#mythes musculation
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fitnessmith · 1 month ago
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FAQ 29 : Yakult, rapport de force, prot' vegan vs classique, etc.
FAQ 29 : Yakult, rapport de force, prot' vegan vs classique, etc. Vous avez des doutes ? Découvrez cette nouvelle FAQ dès maintenant. Pour voir ça, rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés » ou rendez-vous dans votre boîte mail. #musculation #nutrition #fitness #bodybuilding #entraînement #santé #bien-être #alimentation #régime #pertedepoids #gainmusculaire #sport #fitnessmotivation #nutritiontips #workout #gym #fitnessfrance #musculationfrance #sportif #nutritionfrance #conseilsfitness #motivation #fitlife #fitnessaddict #nopainnogain #fitnessmith #fitfam #healthy #healthylifestyle #fitnessjourney
Dans cette FAQ musculation et nutrition, tu vas éliminer pas mal de doutes et de fausses croyances. Il s’agit d’une vidéo calme et posée, pour ceux qui souhaitent apprendre à leur rythme. Le but est de gommer ce qui te freine dans ta progression, en t’apportant des informations fiables.   Ce que tu vas apprendre : Reprise Post-Chirurgicale : Les étapes pour retourner à l’entraînement en toute…
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marcelrichards1379 · 3 months ago
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Transformez votre corps : 10 mouvements de musculation de base à maîtriser pour les débutants.
Très bien, passons aux choses sérieuses ! Si vous souhaitez passer à la vitesse supérieure en matière d’entraînement, vous êtes au bon endroit. Que vous souhaitiez prendre du volume, mincir ou simplement vous sentir comme un dur à cuire, il est très important de maîtriser la musculation. Et si la salle de sport vous semble être un pays étranger avec tous ces poids et ces machines, ne vous inquiétez pas : nous sommes là pour vous guider.
Vous avez donc décidé de sauter dans le train de la musculation. Vous avez peut-être entendu parler de toutes les bonnes choses à ce sujet : plus de muscles, un métabolisme plus rapide et la sensation de pouvoir tout affronter. Mais par où commencer ? Quels mouvements sont les meilleurs pour mettre en valeur ces gains ? C’est de cela que nous sommes ici pour parler aujourd’hui.
Une chose qui fait trébucher beaucoup de gens lorsqu’ils débutent est le fait de ne pas vouloir devenir trop volumineux. Démystifions ce mythe dès maintenant : la musculation ne consiste pas seulement à ressembler à un bodybuilder. Il s’agit de développer des muscles maigres, ce qui est excellent pour votre métabolisme et vous permet de faire des tâches quotidiennes comme porter des courses ou jouer avec vos enfants en un clin d’œil. De plus, c’est très important pour garder vos os et vos articulations en pleine forme.
Maintenant, passons aux choses sérieuses avec 10 mouvements de musculation avec lesquels tout débutant devrait se sentir à l’aise. Nous les décomposerons pour que vous puissiez commencer fort et vous sentir comme un pro, que vous vous entraîniez à la maison ou à la salle de sport.
Squats : Ces bébés sont les OG du jour des jambes. Ils font travailler vos quadriceps, vos ischio-jambiers et vos fesses comme rien d’autre.
Soulevés de terre : Le mouvement ultime pour tout le corps qui vous fera sentir comme un patron. Il fait travailler le bas du dos, les ischio-jambiers et plus encore.
Pompes : le mouvement classique du haut du corps qui est excellent pour votre poitrine, vos épaules et vos triceps, avec un peu d'action abdominale sur le côté.
Cliquez ici pour vous mettre en forme plus rapidement avec les meilleurs équipements de fitness de 2024. 4. Tractions ou tractions assistées : c'est comme grimper aux barres de singe, mais pour les adultes. Elles sont mortelles pour votre dos et vos bras. 5. Rowing avec haltères : elles vous permettront d'avoir une belle apparence de dos avec un haut du dos et des bras plus forts. 6. Développé couché : parfait pour la journée de la poitrine, mais n'oubliez pas aussi les épaules et les triceps ! 7. Fentes : c'est comme marcher mais plus dur, et elles vont rendre vos jambes si fortes et stables.
Cliquez ici pour voir nos 10 meilleurs produits de fitness. 8. Planches : considérez-les comme le défi ultime du tronc. Elles sont simples mais tellement efficaces. 9. Développé des épaules : vous voulez avoir fière allure dans un débardeur ? Ce mouvement est votre ticket pour la force et la définition des épaules. 10. Hip Thrusts : fessiers, fessiers, fessiers — peu importe comment vous l'appelez, ce mouvement a pour but de faire ressortir ce derrière.
Ne vous inquiétez pas si vous ne pouvez pas faire tout cela tout de suite. Il existe des tonnes de façons de les rendre plus faciles ou plus difficiles, afin que vous puissiez progresser au rythme. L'important est d'intégrer ces mouvements à votre routine au moins deux fois par semaine et de continuer à vous dépasser.
Alors, soyons motivés ! Il est temps de commencer votre voyage vers une personne plus forte et plus confiante. Tenez-vous-en à cela et vous écraserez ces poids et vous vous sentirez fantastique en un rien de temps. Et n'oubliez pas que nous sommes tous des débutants à un moment donné, alors profitez du voyage et soyez fier de chaque petite victoire en cours de route. Bon levage !
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lukasmbbb05 · 11 months ago
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Les bienfaits du yoga
Les bienfaits du yoga
Le yoga, et les bienfaits du yoga, sont généralement définis comme une self-control hindoue qui aide à unir le corps et l'esprit. Visant à atteindre un état de parfaite perspicacité spirituelle et de tranquillité, il est pratiqué en Occident le furthermore souvent comme un exercice physique pratiqué dans le cadre de la self-control.
Le bénéfice de la pratique du yoga n'est pas nouveau. Il est reconnu depuis de nombreuses années comme la self-control parfaite pour aider à atteindre la tranquillité, une meilleure santé et une vie additionally longue.
Beaucoup de gens considèhire les avantages du yoga comme une self-control étrange https://pharm-sure.com/ qui implique des yogi contorsionnés dans des positions non naturelles, faisant des actes corporels étranges et vivant au sommet d'une montagne quelque element en Inde. Je me souviens personnellement d'un documentaire télévisé il y a de nombreuses années mettant en vedette un yogi qui avait la langue fendue, l'utilisant pour nettoyer ses cavités sinusales ! Quiconque s'intéresse au yoga a probablement aussi vu des photos de yogis soutenant un poids essential avec leurs organes génitaux.
À l'ère moderne, over a beaucoup appris sur les bienfaits du yoga. Les pratiquants de yoga atteignent une furthermore grande mobilité, une vie moreover longue et un bonheur intérieur grâce à leur pratique de l'artwork. Le yoga tel que nous le connaissons aujourd'hui vise à unir l'esprit, le corps et l'esprit. Le mysticisme de la self-control hindoue n'est in addition un mythe et est accessible à tous ceux qui souhaitent apprendre.
La pratique du yoga est grossièrement regroupée en trois catégories : les postures de yoga (asanas), la respiration du yoga (pranayama) et la méditation. Ces catégories englobent les effets physiologiques, psychologiques et biochimiques. De plus, les cliniciens ont comparé ces résultats aux pratiques occidentales de jogging, d'exercices aérobiques et de musculation, et ont trouvé des résultats comparables.
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Le fashion de yoga le plus populaire en Occident aujourd'hui est le Hatha Yoga. Il est conçu pour se concentrer sur le bien-être physique d'une personne et les croyants en la pratique considèrent le corps comme le véhicule de l'esprit.
Ananda Yoga, un type classique de Hatha Yoga, utilise Asana et Pranayama pour éveiller, expérimenter et prendre le contrôle des énergies subtiles du corps, et se concentre sur les énergies des sept Chakras.
youtube
Le yoga Anusara (a-nu-SAR-a) est défini comme "entrer dans le courant de la volonté divine", "suivre votre cœur" et "se déplacer avec le courant de la volonté divine". Ce nouveau type, développé par John Good friend, est défini comme « des positions de yoga qui viennent du cœur ». Il est axé sur le cœur, inspirant spirituellement et est basé sur une connaissance approfondie de l'alignement du corps extérieur et intérieur. Il est basé sur les principes du Hatha Yoga et des pratiques biochimiques. Les étudiants de cette discipline basent leur pratique sur l'Frame of mind, l'motion et l'alignement.
L'ashtanga yoga pourrait être le yoga parfait pour ceux qui recherchent un entraînement sérieux. Ashtanga a été développé par K. Pattabhi Jois et est très exigeant physiquement. Une série de flux, passant rapidement d'une posture à une autre, est utilisée pour développer la force, la flexibilité et l'endurance. Ce fashion n'est pas bon pour le pratiquant débutant, car or truck il nécessite 6 séri
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andersonykno36 · 1 year ago
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Les bienfaits du yoga
Les bienfaits du yoga Le yoga, et les bienfaits du yoga, sont généralement définis comme une self-discipline hindoue qui aide à unir le corps et l'esprit. Visant à atteindre un état de parfaite perspicacité spirituelle et de tranquillité, il est pratiqué en Occident le additionally souvent comme un exercice physique pratiqué dans le cadre de la self-discipline.
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Le bénéfice de la pratique du yoga n'est pas nouveau. Il est reconnu depuis de nombreuses années comme la self-discipline parfaite pour aider à atteindre la tranquillité, une meilleure santé et une vie moreover longue. Beaucoup de gens considèlease les avantages du yoga comme une self-control étrange qui implique des yogi contorsionnés dans des positions non naturelles, faisant des actes corporels étranges et vivant au sommet d'une montagne quelque section en Inde. Je me souviens personnellement d'un documentaire télévisé il y a de nombreuses années mettant en vedette un yogi qui avait la langue fendue, l'utilisant pour nettoyer ses cavités sinusales ! Quiconque s'intéresse au yoga a probablement aussi vu des illustrations or photos de yogis soutenant un poids significant avec leurs organes génitaux. À l'ère moderne, on a beaucoup appris sur les bienfaits du yoga. Les pratiquants de yoga atteignent une additionally grande mobilité, une vie moreover longue et un bonheur intérieur grâce à leur pratique de l'artwork. Le yoga tel que nous le connaissons aujourd'hui vise à unir l'esprit, le corps et l'esprit. Le mysticisme de la discipline hindoue n'est plus un mythe et est accessible à tous ceux qui souhaitent apprendre. La pratique du yoga est grossièrement regroupée en trois catégories : les postures de yoga (asanas), la respiration du yoga (pranayama) et la méditation. Ces catégories englobent les effets physiologiques, psychologiques et biochimiques. De furthermore, les cliniciens ont comparé ces résultats aux pratiques occidentales de jogging, d'exercices aérobiques et de musculation, et ont trouvé des résultats comparables. Le style de yoga le furthermore populaire en Occident aujourd'hui est le Hatha Yoga. Il est conçu pour se concentrer sur le bien-être physique d'une personne et les croyants en la pratique considèlease le corps comme le véhicule de l'esprit. Ananda Yoga, un design and style classique de Hatha Yoga, utilise Asana et Pranayama pour éveiller, expérimenter et prendre le contrôle des énergies subtiles du corps, et se concentre sur les énergies des sept Chakras.
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Le yoga Anusara (a-nu-SAR-a) est défini comme "entrer dans le courant de la volonté divine", "suivre votre cœur" et "se déplacer avec le courant de la volonté divine". Ce nouveau type, développé par John Buddy, est défini comme « des positions de yoga qui viennent du cœur ». Il est axé sur le cœur, inspirant spirituellement et est basé sur une connaissance approfondie de l'alignement du corps extérieur et intérieur. Il est basé sur les principes du Hatha Yoga et des pratiques biochimiques. Les étudiants de cette self-discipline basent leur pratique sur l'attitude, l'action et l'alignement. L'ashtanga yoga pourrait être le yoga parfait pour ceux save delivery qui recherchent un entraînement sérieux. Ashtanga a été développé par K. Pattabhi Jois et est très exigeant physiquement. Une série de flux, passant rapidement d'une posture à une autre, est utilisée pour développer la drive, la flexibilité et l'endurance. Ce fashion n'est pas bon pour le pratiquant débutant, automobile il n
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ketodietvideos · 5 years ago
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8 mythes sur la diète cétogène en Musculation Utilisée par de nombreux culturistes, la diète cétogène, encore peu connue, peut être redoutable pour vous aider à faire fondre le tissu adipeux et atteindre vos objectifs
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christian-dubuis-santini · 3 years ago
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– Papa, qu’est-ce qu’une dictature?
– C’est quand une personne commande sans tenir compte de l’avis des autres…
– Comme la mamma?
– Non, quand même pas jusqu’à ce point…
"Père ne vois-tu pas que je brûle?" Big Mother is back...
Le glissement vers une société de contrôle "totalitaire" que la crise dite sanitaire de la covid-19 a brusquement mise à jour en mars 2020 a commencé en vérité il y a une cinquantaine d’années, avec l’élimination dans le code civil de la notion de droit paternel remplacé par celle de "droit parental" – déniant le réel de la différence sexuelle – et annonçant le retour, vingt-sept siècles après l’Orestie d’Eschyle, du matriarcat mino-mycéen, sous la forme du fantasme d’une Big Mother postmoderne, encadrée de ses saucisses idéologiques: lgbt-féminisme, antiracisme, écologisme, technologisme …comme autant de Denkverbot (interdit de penser) empêchant la confrontation avec le Réel de la castration.
Pourquoi le matriarcat qui s’annonce est-il bien pire que le patriarcat qu’il dénonce? C’est une question de surmoi.
L'injonction à la jouissance de nos sociétés contemporaines conduit les hommes à consacrer leur temps à une quête effrénée des plaisirs, certains sont désormais si obnubilés par leur allure, bronzage, musculation, massages, jogging, applications de crèmes, de lotions... que leur but premier qui était de vivre des expériences sexuelles intenses a fini par disparaître, non pas en regard d'un quelconque dispositif répressif lié à des prohibitions sociales, mais parce que le souci narcissique de Soi est devenu un but en soi.
L'utopie d'une subjectivité post-psychanalytique investie dans la conquête de nouveaux plaisirs et de nouvelles sensations corporelles a donc tourné en son contraire: le désintérêt d'un ennui sidéral, et il semble bien que désormais seule l'apparition de la douleur (les pratiques sexuelles sado-masochistes "hard") puisse encore ouvrir au sujet postmoderne la promesse d'intenses expériences de jouissance...
En ces temps de "féminisme" exacerbé où de soi-disant "psychanalystes" pris dans le discours dominant (sans rien vouloir en savoir) fustigent la notion du père, croyant attaquer le "patriarcat" (que Marx lui-même considérait depuis longtemps disparu...), rappelons que la "fonction paternelle" est une des inventions fondamentales de la psychanalyse, pour saisir le réel qui en sous-tend la notion, il suffit de relire le livre-testament de Freud: Moïse et le monothéisme...
"...copuler avec une femme, qu'elle porte ensuite quelque chose pendant un certain temps dans son ventre, que ce produit finisse par être éjecté - n’aboutira jamais à constituer la notion de ce que c’est être père au sens de procréer." (Lacan - Les psychoses)
Pour Lacan, le nom du père est ce qui permet au sujet d’articuler le désir et la loi, un enfant privé de ce qui s’appelle «fonction paternelle» (à ne pas confondre avec l’identité symbolique du géniteur) se trouvera dans les plus grandes difficultés de ne pas savoir faire la différence entre l’autre menaçant et l’autre protecteur...
L'effondrement des noms-du-père n'a-t-il pas comme conséquence logique le surgissement d'une loi beaucoup plus folle et féroce, un "surmoi maternel" qui n'interdit pas mais inflige la jouissance, l'obligation de jouir, en punissant l'échec social?
Ce surmoi maternel, par-delà toute identification possible, est ce qu'il y a de plus régressif, et Lacan lui-même l'évoque dans le séminaire sur les formations de l'inconscient comme "le surmoi maternel plus archaïque que le surmoi classique décrit à la fin de l'Œdipe": «Est-ce qu'il n'y a pas derrière le surmoi paternel, ce surmoi maternel, encore plus exigeant, encore plus ravageant, encore plus insistant dans la névrose que le surmoi paternel?»
"Un père n’a droit au respect, sinon à l’amour, que si le dit respect, le dit amour, est, vous n’allez pas en croire vos oreilles, père-versement orienté, c’est à dire fait d’une femme, objet a qui cause son désir." (Les non-dupes-errent, séance du 21 janvier 1975)
Lacan évoque trois conditions permettant à un homme d’être digne du mérite d'être "père"; avoir fait d’une femme la cause de son désir, une femme qui lui fasse des enfants, et de ceux-ci qu'il prenne soin paternel.
Dans la dernière leçon du séminaire L’angoisse, Lacan énonce son programme consistant à passer du Nom-du-Père aux noms du père... Il questionne alors le désir du père: "Dans la manifestation de son désir, le père, lui, sait à quel "a" ce désir se réfère. Contrairement à ce qu’énonce le mythe religieux, le père n’est pas causa sui, mais sujet qui a été assez loin dans la réalisation de son désir pour le réintégrer à sa cause." (Jacques Lacan, Le séminaire, Livre X, L’angoisse)
Le père qui parvient à réintégrer le désir à sa cause se trouve en position de transmettre le Nom-du-Père ; ayant réuni les conditions de possibilité de la transmission.
Cela met en évidence que l’effectuation de la métaphore paternelle n’est pas une opération dépendant uniquement du désir maternel...
Que le père soit digne de respect sinon de l’amour n’est pourtant pas une condition unique, et parfois certaines conditions énigmatiques de discours permettent l’accès à ce signifiant.
Cela relève de l’insondable dans la structure du sujet, et lui appartient en propre.
La psychanalyse, la vraie, qui est topo-logique et qui n’a rien à voir avec les institutions psychanalytiques qui prétendent parler en son nom et qui en trahissent non seulement l’esprit mais aussi la lettre, n’a jamais été plus actuelle ni plus pertinente qu’aujourd’hui...
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salon-du-salon · 4 years ago
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SDS #25 Je vais me faire appeler Arthur – Arthur Gillet. Une proposition de Cédric Aurelle
Du 22 août au 15 septembre 2020 Ouvert du jeudi au samedi de 15 h à 18 h et sur rdv Réception dimanche 30 août à 12h
Salon du Salon 21 avenue du Prado 13006 Marseille [email protected]  +33 6 50 00 34 51 
Je vais me faire appeler Arthur - Arthur Gillet.
Comme bon nombre de pédés connectés, j’ai rencontré Arthur Gillet par la médiation de ses images : celles qu’il avait produites et diffusées de lui sur les réseaux sociaux, celles qui avaient été partagées, likées et commentées par la foule amoureuse/hargneuse de ses lovers/haters numériques. Ces produits d’un imaginaire d’icône/de conne instagramable, qui semblaient se conformer à des constructions archétypales homosexuelles, situaient d’emblée pour moi ses premières apparitions digitales à l’opposé de toute production artistique recevable. Dépourvues en apparence d’une légitimité que lui aurait conféré un engagement social/critique, celles-ci ne s’adressaient bien au contraire qu’à mon désir et à son inclination normative (impossible à assumer politiquement), ce désir pour des corps façonnés par les heures de musculation, inspirés par les canons de l’académie de l’art occidental et recyclés dans le kitsch de l’iconographie « gay ».
Ce n’est qu’après être parvenu à mes fins inavouables, c’est-à-dire après avoir couché en loucedé avec Arthur, que mon regard finit par se déciller des liens par lesquels mon fascinus l’enfermait dans le registre de la contemplation érectile. Ce dernier l’empêchait en effet de penser son objet autrement que par ce même mépris de classe pour la chose triviale que partageaient mes alter ego pour la petite prolétaire du cul à laquelle était réduit Arthur Gillet ou par la violente condescendance des « sachant.e.s. » Pour celles.ceux-ci, sa démarche était pour le mieux saluée d’un haussement de sourcil accompagné d’un trait d’esprit analytique que l’on pourrait restituer ainsi : « encore un mec qui s’inscrit dans un régime de la domination masculine blanche ignorant les conditions d’oppression systémiques opérant sur les corps et les identités des travailleurs de l’art/du sexe ». Ce que d’autres auraient exprimé avec la spontanéité transparente de termes plus profanes : « encore une bodybuildeuse dont il n’y a rien à tirer d’autre que son cul… » et dont je partageais pleinement l’approche critique. C’était ne pas voir la force d’un projet d’émancipation sexuelle et sociale au cœur duquel l’amour joue un rôle de transformation de soi par la réinvention infinie de sa propre image, non pas en se conformant à des stéréotypes mais en les utilisant à son avantage pour mieux les désactiver.
En septembre 2013, pour sa première apparition parisienne, le jeune provincial fraîchement débarqué de sa Bretagne natale à Paris se distingue au Musée d’Orsay lors du vernissage de l’exposition Masculin/Masculin. Il s’y livre nu aux regards émoustillés d’huiles extraites des milieux culturels parisiens les plus distingués, conservateurs, directeurs d’institutions et autres personnalités gays influentes que la plastique du jeune homme semblant prélevée des œuvres de l’exposition ne sait laisser indifférents. Derrière ce qui peut paraître alors comme une provocation potache de jeune diplômé d’école d’art ou une stratégie d’auto-promotion rastignacienne en version post-porn, Arthur Gillet renvoie les voyeurs à leur responsabilité de regardeurs. Le corps dénudé ne saurait en effet ici être une offrande qui leur est faite. Les habits, soulignant la condition sociale supérieure des regardeurs, ne leur confèrent aucun droit sur le nu regardé dont d’aucuns pourraient s’imaginer qu’il est mis à leur disposition. De même, le désir formulé depuis un regard socialement dominant ne saurait légitimer la prédation sexuelle du corps dénudé.
Cette attitude résolument affirmative et pleine d’assurance est alors formulée comme une étape dans un lent processus de métamorphose de la vie/du travail d’Arthur Gillet dont La Lessive, un ensemble de vêtements peints sur soie, reprend le principe autobiographique à la manière d’un cycle illustré. Né dans l’indifférence de genre d’une enfance placée sous la tutelle angélique de sa grand-mère, Arthur Gillet s’invente une adolescence de jeune fille chétive aux cheveux longs et robes de princesse manga, comme un dessein fictionnel permettant de s’abstraire de la misère sociale de la ZUP rennaise où il grandit. Entre projet de transition sexuelle impossible pour des raisons économiques et violence de l’injure faite au travesti, l’artiste tire parti d’une subite pilosité de pâtre grec pour faire le choix de se réincarner en Hercule Farnèse à l’aube de ses 20 ans. Cette figure, dont il ne cesse depuis son adolescence de reproduire fiévreusement le dessin dans ses carnets d’écolière après en avoir rencontré la reproduction au Jardin des Tuileries, travaille son imaginaire comme le lieu de ses premiers émois érotiques. De l’imaginaire, il passe à la matérialité du corps dans un processus de transformation aussi radical que libérateur : au corps féminin ambigu, stigmatisé et malmené il substitue un objet masculin qui en impose par sa signification sociale, par son encombrement spatial et par sa plastique photogénique.
La Lessive est produite à la suite d’une invitation faite en novembre 2018 par l’historien de l’art Pascal Rousseau de performer un projet illustrant une conférence au Palais de Tokyo portant sur la manière dont l’œuvre fait le regardeur (prenant de fait à rebours l’assertion duchampienne selon laquelle c’est le regardeur qui fait l’œuvre). A cet égard, une consultation des carnets de l’artiste remplis alors qu’il était encore une petite fille aux cheveux longs frappent par la récurrence de ces figures de costauds mâles à barbes ressemblant de manière troublante, comme par anticipation, à la figure de l’artiste aujourd’hui. Au cours de la performance, Arthur Gillet lave et étend les uns après les autres ses vêtements autobiographiques devant l’auditoire. Il convoque ainsi son linge sale comme autant de parties intimes qu’il expose au public dans un portrait au travers duquel son identité se manifeste de manière aussi fluide qu’un voile de soie sur lequel ses représentations multiples et antagonistes apparaissent au travers d’un kaléidoscope.
Le projet intitulé Les Mythomanes reflète à la manière d’un miroir déformant les différentes identités et étapes de transformation de l’artiste. Inspiré d’un aspect peu connu du mythe dionysiaque, on y voit sur cinq panneaux peints sur soie Dyonisos en figure féminine ressemblant à l’artiste adolescente et Prosymnos dans sa version adulte. Le mythe veut que Dyonisos ait consulté Prosymnos afin qu’il lui livre le secret lui permettant de retrouver sa mère décédée, en échange de quoi il se donnerait physiquement à lui. A son retour du monde des morts, Dyonisos apprend que Prosymnos a rejoint l’au-delà. Pour tenir sa promesse, il se rend sur sa tombe et y plante une branche de figuier sur laquelle il s’assied pour se laisser pénétrer par elle. L’iconographie joue sur l’interchangeabilité des phénotypes des deux personnages dont les transformations successives reflètent celles de l’artiste.
L’intime et le domestique constituent par ailleurs la structure de l’œuvre d’Arthur Gillet dont le corps puissamment construit n’est que le phénomène social en forme de masque trompeur. Dans la série de 12 assiettes en faïence The twelve Labors of Mansfield Park, il s’inspire du livre Mansfield Park de Jane Austen. Dans les médaillons de ses assiettes qui reprennent douze situations du livre, l’artiste substitue à la frêle héroïne de l’ouvrage la figure massive d’Hercule, créant un parallèle entre les deux personnages que tout semble a priori opposer, la pâle servante oubliée des annales de l’Histoire d’un côté et le demi-dieu porté par son souffle épique de l’autre. Néanmoins, le projet d’Arthur Gillet s’adosse à cet aspect du mythe herculéen qui veut que le héros ait été condamné à la domesticité suite à sa crise de folie l’ayant conduit à tuer sa femme et ses enfants, assigné en conséquence à résidence chez la reine Omphale dont il conquerra le cœur en faisant preuve de douceur et docilité, et partant, sa liberté. A la puissance d’action de celui qui nettoya les écuries d’Augias, l’artiste préfère l’inaction favorable à l’épanchement des sentiments et leurs vertus sociales autrement plus efficientes. De même que dans le livre, le pivot central qu’est la jeune fille semble constituer un maillon faible de la trame du récit mais s’avère en fin de compte en être son principe intégrateur. Cette force « végétative » a par ailleurs conduit l’artiste à effectuer un rapprochement avec les plantes, lesquelles fleurissent tous ses travaux au même titre que son univers domestique. A travers le parallèle inattendu des douze travaux, Arthur Gillet met l’accent sur une pièce fondamentale de son édifice conceptuel qui au vu de ses images de bodybuilder peut paraître contre-intuitive, à savoir l’éloge de la passivité et le parallèle métaphorique qu’il tire entre sa version sociale et sa version sexuelle. Surdéterminant chez les « gays », le clivage actif/passif des pratiques sexuelles assigne le passif à un rôle de dominé et l’actif à un rôle de dominant, reprenant à bon compte les schémas d’interprétation sociale patriarcale de la sexualité hétéronormative par un clivage masculin/actif et féminin/passif reflétant les stéréotypes sociaux genrés et leur position hiérarchisée. Dans cette optique, la passivité demeure aujourd’hui même chez les « gays » une pratique dévalorisante, soulignée par un usage du genre féminin dans les désignations y afférent. La bodybuildeuse sus-mentionnée par exemple.
Les œuvres d’Arthur Gillet soulignent le crédit qu’il apporte au genre mineur décoratif et ses supports de prédilection, notamment les vêtements et les céramiques, ainsi que leur cadre d’épanouissement privilégié, l’intérieur domestique auquel répond parfaitement le project space Salon du Salon.
A cet intérêt qui fédère des éléments que l’on rapporte habituellement au « féminin », s’ajoute celui pour le régionalisme, et plus particulièrement les productions iconographiques de la Bretagne qui marquent son projet Feeliger. Cet ensemble de vêtements peints sur soie est réalisé en hommage au peintre symboliste Filliger marqué par son attachement pour le folklore breton. Proche de Gauguin en son temps, adepte du cloisonnisme dont il livre une interprétation particulièrement sensible, l’auteur d’une œuvre pourtant remarquable semble avoir été remisé aux oubliettes d’une Histoire de l’Art hégémonique peu encline à considérer les émotions d’un personnage aux « mœurs singulières », en l’occurrence homosexuelles. La couture dans la doublure des vêtements d’extraits de quelques restes de sa correspondance souligne le voile jeté sur une œuvre en même temps que l’opprobre sur son auteur et la nécessité d’en ressusciter l’histoire par l’exploration de ses revers.
Cet hommage à Filliger dessine une forme d’amitié transtemporelle qui lie Arthur Gillet à un artiste d’une autre époque par ce que l’on pourrait qualifier d’affinités trans l’arrimant à une histoire qu’il se construit et une famille qu’il s’invente. Aussi ne verra-t’on pas dans l’ancrage fictionnel et l’intérêt pour la mythologie et les grands récits manifestés par l’artiste une manière d’effacer ses conditions sociales et historiques de production de subjectivité mais bien au contraire de leur donner une amplification dans des narrations le transcendant. Le projet intitulé République ramène d’ailleurs son œuvre dans l’intense proximité de la banalité de son quotidien et des rencontres affectueuses qui l’embellissent. Lhivers 2019-2020, Arthur Gillet est en effet serveur au Café Fluctuat, Place de la République à Paris. Ce lieu de brassage de populations sert notamment de refuge à nombre de journaliers de l’économie 2.0, chauffeurs Uber, livreurs Deliveroo et autres travailleurs précarisés, originaires du bled pour les uns, gilets jaunes pour les autres. De cafés offerts en paroles échangées, une complicité et une confiance s’établissent au fil des jours entre le serveur et ses clients réguliers, dont l’artiste brosse les portraits en peinture sur tissus, pensés dans la transparence diaphane de vitraux décoratifs pour le Café Fluctuat et constituant un hymne à la solidarité contemporaine par-delà les clivages de genre, de classe et de race. Comme par un retournement de l’histoire et de son miroir, l’observateur des luttes amies se retrouve le 13 juin soixante heures en garde à vue pour avoir participé pacifiquement à la manifestation Black Lives Matter et Justice pour Adama, Place de la République, justement. Tombé dans un coup de filet aléatoire avec 15 jeunes gens tous racisés, le seul blanc se retrouve dans l’objectif répressif de l’appareil policier clairement en raison de cet avatar social protecteur qu’il s’est inventé, son corps puissant et sa longue barbe, qui le réassignent au camp des suspects sociaux. Aux manifestations performatives de la colère, aux brûlots médiatiques assourdissants, l’artiste substitue ce doux feu purificateur que l’on voit rougeoyer dans l’horizon des luttes de son panorama de soie, favorisant les formes de résilience sociale devant les manifestations traumatisantes des formes de la répression, ainsi que le ferait une culture sur brulis.
J’ai longtemps gardé en tête la première phrase de la La Jetée de Chris Marker, qui me revient en pensant au travail d’Arthur Gillet : « Ceci est l’histoire d’un homme marqué par une image d’enfance ». En introduisant ainsi son roman-photo cinématographique, Chris Marker décrit les processus fictionnels mettant en jeu une histoire de l’humanité au cœur de laquelle se manifeste la question de l’amour. Celui-ci y apparaît à la manière d’un puits de mémoire inversée permettant de plonger dans le futur afin d’y trouver des solutions pour surmonter les impasses du présent. Le travail/la vie d’Arthur Gillet procède/nt d’enjeux similaires, dans lesquels la fiction de soi et l’amour se croisent dans une perspective émancipatrice, reprenant toutefois de manière retroussée l’assertion de Chris Marker que l’on pourrait alors formuler ainsi : « ceci est l’histoire d’un.e enfant, marqué.e par l’image d’un soi adulte. » Et cette émancipation s’accompagne d’affirmations fortes luttant contre l’invisibilisation et l’insulte, avec la conscience d’une nécessité péripatéticienne liée à l’apparition de l’artiste et la médiation de son œuvre. Au risque de « se faire appeler Arthur », avec l’exigence néanmoins de s’imposer comme « Arthur Gillet. »
Cédric Aurelle, février/juin 2020
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Like a good number of connected fags, I first met Arthur Gillet through the mediation of his images: those he‘d produced and posted on social media, those that had been shared, liked and commented on by the adoring/deploring crowd of his digital lovers/haters. These products of an instagrammable icon/icunt fantasy, appearing to conform to homosexual archetypal constructs, placed his digital manifestations, upon my first gazing at them, on the opposite end of any admissible artistic production. Seemingly devoid of the legitimacy that a social/critical commitment would have conferred on him, they were on the contrary, narrowly addressing my lust and its normative inclination (politically inadmissible), the desire for bodies shaped by hours of bodybuilding, inspired by the canons of the academy of Western Art and recycled into the kitsch of “gay” iconography.
It was only after achieving my shame-infused objective, that is to say after having slept with Arthur, that my eye was finally detached from the bonds of my fascinus which confined him to the register of erectile contemplation. Previous to this detachment, my vision was prevented from seeing its object distinct from the class contempt shared by my alter egos for that trivial thing, the little proletarian ass, to which Arthur Gillet was reduced, nor could it escape the violent condescension of the “knowers”. For “them”, his approach was greeted with a raised eyebrow accompanied by an analytical wit, which could best be so described: “Yet another guy who is part of a regime of white male domination ignoring the systemic conditions of oppression operating on the bodies and identities of art/sex workers”. Or what others would have expressed with the transparent spontaneity of more profane terms: «another gym queen from whom there is nothing to gain but her ass...» I fully shared this critical approach. It was a failure on my part to see the strength of a project of sexual and social emancipation at the heart of which love plays a role of self-transformation through the infinite reinvention of one’s own image, not by conforming to stereotypes but by using them to one’s advantage in order to better deactivate them.
In September 2013, for his first Parisian appearance, the young provincial freshly arrived from his native Brittany attains distinction at the Musée d’Orsay at the opening of the Masculin/Masculin exhibition. Uninvited, he delivers himself naked, titillating the A-listers of the most distinguished milieux, curators, directors of institutions and other influential gay personalities, whose eyes feast on the sculptural nude which seemingly stepped from the exhibition itself, leaving no one indifferent. What appears to be the juvenile provocation of a young art school graduate or a Rastignacian self-promotion strategy post-porn version, is in fact Arthur Gillet shoving the voyeurs back to their responsibility as viewers. The nude body isn’t an offering made to them. The clothes, which underline the superior social condition of the onlookers, give them no rights to the naked body they look at, which some may imagine is placed at their disposal. Likewise, the desire expressed from a socially dominant perspective doesn’t legitimize the sexual predation on the nude.
This resolutely assertive and self-assured attitude is formulated as a step in a long process of metamorphosis in the life/work of Arthur Gillet, whose La Lessive is a series of hand-painted silk garments, each illustrating an autobiographical moment. Born in the gender indifference of a childhood under the angelic tutelage of his grandmother, Arthur Gillet constructs himself an adolescent persona of a long-haired, frail girl in manga princess dresses, a fiction designed to abstract himself from the social hardship of the urban development zone in Rennes where he grew up. Positioned between an economically unfeasible project of gender transition and the violence of aggressions towards gender ambiguity, the artist, in his early twenties, taking advantage of the sudden growth of a Greek shepherd’s thick curly beard, chooses to reincarnate himself as The Farnese Hercules. This figure, which he had produced feverishly in his schoolgirl notebooks after first encountering the sculpture in the Jardin de Tuileries, was also the imaginative provocation for his first sexual excitements. From the imaginary, he moves on to the materiality of the body in a process of transformation that is as radical as it is liberating: for the ambiguous, stigmatized and abused female body, he substitutes a male object that asserts itself through its social meaning, its spatial imposition and its photogenic sculptural features. La Lessive was produced in response to an invitation in November 2018 by art historian Pascal Rousseau as a performance illustrating the principle explored at the conference at the Palais de Tokyo, that the artwork makes the viewer (reversing the Duchampian assertion that it is the viewer who makes the artwork). In light of this principle, an exploration of the artist’s notebooks from when he was still a little girl with long hair, is striking because of the recurrence of these figures of strong, bearded males which disturbingly resemble, as if by anticipation, the figure of the artist today. During the performance, Arthur Gillet washes and lays out his autobiographical clothes one after the other in front of the audience. In this way, he summons up his dirty laundry as if it were intimate parts, exposed to the audience as a portrait manifesting his identity as fluidly as a silk veil on which multiple and contradictory representations appear kaleidoscopically.
The project entitled Les Mythomanes reflects the different identities and stages of transformation of the artist like a distorting mirror. Inspired by a lesser-known aspect of the Dionysian myth, five panels painted on silk depict Dionysos as a female figure resembling the adolescent artist and Prosymnos as the artist as an adult. In the myth, Dionysos consulted Prosymnos in order to give him the secret of finding his dead mother, and in exchange he would physically give himself to him. Upon his return from the world of the dead, Dionysos learns that Prosymnos has reached the afterlife. To keep his promise, Dionysos goes to Prosymnos’ grave and plants a fig tree branch on which he sits to allow himself to be penetrated. The iconography plays on the interchangeability of the phenotypes of the two characters whose successive transformations reflect those of the artist.
The intimate and the domestic constitute the structure of Arthur Gillet’s work, whose powerfully constructed body is merely a social phenomenon in the form of a deceptive mask. In the 12 earthenware plates series The Twelve Labors of Mansfield Park, he takes his inspiration from the book Mansfield Park by Jane Austen. The images in the wells of the plates illustrate twelve situations from the book in which the artist substitutes the frail heroine with the massive figure of Hercules, creating a parallel between the two characters in which everything seems a priori oppositional, the pale servant forgotten from the annals of history on one side and the demigod carried by his epic sweep on the other. Nevertheless, Arthur Gillet’s project is based on the point in the Herculean myth when the hero has been condemned to domesticity following his fit of madness which led him to kill his wife and children and consequently be placed under house arrest at the home of Queen Omphale, whose heart he will conquer with gentleness and docility, and thus be granted his freedom. In contrast to the power of action of the hero who cleaned the stables of Augeias, the artist prefers inaction, more favourable to the effusion of sentiments and their efficient social virtues. As in the book, the young girl, who functions as a central pivot, seems to be a weak link in the narrative, but in the end proves to be its foundational strength. This “vegetative” force has moreover driven the artist to develop a closeness with plants, which pervade his work to the same extent they do his domestic life. By using the twelve labors to create an unexpected parallel, Arthur Gillet emphasizes a fundamental part of his conceptual framework which, when contrasted with his bodybuilder images, seems contradictory, namely the praise of passivity and the metaphorical parallel drawn between its social and sexual versions. Over-determined among «gays», the active/passive cleavage of sexual practices assigns the passive to the role of the dominated and the active to the dominant, replicating the patterns of socio-patriarchal interpretations of heteronormative sexuality through a male/active and female/passive schism reflecting gendered social stereotypes and their hierarchical positions. From this perspective, passivity remains today even among “gays” a devaluing practice, marked by the use of the feminine gender in relational designations. The aforementioned gym queen, for example.
Arthur Gillet’s works highlight the credit he gives to the decorative minor genre and its traditional mediums, notably textiles and ceramics, as well as their privileged setting, the domestic interior, which the Salon du Salon perfectly enacts. In addition to his interest in merging elements usually associated with the «feminine», is his keen focus on regionalism, and more particularly in the iconographic productions of Brittany which mark his project Feeliger. This series of hand-painted silk garments is made in homage to the symbolist painter Filiger, whose work expresses his attachment to Breton folklore. A contemporary and friend of Gauguin and a follower of Cloisonnism of which he was a particularly sensitive practitioner, Filiger, the creator of a remarkable body of work, seems to have been consigned to the dungeons of an Art History hegemonically disinclined to acknowledge the emotions of a character with “singular mores”, in this case homosexuality. The stitching in the garment linings, extracted from remnants of Filiger’s correspondence, are hidden, much as the artist’s life and work are hidden within the past, underlining the necessity to re-explore history by turning it inside out.
This homage to Filiger draws a form of trans-temporal friendship that links Arthur Gillet to an artist from another era, through what might be called trans-affinities, embedding him in a history he constructs and a family he invents. Also, we shouldn’t see the artist’s proclivity to anchor works in fictions of epic scale as a way to conceal the social and historical conditions of his production of subjectivity, but on the contrary as a way to amplify them through stories that transcend him. In contrast, the project entitled République pulls his work toward the intimacy inherent in the banality of daily life, expressed through the tender encounters of everyday interactions. In the winter of 2019/20 Arthur Gillet is a waiter at Café Fluctuat, Place de la République in Paris, a place where populations intermix, and which is a refuge most notably for the day laborers of the 2.0 economy: Uber drivers, Deliveroo drudges, precarious workers, some originally from le bled , others the yellow vest type. Over the course of time, from coffees being served to exchanged words, complicity and trust are established between the waiter and his regular customers whose portraits he then paints on textiles. Imagined as diaphanous transparencies like decorative stained glass windows for Café Fluctuat, they become a testament to contemporary solidarity across the divisions of gender, class and race. As if through a reversal of the story and its mirror, the observer of these struggles finds himself, on the 13th of June, held in police custody for having peacefully participated in the Black Lives Matter and Justice for Adama demonstration, in no place other than the Place de la République. Swept up in a random crackdown with 15 racially targeted young men, the only white man arrested has ended up in the repressive lens of the police apparatus clearly because of the protective social avatar he has invented for himself, his powerful body and long beard, which visually mark him as suspect. For the performative demonstrations of anger and deafening media frenzy, the artist substitutes a soft purifying fire glowing on the horizon of the struggles we see on the silk panorama, thereby foregrounding social resilience over traumatic forms of repression as would a slash-and-burn.
For a long time I held onto the first sentence of Chris Marker’s La Jetée, which resonates when I think of Arthur Gillet’s work: “This is the story of a man marked by a childhood image”. By introducing his cinematographic photo-novel in this way, Chris Marker describes the fictional processes that bring into play a history of humanity at the heart of which emerges the question of love. It appears there as a well of inverted memory, allowing us to plunge into the future in order to find solutions to overcome the impasses of the present. The work/life of Arthur Gillet is/are similarly rooted in these` issues, in which the fiction of the self and love intersect to create  an emancipatory vision, in a way that flips Chris Marker’s assertion, which would then be: “This is the story of a child, marked by the image of an adult self.” With this emancipation come strong affirmations fighting against invisibilization and insult, though the artist remains aware of the whorish necessity of using his own appearance and of the visibility of his work. Though at risk of “se faire appeler Arthur”  there nevertheless remains the exigence to impose himself as Arthur Gillet.
Cédric Aurelle, February/June 2020
Translated by Louis-Philippe Scoufaras
and R. Armstrong
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evilblackcat13 · 7 years ago
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Nurcing Leon’s Wounds
Leon is no stranger to getting severly injured. But what would each injury mean to his body realisticly. Before i get annoying by repeating myself, in most cases of injury, it would have been too dangerous and too lethal to even survive any of it. With that out of the way, Let’s begin!
1998: Shot in the chest.
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In one of the most infamous sacrifice Leon has done, He takes a bullet to his chest to protect Ada. So what would this injury translate in reality? First of all let’s look at his uniform.
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However, unlike what would most people think, a “bulletproof jacket” isn’t exactly bullet proof but more “bullet resistant”. According to the National Institute of Justice’s Ranking of armors, his RPD unifrom should be a level 2 soft amour bullet proof vest. If we assume it’s an 2A level, it should normally be able to stop 9mm ammo heighting at max 124grams for 1225fps. It also includes a shot of a .40 Smith and Wesson bullet at 180grams going at 1155fps.
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Looking closer at Annette’s gun, it seems to be a desert eagle.
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So, that would mean that Annette’s weapon could be a .50 Action Express ammo magnum. So if it’s truly the case, the ammo should be able to pierce Leon’s armour.
If we compare Leon’s chest to an anatomy dummy :
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That would mean the bullet fractured his shoulder blade and could have pierced his lungs. At worst, even ribs can be fractured. Plus, an injury like that is prone to hemorrhage and infection.  At the moment of the injury, he’d have chest pain, problem breathing and it be reduced as well.
However , if we apply Ada’s bandaging to a real life situation, that wound would have not worked in the slithest! In an emergency, it is a prirority to bandage the wound to aid breathing since blood and mucus can be inhaled. So, the bandages needs to be closer to the body and be sterile.
Leon should have been dead.  ( Good Job , Ada. )
2004: Falling into Wooden Forein bodies
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This one instance could have given serious damage to Leon. First of all, the fall would have hurt like hell. Second, that throw was enough to break the closet. There is no doubt that there could have been splinters entering anywhere on his body. I can’t imagine how hard must have it been for Luis to not only be knocked onto the closet by that blow AND be crushed by 78.2 kg or 172.4 lbs (Leon’s weight) on top of that.
2004 : Cut To The Face
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Here’s is the BIGGEST mistake Leon as done at that moment: wipping off the blood off his face.
Keep in mind that Leon as contracted loads of stuff that could have contaminated to wound such as anything in the village, las plagas , mud, contaminated water, shattered glass, ect. Not to mention that LEON HIMSELF commented on how vile and dirty the place was :
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Seriously, there is too many things that could have infected that cut with this one swipe.
Not only did he never washed to wound properly (like with ointment cream or rubbing alcohol) but it never accured to to him to even bandage it up! According to specialists "New cells have to migrate to the appropriate areas to help with healing. Keeping your scrape covered and moist facilitates this process. Exposing wounds to air does not."
Sure he could have gotten worst injuries from any of the weapons held by a Ganado since, unlike Krauser’s knife, most weapon could have rust. Ence there’s more chance is chance of an infection. But there is an equal chance of infection if the cut was deep.
Here’s what could happen to his wound if it is infected :
The Redness could persist
The Pain wouldn’t subside
The Pus could turn green or get smelly
The wound could get swollen
Leon would feel sick afterwards
2013: Walking on Metro Railways
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It should come as no surprise but it is extremely dangerous to walk on a metro’s railway. Doesn’t help that some metros around the world, like the Montreal’s Metro, pretty much showcases that the rails are 750 volts.
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Around 10 and 1000 volts would generate around 15-20 amps which means extreme pain and contraction of muscules. Namely he wouldn’t be able to let go of the rails.  At 100 to 10000 volts, the amps would be between 100 and 300. Which means ventricula fibrilation ( disturbance to the cardiac rhythym) that could cause his heart to stop, burns, permanent damages or death could happen.
There could be a chance that he could have evaded it because of his dress shoes.
Looking closer at the shoes, they appear to be some Oxford shoes. The likely materials of those shoes is leather and rubber which are poor conductors of elecetricity.
However, keep in mind that, before he reached to metro rails, he walked in the sewers. Unfortunately, it turns out that dirty water could be a good conductor of electricity. Also, running around would cause him to sweat. Since sweat is relatively salty, salty water is also a good conductor of electricity.
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Leon would have died even before reaching the Tall Oaks Catherdral.
2013: The Bus Crash
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There is many factors , minor or major, that could have injured him! For example, glass, metal and rock chards could have been lodged or scrape him.
The fall itself could have been enough to cause many factures and even concussions.
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With this brightened image of the bus, we could have a good idea of how tall was the cliff. First of all, i need to find which bus it is. Thank god there is not much of models for school buses. From looking at multiple references, IC Bus  of the BE-Series. We can estimate that the bus is 102 inches wide (2591 mm),and overall weight to be around 10000-36000 lbs (4536-16329 kg).
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According to this screen shot, the bus would fit around 7 times. So that would mean that the hill is around 59′5″ or around 18.14 meters tall.
Now that we have the approximate height of the cliff, now we can move on the the impact of the 18 wheeler.
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According to my research, i can estimate that the max speed of this truck is 120mhp and it’s minimum weight is 80000 lbs :
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So to calculate the force of impact , i need to do 2( mass (36287.39 kg) times velocity ( 53.6448 m/s) ) divided by time of impact ( 0.5 seconds). The impact should be at 3893259.56 newtons of force.
Now to look at the fall! I’ve timed the fall to be 5 seconds ( and 3-4 seconds is slow-mo -ed ). To calculate the velocity of the fall, i need to calculate the distance divided by the time. Which means 18.14 meters divided by 5 equals a velosity of 3.628 m/s. For the kinetic energy, i need to calculate 0.5 x m 3.6282. To make it fair, let’s say it is the average weight of a school bus ( 23000 lbs or 10432.5 kg ). That would mean the fall was of 68658,29 joules of force.
That would mean Leon’s bones would likely shatter if not fracturing his skull. Sorry to say this but i don’t think i’d survive that!
BUT WAIT! THERE’S MORE!
Now to cover the bus exploding!
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Unfortunately, the bus crashing and exploding is just an hollywood myth and has been debunked. Or should i say... BUSTED! I remember clearly from my favorite show of all time , Mythbusters , they tested the myth and the car only crashed and nothing more as shown bellow :
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The way they made it explode was with their favorite explosive : C4.
However, let’s assest was would it mean to be so close to an explosion like this one even if it would NEVER HAPPEN. To be safe from an explosion like this one, you’d have to be around 3,750 feets away or 1,143 km. But Leon is too close to the explosion. He’d fall around the 1m  to 2.7m from the blast of the following chart :
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He’d be super dead if a car exploding was a thing. Nevertheless, in a realistic setting, the bus would have NEVER exploded in the first place. You would think people would have pointed that out in quality control and especialy with school busses of all things.
2013 : Flashbang
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Sure it looks like nothing but let me asure you that there IS some damage related to a simple flashbang grenade.
Although described as a non-lethal weapon, there is some major downside to those on the recieving end. Namely, 170 decibels at detonation. That is louder than firecrackers at 140 to 150 dB. This would lead to pain and ear injuries. At worst , it could lead to a permanent hearing loss. Not to mention fragmentation of the grenade itself and probably dangerous smoke inhalation is part of the dangers of a stun grenade.
2013: Shot by Derek C. Simmons
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First of all, let’s estimate what is the projectile thrown by Simmons. From the shape of it, it seems to be ribs. Here’s the overall range of lenght of any human ribs :
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Let’s say Simmon’s ribs are as fast as an M16A1 rifle. The M16A1 fires around 800 round per minute. That would mean around 13.333 rounds per second. I’ve timed the shots to last 2 seconds. So at least 26 ribs as been fired towards Leon. I’m looking frame by frame how many hit him and it seems to have only missed Leon 5 times. So he could have been hit 19 times.
The biggest projectiles would be equivalent of anti aircraft / anti-tank artilery rail gun such as the 8.8 cm Flak 18-36. The smaller projectiles would be equivalent to an anti-aircraft/multi-purpose autocannon such as the Bofors 40 mm gun. Such projectiles could cause pronctures and rips to vital organs and internal bleeding, factures of bones and skul and massive hemorrhaging. That would mean Leon could have died by either the shards hitting his skull, punctered any vital organs or the ribs hitting so hard that it could have severed any celebral nerves.
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There is no doubt that Leon took one hell of a beatting that in most situation could have killed him. And i’ve only touched the games and there’s probably some i’ve missed but for now that’s what i’ve been able to muster up into this digital forensic morge. I’ll probably touch on the films as well. NOT THE LIVE ACTION ONES! THE REAL GCI ONES ( so Degeneration, Damnation and Vendetta). But for now, i feel like i ranted for too long and here’s what i’ve been able to come up with.
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richieibarra · 2 years ago
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Zeus, el todopoderoso, el señor "oye bájate de mi nube"; ahora tiene un... - bello bobo bebé, saaabemos!!! Jajajajaja amo esa Película 🎬📽 #Hercules #Disney #MovieTime #MovieNight #HerculesDisney #1997 #Cartoons #Movie #Myth #Mithology #Happiness #Blessed #Grateful #Pagan #Wicca #Witchcraft #Gods #Monsters #Childhood #Hunk #Muscules https://www.instagram.com/p/Chq6a3ZOJeO/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Core Issues - Dispelling Myths and Misconceptions of Abdominal Training
number abdominal exercises, and actually old crunches and sit-ups, none of those abdominal workouts may burn up the fat in your stomach. All they will do is help make your stomach muscles tougher, and support construct them, and it's causing compression on the spine enabling the backbone to curl up at some point. If you want to produce your abs as powerful as you want, and construct them as nice as you want, but provided that you still have fat, even only a little amount of fat in your stomach, your abs will not be visible. They'll stay covered by that fat except whenever a perfect diet and probably some cardio with abdominal exercises may be done. That is how you lose from your belly which means that your abs could be seen. Furthermore, in around you wish to do excellent abdominal workouts successfully, you have to make sure you can work it 3-5 times regular for 30 minutes. When the workouts achieve their maximum, hold it for 1-2 seconds. You also have to perform abdominal crunches on different angles. Only small rest is required to keep musculation abdos haltères Part Bends Stay straight with feet aside and knees somewhat bent. Hold the dumbbell on your own proper; position left hand in your head and slowly extend sideways to your proper where the dumbbell is being held. Go back to an straight position and repeat the exercise on the basis of the quantity of reps you desired. Dumbbell Sit Advantages Lay on your own straight back on a floor with a cushion by placing your feet level on the floor together with your knees bent. Hold a dumbbell (choose a 5 pound dumbbell) to your chest and have someone stay at your feet for a control. Force your back in to the ground as you are ready to do the sit-up. As increase up from a floor, provide the dumbbell to your partner. Contain the crisis as your spouse gets the dumbbell and provides it back again to you. Get the dumbbell and slowly return to the starting position. Suggestion: shoulders must be no more than 6 inches down the ground when beginning to do a repetition again. Measured Curls with a dumbbell Sit in your right back along with your legs curved and feet flat on the floor. Hold a dumbbell to your chest (start usually with 5 pounds). Push your lower back into the floor. Flake out in order to raise equally your shoulders off the ground for just a couple of inches. Maintain for a rely of 2 and go back to the starting position. Cable Crisis This exercise requires a triceps pushdown device with a string attachment. Leg down facing the machine holding the rope only above your head. Gradually crunch right down to your hips and maintain for just two moments as you breathe out. Come back to the beginning position and repeat. Leg Wiggles Maintain your neck up somewhat on the entire exercise. Your pumps of the base should really be far away from the body as possible. Sit smooth on the ground, with knees curved with legs level on ground and legs minor remote to the body. Slightly increase your shoulder 5 inches from the floor and maintain in to that place while the stops of one's fingertips are reaching the back o
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fitnessmith · 11 months ago
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Prendre du muscle et perdre du ventre après 50 ans
NOUVEAU 👉 Prendre du muscle et perdre du ventre après 50 ans, à retrouver sur @fitnessmith
Dépasser les 50 ans ne signifie pas la fin du ventre plat ou des muscles galbés ! Découvrez dans cet article comment la musculation peut améliorer votre santé et votre apparence après la cinquantaine. Je brise les mythes autour de l’entraînement à 50 ans et vous guide vers un parcours adapté. Que vous soyez novice ou que vous repreniez après une pause, ces conseils vous aideront à maintenir une…
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yannfitnesshome · 3 years ago
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MYTHE EN MUSCULATION ( LA GRAISSE SE TRANSFORME EN MUSCLE )
Peut-être que cette affirmation te paraît ridicule, pourtant, beaucoup de personnes croient encore que le muscle et la graisse ne font qu’un. Selon ces personnes, il suffirait de commencer la musculation pour “transformer” sa graisse en muscles.
Ils affirment également qu’une grande masse musculaire vieillit très mal dans le temps, au point de se transformer en graisse. Quelle grosse blague...
Et après, ils prétendent que c’est pour cette raison qu’ils ne font pas de musculation.
Pour commencer, chaque cellule de ton corps dispose de ce que l’on appelle une membrane plasmique. Cette membrane est composée essentiellement de lipides. (graisse)
Tu trouves donc de la graisse sous ta peau, entre tes muscles ou encore, entre tes organes vitaux. (plus communément appelée, graisse viscérale)  
Tu l’auras compris, la graisse souvent diabolisée fait partie intégrante de ton corps, que tu le veuilles, ou non.
Pour en revenir au sujet principal, les muscles sont, quant à eux, des tissus contractiles, ayant un point d’insertion et un point de terminaison. Par exemple, le grand pectoral s’insère sur la clavicule ainsi que le long du sternum et se termine sur l’humérus.
Comme dit précédemment, le muscle est un tissu contractile. Il est composé de filaments fins d’actine et de filaments épais de myosine, qui interagissent entre eux pour raccourcir le muscle et provoquer sa contraction.
En lisant ça, tu peux facilement en conclure que la graisse et le muscle sont 2 tissus complètement différents. Si l’on reprend l'hypothèse selon laquelle, “la graisse se transforme en muscle, cela n’a tout bonnement aucun sens.
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planfitnesscom · 4 years ago
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8 mythes sur la diète cétogène en Musculation https://plan.fitness-diets.com/keto-diet/8-mythes-sur-la-diete-cetogene-en-musculation/
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andersonykno36 · 1 year ago
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Les bienfaits du yoga
Les bienfaits du yoga
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Le yoga, et les bienfaits du yoga, sont généralement définis comme une self-discipline hindoue qui aide à unir le corps et l'esprit. Visant à atteindre un état de parfaite perspicacité spirituelle et de tranquillité, il est pratiqué en Occident le furthermore souvent comme un exercice physique pratiqué dans le cadre de la self-control. Le bénéfice de la pratique du yoga n'est pas nouveau. Il est reconnu depuis de nombreuses années comme la self-control parfaite pour aider à atteindre la tranquillité, une meilleure santé et une vie in addition longue.
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Beaucoup de gens considèrent les avantages du yoga comme une self-discipline étrange qui implique des yogi contorsionnés dans des positions non naturelles, faisant des actes corporels étranges et vivant au sommet d'une montagne quelque component en Inde. Je me souviens personnellement d'un documentaire télévisé il y a de nombreuses années mettant en vedette un yogi qui avait la langue fendue, l'utilisant pour nettoyer ses cavités sinusales ! Quiconque s'intéresse au yoga a probablement aussi vu des pictures de yogis soutenant un poids important avec leurs organes génitaux. À l'ère moderne, on a beaucoup appris sur les bienfaits du yoga. Les pratiquants de yoga atteignent une in addition grande mobilité, une vie in addition longue et un bonheur intérieur grâce à leur pratique de l'artwork. Le yoga tel que nous le connaissons aujourd'hui vise à unir l'esprit, le corps et l'esprit. Le mysticisme de la willpower hindoue n'est in addition un mythe et est obtainable à tous ceux qui souhaitent apprendre. La pratique du yoga est grossièrement regroupée en trois catégories : les postures de yoga (asanas), la respiration du yoga (pranayama) et la méditation. Ces catégories englobent les effets physiologiques, psychologiques et biochimiques. De as well as, les cliniciens ont comparé ces résultats aux pratiques occidentales de jogging, d'exercices aérobiques et de musculation, et ont trouvé des résultats comparables. Le design and style de yoga le plus populaire en Occident aujourd'hui est le Hatha Yoga. Il est conçu pour se concentrer sur le bien-être physique d'une personne et les croyants en la pratique considèlease le corps comme le véhicule de l'esprit. Ananda Yoga, un model classique de Hatha Yoga, utilise Asana et Pranayama pour éveiller, expérimenter et prendre le contrôle des énergies subtiles du corps, et se concentre sur les énergies des sept Chakras. Le yoga Anusara (a-nu-SAR-a) est défini comme "entrer dans le courant de la volonté divine", "suivre votre cœur" et "se déplacer avec le courant de la volonté divine". Ce nouveau model, développé par John Buddy, est défini comme « des positions de yoga qui viennent du Belsomra en France Paris cœur ». Il est axé sur le cœur, inspirant spirituellement et est basé sur une connaissance approfondie de l'alignement du corps extérieur et intérieur. Il est basé sur les principes du Hatha Yoga et des pratiques biochimiques. Les étudiants de cette self-control basent leur pratique sur l'Angle, l'action et l'alignement. L'ashtanga yoga pourrait être le yoga parfait pour ceux qui recherchent un entraînement sérieux. Ashtanga a été développé par K. Pattabhi Jois et est très exigeant physiquement. Une série de flux, passant rapidement d'une posture à une autre, est utilisée pour développer la drive, la flexibilité et l'endurance. Ce design n'est pas bon pour le pratiquant débutant, automobile il nécessite 6 séries de ch
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christian-dubuis-santini · 3 years ago
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"Père ne vois-tu pas que je brûle?" Big Mother is back...
Le glissement vers une société de contrôle "totalitaire" que la "crise sanitaire" dite de la covid-19 a brusquement mise à jour en mars 2020 a commencé en vérité il y a une cinquantaine d’années, avec l’élimination dans le code civil de la notion de droit paternel remplacé par celle de "droit parental" – déniant donc le réel de la différence sexuelle – et annonçant le retour, vingt-sept siècles après l’Orestie d’Eschyle, du matriarcat mino-mycéen, sous la forme du fantasme d’une Big Mother postmoderne, précédée de son cortège chatoyant de bacchantes en -isme: féminisme, indigénisme, antiracisme, antifascisme, écologisme, lgbtisme, gauchisme, antispécisme, véganisme, etc. (cf. les modalités d’évitement du réel de la lutte des classes à travers les 4 ver- (verdrängung, verwerfung, verneinung, verleugnung) qui caractérisent l’évitement du Réel de la castration en psychanalyse).
L'injonction à la jouissance de nos sociétés contemporaines conduit les hommes à consacrer leur temps à une quête effrénée des plaisirs, certains sont désormais si obnubilés par leur allure, bronzage, musculation, massages, jogging, applications de crèmes, de lotions... que leur but premier qui était de vivre des expériences sexuelles intenses a fini par disparaître, non pas en regard d'un quelconque dispositif répressif lié à des prohibitions sociales, mais parce que le souci narcissique de Soi est devenu un but en soi.
L'utopie d'une subjectivité post-psychanalytique investie dans la conquête de nouveaux plaisirs et de nouvelles sensations corporelles a donc tourné en son contraire: le désintérêt d'un ennui sidéral, et il semble bien que désormais seule l'apparition de la douleur (les pratiques sexuelles sado-masochistes "hard") puisse encore ouvrir au sujet postmoderne la promesse d'intenses expériences de jouissance...
En ces temps de "féminisme" exacerbé où de soi-disant "psychanalystes" pris dans le discours dominant (sans rien vouloir en savoir) fustigent la notion du père, croyant attaquer le "patriarcat" (que Marx lui-même considérait depuis longtemps disparu...), rappelons que la "fonction paternelle" est une des inventions fondamentales de la psychanalyse, pour saisir le réel qui en sous-tend la notion, il suffit de relire le livre-testament de Freud: Moïse et le monothéisme...
"...copuler avec une femme, qu'elle porte ensuite quelque chose pendant un certain temps dans son ventre, que ce produit finisse par être éjecté - n’aboutira jamais à constituer la notion de ce que c’est être père au sens de procréer." (Lacan - Les psychoses)
Pour Lacan, le nom du père est ce qui permet au sujet d’articuler le désir et la loi, un enfant privé de ce qui s’appelle «fonction paternelle» (à ne pas confondre avec l’identité symbolique du géniteur) se trouvera dans les plus grandes difficultés de ne pas savoir faire la différence entre l’autre menaçant et l’autre protecteur...
L'effondrement des noms-du-père n'a-t-il pas comme conséquence logique le surgissement d'une loi beaucoup plus folle et féroce, un "surmoi maternel" qui n'interdit pas mais inflige la jouissance, l'obligation de jouir, en punissant l'échec social?
Ce surmoi maternel, par-delà toute identification possible, est ce qu'il y a de plus régressif, et Lacan lui-même l'évoque dans le séminaire sur les formations de l'inconscient comme "le surmoi maternel plus archaïque que le surmoi classique décrit à la fin de l'Œdipe": «Est-ce qu'il n'y a pas derrière le surmoi paternel, ce surmoi maternel, encore plus exigeant, encore plus ravageant, encore plus insistant dans la névrose que le surmoi paternel?»
"Un père n’a droit au respect, sinon à l’amour, que si le dit respect, le dit amour, est, vous n’allez pas en croire vos oreilles, père-versement orienté, c’est à dire fait d’une femme, objet a qui cause son désir." (Les non-dupes-errent, séance du 21 janvier 1975)
Lacan évoque trois conditions permettant à un homme d’être digne du mérite d'être "père"; avoir fait d’une femme la cause de son désir, une femme qui lui fasse des enfants, et de ceux-ci qu'il prenne soin paternel.
Dans la dernière leçon du séminaire L’angoisse, Lacan énonce son programme consistant à passer du Nom-du-Père aux noms du père... Il questionne alors le désir du père: "Dans la manifestation de son désir, le père, lui, sait à quel "a" ce désir se réfère. Contrairement à ce qu’énonce le mythe religieux, le père n’est pas causa sui, mais sujet qui a été assez loin dans la réalisation de son désir pour le réintégrer à sa cause." (Jacques Lacan, Le séminaire, Livre X, L’angoisse)
Le père qui parvient à réintégrer le désir à sa cause se trouve en position de transmettre le Nom-du-Père ; ayant réuni les conditions de possibilité de la transmission.
Cela met en évidence que l’effectuation de la métaphore paternelle n’est pas une opération dépendant uniquement du désir maternel...
Que le père soit digne de respect sinon de l’amour n’est pourtant pas une condition unique, et parfois certaines conditions énigmatiques de discours permettent l’accès à ce signifiant.
Cela relève de l’insondable dans la structure du sujet, et lui appartient en propre.
La psychanalyse, la vraie, qui est topo-logique et qui n’a rien à voir avec les institutions psychanalytiques qui prétendent parler en son nom et qui en trahissent non seulement l’esprit mais aussi la lettre, n’a jamais été plus actuelle ni plus pertinente qu’aujourd’hui...
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gabrielmeo-info · 5 years ago
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Cheval de Troie décapotable
        Agent infiltré dans l’art, Gabriel Méo, qui a participé au Salon de Montrouge en 2014, pose les cartes sur table de son entreprise de dégradation des images fond d’écran et de la cosmétique fitness, mais aussi du sabotage des mythes de l’authenticité artisanale. Ses peintures et céramiques sont perverties par un mauvais genre : le pouvoir de la contrefaçon et le vol à l’arraché des totems 2.0. Il expose dans « From trans-human to south perspectives » à la galerie Rowing à Londres.
Y a-t-il quelque chose de commun entre l’ego trip d’un rappeur et les manuels d’auto-coaching ? D’une certaine façon, les deux engagent une stratégie d’empowerment, mot anglais qui désigne notre capacité à renforcer un pouvoir d’agir, à acquérir des outils pour faire des choix et à défaire les effets d’une condition socio-économique intériorisée. Mais toute l’ambiguïté est là : dans le contexte français, l’empowerment reste parfois associé à une vision individualiste, néolibérale et issue du management, plutôt qu’à la définition émancipatrice employée depuis quelques années par la sociologue Marie-Hélène Bacqué, cherchant à transformer les rapports de pouvoir. Ce paradoxe est d’ailleurs bien visible dans la figure du rappeur, à la fois porte-parole politique d’un quartier et emblème de la réussite bling-bling sponsorisée. L’artiste Gabriel Méo assume cette ambiguïté, ne regardant pas cette réalité de haut mais de l’intérieur. Dans son univers, un t-shirt estampillé Nike serait de contrefaçon, car l’économie de son travail est parallèle, évoquant les marchés informels et les voitures rafistolées du sud. Plutôt qu’une opposition, il y a une interdépendance entre la contrefaçon et l’industrie de la mode, l’une ringardisant l’autre et obligeant à accélérer la sortie de nouveaux modèles. De cette accélération, parle aussi le travail de l’artiste quand il s’intéresse aux mythologies à obsolescence programmée : pots de protéines pour musculation, bonbonnes d’eau d’entreprise, capsules Nespresso ou la « tech neck », cette nouvelle ride sur le cou dû à l’usage intensif des smartphones. Le parcours de Gabriel Méo l’incite à jouer des tours à la bienséance picturale : il arrive à la Villa Arson à Nice après une adolescence d’errance en banlieue pavillonnaire de Toulon, partagée entre les terrains de basket et le goût du hip-hop. « J’ai vu arriver par le hip-hop la culture du logo et de la marque, le rapprochement avec l’industrie de la mode. C’était aussi l’invention d’un nouveau type de sportif : les pubs Nike de Michael Jordan étaient plus attendues au cinéma que les films. Ce sont des histoires d’affirmation de territoire, d’émancipation de classe, entre high et low : moins j’en ai, plus j’en montre. Bertrand Lavier disait déjà, qu’en grand lecteur de L’Équipe, il aimait le panache. Au fond, il s’agit de se fabriquer soi-même, et à mon sens, Warhol est le premier rappeur quand il dit que son épitaphe devrait être : Fiction, déclare l’artiste. L’équivalence entre l’art et la vie ne me suffit pas, en cela je me sens éloigné de Fluxus, pour moi l’art c’est la quatrième dimension, une zone franche, j’ai besoin d’un trop pour saboter la beauté. Je me reconnais plutôt dans le mauvais esprit de Frank Zappa, quand il dit qu’il cherche le médiocre, le raté fantastique ». Sur l’une de ses peintures sur serviette de bain, la photo de la voiture de Karim Benzema est entourée de verres cassés, façon fil barbelé, tandis que d’autres toiles sur tissu de carnaval ou provençal sont agrafées et se détachent du mur, sorte d’étendards « réversibles » qui tombent en flambeaux. Ses céramiques sont réalisées comme un sprint gestuel d’une minute, parfois directement sur le pain de terre avec un rouleau de pâtissier (posés ensuite sur des tapis bon marché, faussement ethniques), ou alors en mode pastiche de bibelots de Vallauris, émaillés à outrance jusqu’à devenir couleur météorite, « à la fois lunaires et culinaires, rajoute-il. Je ne me laisse pas abattre par les explosions au four, les sculptures arrivent avec des gros sabots, ce n’est jamais suffisamment raté ». La raillerie se poursuit dans son mode d’accrochage, proche d’un « tumblr » mural, loin de l’esthétique lisse post-Internet. Qu’il limite sa subjectivité en employant la couleur pantone de l’année, les fonds d’écran, la culture fitness ou l’idéologie du lifestyle, il reste toujours une dégradation, comme une dent noire peinte sur l’affiche du métro. « J’ai envie qu’on devienne incapables d’évaluer ce qu’on voit, un peu comme les sculptures d’Isa Genzken qui sont à la fois ultradesign et ultrapoubelles, affirme Gabriel Méo. Je pense à ces paysages de banqueroute dans le sud de l’Italie ou en Grèce, où les maisons sont laissées inachevés pour ne pas payer d’impôt. Je fais de l’art comme si c’était du stop, sans GPS, avec l’énergie du dépannage du dernier moment ».
Pedro Morais
Le Quotidien de l'Art, n°1050, vendredi 22 avril 2016
https://www.lequotidiendelart.com/articles/9007-gabriel-meo-cheval-de-troie-decapotable.html
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