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Non-English Songs Celebrates Christmas #9 | Band Aid 30 - Noël est là (Do They Know It's Christmas?) (French)
#see how i posted this right after a zulu song? i did that On Purpose#band aid 30#noël est là#do they know it's christmas?#french#français#fra#romance#indoeuropean#europe#france#2014#2010s#pop christmas#christmas#Youtube
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i'm genuinely not trying to start shit and i don't doubt people's experiences, but that post about "european christmas traditions are racist" is... baffling to me. i'm trying to think of examples i'd have seen or heard of personally here and nothing comes to mind??? my family is deeply catholic and racist and traditional so i THINK i would know 😭😭 in my experience it was mostly about singing carols about gruesome child murder and cannibalism and baking star-shaped cookies. the nativity sets ive seen were actually "diverse" (aka normal) in a Normal Way because of the three wise men (and melchior especially), ive never seen blackface in this context... like yeah i remember being annoyed about mary & joseph looking white as hell but it's Regular Church Racism more than a christmas tradition in itself (?)
#enfin oui le père Noël est une ordure c pas le film le plus woke de l'univers mais c'est pas une tradition dans ce sens là quoi#like i'm really not trying to start shit i'm genuinely curious! i'll delete if it turns out i'm the only person in this country not aware of#The Racist TraditionTM
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Je refuse de parler de novembre qui a été un tel vide productif que c'est comme si j'avais décidé de faire un contre-Nanowrimo
Mais décembre commence fort et ce week-end, j'ai écrit plus que sur la totalité de novembre \O/
Statut de l'omégaverse officiel : 19 369 mots (+ 6110 mots !!!), et je peux désormais dire qu'on est tout proche de la fin, genre à deux scènes de la fin. J'aimerais remercier celleux qui y ont cru, je n'en faisais pas partie 👍
Statut de la Version Procrastination : 3143 mots (+ 772 mots), parce qu'au bout du compte elle n'a pas été intégrée à la version officielle. Je ne suis pas sûre de la finir, même si elle ne va globalement pas être beaucoup plus longue (si elle atteint 5000 mots, ce sera le bout du monde). On verra ¯\_(ツ)_/¯
#quand je dis proche de la fin je parle du premier jet#le retravail du milieu mou va être épique#mais franchement le plus dur est fait#dans mes rêves les plus fous je la publie à Noël mais soyons honnêtes ce sera plutôt janvier 2024#et encore si j'ai pas de crise existentielle d'ici là#blabla#writing#bilan d'écriture
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Quand à 5 jours de Noël j'ai perdu le goût et l'odorat
#oui oui#hello COVID#première fois pour moi#autant vous dire que j'étais au bout#mais petit miracle#le goût est revenu juste pour le 24#et comme ça faisait une semaine à ce moment là que j'avais les symptômes#j'ai pu faire noël avec ma famille
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Working for christmas is like going to bed at 19h, waking up at 4h and forgetting it's christmas.
But at least i got a nintendo switch teehee.
#et je me suis pétée le bide avec tous les trucs de la boulangerie#je veux bien y bosser si je peux manger gratos tbh#par contre j'ai bien mal aux jambes#et on m'a félicitée parce que j'ai fais du bon boulot à la vente hihihii#best gift ever#en plus la connasse qui couche avec le collègue marié et qui draguait le mien était pas là donc yeay belle journée#par contre les gens qui viennent acheter une buche pour 12 PERSONNES et qui râlent parce qu'il y en a plus#franchement#à quoi vous pensez#ptn mon copain a fait des mini burger foie gras#je pleure#le meilleur cadeau qu'on puisse me faire c'est vraiment de la bouffe jpp#gimme food and i'll give u my heart#voilà voilà je raconte ma vie#joyeux noël tout le monde#et passe un bon réveillon si qlq est tjr en train de lire mdr#<3
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Le Père Noël est toujours là , je l'ai croisé au bord de la plage
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Hier l'ado avait le choix entre sortir au marché de Noël avec ses potes de l'école, qui planifiaient de boire trop, et un souper cougnou-cacao avec ses potes du cirque.
Il a choisi la deuxième option parce qu'il n'a pas envie que ses potes le forcent à boire. Je suis allée le reprendre vers 21h, ils étaient sur un jeu de société, j'ai continué la partie avec eux, c'était hilarant (jouez à Trio, c'est génial), on est repartis de là à 22h30.
Pendant ce temps-là, une de ses potes de l'école était emportée par l'ambulance sur le marché de Noël :(
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Pourquoi faut-il continuer à souhaiter "Joyeux Noël" ?
L’anniversaire de la naissance de Jésus est comme un caillou sous le pied des idéologues du progressisme transhumaniste, elle entrave leur ténébreuse marche vers l’abîme.
Avant d'être récupérée religieusement, commercialement et idéologiquement, l’ancienne fête Saturnale devenue célébration de la naissance du Christ (Noël = Nouvelle Alliance) nous rappelle qu’avec le christianisme, la vieille idée d'un Dieu situé par delà le monde — quelque figure que prenne ce Dieu — un au-delà inaccessible qui serait responsable de ce qui nous arrive, a fait son temps...
L'engagement total d'un Dieu dans l'histoire humaine culmine avec cette image du Christ comme un dieu souffrant et mourant dans le supplice, car ce qui meurt sur la croix, comme le note Hegel, ce n'est pas un "représentant" de Dieu, mais «le Dieu de l'au-delà lui-même».
Le christianisme étant la religion de l'ath��isme par excellence (Chesterton: «la seule religion où le Dieu lui-même devient athée»), il ne saurait plus y avoir un Dieu imaginaire qui depuis l’au-delà tire les ficelles de notre destinée (Eli Eli lama sabachtani)…
En transformant la formule de Nietzsche "Dieu est mort" par "Dieu est inconscient" Lacan nous fait entendre où se situe désormais la responsabilité qui nous incombe après le retrait du Dieu: nulle part ailleurs que dans l'immanence radicale de notre Dire.
L’une des manières d’entendre la formule lacanienne selon laquelle le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu'un...
Aujourd’hui plus que jamais nous incombe-t-il de reconnaître le noyau émancipateur du christianisme historique, en tant qu’il y a un rapport des plus étroits entre le Saint-Esprit et la pulsion de mort freudienne.
Si au célèbre "Gott ist tot" Lacan substitue sa formulation "Dieu est inconscient", ce n'est pas pour modérer l'impact de la déclaration nietzschéenne, au contraire, c'est de la logique, la mort du Christ est strictement indissociable de son autre côté: l'immortalisation du corps ("Christ n'est pas mort") qui signale que "quelque chose" dans le corps humain est plus que le corps humain, un objet partiel, non-mort, obscène... l’objet petit (a).
Quand Paul (Romains VII, 4) dit que les chrétiens meurent à la loi (juive) à travers le corps du Christ, il convient de s'arrêter sur ce paradoxe: la loi a été surmontée par ce qui est étroitement lié au péché parmi les hommes, car le site de cette lutte - et son surmontement - n'est pas la loi mais bien ...le corps.
J’appelle christianisme le corps doctrinal qui considère l’avènement christique dans sa stricte perspective théologale.
Si la résurrection est le point saillant du christianisme, cela ne veut pas dire que le Christ se soit réincarné dans un autre corps, c'est là précisément qu'intervient le troisième terme, le terme médian, de la trinité chrétienne: la notion de Saint-Esprit.
Le Saint-Esprit, c'est un nom pour la vie au-delà de la vie, par delà le cycle biologique de la génération et de la corruption, le Saint-Esprit n'est rien d'autre que la permanence de l'ordre symbolique lui-même, là où nous sommes toujours, en tant que "parlêtres", déjà transubstantialisés en sujet.
Or le Saint-Esprit désigne aussi la "communauté des croyants", en d'autres termes le (nouveau) lien social (Noël) naissant de l'Autre (l'ordre symbolique) après l'avènement christique.
C'est ainsi qu'il faudrait entendre la réponse du Christ lorsqu'on lui demande où il sera après sa mort: "Chaque fois qu'il y aura de l'amour entre deux d'entre vous, je serai là."
"Là" ce n'est nulle part ailleurs que dans ...la parole d'amour.
Voilà pourquoi Lacan appelait le christianisme "la vraie religion", la religion de la révélation, la seule religion jamais apparue sur Terre où Dieu lui-même devient athée, la révélation du christianisme, c’est qu’il n’y a rien à révéler, tout est toujours "déjà là", l’Autre est un schème mort, impuissant, il n’y a rien à attendre de "l’au-delà", notre croyance déniée dans le Père Noël n’y peut mais, la révélation vraie et réelle c’est qu’il n’y a que nous (et seulement nous) qui puissions tirer au clair l’inconscient dont nous sommes sujet, autrement dit la logique du signifiant qui détermine notre destinée…
Bon Natale !
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Paris aux approches de Noël à l'époque, il y a longtemps, combien c'était beau. Les porches, les entrées éclairées, les hautes fenêtres avec leur rideaux là-haut, la branche qui dépasse d'un sapin décoré, les moulures aperçues d'un plafond illuminé. Je regardais tout cela enfant depuis en bas, depuis la rue. Et en arrière-plan le soir était la pénombre des parcs avec leurs feuillages balancés au vent derrière les grilles en fer. Émergeant ça et là, les gens, les familles surtout, une chose rare aujourd'hui, les gens étaient en famille. Des pères à l'allure fringante, de jeunes mères avec chacune plusieurs enfants, très rangés, très élégants, très heureux. Un monde comme mon monde, chez mes grands-parents. Le monde comme un prolongement tranquille de mon monde. Le décor des logements bourgeois dans des films comme Les Visiteurs, Opération Corned-Beef, Le père Noël est une ordure, étaient tous semblables au logement principal et secondaire de mes grands-parents, ainsi la vie future serait une tranquille continuité entre la vie privée et la vie publique, et la France remise à l'endroit par ces visites chez ces Anciens aurait forcément raison bientôt de la montée des "voyous" comme on les appelait alors. J'avais une famille. Un havre de paix gratuit quelque part, un refuge avec une place à mon nom, une base. Quand j'ai compris avec le temps que c'était ma seule famille, vu mes origines, alors que tous mes amis en avaient deux, cette base est devenue alors un idéal à reconstruire pour la vie adulte future.
La fête que c'était, Paris, enfant, avant Noël. La foule variée des restaurants, des cafés, tout cela inondé de lumière qui devait ne jamais s'éteindre. Il y avait la vie quelque part, cela existait, il suffisait de le savoir pour s'en retourner rassuré dans sa banlieue éteinte affronter la montée des "voyous", épreuve temporaire qui finirait bientôt, car les méchants finissent au bagne disait Le Bouillon. Paris, les grands magasins. Le Printemps. Les Galeries Lafayette. Le métro avec ses publicités immenses pour La Samaritaine. Le Trocadéro. Les églises. Les gares pleines de voyageurs avec des skis. Et partout où l'on allait dans la ville les sapins ceinturés de girandoles, constellés de lumières dans les entrées d'immeuble, dans les halls de palace, dans les magasins, partout, comme une symphonie unanime dans le pays où chacun joue sa partition privée spontanément, partout. Les avenues bordées d'immeubles en pierre, illuminés du dedans, peuplés de familles françaises qui attendaient Noël comme nous. Les guirlandes électriques dans les rues. Les publicités pour les spectacles, les salles de spectacle avec leurs portes en or qui donnaient 3 représentations par jour d'un Molière ou d'un Feydeau, bondées de foule française heureuse, pendant ces jours qui précédent Noël, pendant la montée progressive vers cette réjouissance, 19 Décembre, puis l'entrée dans les chiffre des vingtaines, le 20, le 21, de mieux en mieux le 22, le 23, puis le 24 et le parachevèment du 25, point final et point d'orgue de l'année. Les libraires, les bistrots, les brasseries avec leurs étalages d'écailler mirifique, les pancartes "arrivage d'escargots", les teinturiers derrière leurs comptoirs assiégés, les écoles encore encore occupées, les salons de coiffure pleins de dames, les marchands de gravure et leur air compassé, les détaillants en spiritueux. Partout la vie. Et chez nous, se retrouver à 20 convives, accomplir les préparatifs, réserver les huîtres, cuisiner des plats, allumer des lumières partout dans un appartement spacieux où chaque pièce devenait habitée, ici pour s'habiller, ici pour emballer en secret des paquets, là pour parler affaires, chacun à sa place. 1995. 1990. 1988, et avant. Larmes fréquentes rien que d'y penser. Cette lugubre, hideuse impression de fin de tout aujourd'hui, dans l'indifférence dépeuplée, cynique, impie, technologique. Tout cela beaucoup trop violent, beaucoup trop méchant quand on est seul, quand on est loin, quand le train qui vous dit "complet" part sans vous et qu'on s'essouffle à le rattraper. Parti au vent le parc Monceau, et le Ranelagh, le manège en bois, la boulangerie, le marchand de caddies à motifs écossais en bas de la rue. Cette ville grise à l'extérieur et si chaude, si lumineuse, si proprette dès que l'on entrait quelque part. Auteuil, l'arrêt "Jasmin" sur la ligne du 9, la légende, la ligne qui mène aux Champs-Elysées et au virage Boulogne, à la bourgeoisie et au combat. Et le musée de la marine, et l'aile Denon au Louvre d'où l'on revenait plein d'histoires à raconter, le théâtre de Chaillot, et Guimet, et les petits cinémas du 16ème qui donnaient Maman j'ai raté l'avion en 1990. Et les vieux appareils électriques oranges, notamment le presse-agrume, le couteau électrique qui fait des fines tranches de rôti, le hachoir à jambon, la yaourtière. Et la noble charité filiale, légère, facile, dégagée, qui nimbait tout cela dans un ordre qui avait toujours été, qui serait toujours, grâce auquel nous n'aurions jamais à nous inquiéter de rien.
Et aujourd'hui... À six heures du matin rugit le hurlement des poids-lourds qui redémarrent au feu rouge (visages effondrés des routiers moldaves à la proue de 20 tonnes de béton sur métal qu'ils ont conduit toute la nuit). Les embouteillages, les rues défoncées, les palais noircis qui s'enfoncent dans la boue du sol détrempé. Plus de jobs. Plus de prolétariat. Plus rien. Recommencer à "gagner sa vie" là-dedans seul, abandonné en rase campagne. Sueurs froides et halètement. Réminiscences de Houellebecq, Soral, de ces lectures de 2000-2010, de phrases comme "la société où vous vivez à pour but de vous détruire", ou "ils ont été emasculé par la violence du système", ou encore "vous étudiants, êtes voués à un monde de mensonge, de saloperie et de violence". Dire que cela nous semblait exagéré à l'époque... Tout est contre nous et personne ne fait rien. Et puis un pays noir. Des rues noires sous un temps noir. Population rare, verdâtre, visages froncés, bouches mal fermées, dents avides. Société excrémentielle. Pluie noire sur les dos voûtés, lavés à l'eau sale, qui rentrent par des cages d'escalier aveugles dans des bâtiments opaques aux vitres fumées d'où ne sort ni lumière ni branche de sapin, ni familles rangées. À côté de cela, les "consultants" badge au cou dans leur voiture payée par la prétendue union, prétendument européenne, et les "double paye sans enfant". Il n'y en a plus que pour les sournois suceurs. Un tel degré de saloperie, une entreprise aussi monstrueuse, devrait se payer par vingt Sinn Fenn par jour, méthodiques, fanatiques de justice en faveur des pauvres.
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TW — body horror, oppressions, médicamentation, violence médicale.
Petite, maman me disait que j'étais belle quand même.
Puis mes cornes ont poussé et son ton a changé. Elle ébouriffait mes cheveux et me mettait des chapeaux ridicules. « Ne le retire pas ! » ; elle criait, toujours sur mon dos. Ça va, c'est bon : c'est que des cornes. J'avoue qu'être altéré·e, chez moi, c'est écrit sur mon front. Il y en a d'autres qui flottent dans les airs. Ma fiancée, elle, elle a une ruche d'abeilles dans le ventre : ses lèvres ont le goût du miel. Faut pas chercher de logique ni de sens. D'ailleurs, Il n'y a même pas de lien génétique. Ça veut dire que papa et maman sont souvent des types lambdas ; et qu'un père cracheur de feu et une mère qu'a des ailes donnent pas naissance à un dragon.
Il y a des bébés qui naissent tout verts, moi j'avais des bosses sur le crâne. Certains, ça se déclare plus tard : genre les types qui voient dans le noir ou celles et ceux qui contrôlent la flotte. Mais ça fait toujours son apparition quand on est mioche. À partir de là, c'est quasi la même histoire pour tout le monde : parents paniqués, rendez-vous médicaux répétés et la sensation âpre des instruments gelés. À la fin, on a tous le droit aux petites pilules bleu pastel. C'est un traitement qui stoppe l'altération paraît-il. Mais ça fout le corps en vrac surtout.
Ado, je demandais à ma mère si je la dégoûtais. Elle me disait : « c'est pas que j'ai honte, c'est que j'ai peur pour toi ». M'ouais. Alors, je lui soufflais que j'étais triste et elle me répondait : « moi encore pire ».
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Un jour, une petite info sur le projet. C'est le putain de calendrier de l'avent ma gueule. On prévoit une préouverture en décembre. Les périodes de fête, comme c'est compliqué : elle s'étendra un peu. L'ouverture se fera en janvier. Les gens qui voudront pourront venir RP en avance et les gens qui peuvent pas viendront après sans avoir le stress d'avoir raté un truc !
BREF, si vous avez moindre la question sur les altérations, les ask sont ouverts et vous pouvez aussi poster un com' ! On vous laisse un petit poll pour l'annexe de demain. Ça portera sur les traitements pour les altérations.
Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
PS : le père Noël existe et c'est un altéré.
#rpg francophone#rpg forum#forumactif#rpg fantastique#rpg faceclaim#rpg city#projet rpg#projet forum
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saga: Soumission & Domination 331
Noël 2014 : " belle famille ", Emma
Pour cette fête de fin d'année, Emma nous invite tous pour le déjeuner. Ce qui fait que je ne peux refuser de passer le réveillon dans la famille de Ludovic !
Ça été le deal pour pouvoir emmener Ludovic le lendemain. La soirée prévue c'est : diner de fête, messe de minuit à 22h et cadeaux au retour autour d'un dessert au champagne ! Cela va me rappeler ma jeunesse, enfin quand j'étais petit. Car j'ai dû cesser d'aller à la messe de minuit vers mes 14ans. On n'était pas très porté sur la religion à la maison. Je propose d'apporter le champagne. J'aime bien le Roederer !
Le diner est parfait. L'ambiance est détendue surtout après quelques verres de vin. Pour eux c'est aussi une première puisque jusqu'à présent il n'y avait pas encore eu d'invité à cette fête familiale. La dinde étant pour le 25, nous dînons de bouchées à la reine, d'un succulent brochet au beurre blanc avant de s'arrêter sur les fromages. Messe de minuit que je passe à serrer contre moi mon Ludovic, profitant de la forte affluence qui remplit l'église (nous étions debout tellement il y avait de monde !). Je n'ai pas écouté grand-chose de la messe. Je crois que quand je bande, ça me bouche les oreilles !! Plusieurs fois Côme m'a fait les gros yeux alors que mes mains s'égaraient sur la braguette de Ludovic.
Retour à la propriété vers les 23h30, un peu longue la messe !
Alors que madame va chercher le dessert et que j'aide monsieur à ouvrir le champagne, les fils apportent les cadeaux. Je vais vite à la voiture chercher les miens. Ils sont effarés quand je reviens avec un paquet pour chacun. Madame s'exclame qu'il ne fallait pas, monsieur dit que ce n'était pas nécessaire et je fais taire tout le monde en leur disant que ça me fait plaisir. Nous attendons d'avoir fini nos parts de gâteau pour distribuer et ouvrir nos paquets.
Madame commence par le mien pour m'honorer. Je ne me suis pas embêté, j'ai lui ai pris un carré de soie de chez Hermès. Dans ce milieu-là, j'étais sûr de ne pas me tromper. Et je crois qu'effectivement elle a été touchée car pour la première fois elle m'a spontanément embrassé sur la joue. A Côme et Enguerrand, j'ai pris un bracelet Kyoto en cuir et or de chez Hermès aussi. Ils sont beaux et discrets quand même. Enguerrand me saute au cou et me dit qu'il ne quittera plus son poignet. Il reste juste un peu trop longtemps accroché à moi pour que son père le regarde bizarrement. Pour le père, j'ai osé un carré de soie pour homme, toujours de chez Hermès. J'avais noté qu'il portait une vieille écharpe un peu pourrie lorsque je l'avais accompagné à la chasse. Dans un premier temps il est surpris et dubitatif devant le paquet. Puis quand Ludovic le déplie et lui passe autour du cou, il est conquis. Le motif " imprimeur Fou Quadricube " en rouge est très masculin. Pour mon amour à moi, c'est un jonc en or de la place Vendôme. Ses parents allaient pour faire une remarque quand ils ont lu le nom sur l'écrin. Sur la face interne j'ai fait enchâsser des pierres précieuses et semi précieuses aux couleurs de l'arc en ciel. Il est le seul à le remarquer. Pour la première fois j'ai droit à une pelle devant tout le monde. Sifflets d'Enguerrand qui se fait engueuler par son père qui lui dit de ne pas en rajouter.
Les frères se sont groupés pour m'offrir une veste de chasse en cuir, plus solide que celle que j'avais trouvée. En me serrant contre lui, Ludovic me dit que j'aurais demain mon vrai cadeau. Celui-là c'était l'officiel parce qu'il y avait ses parents. De leur part j'ai droit à une écharpe Burberrys. Remerciement croisés et au lit, évidemment en chambre séparée !! Du moins pour commencer. 10minutes après que je me sois coulé entre les draps, mon Ludovic est venu me rejoindre. Très excitant que de faire l'amour alors que c'est " interdit " ! Il se réveille tôt pour regagner sa chambre. Au petit déjeuner, il se met à côté de moi et me dit qu'il s'est fait choper par sa mère en sortant de ma chambre et comme il était en caleçon... Je lui demande s'il s'est fait engueuler. Il me dit que non, cela l'avait même surpris mais elle lui avait fait un clin d'oeil et était partie de son côté. Ouf !!
J'accélère un peu, je voudrais passer au blockhaus avant d'aller chez Emma. On se remercie tous encore une fois et ils nous lâchent enfin. On retrouve tous les autres. PH et Ernesto se fichent de nous, faisant une imitation de madame mère recevant son cadeau de ma part et de monsieur découvrant son propre carré Hermès. Ludovic s'écroule de rire. Je demande à PH s'ils se sont bien envoyés en l'air hier soir. Pour m'énerver, il me décrit par le détail le diner que Samir et Ammed avaient préparé avant de passer à leur nuit. Même si j'ai passé une nuit très excitante, je suis un peu jaloux de ce qui s'est passé entre eux. Je crois bien que c'est la première fois qu'ils ont fait l'amour sans moi. Ça me fait un peu mal jusqu'à ce que je me dise qu'ils n'ont pas été des moines pendant mon indisponibilité après l'accident !
On se change. Chez Emma le déjeuner de Noël se passe en smoking. On s'entasse tous dans la 300C, Hervé nous ayant quitté pour aller déjeuner chez ses parents. Pablo nous ouvre, lui aussi est en smoking. Le jour de noël, il est le seul des employés d'Emma à rester et déjeune avec nous tous. A force de persuasion, elle a enfin décidé ses deux vieux employés à rentrer dans leur propre famille. Du coup, nous les jeunes ont fait le service sous la tutelle de Pablo. Cette année il a fait lui-même le foie gras. Pour un coup d'essai c'est un coup de maître. Il est délicieux, bien mi-cuit et onctueux, on se régale tous. Il a laissé tomber la dinde pour un chapon aux champignons et fruits secs comme on fait en catalogne. La cuisson est là aussi parfaite et la viande est fondante sur la langue. Ludovic nous dit être très heureux d'avoir évité la sempiternelle dinde trop sèche de chez lui. Emma le gronde que ce n'est pas gentil de nous dire cela. Il se défend que sa mère n'est pas une mauvaise cuisinière mais avec la dinde ça ne fonctionne pas. Le dessert est du même niveau et c'est au café que se fait l'échange de cadeaux.
Emma a décidé que nous aurions tous le même présent (Pablo compris) avec la date gravée dessus. Avec la complicité de Marc, elle nous a fait réaliser pour chacun la même chevalière en or dont le plateau est un grenat Demantoïde d'un vert très profond gravé en intaille d'une vision moderne d'Hercule terrassant le lion de Némée d'après une gravure originale de Nicolas Salagnac. Elles sont superbes on les passes toutes à nos doigts. J'adore l'idée " clan " qu'elles sous entendent. Le motif gravé montre donc un Hercule très musclé et bien monté (même s'il ne bande pas) étranglant un lion majestueux. Elle confie un écrin à Ernesto pour Hervé. Il la remercie chaleureusement qu'elle ait pensé à lui.
C'est l'année des bijoux puisque j'ai étendu mon idée du bracelet que j'ai offert à Ludovic aux autres participants du déjeuner. Ils sont tous rigoureusement identiques. La simplicité de leurs surfaces externes lisses ne trouble pollue pas l'effet de l'intaille. Ernesto remarque la succession des couleurs de la face interne et tout le monde trouve ça amusant. Marc me remercie que cela soit discret et personnel.
Marc et Hervé, eux, ont rapporté d'orient des olisbos en jade. A la vue de leurs tailles, Emma nous dit qu'ils doivent durement être décoratifs. Même si nous n'avons pas beaucoup de secret pour elle, personne ne lui dit que cela nous arrive d'utiliser des godes de ces tailles. PH s'est mis avec Ernesto et Ludovic pour m'offrir une perle en or ciselée pour mon oreille. Je les engueule de dépenser l'argent pour ça mais je tombe quand même dans leurs bras pour les remercier.
Nous offrons à notre hôtesse un tatouage de son choix chez mon tatoueur. Elle a eu beau me trouver fou d'avoir fait graver dans ma peau cet énorme dragon qui me mange le téton, à chaque fois que nous faisons l'amour, je la surprends à caresser la bête !
Evidemment ce sont des cris de surprise et de refus qui arrivent en premier. Je la pousse une peu dans ses retranchement pour qu'elle admette que cela la tente mais qu'elle ne comptait pas le faire. Tout le monde y va de son commentaire. PH lui dit que c'est effectivement une idée trop étrange pour elle. Il ajoute qu'en tant que femme qui porte de beaux et profonds décolletés, il trouve difficile de trouver une place adéquate. Marc lui dit de ne pas tenir compte de moi, j'étais fou et voulait que tous autour de moi le soient. J'argumente que cela lui apporterais une certaine originalité parmi ses " amies " bien pensantes. De plus elle n'est pas obligée d'en faire faire un aussi gros que le mien ! Elle finit par avouer que le mien lui plaisait beaucoup.
Là, c'est moi qui la mets en garde. La façon dont il passe de mon dos à mon pec par-dessus l'épaule droite l'empêcherait de porter ses robes légères l'été sauf en privé. C'est elle qui me dit qu'en faisant passer le dragon sous son bras plutôt qu'au-dessus, un simple maillot 1 pièce ferait l'affaire. Je crois bien qu'elle va le faire. Moi, j'avais plutôt pensé qu'elle ferait comme Marc une version réduite de ma bête et plutôt sur une fesse de façon à ce que ce soit vraiment " privé ". Je lui en fais part. Elle éclate de rire et me dit qu'alors il ne servirait à rien à cet endroit-là. Ernesto et PH se joignent à moi pour la raisonner. C'est peine perdue !
Ça m'apprendra à offrir des trucs aussi bizarres. Mais que peut-on offrir à une femme qui a déjà tout !
Comme j'ai prévu de ne pas la laisser seule ce soir de noël et que PH, Ernesto et Ludovic vont rester avec moi, j'ai demandé à mes deux vietnamiens, qui ne fêtent pas ce jour chrétien, de se mettre à disposition de Marc et Hervé. Ils refusent que je leur paye cette prestation. Ils me disent que c'est pour la colocation qu'ils ont intégré à leur tour.
Nous passons la soirée à faire l'amour à Emma. Ernesto, PH, Ludovic et moi, réussissons à la maintenir en état de jouissance où très proche plus d'une heure et demi durant. Nous la laissons dévastée. Elle a juste la force de soulever ses paupières pour nous voir jouir tous les quatre de nos corps de mâles. On sait exactement ce qui fait réagir l'autre et nous en profitons. Ludovic en est encore au stade de la découverte et c'est nous qui en profitons pour l'emmener au 7ème ciel en premier. Je profite de la belle queue d'Ernesto. Elle me laboure l'anus en profondeur et c'est trop bon, surtout avec PH en 69 qui me suce la bite. Nous nous " nourrissons " de concert alors qu'Ernesto se vide en moi. Pendant que c'est notre tour de récupérer, elle part enfiler un maillot de bain une pièce assez échancré pour me prouver ses dires concernant mon cadeau. Elle ajoute qu'elle ne portera de 2 pièces qu'avec ses amies auprès desquelles elle le voudra. Ernesto la fait tourner et effectivement, si le corps du dragon contourne par sa taille, elle pourra le dissimuler.
Nous passons la nuit avec et sur elle. Elle doit nous réveiller deux fois car nous l'étouffons en nous couchant sur elle. 4 corps entre 80 et 90 Kg c'est sûr que c'est un peu lourd quand ils ne bougent pas pour lui donner du plaisir !
Quand nous débarquons au blockhaus, nous croisons Lâm et Khang qui en partent. Ils nous disent comprendre pourquoi nous sommes avec Marc et Hervé. Ils n'ont quasiment pas dormis de la nuit avec nos deux hommes.
Nous les trouvons encore en boxer, avec des petits yeux. PH leur demande comment ils font quand ils sont là-bas. S'ils ont ces têtes avec leurs clients, ils doivent recevoir des réflexions.
Nous passons la fin de matinée dans l'eau au second. La chaleur y est plus forte et nous en avons bien besoin pour détendre nos muscles un peu trop sollicités dernièrement.
Samir et Ammed nous appellent pour le déjeuner si on ne veut pas manger brulé. Ce serait dommage vu les plats qu'ils nous ont concoctés. Le reste du 26 est calme. Nos cadeaux nous plaisent et chacun les porte. Il faut dire que je m'étais offert le même bracelet que ceux que j'avais offerts. Les parents de PH sont partis en voyage au soleil et nous ne les verrons qu'après le nouvel an.
J'ai reçu les dernières réponses pour la touze du 31 décembre depuis déjà plus d'un mois. Heureusement que le blockhaus est grand car il va être plein. C'est le fait que l'année dernière j'avais dû l'annuler à cause de mon accident. De plus contrairement aux autres années, tous mes escorts ont refusé de prendre un engagement pour cette soirée afin d'y participer aussi. Même les derniers, poussés par les autres ont décliné des propositions de prestations pourtant payées en honoraire de jour férié !
Ils sont déjà 25 ! Plus tous les amis qui se sont débrouillés pour être libre (je pense à mes deux motards de la gendarmerie), nous serons au bas mot 80 !! Pour la bouffe ce n'est pas un problème, entre Samir et Ammed et Julien notre charcutier traiteur et néanmoins amant de Second, la chambre froide sera pleine de ce qu'il faudra. Pour la baise, là non plus pas de soucis, on n'est pas du genre à ne le faire que dans un lit. Ça va plutôt être pour dormir que ça va être chaud. Heureusement que la surface de tatami a été augmentée dernièrement. Et puis comme il règne une chaleur qui nous permet de vivre quasiment à poil, la terrasse pourra aussi accueillir des dormeurs. Par contre le donjon, s'il va surement servir ce soir là aussi, n'es pas équipé pour le sommeil !
Marc et Hervé me traient de fou. Je pense que c'est effectivement la plus grosse partouze que j'aurai jamais encore organisée. Au moins le double des fois dernières. San compter que bon nombre d'invité vont faire le pont et rester jusqu'à dimanche soir. Soit 4 jours complets de débauches en tout genre, enfin homo !
Du site du " roi de la capote ", je reçois plusieurs centaines de préservatifs indispensables. De toute sortes avec et sans latex pour les allergiques, phosphorescents, avec des goûts fruités. Bien sûr il y a une bonne quantité de XL et XXL j'en ai trouvé de 220m x 60/69, ce qu'il faut pour l'équipe du club hippique, Éric et même João et Sosthène ! Le tout est accompagné de quelques litres de gel lubrifiant et quelques pots de crème à fist pour les plus aguerris. En effet, je ne dois pas compter une par éjaculation car je pense que les bites seront passées par plusieurs culs avant que leurs couilles se vident !
Pour éviter tous mélanges qui se révèleraient néfaste pour certains estomacs, il n'y aura que du champagne, en apéritif, aux buffets et même après. Le caviste m'en livre 400 bouteilles ce qui restera ne sera pas perdu. Comme il veut me faire un cadeau, je refuse ses bouchons temporaires, les bouteilles n'auront aucune chance de rester à moitié vide, par contre j'accepte qu'il m'offre une 10aine de sceaux à glace. C'est plus pour les maintenir autour des 8-10° optimums que pour les frapper. On ne " gèle " que les champagnes de petite qualité. Je passe par la mère de Julien pour savoir combien je vais lui coûter. Le connaissant, il va me donner un chiffre fantaisiste bien en deçà de la réalité et je ne tiens pas à ce qu'il soit de sa poche pour ce qu'il me fournit.
Il y a plusieurs semaines déjà, avec mes acolytes, nous avons réfléchis au petit souvenir que nous pourrions offrir à tous les participants. Même si ça va être une débauche de sexe phénoménale, pas question de tomber dans le graveleux. Pas de savon bite ou de mug cul, il nous faut viser plus haut. Ludovic propose un truc qui fait que l'on saurait tout de suite qui faisait partie de cette fête, donc quelque chose de visible comme les bagues universitaires américaines. L'idée est là mais une bague de plus... On se fixe sur un simple anneau en or gravé de " Blockhaus 15 " pour 2015. Pour mes Escorts j'ai l'information dont nous avons besoin pour leurs réalisations. Tous les autres ont été priés de me donner la taille de leur auriculaire. Pour la matière nous optons pour de l'or rose, on est Pd ou pas ?!
Evidemment, ils vont se douter qu'ils vont recevoir un anneau mais pas celui-là !
Jardinier
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Des nouvelles du Pacifique
Il s'est passé quelque chose de drôle à l'endroit où je réside pendant ces vacances. Un soir, un tableau accroché au mur est tombé, le lendemain je vais pour le remettre et je suis là : "Ah, dans quel sens ?", voilà pourquoi je n'aime pas l'art contemporain, incompréhensible, impossible de déterminer le sens du tableau, est-il à l'envers ou à l'endroit.
Quelque chose de stressant : prochainement, la rencontre avec mes futurs collègues. Et s'ils étaient déçus ?
Quelque chose dont je peux me vanter : j'ai toujours été bonne pour savoir quoi offrir aux gens. J’ai trouvé le cadeau de Noël de mon père, c'est difficile pour les papas comme lui, ils ont déjà tout l'attirail de bricolage, de chasse, de tir... Ma soeur et ma mère se sont greffées à mon idée.
Quelque chose de curieux : mon père et moi sommes du genre accueillants, on invite volontiers les gens à notre table. Ma soeur pas vraiment. Elle a une grande maison toute neuve, propose régulièrement qu'on organise les repas chez elle mais comme on ne peut pas inviter qui on veut on finit toujours par faire ça ailleurs. Du coup pour mon repas on passe de 10 à 25 invités parce que ben il y a plein de gens que j'aime !!
Quelque chose pour finir : les gens ici, le contact facile et chaleureux, le sourire, la bonne humeur !! (cliché pas vrai ? Mais vrai)
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l'amour ouf - (brouillon d'état nuage)
ce soir là, c'est comme un magma de sentiment qui cédait en moi. c'était comme découvrir que le père Noël n'existait pas, que la petite souris ne passait jamais. ce soir-là, c'était comme si je découvrais la vérité sur l'amour, ou plutôt de celui qui n'est jamais arrivé à moi. peut-être que je l'ai manqué, peut-être que quelqu'un l'a pris en lui depuis toujours, peut-être qu'il est enfermé dans une boîte à double tour, peut-être qu'il faut être plus intelligente que moi pour pouvoir l'ouvrir. c'est une énigme brisante, qui éclabousse les larmes sur les pages blanches, pourquoi je ne suis jamais celle qu'on choisit ? celle qu'on aime avec volonté de tout son cœur. dis la vie, pourquoi je ne suis pas celle dont on tombe amoureux ? peut-être que cet amour est bloqué dans une vie antérieure avec un homme qui n'autorise personne à m'aimer plus que lui. finalement, c'est comme si chaque conte de fée ne m'était pas destiné. mon corps était orné de l'amour sur chacun de mes membres, mais il n'avait jamais croisé mon chemin. j'étais une amoureuse de l'amour, une amoureuse de l'espoir et j'étais destinée à une vie où l'on ne me choisirait pas, où je serais juste bien, mais pas suffisante, où on ne tomberait pas amoureux de moi, j'étais celle qu'on laisserait dans un coin, celle qui s'habituerait a une vie fade et sans saveur. que c'est déchirant, la vie d'adulte, quand toutes les merveilles qu'on me racontait enfant n'existe plus. que c'est épuisant, la vie d'adulte, quand les âmes-sœurs n'existent qu'au temps de mes parents. que c'est déprimant, la vie d'adulte, quand celle-ci devient toute tracé sans palpitation et sans émotion, que c'est triste d'être malheureux et de ne plus croire en quelque chose qui nous maintenait en vie. que c'est bouleversant d'écrire sur l'amour depuis mes quatorze ans, d'y croire chaque jour comme une lueur d'espoir, de le sentir possible autour de moi sans jamais le rencontré. ma vie depuis le début ne vivait qu'autour de l'amour, de l'état amoureux, des âmes-sœurs, des âmes de plusieurs vies, du coup de foudre de mes parents, de tous les films bouleversants, des livres, de textes hurlant ses théories, ses définitions propres à chacun, de ses insomnies, de la boule dans mon ventre. que c'est humiliant, d'avoir été une âme transparente dans ce monde qu'est l'amour. que ce serait tragique, de mourir, sans avoir goûté au fait qu'on ait été amoureux de nous. courir après l'amour ne m'a rien apporté d'autres que de l'espoir et de la perte de temps. l'espoir n'apporte que le néant. être juste bien ce n'est jamais suffisant.
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Décembre est là. Il arrive toujours plus tôt qu'on ne le pense. C'est probablement le mois le plus aimé, mais aussi le plus détesté de l'année. Il ravive des souvenirs heureux ou des douleurs passées. Pour les uns, c'est une fête, et pour les autres, une épreuve. Je fais partie de ceux qui aiment décembre sans pour autant souhaiter que cette période de fête ne commence trop tôt. Je n'ai pas encore installé les décorations, mais mes cadeaux de Noël sont presque tous déjà achetés.
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Ça fait des années que Noël n'a plus cette teinte spéciale. Remarque, avec du recul, les seuls noël dont je me souviens n'étaient pas heureux. Les familles dysfonctionnelles n'ont pas leur place dans ce genre d'événement. Je n'étais pas aussi radicale avant parce que je pensais qu'on pouvait sauver certaines personnes. Mais non. On ne sauve que ceux qui veulent l'être et on ne le comprend que lorsqu'on perd. Perdre ça éveille sur nos limites d'action c'est pour ça que c'est douloureux. Chaque année j'ai l'impression que le ratio perte/gain se déséquilibre davantage. Sûrement que le goût amer qui me calcine l'œsophage vient de là. En réalité, j'ai un chagrin écrasant avec la sensation d'avoir les poumons remplis de flotte. Chaque respiration est pénible parce que c'est tellement navrant. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai vécu une journée sans angoisse, sans que ce soit difficile. J'ai pensé que c'était pathologique et je le pense souvent mais au final, c'est peut-être juste le propre des choses d'être comme ça. D'être si fragiles et éphémères. Je suis dans mon lit et j'ai du mal à arrêter de pleurer parce que je me sens vraiment médiocre. Mais médiocre comme ça faisait des années que ça ne m'était pas revenu à la gueule. Juste cette infâme certitude que j'ai gâché tant de choses. Ça faisait longtemps que j'avais pas éprouvé autant de difficulté à exprimer ce que je ressens. Peut-être parce que ça faisait un bout de temps que j'avais pas autant ressenti. J'ai à nouveau cette douleur de cœur brisé. J'avais réussi à la faire disparaître mais elle est revenue. Le problème c'est que j'ai toujours pensé que j'étais meilleure que la moyenne. Pas pour tout évidemment. Intellectuellement par exemple non, mais émotionnellement par contre.. Je pensais faire face à toutes les épreuves, je pensais que j'éviterai les situations déchirantes, les cercles vicieux lamentables. On a cette tendance naturelle à penser que pour certaines choses, on fera mieux, pourtant, je ne crois pas avoir fait autre chose que pire. Et malgré ces évidences, je continue de croire que la prochaine fois alors, je serai meilleure. C'est la fabrique de la déception, fait maison et constamment nourrie par cette maison. Je fous les propres murs dans la cheminée pour éviter que le feu s'éteigne alors même que je n'ai pas froid.
Je vais tenir. Je vais le faire parce que ça fait des années que je le fais mais je me sens particulièrement vulnérable cette année et je n'ai pas tellement de rempart. C'est ça qui effraie, si je tombe, je vais vraiment tomber, pas juste perdre l'équilibre. Je me sens très seule en tout cas. Mortellement seule et morcelée.
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"Noël est là !
Ce joyeux Noël, des cadeaux pleins les bras, qui réchauffe nos Coeurs et apporte la Joie.
Jour des plus beaux souvenirs et le plus beau jour de l'année"
Washington Irving
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