#murs bleu turquoise
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Study Space - Kids Room a sizable, modern, and gender-neutral image of a kids' room
#murs bleu turquoise#etagère blanche à casiers#voilage orange#linge de lit vert#parquet en bois#chaise de bureau blanche#bureau pour enfant blanc
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Asilah, notre dernière étape
Nous avons rejoint la côte atlantique et nous séjournons en pleine campagne "aux Figuiettes", à 50 km au sud de Tanger.
Nous explorons les environs qui se prêtent à la méditation (très grande salle de yoga avec vue circulaire sur la campagne et l'océan), et à la randonnée.
La plage du bout du monde en fin de rando, en contrebas des Figuiettes.
Une agréable surprise nous attend à la petite ville la plus proche. La médina d'Asilah est d'un blanc que ne renieraient pas les andalous, ce qui en fait son charme.
Cette petite ville est également connue pour son festival ( le Moussen culturel), qui convie des artistes à embellir les murs chaulés avec leurs fresques colorées.
La route de bord de mer nous emmène jusqu'au Cap Spartel, point le plus au nord ouest du continent africain.
Le Cap Spartel est le lieu de rencontre entre le bleu turquoise de la Méditerranée et le bleu cobalt de l'Atlantique.
Dans quel sens partirons-nous ? Réponse au prochain voyage !!
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If blue is your favorite color, you’ll love Lucy’s Australian shades of blue house.
In the living room, wood paneling was painted a vibrant royal blue and the rest of the room is a contrasting white. You’ll notice that each room has a paneled wall like this, that Lucy painted.
There are 2 seating areas in this home- the royal blue one has white, blue, and gray furniture and accent pieces.
Even though the decor is bright and contemporary, the dark rustic beams were left exposed on the ceiling, in places.
A dining room set is against an exposed brick wall and Lucy has placed coordinating colored glass bottles on the table, to match.
In the other seating area Lucy chose a teal blue for the wall, with a pop of peach.
The kitchen is mostly white with colorful accents, but the stools are all turquoise.
Lucy’s bedroom has a mid-century vibe and a vibrant sea blue wall.
The most colorful room in the house is her daughter’s room in the loft. She opted for a peach wall, so Lucy made some shelving out of two panels and painted them to incorporate blue.
https://www.turbulences-deco.fr/bleu-mer-bleu-roi-comme-le-mur-du-loft-de-lucy-feagins/2013/11/
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Le monde courait à sa ruine.
Par une façon ou une autre, l’Humanité avait eu vent d’une prophétie annonçant sa fin proche. Les meilleurs chasseurs de trésors s’étaient alors réunis dans un navire gigantesque, accompagnés de ceux qu’on considérait comme l’Elite de ce monde décadent et de quelques random sélectionnes pour leur caractère hautement fertile. Des gens jeunes, uniquement ; des enfants ; juste une Arche de Noé contenant les meilleurs spécimens humains.
Le voyage du navire se fit à travers des terres de plus en plus désertiques. Les chasseurs ne trouvèrent que vains totems d’une civilisation qui courait à sa perte. Les élites décédaient tour à tour des dangers de la route ainsi que de mystérieuses maladies, s’abattant sur eux comme une malédiction karmique.
Au prix de mois de voyage, une plus grande malédiction frappa le navire. On l’appela la Pluie Précieuse ; des pierres ruisselaient partout dans la soute. Personne ne savait quelle était leur origine. On ne pouvait que constater des gemmes d’or se loger entre chaque planche du parquet, des gallons énormes rouler de partout alors que des lingots commençaient à craqueler le sol.
Car oui, le bateau ne pourrait supporter pareille cargaison.
Il commença donc à freiner, puis à couler de plus en plus. Personne ne trouva le coupable, mais une âme désespérée mit le feu au navire. C’était sans doute pour signer sa fin, ainsi que celle de tout autre passager.
Une guerre intestine commença pour savoir qui avait déclenché ce désastre (de beaucoup accusaient le pyromane d’avoir aussi déversé ses pierres). Les chasseurs furent les premiers suspects, car les seuls pouvant posséder pareils trésors ; puis on se souvint que les élites étaient également dotées de richesses. Finalement, ce fut une bataille des uns contre les autres.
Perchés sur les hauts mâts, les leaders envoyaient des phrases d’apaisement mais rien à faire.
Ce fut l’hécatombe. L’incendie consumait tout le navire alors que les cadavres tombaient de la guerre intérieure ; si on ne mourait pas asphyxié, alors on se faisait planter par son voisin.
Seules trois personnes réchappèrent à ce désastre, et ce grâce à un grand faucon que l’un des trois, un mexicain paternel, avait apprivoisé. Il déploya ses ailes pour attraper une bonne femme jugée hautement fertile et une jeune fille. Cette dernière était une élite intellectuelle. Elle voulut sauver sa professeure bien aimée mais en survolant la mer de sang, elle ne trouva qu’un corps a peine identifiable, déchiqueté contre la proue du bateau.
Au final, ils atterrirent sur un bout rocheux non loin de l���immense masse consumée. Ils jetèrent un dernier canoë gonflable que la femme transportait avec elle, mais à cet instant précis une vague engloutit le reste de la coque consumée.
Ils venaient vraiment d’assister à la fin des leurs.
Pour plaisanter, l’homme dit à la femme qu’ils seraient sans doute obligés de coucher ensembles pour perpétuer l’espèce. La femme n’exprima qu’un franc dégoût.
Ils se mirent alors en route le long du chemin désolé, près de pics rocailleux coupants. C’était un tout petit bout de terre en hauteur, les falaises étaient terrifiantes et il n’y avait pas l’once d’une végétation.
Pourtant, au cœur de l’île, ils trouvèrent une faille curieusement ornée de lierre. Ils se faufilèrent dedans et tombèrent dans un toboggan les menant sous terre. C’est alors qu’un rêve un peu étrange revint à la jeune fille ; elle avait déjà vu ce lieu.
C’était un immense couloir en zigzag où les murs en verre leur laissait deviner qu’ils étaient sous l’eau. Des myriades de poissons multicolores nageaient près d’algues ondoyantes, dans un turquoise qui les enchanta. Plus loin, ils découvriraient un ameublement cozy et futuriste, aux tons bleus et verts.
Ils sentirent derrière eux deux personnes tomber dans le toboggan ; l’instant d’après, ils atterrissaient sur eux. C’était un jeune explorateur et sa meilleure amie, une femme à lunettes et à livres. Ils disaient avoir réchappé de peu à la ruine du navire, en denichant une mini embarcation quelques jours auparavant ils s’étaient mis en tête d’aller explorer un peu avant de retourner à leur cabine. Ce qu’ils avaient vu en revenant les avait immédiatement convaincu de faire demi tour.
Le groupe a présent élargi s’aventura plus profondément jusqu’à tomber sur une porte en rideau de velours ; ils le tirèrent et tombèrent sur des hommes augmentés (comme des sirènes sauf qu’ils avaient un corps normal, juste évolués pour que leurs poumons possèdent une option branchie). L’humanité n’était donc pas perdue ; il restait encore bel et bien des civilisations mystère comme celle-ci.
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Mon crush pour la Lomo Purple 💟
Qui me connaît ne serait-ce qu’un peu, sait avec certitude que j’aime le vernis à ongles et que ma couleur préférée est le violet. I’m that kind of person 💜. Plus vieille, j’aimerais que ma garde robe soit un camaïeu de couleurs mauve. J’aurai les cheveux gris platine et je trouverai ça très très stylé.
Il va donc de soit que je teste la LomoChrome Purple, une pellicule de chez Lomography en 35mm. Comme son nom l’indique, il y a du violet sur les négatifs ! La première fois que je suis tombée dessus, je préparais mon voyage pour L.A et passe faire mon stock de pelloches chez Nation photo. Souvent, j’ai déjà en tête ma petite liste que je fais en fonction de la météo prévue, de l’époque de l’année et aussi du projet que j’ai en tête. Pour mes ‘grands’ voyages, j’alloue un budget expérimental pour tester des pellicules un peu spéciales que je ne connais pas. La fois dernière je m’étais tournée vers la Washi et cette fois c’est au hasard de l’étalage, que je tombe sur cette pellicule qui attire mon regard. Le vendeur ne m’avait pas pu dire grand chose sur le rendu, alors je décide de me lancer à l’aveugle ! Voici mon avis sur son rendu 🔮
La Lomo purple permet de l’exposer à une sensibilité lumineuse de 100, 200, 300 ou 400. J’ai choisi de régler l’appareil sur 400 iso. De cette façon, je pouvais tester des prises de vue en intérieur ou dans des endroits moins éclairés et avoir plus de chances de ne pas louper la photo !
J’ai décidé de tester un peu tout; des portraits, des paysages, de l’architecture... au feeling ! Je me souviens qu’à chaque exposition, je me demandais comment allait rendre ce vert ? ou ce bleu ? ou même ce blanc ? En gros, c’était un suspens le temps d’une pellicule. Pourtant, c’est une approche de la photographie qui me plait beaucoup. Malheureusement, je ne sens pas que je puisse faire de la photo de cette façon à Paris, ville dans laquelle je vis et je connais depuis 6 ans. En effet, c’est agréable de découvrir une nouvelle ville à travers le viseur de l’appareil car c’est une bonne façon d’apprécier l’esthétique de l’architecture, saisir l’ambiance des rues et valoriser aussi la lumière.
De retour à Paris, j’ai fais développer la pellicule et demandé des scans à mon labo habituel. J’avais vraiment hâte de voir le résultat sans pour autant avoir de très hautes expectatives. Finalement, le rendu était vraiment génial et à ma grande surprise, le personnel du laboratoire avait également apprécié mes photos. Ils se sont pris la peine de faire les tirage des photos qu’ils ont préférées et me les ont offertes ! Je dois avouer que les photos présentaient des vues intéressantes et les couleurs se prêtaient bien au cadre choisi.
Voici quelques conclusions que j’ai gardé en tête en shootant ma deuxième pellicule quelques mois plus tard en Bretagne.
Le vert des feuilles des arbres tourne au violet / pourpre
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Le blanc des murs devient violet clair, mauve comme lila.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Des fois les blancs tournent au rose, fushia.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Les rouges s’intensifient.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
En tout cas il y a encore une once de mystère sur les couleurs et le rendu de cette pellicule. Le ciel ressort souvent bleu turquoise mais des fois blanc et des fois... vert !
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Pour citer un point négatif de cette pellicule, je pense que je ne conseillerai pas la Lomo purple pour les portraits. Clairement, les teintes de peau ne ressortent pas vraiment bien. Pourtant, j’ai à nouveau tenté des portraits lors de ma deuxième expérience.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Il y a quelque chose d’inexplicable sur les photos. C’est l’apparition de points verts. A la vue des négatifs à la lumière on ne voit rien. Mais ils apparaissent pourtant sur quelques clichés...
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Je voudrais shooter plus de cette pellicule et travailler la couleur dans une approche qui puisse mettre en valeur ces teintes.
Alors new pics from Lomochrome purple coming soon ! 😉
#lomochrome purple#film photography#lomography#i still shoot film#35mm film#film review#film test#love analog
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Fakarava, archipel des Tuamotu ( Polynésie française)
J 74 à 75 - 3 au 4 août 19
3 aout Notre avion pour l’atoll de Fakarava partant à huit heures du matin , nous voici debout vers cinq histoire d’éviter les bouchons de l’entrée de Papeete. C’est absurde mais, contrairement à Tokyo, il y a un trafic dingue dans cette ile ! Le temps est couvert, puis après quinze minutes de vol le ciel s’ouvre, et nous découvrons le bleu du pacifique sous nos pieds. On survolera quelques atolls avant se se poser sur celui de Fakarava.
Faka est le plus grand atoll de l’archipel des Tuamotu, qui en compte 76. Il a la forme d’un rectangle avec une passe* au sud et une au nord. Son lagon fait 60km de long par 20 de large ce qui lui confère une sorte de mer intérieure. Nous nous posons sur le tarmac après une heure de vol , par un vent à décorner les boeufs et une mer bien moutonneuse. On nous transfère au village avant de prendre un bateau pour rejoindre notre pension sise au sud du lagon. Comme nous devons l’attendre quelques heures , on se baigne et faisons la rencontre avec nos premiers requins à pointe noire. Mammifère totalement inoffensif et très curieux. On embarquera en fin d’après-midi pour un très joli voyage d’une heure trente dans le lagon avec bateau rapide, et là, on arrive au paradis ! Première nuit sous une voûte céleste magnifique sans aucune pollution lumineuse, car à part les farés* communs , aucun bungalow ne possède l’électricité. Le nôtre se trouve côté océan, que l’on scrute avidement, car c’est une route à baleines.
petit atoll
une partie de Fakarava vu du ciel
aéroport de Fakarawa, c’est pas Los Angeles...
premier bain en attendant notre transfert...
...avec notre premier copain rencontré dans le lagon
insolite aussi avec cette toile de fond !
Arrivée à la pension Raimiti
notre faré
et la vue depuis notre terrasse
4 aout
Réveil devant un lagon bleu-turquoise avec différentes nuances, c’est magique. Petit dèj de bonne heure puis nous embarquons pour rejoindre la passe. On plonge au milieu des poissons multicolores, du corail de couleurs varié et de dizaines de requins. Un aquarium géant . Cette passe et un des cinq plus beaux spots de plongée du monde où l’on peut admirer, par 25m de fond, la plus grande concentration de requins au monde. Une colonie de 400 à 700 individus y vivent en permanence. Avec nos tubas, on se contentera de les regarder depuis la surface… On y croisera un Napoléon de un bon mètre de long ainsi que des requins pointe Noire et Dormeur qui jaugent quand même entre 1 à 2,5m de long. C’est terriblement impressionnant surtout quand ils passent à 50cm de votre masque.
Malheureusement le courant est sortant (ndlr: du lagon) donc , pour des questions de sécurité, on ne pourra par traverser la passe. On se contentera de visiter le récif interne en attendant un changement de direction du courant. Nous regrettons de ne pas avoir d’appareil de photos subaquatique pour partager avec vous les somptueuses images que nous avons dans la tête. Les liens ci-dessous vous emmènerons néanmoins quelque part dans le sublime !
https://youtu.be/HEk6Uj3n6uw
https://vimeo.com/241675011
https://youtu.be/BaP3I7aMdPA
Retour à notre pension pour petite sieste et canoë sur un lagon bien calme . On profite de ces instants d’exception. Noé et Ulysse fraternisent avec les filles de la maison, qui ont leurs âges , on ne les croisent que aux repas, les parents sont enfin en vraies vacances ;) !!!
*Faré: petite maison sans mur, avec un toit en paille. *Passe: ouverture dans la barrière de corail pour entrer dans le lagon
notre guide Harris
le recif avant la sortie de la passe
pointe noir en surface
banc de centaines de poissons
petits squales
Noé en paddle sur le lagon turqoise
débarcadère de la pension dimanche 18h30
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Emission du 04/06/2019
Sophie Ferjani
Les bijoux préférés de Sophie
Numéro consommateurs : 0 825 001 001
Tapis KRIS 200x290cm
Chaise Cleva
Chaise Nom gris
Fauteuil lin beige Calixte
Banquette velours Dolce
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Matelas de sol
Galette de chaise
Guéridon Karis
Chaise kaki Baya
Console retro factory
Commode 3 tiroirs
Miroir soleil
Coussin cèdre, cot crink, lin, gris, ivoire, ethnic
Coussin à pompons ivoire, amande
Linge de lit
Plaid
Jeté de lit
Coussin étoile
Coussin girafe
Coussin nuage
Coussin lune
Tapis jute à motif
Chevet
Miroir à pompoms
Miroir cactus
Miroir corde
Lampe à poser
Table d’appoint corde
Suspension corde
Tipi
Suspension nuage berceau
Porte manteau
Peluche dinosaure
Bougeoir noir
Chandelier blanc
Chandelier argent
Bonbonnières
Linge de toilette
Accessoires salle de bain
Banc en bambou
Panier à linge
Tapis berbere
Lampadaire
Vases
Couverts
Paniers
Attrape rêves
Ensemble de salle de bain double vasque à suspendre Doble https://www.castorama.fr/ensemble-de-salle-de-bains-double-vasque-a-suspendre-blanc-brillant-doble-120-cm/8056098180669_CAFR.prd
Robinets de salle de bain
Radiateur électrique double coeur de chauffe Cisco https://www.castorama.fr/radiateur-electrique-double-coeur-de-chauffe-cisco-1500w/3663602689027_CAFR.prd
Boiserie Albane
Lambris sapin coloris galet https://www.castorama.fr/lambris-sapin-bds-galet-12x135-cm-vendu-a-la-botte/3450742213843_CAFR.prd
Moulures décoratives
La collection VO Imaginée en Provence, la collection Version Originale se décline en soins pour les mains et le corps enrichis en huile d’Olive bio et bougies à la cire 100% d'origine végétale. Un parti pris mêlant technicité de formulation, plaisir des sens et esthétisme.
Bonbonnières guimauves
Bonbonnières cœur
Bonbonnières nougat
Bonbonnières cœur cerise
Guimauve fourrée
Ourson en chocolat
3 bombes grises
2 bombes blanc mat
2 bombes noir satin
2 bombes galet satin
2 bombes béton satin
2 bombes ardoise satin
2 bombes anisette satin
2 bombes Fjord satin
2 bombes kaki satin
Chez Desenio, la décoration et le design sont nos passions ! Notre idée est simple : chacun doit avoir les moyens économiques d'accéder à un art mural tendance et beau. Depuis nos débuts en 2010, nous n'avons cessé de nous développer et sommes actuellement présents, grâce à Internet, dans 33 pays. Et nous continuons de conquérir de nouveaux marchés. Chez Desenio, vous trouverez une gamme d'affiches et d'accessoires (cadres, étagères à tableaux et pinces) parmi les plus vastes de Scandinavie. Notre offre est continuellement actualisée dans l'objectif de suivre les dernières tendances dans les domaines de la décoration et du design. Nous proposons des articles pour tous les styles de décoration et pour toutes les pièces de la maison.
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Baja California Sur – Etape 1
Le soleil venait à peine de se lever lorsque nous avons atterri à La Paz. Pendant de longues minutes, les yeux mi-clos, nous apercevions brièvement les chaudes couleurs du début du jour par le hublot, avant de nous rendormir aussitôt. Seules les secousses de l’avion sur la terre ferme réussirent à nous tirer du sommeil. Mais très vite, la perspective de ces sept jours de plage, de route et de désert nous ont fait bondir hors de l’aéroport pour aller chercher notre voiture de location et découvrir le bord de mer de notre ville d’accueil.
Malgré un démarrage compliqué – Nathan n’avait jamais conduit une automatique –, nous sommes arrivés rapidement sur le Malecon, encore tranquille à cette heure du matin. Un petit groupe de grands-mères prenant leur petit-déjeuner à la terrasse d’un café nous a donné envie de faire de même, en les observant s’esclaffer face aux bateaux de pêcheurs. Rassasiés, nous nous sommes empressés de déposer nos affaires dans notre logement gardé par un petit chien-saucisse hargneux et peureux, avant de prendre la route vers notre première destination paradisiaque : la plage de Balandra. La musique lancée sur les enceintes de la voiture, nous entrons directement dans l’ambiance roadtrip qui nous avait fait rêver et qui ne nous quittera pas du voyage. Les montagnes pelées et les cactus d’un côté, la mer turquoise de l’autre, nous filons vers la plage-crique que nous avions repérée en amont du voyage.
Impossible d’être déçus en arrivant : l’eau cristalline, peu profonde et poissonneuse nous accueille fraîchement. Allongés à l’ombre d’un parasol-palmier, nous somnolons, engourdis par la chaleur et la tranquillité du lieu. Ce n’est qu’après avoir escaladé la petite colline surplombant la plage que nous pouvons profiter de la déclinaison de bleus de l’eau, parsemée çà et là de rouge bikini et de jaune kayak.
Nous reprenons la voiture pour aller à une autre plage, en quête d’un petit restaurant.
Poisson à-peine-péché-aussitôt-avalé, le vent et les embruns emmêlent nos cheveux et nous font grelotter un poil ; nous reprenons la route pour retrouver la chaleur du centre-ville, ses murs peints, et le soleil couchant.
Un des nombreux murales de baleine de la ville
Le deuxième jour, c’est direction Est toute, le côté Pacifique de ce petit bras du pays. La traversée par les terres nous plonge dans un semi désert qui ressemble beaucoup à la représentation que notre imaginaire collectif a du Mexique : à perte de vue, la terre sableuse et les cactus droits à trois branches sur lesquels se posent des rapaces à l’œil menaçant. Il ne manque plus que les squelettes de têtes de vaches qu’on s’empresse de nous vendre dans les villes alentours. Notre playlist californienne des années 70 fait le reste du travail : notre voyage a le goût de la liberté, il y a quelques générations…
Nous arrivons alors à Todos Santos, petite oasis dont le microclimat a fait jaillir une palmeraie impressionnante aux alentours, et permet à ses habitants de cultiver des fruits et légumes pour toute la région. Elle abrite de nombreuses galeries d’arts, mais son œuvre phare reste la chanson de The Eagles, Hotel California, qui, selon la légende, a été inspirée par l’hôtel du même nom, au centre de la ville.
Après un bon déjeuner, nous reprenons la route un peu au hasard, à la recherche d’une plage aux alentours. Une demi-heure plus tard, nous nous garons sur une route sableuse et traversons à pieds entre des propriétés barbelées pour nous retrouver sur des kilomètres de côte déserts. L’Océan Pacifique devant nous est agité ; le vent nous envoie ses embruns et son odeur de très loin. En s’approchant, on voit le mur de sable que les vagues ont formé, avec le temps. Ses grains nous griffent les mollets. C’est un cadre idéal pour passer une partie de l’après-midi à creuser notre ride du lion, à force de chercher l’azur limpide et fugace qu’on aperçoit seulement au moment où les rouleaux vont s’écraser sur le rivage. Tout ça sans parasol… excuse-moi Mamie.
Vendredi, nous passons la journée en mer ! Nous partons en bateau en fin de matinée, accompagnés de huit Mexicains et de trois Américaines, pour découvrir l’île Espiritu Santo, ou plutôt ses alentours, car il s’agit une réserve naturelle protégée importante à laquelle nous n’avons pas véritablement accès.
Le repère des frégates
Sur le chemin, nous croisons la route de trois baleines ! Nous nous amusons à suivre leur trajectoire, guettant tout autour de nous où surgira leur jet, puis leur queue. C’est une promenade magnifique. Les reliefs de l’île sont tous impressionnants, creusés par les vagues et le sel. Les fonds, plus ou moins profonds, offrent un camaïeu de bleus digne de cartes postales, et nous laissent parfois deviner des tortues, ne sortant leur petite tête pour quelques secondes furtives seulement.
Puis, nous arrivons à une pointe : les cris rauques et incessants sont le signe immédiat de la présence des lions de mer. Pourtant, parvenir à les distinguer sur les rochers prend davantage de temps ; on les voit enfin gigoter maladroitement pour se hisser hors de l’eau ou trouver la position idéale afin de se chauffer au soleil. Les bébés ondulent à la surface de l’eau, comme des dauphins… en moins gracieux.
Arrivez-vous à distinguer les lions de mer ?
Masques, tubas et gilets de sauvetage, on glisse en dehors du bateau, à une quinzaine de mètres du bord. Sous nos pieds palmés, des dizaines de lions de mer nagent paisiblement. Certains s’approchent de très près, et leurs yeux de peluche leur donnent un air très attendrissant. Reste que je ne suis pas très rassurée par ces énormes bêtes, et le souvenir des otaries dévorant les pauvres pingouins dans La Marche de l’Empereur n’arrange rien à cela… Entre effroi et froid, je m’accroche à mon tuba à m’en déboiter la mâchoire. Peu à peu, je me détends. Les petits qui tourbillonnent entre nous, les dizaines d’espèces de poissons colorés, le bruit de ma respiration dans le tuba et du clapot de l’eau contre mes palmes… tout me donne l’impression d’être dans un documentaire animalier. Nous remontons assez rapidement pour laisser nos hôtes tranquilles, et repartons grelotant jusqu’à une petite plage afin de grignoter de délicieuses tostadas de ceviche de poisson, préparées par l’équipe du bateau.
Après un retour sur une mer mouvementée, nous arrivons trempés au port, pour admirer notre dernier coucher de soleil sur La Paz... Demain, nous entamons notre deuxième étape vers le Nord !
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Canapé gris : quelles couleurs choisir pour les murs ?
Combiner la couleur de vos murs avec votre canapé gris est beaucoup plus facile qu'il n'y paraît. Les options sont larges et incluent l'utilisation de tons chauds et froids. Si vous avez choisi un canapé gris pour votre salon, il est temps de réfléchir aux couleurs de mur idéales avec lesquelles l'associer. Bien que le gris soit le roi des couleurs neutres, la palette n'a pas besoin d'être étroite. Lisez la suite pour découvrir toutes les possibilités. L'essentiel est de choisir les bonnes combinaisons de couleurs entre votre canapé gris et vos murs. Il est pratique que vous fassiez ce choix avant de ramener votre canapé chez vous afin de pouvoir peindre vos murs l'esprit serein. De plus, vous pouvez choisir vos coussins sans aucun problème et même les acheter dans le même magasin où vous avez acheté votre canapé.
Canapé gris : les couleurs des murs à assortir
Si vous cherchez une combinaison de couleurs entre votre canapé gris et les murs de votre salon, nous avons quelques idées que vous pouvez envisager. Choisissez celle qui convient le mieux à votre personnalité et au style décoratif de votre maison.
Canapé gris et murs blancs ou beiges Sachant que le gris est le roi des neutres, le blanc est le meilleur pari car ce n'est pas très risqué. Bien que pour beaucoup, cet effet puisse être trop fade. Si ce n'est pas ce que vous voulez, mais que les murs blancs sont votre truc, tentez votre chance avec d'autres accessoires comme les coussins, les plaids et les tapis.
Si vous ne voulez absolument pas opter pour du blanc sur les murs, mais que vous ne voulez pas prendre de risques audacieux, le beige est une autre option. Tons terracotta La couleur terracotta va très bien avec le gris, alors n'ayez pas peur de les combiner. Pour bien faire les choses, choisissez un ton doux. L'idée est qu'il n'éclipse pas votre canapé gris. Ces couleurs donneront à votre salon un aspect chaleureux et cosy. Maintenant, si vous êtes heureux de prendre un risque, misez sur des tons terracotta moyens. Ceux-ci ont l'avantage de se marier très bien avec le bois, ainsi vos meubles peuvent être choisis dans ce matériau et contribuer beaucoup au style décoratif.
Vous pouvez également avoir un mur de cette couleur et le combiner avec du blanc, pour obtenir un meilleur équilibre. Canapé gris avec un mur de bleu Une autre des combinaisons infaillibles entre le gris du canapé et les murs est avec les tons bleus, comme le bleu canard, bleu turquoise ou le bleu Klein. Ils donnent un aspect beaucoup plus élégant aux pièces à vivre et vous n'avez rien à craindre. Vous pouvez l'équilibrer avec des accessoires pour éviter que l'espace ne paraisse sombre.
Essayez de peindre vos murs en blanc pour refléter la lumière entrant par les fenêtres et utilisez des couleurs telles que le bleu clair pour les rideaux . Canapé gris et tons rouges Un canapé gris se marie très bien avec des tons rouges sur les murs. Pour beaucoup, le rouge est une couleur trop forte pour être le protagoniste. Parmi les options, il y a l'utilisation de rouge uni sur un mur qui est le principal point d'attraction.
Une autre option concernant les tons rouges est la terre cuite ou le rouge rustique : une couleur chaude qui se marie très bien avec le gris. gris avec des murs gris Il y a des espaces, (surtout les grands espaces), où combiner un canapé gris avec des murs gris est un succès. Dans ce cas, la règle est simple : assurez-vous que les murs gris et le canapé soient de tons différents.
Des meubles et des objets de décoration dans d'autres couleurs comme le jaune ou le vert citron peuvent être ajoutés à cette combinaison. De cette façon, vous ajouterez de la couleur et du contraste à votre salon.
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Colour adjectives agreement
Colour adjectives in French can agree in gender and number or be invariable with their noun depending on several things:
I. Undeclinable:
If they’re inspired from a noun (Orange is orange because of the fruit, marron because of chestnuts, noisette hazelnuts, turquoise...) : murs orange (Orange walls), valise marron (Brown suitcase), yeux noisette (Hazel eyes)
If they’re followed by another adjective related to them : une jupe bleu foncé (A dark blue skirt), des cheveux châtain clair (Light brown hair)
If they’re coupled to describe one thing : des meubles blanc et noir (B&w furniture), des yeux bleu-vert (Blue green eyes), une nappe bleu blanc rouge (A blue white red tablecloth)
II. Declinable:
If they’re not inspired from a noun : les dents blanches, deux grands yeux bleus - exceptions : écarlate (scarlet), rose (pink), pourpre (crimson), mauve, châtain (light brown (for hair specifically) - okay for number, not for gender).
If they’re coupled to describe several things : des feuilles vertes et jaunes (: Some leaves are green and some others are yellow)
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ils construisent la ville et ils construisent les êtres.
quand tu t’assois c’est la fin. quand tu regardes c’est latent, l’attente.
la voute forme un trou net et bleu dans le ciel. plus d’horizons. enfin plus trop
à part une grosse fumée au loin.
tu pensais que le monde s’enterrerait
lui-même à la fin?
je n’y pensais plus.
par la fenêtre il n’y avait plus personne pour appeler les autres. on s’était tous donné rendez-vous là où on allait avant sauf que maintenant ce n’est plus rien. et on attend, que le temps passe à nouveau pour reprendre nos vies. ailleurs. quand j’ai vu le feu je l’ai hurlé aux autres et tout le monde a laissé ce qu’il faisait pour aller voir, avec de l’espoir dans le ventre. puis rien. les bras tombent.
bon, on rentre...
ne rien faire quand le temps ne passe plus c’est comme accepter d’être déjà mort parce que nulle part je n’ai trouvé un souffle, un train qui gronde, ou une porte qui claque de colère.
la nuit on installe des grands lits dans la pièce principale pour former un dortoir pour tous. c’est idéal. c’est là qu’on se sent le mieux, comme à l’abri de la voix terriblement silencieuse qui maraude dehors. ce soir-là ils ont soufflé dans des tubes en bois. c’était joli. des monstres qui veulent s’échapper, le tourment intérieur qui se tortille et vient chanter des mots dissonants. à un souffle. au sien. le langage du souffle ressemble au langage des yeux mais il pince moins au coeur. il caresse la joue.
ici le langage des mots n’existe plus. à force de se taire les gens sont devenus presque muets, parce que parler dans le silence qui amplifie la voix rend trop présentes les idées. c’est comme ça que j’ai appris à me taire, pour rencontrer des regards et des souffles qui disent mille choses. ainsi la ville et les gens ont un langage commun. un unisson comparable à une osmose. Tout entendre. le moindre tremblement est un message que longtemps on avait oublié d’écouter. regarde le soleil. regarde mes yeux. pose ta main sur mon oreille. dis-moi. la nuit on lit des livres sous les grands draps. parfois je m’arrête et j’écoute la lecture intérieure des autres. tous ces mots qui attendent d’être dits dans toutes ces têtes au même endroit et au même moment. j’y vois la fuite de quelqu’un qui a peur, le coeur et l’âme en peine, les montagnes pour atteindre des sommets et se faire prendre par le vent, une femme dans son salon qui regarde par la fenêtre une jeune fille et un enfant. j’ai tout lu de ces livres dans le silence du monde.
il y a un endroit qui rappelle les photos dans les grottes sur la plage. il fait un trou dans le mur, pour la lumière, et le rayon devient une image. le mur c’est la vue de dehors. je n’y ai jamais été mais le lieu orangé m’y emmène chaque fois. ils ont enfermé la ville sous une bâche blanche. je n’ai pas osé la tirer comme un rideau, on m’aurait vu. depuis l’intérieur il n’y a personne. ce sont les restes de quand quelqu’un y venait l’après midi faire une sieste comme sous un arbre. un somme romantique. désespéré. les yeux ébahis sous la paupière.
viewers slip into reveries
of subject and object,
of self and substance in intimate confrontation.
ils ont fermé la ville. fermé le dehors dans le dedans. un néant concentré. l’image s’est brusquement envolée parce que la porte grince et le vent emporte certaines choses. précautionneusement il oublie les choses lourdes comme les immeubles, dérange celles qui hésitent comme les livres (les pages tentent de fuir mais ne font que défiler dans un bruit de bord de mer), et les cheveux fins. le reste s’en va. le vent c’est pour nous dire de courir après ce qui s’efface, mais depuis le silence ici, il se fait rare. alors chaque bourrasque est un spectacle.
les ruines sont couvertes de plastique. bleu ciel. gris. transparent. attendre. depuis qu’on a arrêté de parler les nouvelles idées se sont enfuies. la ville patiente et on ne fait rien pour la sauver. j’ai dit qu’il fallait changer quelque chose, parce que la ville pour toujours demeure invisible sans quelqu’un pour la regarder, la penser et marcher dedans. j’ai proposé de construire quelque chose. un bouquet de fleurs ou des tours avec des cailloux plats. si on fait tous des petites montagnes on leur donne à chacune une âme et le jardin minuscule aura l’air de sourire un peu.
le matin il a plu quand j’ai ouvert les yeux et les cailloux étaient mouillés. quand on les prend dans nos mains ils ont déjà absorbé l’eau et semblent différents. tout le jour les tours ont grandi et quand on s’arrêtait pour souffler et regarder de loin on aurait presque dit que c’était beau. ça donnait envie de regarder les yeux des autres et de poser une main près de leurs coeurs pour vérifier s’il battait très vite comme le nôtre. la danse des âmes n’a pas besoin d’être dite car je la sais. je la rencontre dans les tentatives à sauver la ville.
quand je cours le béton murmure un tremblement qu’il est trop tard pour arrêter, qui s’en va se perdre dans les oreilles des autres et dit:
on est vivants.
c’est le message de la ville. c’est le même tremblement que quand on construit les montagnes tous ensemble.
avec le temps qui ne passe plus les anciennes ruines ne changent pas et ont toujours une allure vide de rien. de jamais. nos montagnes elles restent vibrantes parce que parfois un caillou plus petit glisse avec le vent. la mousse turquoise des arbres qu’on ne connaît plus trop s’y pose et vient ronger les heures. et le temps passe à nouveau. et les êtres existent un peu.
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Le lascar (nouvelle 18)
Chaque soir, le même ami va m’envoyer le thème de son choix à partir duquel, avant le lendemain soir, je devrai écrire une nouvelle, ceci formant un exercice volontaire, presque une discipline.
C’est la première fois que je le vois devant l’immeuble. Grand, 1,80 mètre à vue d’œil jeté rapidement vers lui, mince, blanc, les cheveux rasés, il est adossé au panneau fixe de la porte d’entrée vitrée, sa jambe gauche porte tout son corps, elle est presque tendue, sa jambe droite est repliée sur elle-même et la semelle de ses skets est collée à la vitre de la porte en fer dont la peinture bleu turquoise a en partie disparu. Ses mains sont dans les poches dézippées de son ben. Il n’a rien dans ses poches et ce qu’il touche régulièrement, presque automatiquement n’y est pas. Il a l’uniforme breveté et validé du lascar : un survet en nylon, là c’est pas un Lacoste, mais un Adidas, bleu profond qui tranche avec les trois bandes blanches imprimées qui galbent ses membres inférieurs de la cheville au cul, c’est une aide visuelle que l’œil suit irrésistiblement comme un aveugle encastre sa valise à roulettes dans les rails en plastique des couloirs de la gare de Lyon. Aux ieps il a des cho7 plus blanches que neuves, Adidas aussi, dont la partie haute recouvre le bas du survet. Les rk1 qu’il chausse semblent neuves aussi ou alors il en a des dizaines de paires, comme il a des dizaines de survets assortis, des dizaines de tee-shirts blancs à col rond et à manches courtes, un peu près du corps, et des dizaines de casquettes qu’il porte le plus souvent à l’envers, sauf quand il faut cacher son visage sous la visière elle-même recouverte de la capuche de son sweat ou de sa doudoune. Il s’est toujours vêtu comme ça, aussi loin qu’il s’en souvienne. C’est pour beaucoup un signe d’appartenance, pour la plupart un cache-misère, pour d’autres une camisole, mais pour lui c’est un écrin.
Je ne sais pas exactement ce qu’il fait là. Troublé par la force qu’il dégage, je ralentis un peu mon pas, il le perçoit, me jette un regard dur, détourne sa gueule tandis que son corps se contracte de sa nuque à ses ieps ; il serre les poings et jette sa tête en arrière qui frappe la vitre. Il ne s’est pas fait mal ; il a contrôlé son geste. Ca reste en lui. Mon ascenseur arrive ; je m’y engouffre, j’appuie sur le bouton de mon étage, les portes se referment, la cabine monte, je rentre chez moi, je fume une clope sur le balcon en regardant la forêt qui s’étend devant moi. Mon esprit se perd dans les arbres que je ne vois plus, je vide ma tête de ma journée que j’ai remplie de rien d’intéressant. J’ai un bullshit job comme pas mal de monde ; je me lève le matin avec de moins en moins de conviction et quand je rentre le soir je me sens encore moins utile que dix heures auparavant. J’ai noté sur une feuille de papier millimétré la progression de ma satisfaction au boulot. Au début j’avais mis les jours en ordonnée, mais la chute était trop déprimante, alors je les ai mis en abscisse : du coup j’ai une courbe ascendante même si elle se rapproche de plus en plus de son axe. Mon métier, je ne saurais même pas expliquer ce que je fais mais je suis persuadé que ça ne sert à rien. Je ne rencontre pas mes collègues de bureau ailleurs qu’au taf : j’ai une fois cédé à leur proposition de prendre un verre avec eux et le débriefing de la journée de travail qu’ils y ont tenu sans s’en apercevoir durant trois heures rythmées par des pintes et des passages de plus en plus fréquents aux chiottes de la brasserie ayant fait chuter en une seule journée de deux points sur une échelle de dix ma satisfaction au boulot, j’en ai conclu qu’il fallait que j’évite définitivement de réitérer ce brainstorming dont la surdose aurait une conclusion fatale pour moi. Je ne cherche plus de mec dans ma vie à cause de mon métier aussi : je perds mes moyens en voulant rire de ce que je fais un boulot de merde, mais ça sonne toujours faux et les mecs le sentant aussitôt me demandent, histoire de bien me cerner pourquoi je n’en change pas. C’est toujours la question qui me perd à leurs yeux : je ne sais pas quoi y répondre car en fait je ne sais vraiment pas pourquoi je ne me casse pas de ce taf. Pour-quoi-faire ? Je suis comme un con, chaque jour depuis presque un an avec cette question qui me déprime.
Ca sent la clope mais j’ai pourtant fini la mienne depuis un bout de temps. Ca vient du balcon d’à côté. Encore ce matin l’appartement était inoccupé. Le mec qui l’occupait il y a un mois est mort d’un deuxième AVC dans son sommeil. Les pompiers sont passés par la fenêtre, ont cassé une vitre (ça coûte moins cher qu’une porte sécurisée), constaté la mort du keum, ouvert la porte, empêché sa régulière de rentrer avant l’arrivée des keufs, mais laissé l’odeur de décomposition sortir sur le palier : ça faisait au moins cinq jours qu’il avait cané. La meuf s’était alors étalée par terre, sur le carrelage un peu sale, chouinant sincèrement jusqu’à la levée du corps. Je lui avais parlé un jour, à l’arrêt de bus. Elle m’avait expliqué que depuis son AVC, il avait peur que ça lui arrive à nouveau et qu’il avait développé un stress énorme. Il sortait peu de son appartement et quand on le croisait dans la rue, il se tenait presque aux murs. Ca foutait les j’tons : ça n’arrive pas qu’aux autres m’avait dit sa meuf en montant dans le bus, ne sachant pas trop où toucher du bois dans l’habitacle du transport en commun jusqu’à ce que je vise une dame avec son parapluie dont le manche était en bois. Je pus l’effleurer mais la dame crut que je voulais lui chouraver. C’est bon pour l’AVC je lui ai dit ! Elle m’a pris pour un zonard, la meuf, j’te jure, wesh ! Askip j’ai donc des voisins qui ont emménagé dans la journée dans l’appartement d’à côté. Par la paroi en verre dépoli qui sépare les deux balcons je vois la silhouette d’un mec que je reconnais aussitôt : mon lascar d’en bas. Merde, il m’a pas calculé tout à l’heure et maintenant il va être véner qu’en plus je sois son voisin. Il m’a certainement capté parce que je suis sapé comme lui, à part que mon survet est noir. Je reste figé sur mon balcon quand je vois sa tête dépasser de la paroi. Il me regarde de ses yeux verts, vise mes rk1 et me lance : « C’est con, si je t’avais pécho avant, ça m’aurait évité de louer ici : on serait déjà coloc et au pieu aussi… »
Dix-huitième nouvelle du nouvel exercice, mardi 13 octobre 2020
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Juliette passion chaussettes
j’aime les épinards la lumière de fin d’après-midi les couleurs de l’automne avoir plein de thés différents mettre des jolies chaussettes même quand personne ne les voit les gros pulls en hiver et surtout les pulls de noël kitsch et les sapins de noël et l’odeur de noël et les gâteaux de noël la cannelle les couchers de soleil regarder le ciel les citrouilles mon chien les renards le canard-dindon les animaux moches que personne n’aime ma collection de vernis porter du rouge à lèvres le chocolat chaud à la fleur d’oranger le café noisette sécher le latin pour aller dans un salon de thé avec la fille-papillon regarder tressauter mes vinyles le brouillard du matin quand la nuit tombe et que je suis bien au chaud sous ma couette les feux de cheminée mes stylos de toutes les couleurs et mes tampons et tous mes masking tapes et mes carnets écrire des lettres aux gens que j’aime et aux inconnus parler anglais voyager dans des villes dont je ne me lasse jamais et découvrir de nouveaux endroits et de nouveaux pays aller chez ikea allumer des bougies qui sentent bon les après-midi toutes douces de l’appartement-cocon passées à lire un livre ou à boire du thé avec la fille-papillon aller faire les magasins et acheter plein de choses ma boîte-valise remplie de tous mes trésors d’écureuil les choses mignonnes et inutiles les écureuils les nuages surtout quand ils ont des formes bizarres mes plantes qui ont toutes des prénoms les jardins botaniques qui donnent l’impression d’être dans un autre monde retourner en alsace les marchés de noël les musées d’histoire naturelle et les cabinets de curiosité un peu étranges les saules pleureurs les vieux manoirs porter des jupes les endroits abandonnés le street art qu’on découvre par hasard et qui fait sourire et prêter attention à ce qui nous entoure mettre des bagues harry potter regarder les étoiles le petit prince avoir tellement de tasses mignonnes que je ne sais plus où les mettre les fleurs les cactus mes pailles de toutes les couleurs le hasard les aventures spontanées les longs trajets en voiture avec la vitre ouverte et la musique très fort me sentir libre ne pas avoir d’obligations lire de la poésie à voix haute raconter des histoires les moments où je me sens d’humeur bête et où je dis n’importe quoi en riant pour tout et pour rien les élans qui me donnent envie d’aller vers quelque chose pendant lesquels je suis incapable de rester en place tellement je suis excitée les sapins les détails des feuilles des arbres les choses bizarres les fantômes boire mon thé à la petite cuillère les stations-service la nuit et tous les endroits où le temps semble s’arrêter et où tout est en décalage après minuit les rêves remarquer des détails regarder des inconnus dans le métro me perdre dans les livres et dans d’autres univers et l’impression d’étrangeté quand je reviens à la réalité comme si ce n’était pas normal les téléfilms débiles de noël et deviner la fin après les cinq premières minutes mais les aimer quand même accrocher des cartes sur mon mur les jolies citations les bateaux les oiseaux en papier accrochés au-dessus de mon lit qui ressemble à un nid les tipis me promener en forêt les grands parcs au milieu de la ville qui nous font oublier qu’on est dans la ville le parfum les choses qui me font penser à quelqu’un que j’aime ou qu’on me dise ça m’a fait penser à toi le sourire de la fille au sourire paillettes récupérer des pellicules chez le photographe faire quelque chose pour la première fois les diabolos à la violette le vert émeraude et le bleu turquoise et le mint et les couleurs pastel les guirlandes lumineuses passer des heures dans les petites librairies jolies les coïncidences retrouver des amis les rencontres éphémères les stylos à encre fouiller dans les greniers les archives du passé la mer la plage les jours gris quand il n’y a personne les endroits déserts les vieux appareils photo mes cheveux quand ils bouclent mes souvenirs de voyage les tatouages écrire les orages les clémentines
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Après quelques problèmes familiaux et du bénévolat, je vous reviens aujourd’hui avec un projet de six cadres sous le thème des animaux. Je publierai un cadre par semaine et vous pourrai voir l'ensemble du résultat final sur le mur de mon salon. Étant donné que je vis dans un condominium, j’ai opté pour un style de cadre épuré, jeune et contemporain de grandeurs 10 x 10 pouces qui va s’agencer avec le reste de ma décoration.
Évidemment, je ne suis pas un artiste peintre alors j’ai choisi une technique appelée en anglais « Papercut ». Pour découper les dauphins, j’ai utilisé une machine Silhouette. Puis, j’ai terminé à la main les petits détails avec un "cutter", ce qui m’a demandé un peu de patience, car, le papier est fragile.
Pour créer un beau fond de couleur bleu et turquoise, j’ai utilisé les encres à l’alcool Distress sur papier Yupo. J’adore particulièrement ce médium, car on peut l’employer dans bien des projets et sur plusieurs médias. Pour donner un effet de profondeur, j’ai posé des « Dots » adhésives de trois millimètres d’épaisseur entre les dauphins et le papier argent. Les cadres ont été achetés chez Michael’s et j’ai découpé moi-même les passe-partout.
Bien sûr, je continue entre temps à travailler sur l’événement de ma fille « L’Injonction de la confédération » qui a dû être remis à cause du Covid-19. Je conçois toujours des cartes artisanales et je fais de la couture. J’ai trop de projets dans la tête, ouf !
Une tranche de vie, un peu d'histoire... Est-ce que vous vous souvenez de l’émission « Flipper le dauphin » ? Une série télévisée américaine en 88 épisodes, créée par Ricou Browning et Jack Cowden. Elle a été diffusée 1964 à 1967 et rediffusée jusqu’en 2009. Richard O’Barry, l’entraineur a consacré sa vie à la protection des dauphins, car la série a contribué à l’exploitation excessive des dauphins au fil du temps. Alors, je dédie mon projet en hommage à ces petits dauphins qui nous ont charmés lors de notre enfance. Cinq dauphins femelles ont été dressés pour le tournage.
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Les ombres en Équateur ...
Été 2014, c’est décidé, nous souhaitons partir en dehors de l’Europe, une première pour Nico. Quelle destination choisir pour découvrir de nouveaux volcans tout en ayant une diversité des paysages? L’Équateur fut pour nous le pays idéal regroupant toutes ces attentes: entre l’Amazonie, la cordillère des Andes et ses volcans et les villes coloniales d’Amérique Latine.
1- Quito.
Nous restons quelques jours pour visiter la capitale et séjournons dans un hôtel situé à proximité du centre ancien. En effet, la ville est se compose de deux quartiers distincts: la vieille ville et la ville moderne qui regroupe toute l’infrastructure touristique (hôtels, restaurants...).
En ce dimanche, journée sans voiture dans le centre ancien, nous commençons par découvrir ce quartier aux nombreuses constructions de type coloniale.Nous arrivons sur la place de l’indépendance, place arborée, paisible et populaire, entourée de bâtiments magnifiques tels que le Palais du gouvernement et la cathédrale.Toutes les constructions ne sont pas très hautes (2 étages), ce qui permet de voir les montagnes environnantes et de ne pas se sentir étouffés.
Nous poursuivons jusqu’à la Casa del Alabado, musée d’œuvres précolombiennes. Ces dernières, aussi bien en pierre qu’en céramiques, nous font découvrir les croyances indiennes, sur la vie et la mort, et le monde des esprits.
Après cette découverte culturelle, nous errons dans les ruelles de la vieille jusqu’à la place San Francisco, grande place pavée. Blanche et immuable, cette plus ancienne église du pays se dresse face à nous, flanquée de ses deux clochers blancs. En arrière plan, le ciel bleu fait ressortir ce bâtiment religieux tout de blanc chaulé. Les Équatoriens se pressent sur cette place en sortant de la messe, colorant la place. Les habitants d’ici s’habillent toujours de manière colorée, cela créé un contraste évident entre l’apparence triste de leur visage et ces couleurs joyeuses.
L’après midi nous poursuivons la visite de Quito par le Museo de la Ciudad, ce bâtiment renferme plusieurs patios qui revêtent un caractère reposant. Il retrace l’histoire de la capitale, de l’époque coloniale et son évolution jusqu’au XIXème siècle. Ces deux musées nous ont permis d’appréhender et de mieux connaître les Équatoriens que nous allons côtoyer durant notre séjour.
Le lendemain nous prenons un bus pour quelques kilomètres afin de nous rendre à la Mitad del Mundo où est représentée la ligne équatoriale latitude 0° qui traverse le pays. C’est un site composé de plusieurs pavillons (le planétarium, l’insectarium, le pavillon français et le pavillon équatorien). C’est un lieu symbolique sur la planète, la possibilité de mettre un pied dans chaque hémisphère !
Bon à savoir: C’est une ville où il faut constamment faire attention car l’insécurité prédomine: quand nous voulions sortir le soir, l’hôtel appelait un taxi et le gérant attendait au pas de la porte que nous soyons entrés dans le taxi. Lorsque ce dernier nous déposait au restaurant, il attendait que nous pénétrions à l’intérieur de l’établissement.
2- Le marché d’Otavalo.
Nous prenons un car pour aller à Otavalo, situé à une centaine de kilomètres au nord de la capitale (soit 2h). Prendre le car est une véritable aventure, ici le véhicule ne s’arrête jamais. Les passagers descendent et montent dans le bus alors que celui-ci continue de rouler à faible allure. Un agent de la compagnie, chargé de vendre les tickets est obligé parfois de descendre du car et de courir afin de remonter dedans. Durant tout le trajet, on nous passe des films qui couvre le brouhaha et le bruit du moteur. A cela s’ajoutent les nombreux marchands ambulants qui vendent de la nourriture... Nous sommes les seuls touristes, dépaysement garanti !
Nous restons deux nuits à Otavalo afin de découvrir l’un des plus grands marchés du pays qui a lieu le samedi.
Il regroupe tout le savoir-faire artisanal équatorien (peintures, tapis, sculptures, tissus). Nous nous perdons dans le dédale des allées très colorées.
Non loin de là se trouve le marché comestible où il n’y a aucun touriste. Nous nous retrouvons au milieu d’équatoriens, et d’étalages de légumes, de fruits et de viande. Ces dernières sont suspendues et présentées à l’air libre: des montagnes de carcasses de poulets empilés.
A part ce marché, il n’y a pas grand chose à visiter dans cette ville et nous rentrons à Quito.
3- Amazonie - la réserve de Cuyabeno.
En route pour l’aventure amazonienne, enfin nous préférons prendre un vol intérieur d’une heure, plutôt que le car durant 12h ! Arrivés à l’aéroport de Lago Agrio, la différence de climat par rapport à Quito se fait sentir, il pleut mais la chaleur est là ! Un pick up vient nous chercher et fonce durant 2h sur une route défoncée. Il nous dépose au bord de la rivière Cuyabeno où une vingtaine de touristes attendent. Sans aucune organisation, nous embarquons dans de grandes pirogues de 8 places pour 2h. Il y a une telle densité d’arbres et d’arbustes que nous ne voyons même pas le rivage.
Ici et là, des singes sautent de branches en branches autour de nous. Nous apercevons des anacondas dormant sur les branches à quelques centimètres de la pirogue: l’aventure amazonienne commence ! Nous arrivons à Guacamayo, petit village de maisons sur pilotis en bois et avec deux cases communes servant de restaurant et de lieu de détente. Dès l’arrivée nous nous préparons pour notre première excursion avec bottes et poncho et rejoignons avec 6 autres personnes notre guide Patricio. Ici tous les déplacements se font en pirogue. le guide nous fait découvrir le fleuve et la Laguna Grande, grande étendue d’eau calme.
C’est la période des hautes eaux, les arbres émergent de l’eau, servant de refuge aux oiseaux: notre guide local, sachant imiter les cris des oiseaux, communique avec eux...
Ici la nuit est particulière: tout autour de nous, nous entendons des animaux plonger dans l’eau du fleuve, le sommeil n’est pas de tout repos pour un occidental.
Le lendemain, nous partons pour une marche de 2h dans la forêt dans laquelle le guide nous présente diverses essences d’arbres et arbustes ainsi que des insectes immenses (comme ces fourmis de 3cm). Après une heure de marche, la pluie tropicale commence à tomber, et le chemin se transforme en ruisseau et le ruisseau en fleuve. Nous sommes obligés de le traverser à pied, en sentant les sangsues sur nos jambes. Nous rentrons au camp en pirogue, à la rame à contre courant !
Nous partons ensuite en excursion en descendant le fleuve Cuyabeno durant 2h afin de visiter un village amazonien. Sur le trajet, Patricio prend le temps de nous montrer la faune située sur les rives: nous admirons ainsi un paresseux accroché au dessus de l’eau, des anacondas repliés sur eux-mêmes et une multitude de singes sautant de branches en branches. Nous nous enfonçant régulièrement en pirogue au cœur de la forêt: les lianes et les branches nous frôlent.
Au bout de quelques temps nous arrivons au village de la communauté Siona constitué de maisons sur pilotis répartis de manière éparse sur l’ensemble du territoire ainsi qu’une “maison commune”. Elle a seulement un toit en végétal mais ne possède pas de murs...
Après avoir ramassé quelques maniocs, nous nous asseyons dans cette “maison commune” et assistons à un cours de cuisine auquel nous participons de manière active, notamment en râpant la racine pour en faire une galette farcie de thon, tomates et oignons. Après le repas, et après avoir été l’objet de toutes les curiosités, notamment des enfants, nous reprenons la pirogue jusqu’à la case du Chamane du Village où nous assistons à un rite.
Après ces quelques jours en Amazonie nous reprenons l’avion pour Quito où nous attend un guide pour traverser les Andes.
4- Les Andes.
Nous retrouvons le guide Andrés, et prenons la direction du Sud, sur la majestueuse ‘’Avenue des volcans’’, une double rangée de sommets enneigés délimitant une avenue naturelle qui s’étend entre les villes coloniales de Quito et Cuenca.
Après une heure de route, nous entrons dans le parc naturel du Cotopaxi, le plus haut volcan actif du pays dont l’impressionnant cratère est recouvert de glace, grâce à sa forme en pain de sucre au sommet saupoudré de neige. Nous montons en voiture à 4 500m d’altitude sur le flanc du volcan jusqu’à un parking. De là nous empruntons un des sentiers menant au refuge, puis au sommet du volcan. Là, l’oxygène se fait rare, le vent souffle fort. Dans ces conditions difficiles nous n’avons pas réussi à atteindre le refuge; cependant la vue est magnifique.
Avant de réaliser cette excursion nous aurions dû attendre quelques jours d’acclimatation.
Nous repartons ensuite pour la laguna de Limpiopungo située au pied du volcan à 4 000m. Nous faisons le tour en 1h30 en admirant la superbe vue sur le volcan.
Après avoir visité les gorges du parc national, nous rejoignons l’Hacienda El Porvenir, où nous avons prévu de dormir à 3 500m.
C’est un ranch, une exploitation agricole de grande dimension avec des chevaux. Nous partons sur un sentier autour de l’Hacienda, avec une vue panoramique sur la chaîne des Andes. Nous sommes surpris de voir autant de terres cultivées à cette altitude.
Nous reprenons la route le lendemain, toujours en direction du Sud, et nous effectuons la boucle autour de la lagune du Quilotoa. La route serpente entre les hauts plateaux andins.
C’est un des sites les plus impressionnants des Andes équatoriennes. Le cratère du volcan éteint abrite maintenant un lac avec des eaux turquoise qui reflètent magnifiquement les sommets enneigés de la cordillère. Nous sommes émerveillés par les paysages splendides, entre montagnes et falaises. Nous arrivons au village principal, Quilotoa, situé sur les hauteurs du cratère à 3 920 mètres.
De là nous empruntons le sentier menant au lac. C’est un chemin sablonneux, abrupt mais aménagé. La caldeira nous entoure et nous domine. Le site est paisible et nous profitons du jeu d’ombres et lumière joué par les nuages sur les parois du cratère et les eaux verdoyantes du lac. Nous observons des colibris bleus qui pollinisent les plantes andines. Certaines pentes intérieures du cratère sont cultivées! A cette altitude, la montée s’avère beaucoup plus difficile que la descente.
Après avoir passé la nuit à Chugchilan, petit village situé sur la boucle, nous repartons pour 3h de route en direction de Riobamba, ville située au pied du volcan Chimborazo. Le guide nous dépose à Santa Teresita, hameau situé au sud du volcan. de là nous effectuons une randonnée avec face à nous, ce monstre volcanique, plus haut sommet d’Équateur avec ses 6 310m d’altitude.
Le paysage qui s’offre à nous est grandiose entre le volcan, la vallée et les montagnes environnantes. Nous reprenons la voiture et entrons dans le parc du Chimborazo et montons jusqu’à 4 800m. La route y est magnifique: nous rencontrons de nombreuses vigognes, le paysage est lunaire avec un sol jonché de cendres et de bombes volcaniques.
Nous atteignons le refuge à 5 200m: le vent souffle fort, le manque d’oxygène est impressionnant mais nous sommes heureux, toujours avec nos ombres !
Après cette superbe expérience, nous redescendons à Riobamba avec ses bâtiments coloniaux colorés.
Après avoir passé la nuit dans cette petite ville andine, nous repartons vers le sud et nous arrêtons à Guamote où se tient un grand marché. A l’entrée de la ville nous croisons un bus avec des cochons sur le toit, un pick up avec des membres de la famille assis à l’arrière avec des animaux (moutons, cochons...), le ton est donné et nous sommes impatients de découvrir ce marché où nous sommes les seuls touristes. Les habitants sont vêtus d’habits traditionnels et de chapeaux ronds. Sur les étales sont disposés aussi bien des vêtements modernes que traditionnels. Les stands sont établis dans les rues et sur les voies ferrées: un véritable marché authentique, sans objets de souvenirs, contrairement à Otavalo.
Après nous être mêlés à la population locale en déambulant dans les ruelles, nous repartons en direction d’Ingapirca.
Le guide Andrés nous dépose à Ingapirca, site archéologique unique en Équateur, ruines pré-inca situées au sommet d’une montagne. Nous y observons le Temple du Soleil dont il reste les fondations, des restes de bâtis. Il y a peu de touristes et la visite se fait en peu plus d’une heure. Même si ce site est beaucoup plus petit du Machu Picchu du pays voisin, cela n’en demeure pas moins impressionnant.
Nous prenons ensuite un bus en direction de Cuenca pour y séjourner quelques jours. Pour le plus grand bonheur de Nico, le chauffeur n’hésite pas à doubler sans visibilité sur cette petite route sinueuse des Andes.
Cuenca, est une ville très différente des autres déjà visitées jusque-là: c’est une ville plus riche, avec une population plus métissée. Comme toutes les villes équatoriennes, elle a été bâtie sur le modèle américain: les rues forment un quadrillage et la plupart sont en sens unique. Nous admirons les maisons coloniales colorées du centre-ville et déambulons jusqu’au marché aux fleurs: ici la rose est reine. Nous arrivons à la Cathédrale de l’Immaculée conception, un imposant édifice mêlant plusieurs styles architecturaux (roman, Renaissance et gothique) qui se voit de loin grâce à ses trois coupoles bleues.
Nous visitons ensuite le musée ethnologique de Banco Central, qui explique la vie quotidienne et la culture des diverses ethnies recensées en équateur: malgré l’intérêt du sujet, c’est un bâtiment immense mais les pièces sont peu remplies et les explications sont uniquement en espagnol. Nous nous promenons ensuite dans le parc archéologique contigu au musée. Il s’agit de ruines d’une ancienne cité Inca, sur laquelle plusieurs civilisations (indiens pré-inca, les Incas et les colons espagnols) se sont installées successivement. Nous sommes surpris de voir des lamas brouter en pleine liberté au milieu de ces ruines.
En repartant nous nous arrêtons dans un restaurant qui nous marquera longtemps: nous y déjeunons pour 3 $ pour deux (la saveur des plats est à la hauteur du prix !). Nous visitons ensuite le magasin-atelier de panamas: c’est dans cette ville que sont conçus ces fameux chapeaux “panama”. On y apprend les diverses étapes, l’atelier est très instructif.
Le dernier jour, nous visitons le musée des cultures aborigènes: il est plus petit mais très intéressant avec un livret explicatif en français. Il expose des masques, des statues et autres objets du quotidien qui nous montrent les croyance et les coutumes au temps des Incas.
Nous avons été contents de finir notre séjour équatorien par cette ville très agréable, où il fait bon vivre et où nous nous sentions en sécurité.
Bon à savoir: durant notre séjour à Cuenca nous avons dormi à Casa Macondo Bed & Breakfast: lieu paisible en plein cœur de la ville avec son patio fleuri ! Le personnel a été très accueillant: nous y avons passé un agréable séjour.
Nous reprenons ensuite l’avion de Cuenca pour Quito, puis Paris, des souvenirs plein la tête.
L’Équateur est un petit pays aux paysages très diversifiés entre l’Amazonie, les Andes et les villes coloniales.
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