et les êtres, ça vous dirait pas d'avoir du bois à couper pour préparer un grand feu ? Retour du totalitarisme humanitaire et du joueur de corde danseur invisible dans l'air. C'est lui superman ? Il danse entre les courants de vent ! 100 costumes multicolorés en gloire de paillettes les neutrinos me traversent, hurle-t-il de plaisir, d'avoir été créé.
J'ai pris une douche, hier soir ? Oui oui, j'ai pris une douche. Ca va, j'ai toujours des repères cohérents. Ou est cette robe de chambre ? J'ai pas de robe de chambre, la seule ici, c'est celle de mon fils, et l'autre quelque part il doit encore y avoir celle de sa mère ! Y'en a au moins deux encore de robes. Purée, ça me rappelle que j'ai essayé une robe et que j'ai envisagé d'aller à la fête de fin d'année de ma boite... en robe ? ! Heu, je manque de limites, moi on dirait, quand même.
Ouais, si, si jamais je me demandais encore...
Café.
Et fermer la parenthèse)
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Bon, j'ai rêvé qu'il existait des catapultes à chats, qui passent dans les rues et envoient des chats dans les maisons alors j'avais mis un panneau qui disait "J'en ai déjà trois"
Le soleil se lève plus tôt et du coup eux aussi et du coup moi aussi et du coup je suis fatiguéééée omg comment je vais réussir à finir cette journée j'ai dormi 4h.
Et il faisait si gris ce matin qu'on dirait que la photo est en noir et blanc.
Mais maintenant ça va, il y a un peu de soleil.
Et je suis contente pcq c'est un merle, il y en a très peu cette année.
Remarque, avec Nougat-le-caïd, je ne suis pas sûre d'avoir envie qu'ils nichent par ici, ils ne seraient pas en sécurité dans la haie d'ailleurs je ne vous ai pas dit la dernière. Nougat considère le jardin comme sa propriété. Il fait fuire tous les autres chats, et aussi le chien du voisin quand il réussit à se sauver. Donc j'ai vu Nougat poursuivre un dogue allemand jusqu'à ce qu'il retourne chez lui.
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120124 Tous les mercis deviennent des bravos. Héroïnes et héros des rapports sociaux, chaperons de la communication, sauveurs de l'humeur général qui tournait à l'aigre.
+ Je suis gros de tant d'années d'idées que pour me vider il faudrait me taire jusqu'à la mort. Je finirai donc obèse de cris du coeur et d'obsessions, ç'aura été riche tout ça et adieu Berthe.
+ Ah le plaisir de lancer un mot ou deux et de voir une phrase s'en échapper, la suivre et la pousser de mes doigts, m'emplir les sens des sens (j'entends tout, je touche les touches, je vois bien, j'ai du pif, et le reste), peindre la page, tailler la phrase, dirait Manon!
140124 Oil in boil
150124 La lenteur dont on est capable, à quatre heures du matin...
Et de reconnaître les mauvaises choses en les prenant en bouche. Je referai, peut-être, mes placards entièrement si je goûtais tout maintenant.
J'ai lu l'astragale plus longtemps que d'habitude, évidemment puisque d'habitude, il n'y en a qu'aux toilettes et donc en entrecoups. Si je me lève à nouveau plus souvent aussi tôt qu'aujourd'hui, j'aurai enfin fini ce livre bientôt.
Ces deux tôt ne me paraissent pas si proches et ne me dérangent pas.
Je sens ma machine à penser tourner au quart de tour comme en journée, comme au coucher, mais c'est moi qui n'en suis pas le fil, moi, j'ai les yeux mi-clos, je ne sens pas mon corps, je suis hors du temps, il n'est maintenant encore que six heures et le silence dort.
160124 Au sous-sol de l'ombre, endormi et chéri de loin le sommeil se demande mais rien ne réagit à rien, faire s'efface.
(D'après écriture automatique pour paroles, aujourd'hui. Je n'oserais pas la découper si je ne le copiais pas, alors même que je l'ai écrite pour ça...)
+ Bonjour est-ce que vous auriez de l'Armel en poudre? C'est pour reconstituer mon ami qui est mort...
170123 ce qui me semble être la forme la plus efficace pour la phrase la plus importante d'une chanson, d'une musique : un appel : des notes comme un ouhou! lancé d'une fenêtre vers le trottoir ; encore mieux, trois notes : un OHÉ solennel d'une montagne à l'autre et donc dont le O est en mouvement, de grave à aigu.
+ Que tu sois en cendres, ça ne colle pas pour le moment. Surtout que tes lettres sont très très bien conservées.
180124 Qu'Armel soit aujourd'hui poussière, ça m'impressionne dans le sens où je ne le comprends pas. Il n'a plus de visage, plus de corps, ces vues que je connais bien, que j'ai même là sous les yeux, cette consistance animée, tout ça est dans le vent et dans les vagues, désormais, grains encore en train de se séparer au gré des marées. Même si j'y allais maintenant et que j'en trouvais un amas, je ne pourrais pas y voir ne serait-ce que la forme de l'un de ses yeux rieurs. Et si en rêve je prenais toutes les mini-miettes de papier brûlé qu'il est devenu, je ne pourrais, au mieux, qu'en faire une poupée en tassant les éléments et en leur donnant la forme souhaitée, exactement comme avec les pelotes de laine du placard, quand j'étais petit, qui au moins s'accrochaient un peu entre elles grâce aux mini-cheveux de leur laine. Je croyais que c'était comme ça qu'on "cousait". Mais la forme tombait sur elle-même, corps inerte, et se délitait, parce qu'il lui manquait une unité. Je la gardais telle quelle, tant que ma mère ne la rangeait pas.
+ İf what you're doing is not your life, please don't do it. (sadhguru)
190124 La trilogie de Renaud Lambert :
1. La synagogue au loin
2. Tu gênes, Jacqueline
3. De canton en canton
+ Gérer deux-trois guerres
+ Voir l'eau
200124 Go gilt-trip your mother
220124 Elles ouvrirent les cages et tous les rois s'enfuirent, certains avec les clés entre les dents.
+ Je relis Kafka sur le rivage, j'en suis au passage où le titre apparait pour la première fois et j'ai un peu pleuré comme toi, franchement et avec le souffle court, ce qui m'a rappelé que je t'ai offert ce livre. Il est beau, tu verras.
+ Renaud Lambert fait des doudous liste bourré.
+ Crémation: si le gars est une ordure, on parle d'incinération.
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Un soir, en sortant du cinéma (je sais pas si c'était juste ce cinéma ou si c'était comme ça en ex-RDA, de façon générale), j'ai discuté du film avec d'autres gens qui étaient là. Je ne sais plus qui a abordé qui, mais on considérait qu'aller voir le même film faisait de nous des gens qui avions de quoi échanger ensemble. Et c'était sans doute vrai.
Oui, parce qu'il y a eu une période, pendant mes études et même un peu après, où je pouvais aller regarder un film en Allemand. Je comprenais, et tout. Aujourd'hui, même sous-titré, je peux plus.
Et sur les marches du cinéma, un couple m'a invité à prendre un verre. La femme était cool. Le gars distant mais ça allait. Par contre, leur coloc était délire, limite flippant. Il avait pris de la drogue, je crois. Mais tout le monde se comportait normalement, comme si il était comme ça tout le temps. Comme si le bizarre était normal. Comme si c'était un enfant, en fait.
Il disait qu'il fallait pas faire attention aux murs car ils ont une quinzaine d'années maintenant, et ils commencent à avoir du duvet, c'est naturel. Pour nous rassurer, il disait qu'il allait les raser le lendemain matin. Et tout le monde était là genre ok, c'est une info banale. Ni à entrer dans son délire, ni à s'en inquiéter. Normal.
On a mangé des penne sauce tomate, ce soir là. Et la cuisson était nickel. J'ai rapé des zestes de citron. Je pensais que c'était juste pour me faire me sentir utile, par politesse. Mais après, j'ai capté que c'était vraiment meilleur avec ça.
Je me souviens avoir regardé l'appartement, les visages des gens, le plat sur la table, le renfoncement pour les fenêtres (particulièrement large, car les murs sont épais en ex-RDA) et je me suis dit "je suis là, je fais partie de ce tableau". Je sortais juste pour voir la séance de 16h50 et je suis là.
Et on s'est vraiment écouté.es, ce soir-là, je crois. J'ai eu cette impression. Je suis reparti avec le sentiment de m'être enrichi d'autres vies, et d'avoir donné un peu de la mienne. J'aime bien cette sensation, surtout quand je marche dans la ville la nuit avec. Surtout quand il fait froid. Surtout quand je suis seul. Surtout quand je fume (je fumais à l'époque, et seulement seul). Je mettais pas de mots comme ça, mais avec le recul, j'ai l'impression que ça circulait : je donne, je reçois, genre veines, artères, je traverse la route et hop je monte dans le S-Bahn.
Et maintenant, à Paris, quand le film est fini, on pousse une porte coupe feu dans une petite rue cachée. C'est sinistre, on dirait qu'on sort honteusement d'un sex-shop. On émerge juste du film et direct hop on est passant.e, c'est nul.
Ça fait 26 ans que j'habite ici, maintenant, alors ça manque d'exotisme. J'ai mes habitudes. J'ai mes ami.es, mes collègues, mes connaissances, mes cinémas. Je rencontre rarement de nouvelles personnes, alors quand je suis dans un appartement, je me dis pas que c'est fou. Non, je l'avais prévu, je l'ai noté dans mon agenda "Pascaline jeudi 19h", j'ai pris la ligne 6, j'ai fait le digicode, c'est pas une surprise de la vie, on pourrait pas dire ça, non.
Depuis que j'ai ma maladie, je sens que mes ami.es prennent une distance. J'en parle, et les gens écoutent pour dire qu'iels écoutent. C'est une écoute-performance : "je dois être un.e bon.ne pote, donc j'écoute". Mais je leur en veux pas, je fais pareil quand ça parle tarot, horoscope et lithothérapie (sociologie, mycologie, mythologie et théologie aussi, d'ailleurs - c'est à se demander ce qui m'intéresse dans les librairies, actuellement).
Je sens qu'il y a ce silence de qualité. Pour laisser la place à mes ressentis. Mais il y a aussi cette mise à distance. Ce "il me raconte son problème, et ça n'est pas moi". Le niveau juste en-dessous, ce serait pour moi de raconter ma vie dans le métro à des gens qui voudraient seulement scroller tranquillement et pas se sentir trop coupables.
C'est pas que c'était mieux avant, non. Y a eu des moments malheureux aussi à Leipzig. Mais disons que j'ai raté un truc pour que ce soit mieux maintenant.
Ce qui me manque est relié à l'absence de vie quotidienne. C'était parce qu'il n'y avait pas de trame que je vivais des trucs cools. Je faisais rarement des courses pour la semaine, là-bas. Je devrais essayer de vivre à Paris comme si je n'y vivais pas.
Une vie de vagabondage, ce qui me permettrait aussi d'avoir cette expérience : raconter ma vie dans le métro. Peut-être qu'une foule d'oreilles peu attentives remplacerait efficacement une paire d'oreilles attentives.
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19/05, étape 45 (déjà !) Villar de Mazarife - Astorga.
Ce matin le petit déj était près à 6h00 , mis à disposition pour que l'on puisse se servir et partir dans la foulée. Pas bien dormi cette nuit et ce matin dur pour faire les premiers 12km jusqu'à Puente de Orbigo ou JP et moi allons prendre un sacré bon re-petit déjeuner. Là on tient facilement jusqu'à Astorga.
Les chemins sont plus jolis et plus vallonnés, avec un vent frais et des températures toujours aussi basses.
Nous rencontrons un Parisien qui fait le camino 3 semaines par 3 semaines, il vient juste de partir de Léon.
Astorga et sa belle Cathédrale (visite dans un premier temps en 3D, surprenant et très ludique), ses églises, son Carillon et son Palacio épiscopal (par Gaudi), ma première impression quand j'ai vu ce bâtiment : on dirait Disney. Visite toute l'après-midi dans cette belle ville, à ne pas rater . Il est 19h30 lorsque je commence mon rapport journalier avant d'aller dîner et ensuite dormir pour être en forme l'étape de demain.
Journée mitigée sur le plan physique, malgré le petit déj assez complet, il a fallu en remettre une couche à 10h00 pour être bien, mais pas de folies, on a assuré un train un peu moins élevé que les jours précédents (même si mon corps était prêt à aller plus vite) , oui quand j'ai l'énergie, je déplacerai des montagnes mais il faut rester raisonnable.
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Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
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2023年09月09月 Bilan de la Game Week
On dirait qu'il s'est passé des choses étranges sur Tumblr en mon absence...
Je n'ai pas oublié mon blog, j'attendais d'avoir terminé de travailler sur le jeu que les 8 autres membres de l'équipe et moi-même avons réalisé en seulement 4 jours. C'est l'heure du bilan!
J'étais à la fois excité et anxieux de devoir travailler sur un jeu aussi vite avec d'autres étudiants que je ne connaissais pas pour démarrer l'année ! Cela dit, c'était la première fois depuis le One Button Game en première année où je sentais que le nombre important de contraintes amèneraient des choses intéressantes.
Lundi matin, nous avions une heure pour trouver un concept ! Comme nous pouvions le proposer à deux, j'ai décidé de travailler avec un bon ami qui n'était pas très emballé par la Game Week quand je l'ai croisé à la pré-rentrée. Au moins comme ça, le projet pouvait commencer un peu plus en douceur pour lui. Nous avions ensuite besoin de présenter le concept à l'ensemble des étudiants dans une grande salle afin de recruter les membres de notre équipe.
Nous avons eu beaucoup de chance, car un programmeur ayant travaillé avec mon ami l'année dernière a décidé de se mettre avec nous et nous a ramené du monde ! Comme je l'ai expliqué dans mon post précédent la semaine dernière, il s'agit du premier projet où tous les corps de métier sont mis à disposition, c'était la première fois que j'ai pu réellement travailler avec des artistes!
Le thème étant "Un Pour Tous & Tous Pour Un", nous avons imaginé un jeu basé sur la communication où un joueur impacte les décisions d'un groupe, et vice-versa. Le jeu possède des similarités avec un autre jeu nommé Tricky Tower, je vais donc mettre une illustration pour donner une idée.
L'idée: construire la tour la plus haute dans le temps imparti. Le joueur en haut de la tour construit des pièces puis les envoie, tandis que les joueurs en bas doivent déplacer la tour tout en maintenant son équilibre afin de faire tomber les pièces correctement dessus. Simple mais efficace!
Comme nous n'avions qu'une heure pour trouver le concept, nous avons dû continuer à réfléchir à la conception des mécaniques de jeu jusqu'à mercredi, ce qui n'est pas évident car les autres corps de métier doivent se mettre au travail en même temps que nous, là où normalement la conception du jeu est toujours faite en grande partie à l'avance et où le temps permet de changer un peu de cap si besoin. Ainsi, il a fallu rendre la production efficace et la plus aisée possible pour qu'il y ait le moins de doutes et de complications possibles. Malgré cela, tout ne s'est pas passé comme prévu, mais ça fait partie du jeu et il faut toujours s'adapter !
Pour une fois, je n'ai pas fait les musiques du jeu car nous avions un Music & Sound Designer! Il y a tout de même une exception, j'ai fait un son de vague pour l'écran de transition entre les menus... J'ai même fait des dessins pour le tutoriel du jeu dont je vous laisse juger la qualité !
Ils ont l'air d'être dessinés à la craie, comme si c'était sur un tableau d'école primaire...
Avec ça, nous avons terminé de travailler avec Crab Up, mon premier réel projet fait en un temps aussi court. J'ai pris beaucoup de plaisir à connaitre les membres de l'équipe, à ramener des jeux et des sirops monin, en espérant pouvoir continuer à créer des choses ensembles à l'avenir. Sur ce, je vous laisse avec une vidéo du résultat que nous avons obtenu avec ces 4 jours malgré ce qui n'a pas pu être implémenté, et je vous dis à la prochaine ! (Et pas dans une semaine)
youtube
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Je cherche les endroits où ta robe est allée,
Où flotte un souvenir de ta jupe envolée,
Où je retrouve encor dans l’air je ne sais quoi
Qui me fait palpiter le coeur, et qui fut toi.
Là, les yeux au plafond, pendant que mon cigare
Exhale un lent nuage azuré qui s’égare
Comme dans un brouillard matinal, je revois
Ton sourire, ton beau sourire d’autrefois.
Le passé me remonte à l’âme... et comme un pâtre
Qui rêve solitaire au fond du soir bleuâtre
Je regarde immobile en mon recueillement,
Je regarde là-bas sur mon coeur doucement,
Plus suave, on dirait, dans les ombres accrues,
Tourner le choeur léger des choses disparues.
Ton souvenir est comme un coffret de reliques
Où dorment des joyaux d’amour mélancoliques
Et que j’ouvre à genoux pour voir comme un trésor
Tout mon passé dans l’ombre étinceler encor !
Comme un écho profond l’amour en moi persiste.
Le reproche est bavard ; la rancune égoïste.
Je ne te dirai rien, sinon que je suis triste...
Telle une fleur qu’on coupe et qui douce à souffrir
Ne sait rien qu’exhaler ses parfums et mourir.
Albert SAMAIN
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27 février
m. est rentrée de louvain, elle m’a raconté qu’elle avait touché la main de son dj préféré et elle m’a montré ses bleus monstrueux d’avoir dansé accrochée à la grille toute la nuit mais elle sentait rien parce qu’elle était sous mdma et maintenant qu’elle est là, même si on en parle pas, je sens l’humiliation plus fort, la honte d’avoir pu un instant imaginer que laura a. était en train de flirter avec moi. en fait c’était ça le pire samedi soir, devoir avouer à m. que je m’étais fourrée le doigt dans l’oeil bien au-delà du coude. la honte.
béa nous a envoyé la vidéo de la perf et je suis absolument horrifiée par ma posture. on dirait christophe willem. je suis une tortue. je comprends le “côté geeky” maintenant. c’est pas que mes lunettes. j’oublie tout le temps que je me tiens pas droite. je sais pas ce que je dois faire pour y penser. pour me redresser. parfois je me demande si j’ai le dos voûté parce que je suis pas assez aimée. parce que j’ai pas assez de nourriture ni de chaleur, parce que j’ai faim et j’ai froid et que je m’affaisse sur moi-même comme un volcan en fin de vie. je vais vers le sol au lieu d’aller vers le ciel, je suis géotropique comme les racines, attirée par le dessous, le royaume du sous-sol, le royaume des morts. la mort encore. c’est mon centre de gravité, elle fait partie de moi.
28 février
dernier jour de février et ça continue d’être aussi bien que le mois de janvier , malgré mes amour solitaires pour des danseuses hétéros, ça reste bien, ça me laisse un bon goût dans la bouche, j’adore mes petites histoires pathétiques. c’est mes trésors. en promenant loki ce matin je pensais à permafrost d’eva baltasar, à la narratrice qui enchaîne les filles et le sexe qui pourrait être mon alter ego dans une réalité alternative où j’aurais pas eu le même passé, et j’imaginais ce qu’aurait fait cette alter ego à ma place dans le studio de danse avec laura. elle aurait dit sure i want a beer et elle aurait usé de tous ses charmes pour essayer de la séduire. est-ce que je peux devenir cette personne? je veux pas devenir la narratrice de permafrost parce qu’elle est suicidaire et que son coeur est gelé, mais est-ce que je peux devenir un peu moins voûtée et un peu plus entreprenante? un peu moins molle et dégoulinante et un peu plus fière et ambitieuse?
1er mars
je crois que je suis prête pour le sexe. tout à l’heure j’ai pas senti la mort dans ma bouche comme d’habitude quand je m’imagine que ça pourrait m’arriver. ou à défaut de la mort, une angoisse profonde et si, un peu morbide quand même. peut être que ma fiction avec laura a. m’aura au moins apporté ça. parce que samedi dans la salle de bain de m., même si je savais pas trop à quoi m’attendre, une toute petite partie de moi s’attendait à du sexe. et puis l’autre partie de moi, la raisonnable, me répétait it’s not gonna happen à voix haute, pour me faire redescendre de mon volcan. it’s not gonna haaappen. and it didn’t. mais en me regardant dans la glace, nue, puis en culotte, puis en culotte et soutien-gorge, avec mes cheveux relevés en chignon, je crois que j’étais prête. peut être que rien que ça, d’avoir fait l’expérience de ce moment, même si c’était de la fiction, a fait basculer quelque chose, et que l’énergie que je dégage maintenant est plus ouverte, plus favorable à ce que quelque chose se passe, etc.
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