#obscur échange

[flo-nelja]

Obscur-echange, session 19

Bonjour !

Cette année encore a lieu l’échange de fics et fanart sur les fandoms rares en français obscur-échange.

Si avec le filtre “français”, votre fandom a moins d’une page sur AO3 et sur ffnet, alors c’est bon ! Vous pouvez le nominer, vous pouvez en nominer un nombre illimité ! Tout fandom nominé deux fois sera retenu.

On peut y trouver des fandoms énormes en anglais qui n’ont jamais marché en français (Mob Psycho 100, Gideon the Ninth, The Old Guard), des fandoms francophones (Le Petit Prince, le Comte de Monte-Cristo, Gradalis), des fandoms tout neufs (Gloutons et dragons, The Summer Hikaru Died) ou des fandoms qui sont rares partout.

Pour nominer des fandoms, c'est là : https://obscur-echange.dreamwidth.org/262540.html

11 avril-25 avril : Nomination des fandoms ! Chacun fait une longue liste de ses fandoms rares préférés, tous les fandoms qui ont été cités deux fois sont retenus !

26 avril-9 mai : Fiches de participation ! C'est le moment des inscriptions, chaque inscrit.e fait une liste avec la liste de ses fandoms, personnages, ships, genres et thèmes préférés. Il faut être multifandom, car chaque fiche doit contenir au moins dix fandoms rares !

10 mai - 25 mai : Requêtes ! Chacun regarde les fiches des autres et envoie des prompts à quiconque peut écrire quelque chose qui l'intéresse

Juin-juillet-août : écriture / dessin ! ON envoie les oeuvres au fur et à mesure, elles sont postées anonymement.

1er septembre : Tout le monde devrait avoir reçu quelque chose ! On désanonyme et on reposte les oeuvres.

[maluron]

[andersssandrew]

Prompt "(dessin) Nimona : Blackheart/Goldenloin en cartes à jouer façon miroir, l’une noire l’autre blanche" pour Obscur échange

[golden20s]

[ THE CARUSO ] 🍸

Dans les rues obscures et animées du Chicago des années 20, The Caruso émerge comme un groupe enveloppé de mystère et de légende, inspiré par la férocité et l'élégance des familles mafieuses en leur Italie d'origine. Leur pouvoir se reflète dans le bruissement des billets et le murmure des secrets échangés sous les lampadaires vacillants.

Maîtres de la contrebande d'alcool, ils déjouent la Prohibition en orchestrant un ballet clandestin de bouteilles et de fûts, glissant dans la nuit comme des ombres insaisissables.

Leurs bootleggers, silhouettes discrètes, traversent la ville avec une audace silencieuse, transformant chaque livraison en un acte de défiance contre les lois sèches de l'époque.

Leur influence s'étend bien au-delà de l'alcool. The Caruso imposent leur règne par le biais du racket, offrant une "protection" en échange de tributs, transformant la menace en une monnaie d'échange. Les commerçants tremblent sous leur emprise, les murmures de respect et de crainte se mêlant aux échos des rues pavées.

Guidés par un code d'honneur ancien et une soif insatiable de contrôle, The Caruso tissent leur toile dans les ombres, où l'opulence des soirées clandestines et la mélancolie des ballades siciliennes se rencontrent. Dans chaque ruelle, leur nom est chuchoté avec respect et crainte, symbole d'une autorité silencieuse mais implacable.

[aurevoirmonty]

Les [civilisations modernes] donnent le vertige par leur fièvre de mouvement et de conquête de l'espace, génératrice d'un arsenal inépuisable de moyens mécaniques capables de réduire toutes les distances, de raccourcir tout intervalle, de contenir dans une sensation d'ubiquité tout ce qui est épars dans la multitude des lieux. Orgasme d'un désir de possession ; angoisse obscure devant tout ce qui est détaché, isolé, profond ou lointain ; impulsion à l'expansion, à la circulation, à l'association, désir de se retrouver en tous lieux - mais jamais en soi-même. La science et la technique, favorisées par cette impulsion existentielle irrationnelle, la renforcent à leur tour, la nourrissent, l'exaspèrent : échanges, communications, vitesses par delà le mur du son, radio, télévision, standardisation, cosmopolitisme, internationalisme, production illimitée, esprit américain, esprit « moderne ». Rapidement le réseau s'étend, se renforce, se perfectionne. L'espace terrestre n'offre pratiquement plus de mystères. Les voies du sol, de l'eau, de l'éther sont ouvertes. Le regard humain a sondé les cieux les plus éloignés, l'infiniment grand et l'infiniment petit. On ne parle déjà plus d'autres terres, mais d'autres planètes. Sur notre ordre, l'action se produit, foudroyante, où nous voulons. Tumulte confus de mille voix qui se fondent peu à peu dans un rythme uniforme, atonal, impersonnel. Ce sont les derniers effets de ce qu'on a appelé la vocation « faustienne » de l'Occident, laquelle n'échappe pas au mythe révolutionnaire sous ses différents aspects, y compris l'aspect technocratique formulé dans le cadre d'un messianisme dégradé. A l'inverse, les civilisations traditionnelles donnent le vertige par leur stabilité, leur identité, leur fermeté intangible et immuable au milieu du courant du temps et de l'histoire : si bien qu'elles furent capables d'exprimer jusqu'en des formes sensibles et tangibles comme un symbole de l'éternité. Elles furent des files, des éclairs dans le temps ; en elles agirent des forces qui consumaient le temps et l'histoire. De par ce caractère qui leur est propre, il est inexact de dire qu'elles « furent » - on devrait dire, plus justement et plus simplement, qu'elles sont. Si elles semblent reculer et s'évanouir dans les lointains d'un passé qui a même parfois des traits mythiques, cela n'est que l'effet du mirage auquel succombe nécessairement celui qui est transporté par un courant irrésistible l'éloigne toujours plus des lieux de la stabilité spirituelle. Du reste, cette image correspond exactement à l'image de la « double perspective » donnée par un vieil enseignement traditionnel : les « terres immobiles » fuient et se meuvent pour celui qui est entraîné par les eaux, les eaux remuent et fuient pour celui qui est fermement ancré dans les « terres immobiles ». Il faut enfin rappeler quelle fut, dans les civilisations traditionnelles, la conception du temps : non pas une conception linéaire, irréversible, mais une conception cyclique, à périodes. D'un ensemble de coutumes, de rites et d'institutions propres soit aux civilisations supérieures, soit aux traces de celles-ci chez certains peuples dits « primitifs », apparaît l'intention constante de ramener le temps aux origines (d'où le cycle), dans le sens d'une destruction de ce qui, en lui, est simple devenir, de le freiner, de lui faire exprimer ou refléter des structures supra-historiques, sacrées ou métaphysiques, souvent liées au mythe. De la sorte, et non comme « histoire », le temps - tel une « image mobile de l'éternité » - acquit valeur et sens. Retourner aux origines voulait dire se rénover, boire à la source de l'éternelle jeunesse, confirmer la stabilité spirituelle, contre la temporalité. Les grands cycles de la nature suggéraient cette attitude. La « conscience historique » , inséparable de la situation des civilisations « modernes », ne scelle que la fracture, la chute de l'homme dans la temporalité. Mais elle est présentée comme une conquête de l'homme actuel, c'est-à-dire de l'homme crépusculaire.

Julius Evola, L'Arc et la Massue

[nebuleuseurbaine]

Nébuleuse urbaine

28/05/2023 - Ouverture du forum

https://nebuleuseurbaine.forumactif.com/

Dans les rues sombres d'une nuit sans lune, la silhouette solitaire s'avançait avec précaution dans les dédales tortueux de la ville. Les ruelles étroites étaient enveloppées d'une aura mystérieuse, leur obscurité épaisse semblait absorber la lumière, les lampadaires vacillants projetaient des éclats de lueur vacillante créant des ombres dansantes et inquiétantes sur les murs délabrés. L'atmosphère était lourde, teintée de secrets inavouables et de promesses trahies. Le noctambule qui s'y aventurait ressentait le poids des HISTOIRES SOMBRES qui s'étaient tissées dans ces lieux maudits. Les murmures étouffés des passants nocturnes, dissimulés par des capuches et des visages masqués, se mêlaient aux bruits des pas hâtifs et furtifs. Des néons défectueux clignotaient au-dessus des enseignes des bars et des clubs clandestins. Les échos de la musique étouffée et des rires forcés filtraient à travers les fenêtres crasseuses. Des regards méfiants et des échanges de mots à voix basse se faisaient entendre dans les coins obscurs, où les AFFAIRES ILLICITES prospéraient dans l'ombre. Chaque coin de rue offrait une mise en scène macabre d'une ville à la dérive, où la morale avait depuis longtemps perdu son emprise. Des tags obscènes recouvraient les murs décrépits, dépeignant une réalité brutale et désespérée. Les vapeurs de l'alcool bon marché et des substances illicites flottaient dans l'air, imprégnant les narines et enivrant l'esprit. Le noctambule se faufilait avec adresse, naviguant entre les protagonistes de cette danse nocturne, tissant une toile d'observations et d'informations précieuses. Dans ce royaume des ombres, où les alliances sont fragiles et les trahisons monnaie courante, il avançait avec une détermination sans faille. Dans son regard brûlait une lueur de justice, une volonté de dévoiler les vérités enfouies dans l'obscurité. Cette nuit-là, dans les rues sinistres et corrompues, le noctambule s'immergeait dans le langage sombre de la nuit, où les mots étaient murmurés avec prudence et les actions se jouaient dans l'ombre. Chaque pas le rapprochait de son objectif ultime: EXPOSER LES TÉNÈBRES qui avaient englouti cette ville maudite et permettre à la lumière de briller à nouveau.

[marinaetmoi]

Soutenez le regard.

Vous aurez besoin d'un partenaire pour cet exercice. Asseyez-vous sur des chaises face à face. Restez immobile. L'exercice durera idéalement une heure.

Je vais partager ici un peu de ma dernière rupture. Assis dans un café, pour nous rendre quelques affaires. Ca n'a pas duré une heure, mais ce regard que nous nous sommes échangé à un moment donné, lorsque toutes les choses furent dites platement, à la façon d'ingénieurs de la Nasa ou du nucléaire; ce regard, il brûle encore dans mon esprit. Ses pupilles fermées, ses yeux serrés. Je l'avais quitté si soudainement.

Le regard échangé après la rupture est lourd de mystères et d’émotions indéchiffrables. On s’y accroche, cherchant à comprendre ce qu’il exprime : tristesse, colère, regret ou peut-être désir. Chaque seconde passée dans cette intensité semble éternelle, tandis que l’air entre les deux devient froid et tendu, comme si ce silence contenait toutes les réponses qu’on ne saura jamais saisir. L’échange est à la fois glacé et brûlant, un dernier lien avant la rupture définitive.

Dans cette confrontation, la douleur est vive, presque palpable, mais les sentiments restent obscurs. Le regard devient un miroir où l’on ne peut lire clairement ni haine, ni tendresse, ni reproches. Pourtant, tout semble s'y mêler, en un dernier instant de vérité partagée mais incompréhensible. Ce silence visuel contient toute la noirceur et l’intensité du moment, comme si, à travers ce dernier échange, l’amour et la souffrance ne faisaient plus qu’un.

[feuilleobscure]

Bienvenue sur "Feuille Obscure" ! Je suis Tanjim Chowdhury, une artiste passionnée par la fusion culturelle, ayant exploré les Beaux-Arts au Bangladesh et en France. Ce blog est bien plus qu'un simple recueil de créations artistiques et artisanales. C'est un espace vibrant où l'art prend vie à travers des réflexions, des inspirations et des échanges enrichissants.

[gossipladysworld]

### Lady Crumple : Les Secrets d’une Enigme

Mes chers lecteurs et lectrices,

Alors que les rues pavées de notre chère Londres résonnent des rumeurs et des murmures, il est de mon devoir de vous rapporter les derniers potins qui agitent notre chère société. Et quelle rumeur plus juteuse que l'arrivée de Lady Crumple ? Un nom désormais sur toutes les lèvres, une présence énigmatique qui fait tourner les têtes et suscite des interrogations brûlantes.

C’est lors du dernier bal somptueux de la Duchesse de Somerset que Lady Crumple fit sa première apparition. Imaginez une silhouette élancée drapée de soie pourpre et de dentelle noire, un contraste saisissant avec ses cheveux de jais et ses yeux envoûtants. Chaque pas qu’elle faisait semblait envoûter la salle, chaque regard qu’elle lançait était une promesse de secrets bien gardés. Mais qui est-elle vraiment ?

Certaines âmes bien intentionnées prétendent qu’elle vient d’une lignée noble oubliée, réapparue pour réclamer un héritage perdu. D’autres, plus cyniques, murmurent qu’elle serait une aventurière aux intentions troubles, venue pour bouleverser notre cher Londres avec ses manières raffinées et son esprit acéré.

Lors de ce bal, c'est avec Lord Pembroke que Lady Crumple a été vue discutant longuement. Leur conversation semblait animée et pleine de sous-entendus, un jeu de regards et de mots qui laissait tous les observateurs en suspens. De quoi pouvaient-ils bien parler, me demanderez-vous ? Les rumeurs parlent de politique européenne, un sujet bien inhabituel pour une première rencontre dans le cadre d’un bal. Intriguant, n'est-ce pas ?

Mais ce n'est pas tout. Les jours suivants ont révélé que Lady Crumple n’était pas simplement une beauté mystérieuse. Son salon privé, rapidement devenu le centre névralgique des intrigues londoniennes, attire les esprits les plus brillants et les plus influents. Ses dîners sont des festins pour l’esprit et le palais, où l’on échange des idées et des confidences à demi-mots. On raconte que des secrets d'État y sont chuchotés et que des alliances se forment dans l'ombre.

Cependant, quelques esprits malveillants et suspicieux insinuent qu’elle pourrait être une espionne, au service de puissances étrangères, infiltrant nos cercles pour des raisons obscures. Ou pire encore, certains chuchotent qu'elle pourrait être liée aux récentes disparitions mystérieuses qui terrifient notre belle ville. Est-elle une simple mondaine en quête de divertissement ou une femme déterminée à accomplir une mission secrète ?

Une chose est certaine, chers lecteurs : Lady Crumple joue un jeu dangereux. Ses sourires charmeurs et ses manières impeccables cachent des intentions qui pourraient bien bouleverser notre société. Qui se cache derrière ce visage angélique et ce regard perçant ? Que cherche-t-elle vraiment à Londres ?

Les réponses à ces questions brûlantes ne manqueront pas de se dévoiler petit à petit. Continuez à suivre cette chronique pour découvrir les dessous fascinants de la vie de Lady Crumple, et peut-être, un jour, percer enfin les mystères qu’elle garde si jalousement.

En attendant, je vous laisse avec ces réflexions intrigantes, mes chers lecteurs. À la prochaine révélation scandaleuse !

XOXO,😘

Votre fidèle chroniqueur de l'ombre.

[iradiei]

17 janvier

“Mais, tu sais, comme le dit cet auteur…” A-t-on idée de lire des livres ? Qu’est-ce qu’un livre, sinon un torchon de bêtises qui ont été parcourues d’un œil distrait par quelqu'un sachant à peine lire au fin fond d’une maison d'édition ? Sommes-nous bêtes ? Évidemment, le livre est plus que cela, c’est aussi le ramassis de bouillonnement pseudo-intellectuel d’anciens étudiants névrosés. Et, malgré ces connaissances notoires, on continue à apprécier le livre, comme s’il constituait l'élément culturel par excellence - au mépris évident de l'opéra, de l’architecture, de la peinture et de la malbouffe - et qu’il fallait avoir des livres pour être quelqu'un d’intéressant ou digne de participer à une conversation intellectuelle. Voilà une opinion ridicule ! S’il peut être compliqué de faire participer n’importe quel manutentionnaire lambda à une conversation portant sur la forme de pouvoir idéale, agrémentée de références obscures à Platon ou Hobbes, ce n’est pas tant parce que l’auditeur n’a pas d’avis ou manque de culture philosophico branlatoire, mais plutôt parce que le sujet est chiant à mourir. D’ailleurs, si la situation est inversée, le tour devient vite plus amusant ; si vous ne l’avez pas encore fait, nous vous recommandons vivement de faire un déménagement avec des philosophes qui se demandent si un carton a conscience d'être vide ou plein.

Que retient-on de l’objet qu’est le livre ? Somme toute, assez peu de choses. Pourquoi en retenir quoi que ce soit, alors que les choses y ont été écrites justement pour ne pas avoir à les retenir ? Et voilà une belle contradiction de la civilisation, qui échange à l’oral des informations erronées qui trônent dans des livres qui n’ont pas été lus. Mais, remarquez cette édition, qui est du plus belle effet sur la nouvelle étagère en acajou de votre belle-tante pédante - qui écrit “Baudelaire” avec deux “l” et qui est certaine que Victor Hugo n’est qu’une station de métro -, toute émoustillée d’avoir pu “chiner”, comme disent ces gens-là, un essai de Pascal - qui n'était pas son prénom, vous explique-t-elle en riant, comme le lui a dit un vendeur sans nom et sans visage d'un marché aux livres de province, consterné par le manque de culture de sa pigeonne - et qui, par hasard, fait la même taille que les autres livres intacts qui embellissent le meuble verni. N’est-ce pas fabuleux, la beauté d’un livre ?

Et alors que vous ne trouvez pas un livre à la bonne taille pour compléter cette étagère, qu’importe son contenu, nous giclons autant d'étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.

[djaboo-app]

La facture proforma est un document commercial qui peut sembler obscur pour ceux qui ne sont pas familiarisés avec les pratiques B2B. Pourtant, elle est essentielle pour toutes les entreprises qui souhaitent mener des échanges commerciaux de manière fluide et efficace. Chez Djaboo, nous pouvons vous aider à comprendre les enjeux autour de la facture proforma et à créer ce document dans les règles de l'art. Qu'est-ce qu'une facture proforma ? La facture proforma est un document commercial qui précède la facture définitive. Contrairement à cette dernière, la facture proforma n'est pas payable, n'a aucune valeur juridique ni fiscale et ne doit pas être comptabilisée dans la comptabilité de la société. Elle sert principalement à informer le client des détails de la transaction à venir, tels que le coût et la quantité de la marchandise ou du service fourni. Les situations dans lesquelles une facture proforma est utile Bien que la facture proforma ne soit pas un document ayant une valeur légale, elle peut être très utile pour certaines situations. Voici quelques exemples : Pour l'import/export : la facture proforma peut aider à déterminer la valeur des biens envoyés, tels que des objets d'art ou des véhicules, et peut servir de justificatif pour les douanes en cas d'envoi de biens à l'étranger. Pour contracter un crédit : certaines banques acceptent une facture proforma comme un justificatif valable pour l'obtention d'un prêt. Pour se protéger des impayés : si vous avez des doutes sur la solvabilité d'un client, l'envoi d'une facture proforma peut vous aider à négocier un escompte. Pour faciliter la relation commerciale : la facture proforma peut être un bon moyen de communication avec vos partenaires BtoB et peut aider à entamer des négociations commerciales. Pour justifier une dépense ou un investissement. Comment faire une facture proforma ? Bien que le document ne soit pas comptabilisé, la facture proforma doit respecter certaines règles de mise en forme. Il est important de mentionner sur la facture proforma "Facture Proforma" dans l'en-tête afin de ne pas confondre ce type de document avec une facture définitive. Les informations relatives à votre société et à l'autre partie concernée doivent également être mentionnées, ainsi que la référence de la commande si elle est applicable. Le descriptif précis des services ou des biens vendus doit être clairement mentionné, ainsi que le montant total TTC et les conditions de paiement. Chez Djaboo, nous recommandons l'utilisation de Djaboo pour créer une facture proforma efficacement et en toute simplicité. Grâce à notre suite CRM puissante et intuitive, la création de factures proforma devient rapide et facile. Les mentions requises sont ajoutées automatiquement, ce qui vous permet de gagner énormément de temps, et de consacrer votre énergie à la négociation commerciale. Conclusion Chez Djaboo, nous sommes convaincus que la facture proforma est un outil essentiel pour toute entreprise qui souhaite mener des échanges commerciaux de manière fluide et efficace. Grâce à notre expérience et notre expertise dans ce domaine, nous pouvons vous aider à comprendre les enjeux de la facture proforma et à créer ce document dans les règles de l'art. Contactez-nous dès maintenant pour en savoir plus sur nos services et pour obtenir de l'aide pour la création de votre facture proforma.

[flo-nelja]

Obscur échange 2023

Bonjour !

Cette année encore a lieu l’échange de fics et fanart sur les fandoms rares en français obscur-échange.

Si avec le filtre “français”, votre fandom a moins d’une page sur AO3 et sur ffnet, alors c’est bon ! Vous pouvez le nominer, vous pouvez en nominer un nombre illimité ! Tout fandom nominé deux fois sera retenu.

On peut y trouver des fandoms énormes en anglais qui n’ont jamais marché en français (Sense8, Gideon the Ninth, The Old Guard), des fandoms francophones (Tintin, le Comte de Monte-Cristo, Gradalis), ou des fandoms qui sont rares partout.

[lifextime]

DDLC : Dépendance ou Liberté (partie 4)

Et nous voici (enfin) à la dernière partie de cette longue affaire de “cold case” consacré à Doki Doki Literature Club (DDLC).  Bien que nous ayons traité des deux premiers cas où le jeu aurait joué un rôle indirectement, sur le décès et un article ou on a pu constater la vision des internautes et quelques secrets du jeu. Dans cette partie nous allons enfin connaître la conclusion, mais avant ça, il y a un autre mystère à résoudre.

I/ Mystic Messenger : La pièce manquante !

Lors du même article, Le père de Ben à affirmer que son fils recevait des textos des personnages du jeu. / Les screens sont disponible dans l'article de The Sun /

***

Première hypothèse : DDLC, à l’époque, était disponible sur mobile et donc il y avait la possibilité de recevoir des notifications. Hors,  dans les paramètres du jeu il était impossible d’avoir cette feature. Donc est-ce que Ben jouait à une version moddé ? (non, aucun mode n’est disponible)

Deuxième hypothèse : Est si Doki Doki Literature Club n'était pas le jeu mentionné. (correct !)

***

En effet, à la lecture des screens les joueurs ont remarqué que les message venait d’un autre jeu, un jeu nommée “Mystic Messenger”, pour résumé le jeu … Le joueur joue le rôle d’une jeune femme qui date avec des hommes plus âgée. Bref un visual novel tout mignon….

Sauf que (j’ai testé le jeu, avec des manipulations obscures), le jeu se permets de vous bombarder de message jusqu’à très très tard dans la nuit (j’ai reçu une cinquantaine de notifications), et sur l’article il est mentionné une trentaine de messages. Ce qui est vraiment perturbant, vous allez vite comprendre pourquoi.

Le jeu comme DDLC ne demande pas votre âge, déjà premier red flag. La plupart des interactions se passent la nuit. Le jeu demande également à vous localiser et c’est LA feature problématique, second red flag. 

L’histoire commence quand le personnage principal partage un appartement avec un colocataire plus âgé. Après quelques échanges amicaux, l’ambiance pastel devient rapidement malaisante. Les messages se font de plus en plus nombreux, le téléphone se met à sonner (4:59 grr) pour laisser une musique malaisante au bout de fil pendant 25 secondes. En fait à ce moment-là on apprend via un texto, que notre “colocataire” à hacké votre téléphone in-game (serait-il plus diabolique que Monika ??).

A partir de ce moment-là, nous voyons le véritable visage de notre colocataire qui est un tordu, et qui possède un syndrome d’��rotomanie possessif sur notre personnage. Et les messages se font de plus en dur à lire et violent, jusqu'à décrire la façon il viendrait nous tuer.

Le jeu à subit également une "refonte" pour limiter les scènes "violente", mais il reste en prévenance 17+. Car cette refonte supprime le personnage de Ruby, mais pas celle de Saeran.

A ce stade là nous connaissons tous les circonstances du décès de Ben, et bien figurez vous que les derniers messages reçus sont ceux de Ruby / Saeran. 

II/ DDLC : le jeu controversé 

Le journal “The Sun” à contacter le directeur de la NSPCC Associate Head of Child Safety Online, Andy Burrows ( maintenant il s’agit de Kate Edwards ). Celui-ci après avoir lu les rapports sur Doki Doki Literature Club en est venue à ces conclusions suivantes.

« Les créateurs du jeu Doki Doki avertissent que le jeu ne convient pas aux enfants et à ceux qui sont facilement dérangés. Les parents doivent être conscients que le jeu contient des thèmes très sensibles et adultes, tels que le suicide.

« Il est important pour les parents d’avoir des conversations régulières avec les enfants au sujet de leur vie en ligne, qui sont aussi normales que de poser des questions sur leur journée à l’école.

« Les parents devraient parler aux enfants de ce qu’ils font en ligne, explorer des sites et des applications ensemble, convenir de limites et gérer les paramètres de sécurité et de confidentialité.

« Les adultes qui cherchent des conseils sur la sécurité en ligne peuvent appeler notre NSPCC et notre ligne d’assistance en ligne sur la sécurité O2, ou les jeunes peuvent toujours contacter Childline pour toute préoccupation ou préoccupation. »

Suite à ce torrent d'articles, et de mauvaises presses, le jeu devient très controversé dans le milieu du gaming. Grâce à cela les gamers sont devenu plus attentif avec les PEGI, cependant il y a plusieurs fractures dans la communauté du gaming. 

Pendant ce temps, des gamers ayant un état psychologique fragile se lancent des challenges dans le jeu jusqu'au craquage total. On assiste à plusieurs déviance et à une montée de cas ou les jeunes auraient tenté de se suicider.

Tandis que d'autres vont faire de la prévention dans les magasins de jeu vidéo, demande à ce que le jeu soit retiré des rayons. L’une d’entre elle a même insisté 👍

"Vous êtes conscient que des gens se sont suicidés à cause de ce jeu, n’est-ce pas? Ou n’êtes-vous pas dérangé?"

De nombreuses mobilisations sont faites afin que le jeu soit retiré des rayons et des applications. L’équivalent du Play Store accepte de retirer et de supprimer le jeu, petite victoire, mais STEAM lui refuse de se plier et retire temporairement le jeu, jusqu’à la sortie d’un patch corrigeant certains dialogues et scènes problématiques.

Dans les commentaires, on peut relever que cette mise à jour est toujours oppressantes, en effet un utilisateur à déclarer : 

"La configuration était trop réaliste pour moi et j’ai dû interrompre le jeu et aller fumer parce que mes mains tremblaient littéralement."

Tandis qu’un autre affirme : 

"Je ne peux pas attendre que les parents commencent à blâmer Doki Doki Literature Club et d’autres jeux pour le suicide de l’adolescent et ils ne remettront même pas en question leur propre parentalité."

Deux visions différentes qui reflètent bien la mentalité des joueurs en 2018. 

L’école de Ben a communiqué quelques semaine après les circonstances du décès connu : 

« Une préoccupation a récemment été portée à notre attention par le coroner principal de SM concernant l’utilisation par les jeunes du jeu en ligne Doki Doki, également connu sous le nom de Doki Doki Literature Club.

« Il s’agit d’un jeu d’horreur psychologique où le suicide est un élément principal. Une préoccupation a été exprimée que le jeu peut déclencher des pensées suicidaires chez les jeunes qui peuvent être émotionnellement vulnérables.

« Veuillez surveiller et vérifier régulièrement l’utilisation d’Internet par votre enfant et être conscient du temps passé. »

III/ En résumé 

On arrive à la fin de cette enquête, deux suicides (connus), qui ont un lien commun : DDLC. Pourtant dans les deux cas, le jeu n’a jamais été mis en évidence parmi les légistes. Le premier cas avait déjà quelques soucis mentaux et un jeu l’a conforté (Doki Doki ou Mystic Messenger ?) et dans le second cas, l'innocence à été corrompue par la peur et le mal être. 

Avec du recul OUI, le jeu aurait pu jouer un rôle (et je parle par expérience). Pourtant peut-on les blâmer ? NON, car les parents ont aussi un rôle à jouer à tout ça, il ne faut pas juger un jeu sur la cover mignonne, si il y a un PEGI c’est bien pour raison. Pourtant à l’époque les développeurs ont mis un PEGI13, et non jamais communiqué sur les cas alors qu’ils ont été pointé du doigts à de nombreuses reprises.

Concernant Mystic Messenger, je pourrais lui consacrer un article entier, car il y a tellement de choses à dire sur l’ancienne version. Car le jeu à été retravaillé en remaniant l’histoire afin d’avoir un visual novel tout mignon, et sans être bombardé par les notifications et les appels étranges. Mais sincèrement je pense que Mystic Messenger à eu un impact plus important que Doki Doki. 

En 2018, malgré la controverse, le jeu est nominé au SXSW Film Festival 2018 et remporte l’award.

Le jeu est devenu de plus en plus populaire, surtout avec la réécriture des personnages réalisé pour la version “+”. Cependant, ce jeu reste très controversé aux USA et parmi les amateurs de jeu de visual novel qui ne veulent pas en entendre parler. 

Sources : The Sun , SXSW award , Reddit Mystic messenger , Mystic Messenger App , Mod de Doki Doki

Voir aussi : Partie 1 | Partie 2 | Partie 3 | Partie 4

[andersssandrew]

Prompt "Art - Scum Villain's Self Saving System

Luo Binghe/Shen Qingqiu UA Victorien/Gothique, un bal où Luo Binghe impose une danse à Shen Qingqiu et lui chuchote un truc à l’oreille en mode scandaleux (genre il va épouser Shen Yuan et l’enfermait dans son manoir pour toujours pour le garder pour lui tout seul." pour Obscur échange

[starwarscomunauty]

Asajj Ventress naquit dans la sororité des Sorcières de Dathomir appelées les Sœurs de la Nuit qui utilisaient une forme de la Force comparable à de la magie. Sa mère était une des soeurs au moment où le couvent était dirigé par celle que l'on appelait mère Talzin. Alors qu'elle n'était qu'une petite fille, elle fut cédée en gage de paix au criminel Sinitien du nom de Hal’Sted qui l’emmena sur Rattatak où elle fut élevée. Il s'agissait d'un gage de paix entre leurs deux peuples. Elle s'attacha à Hal'Sted qui était généreux et gentil avec elle. Malheureusement, le Sinitien mourut lors d’une attaque menée par des pilleurs Weequays. Asajj allait se faire elle-même tuer mais se défendit en utilisant la Force. C'est ainsi que Ky Narec la découvrit. Ky était un Jedi en exil dont le vaisseau venait de se cracher non loin de là. Bien que n’appartenant plus à l’Ordre Jedi, il décida de prendre la jeune fille sous son aile et de l’entraîner comme sa Padawan.

Cela dura plusieurs années et ensemble, ils devinrent les héros du peuple sur Rattatak en mettant fin à la guerre et unifiant les armées. Mécontent, le Seigneur de Guerre Osika Kirske, ne l’entendait pas de cette oreille et projeta de les assassiner. La jeune Asajj survécut à l’attaque mais pas son Maître. Cette mort marqua tant la Dathomirienne qu’elle sombra vers le côté obscur, éblouie par la haine et la vengeance. Elle se tatoua alors le crâne d’une douzaine de marques représentant sa vengeance pour chacun des douze responsables de la mort de son Maître. Elle garda le sabre de Narec en souvenir de son apprentissage et de son respect pour son Maître, puis entretint et développa depuis lors une rage et une haine sans fin contre les Jedi, qu’elle jugea responsables d’avoir abandonné Narec. De plus, elle mena une guerre d'extermination sur Rattatak contre les pirates et finit par gouverner elle-même.

Elle attira alors l'attention du comte Dooku. Lui-même ancien Jedi et apprenti Sith de Dark Sidious, Dooku cherchait un élève qu'il pourrait entraîner et utiliser pour abattre Sidious. N'ayant plus rien à faire sur Rattatak, Asajj le suivit dans l'optique de continuer sa vengeance sur les Jedi. Elle rejoignit Dooku sur Serenno et lui promit son aide en échange d'un entrainement pour la rendre plus puissante. C'est à ce moment-là qu'elle choisit de se spécialiser dans la technique du combat à 2 lames. Quand le conflit entre les Séparatistes et la République débuta, elle obtint un rôle de commandement et la responsabilité de diverses missions. Durant ces années de guerre, sa brutalité envers les soldats clones lui fit une réputation qui bien souvent la précédait.

Au tout début de la guerre, elle se retrouva en face du maître Jedi Tholme sur lequel elle eut le dessus et qu'elle exécuta malgré les ordres de Dooku. Thorme était le maître de Quinlan Vos, ce qui aura des répercussions plus tard dans son histoire. Plus tard elle fut confrontée à de nombreuses reprises aux généraux Jedi Skywalker et Kenobi face auxquels elle fut contrainte bien souvent de se replier.

[echosmagiques]

Contexte du projet

Dans les profondeurs de la forêt enchantée, où les rayons du soleil filtrent à travers les frondaisons luxuriantes, un monde mystérieux et magique s'éveille. Les arbres majestueux se dressent comme des gardiens immuables, leurs branches entrelacées formant des arcs élégants au-dessus d'un sentier oublié. Les fleurs lumineuses éclosent dans une palette de couleurs éclatantes, et les chants des oiseaux se mêlent aux murmures des esprits de la nature. Parmi cette beauté enchanteresse, des dragons majestueux survolent les ruines antiques, leurs écailles brillantes reflétant la lumière magique qui les entoure. Ils incarnent à la fois la puissance et le mystère, ce sont les gardiens des secrets millénaires de Sylvaria.

Au cœur de la forêt, dans un village vibrant de magie et de compétences uniques, les peuples déploient leur talent d'enchanteurs. Leurs mains habiles donnent vie à des objets inanimés, insufflant la magie de Sylvaria dans chaque création. Les rues du village résonnent des murmures des artisans, qui partagent leurs connaissances millénaires et s'efforcent de préserver les traditions ancestrales de l'enchanteur. À proximité, les experts dans l'art de la chasse se préparent pour des expéditions audacieuses afin de traquer et éliminer les monstres qui menacent la paix.

Au cœur de cet équilibre entre l'artisanat enchanteur et la chasse des créatures magiques, la guilde du village attire une multitude de voyageurs venus des quatre coins de Sylvaria. Chaque nouvel arrivant doit faire un choix crucial : rejoindre la guilde des aventuriers, des mages ou des chasseurs. Chaque guilde offre des missions distinctes, reflétant les différents aspects de l'esprit de l'aventure. Les aventuriers cherchent à dévoiler les secrets des ruines antiques, à percer les énigmes magiques et à protéger la forêt contre les forces obscures qui cherchent à s'emparer de sa puissance mystique.

Dans ce monde enchanteur où les artisans et chasseurs unissent leurs compétences, certains des voyageurs embrassent le pouvoir caché dans les ombres. Guidés par la silhouette énigmatique qui veille sur les secrets oubliés, ils se lancent dans des quêtes épiques, résolvent des énigmes magiques et participent à la renaissance de cette cité jadis grandiose. Ils explorent les mystères des ruines, découvrent les pouvoirs curatifs de la fontaine sacrée et contribuent à préserver la magie de Sylvaria. Les paysages enchanteurs sont à la fois fascinants et dangereux, mais plus les aventuriers récoltent les fragments du passé, plus ils seront récompensés par des connaissances et des trésors magiques.

Vous pourrez croiser toutes sortes d’individus sur les terres de Sylvaria. Alors que les aventuriers explorent les mystères des ruines oubliées et se lancent dans des quêtes épiques, il est possible de croiser des marchands ambulants aux étals fascinants. Parmi eux, le mystérieux marchand rouge attire l'attention des plus audacieux. Dissimulé dans l'ombre, il propose de l'équipement illégal, des armes exotiques et des artefacts anciens imprégnés de pouvoirs mystiques. Les aventuriers qui osent s'approcher de lui peuvent espérer acquérir des objets uniques, capables de décupler leurs capacités et de leur conférer un avantage dans leur quête.

D'un autre côté, le marchand blanc, quant à lui, est une figure bienveillante et réputée du village enchanté. Son étal regorge d'améliorations pour le personnage, allant de l'artisanat aux potions d'expérience. Les aventuriers y trouveront des enchantements pour leurs armes, des armures renforcées, des accessoires magiques et des potions aux propriétés spéciales. Les échanges avec le marchand blanc sont empreints de sagesse et de conseils avisés, car il connaît les secrets de Sylvaria et peut aider les aventuriers à se préparer pour les défis à venir.

Ainsi, au détour d'un sentier enchanté ou près des ruines mystiques, les aventuriers auront l'occasion de rencontrer ces marchands ambulants, chacun offrant des opportunités uniques pour améliorer leurs compétences et renforcer leur arsenal. Que ce soit en s'aventurant du côté obscur avec le marchand rouge ou en cherchant des conseils avisés auprès du marchand blanc, les choix des aventuriers auront un impact sur leur aventure et façonneront leur destinée dans le monde magique de Sylvaria.