#nourrissons Gaza
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freepalestinenews · 2 months ago
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Enfants de Gaza : survivre sans nourriture ni soins
Dans la vidĂ©o bouleversante No food, no medicine: infants suffer the harshness of war in Gaza, une mĂšre raconte l’épreuve d’élever un nouveau-nĂ© dans les conditions dĂ©sastreuses de la guerre. Elle explique comment le manque de nourriture, de vitamines, et de produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ© affecte la santĂ© de son bĂ©bĂ©. Le lait maternel devient insuffisant Ă  cause de la malnutrition, et elle ne

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icariebzh · 8 months ago
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 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, ChĂšre Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginĂ© parler un jour Ă  une IsraĂ©lienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposĂ© de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayĂ©e par l’idĂ©e de coopĂ©rer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tuĂ© le 14 octobre par une bombe israĂ©lienne. Il n’avait que 20 ans et rĂȘvait de devenir thĂ©rapeute. C’était mon camarade d’universitĂ©. Nous nous retrouvions rĂ©guliĂšrement devant l’hĂŽpital Al-Shifa pour aller ensemble Ă  l’universitĂ©.  
Je suis nĂ©e Ă  Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quittĂ© l’enclave, qui est une vraie prison Ă  ciel ouvert, tu sais. A l’universitĂ©, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothĂšque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentrĂ©echez moi, j’adorais dĂ©vorer un Ă©niĂšme livre de ma bibliothĂšque tout en buvant du thĂ© vert, ma boisson prĂ©fĂ©rĂ©e. Je pourrais te parler des heures de mon universitĂ©. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agrĂ©ables oĂč se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passĂ©. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant Ă  mon diplĂŽme, que j’étais censĂ©e obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le dĂ©crocher.
DĂ©sormais, je suis rĂ©fugiĂ©e Ă  Deir al-Balah, aprĂšs avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan YounĂšs, oĂč je suis restĂ©e quarante jours sans mes parents et mes petites sƓurs, qui Ă©taient restĂ©s dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvĂ©s en dĂ©cembre. Nous avons la chance d’avoir trouvĂ© un abri, un toit, des murs. MĂȘme s’il me paraĂźt toujours Ă©trange d’appeler ça un abri, Ă©tant donnĂ© que nous ne sommes protĂ©gĂ©s ni des bombes ni d’une famine ou d’une Ă©pidĂ©mie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une IsraĂ©lienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des IsraĂ©liens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est Ă©levĂ©s pour vous haĂŻr. Vous n’ĂȘtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent Ă  nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout rĂ©soudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre Ă  connaĂźtre les personnes qui revendiquent leur droit Ă  cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu acceptĂ© d’entamer cette conversation avec moi ?
MalgrĂ© notre adversitĂ©, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-ĂȘtre que nous ne pensons pas si diffĂ©remment finalement, et que nous avons mĂȘme des choses en commun. OĂč habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai Ă©tĂ© incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence mĂȘme Ă  me dĂ©sintĂ©resser de mes activitĂ©s favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal Ă  trouver des lĂ©gumes, tout est cher ou inexistant. Je dĂ©teste voir les rues inondĂ©es d’ordures et d’eau sale, les Ă©coles et universitĂ©s bombardĂ©es ou fermĂ©es. Je suis fatiguĂ©e de sentir la fumĂ©e de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vĂȘtements. Et de devoir me dĂ©placer en Ăąne ou en charrette. La ville oĂč j’ai grandi a Ă©tĂ© ravagĂ©e. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothĂšque aussi. J’ai vu une photo de ma rue Ă  Gaza City, elle est mĂ©connaissable. C’est devenue une ville fantĂŽme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensĂ©e. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons dĂ©truites. TrĂšs peu de centres de santĂ© peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmentĂ©, tout comme les accouchements prĂ©coces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dĂšs qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as dĂ©jĂ  questionnĂ© la lĂ©gitimitĂ© de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face Ă  l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’IsraĂ«l peut-il se qualifier d’Etat dĂ©mocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sĂ»re que tu es, comme tous les ĂȘtres humains, dotĂ©e de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colĂšre, la compassion. S’il te plaĂźt, prends pitiĂ© de nous. Dis Ă  ton peuple de cesser de nous priver de notre humanitĂ©. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
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 « Zoran, centre d’IsraĂ«l, 25 mars 2024, ChĂšre Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomĂštres de Gaza, je n’ai jamais parlĂ© Ă  quelqu’un de lĂ -bas. PremiĂšrement, je souhaiterais te dire que je suis dĂ©solĂ©e de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincĂšres condolĂ©ances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mĂ©moire soit honorĂ©e.
 Permets-moi tout d’abord de me prĂ©senter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis Ă©tudiante en droit. Je m’intĂ©resse au droit pĂ©nal et au droit international. J’aime ïżœïżœgalement faire du bĂ©nĂ©volat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financiĂšre de la part de l’Etat. DĂ©sormais, ma ville, SdĂ©rot, comme toute la rĂ©gion limitrophe de Gaza, s’est vidĂ©e de ses habitants. 
 J’ai quittĂ© ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hĂ©bergĂ©e par la famille de mon petit ami Ă  Zoran, dans le centre d’IsraĂ«l. C’est plus calme ici, contrairement Ă  ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancĂ©s quotidiennement de Gaza sur le sud d’IsraĂ«l dĂ©truisent tout ce que j’ai. Mon universitĂ© est fermĂ©e, mais nous pouvons suivre nos cours Ă  distance, en visio. 
Je suis nĂ©e et j’ai grandi Ă  JĂ©rusalem. J’étais scolarisĂ©e Ă  l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], oĂč la moitiĂ© des Ă©lĂšves sont des IsraĂ©liens juifs et l’autre moitiĂ© des Palestiniens citoyens d’IsraĂ«l ou rĂ©sidents de JĂ©rusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai frĂ©quentĂ© cet Ă©tablissement jusqu’à la fin des Ă©tudes secondaires. C’est le seul lycĂ©e mixte en IsraĂ«l oĂč enfants juifs et palestiniens Ă©tudient ensemble.
Mon Ă©ducation Ă©tait donc trĂšs diffĂ©rente des autres enfants de JĂ©rusalem. Je parlais quotidiennement Ă  des Palestiniens, des Arabes. Les mĂȘmes que la sociĂ©tĂ© nous apprend Ă  haĂŻr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me frĂ©quenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprĂ©macistes israĂ©liens ont mĂȘme mis le feu Ă  mon Ă©cole. Ces annĂ©es ont fait Ă©voluer ma vision de la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrĂ©s en IsraĂ«l. Avec mon petit ami, nous nous sommes prĂ©cipitĂ©s dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restĂ©s enfermĂ©s pendant prĂšs de deux jours, sans Ă©lectricitĂ© ni rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes Ă  l’extĂ©rieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le pĂšre et la sƓur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sĂ©curitĂ©, dans le centre d’IsraĂ«l. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiĂ©e. As-tu entendu parler de ce qui s’est passĂ© en IsraĂ«l ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des IsraĂ©liens ont terriblement souffert ce jour-lĂ . Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont Ă©tĂ© brutalement tuĂ©es, kidnappĂ©es. Et il y a encore des otages israĂ©liens Ă  Gaza dont on ne connaĂźt pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore dĂ©tenues Ă  Gaza, selon les autoritĂ©s israĂ©liennes]. Dans mon quartier, les premiĂšres victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes ĂągĂ©es d’une maison de retraite. PrĂšs de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui Ă©tait pourtant une militante pacifiste de longue date, a Ă©tĂ© tuĂ©e. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les dĂ©cisions du gouvernement israĂ©lien pour justifier la violence Ă  l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut ĂȘtre une rĂ©ponse Ă  l’occupation. Si je comprends la nĂ©cessitĂ© de la rĂ©sistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en IsraĂ«l sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delĂ  de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe Ă  Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout aprĂšs avoir vu des vidĂ©os dans lesquelles des Palestiniens cĂ©lĂ©braient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours Ă  la violence et Ă  la cruautĂ©, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocitĂ©s commises par IsraĂ«l contre les Palestiniens au fil des annĂ©es, de mĂȘme que la violence subie par les IsraĂ©liens, sont Ă©galement condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menĂ©e actuellement par l’armĂ©e israĂ©lienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes Ă  Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandĂ© si j’avais dĂ©jĂ  remis en question la lĂ©gitimitĂ© de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persĂ©cution Ă  travers le monde. Que ce soit les ancĂȘtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mĂšre au Maroc, ils ont Ă©tĂ© persĂ©cutĂ©s parce qu’ils Ă©taient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, dĂ©signant l’exode en 1948, Ă  la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsĂ©s par les nouvelles autoritĂ©s]. Mais il est important pour moi de te rappeler le dĂ©sir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivĂ© de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontrĂ© un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de dĂ©fense israĂ©liennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’IsraĂ«l tentait de les assimiler pour les affaiblir et les sĂ©parer des autres Arabes israĂ©liens. Ça m’a fait rĂ©flĂ©chir. Personnellement, j’ai eu la chance d’ĂȘtre exemptĂ©e de service militaire pour raison mĂ©dicale, mais mon petit ami, qui a refusĂ© de servir, a passĂ© six mois dans une prison militaire israĂ©lienne.
Nous sommes une minoritĂ© en IsraĂ«l Ă  questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s pour avoir manifestĂ© ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose Ă  faire serait de partir, d’aller quelque part oĂč des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait Ă©goĂŻste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiĂšte de ce qu’IsraĂ«l deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vĂ©cu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses gĂ©nĂ©rations avant la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l. J’espĂšre que nous pourrons un jour ĂȘtre tous Ă©gaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussĂ©e Ă  Ă©tudier le droit international : ne plus ĂȘtre impuissante face Ă  l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littĂ©rature russe classique, comme DostoĂŻevski ou TolstoĂŻ. Mon livre prĂ©fĂ©rĂ© est “Anna KarĂ©nine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussĂ©e Ă  Ă©tudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment Ă©tait ta vie avant la guerre ? OĂč vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine Ă  quel point cela doit ĂȘtre difficile pour toi. Je me rĂ©jouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
SincÚrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
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jloisse · 1 year ago
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Gaza đŸ‡”đŸ‡ž : Voici le 101Ăšme enfant dont l'identitĂ© est inconnue...
On ne sait pas si les membres de sa famille sont vivants ou s'ils sont tombés en martyrs.
Plus de 100 nourrissons se trouvent actuellement dans les hĂŽpitaux de Gaza.
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lemondeabicyclette · 1 year ago
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Mon quartier Ă  Gaza avant le 10 octobre 2023
« Pas d'électricité, pas d'eau courante, pas d'artÚres principales, pas de transports en commun. Imaginez maintenant essayer d'évacuer des nourrissons, de jeunes enfants, des femmes enceintes ou des patients ayant besoin d'oxygÚne à travers ce carnage pendant les bombardements qui se poursuivent. »
No electricity, no running water, no major thoroughfares, no public mass transportation. Now imagine trying to evacuate babies, small children, pregnant women or patients needing oxygen, through this carnage by walking, as you are currently being bombed
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lepartidelamort · 2 months ago
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Race sĂ»re d’elle-mĂȘme et dominatrice : dĂ©couvrez les croisiĂšres gĂ©nocidaires Ă  Gaza.
100% Talmud
Il y a les juifs tels que vous les connaissez à travers le cinéma hollywoodien.
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Et puis il y a les juifs réels.
Un univers sépare les deux.
Ils proposent donc des excursions en bateau en IsraĂ«l au large de la cĂŽte de Gaza pour assister aux bombardements et voir l’endroit oĂč ils prĂ©voient de construire de nouvelles colonies ?
Qui se paye des vacances dans des villes bombardées ?
Le peuple de la Torah.
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« Va maintenant, frappe Amalek, et dĂ©vouez par interdit tout ce qui lui appartient ; tu ne l’épargneras point, et tu feras mourir hommes et femmes, enfants et nourrissons, bƓufs et brebis, chameaux et Ăąnes » (Shmuel 15-3)
Les juifs ont consacrĂ© – et consacrent encore – beaucoup d’énergie pour imprimer dans l’inconscient des Occidentaux l’image d’un petit peuple sensible et gĂ©nĂ©reux, brimĂ© et martyrisĂ© gratuitement par des brutes assoiffĂ©s de sang.
Égyptiens, Perses, Romains, CroisĂ©s, Slaves, Allemands, etc., pas une glorieuse nation n’échappe aux campagnes de diffamation des juifs.
Le juif ne rĂšgle pas seulement des comptes rĂ©trospectivement, il domestique la plĂšbe goye en lui apprenant Ă  ne pas retenir de l’histoire les exemples de peuples qui se sont dĂ©fendus des juifs. Car s’ils se dĂ©fendaient, c’est qu’il y avait une menace en premier lieu.
La « lutte contre l’antisĂ©mitisme » revient Ă  apprendre aux enfants que les vipĂšres sont inoffensives.
C’est au contraire Ă  l’éducation des masses quant au pĂ©ril juif qu’il faut consacrer toute l’énergie nĂ©cessaire. C’est l’effort Ă  fournir pour s’épargner les affres que cette race sadique ne manque jamais d’infliger aux innocents.
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DĂ©mocratie Participative
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zawaj-halal · 8 months ago
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Gaza : Des nourrissons retrouvés en décomposition dans un hÎpital
DĂ©couvrez l'horreur silencieuse qui sĂ©vit dans les unitĂ©s de soins intensifs des hĂŽpitaux dĂ©vastĂ©s de Gaza, oĂč des bĂ©bĂ©s vulnĂ©rables luttent pour leur vie. Le personnel mĂ©dical courageux fait face Ă  des conditions impossibles, attendant une aide qui ne vient jamais. Un cri de dĂ©sespoir pour que le monde agisse et prĂ©vienne de telles tragĂ©dies Ă  l'avenir. #hĂŽpitalalnasr #genocide #palestine #gaza
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holybridget · 11 months ago
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1000 enfants sont concernés par des amputations sans anesthésie. Un nourrisson palestinien blessé soigné dans le service d'urgence surpeuplé de l'hÎpital Al-Shifa, dans la ville de Gaza. (Alter Québec).
Césariennes sans anesthésie, opérations à vif... "souffrir ou mourir", le dilemme des patients de Gaza face aux pénuries. (Midi Libre).
Gazaouis envoyé-e-s en Amérique latine ou en Afrique.
Danny Danon, un dĂ©putĂ© de son parti le Likoud a prĂ©cisĂ© que l'État hĂ©breu Ă©tait en contact avec des pays d'AmĂ©rique latine et d'Afrique. (Top1fos).
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shortcake22smess · 1 year ago
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from the river to the sea, Palestine will be free
Le 7 octobre 2023, le Hamas lance l'opération « Déluge d'Al-Aqsa » en direction de l'occupant isra4lien. En réponse, les colons bombardent la bande de Gaza sans sommation.
Nous sommes onze jours aprĂšs l'Ă©vĂšnement, la situation est toujours tendue lĂ -bas. Hier, l'armĂ©e israĂ©lienne bombarde un hĂŽpital chrĂ©tien oĂč des civils palestiniens ont cherchĂ© refuge. Parmi eux, des enfants, des nourrissons. On estime le nombre de martyrs entre 500 et 1000.
La communauté internationale ne bouge pas d'un poil. Certains refusent les propositions de cessez-le feu (dont la France), d'autres proposent des aides alimentaires (carrefour), militaires et financiÚres (les USA).
Les pays arabes ne font rien. Bien lotis sur leur trĂŽne ils ne se bravent que de condamnations et menaces sans convictions pour se donner bonne conscience. Pendant ce temps, les gazaouis crient leur douleur, hurlant entre quelques souffles oĂč sont les dirigeants arabes, oĂč sont les musulmans. 
Les mĂ©dias occidentaux, journalistes web, OSINTeurs et factchekker tentent de dĂ©montrer par tous les moyens que les responsables de la plupart des drames (dont le bombardement de l'hĂŽpital) sont causĂ©es par le Hamas tellement la vĂ©ritĂ© leur semble impossible. Les propagandistes isra4liens ont bombardĂ© leurs mĂ©dias d'intox : massacres et dĂ©c4pitation de 40 bĂ©bĂ©s - sans preuves, v*ol de femmes et de jeunes filles - sans preuves, corps brĂ»lĂ©s et mutilĂ©s - sans preuves. Pendant ce temps, mon feed twitter est inondĂ© de martyrs palestiniens, hommes, femmes et enfants. Certains brĂ»lĂ©s, amputĂ©s, enterrĂ©s sous les dĂ©combres. Un homme (peut-ĂȘtre le pĂšre) a prĂ©sentĂ© les restes d'un enfant dans deux sacs plastiques.
J'ai honte de mon pays d'origine qui a accordé à ces monstres assoiffés de sang des exterminations factices sur ses terres dans le cadre d'une coopération militaire cet été. Je méprise celles et ceux de ma communauté qui n'osent pas se positionner, qui n'osent pas renforcer les mouvements de boycott par faiblesse consumériste, qui ne sont pas le moins du monde touchés par ce qu'il se passe parce que les palestiniens n'ont pas montré de soutient au Sahara ou je ne sais quelle autre excuse bidon.
Je ne vais pas m'éterniser ici. Je pense me faire une petite vidéo, écrire un peu dans mon journal et me faire un énorme google doc qui récent tous les évÚnements qui viennent de se produire avec les noms de celles et ceux qui désormais me répugnent et auront des comptes à rendre auprÚs de leur Seigneur.
Ű­ÙŽŰłÙ’ŰšÙÙŠÙŽ Ű§Ù„Ù„ÙŽÙ‘Ù‡Ù وَنِŰčْمَ Ű§Ù„Ù’ÙˆÙŽÙƒÙÙŠÙ„
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infosisraelnews · 1 year ago
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"Nous nous nourrissons de rumeurs" : une conversation tendue entre les familles des personnes enlevées et le Premier ministre Netanyahu
Pour la premiĂšre fois depuis l’attaque brutale contre les localitĂ©s entourant Gaza il y a plus d’une semaine : le Premier ministre Benjamin Netanyahu a rencontrĂ© (dimanche) aprĂšs-midi les familles des personnes kidnappĂ©es et disparues. Le siĂšge des familles pour le retour des personnes enlevĂ©es et disparues La rĂ©union a lieu aprĂšs de vives critiques adressĂ©es Ă  Netanyahu par les familles des

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alain-keler · 4 years ago
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# 97 - Samedi 12 novembre 2005.
Je rencontre Itzaak Mendelshon sur le bord de la route n°1 dans JĂ©rusalem. Je vais le suivre jusqu’au rendez-vous de tous ces personnes qui vont se rendre Ă  Salem, petit village palestinien Ă  cĂŽtĂ© de Naplouse.
Tapouah junction. Je rencontre Erella et tous les autres israĂ©liens qui ont adoptĂ© deux villages palestiniens. Avant de repartir dans leur van, nous nous prĂ©sentons tous. Ils sont six. Tout est arrangĂ© avec les militaires, prĂ©venus que deux français accompagneraient le groupe, car nous avons un check point Ă  passer pour arriver au village. Erella a une trĂšs forte personnalitĂ©. Elle est ĂągĂ©e de 58 ans, elle est encore trĂšs belle. Sa fille Michal, 27 ans est sans doute comme devait ĂȘtre sa mĂšre au mĂȘme Ăąge : superbe.
Salem : rencontre avec des palestiniens dans le local de leur association « jamarya », une ONG de Salem, résolument apolitique.
Ils parlent de la vie du village et prĂ©parent une rencontre du CIRR (center for individual recovery and reconciliation, centre de rĂ©tablissement individuel et de rĂ©conciliation). Pendant qu’ils parlent dans la petite salle  du local, on entend l’appel Ă  la priĂšre. D’une fenĂȘtre, je regarde le village. Tout est trĂšs calme. Deux hommes s’affairent sur une construction. On entend chanter des oiseaux. Des enfants passent dans la rue. Il y a un champ d’oliviers en bas de la maison. Son propriĂ©taire, qui vit dans un autre village (Nassariah) m’offre le thĂ©. « IsraĂ«l is very dangerous », en fait il parle des colons. « They cut 100 orange trees 2 years ago » « ils ont coupĂ© 100 orangers il y a deux ans ».
Le berger Ahmad Abou Zaki, chez qui nous nous rendons ensuite en sait quelque chose. Le 28 aoĂ»t 2004, alors qu’il emmenait paĂźtre ses moutons dans un champ voisin, des hommes de la colonie voisine de Elon More l’ont attaquĂ©, battu ainsi que 3 jeunes qui l’accompagnait, tuĂ© ses deux chiens, abattu trois moutons.
Erella et son groupe se sont occupĂ©s de la fille du berger, Lulu, ĂągĂ©e de quatre ans et Ă©pileptique. Ils se sont mis en rapport avec des mĂ©decins de l’organisation « les mĂ©decins des droits de l’homme » qui ont pu l’emmener Ă  l’hĂŽpital Hadassa, Ă  JĂ©rusalem. La cause de la maladietrouvĂ©e, ils envoyĂšrent une lettre au mĂ©decin traitant. Depuis, Lulu va bien. Elle n’a plus de crises. Lorsqu’elle voit arriver Erella, elle ne la quitte plus.
Deux mois aprĂšs s’ĂȘtre fait battre par des colons, le berger Ahmad Abou Zaki se trouve dans un taxi conduit par Djabarah SaĂ«l, un rĂ©sident de Salem. Un colon armĂ© demande au chauffeur de s’arrĂȘter. Jugeant qu’il met trop de temps pour obĂ©ir, il lui tire dessus et le tue. Le colon venait de la colonie de Itamar, colonie parmi les plus extrĂ©mistes. Le colon,d’origine allemande,s’était convertit au judaĂŻsme rĂ©cemment. InculpĂ©, mais laissĂ© en libertĂ© en attendant son procĂšs, il a disparu, profitant sans doute de sa double nationalitĂ© et de ses deux noms.
La veuve de Djabarah Saël se retrouve avec six enfants, dont deux sont aveugles. La visite dans sa maison remplie de monde est trÚs chaleureuse.
Ensuite nous passons voir un autre habitant de Salem, Ahmed Issa, blessĂ© par un soldat israĂ©lien au check-point de la route menant Ă  Salem. Il revenait de l’hĂŽpital de Naplouse avec  sa femme et leur nourrisson d’un jour,puis nous allons rendre visite Ă  Abdallah, dans le village de Salfit.
Je trouve ces israĂ©liens remarquables, voici la liste des participants Ă  l’aide donnĂ©e aux villages palestiniens :
Erella Dunayutski, 58 ans. Psychologue
Michal Dunayutski, professeur de yoga dans une Ă©cole maternelle.
Itsaak Mendelsohn, 58 ans. Psychologue clinicien.
Inbal Schindel, 28 ans. Psychologue.
Uri Pinkerfeld, 77 ans. Fermier retraité du kibboutz.
Ehud Krinis, 38 ans. Doctorant à l'université Ben Gourion à Bersheba. l'un des fondateurs de ce groupe de citoyens..
Palestiniens victimes de la violence des colons : Ahmad Abou zaki, 38 ans, berger, blessé le 28 août 2004.
Djabarah Sael, 45 ans. Chauffeur de taxi tué par un colon. 27 septembre 2004.
Ahmad Issa, 50 ans. Blessé au point de contrÎle par un soldat israélien. 17 juillet 2005.
notes Ă©crites en anglais pendant la visite.
Itsaak Mendelsohn, clinical psychologist, wounded in october 94 in a terrorist attack, Itsaak joined a group of transformation of suffering, created in 1995. Met Erella, also participant. The dynamic of the group helped us to assume a leadership role. We met Abdallah in 1995 in this group. The palestinian partner of the project belong to a political party FIDA. (At the time dynamic of the peace).
In 1997, Erella and Itsaak started transformation in Gaza. The project ended with the beginning of the second intifada.
In 2002, we came to this area to help palestinians to harvest olives in the fields close to the violent settlements. Throught the picking of olives, we became a group, the villager’s group. Transformation of suffering was made to break borders of people suffering in the same conflict. It started in time of peace.
Traduction rapide : « Itsaak Mendelsohn, psychologue clinicien, blessé en octobre 94 dans un attentat terroriste. Itsaak a rejoint un groupe de transformation de la souffrance, créé en 1995. A rencontré Erella, également participante. La dynamique du groupe nous a aidés à assumer un rÎle de leader. Nous avons rencontré Abdallah en 1995 dans ce groupe. Le partenaire palestinien du projet appartient à un parti politique FIDA. (A l'époque dynamique de la paix).
En 1997, Erella et Itsaak ont commencé la transformation à Gaza. Le projet s'est terminé avec le début de la deuxiÚme Intifada.
En 2002, nous sommes venus dans cette rĂ©gion pour aider les Palestiniens Ă  rĂ©colter les olives dans les champs proches des colonies violentes. Par la cueillette des olives, nous sommes devenus un groupe, le groupe des villageois. La transformation de la souffrance a Ă©tĂ© faite pour briser les frontiĂšres des personnes qui souffrent dans le mĂȘme conflit. Cela a commencĂ© en temps de paix ».
From a psychanalitic point of view, when you are afraid of something or you feel threatened, like the settlers identify themselves with the fear they live next to the palestinians, they want to destroy what threaten them. It is something disociated with jewish religion, it doesn’t belong to it.
Traduction du psy : D'un point de vue psychanalytique, lorsque vous avez peur de quelque chose, ou que vous vous sentez menacé, comme les colons qui s'identifient à la peur qu'ils vivent à cÎté des Palestiniens, ils veulent détruire ce qui les menace. C'est quelque chose de dissocié de la religion juive, cela ne lui appartient pas.
La gĂ©nĂ©ration des palestiniens de Abou Zaki avait dans les annĂ©es 90 l’habitude de travailler en IsraĂ«l. Ils parlaient la langue et connaissaient les israĂ©liens. Leurs enfants ne peuvent se dĂ©placer nulle part, ne parlent pas l’hĂ©breu, ne connaissent des israĂ©liens que les colons et les soldats.
Sur la photo d’aujourd’hui, la femme du chauffeur de taxi tuĂ© par un colon.
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franckdoutrery · 5 years ago
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HĂ©rode bourreau d’enfants
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Qu’est-ce qui lui a pris, Ă  ce roi maudit, de faire massacrer les « saints innocents » en pleines vacances de NoĂ«l ? C’était urgent Ă  ce point ? Ça ne pouvait pas attendre l’Épiphanie ou mĂȘme la Chandeleur ? Et la trĂȘve des confiseurs, c’était fait pour les chiens ?
Il est vrai qu’HĂ©rode avait pris peur quand ces trois astrologues venus d’Orient lui avaient annoncĂ© la naissance d’un nouveau roi. En apprenant la nouvelle, il avait failli avaler de travers sa dinde farcie aux marrons. Quoi, un nouveau roi ? Et ses services de sĂ©curitĂ© ne l’en avaient pas informĂ© ? Ça se passait prĂšs de chez lui et il avait fallu que des rois venus des antipodes lui dĂ©voilent ce scoop important ? D’une importance capitale mĂȘme, car quand on est assis sur un trĂŽne, c’est comme le coq sur son fumier : on n’aime pas qu’un autre vienne vous disputer votre place. Surtout qu’en vieillissant et en prenant de la bouteille, HĂ©rode Ă©tait devenu de plus en plus mĂ©fiant. Des visiteurs du soir lui avaient dĂ©jĂ  rapportĂ© des propos inquiĂ©tants, qui circulaient dans les dĂ©pendances du palais : « Qu’est-ce qu’il attend pour prendre sa retraite ? Place aux jeunes, que diable ! » Et justement, le nouveau roi, que ces trois magiciens venaient d’annoncer, Ă©tait jeune, trĂšs jeune, un bĂ©bĂ© mĂȘme. Et c’est ce bĂ©bĂ© qu’ils entendaient dĂ©jĂ  choyer et honorer comme un prince de sang. Heureusement, malgrĂ© la comĂšte baladeuse qui les avait guidĂ©s, ils ignoraient l’adresse exacte de la crĂšche.
Et c’est lĂ  qu’HĂ©rode vit en un Ă©clair comment Ă©carter la menace. Il tira la sonnette et ordonna Ă  son chef de la SĂ©curitĂ© de lui trouver sĂ©ance tenante le lieu oĂč Ă©tait nĂ© le nouveau roi. Ce chef consulta ses fiches et rĂ©pondit tout Ă  trac : « À BethlĂ©em ! Plus prĂ©cisĂ©ment dans le faubourg sud ! LĂ  oĂč les bergers couchent Ă  la belle Ă©toile, vous savez ? Sur votre gauche, il y a une Ă©table. C’est lĂ ! ! Vous ne pouvez pas vous tromper ! » DrĂŽle de nouveau roi, se dit HĂ©rode, qui naĂźt dans un abri Ă  bĂ©tail, alors que j’ai fait construire de si beaux palais. NĂ©anmoins, en cachant bien ses intentions, il dit Ă  ses invitĂ©s : « Allez-y, chers collĂšgues, prĂ©sentez-lui vos hommages et vos prĂ©sents ! Mais revenez me voir ensuite pour que je puisse moi aussi lui tĂ©moigner mes respects ! »
Et c’est ce qu’ils firent dans un premier temps. Ils trouvĂšrent donc l’étable, se prosternĂšrent devant le nouveau-nĂ© appelĂ© JĂ©sus et lui offrirent ses cadeaux de NoĂ«l. AprĂšs quoi, ils auraient dĂ», comme convenu, rentrer Ă  JĂ©rusalem pour faire rapport Ă  HĂ©rode. Mais c’était lĂ  compter sans les anges. On sait pourtant qu’ils interviennent souvent dans les histoires bibliques, surtout aux alentours de NoĂ«l. Ils annoncent la nativitĂ© aux bergers, chantent des noĂ«ls Ă  plusieurs voix autour de la crĂšche ou avertissent en songe leurs protĂ©gĂ©s. Il le firent notamment avec les rois mages en leur conseillant nuitamment de ne pas retourner chez HĂ©rode, mais de rentrer chez eux par un chemin de dĂ©lestage. De mĂȘme ils incitĂšrent Joseph Ă  dĂ©camper au plus vite et d’aller avec sa sainte famille Ă  marche forcĂ©e vers le sud, direction Gaza, passer la frontiĂšre Ă©gyptienne, laisser les pyramides de Gizeh Ă  gauche, longer le Nil, poser leur baluchon dans la rĂ©gion fertile de Louxor et y rester jusqu’à la mort du tyran.
Or quand HĂ©rode eut vent de ce coup de Jarnac angĂ©lique, il faillit de nouveau s’étrangler. Comment, il s’était fait rouler par des anges ? Il Ă©clata d’une colĂšre noire qui lui fit monter le rouge au front. Si c’était comme ça, on allait voir ce qu’on allait voir ! Il fit appeler son chef d’état-major et lui ordonna d’envoyer sans tarder la soldatesque Ă  BethlĂ©em pour trucider tous les enfants mĂąles, surtout les nourrissons et les bĂ©bĂ©s en crĂšche, parmi lesquels se trouvait Ă  coup sĂ»r le nouveau roi. Les passer tous au fil de l’épĂ©e, Sire ? Votre majestĂ© est sĂ»re que c’est bien nĂ©cessaire ? ÉpĂ©e, dague, sabre, couteau, canif, je m’en fous ! Qu’ils y passent tous, tu m’entends ! Et que ça saute, car il y a urgence !
Les historiens de l’AntiquitĂ© trouvent que ce rĂ©cit des rois mages et des « saints innocents » ne tient pas la route. En vĂ©rifiant les dates, ils ont trouvĂ© qu’à la naissance de JĂ©sus, HĂ©rode Ă©tait dĂ©jĂ  mort depuis au moins quatre ans. Et comme un cadavre se rĂ©veille rarement pour attenter Ă  la vie des petits garçons, il y a comme un doute. Quant Ă  ces anges comploteurs, ces mages pĂšlerins et cette comĂšte si opportune, ce serait trop beau pour ĂȘtre vrai. Que les empereurs, rois, tyrans et autres potentats aient Ă©tĂ© depuis toujours prĂȘts Ă  faire n’importe quoi pour rester au pouvoir, soit ! Qu’à cet effet ils aient pris l’habitude de liquider leurs successeurs prĂ©sumĂ©s, ça remonte aussi Ă  la plus haute AntiquitĂ©. Mais liquider tous les enfants mĂąles d’un coup d’un seul, n’était-ce pas prĂ©parer des lendemains marquĂ©s par une baisse inquiĂ©tante de la natalitĂ© ? Sans parler du dĂ©ficit catastrophique pour le service militaire ? Il fallait ĂȘtre dingue pour prendre une telle dĂ©cision. Mais aprĂšs tout, le pouvoir absolu ne rend-il pas absolument fou ? Ça non plus, ce n’est pas nouveau. C’est mĂȘme vieux 
 comme HĂ©rode.
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jchernandezphotographe · 7 years ago
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#Gaza : en route vers un nouveau massacre, pire que les précédents - par #GideonLevy pour #Haaretz #israël
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#Gaza : en route vers un nouveau massacre, pire que les précédents - par #GideonLevy pour #Haaretz #israël
Par Gideon Levy — 16 juin 2017
Crises Droit international Économie HĂ©gĂ©monie Histoire IsraĂ«l Palestine SantĂ©
Une heure supplémentaire chaque jour sans électricité à Gaza, et ce sera le signal : des roquettes Qassam. Israël, une fois encore sera la victime, et le massacre commencera.
IsraĂ«l et Gaza ne sont pas face Ă  une nouvelle guerre, ils ne prennent pas la direction d’une autre “opĂ©ration” ou d’un “round” de plus. Cette terminologie trompeuse est destinĂ©e Ă  induire en erreur et Ă  faire taire les derniers scrupules de conscience.
Ce qui est en cause actuellement, c’est le risque d’un nouveau massacre dans la Bande de Gaza. ContrĂŽlĂ©, mesurĂ©, pas trop massif, mais malgrĂ© tout c’est bien d’un massacre qu’il s’agit. Quand des officiers, des politiciens et des commentateurs israĂ©liens parlent du “prochain round”, ils parlent du prochain massacre.
Il n’y aura pas de guerre Ă  Gaza, parce qu’il n’y a personne Ă  Gaza pour combattre contre l’une des armĂ©es Ă©quipĂ©es des armements les plus puissants au monde, et cela mĂȘme si le commentateur des questions militaires Ă  la tĂ©lĂ©vision, Alon Ben David, affirme que le Hamas est capable d’aligner quatre divisions.
Les habitants de Gaza sont les sujets d’une expĂ©rience conjointement menĂ©e par l’AP et IsraĂ«l : peuvent-ils survivre avec une heure d’électricitĂ© par jour ? Est-ce que 10 minutes ne suffiraient pas ?
Il n’y aura pas davantage la moindre bravoure (israĂ©lienne) Ă  Gaza, car il n’y a aucune bravoure Ă  attaquer une population sans dĂ©fense. Et,bien entendu, il n’y aura ni moralitĂ© ni justice Ă  Gaza, car il n’y a ni moralitĂ© ni justice dans le fait de se lancer Ă  l’assaut d’une cage scellĂ©e pleine de prisonnier qui n’ont mĂȘme aucun endroit vers oĂč fuir, s’ils en avaient la possibilitĂ©.
Donc, appelons un chat un chat : c’est bien d’un massacre qu’il s’agit. Et c’est de cela qu’ils parlent actuellement en IsraĂ«l. Qui est pour un massacre, et qui est contre ? Serait-il “bon pour IsraĂ«l” ? Contribuera-t-il Ă  sa sĂ©curitĂ© et Ă  ses intĂ©rĂȘts, ou pas ? Provoquera-t-il la perte du pouvoir par le Hamas, ou non ? Sera-t-il favorable aux intĂ©rĂȘts Ă©lectoraux du Likoud ou pas ?  IsraĂ«l a-t-il le choix ? Bien entendu que non !
Toute attaque contre Gaza se soldera par un massacre. Rien ne peut le justifier, parce qu’un massacre est injustifiable. Nous devons donc nous demander : sommes-nous pour un nouveau massacre à Gaza ou non ?
Les pilotes sont dĂ©jĂ  Ă  l’échauffement sur les routes, tout comme les artilleurs et les femmes soldats qui manipulent des joysticks [pour piloter Ă  distance les drones de l’armĂ©e – NDLR]. Une heure supplĂ©mentaire chaque jour sans Ă©lectricitĂ© Ă  Gaza, et ce sera le signal : des roquettes Qassam. IsraĂ«l, cette fois encore sera la victime, et des millions d’IsraĂ©liens se rĂ©fugieront dans des abris une fois de plus. “Nous sommes sortis de Gaza et regardez comment ils nous rĂ©compensent. Oh le Hamas, ces assoiffĂ©s de guerre, les plus cruels d’entre eux tous
”.
Mais quel autre moyen reste-t-il Ă  Gaza pour rappeler au monde son existence et sa dĂ©tresse inhumaine, hormis les roquettes Qassam ? Ça fait trois ans qu’ils Ă©taient tranquilles, et voilĂ  qu’ils sont les sujets d’une recherche menĂ©e conjointement par IsraĂ«l et l’AutoritĂ© Palestinienne [de Ramallah] : une grande expĂ©rience menĂ©e sur des cobayes humains. Est-ce qu’une heure d’électricitĂ© par jour suffit pour une existence humaine ? Peut-ĂȘtre que dix minutes seraient suffisantes ?  Et qu’arrive-t-il Ă  des humains sans Ă©lectricitĂ© du tout ? L’expĂ©rience est en cours, les scientifiques retiennent leur souffle. Quand la premiĂšre roquette tombera-t-elle ? Quand le massacre commencera-t-il ?
Il sera plus affreux que les deux prĂ©cĂ©dents, parce que l’histoire nous apprend que chaque “opĂ©ration” israĂ©lienne Ă  Gaza est pire que la prĂ©cĂ©dente. L’opĂ©ration “Plomb durci” (fin 2008-dĂ©but 2009) a causĂ© 1.300 morts palestiniens, dont 430 enfants et 111 femmes, alors que l’opĂ©ration “Bordure protectrice” (durant l’étĂ© 2014) s’est soldĂ©e par 2.200 morts, dont 366 enfants (180 d’entre eux Ă©taient des nourrissons ou des tout petits) et 247 femmes.
Bravo pour l’augmentation du nombre de victimes. Notre force grandit d’une “opĂ©ration” Ă  la suivante. Avigdor Lieberman a promis que cette fois ce sera une victoire dĂ©cisive. En d’autres termes, le massacre sera cette fois plus horrifiant que tous les prĂ©cĂ©dents, si du moins il est possible de prendre au sĂ©rieux quoi que ce soit qui sorte de la bouche de ce Ministre de la DĂ©fense.
Il ne sert Ă  rien de s’étendre longuement sur les souffrances des habitants de Gaza : tout le monde s’en fiche, en tout Ă©tat de cause. Pour les IsraĂ©liens, Gaza Ă©tait et reste un nid de terroristes. Il n’y Ă  lĂ -bas personne qui leur ressemble.
L’occupation est finie, ha ha ha. Tous les rĂ©sidents de Gaza sont des meurtriers. Ils construisent des “tunnels terroristes” au lieu d’inaugurer des usines high-tech. Enfin, comment expliquez-vous que le Hamas n’ait pas dĂ©veloppĂ© Gaza ? Comment osent-ils ? Comment se fait-il qu’ils n’ont pas construit une industrie en Ă©tat de siĂšge, une agriculture en prison et de la haute technologie dans une cage ?
Ce sont lĂ  les mensonges que nous racontons Ă  propos de Gaza. Et encore un autre mensonge que nous racontons : nous allons renverser le pouvoir du Hamas. Or, tout Ă  la fois c’est impossible et IsraĂ«l ne le souhaite pas.
Le nombre des morts clignote, comme d’habitude, sur nos Ă©crans; sans plus avoir de signification pour quiconque. Des centaines d’enfants massacrĂ©s, qui peut imaginer une chose pareille ? Le siĂšge n’est pas un siĂšge, et mĂȘme l’idĂ©e d’une seule heure de coupure de l’alimentation en Ă©lectricitĂ© Ă  Tel Aviv dans la chaleur Ă©touffante de l’étĂ© ne provoque pas le moindre soupçons d’empathie envers ceux qui vivent sans Ă©lectricitĂ© du tout, Ă  une heure de Tel Aviv.
Alors, continuons Ă  vaquer Ă  nos affaires – la Gay Pride Parade, les rĂ©ductions pour l’accĂšs au logement des jeunes familles, l’instituteur pĂ©dophile
 Et quand des Qassam tomberont, nous ferons semblant d’ĂȘtre abasourdis, et dans le cadre de notre sacro-sainte autovictimisation nos bons pilotes prendront leur envol Ă  l’aube, en route vers le prochain massacre.
Gideon Levy  | 15 juin 2017
PubliĂ© sur Haaretz  sous le titre “Who’s in Favor of Massacre ?” Traduction : Luc Delval
Gideon Levy, “le journaliste le plus haĂŻ d’IsraĂ«l”, est un chroniqueur et membre du comitĂ© de rĂ©daction du quotidien Haaretz. Il a obtenu le prix Euro-Med Journalist en 2008, le prix Leipzig Freedom en 2001, le prix Israeli Journalists’ Union en 1997, et le prix de l’Association of Human Rights in Israel en 1996. Il est l’auteur du livre The Punishment of Gaza.
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lepartidelamort · 8 months ago
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DĂ©bauche de terreur juive Ă  l’ÉlysĂ©e oĂč Macron a reçu le CRIF gĂ©nocidaire
C’est au beau milieu d’un gĂ©nocide perpĂ©trĂ© par les juifs en Palestine que Macron Ă©tait invitĂ© Ă  l’ÉlysĂ©e par le CRIF, le gouvernement occulte qui dirige la France occupĂ©e. Les agressĂ©s (les indigĂšnes) ont prĂ©sentĂ©s comme les agresseurs et les agresseurs (les juifs) comme les agressĂ©s.
C’était un exercice dĂ©lirant, une inversion accusatoire complĂšte. Il s’en est pris au tribalisme des goyim qui « mĂšne au gĂ©nocide ».
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Au moment oĂč l’armĂ©e juive invoque sa Torah pour assassiner des dizaines de milliers de civils en Palestine, ce sont encore les pauvres goyim de France qui se font invectiver et menacer par Macron.
Gaza
Un Français servant dans l’armĂ©e israĂ©lienne montre des Palestiniens enlevĂ©s Ă  Gaza.
Le soldat dit : « Vous verrez son dos
 REGARDEZ COMMENT NOUS L’AVONS TORTURÉ »
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Macron a rappelĂ© que le combat contre la population indigĂšne se poursuivra, aucun signe d’insoumission Ă  la puissance coloniale ne sera admis.
Il a insistĂ© sur le fait que les victimes de la domination juive ne pourront jamais poser de questions. Subir l’oppression en silence, sous la menace de la rĂ©pression d’état, voilĂ  le programme pour les Français.
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Comme le dit Shannon Seban Ă  cette occasion, c’est « leur » prĂ©sident.
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Les juifs n’ont pas Ă©tĂ© trĂšs originaux. Ils ont exigĂ© que la terreur d’état contre la population française soit largement intensifiĂ©e, estimant que la traque d’état actuelle Ă©tait bien insuffisante.
FidĂšles Ă  leur modestie lĂ©gendaire, ils se sont dĂ©clarĂ©s en rĂ©sistance contre la population française, avant de dĂ©crĂ©ter que la moitiĂ© de l’électorat français, au moins, Ă©tait un ramassis d’ordures.
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Parmi les exigences mĂȘlĂ©es de menaces, la purge de l’universitĂ©.
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La censure de divers médias ensuite.
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IndĂ©pendamment de cette agitation, l’emprise juive sur la France, si elle est totale au plan institutionnelle et gouvernementale, fond comme neige au soleil dans la sociĂ©tĂ©.
Les afro-maghrĂ©bins, pour ne citer qu’eux, n’en peuvent plus.
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Il faut dire que Macron urine gĂ©nĂ©reusement sur les cadavres de nourrissons palestiniens exĂ©cutĂ©s par milliers par l’armĂ©e de tutelle du CRIF, Tsahal. Ce n’est pas de nature Ă  plaire aux quelques 12 millions de musulmans qui sont Ă©tablis dans le pays.
Les cercles dirigeants ont des raisons d’ĂȘtre inquiets. Ils savent que le juif est ciment de ce rĂ©gime en voie d’implosion. Le fait que le juif soit dĂ©sormais le dĂ©nominateur commun de la colĂšre populaire ne peut que se convertir en rĂ©volte contre le rĂ©gime lui-mĂȘme.
Les juifs le disent et le rĂ©pĂštent Ă  raison : sans eux, il ne peut y avoir de rĂ©publique, rĂ©gime ontologiquement Ă©tranger. C’est avec l’avĂšnement de la TroisiĂšme RĂ©publique et la non-affaire Dreyfus que les juifs ont conquis l’État français pour ne plus le lĂącher, si ce n’est durant la brĂšve pĂ©riode de 1940-1944, mollement, quand l’Allemagne nationale-socialiste a libĂ©rĂ© la France.
Ce n’est pas innocemment qu’ils ont donc rappelĂ© qui tenait le rĂ©gime depuis toujours. Macron, plus vil d’obsĂ©quiositĂ© que jamais, a complaisamment rampĂ©.
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Ce numĂ©ro de cirque n’a toutefois aucun impact sur la rĂ©alitĂ©.
Ces juifs n’y cĂšdent que parce qu’en raison de leur nature puante d’arrogance. Parader et se donner en spectacle tout en insultant le pays qu’ils squattent est leur raison d’ĂȘtre. Du lever au coucher, ils ne pensent qu’à ça.
C’est un fait, sans les flics la population aurait dĂ©jĂ  lancĂ© la chasse au juif. Au minimum du minimum, les musulmans seraient dĂ©jĂ  passĂ© aux travaux pratiques dans l’indiffĂ©rence des Français de souche. Les juifs savent que les Français ne bougeront pas le petit doigt pour leur sauver la mise et c’est ce qui les angoisse terriblement : si, pour telle ou telle raison, la police française dĂ©faillait, et c’est inĂ©vitable Ă  terme, il y aurait des pogroms spontanĂ©s un peu partout dans les villes françaises.
Personnellement, j’estime qu’il faut laisser ces gens discuter de leurs problùmes entre eux, sans intervenir.
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Naturellement, ces juifs observent la tempĂ©rature monter inexorablement. L’observateur peu informĂ© pourrait croire que cela modĂ©rerait les ardeurs de ces gens, mais c’est mal connaĂźtre la nature fanatique du juif. Ces juifs sont aussi dĂ©nuĂ©s de scrupules qu’ils sont stupides, ils redoublent donc dans l’insolence et les menaces, attisant toujours plus la rĂ©sistance populaire Ă  leur ignoble impudence.
C’est justement dans ce moment qu’il opte pour la radicalisation totale. Partout, il revendique fiĂšrement sa race, s’exhibe, glorifie les menĂ©es gĂ©nocidaires de son organisation terroriste en Palestine, menace peuples et nations avec une haine redoublĂ©e.
Et plus le juif se dĂ©chaĂźne contre les autres, plus il s’exhibe en gĂ©missant, se disant la victime d’un incomprĂ©hensible complot international.
Politiquement, il faut ĂȘtre suicidaire pour miser sur ces juifs.
L’homme le plus lucide actuellement sur cette rĂ©alitĂ©, c’est MĂ©lenchon. Les mĂ©dias juifs peuvent l’insulter du matin au soir, cela ne change rien.
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