#napoléon (2002)
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This Blue Coat Jacket with Golden leaf on front and Red leaf on arms and neckline worn in 2002 on Christian Clavier as Napoléon Bonaparte from Napoléon (miniseries) and many years later in 2023 is worn on Joaquin Phoenix as Napoleon Bonaparte from Napoleon (2023)
#recycled costumes#Napoléon 2002#Napoléon 2023#napoléon bonaparte#Christian Clavier #joaquin phoenix#period drama#historical drama#costume drama#reused costume#reused costumes#costumes#perioddramaedit#perioddramasource#period dramas#dramasource
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Mavie Hörbiger as Marie Louise in Napoléon (2002)
#Mavie Hörbiger#Marie Louise#Napoleon#napoleon bonaparte#napoleonic era#napoleonic#first french empire#french empire#Napoleon tv series#Napoleon (2002)#napoléon (2002)#Marie-Louise#empress marie louise#19th century#empire style#empire#historical fashion#fashion history#history of fashion#miniseries
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In 2002’s Napoléon, Isabella Rossellini’s Josephine wore a set of coral jewelry consisting of a necklace and earrings. Twenty years later, the necklace was reused in Diane de Poitiers (The King’s Favorite) on Gaia Girace as Catherine de Médicis.
Costume Credit: Lucia
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You know, Christian Clavier (born 6 May 1952) was also too old to play young Napoleon in the 2002 mini series Napoléon, BUT since the serie portayed Napoleon's whole life 50y old Clavier was the right age for the Saint-Helena part
AND he was paired with 50y old Isabella Rosselini (born 18 June 1952) as Joséphine, and I'd say no age gap is way better than an outrageously wrong age gap (Joséphine significantly younger than Napoleon instead of older)
Also look at them, just looook (mostly at her, Isabella Rosselini as Joséphine, my beloved ❤)
Pictures source: Base de données de films français
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Pour comprendre qui nous sommes, Français, vus de l'étranger, les 18 ans d'expatriation que j'ai dans les pattes rendent un fier service. Cette description du ressentiment presque universel envers la petite France est exact, et souvent relancé depuis l'Angleterre. Master-Commander, Robin Hood, Henri V... tous les 3 ans Albion refait un coup de bashing. Personne en France ne leur rend la monnaie de leur pièce, la plupart d'entre nous ignorent cet enjeu, ne savent même pas la différence entre Angleterre et Royaume-Uni, et une grande partie encore ignore même où se trouve cette île. Donc nous sommes loin de sortir des films sur Patay, Formigny, La Brossinière, Walcheren, La Corogne, Chesapeake, Fontenoy etc.
Napoléon
J'ai eu 2 passions entre 2002 et 2004, années de claustration et de lecture où je ne quittais Grenoble que pour aller à Paris piller la librairie de la rue Bargue pour les guerres européennes de 1792-1815 et la librairie L'Harmattan pour les guerres du Vietnam 1945-1975. Bref ce que dit Pierre est exact également, et lorsque l'on est un patriote "traditionnel" on sait que l'usurpateur Corse a été une catastrophe politique pour le pays, au moins égale à Louis XIV. Grand sujet dont nous reparlerons si Dieu veut. En ce qui concerne les scènes honteuses de soumission aux femmes dans ce film, elles renvoient à une méthode ancienne pour déshonnorer les hommes qui ont menacé l'Angleterre. Souvenez-vous de Robert Carlyle dans "La naissance d'un monstre" lorsqu'il jouait un personnage dont il faut ne même pas citer le nom. Une dizaine de scènes privées le montraient larmoyant et suppliant devant les femmes de sa vie. Vieux, vieux truc anglais pour qui la catégorie du "ridicule" joue un rôle capital dans la culture populaire. Jules Vallès en exil là-bas après 1871 l'a raconté dans son merveilleux livre La rue à Londres.
Pâques aujourd'hui
C'est Dimanche de Pâques, oui on a tenu, Deo Gratias ! "Il est ressuscité, il est ressuscité, en vérité il est ressuscité !" Grands banquets jusqu'à demain...
Aide bienvenue de votre part pour l'article publié ici vendredi matin
Et si vous êtes un lecteur affectionné des petits essais publiés parfois sur ce tumblr, et que vous êtes d'accord pour m'accorder une faveur, ce serait celle-ci : faire des "reblogs" de l'article "L'avenir de Lacoste" dans lequel j'ai jeté 25 ans de passion pour le style français. Cet article a été "ghosté" immédiatement c'est à dire dissimulé artificiellement sur demande de je ne sais qui, ce qui a pour conséquence de le rendre indétectable aux recherches. C'est la 1ère fois que cela arrive en 7 ans. Vous pouvez le lire par abonnement seulement. S'il vous a plu, vous rendrez grand service à la Cause en le faisant tourner...
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This Blue Coat Jacket with Golden leaf on front and Red leaf on arms and neckline worn in 2002 on Christian Clavier as Napoléon Bonaparte from Napoléon (miniseries) and many years later in 2023 is worn on Joaquin Phoenix as Napoleon Bonaparte from Napoleon (2023)
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Julian Richard Morley Sands (January 4, 1958 – c. January 13, 2023) Film and television actor.
In television work, he voiced Valmont in seasons 1 and 2 of Jackie Chan Adventures, before being replaced by Andrew Ableson and Greg Ellis in the remaining seasons. He played the Doci of the Ori in two episodes of Stargate SG-1—in its ninth and tenth seasons (a role he reprised in the film, Stargate: the Ark of Truth). He played a college professor in a Season One episode of The L Word. In 2002, he starred in Stephen King's Rose Red. Sands portrayed Austrian ambassador Klemens von Metternich in the 2002 miniseries Napoléon. In the 2006 season of 24, he played terrorist Vladimir Bierko
Sands played Jor-El, Superman's biological father, on Smallville, and reprised the role in the series' final (tenth) season. In 2009, he played Reg Hunt in Bollywood Hero. In 2012, he played Alistair Wesley in the seventh episode of the second season of Person of Interest.
Sands appeared as Miles Castner, a wealthy international businessman, during the eighth season of Dexter. (Wikipedia)
IMDb listing
#Julian Sands#TV#Obit#Obituary#O2023#Stargate SG-1#Napoleon#24#Smallville#Person of Interest#Dexter#Rose Red#The L Word
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Les mélancolies d'Universal Music France
Qu'est-ce que Universal Music France ?
Universal Music France est une entreprise française de l'industrie musicale créée le 1er décembre 1997. Filiale française de la major Universal Music Group, dirigée par Lucian Grainge et implantée dans plus de 60 pays.
Universal Music France compte à son répertoire les plus grands artistes locaux et internationaux, couvrant tous les genres musicaux : pop, urbaine, variété, électro, jazz et classique.
Universal Music France possède des studios dont un café s'appelant Terra Nones ou les Gastronomies de Terra Nones. Pour petit rappel aux non catalans Terra nones veut dire Terre neuve et nones aucun. Les studios d'Universal Music France sont au 5ème arrondissement de Paris.
Qu'est-ce que Vivendi ?
Vivendi est un groupe français spécialisé dans les médias et la communication. Il succède à la Compagnie générale des eaux fondée par Napoléon III en 1853.
À l'origine spécialisé dans les services aux collectivités territoriales (eau, transport et environnement) sous le nom de Compagnie générale des eaux (parfois abrégé en « Générale des eaux » ou en CGE), le groupe s'est peu à peu renforcé, à la fin des années 1990, dans les nouvelles technologies sous la présidence de Jean-Marie Messier. Après avoir connu d'importantes difficultés entre 2002 et 2004, le groupe est rebaptisé Vivendi Universal en 2000 puis Vivendi en 2006, il s'est redressé et a repris les opérations de croissance externe pour renforcer ses positions.
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Entre Vivendi et Universal Music Group, c’est fini Les actionnaires du géant français des médias ont largement approuvé, en assemblée générale, le projet de scission du numéro un mondial de la musique, et sa cotation prochaine. Pour Vivendi, l’enjeu est désormais de bâtir un groupe attractif sans ce joyau, qui constituait, jusqu’à présent, le principal moteur de ses revenus.
Il n'y a pas eu surprise. Ce mardi, les actionnaires de Vivendi étaient réunis en assemblée générale. Ils ont approuvé à une quasi-unanimité le projet de scission d'Universal Music Group (UMG) et sa cotation prochaine à la Bourse d'Amsterdam, qui pourrait intervenir au 21 septembre. Malgré quelques critiques de certains fonds activistes en amont de l'AG, les actionnaires ont dit « oui » à ce projet qui leur sera financièrement on ne peut plus profitable.
60% du capital d'UMG sera reversé aux actionnaires de Vivendi. Un sacré pactole, sachant que la major - dont le catalogue va des Beatles aux Rolling Stones, en passant par U2, les
Le groupe est présent dans plus de 100 pays, et est coté à la Bourse de Paris où il appartient à l'indice CAC 40.
Vivendi est actif dans l'univers des contenus, des médias et de la communication, et l'un des principaux fournisseurs de contenus dans le monde. Il concentre ses activités autour du groupe de télévision payante groupe Canal+, du groupe de communication Havas, et du Groupe Lagardère depuis 2023.
Vivendi est dirigé par Yannick Bolloré. Son principal actionnaire est le groupe Bolloré, dirigé par Cyrille Bolloré. Son siège se trouve à Paris.
Source des articles : Wikipédia et du site web https://www.latribune.fr/technos-medias/medias/entre-vivendi-et-universal-music-group-c-est-fini-887399.html
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The Dialogue in Hell Between Machiavelli and Montesquieu is a political satire written by French attorney Maurice Joly in protest against the regime of Napoleon III (a.k.a. Louis-Napoléon Bonaparte), who ruled France from 1848 to 1870. It was translated into English in 2002. Small portions were translated in 1967 as an appendix to Norman Cohn's Warrant for Genocide, which identifies it as the main source of the later Protocols of the Elders of Zion, though The Dialogue itself makes no mention of Jews (from Wikipedia)
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I made a thing at midnight last night on my phone (I usually use my tablet for edits but I was at a camp site without wifi :cry:)
This is so lazily done, im sorry HSHSHS
#HES SO FINE#AND FOR WHY#WHY IS HE SO FINE IN THIS SERIES???#AAAAAAAAAAAAAAAAAA#THEY REALLY SAID 'OH- LETS GIVE ALEXANDER THE HOTTEST ACTOR IMAGINABLE' AND WENT WITH IT#ON MY HANDS AND KNEES RN FOR THIS MAN#IM.#im in love#/p#ravenedits#tsar alexander#alexander i#tsar alexander i#napoleonic#the napoleonic wars#napoleonic era#napoleon 2002#napoléon 2002#napoleon (2002)#napoléon (2002)
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Delany is curating an online film series this month! But you have to be a MoMA member to view it. If someone shared their membership with me, I'd be over the moon. At least we can check out what he chose!
"Delany’s colorful picks—encompassing the classical avant-garde of Jean Cocteau’s The Blood of a Poet, Maya Deren’s Meshes of the Afternoon, and Jean Vigo’s L’Atalante; masterworks by Michael Powell and Luis Buñuel; and newer treasures like Peter Jackson’s King Kong and Martin Scorsese’s Hugo—honor the expressive power of the fantastic on film. Accompanying his selections are a rare screening of his own experimental science-fiction featurette The Orchid and Fred Barney Taylor’s effervescent portrait of the author, The Polymath, or The Life and Opinions of Samuel R. Delany, Gentleman. Of his choices Delany writes, “Sometimes I feel like the character in Myra/Myron Breckenridge who announces something to the effect: Between 1938 and 1950, there were no bad films made in the United States of America. That’s kind of how I feel about all films. It’s like Andrew Saris said, ‘There are no amateur films. They’re too expensive to make. If you can afford to make a film, you’re making a film.’”
If you’d like to explore more Delany cinema favorites, he’s recommended some additional films to seek out: Abel Gance’s Napoléon (1927), Jean Delannoy’s The Eternal Return (1943), Michael Powell and Emeric Pressburger’s The Red Shoes (1948), Ernest B. Schoedsack’s Mighty Joe Young (1949), Jacques Tourner’s The Flame and the Arrow (1950), Jean Cocteau’s Orphée (Orpheus) (1950), Stanley Donen’s Seven Brides for Seven Brothers (1954), Mervyn LeRoy’s Rose Marie (1954), Stanley Kubrick’s 2001: A Space Odyssey (1968), Sidney Lumet’s Dog Day Afternoon (1975), Ingmar Bergman’s Fanny and Alexander (1982), and Martin Scorsese’s Gangs of New York (2002)."
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The Oscar nominated costumes for Sense and Sensibility were designed by Jenny Beavan and John Bright. They worked with one another on several other films, including The Remains of the Day, A Room With a View and The Bostonians. Their creations for Emma Thompson's screenplay of Jane Austen's famous novel have gone on to be used and altered for many Regency era films and television shows.
This white and blue checked gown has certainly made the rounds over the years, having been worn at least nine times. It first appeared in 1995 on Emma Thompson as Elinor Dashwood in Sense and Sensibility. It was seen again in 2000 on Honeysuckle Weeks as Alice in the television special Victoria Wood with All the Trimmings in a skit entitled Plots and Proposals. In 2002 it was seen on an extra in the mini-series Napoléon. In 2003 it was worn again by an extra in Byron, and in 2004 was utilized in the reality series Regency House Party on Victoria Hopkins. The gown was worn twice in 2007, first in Mansfield Park on Billie Piper as Fanny Price, and then in Persuasion on Rosamund Stephen as Henrietta Musgrove. In 2011 it was spotted on Nicola Burley as Isabella Linton in Wuthering Heights. Most recently the costume was seen in 2013 in Austenland on Georgia King as Lady Amelia Heartwright, though some trim has been added to the sleeves and empire waist to give it a slightly different look.
Costume Credit: carsNcors, Cintia, Shrewsbury Lasses
E-mail Submissions: [email protected]
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#sense and sensibility#victoria wood#napoleon#regency house party#persuasion#mansfield park#wuthering heights#austenland
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L'Islamo-gauchisme - ( I ) : mythe ou réalité ?
Le covid nous fait oublier le plus grave : la menace islamiforme permanente, et sa collusion avec les plus irresponsables de nos gauchiste, ceux qui osent prétendre que le terme “islamo-gauchiste n'a aucune valeur scientifique”, comme si leurs autres bobards (islamophobie, décolonialisme, culpabilité intrinsèque de l'homme blanc et autres stupidités) en avaient jamais eu ! Les “grandes consciences” (sans science) clament que l'islamo-gauchisme serait un mythe inventé par la droite (extrême, évidemment)… ce qui est un mensonge, comme tout ce qu’ils racontent.
Car cette arme de ‘’mass murder’’, conceptualisée sur un dévoiement de la pensée de gauche, a été revivifiée par Chris Harman, leader trotskiste du Socialist Workers Party. Il écrivait le premier, en 1994 que “les islamistes, en reprenant la vulgate anti-impérialiste, construiraient des groupes sociaux importants dont la colère devrait être canalisée vers des objectifs progressistes” (The prophet and the proletariat ).
Et en fouillant plus profond, cela fait bien plus longtemps que l’islam exerce une vraie fascinationsur les mouvements d’extrême gauche. Longtemps après que Hitler et le grand Mufti d'Al Azhar aient partagé des idées proches et communié dans leur phobie des juifs, l'avocat gauchiste Jacques Vergès (avec qui, sans du tout être “son ami”, j'avais co-écrit ’‘Des hommes et des valeurs’’ -Ed Hatier, 1994) s'était converti à l’islam, tout comme “Carlos”, le terroriste vénézuelien Illitch Ramirez Sànchez, qui avait fait de même. L'islam et le gauchisme, c'est une vieille liaison coupable, une complicité sur des doctrines mortifères. qui, chose étrange, s'excluent l'une l'autre… chacun espérant être celui qui bouffera l’autre tout cru…
L'islamo-gauchisme se définit comme un vide plein de rien, et les preuves de cette “non existence” sont nombreuses et en progression, au point que Frédérique Vidal, l'inutile et transparente ministre des universités et autres lieux de perdition (on dit, en novlangue macronienne : “de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation”) avait demandé au CNRS ’’un bilan de l’ensemble des recherches’’ en cours en France, afin de distinguer ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme. Courageuse, elle avait même vu que cette pandémie-là “gangrène la société dans son ensemble, car l’université n’est pas imperméable : il y a des gens qui utilisent leurs titres et l’aura qu’ils en tirent pour porter des idées radicales ou militantes” (Oh ! les vilains !). Et d'ailleurs, “des universitaires se disent empêchés par d’autres de mener leurs recherches, leurs études” a-t-elle affirmé, ce qui a révulsé certains réseaux sociaux, car dans ce sens-là, tout est permis ! “Z'avaient qu'à faire des recherches sur ce qui nous plaît, à nous, Na !”, disent les chantres de l'ouverture… fermée au Vrai, au Bien, et au Bon –pour l'Homme.
Les prêcheurs de mort (qui se croient “insoumis” parce qu'ils son opposés à tout ce qui marche et favorables à ce qui n'a jamais fonctionné nulle part, fut-ce un tout petit peu), hurlent au loup : comme chaque fois que quelqu'un a une bonne idée, ils avalent leur dentier de rage non-maîtrisée. Faisant semblant de se demander “à quoi la ministre peut bien faire référence” (sic !), ils ont dit être “choqués par une chasse aux sorcières dignes d’un autre régime” –un des cinq ou six clichés qui leur sert d’'ersatz d'intellect. “Vous n’avez rien d’autre à faire que de lancer une police de la pensée ?”, avait osé demander la députée Bénédicte Taurine (LFI) lors des questions au gouvernement. Comme toutes les gesticulations déraisonnables de ce qui reste de ce qui fut la Gauche, tout cela prêterait à rire si la société française n'était pas si gangrenée (mais attention ! Le truc n’est pas mort, il remue encore !).
“L'Islamo-gauchisme est une énième invention de la droite” répètent à satiété nos politicards incultes, nos faux intellectuels et nos syndicalistes engagés, la presse contaminée, les militants de gauche et des enseignants-chercheurs (on les confond : ils sont interchangeables !). Le diagnostic inverse, celui de Jean-Michel Blanquer, parle plutôt d'une “matrice intellectuelle venue des universités américaines et des thèses intersectionnelles”. Quant au philosophe Pierre-André Taguieff, ancien conseiller de Chevènement –donc pas un “frontiste” convaincu– il avait défini en 2002 ce mariage pour tous de la carpe et du lapin comme “une alliance militante de fait entre des milieux d'extrême gauche se réclamant du marxisme et des mouvances islamistes de diverses orientations (Frères musulmans, salafistes, djihadistes), une prise de pouvoir du décolonialisme à l'Université”. Cette nébuleuse floue englobe ces féministes voilées qui ont été incapables de condamner les actes de Tariq Ramadan lors du colloque “Stigmatiser : normes sociales et pratiques médiatiques”, à Paris II, au motif que “toute critique de l'islamisme est une posture néocolonialiste” (Ah ! les belles âmes ! Les honnêtes gens ! La belle moralité !).
Dans les domaine qui touchent à la sociologie, les universitaires non contaminés sont d'ailleurs choqués par la violence de ces escouades de fanatiques très peu nombreux mais bruyants comme dix fois plus, pour qui il est inconcevable de tenir un autre discours que celui de Philippe Poutou ou de la députée LFI Danièle Obono sur les questions de laïcité. Ces minorités très actives, se dressent vertueusement contre tout ce qui ne leur convient pas, créent des bâtons de justice viraux de type “hashtag”, afin de poursuivre sur les réseaux ceux qui osent ne pas sacrifier sans limites à tous leurs fantasmes mortifères –et mensongers, cela va sans dire.
La réalité, que quelques politiques et de rares médias pas encore ravagés par cette idéologie de fin du monde commencent à entr'apercevoir, est que cela fait une bonne décennie que, dans l'ombre et avec la complicité des “pantoufles”, l'islamo-gauchisme gangrène nos universités. Sur les bancs de nos ‘’facs’’ ou dans la recherche en sciences humaines, la gauche, désormais obnubilée par le bien-être des islamistes plus que par celui des ouvriers, a mis un pied et demi dans ce cloaque dont l'influence est grandissante dans nos universités. Un seul exemple ? A l'université Tolbiac (Paris), on assiste à une véritable bataille idéologique rangée , depuis que Jean-Michel Blanquer a nommé et pointé le péril que fait courir “l'islamo-gauchisme'’, au point que le Président ne sait plus comment camoufler sa trouille d'honorer Napoléon aussi bien qu’il le mérite… Pauvre France ! (à suivre)
H-Cl.
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Haitian President Jean-Pierre Boyer receiving Charles X’s decree recognizing Haitian independence on July 11, 1825. Credit: Bibliotheque Nationale de France.
When France Extorted Haiti – the Greatest Heist in History
In the 19th century, the thinking went that the former enslavers of the Haitian people needed to be compensated, rather than the other way around.
The Conversation Marlene Daut
In the wake of George Floyd’s killing, there have been calls for defunding police departments and demands for the removal of statues. The issue of reparations for slavery has also resurfaced.
Much of the reparations debate has revolved around whether the United States and the United Kingdom should finally compensate some of their citizens for the economic and social costs of slavery that still linger today.
But to me, there’s never been a more clear-cut case for reparations than that of Haiti.
I’m a specialist on colonialism and slavery, and what France did to the Haitian people after the Haitian Revolution is a particularly notorious examples of colonial theft. France instituted slavery on the island in the 17th century, but, in the late 18th century, the enslaved population rebelled and eventually declared independence. Yet, somehow, in the 19th century, the thinking went that the former enslavers of the Haitian people needed to be compensated, rather than the other way around.
Just as the legacy of slavery in the United States has created a gross economic disparity between Black and white Americans, the tax on its freedom that France forced Haiti to pay – referred to as an “indemnity” at the time – severely damaged the newly independent country’s ability to prosper.
The Cost of Independence
Haiti officially declared its independence from France in 1804. In October 1806, the country was split into two, with Alexandre Pétion ruling in the south and Henry Christophe ruling in the north.
Despite the fact that both of Haiti’s rulers were veterans of the Haitian Revolution, the French had never quite given up on reconquering their former colony.
In 1814 King Louis XVIII, who had helped overthrow Napoléon earlier that year, sent three commissioners to Haiti to assess the willingness of the country’s rulers to surrender. Christophe, having made himself a king in 1811, remained obstinate in the face of France’s exposed plan to bring back slavery. Threatening war, the most prominent member of Christophe’s cabinet, Baron de Vastey, insisted,“ Our independence will be guaranteed by the tips of our bayonets!”
In contrast, Pétion, the ruler of the south, was willing to negotiate, hoping that the country might be able to pay France for recognition of its independence.
In 1803, Napoléon had sold Louisiana to the United States for 15 million francs. Using this number as his compass, Pétion proposed paying the same amount. Unwilling to compromise with those he viewed as “runaway slaves,” Louis XVIII rejected the offer.
Pétion died suddenly in 1818, but Jean-Pierre Boyer, his successor, kept up the negotiations. Talks, however, continued to stall due to Christophe’s stubborn opposition.
“Any indemnification of the ex-colonists,” Christophe’s government stated, was “inadmissible.”
Once Christophe died in October 1820, Boyer was able to reunify the two sides of the country. However, even with the obstacle of Christophe gone, Boyer repeatedly failed to successfully negotiate France’s recognition of independence. Determined to gain at least suzerainty over the island – which would have made Haiti a protectorate of France – Louis XVIII’s successor, Charles X, rebuked the two commissioners Boyer sent to Paris in 1824 to try to negotiate an indemnity in exchange for recognition.
On April 17, 1825, the French king suddenly changed his mind. He issued a decree stating France would recognize Haitian independence but only at the price of 150 million francs – or 10 times the amount the U.S. had paid for the Louisiana territory. The sum was meant to compensate the French colonists for their lost revenues from slavery.
Baron de Mackau, whom Charles X sent to deliver the ordinance, arrived in Haiti in July, accompanied by a squadron of 14 brigs of war carrying more than 500 cannons.
Rejection of the ordinance almost certainly meant war. This was not diplomacy. It was extortion.
With the threat of violence looming, on July 11, 1825, Boyer signed the fatal document, which stated, “The present inhabitants of the French part of St. Domingue shall pay … in five equal installments … the sum of 150,000,000 francs, destined to indemnify the former colonists.”
French Prosperity Built on Haitian Poverty
Newspaper articles from the period reveal that the French king knew the Haitian government was hardly capable of making these payments, as the total was more than 10 times Haiti’s annual budget. The rest of the world seemed to agree that the amount was absurd. One British journalist noted that the “enormous price” constituted a “sum which few states in Europe could bear to sacrifice.”
Forced to borrow 30 million francs from French banks to make the first two payments, it was hardly a surprise to anyone when Haiti defaulted soon thereafter. Still, the new French king sent another expedition in 1838 with 12 warships to force the Haitian president’s hand. The 1838 revision, inaccurately labeled “Traité d’Amitié” – or “Treaty of Friendship” – reduced the outstanding amount owed to 60 million francs, but the Haitian government was once again ordered to take out crushing loans to pay the balance.
Although the colonists claimed that the indemnity would only cover one-twelfth the value of their lost properties, including the people they claimed as their slaves, the total amount of 90 million francs was actually five times France’s annual budget.
The Haitian people suffered the brunt of the consequences of France’s theft. Boyer levied draconian taxes in order to pay back the loans. And while Christophe had been busy developing a national school system during his reign, under Boyer, and all subsequent presidents, such projects had to be put on hold. Moreover, researchers have found that the independence debt and the resulting drain on the Haitian treasury were directly responsible not only for the underfunding of education in 20th-century Haiti, but also lack of health care and the country’s inability to develop public infrastructure.
Contemporary assessments, furthermore, reveal that with the interest from all the loans, which were not completely paid off until 1947, Haitians ended up paying more than twice the value of the colonists’ claims. Recognizing the gravity of this scandal, French economist Thomas Piketty acknowledged that France should repay at least US$28 billion to Haiti in restitution.
A Debt That’s Both Moral and Material
Former French presidents, from Jacques Chirac, to Nicolas Sarkozy, to François Hollande, have a history of punishing, skirting or downplaying Haitian demands for recompense.
In May 2015, when French President François Hollande became only France’s second head of state to visit Haiti, he admitted that his country needed to “settle the debt.” Later, realizing he had unwittingly provided fuel for the legal claims already prepared by attorney Ira Kurzban on behalf of the Haitian people – former Haitian President Jean-Bertrand Aristide had demanded formal recompense in 2002 – Hollande clarified that he meant France’s debt was merely “moral.”
To deny that the consequences of slavery were also material is to deny French history itself. France belatedly abolished slavery in 1848 in its remaining colonies of Martinique, Guadeloupe, Réunion and French Guyana, which are still territories of France today. Afterwards, the French government demonstrated once again its understanding of slavery’s relationship to economics when it took it upon itself to financially compensate the former “owners” of enslaved people.
The resulting racial wealth gap is no metaphor. In metropolitan France 14.1% of the population lives below the poverty line. In Martinique and Guadeloupe, in contrast, where more than 80% of the population is of African descent, the poverty rates are 38% and 46%, respectively. The poverty rate in Haiti is even more dire at 59%. And whereas the median annual income of a French family is $31,112, it’s only $450 for a Haitian family.
These discrepancies are the concrete consequence of stolen labor from generations of Africans and their descendants. And because the indemnity Haiti paid to France is the first and only time a formerly enslaved people were forced to compensate those who had once enslaved them, Haiti should be at the center of the global movement for reparations.
Marlene Daut is Professor of African Diaspora Studies at the University of Virginia.
https://getpocket.com/explore/item/when-france-extorted-haiti-the-greatest-heist-in-history?utm_source=pocket-newtab
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Quick Review on Biographies of Marshal Lannes
I’ll post some of my thoughts on Jean Lannes here. Actually I have a blog in Chinese focusing on everything about him. He is definitely my favorite Marshal.
Magrette Scott Chrisawn, The Emperor’s Friend (2002)
rating: 3.0/5.0
This is the only English biography of Lannes. To be honest, I don’t recommend it if you can read French. To her credit, Chrisawn provides a basic description of Lannes’ life. However, she made many mistakes and she often confused historical facts with her own imagination. For example, she argued that Lannes’ “last words” to Napoleon were real, but modern research has proven this was a fake story invented by Cadet de Gassicourt.
Ronald Zins, Le Marechal Lannes: Favori de Napoleon (2009)
rating: 4.5/5.0
I believe this is the best biography of Lannes. Perhaps its biggest problem is that Zins tried too hard to prove Lannes was Napoleon’s favorite. Still, the book is well-researched and well-written. I strongly recommend it.
Charles Antoine Thoumas, Le Marechal Lannes (1891)
rating: 3.0/5.0
This book is somehow outdated in light of new material and new research. But is has become an important source for later biographies.
Charles Lannes, Le Marechal Lannes (1900)
rating: 2.0/5.0
This book was written by Lannes’ grand son. It provides some family anecdotes, but as a whole it lacks historical value.
Jean-Claude Damamme, Lannes, Marechal D’empire (1987)
rating: 2.5/5.0
Damamme is biased against Marshal Bessières. Also he believed Lannes’ true love was his first wife. I think he is too subjective. Perhaps the most interesting part is the annexed list of medicine prepared for Lannes.
Pénélope Le Fers-Dupac, Le mousquetaire de Napoléon: l'autre vie du maréchal Lannes, duc de Montebello (2002)
rating: 0.5/5.0
Don’t read it. It’s not a historical work. It’s just a novel. In addition, the author did not understand Lannes at all.
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Yves Saint Laurent
5,avenue Marceau 75116 Paris France
David Teboul
Harry N. Abrams, New York 2002, 540 pages, ISBN 978-0810905658
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Follows the fashion couturier's preparations for his 2001 winter collections as documented in his upcoming film, providing never-before-published quotes, photographs from his early years, and pages from his mother's scrapbook.
Siège de la maison de haute couture Yves Saint Laurent, le « Yves Saint Laurent, 5, Avenue Marceau » est également le titre du film de David Teboul qui, pour la première fois, a pu obtenir l'autorisation exceptionnelle de tournage. Réalisé à l'intérieur de l'hôtel particulier Napoléon III (Paris), ce documentaire de 90 mn relate 7 mois de la vie de cette maison haute couture pendant la préparation de la collection Hiver 2001: la réalisation du tailleur (le patron de papier, l'entoilage, le picotage, le moulage de veste, le repassage), les dialogues avec les fournisseurs (le choix des tissus), l'appréhension à l'approche du défilé (les changements de dernière minute, la mise en scène), le lendemain du défilé (la réception de la collection dans les médias), jusqu'à l'arrivée des clientes (les cahiers de commande, la relation vendeurs/clients) et l'essayage final de quelques modèles.
Cet ouvrage qui accompagne le film raconte ainsi, à travers 230 images dont 197 photographies en couleur et 17 photographies en noir et blanc (extraites des archives personnelles d’Yves Saint Laurent), non seulement les us et coutumes de cette maison, son mode de fonctionnement, sa communication, mais aussi le travail au jour le jour de tous ces ouvriers, ces stylistes, ces "premières mains" et ces chefs d'atelier qui se consacrent exclusivement aux collections haute couture du créateur.
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