#objectifs de développement durable
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mafermette · 3 months ago
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Je vous invite à lire cet article sur la faune et les changements climatiques.
I invite you to read this article on wildlife and climate change.
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ti-jos · 1 year ago
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latribune · 4 days ago
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actu-juridique · 5 days ago
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Réduction des émissions de gaz à effet de serre : les ambitions de la COP départementale de l’Essonne
https://justifiable.fr/?p=848 https://justifiable.fr/?p=848 #ambitions #COP #départementale #des #effet #émissions #gaz #les #lEssonne #Réduction #serre teal sun/AdobeStock Face aux conséquences des crises climatiques et de la biodiversité qui ont des retombées très concrètes sur le territoire essonnien, le département se mobilise. Dans le cadre de la COP départementale d’Île-de-France, le département de l’Essonne a convié les acteurs locaux pour réfléchir ensemble aux moyens concrets afin de mettre en œuvre une vraie politique de transition écologique. La première COP départementale d’Île-de-France a eu lieu en juillet 2024 en Essonne. À la présidence de cette COP91, Alain Castanier, préfet délégué à l’égalité des chances de l’Essonne et Nicolas Méary, vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Plus de 150 acteurs du territoire, dont le rôle est essentiel pour réussir la transition écologique (collectivités, syndicats d’énergie, agences de l’État, énergéticiens, entreprises, associations… ) ont participé à la COP91. Le rôle stratégique du département dans la transition écologique « En tant que chef de file des politiques de solidarités humaines et territoriales, le département est un acteur légitime pour porter la transition écologique », a rappelé Nicolas Méary, lors du vote d’une nouvelle stratégie de transition écologique pour la période 2023-2030. Dans la continuité de l’action volontariste du département dans ce domaine, l’Essonne a opté pour une stratégie de transition écologique ambitieuse pour la prochaine décennie, le Plan Eco-Ambition 91, « pour aller plus vite et plus fort sur ces sujets ». Le défi est « gigantesque et les objectifs extrêmement ambitieux », conclut le vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Rappelons qu’en termes d’émissions de gaz à effet de serre, le territoire de l’Essonne génère plus de 5 800 ktCO2, soit des émissions de gaz à effet de serre de l’ordre de 4,5 t CO2 par habitant. La séquestration carbone est, quant à elle, de l’ordre de 9185 tCO2/an. Cela représente 15 % du bilan global du territoire d’après le Rapport Développement Durable 2023, publié par le département. Une feuille de route ambitieuse À l’horizon 2030, le département s’est fixé un certain nombre d’objectifs : • 40 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins par rapport à 1990, conformément à la stratégie nationale bas carbone • 40 % d’énergie consommée en moins au niveau du département par rapport à une année de référence entre 2010 et 2020 • Contribuer à emmener le territoire essonnien dans la stratégie des aires protégées pour atteindre les objectifs de la COP 15 de 30 % d’aires protégées • 50 % d’espaces consommés en moins en vue d’atteindre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050, conformément aux objectifs de la loi Climat et résilience. La stratégie de transition écologique se décline sur 6 axes : • la réduction de l’empreinte carbone de l’Essonne, • la préservation de la biodiversité du territoire, • l’adaptation des politiques publiques départementales, • l’exemplarité du département, • l’accompagnement des acteurs du territoire face au changement climatique, • la mobilisation des Essonniens. 15 actions-clés ont été identifiées parmi lesquelles une augmentation de 75 % des Espaces Naturels Sensibles (ENS) aménagés, la lutte contre les passoires énergétiques, un engagement massif pour la production d’énergie renouvelable, la sensibilisation des élèves essonniens aux enjeux du changement climatique et de la biodiversité, l’adoption d’un « budget vert » chaque année ou l’ouverture quatre sites de baignade dans la Seine et de quatre autres sites dans les autres cours d’eau du département. Un contexte d’urgence Le dernier rapport du GIEC est venu rappeler que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines réchauffent le climat à un rythme sans précédent. La température de la surface du globe terrestre a augmenté d’1,1 degré par rapport à la période préindustrielle. Quels que soient les scénarios retenus, pour le GIEC le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030. Limiter ce réchauffement à 1,5 °C et 2 °C n’est possible qu’en accélérant et en approfondissant dès maintenant la baisse des émissions afin de ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro et réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre. Le dernier rapport du GIEC souligne, en outre, l’augmentation des risques : vagues de chaleur, précipitations extrêmes, sécheresses, fonte de la cryosphère, changement du comportement de nombreuses espèces pour un même niveau de réchauffement par rapport à ses précédentes conclusions. Les risques climatiques et non climatiques vont s’aggraver et se multiplier, ce qui rendra leur gestion plus complexe et difficile. La convergence de plusieurs volontés Dans ce contexte d’urgence climatique, la COP 91 correspond tout à la fois à la nécessité de répondre aux exigences de l’État et la Région Île-de-France, et du calendrier fixé pour atteindre les objectifs sur lesquels la France s’est engagée : diminuer de 55 % les émissions de GES d’ici 2030 par rapport à 1990, en visant l’objectif de la neutralité carbone et à celles des principaux acteurs du département, maires, élus locaux, associations, entreprises, partenaires. Ces derniers disposent des leviers de la transition et sont nombreux à conduire des projets ambitieux sur le territoire essonnien et à avoir la volonté de changer les choses. Quels leviers pour l’amélioration énergétique des bâtiments, pour décarboner les mobilités ? Comment accélérer la production d’énergies renouvelables dans l’Essonne ? Quels leviers pour préserver la biodiversité et les ressources du département ? Autant de questions opérationnelles et concrètes pour le territoire essonniens auxquels les différents membres de la COP91 ont été invités à réfléchir. De juillet à octobre 2024, les débats se poursuivent pour recenser les nouvelles actions ou envisager de massifier les actions déjà entreprises. La feuille de route définitive est attendue prochainement.
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josemontoyablog · 6 days ago
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Qu'est-ce qui est considéré comme de la violence contre les femmes ?
La violence à l'égard des femmes et des filles reste le plus souvent passée sous silence en raison d'un système qui favorise l'impunité pour les auteurs, la stigmatisation sociale et la honte pour les victimes.
La violence à l'égard des femmes peut se manifester sous forme de violences physiques, sexuelles et psychologiques, telles que :
la violence d'un partenaire intime (coups, violences psychologiques, viol conjugal, féminicide) ;
la violence sexuelle et le harcèlement (viol, actes sexuels forcés, avances sexuelles non désirées, abus sexuels sur enfants, mariage forcé, harcèlement dans la rue, harcèlement criminel, cyber-harcèlement) ;
le trafic d'êtres humains (esclavage, exploitation sexuelle) ;
la mutilation génitale féminine ;
le mariage précoce.
La Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes, adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies en 1993, définit la violence à l'égard des femmes comme « tous actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée ».
Cette violence affecte les femmes à tous les stades de leur vie, y compris l'éducation, l'emploi et l'accès à différentes opportunités.
De plus, les femmes et les filles qui se trouvent dans des situations vulnérables ou des crises humanitaires, comme les migrants, les LGTBI, les populations autochtones ou les personnes handicapées, sont exposées à des risques encore plus importants.
La violence à l’égard des femmes continue d’être un obstacle à la réalisation de l’égalité, au développement, à la paix et à la réalisation des droits fondamentaux des femmes et des filles. Au total, la promesse des objectifs de développement durable (ODD) - ne laisser personne de côté - ne peut être remplie sans mettre fin à la violence à l'égard des femmes et des filles.
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arashderambarsh · 12 days ago
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« Nous avons mis en place un programme sur six ans pour lutter contre le gaspillage alimentaire », Arash Derambarsh (Courbevoie)
En octobre dernier, la ville de Courbevoie (92) a été désignée Green City par la FAO, la branche de l’ONU chargée de l’alimentation, à l’occasion du 52e comité de la sécurité alimentaire mondial. Son action anti-gaspillage alimentaire a permis de « sauver 450.000 repas en quatre ans », explique Arash Derambarsh, adjoint au maire en charge du développement durable de Courbevoie.
The Good : Comment avez-vous fait de Courbevoie la première ville mondiale de lutte contre le gaspillage alimentaire ?
Arash Derambarsh : En 2020, le maire de Courbevoie, Jacques Kossowski, m’a nommé adjoint au maire en charge du développement durable et nous avons mis en place un programme sur six ans pour lutter contre le gaspillage alimentaire. C’est un sujet en faveur duquel je bataille depuis des années et sur lequel j’ai déjà remporté plusieurs victoires (NDLR : Arash Derambarsh est à l’origine de la loi de 2016 contre le gaspillage alimentaire et a remporté de nombreux prix internationaux dont le « WIN WIN Gothenburg Sustainability Award en 2019 », équivalent du Nobel pour le développement durable) .
A Courbevoie, notre objectif était de rallier tous les acteurs de l’alimentation de la ville afin que tous les invendus, absolument tous, soient redistribués. En cinq ans, nous avons embarqué les supermarchés, la restauration hospitalière, la restauration scolaire et les commerces de bouche (boulangerie, restaurants, marché).
Et en ce mois de novembre 2024, nous signons une charte avec les maisons de retraite et Ehpad.
The Good : Le premier pas a été fait avec les supermarchés, sans limite de superficie.
Arash Derambarsh : Une première charte contre le gaspillage alimentaire a été signée en 2020 avec les hyper, supermarchés et supérettes de la ville. Effectivement, nous avons été au de-là des limites de la loi de 2016 qui ne contraint que les supermarchés de plus de 400m2 de surface de vente.
A Courbevoie, nous avons une quarantaine d’hypermarchés, supermarchés et supérettes, dont les deux tiers font moins de 400m2. La charte a été signée par tous et tous jouent le jeu.
Notre objectif est de démontrer que même les magasins de moins de 400m2 peuvent s’engager sur cette voie. Le seuil des 400m2 de la loi anti-gaspillage de 2016 avait été fixé par crainte de déstabiliser les petits supermarchés, au motif qu’ils n’ont pas la logistique pour s’organiser. L’objectif est de démontrer qu’ils le peuvent, si les collectivités et les élus locaux s’impliquent.
Et je vous annonce que la loi va être modifiée d’ici à la fin de l’année pour concerner les établissements de plus de 200m2, grâce aux soutiens du ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, et de la sénatrice Marie-Do Aeschlimann. Ce qui va nous permettre de toucher 5 000 nouveaux points de vente. Ce sera une réponse directe à l’appel des Restos du cœur, le Banque Alimentaire et de la Croix Rouge qui reçoivent, avec les associations caritatives, moins de dons.
The Good : Tous ces magasins sont donc parvenus à mettre en place la logistique ad-hoc ?
Arash Derambarsh : 90% de nos établissements n’avaient pas la logistique adaptée. Ils n’ont pas de partenariats avec des associations caritatives et beaucoup d’associations caritatives n’ont pas la logistique nécessaire pour acheminer les denrées et les distribuer en temps et en heure, notamment pour assurer la chaîne du froid. Nous les avons aidés afin de développer la distribution immédiate et permettre au plus grand nombre de participer à la solidarité et la fraternité. Nous leur avons permis de développer un partenariat avec des startups telle Phoenix, Fullsoon ou Linkee, qui trouvent les associations et acheminent les invendus aux associations caritatives, qui aident les étudiants et apportent des solutions aux commerces de bouche.
Les startups s’assurent notamment de ne pas rompre la chaîne du froid, ce qui est le plus compliqué.
The Good : Et qui finance ces startups ?
Arash Derambarsh : Ce sont les magasins qui financent la startup, mais ils bénéficient ensuite d’une défiscalisation. Ce système coût 0 euro à la collectivité et au contribuable.
The Good : Vous avez ensuite tapé à la porte des autres acteurs…
Arash Derambarsh : La deuxième charte a donc concerné la restauration hospitalière. A Courbevoie, nous accueillons un établissement du Centre Hospitalier Rives de Seine et nous avons signé un partenariat avec la présidente de la structure, Madame Valérie Pons Prêtre.
La troisième année, nous avons signé une charte avec la restauration scolaire, sur toutes les écoles de la commune : il y en a une quarantaine, de la crèche et écoles. Dans les cantines, nous avons également installé des tables de tri. Les enfants pèsent leurs déchets alimentaires et les trient. Nous avons également pour objectif d’instaurer un système de « doggy-bags » qui va permettre aux agents municipaux de récupérer les restes alimentaires non périssables, les produits secs. Le périscolaire est également concerné. Nous sensibilisons ainsi 12 000 enfants à la lutte contre le gaspillage alimentaire !
La quatrième charte, signée en novembre 2023 et applicable depuis janvier 2024, concerne les commerces de bouche (marchés, boulangeries, restaurants, etc.). Nous fédérons l’intégralité d’entre eux.
Et en ce mois de novembre 2024, nous allons signer une charte avec les Ehpad et les maisons de retraite. Il y a neuf établissements sur la commune.
400 000 repas sauvés avaient été sauvés en février dernier, aujourd’hui nous en sommes à près de 450 000. L’objectif est de sauver 500 000 repas d’ici à 2025.
The Good : Vous avez annoncé un programme bâti sur six ans : que « contient » la dernière année de travail ? Et quelles suites y seront données ?
Arash Derambarsh : L’objectif était de mettre sur pied une organisation structurée les cinq premières années et de la promouvoir la dernière année du mandat. C’est ce qui sera donc le cas.
Nous organisons une très grande conférence internationale avec l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) le vendredi 31 janvier 2025 à Courbevoie. De nombreux prestigieux invités seront présents. Et toute cette année 2025 sera consacrée à promouvoir ce travail.
The Good : Avez-vous prévu de travailler avec les entreprises installées sur la commune et dont certaines disposent certainement d’un restaurant ?
Arash Derambarsh : Oui absolument. Paris La Défense a déjà entamé un travail intéressant mais il faut fédérer tous les acteurs. Pour le prochain mandat, très certainement et à une plus grande échelle, régionale ou nationale, très probablement.
The Good : Comment les Nations-Unies ont-elles eu vent de ce qui se fait à Courbevoie ?
Arash Derambarsh : En février dernier, sur mon invitation, les agents de la FAO se sont déplacés à Courbevoie pour découvrir notre travail. Ils ont tout inspecté et nous ont désigné Green city, nous sommes la première ville française à obtenir cette distinction internationale.
The Good : Et concrètement, à quoi pensez-vous que va servir cette distinction ?
Arash Derambarsh : Notre distinction sert à montrer le chemin aux autres communes françaises. Nous sommes dans la preuve par l’action, dans l’exemple. L’objectif est de décliner ces chartes partout en France. S’il y a un argument, c’est que cela coûte 0 euro au contribuable. C’est le fruit d’une volonté politique. Mais surtout, cette action apporte une réponse concrète à un problème structurel actuel : il y a plus de 10 millions de pauvres en France, soit 14% de la population qui est en dessous du seuil de pauvreté. Et en face, on a 10 millions de tonnes d’aliments gaspillés ; l’équivalent d’un stade de France rempli de déchets alimentaires qui sont jetés chaque année.
D’après le Project Drawdown (2020) et le rapport du GIEC (avril 2022), réduire le gaspillage alimentaire permettrait, d’ici à 2050, et si nous le réduisons de 50%, une réduction de 87,4 gigatones de CO2e dans l’atmosphère et constituerait donc l’action la plus impactante et immédiate que nous puissions mettre en œuvre pour lutter contre le réchauffement climatique. Autrement dit, la réduction du gaspillage alimentaire est l’une des trois principales solutions pour lutter contre le réchauffement climatique. Nous ne dirons pas que nous n’étions pas informés.
Marie Beirard (journaliste The Good)
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nyon-suisse · 20 days ago
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e choix des prothèses mammaires est un processus déterminant pour garantir un résultat esthétique satisfaisant et durable. Un choix éclairé prend en compte plusieurs aspects tels que la taille, la forme, le type de remplissage, la surface des prothèses, et la position d’implantation. Pour vous aider à faire un choix adapté, voici un développement détaillé de chaque étape et élément à considérer.
1. Définir vos objectifs esthétiques et attentes personnelles
Naturel vs volumineux : L’une des premières questions à se poser est de savoir si vous souhaitez un résultat très naturel ou un effet plus volumineux et prononcé. Cette décision influencera la forme et le type d’implant choisi.
Objectifs de long terme : Pensez à comment vous aimeriez que vos seins évoluent au fil du temps. Des facteurs comme le vieillissement, les grossesses futures, et la perte ou prise de poids peuvent affecter l'apparence de vos implants.
2. Formes des prothèses : rondes vs anatomiques
Implants ronds : Ils créent un effet liftant et donnent un décolleté plus rempli. Ils sont idéaux pour celles qui souhaitent un volume visible sur le haut des seins et conviennent particulièrement aux patientes cherchant un look glamour.
Implants anatomiques (goutte d’eau) : Ces prothèses sont conçues pour imiter la forme naturelle des seins, avec une base plus large et un volume plus important dans la partie inférieure. Elles sont adaptées aux patientes qui souhaitent un résultat subtil et naturel, souvent utilisé pour corriger une asymétrie mammaire ou pour un look plus réaliste.
3. Sélection de la taille et du volume des implants
Proportionnalité : Le choix de la taille doit être fait en fonction de la morphologie de la patiente : largeur des épaules, largeur de la cage thoracique, et proportions générales du corps. Un implant trop volumineux peut créer des complications comme des douleurs dorsales ou une apparence inesthétique.
Essais et simulations : Des outils de simulation 3D ou des essayages physiques avec des implants temporaires placés dans un soutien-gorge spécial peuvent aider à visualiser le résultat final. Ces essais permettent de mieux comprendre comment différents volumes influencent l’apparence globale.
4. Types de remplissage des implants
Gel de silicone : Le gel de silicone cohésif est la solution la plus prisée en raison de son toucher naturel qui imite celui des tissus mammaires. En cas de rupture, le gel reste en place, minimisant les risques de fuite.
Solution saline : Les implants salins sont remplis de solution saline stérile. Bien qu’ils soient ajustables en taille pendant l’opération, ils ont tendance à être moins naturels au toucher et peuvent présenter des plis ou se dégonfler plus facilement en cas de rupture.
Gel hautement cohésif : Certains implants contiennent un gel de silicone plus dense, souvent appelé « gel mémoire », qui garde sa forme même en cas de pression ou de rupture. Ces implants offrent à la fois sécurité et esthétique.
5. Surface des prothèses : lisse ou texturée
Surface lisse : Ces implants sont plus mobiles dans la poche mammaire et offrent un résultat esthétique plus fluide, mais peuvent augmenter légèrement le risque de rotation ou de déplacement.
Surface texturée : La surface texturée permet aux tissus environnants de mieux adhérer à l’implant, ce qui aide à réduire le risque de déplacement et de contracture capsulaire. Cette option est souvent choisie pour les implants anatomiques, qui doivent rester dans une certaine position.
6. Position d’implantation : sous-musculaire vs sous-glandulaire
Sous-glandulaire (au-dessus du muscle) : Convient aux patientes ayant suffisamment de tissu mammaire pour recouvrir l’implant. Cette technique permet une récupération plus rapide et une douleur postopératoire moindre. Cependant, chez les patientes minces, le risque de palpabilité de l’implant est plus élevé.
Sous-musculaire (sous le muscle pectoral) : Offrant un résultat plus naturel et réduisant le risque de palpabilité et de contracture capsulaire, cette technique est couramment recommandée chez les patientes minces ou pour un aspect esthétique plus doux.
Dual-plane : Cette technique combine le meilleur des deux positions, permettant à l'implant de se positionner sous le muscle dans la partie supérieure du sein et sous le tissu mammaire dans la partie inférieure. Cela améliore le soutien et donne un aspect plus naturel.
7. Consulter un chirurgien qualifié pour un avis expert
Expertise et expérience : Choisir un chirurgien qualifié est essentiel. Il doit non seulement avoir une solide expertise technique mais aussi une bonne capacité à écouter et comprendre vos attentes. Un bon praticien vous conseillera sur les options qui s'adaptent le mieux à votre morphologie et à vos préférences.
Discussion des options : Lors de la consultation, le chirurgien passera en revue les options de prothèses, y compris leur forme, leur taille, et leur positionnement. Il prendra également en compte des facteurs comme la symétrie et l'équilibre global.
8. Essayer des simulations et modèles avant l’intervention
Certaines cliniques disposent de technologies de pointe permettant de réaliser des simulations 3D, ce qui donne à la patiente une idée précise du résultat potentiel. Ces outils permettent de faire des choix éclairés et de se projeter plus facilement dans le résultat final.
9. Considérations pour la sécurité et la durabilité
Longévité des implants : Bien que les implants modernes soient conçus pour durer entre 10 et 20 ans, il est important de faire des suivis réguliers avec le chirurgien pour s'assurer de leur intégrité. Un contrôle annuel, souvent par échographie ou IRM, est conseillé.
Ruptures et complications : En cas de rupture, les implants en gel de silicone cohésif gardent leur forme, ce qui réduit les risques de fuite. Les implants salins, en revanche, se dégonflent immédiatement et nécessitent un remplacement.
Contracture capsulaire : C’est l'une des complications possibles où le tissu cicatriciel autour de l'implant se contracte, provoquant douleur et déformation. La surface texturée et une bonne technique chirurgicale aident à minimiser ce risque.
Conclusion : Une décision mûrement réfléchie
Choisir ses prothèses mammaires demande réflexion, patience et l’accompagnement d’un chirurgien compétent. Prenez le temps de considérer tous les aspects techniques, esthétiques et pratiques pour faire un choix qui correspondra à vos attentes et à votre bien-être sur le long terme. En prenant en compte ces facteurs, vous pourrez bénéficier d'une intervention réussie, menée en toute sécurité, et d'un résultat harmonieux qui vous apporte confiance et satisfaction
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adalidda · 20 days ago
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Optimisez les Performances de Votre Entreprise Agrobusiness grâce à l'Agriculture Contractuelle et aux Partenariats pour la Qualité des Semences Agricoles
Dans le secteur de l'agrobusiness, collaborer avec des coopératives agricoles par le biais de l'agriculture contractuelle et établir des partenariats de recherche pour améliorer la qualité des semences sont des stratégies essentielles. Elles permettent de stabiliser les chaînes d'approvisionnement, d’améliorer la qualité des cultures et d’assurer une croissance durable. En combinant la culture sous contrat et les collaborations avec des instituts de recherche agricole, qu’ils soient publics ou privés, les entreprises peuvent relever les défis d’approvisionnement, de contrôle qualité et de résilience des cultures. Voici des recommandations clés pour intégrer ces approches :
Partie 1 : Agriculture Contractuelle avec les Coopératives Agricoles
L’agriculture contractuelle aide les entreprises d’agrobusiness à sécuriser un approvisionnement stable en cultures de qualité tout en apportant aux coopératives et aux agriculteurs des garanties financières, des formations et un accès aux marchés. Bien gérés, ces programmes créent une relation de confiance et contribuent à une chaîne d’approvisionnement agricole plus résiliente.
1. Clauses Contractuelles Claires et Objectifs Partagés
Définir des Standards de Qualité et des Objectifs Précis : Fixez des normes spécifiques en termes de qualité, de volume et de délais. Assurez-vous que les coopératives comprennent les exigences du marché, telles que les spécifications de taille, de couleur et de pureté.
Transparence des Modalités de Paiement : Optez pour des paiements partiels au semis et le solde à la livraison, avec des ajustements en fonction des prix de marché lors de la récolte, encourageant ainsi les agriculteurs à maintenir la qualité tout en assurant leur sécurité financière.
2. Soutien Direct aux Agriculteurs
Accès à des Intrants de Qualité : Fournissez semences, engrais et autres intrants de haute qualité. En partenariat avec les coopératives, distribuez-les à des tarifs subventionnés ou intégrés dans les contrats.
Formations Techniques : Proposez des formations sur la gestion des cultures, la lutte contre les ravageurs et la santé des sols. Ce soutien améliore la productivité, facilite le respect des normes contractuelles et renforce l’efficacité des programmes.
3. Suivi de la Qualité et Ajustements de Paiement
Inspections Régulières : Organisez des inspections périodiques pour évaluer la santé des cultures et le respect des standards. Cette approche proactive permet de détecter et de résoudre rapidement les problèmes.
Ajustement des Prix d’Achat en Fonction du Marché :Adoptez des modalités de paiement flexibles permettant de réviser les prix d'achat selon l’évolution des prix du marché, assurant ainsi une situation gagnant-gagnant pour les deux parties.
4. Conseils sur la Gestion Après Récolte
Stockage Optimal : Sensibilisez les agriculteurs aux meilleures pratiques de stockage, comme le séchage et les techniques anti-ravageurs.
Logistique de Transport : Organisez un acheminement rapide des produits des fermes aux centres de traitement afin de minimiser les pertes après récolte, en collaboration avec les coopératives pour garantir l'efficacité de la chaîne logistique.
Partie 2 : Amélioration de la Qualité des Semences par des Partenariats de Recherche
Pour améliorer la qualité des semences, les entreprises d'agrobusiness peuvent bénéficier de partenariats avec des instituts de recherche agricole pour accéder à des technologies avancées et des programmes de contrôle de qualité. Ces collaborations permettent de développer des semences adaptées aux exigences climatiques et aux attentes du marché, renforçant la chaîne d’approvisionnement et la résilience des cultures.
1. Programmes de Recherche et Développement (R&D) Collaboratifs
Objectifs Partagés : Définissez des projets de recherche axés sur la résistance aux ravageurs, la résilience climatique, la valeur nutritionnelle et la qualité des semences agricoles.
Soutien Financier et Logistique : En soutenant financièrement la R&D, les entreprises accélèrent les avancées bénéfiques pour les deux parties.
2. Exploitation de Techniques de Sélection Avancées
 Méthodes Modernes de Sélection : Accédez à la sélection assistée par marqueurs pour développer des variétés de semences à haut rendement et résistantes.
Test en condition réel : Réalisez des essais sur le terrain pour évaluer l’adaptabilité des semences dans différentes conditions agro climatiques avant leur commercialisation.
3. Transfert de Connaissances et Formation des Agriculteurs
Programmes de Formation : Collaborez avec des instituts de recherche pour sensibiliser les agriculteurs aux semences de qualité et aux meilleures pratiques agricoles.
Plateformes Digitales : Utilisez des outils numériques pour partager des conseils en temps réel sur la gestion des cultures.
4. Standards Rigoureux et Certification
Certification des Semences : Mettez en place des processus de certification garantissant pureté, germination et résilience, renforçant ainsi la confiance des acheteurs.
Suivi de la Qualité : Instaurez des contrôles à chaque étape de la production des semences pour assurer des standards cohérents.
5. Investissement dans des Semences Résilientes au Climat et Adaptées aux Exigences du Marché
Adaptation Locale : Développez des variétés adaptées aux conditions agro climatiques locales et aux besoins des agriculteurs.
Adaptation aux Exigences du Marché : Sélectionnez des traits recherchés par le marché, tels qu’une valeur nutritionnelle élevée ou une meilleure conservation.
6. Pratiques Durables et Éthiques
Favoriser la Durabilité des Semences : Collaborez sur des programmes de semences biologiques et favorisant la biodiversité.
Participation des Petits Producteurs : Intégrez les petits producteurs dans le développement des semences, pour garantir que les nouvelles variétés répondent aux réalités du terrain.
7. Plaidoyer Politique et Protection de la Propriété Intellectuelle
Politiques Favorables : En partenariat avec les instituts de recherche, promouvez des politiques soutenant le développement et la distribution des semences.
Protection de la Propriété Intellectuelle : Garantissez la protection des nouvelles variétés pour valoriser les efforts de recherche et garantir un retour sur investissement.
Ces recommandations assurent non seulement un approvisionnement de qualité et fiable pour les entreprises d’agrobusiness, mais soutiennent également l’économie rurale, renforcent la sécurité alimentaire et répondent à la demande mondiale croissante pour des produits agricoles durables et innovants.
Conclusion
En intégrant l'agriculture contractuelle avec les coopératives agricoles et en améliorant la qualité des semences grâce à des partenariats de recherche, les entreprises d’agrobusiness peuvent optimiser leurs chaînes d'approvisionnement, renforcer la résilience et accroître leur compétitivité sur le marché. Des programmes d'agriculture contractuelle bien structurés garantissent un approvisionnement fiable en cultures de haute qualité, tandis que les collaborations de recherche permettent un accès à des semences performantes, adaptées aux exigences variées du marché. Ensemble, ces approches bénéficient non seulement aux entreprises d’agrobusiness, mais renforcent également les coopératives et les petits producteurs, contribuant ainsi à un secteur agricole plus durable et inclusif.
Les expériences en Afrique démontrent que, avec des contrats clairs, des intrants de qualité, un suivi rigoureux sur le terrain et le soutien de l'expertise en recherche, les entreprises d’agrobusiness peuvent avoir un impact durable sur les marchés locaux et mondiaux.
J’espère que cet article vous a été utile et enrichissant. N'hésitez pas à le partager avec vos amis et collègues intéressés par l'agriculture et l’agrobusiness.
M. Kosona Chriv 
Directeur commercial, Groupe Solina / Sahel Agri-Sol (Côte d'Ivoire) https://sahelagrisol.com/fr
Vice-Président en charge des Opérations, Deko Group (Nigeria) https://fr.dekoholding.com
Photo: La luzerne est une culture fourragère précieuse largement cultivée pour l'alimentation du bétail. Elle est une bonne source de protéines et d'autres nutriments (Sahel Agri-Sol / Adalidda / domaine public).
Lisez la suite à https://sahelagrisol.com/fr/news/672f2b50c92a1dd2cf620297
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almanach-international · 23 days ago
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8 novembre : la Journée mondiale de l’urbanisme
Après le récent drame de Valence en Espagne, réfléchir à l’urbanisme pour faire face aux nouveaux défis climatiques devient une nécessité, d’autant que la part de la population urbaine s’accroît chaque année, notamment en Afrique où beaucoup de villes ont grandi trop vite sans aménagements adéquats pour faire face à l’explosion démographique de certains pays.
D'ici à 2030, on estime que 60 % de la population vivra dans des zones urbaines, et que 60 % des citadins auront moins de 18 ans. Malgré les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs de développement durable, les villes, en particulier dans les pays du Sud, restent confrontées à la pauvreté, aux inégalités et à la dégradation de l'environnement, d'où la nécessité d'une action urgente.
Cette Journée mondiale de l’urbanisme lancée en 1949, par le professeur Carlos Maria della Paolera de l'Université de Buenos Aires, fête aujourd’hui ses 75 ans. Elle a lieu chaque année le 8 novembre, les urbanistes et les collectivités du monde entier se réunissent pour célébrer la manière dont un bon urbanisme améliore la vie des gens et profite à la société dans son ensemble, en créant des lieux où il fait bon vivre, travailler et se divertir.
Cette Journée de l’urbanisme ne doit pas être confondue avec la Journée mondiale des villes, proposée par l’ONU chaque 31 octobre, et qui avait pour thème cette année « Les jeunes acteurs du changement climatique : Catalyser l'action locale pour la durabilité urbaine », vise à mettre en évidence le rôle crucial des gouvernements locaux et des jeunes pour relever les défis climatiques urbains.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 8 novembre 2024
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oelnet · 24 days ago
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Qualité de l’éducation : le Togo parmi les 5 meilleurs pays africains (Rapport Mo Ibrahim)
(Togo Officiel) – Au Togo, les efforts en faveur d’une éducation inclusive, de qualité et équitable se confirment. Selon le dernier rapport de la Fondation Mo Ibrahim axé sur les besoins financiers de l’Afrique pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD) et des objectifs climatiques, le pays se classe dans le Top 5 des meilleurs pays du continent en la matière.  Le Rapport…
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formationonline · 27 days ago
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Le Pouvoir du 1 % pour Construire un Business en Ligne et Atteindre la Liberté Financière
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Tu as certainement déjà entendu que les grandes réussites se construisent un petit pas à la fois. Eh bien, c'est exactement la logique du "1 % chaque jour". Dans le monde des affaires en ligne et de l'affiliation, ce principe est crucial pour progresser vers des revenus durables et une liberté financière à long terme.
Chaque jour, nous avons tous les mêmes 24 heures. Mais ce qui fait la différence, ce sont les petites actions que nous choisissons de poser. Tandis que certains restent dans leur zone de confort en répétant les mêmes actions, ceux qui s'engagent à progresser d’un simple 1 % par jour finissent par voir des résultats incroyables en l’espace de quelques mois.
Pourquoi le 1 % est la clé du succès en Affiliation
L'affiliation est un domaine accessible, mais il exige de la constance et une progression continue. Un progrès de 1 % chaque jour signifie qu'en un an, tu auras amélioré tes compétences, ta stratégie et ta compréhension du marché de façon exponentielle. Ce sont ces petits changements réguliers qui te permettent de :
Développer des compétences de vente et de persuasion pour mieux attirer les clients.
Apprendre à créer du contenu engageant qui génère du trafic et des clics sur tes liens affiliés.
Comprendre le fonctionnement des plateformes et des outils essentiels pour automatiser et optimiser ton activité.
Comment appliquer le principe du 1 % en pratique
Pour devenir un expert en affiliation, nul besoin de tout maîtriser dès le départ. Commence par apprendre un élément clé, puis applique-le. Par exemple, aujourd’hui tu pourrais :
Étudier une technique de promotion d'affiliation spécifique, comme la création de contenu SEO pour attirer un public cible.
Améliorer tes compétences en copywriting pour maximiser l’impact de tes messages.
Mettre en place des suivis analytiques pour comprendre ce qui fonctionne dans ta stratégie actuelle.
Ces petits efforts, cumulés chaque jour, créent une transformation puissante.
La Formation Gratuite en Affiliation : Ton Premier Pas
Pour t’aider à prendre un bon départ dans l’affiliation et à bénéficier de ce pouvoir du 1 %, je propose une formation gratuite en affiliation. Elle est conçue pour les débutants, avec des étapes pratiques qui te guident pour éviter les erreurs courantes et maximiser tes gains.
Cette formation t'apprendra à :
Identifier les résaux sociaux par lesquels il faut débuter
Optimiser leus profil
Identifier les niches rentables et les produits à promouvoir,
Créer du contenu de qualité et attirer un public intéressé,
Générer des commissions récurrentes, même en commençant sans budget marketing.
Et plus encore
Engage-toi à progresser, un jour à la fois
Rappelle-toi, il ne s’agit pas de révolutionner ta vie du jour au lendemain, mais d’avancer de manière constante. Avec le bon accompagnement et la discipline d'apprendre et d'appliquer, ce fameux 1 % te mènera loin. Dans un an, tu pourrais être bien en avance dans ton parcours entrepreneurial, avec un business en ligne générant des revenus passifs.
Inscris-toi à ma formation gratuite en affiliation pour démarrer dès maintenant et commence à bâtir un avenir où chaque jour te rapproche un peu plus de tes objectifs.
Anselm Winner
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nicolae · 1 month ago
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Amazon investit dans l'industrie nucléaire dans des petits réacteurs modulaires pour une énergie propre
Amazon a annoncé une étape audacieuse vers le développement durable avec un investissement majeur dans les petits réacteurs modulaires (SMR) pour utiliser l’énergie nucléaire propre à l’échelle mondiale. Cette initiative marque un changement important dans la stratégie énergétique de l’entreprise, qui vise à réduire son empreinte carbone et à se rapprocher de son objectif de zéro émission nette…
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emploisdacheteurs · 1 month ago
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Description du poste de Personal Shopper : La meilleure option pour travailler
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Un personal shopper est un professionnel qui aide les clients à sélectionner et acheter des produits, généralement dans les secteurs de la mode, de la beauté ou du lifestyle. Ce rôle combine une expertise des tendances actuelles avec une compréhension des préférences et des besoins des clients, ce qui en fait un service essentiel pour ceux qui recherchent des expériences d'achat personnalisées.
Nous allons explorer davantage la description du poste de personal shopper, ses principales responsabilités, les compétences et les qualifications requises pour exceller dans ce métier. Vous aimez faire du shopping ? Si vous aimez la mode, vous pouvez trouver des emplois de personal shopper à The Personal Shopper Agency.
Principales responsabilités d’un Personal Shopper
Comprendre les besoins des clients : L'une des principales missions d'un personal shopper est de comprendre en profondeur les goûts, les préférences, le budget et le mode de vie de ses clients. Cela implique des consultations détaillées où les shoppers écoutent les objectifs des clients, qu'il s'agisse de renouveler une garde-robe, de trouver le cadeau parfait ou de rechercher des articles de luxe. En comprenant ces éléments, les personal shoppers peuvent proposer des sélections personnalisées qui répondent aux attentes du client.
Recherche et sélection de produits : Les personal shoppers se tiennent informés des dernières tendances, styles et lancements de produits. Ils développent souvent des relations solides avec des marques, des boutiques et des grands magasins pour avoir accès à des articles exclusifs. Cela leur permet d'offrir à leurs clients une sélection de produits de haute qualité, parfois indisponibles pour le grand public.
Shopping et conseils de style : Qu'ils accompagnent leurs clients dans les magasins ou qu'ils fassent du shopping à leur place, les personal shoppers veillent à ce que les articles choisis conviennent parfaitement, soient esthétiques et correspondent au style du client. Dans de nombreux cas, ils prodiguent également des conseils de style, suggérant comment associer certains vêtements, accessoires ou pièces pour créer le look souhaité.
Offrir des expériences de shopping personnalisées : Certains clients peuvent avoir des besoins spécifiques, comme trouver des vêtements pour des occasions particulières, mettre à jour une garde-robe pour un changement de carrière, ou adhérer à des choix de mode éthique ou durable. Un personal shopper s'assure que l'expérience d'achat est adaptée à ces exigences spécifiques, en proposant des options qui reflètent les valeurs et préférences du client.
Compétences essentielles pour un Personal Shopper
Connaissance de la mode et des tendances : Les personal shoppers doivent avoir un sens aigu du style et une compréhension approfondie des tendances actuelles, ainsi qu'une connaissance plus large des styles intemporels et classiques. Ils doivent être capables de recommander des articles qui conviennent à la personnalité et aux occasions de leurs clients, tout en restant à l'avant-garde des évolutions de la mode.
Communication et service client : De solides compétences interpersonnelles sont essentielles dans ce rôle. Les personal shoppers doivent communiquer efficacement avec les clients pour comprendre leurs besoins et désirs. Un service client exceptionnel est au cœur de cette profession, car les shoppers nouent souvent des relations à long terme avec des clients qui font confiance à leur expertise.
Attention aux détails : De la sélection du parfait accessoire à la garantie d'un bon ajustement et d'une coordination des couleurs, les personal shoppers doivent prêter une attention minutieuse à chaque détail pour assurer la satisfaction de leurs clients.
Gestion du temps et organisation : De nombreux personal shoppers travaillent avec plusieurs clients, ce qui rend la gestion du temps et les compétences organisationnelles indispensables. Ils doivent être capables de gérer des rendez-vous, de planifier des listes d'achats et de coordonner efficacement avec les magasins et les fournisseurs.
Conclusion
Un personal shopper joue un rôle crucial en aidant les individus à gagner du temps et à naviguer dans l'univers souvent accablant du shopping. En offrant des expériences personnalisées et sur mesure, ils répondent aux besoins des clients avec précision, style et professionnalisme. Qu'ils travaillent avec des individus soucieux de la mode ou des personnes recherchant l'efficacité, les personal shoppers créent de la valeur en fournissant des conseils experts et un service sans faille.
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latribune · 6 days ago
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actu-juridique · 6 days ago
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Réduction des émissions de gaz à effet de serre : les ambitions de la COP départementale de l’Essonne
https://justifiable.fr/?p=61 https://justifiable.fr/?p=61 #ambitions #COP #départementale #des #effet #émissions #gaz #les #lEssonne #Réduction #serre teal sun/AdobeStock Face aux conséquences des crises climatiques et de la biodiversité qui ont des retombées très concrètes sur le territoire essonnien, le département se mobilise. Dans le cadre de la COP départementale d’Île-de-France, le département de l’Essonne a convié les acteurs locaux pour réfléchir ensemble aux moyens concrets afin de mettre en œuvre une vraie politique de transition écologique. La première COP départementale d’Île-de-France a eu lieu en juillet 2024 en Essonne. À la présidence de cette COP91, Alain Castanier, préfet délégué à l’égalité des chances de l’Essonne et Nicolas Méary, vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Plus de 150 acteurs du territoire, dont le rôle est essentiel pour réussir la transition écologique (collectivités, syndicats d’énergie, agences de l’État, énergéticiens, entreprises, associations… ) ont participé à la COP91. Le rôle stratégique du département dans la transition écologique « En tant que chef de file des politiques de solidarités humaines et territoriales, le département est un acteur légitime pour porter la transition écologique », a rappelé Nicolas Méary, lors du vote d’une nouvelle stratégie de transition écologique pour la période 2023-2030. Dans la continuité de l’action volontariste du département dans ce domaine, l’Essonne a opté pour une stratégie de transition écologique ambitieuse pour la prochaine décennie, le Plan Eco-Ambition 91, « pour aller plus vite et plus fort sur ces sujets ». Le défi est « gigantesque et les objectifs extrêmement ambitieux », conclut le vice-président en charge de la biodiversité et de la transition écologique du département de l’Essonne. Rappelons qu’en termes d’émissions de gaz à effet de serre, le territoire de l’Essonne génère plus de 5 800 ktCO2, soit des émissions de gaz à effet de serre de l’ordre de 4,5 t CO2 par habitant. La séquestration carbone est, quant à elle, de l’ordre de 9185 tCO2/an. Cela représente 15 % du bilan global du territoire d’après le Rapport Développement Durable 2023, publié par le département. Une feuille de route ambitieuse À l’horizon 2030, le département s’est fixé un certain nombre d’objectifs : • 40 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins par rapport à 1990, conformément à la stratégie nationale bas carbone • 40 % d’énergie consommée en moins au niveau du département par rapport à une année de référence entre 2010 et 2020 • Contribuer à emmener le territoire essonnien dans la stratégie des aires protégées pour atteindre les objectifs de la COP 15 de 30 % d’aires protégées • 50 % d’espaces consommés en moins en vue d’atteindre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050, conformément aux objectifs de la loi Climat et résilience. La stratégie de transition écologique se décline sur 6 axes : • la réduction de l’empreinte carbone de l’Essonne, • la préservation de la biodiversité du territoire, • l’adaptation des politiques publiques départementales, • l’exemplarité du département, • l’accompagnement des acteurs du territoire face au changement climatique, • la mobilisation des Essonniens. 15 actions-clés ont été identifiées parmi lesquelles une augmentation de 75 % des Espaces Naturels Sensibles (ENS) aménagés, la lutte contre les passoires énergétiques, un engagement massif pour la production d’énergie renouvelable, la sensibilisation des élèves essonniens aux enjeux du changement climatique et de la biodiversité, l’adoption d’un « budget vert » chaque année ou l’ouverture quatre sites de baignade dans la Seine et de quatre autres sites dans les autres cours d’eau du département. Un contexte d’urgence Le dernier rapport du GIEC est venu rappeler que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines réchauffent le climat à un rythme sans précédent. La température de la surface du globe terrestre a augmenté d’1,1 degré par rapport à la période préindustrielle. Quels que soient les scénarios retenus, pour le GIEC le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030. Limiter ce réchauffement à 1,5 °C et 2 °C n’est possible qu’en accélérant et en approfondissant dès maintenant la baisse des émissions afin de ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro et réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre. Le dernier rapport du GIEC souligne, en outre, l’augmentation des risques : vagues de chaleur, précipitations extrêmes, sécheresses, fonte de la cryosphère, changement du comportement de nombreuses espèces pour un même niveau de réchauffement par rapport à ses précédentes conclusions. Les risques climatiques et non climatiques vont s’aggraver et se multiplier, ce qui rendra leur gestion plus complexe et difficile. La convergence de plusieurs volontés Dans ce contexte d’urgence climatique, la COP 91 correspond tout à la fois à la nécessité de répondre aux exigences de l’État et la Région Île-de-France, et du calendrier fixé pour atteindre les objectifs sur lesquels la France s’est engagée : diminuer de 55 % les émissions de GES d’ici 2030 par rapport à 1990, en visant l’objectif de la neutralité carbone et à celles des principaux acteurs du département, maires, élus locaux, associations, entreprises, partenaires. Ces derniers disposent des leviers de la transition et sont nombreux à conduire des projets ambitieux sur le territoire essonnien et à avoir la volonté de changer les choses. Quels leviers pour l’amélioration énergétique des bâtiments, pour décarboner les mobilités ? Comment accélérer la production d’énergies renouvelables dans l’Essonne ? Quels leviers pour préserver la biodiversité et les ressources du département ? Autant de questions opérationnelles et concrètes pour le territoire essonniens auxquels les différents membres de la COP91 ont été invités à réfléchir. De juillet à octobre 2024, les débats se poursuivent pour recenser les nouvelles actions ou envisager de massifier les actions déjà entreprises. La feuille de route définitive est attendue prochainement.
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josemontoyablog · 10 days ago
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Télévision linéaire ou streaming
Malgré le déplacement de la consommation de contenu audiovisuel vers d'autres plateformes et l'évolution constante de la technologie, la télévision reste un outil de communication important. La principale différence réside toutefois dans la manière dont nous recevons ces images. Les chaînes de télévision hertziennes traditionnelles, une forme de diffusion transmise par ondes radio aux antennes de nos maisons, semblent connaître un lent déclin au profit des sociétés de diffusion en continu (streaming) dont le signal télévisuel est reçu par l'intermédiaire de connexions internet à haut débit.
Il reste à voir si le déclin de la télévision traditionnelle s'accentuera au fil des ans, ou si les deux formats coexisteront et se disputeront l'attention des téléspectateurs.
Les productions des Nations Unies
Les Nations Unies développent et gèrent de nombreux produits et services pour la télévision et les réseaux sociaux, couvrant un large éventail de thématiques et mettant en lumière des histoires à visages humains. Les sujets vont du changement climatique aux droits humains, en passant par les objectifs de développement durable et les questions cruciales de notre époque. Les médias intéressés par l'un des produits et services offerts par l'ONU peuvent contacter le Groupe des partenariats pour plus d'informations.
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