#mots en vrac
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motsenvractmblr · 3 months ago
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*An excerpt from our love story that exists only in my imagination*
Dear Kristian.
As a sort of love, I'd be the one who enjoys watching your features while you're sleeping, tracing the soft lines of your face with my eyes, memorizing the way your lips curl into the faintest smile even in dreams. I'd be the first one to kiss you in the morning, gently brushing my lips against yours, waking you with a tender touch that speaks of my endless devotion. _"I’d be the one who enjoys gazing at those beautiful eyes of yours"._ I'd be the one to enjoy being your partner in everything, the one who walks beside you through the mundane and the magical, finding joy in simply being by your side.
I'd cherish the moments when we’d laugh together over the smallest things, our shared glances becoming secret codes only we understand. I'd love the way your hand feels in mine, a perfect fit, as if the universe conspired to bring us together. I'd enjoy doing and sharing every detail in my day with you, from the first sip of coffee in the morning to the quiet moments before sleep, where our conversations would weave together the fabric of our life.
I’d take delight in the little things—like the way you absentmindedly hum your favourite tune or the way your eyes light up when you talk about something you love. And in the silent moments, when words are no longer needed, I’d hold you close, feeling the steady rhythm of your heartbeat as if it were the only sound that mattered in the world.
In this imagined love story, I'd be yours completely, giving you all of me, not because I have to, but because I want to, because loving you would be the greatest joy of my life. And in my dreams, I'd hope that somehow, in some way, you'd feel the same, that this love, though it exists only in my imagination, would one day find its way into reality, where we could live out this story together, forever entwined in each other's hearts.
Dear blue kris,
I love you. I'm deeply in love with your eyes; they hold the entire universe within them, and every time I look into them, I lose myself. I want to keep you away from the eyes of the world, to shelter you from anything that might take you away from me. I'd take you away from everyone, hide you away in a place where only we exist, just to keep you mine, just to ensure that nothing ever comes between us. You are my everything, and all I want is to you. Kristian. 💙
- By: mots en vrac / H.H.B -
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blinding-lights-rpg · 3 months ago
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UPDATE 4.0 : Sur le toit du monde
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BLINDING LIGHTS passe déjà à son update 4.0 !
Unexpected, démentiel, abracadabrantesque, on pourrait utiliser 1000 mots loufoques pour décrire les persos que vous créez chaque jour avec nous et votre motivation sur le forum. Bref, merci encore et toujours, cette commu est incroyable, c'est un plaisir de donner vie à toute cette histoire à vos côtés. Vous êtes toujours SUPER réactif·ve.s à toutes nos nouvelles idées pour changer les façons de RP, et vraiment vous rendez notre monde plus beau OMG !! On se sent minuscules, on vous aime plus que tout !!!
La 4.0 en vrac c'est notre nouvel event avec les Herolympics, la dernière chance de pull les summer cards du TCG, notre nouvelle version en mode cocktails sous les palmiers ! Donc on entame notre deuxième intrigue heh !
Chapitre II : Sur le toit du monde
On domine les cieux, et toustes s'émerveillent devant nos prouesses. Du bout des doigts, on touche l'Olympe, à surplomber tout l'univers. Notre sacre sera celui de l'humanité, même si nous n'en sommes que les plus grandioses. Et si les rois festoient, les rats sont chassés. Colporteurs de peste à exterminer. Mais que l'on brille ou que l'on cache notre éclat, le monde sera quand même à nous. Au-dessus de tout.
LA BISE, DE L'AMOUR, ET DU BONHEUR !!!
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licoeur · 7 months ago
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Un petit rockeur gueule de démon me demande si j'écoute du hardcore mais je ne réponds rien. Il renifle, j'ai envie de sniffer de la coke sur sa bite, et il le sait. Ses yeux noirs me transpercent. Finalement, sa langue sur mon ventre découpe mes tatouages et sa salive dans ma bouche a le goût du verre brisé, lavé à la javel. Mes tripes hurlent un autre prénom, la louve intérieure souffre en silence. Je sais qu'il est temps de changer de lieu parce que je commence à avoir envie de péter des verres sur des crânes et d'édenter les fils de pute qui essayent de me la mettre à l'envers. 4am c'est l'heure de rejoindre la gare à pattes, veste en jeans moite d'alcool et de sueur sur le dos. L'odeur de la transpiration d'un inconnu collée dans ma nuque me donne envie de dégueuler. Mon esprit ressace ses derniers mots : "Ton ex avait des problèmes d'alcool ? Bah putain j'ai jamais autant bu que depuis que je te connais" Je tire sur ma cigarette à m'en cramer les alvéoles. Dead inside j'ai perdu mon casque Marshall hors de prix dans les allées de la nuit. Pas de musique pour matraquer mes pensées. Souffle au cœur, poumons en vrac, j'ai trop fumé toute la nuit donc je crache, les notes médiocres d'une partition que j'ai répétée trop souvent. Le vernis craque, mes mains ont touché des vices et je me lèche les doigts, virus dans la gorge; l'appétit ne reviendra pas. J'arrive à la station, marcher sur les rails, le premier train sera le dernier
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flashbic · 1 year ago
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Je viens de réaliser que j'ai jamais fait de vrai post pour la fanfic ALORS VOICI.
Quelque part par méfiance, par mauvaise volonté
Lorsque Falconi est accusé à tort d'avoir tenté d'assassiner le régent, son affrontement avec la garde et sa fuite du Palais-Royal le laissent grièvement blessé. C'est par chance et bien à contrecœur qu'il va trouver refuge auprès des Cartouchiens.
On trouve quoi là-dedans?
Pas mal tous les persos! Avec Falconi et le Lorrain à l'avant-plan!
Côté rating: pour l'instant ça se situe pas mal au niveau d'un épisode standard, mais avec un poil plus de sang?
Côté shipping: Falconi/Le Lorrain, en mode gros slow-burn. Le pairing était pas prévu à la base, alors ça se développe tranquillement à travers le reste du plot, en fait.
Des tags en vrac: Found family, redemption arc, assassination attempts, friendship
C'est encore un WIP! J'ai en tête une vague idée de la direction que prendra l'histoire, mais considérant comment ça a changé en cours d'écriture jusqu'à maintenant, qui sait où ça ira. En attendant, ça reste un peu plus de 40k mots à lire...
(shout out à @cremsie pour la commission de qualité qui m'a motivé à reprendre l'écriture du truc. Le premier chapitre a été écrit l'an dernier et j'en ai commissioné une illustration sur un coup de tête !)
(Creme if you see this, biggest thanks again for the incredible commission! Hope you dont mind me posting it here, since it's for the prologue of this fic! The whole thing has passed 40k words, it's by extremely far the longest thing i've ever written and honestly? That good good art is what made it happen)
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hell-of-angel · 9 months ago
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Il y avait encore tant à vivre avant la fin, avant les départs précipités, les larmes incontrôlées et les cœurs serrés.
Mais elle le savait, il y aurait ces départs, ces larmes, et son cœur cabossé. C'était inévitable. Elle avait juste appris à voir venir la fin, de plus en plus tôt. Et elle le savait, plus que n'importe qui, après les embrassades, les tendresses, les mots, après eux il y aurait le vide de nouveau.
Et tous les souvenirs heureux, tous l'amour accumulé en ces quelques mois d'hiver, n'y pourraient rien. Le vide serait là. Elle serait de nouveau incomplète malgré sa force. Le vide c'était l'absence de plénitude, et chaque fois c'était un déchirement.
Il lui faudrait, encore un fois, réapprendre à vivre sans leur présence. Elle allait redevenir orpheline, le cœur en vrac et sa vie dans son sac. Comme à chaque fois.
HOW
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maybethistime-rpg · 1 year ago
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Saturday is publicity day
Vous vous ennuyez à mourir et des idées de personnages fourmillent dans votre esprit pendant que vous peinez à vous concentrer au boulot (ou alors c’est juste moi ça :arrow:), j’ai juste la solution pour vous en tout cas ! Maybe this time, un forum city à New York, tout ce qu’il pourrait y avoir de plus basique, sauf que :
Vous pouvez rp sans limite de mots, quand vous voulez, comme vous voulez
Vous avez trois timelines pour plus de fun & de liens si le coeur vous en dit 
La fiche de présentation s’adapte à vous avec 0 parties remplissage, que des trucs utiles et un outil pour remplir le code à votre place !
Il y a une partie invité améliorée pour prendre la temperature, présenter vos idées en vracs et combler les trous avec les autres membres pour une meilleure inté
Les lieux du forums ont une histoire évolutive comme les quartiers dans les Sims 2 
Un forum crée avec les neurodivergences en tête et dans une démarche accessible.
Si vous voulez en savoir plus n’hésitez pas à poser des questions dans la partie invité !
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claudehenrion · 10 months ago
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Ratages, actes manqués et coups pour rien en vrac …
Pour un raté, c'est un raté ! L'occasion, pourtant, était belle : ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de remplacer une technocrate de Gauche par un technocrate... de Gauche mais prêt à se parer de plumes qui voudraient le faire passer pour 'un technocrate de Droite (... si seulement cette dernière espèce était connue comme pouvant exister... Un ''techno'' de Droite ne pourrait être, si l'espèce était possible, qu'un ''techno'' de Gauche qui se dit à Droite... le temps d'une nomination à Matignon !).
On se demande comment nos irresponsables promus à des postes trop grands pour leur petitesse peuvent aussi peu apprendre de leurs échecs ! C'est le mot ''pitoyable'' qui s'impose, car à chaque fois, c'est la même absence totale d'intelligence (au sens étymologique du mot : ''inter legere'' = lire entre les lignes !) qui nous est ressortie comme justification de ces mauvaises actions et même comme ultima ratio (qui voulait dire ''force'' en latin mais est désormais équivalent de faiblesse et de suivisme). Si j'étais provocateur –ce qui n'est pas du tout mon genre, les lecteurs de ce Blog le savent bien !-- je dirais qu'il est difficile d'accumuler plus d'insultes au bon sens... Et encore, au moment où j'écris ces mots, tout n'est pas encore dit, et de nouvelles aberrations peuvent encore surgir dans ce non-dit qui... ne devrait pas être poursuivi, quoi qu'il en coûte (''Couac il en coûte'', répète l'écho, de radio en radio !).
D'abord et avant tout, cette bêtise chronique (tellement dans l'air du temps !) qui consiste à nommer la moitié (pile ! Pas à un ou deux près, non : ce serait gravement insulter la connerie ambiante : ce doit être ''à la virgule près'', si on peut dire !) des ministricules qui devraient être en charge de notre présent, de notre futur et de notre destin, non pas au vu de leurs mérites ou de leur expérience, mais parce que ce sont des femmes... qui, choisies sur ce seul critère, resteront anonymes à vie. Où nos cuistres ont-ils été dégoter une telle c… stupidité et un tel mépris, à la fois pour les femmes et pour la mission-à-accomplir ? ''Je te nomme Ministre de ceci ou cela (peu importe : les nuls, c'est interchangeable !) au nom d'une égalité exclusivement numérique entre les sexes, pas du tout parce que tu es intelligente, expérimentée, capable, sage ou judicieuse''. C'est atroce ! Il faut être ''de Gauche'' pour oser affirmer publiquement un tel mépris de l'individu !
Ensuite, cette autre bêtise, mélange d'abus de pouvoirs et de népotisme corrupteur, qui consiste à ne se recruter que ''entre soi'' : en Macronie, les ministrables sont tous bâtis sur le même modèle d'adolescents prolongés, maigriouches (on disait, en d'autres temps, des ''mistourinets''), trop serrés dans des pantalons trop serrés aussi, sous la même coiffure, et depuis peu avec une tendance aux rouflaquettes, signe d'appartenance aussi inesthétique que manquant de classe : ils ont beau faire et dire, cintrés dans leurs petits costumes de cachemire à des prix indéfendables et arborant sans le moindre chic leurs petites cravates unies de présentateurs-télé, ils n'arrivent pas à faire autre chose que ''cheap'' (= bas de gamme) : n'est pas le Duc d'Edimbourg qui veut, et comme le rappelle un proverbe britannique, ''It takes three generations to make a grntleman'' (Devenir un ''gentleman'' prend 3 générations).
Ils sont tous parisiens, sortis des mêmes lycées –privés pour la plupart : on est républicain et laïc... ou on ne l'est pas, dit même une néo-ministre ! Et, vrai ou faux, il se disent ''sorti du peuple'' : le snobisme de la fausse basse extraction est un must, chez ces gens là, Madame !). Ils ont fait les mêmes études (Science Pipeau pour les moins atteints, l'ENA pour les plus nocifs, et même Polytechnique, quand d'autres petits marquis, poudrés et manucurés aussi, ont refusé la nomination de Catherine Vautrin à Matignon). Ils emploient les mêmes mots pour enfiler les mêmes clichés, les mêmes truismes, les mêmes lieux communs, les mêmes ''non-dits'', les mêmes concepts foireux (exemple : l'absurde ''les territoires'' pour désigner... ce qui ne vaut pas la peine de l'être, à leurs yeux), les mêmes solutions foireuses, puisque puisées à Gauche et qui n'ont donc, de notoriété publique, jamais marché nulle part... et les mêmes mensonges sur les vrais problèmes (covid, réchauffement dû à l'homme, voitures électriques, immigration, sécurité, islam, délinquance, etc... : la liste est connue, de leurs dénis de toute réalité !)... Et le plus rigolo de cette farce carnavalesque est que la ''surprise du Chef'' (et du jour), Rachida Dati, trouve parfaitement sa place dans cette course au mimétisme morpho-dimensionnel et homochrome..., son joli minois en prime.
Le seul avantage de ce lamentable état de fait (qui est aussi étriqué que leurs petits bustes sans épaisseur de pauvres petits premiers de la classe, et aussi mince que les petites guibolles de ces éternels puceaux en tout, qui n'ont jamais eu le temps de faire du sport ou de courir après des filles de leur âge), c'est qu'ils se comprennent entre eux (ils sont bien les seuls !)... encore que, le temps passant, on soit en droit de se demander si ce petit avantage ne cacherait pas d'immenses catastrophes potentielles : entre eux et les gens normaux, l'incommunicabilité est de définition ET de construction, ce qui explique d'ailleurs la profondeur du gouffre qui les sépare du reste de l'humanité, qui a droit à leur mépris et à une haine inexpiable qui va les vouer à toutes les tortures et ponctions, gabelles, dîmes et corvées dont est capable notre administration anthropophage... Mais, que voulez-vous, il se dit à voix ''bass'' que le Boss aime avoir des ''biss'' autour de lui, par ''buss'' entiers...
Politiquement, et à n'en juger que par l'absence catastrophique de résultats ''allant dans le bon sens'', tout ce que l'on voit, lit, perçoit et entend tendrait à démontrer qu'ils se foutent comme d'une guigne de la Nation, de son Histoire, de son ''avoir été'' et de son devenir : ils sont engagés dans un sprint échevelé --bien que ''toujours bien coiffés'', sans qu'un seul des petits poils hésitants de leur virilité immature (faute de temps, d'occasions, voire d'envies !) ne dépasse--, vers l'unique horizon d'un dystopique ''gouvernement mondial'' qui écraserait les pays, les romans nationaux, les langues, les accents, les us et les coutumes, au profit d'un affreux et inesthétique boulgi-boulga qu'ils croient être de l'anglais (dans une version ''aéroports internationaux'' et ''palaces normalisés de Dubaï ou Davos'' dans le style Hyatt, Westin ou Four Seasons...).
Et c'est là que tout se corse : pour assurer, le plus vite possible, le triomphe de leur idéologie garantie mortelle pour l'humanité, ce rêve pourri (qui est le cauchemar des autres humains !) d'une ''mondialisation heureuse'' (sous-entendu : ''pour eux seuls'' !), quel chemin pourrait être plus rapide que celui qui implique (via des Clubs fermés, des Sociétés secrètes, des Fraternités tapies et des Fondations tournées vers leur seul nombril – ''J'ai les noms !'', aurait ajouté Coluche !) leur maintien ininterrompu au Pouvoir ? Aucun, bien évidemment... d'où qu'ils aient inventé des concepts aussi avariés que ceux de ''Fake news'', ''conspirationniste'', ''complotiste'', ou ''d'extrême droitisme présupposé par système''… et pondu des lois aussi pernicieuses, aussi liberticides, et aussi vicelardes que celles qui vont contre tout ce qui pourrait être souhaité par leurs victimes !
Leur définition secrète de ''complotiste'', m'a glissé récemment dans le creux de l'oreille un membre éminent des ''milieux généralement bien informés'' --ça aussi, c'est du Coluche !-- , est : ''ce que je n'aime pas qu'on dise ou qu'on pense''. Et la seule action positive dont ils sont capables, c'est la chasse au Rassemblement national ! Nous sommes partis de l'échec à venir de ce gouvernement ''Macron IV ou V'' (car, si j'ai bien compris, il n'a quasiment rien d'Attal... sauf peut-être de ''passer ses journées'' au Quai d'Orsay, si j'ose,... mais ce n'est même pas sûr !)... et notre conclusion reprendra le même sujet : quand un soi-disant ''gouvernement'' n'a pour seule feuille de route que ''emmerder Bardella''... on comprend ce qu'il faut en attendre... Les français l'ont tout de suite compris. Seule inconnue : ''c'est quand, que ce joujou s'effondre ?''.
H-Cl.
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kabbal · 2 years ago
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10, 24, 32 si t'y as pas déjà répondu !! ✨
10. How do you decide what to write?
Si je sens que personne n'a exploré un certain angle, je vais me caler dans l'interstice comme une araignée qui cherche un bon endroit pour poser sa toile. Je suis aussi très sensible à ce que j'ai regardé plus ou moins récemment, d'où des fics comme ma dernière sur le film Donjons & Dragons que j'ai commencée directement après être rentrée de ma séance.
24. Are there any easter eggs in [insert fic], and if so, what are they?
Bon puisque tu me donnes pas de fic précise j'ai été un peu fouiller dans ma fic la plus remplie de refs, Hypothèses d'Hyménée. En vrac:
l'idée de la métaphore des rivières pour parler d'univers alternatifs vient d'une fic Fairy Tail que j'avais lue quand j'étais bien plus jeune. Mate la référence niche (je suis la niche, ouaf ouaf)
Le ton général de la fic, lui, est inspiré d'une fic Harry Potter qui bâtissait une cathédrale de Headcanons sur la famille Malefoy
"il est universellement reconnu qu’un roi pourvu d’une épée magique doit avoir envie de se marier." est bien entendu une référence à Austen et son pride & prejudice
le genrage au féminin du mot trirème est une référence au fait qu'Astier, parfois, il est plutôt approximatif dans ses recherches
la phrase "il savait déjà ce que la tradition prévoyait en cas d’arrivée intempestive de jeune élu élevé au plus haut rang par distribution d’épée magique et autres étranges cadeaux de dames habitant les lacs." cache une référence aux Monty Pythons et leurs "strange ladies laying in ponds"
dans la liste des amant.e.s de Muirenn et Arthur, on trouve quelques personnages de la série comme Démétra, Aelis et Vénec, mais également d'autres personnages du canon Arthurien, à savoir Iseut (de Tristan et Iseut) Palamède (également de Tristan et Iseut) et Erec (pas de Tristan et Iseut, mais d'Erec et Enide, que j'ai dû lire l'an dernier pour mon cours d'ancien français)
la nièce de Galessin, Oswyn, me vient de ma chère amie @kaantt
la phrase "Elle se fit traduire la proposition de Lancelot, but son vin, mangea sa viande, puis rentra donner son rapport à son seigneur, un chef mercenaire prometteur que l’on appelait Horsa." est un écho d'une phrase un peu similaire d'un des points de vue de Daenerys dans le premier tome de la saga du Trône de Fer.
la phrase "(on) bouta les Saxons hors de Bretagne" est une référence à Jeanne d'Arc qui bouta les (Anglo)-Saxons hors de france
le personnage d'Aetia est partiellement inspiré d'Aliénor d'Aquitaine
« Je l’ai mérité, moi qui ai fait confiance ! » est une citation directe de la fable d'Esope Le Laboureur et le Serpent
voilà un paquet de références conscientes, y a en sans doute d'autres dont je me rend pas compte de l'inspiration
32. What’s your ideal fic length to read?
Entre 3k et 12k je dirais, à la louche. assez court pour le lire d'une traite, assez long pour bien rentrer dans le gras des choses.
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wengenn · 1 year ago
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Bonjour bonsoir, en termes d'introduction je vous propose ces quelques mots :)
Je suis euuuuh française, mais assez à l'aise avec l'anglais aussi et du coup je mélange souvent les deux. Je suis multifandom ! Mais genre pas multi "multi", multi "multi" 24 carats avec du caviar et un parfum de lavande très cher. Pour ne citer que les principaux (stable, eux) : House md, Kaamelott et Harry Potter (lupin>all btw). Mais vous me verrez poster à propos de plein d'autres trucs ! (normalement)
J'ai une tendance à avoir des hyperfixations un peu n'importe quand et pour n'importe quoi, ce qui explique certainement le chaos que représente ce blog et la familiarité que je ressens sur tumblr '-'
En parlant de poster ! Quand ça me chante. J'avais prévu de poster mes dessins et autres fanfics ici aussi, mais peur du jugement vite fait ? Je le ferais peut être un jour. Pour l'instant c'est juste des trucs en vrac. Haha :)
Ah et j'aime beaucoup la musique ! je chante, aussi.
En espérant que quelqu'un y trouve son bonheur, bon voyage ! :)
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monsieurhadrien · 2 years ago
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🫶 tout est en vrac, j'ai pas fait d'efforts . . Vous pouvez me soutenir en commandant mes illustrations faussement poétiques sur crottinsverbaux.com . . . . #crottinsverbaux #aphorisme #auteur #ecrivain #ecrire #ecriture #texte #instapoet #illustration #inspiration #poeme #art #parlerfrançais #poésie #penseepositive #poete #phrasedujour #philosophie #phrase #pensee #proverbe #penseedujour #dessin #littérature #livre #mots #concept #citationdujour #citation #citationfrançaise https://www.instagram.com/p/CmR0tUzI7ak/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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motsenvractmblr · 4 months ago
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July 23.
"I'll forever gaze into my mirror with a fervent blend of love, adoration, and irresistible desire, never seeing it the same way again."
-mots en vrac-
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ft-slk-blog · 2 months ago
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https://www.fanfiction.net/s/14399227/1/39
NOTE DE L'AUTEUR : premier vrai BKDK que j'écris et qu'est ce que s'était un réel plaisir. Bon, un hurt/comfort sans doute bancale mais je suis beaucoup trop fière de l'avoir terminer (genre une nuit d'insomnie de pure labeur) avec presque 3000 mots où j'explore le point de vue d'Izuku dans un plus où loins long OS.
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RÉSUMÉ : Izuku Midorya qui se réveille avec l'impression de ne plus jamais pouvoir affronter le monde.
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Izuku Midoriya se réveilla à la voix de son héros préféré. Un son qui, d'ordinaire, lui était fort agréable et qui suffisait à le motiver pour se lever et affronter la journée de cours auquel il se devait d'assister.
Mais pas aujourd'hui.
Aujourd'hui, les encouragements qu'All Might, lancer à travers le haut-parleur de son téléphone, ne lui procurait rien de plus qu'une migraine fatiguée, mais surtout l'envie de se terrer sous sa couette, et ne plus jamais en ressortir pour le reste de la journée après avoir, au préalable, pété son portable contre le mur pour pouvoir faire taire une bonne fois pour toutes les paroles répétitif de son mentor.
Résigné, pourtant, de devoir se rendre en classe, affronter une journée chargée, fatigué d'avance devant les montagnes de choses qui lui semblaient impossible à terminer entre, et les entraînements, et les devoirs, et les confrontations sociales, Izuku chercha à tâtant l'objet de ses malheurs et mis fin aux supplices qu'il lui procurait. Il ne put, cependant, empêcher une once de culpabilité de le faire se tasser encore plus sous sa couette face à cette pensée.
C'est vrai quoi, après tout Izuku était un apprenti héros ! Rêve qu'il chérissait depuis sa plus tendre enfance, et qu'il s'appliquait à réaliser de jour en jour. En plus, All Might lui a offert cette chance, celle que l'on ne reçoit qu'une seule fois dans une vie. Il lui avait offert la possibilité de poursuivre ce qu'il a toujours voulu accomplir : venir en aide aux autres, avec le sourire, celui de l'espoir, de la sécurité, et quelque part, de la satisfaction d'avoir accompli quelque chose de beaucoup plus grand que soit. All Might lui a ouvert les portes, en grand, très grand même, vers un avenir qui lui semblait jusqu'alors inaccessible, alors bien sûr qu'il méritait de la part d'Izuku bien plus que des remarques peut flatteuses d'un putain d'adolescent en pleine crise existentielle et qui n'avait même pas les jugeotes pour se lever de son lit ! Qu'il pouvait être pathétique, bon sang !
Izuku sursauta et se rendit vite compte qu'il rêvassait depuis un petit bout de temps lorsqu'il entendit une deuxième vague d'encouragement de la part d'All Might. À nouveau, il cliqua sur une touche de l'écran de son téléphone pour éteindre le réveil, et décida cette fois de se lever pour de bons. Bien que maussade et sans grande conviction, il rejeta sa couette sur le côté, se leva puis pris la direction de la salle de bain d'un pas mécanique.
«. Putain de nerd, regarde où tu mets tes putain de pieds ! »
C'était sur, Izuku allait définitivement finir raide mort par une crise cardiaque avant que la journée n'avait réellement pu commencer et il n'aurait même pas encore pris sa dose de caféine ! Saloperie ! Son regard encore embrouillé de sommeil croisa son mal celui carmin de ce qu'il reconnue être son ami d'enfance, expression du visage déformé, même d'aussi bon matin, par ses sourcils froncé d'une moue réprobatrice. Izuku, toujours l'esprit en vrac mis un temps considérable à remettre véritablement ses idées en place, le visage grimaçant, prêt à s'excuser.
Seulement, Katchan le scruta durant le temps d'un flottement qu'Izuku eu à peine conscience d'avoir provoqué, comme à la recherche d'une quelconque faille, un plie soucieux entre ses sourcils blondes à peine perceptible. Plie qui d'ordinaire était visible pour Izuku qui le connaissait si bien, mais qui, cette fois-là, lui passait loin au dessus de la tête. Katchan ne laissa donc pas le temps à Izuku, de toute façon trop perdu, à dix mille lieux du lycée, de prononcer quoi que ce soit pour reprendre son chemin dans un « tchk ! » un brins agacer et de disparaitre d'un pas moins colérique que d'habitude, mais colérique quand même, au détour d'un couloir.
Izuku semblait presque soulager de le voir s'en aller, mais plus soucieux de son futur retard s'il ne se dépêchai pas plus vite à se préparer, il continua sa traversée jusqu'à la salle d'eau commune et accueilli avec grâce de ne plus avoir à tombé sur l'un de ses camarades de classe, peu enclin pour l'instant de s'encombrer d'une autre présence quelquonque. Presque soulager, donc, puisque maintenant il subsistait en lui cette sensation d'inachevé, comme s'il avait oublié un détail super important. Il y pensera plus tard. Izuku acciona le robinet et un jets dos glacer le menaça assez vite de claquer des dents.
******
« Ochaco ! Je... Pardon ! Je ne voulais pas... Est ce que tu a mal ? Il faut te ramener à Recovery Girls ! Je suis vraiment désolé, je... Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. J'étai- »
« C'est bon, Midoryia, ça ne sert à rien de paniquer, on va l'emmener à l'infirmerie. Toi, tu n'as rien ? »
« Non... Mais- »
« T'occupes. Ida, Todoroki, vous vous occupez d'Uraraka. Je vous rejoins. »
« Oui professeur ! »
Penaud, Izuku regarda ses amis traversée le terrain d'entrainement jusqu'à rejoindre l'enceinte du bâtiment, Ochaco lui lançant à la volée un sourire qui se voulait réconfortant. Mais il eux tout l'effet inverse. Izuku s'en voulu que d'avantage d'avoir pue blesser son amie, de manière aussi stupide qui plus est. La culpabilité s'enfonça dans son estomac jusqu'à le faire déglutir, ramenant par automatisme son doigt à la bouche pour en ronger les ongles, la tête baissée.
« Midoryia. »
Izuku avait, de façon pitoyable, perdu le contrôle sur son alter, donnant ainsi par inadvertance une raclée de renom à son amie au pouvoir de gravité, son revêtement intégral à un pourcentage supérieur à ce que le jeune apprentie avait l'habite d'encaisser. Il l'avait envoyé s'encastrer violement  contre un bâtiment en ruine alors qu'ils s'affrontaient pour un exercice où il jouait le vilain à attraper et elle le héros. Ça avait trop vite déraper avant qu'Izuku ne prenne réellement conscience de la situation, l'esprit encore sous le choc qui parvenait difficilement atteindre son cerveaux qui avait, lui, décidé de dysfonctionné comme de la bouillie de merde.
Et quelle merde, bon sang ! Il était trop dans les nuages, trop à côté de la plaque, trop dans sa tête et pas suffisamment ancré dans le bas monde qui semblait n'attendre que ça de lui, qu'il revienne ! Mais aujourd'hui, plus que les autres jours il était complètement déglingué. À l'ouest. Et Ochaco était envoyé à l'infirmerie pour une raison aussi stupide. Foutrement stupide en plus !
« Midoryia ! »
Izuku finit par percevoir la voix rauque de son professeur monter à peine plus haut qu'à l'accoutumée. Quand il le vit enfin, il fut frapper par le regard perçant que l'adulte lui lançait, le clouant dans une appréhension qui le paralysa sur place. L'adulte le détailla un instant, semblant étudier la meilleure démarche à suivre pour sans aucun doute le sanctionné, et c'est lorsqu'il lâcha un soupir résigné qu'Izuku remarqua vraiment le léger éclat d'inquiétude dans ses yeux cerné et injecté de sang dû au manque de sommeil. Bien que tout de même pris par la surprise, - enfin... son professeur devait probablement s'inquiéter pour sa camarade de classe envoyé à l'infirmerie - Izuku resta silencieux, peu soucieux d'aggraver encore plus son cas, puisqu'il lui était certain que toute cette situation n'allait pas finir classé sans suite.
« Rappels toi que tu te trouve en filière héroïque. C'est tout à fait normal de finir envoyé à l'infirmerie. Je ne dis pas que le fait que tu perde le contrôle de ton alter soit une bonne choses, mais je compte sur toi pour te surpasser la prochaine fois et en tirer une leçon. »
« Mais, professeur Aizawa, je- »
« À moins que tu ne veuille réellement que je décide de te sanctionné par un renvoie temporaire, auquel cas je devrais faire de même avec tout tes autres camarades de classe puisque, de toute évidence, le risque zéro à un entraînement de futurs héros n'existe pas, je vais te laissé méditer et réfléchir aux points que tu dois améliorer pour progresser dans ton apprentissage. »
Sous le regard aiguiser et le ton sans appel que lui adressa son professeur principal, bien qu'éternellement une lichette mornes, Izuku, se sentant déjà mieux, ce poids dans son estomac toujours foutrement présent, il ocha frénétiquement la tête, le message étant passé. Il ne voulait surtout pas provoquer un renvoie, bien que temporaire, général de la classe. Son estomac se noua rien qu'à cette pensée
« Bien. »
*********
Izuku ne comprenait vraiment pas pourquoi il se sentait maussade, de mauvaise humeur, peu propice à des activités qui, d'ordinaire, lui faisait du bien. À peine il s'était senti fébrile d'excitation à l'annonce d'un nouveau documentaire sur All Might et sa récente retraire qui revenait sur les évènements de Kamino. Si ce n'était pas pue la merde ça ! Il avait juste une envie, à lui faire peur, de ne rien faire, de rester allongée sur son lit et contempler de toutes les façons possibles, et inimaginable, le plafond de sa chambre. Une activité fort contre productif et qui le ralentissait considérablement de son objectif. Mais il n'arrivait juste pas à faire autrement, de quoi le laisser totalement agacer envers sa propre personne. Une boule de ressentiment inexplicable s'était installé dans le fond de sa forge et lui faisait rageusement picoter le coin des yeux. Sérieux ! Il se sentait juste trop minable de ne rien faire, de rester là, d'être autant... Autant dans un putain de mauvais jour.
Un contrecoup de tout ce travail acharné, sûrement, à rester éveillé jusqu'à pas d'heure pour se faire engueuler par Katchan parce qu'il n'était pas foutue de terminer ses devoirs plus rapidement, à s'entraîner comme un fou furieux pour rattraper l'écart qui le maintenait aussi éloigner de ses autres camarades de classe, ayant chacun un alter qu'ils avaient su maîtriser depuis bien longtemps avant lui, à supporter le poids des responsabilités qu'être le porteur, l'héritier du One For All impliquait, les enjeux et les dangers allant avec, surtout depuis que le symbole de la paix avait déposé sa retraite, à toujours, toujours, toujours, toujours encore, faire en sorte de mettre à bien ses principes de futur héros, être disponible pour aider ses camarades, son entourage, les aider à avancer, à faire mieux, à toujours aller plus loin...
Il était pathétique, vraiment. Izuku se sentait faible, démuni, de ne pas pouvoir continuer et poursuivre ce qui lui avait toujours sembler simple à faire. Ça devrait être une putain de routine ! Une habitude d'une simplicité presque insultante. Il se devait d'être meilleur, de braver les limites, parce qu'il était élèves à UA quoi !  Toujours Plus Ultra ! Alors pourquoi ? Pourquoi, aujourd'hui, il n'arrivait tout simplement pas à faire aussi simple que de bouger de ce foutue lit, allonger comme une larve à l'existence quasi pitoyable ? Il se sentait pitoyable. Il était terriblement pitoyable. Ça faisait peine à voir, franchement.
Et sa dérivation dans la journée face à Ochaco n'arrangeait en rien son état. Il avait clairement merder.
Toujours le regard river sur le plafond, les pensées en vrac, Izuku n'entendit pas les premiers coup contre sa porte, pas avant que celles-ci ne deviennent plus brutes, pressés. Il aurait presque pue sourire face aux martèlements caractéristique du manque de patience et de délicatesse de son amie d'enfance. Il aurait pu s'il n'était pas sur le point de fondre en larmes à nouveau. Il n'avait même pas remarqué avoir pleurer, bon sang ! Izuku s'empressa d'ailleurs d'essuyer ses joues, en espérant que sa détresse ne soit pas trop flagrante, et para rapidement un sourire avant que le blond explosif ne venait a décider qu'il prenait trop son temps pour venir l'ouvrir et ainsi lui permettre de venir lui explosé la porte à la figure, auquel cas Izuku se sentirai profondément embêter.
« J'arrive, Katchan, j'arrive. »
Même sa voix manquait d'enthousiasme, constata t-il amèrement.
« Grouille toi, le nerd, j'ai pas que ça à foutre me taper la discut' avec ta putain de porte ! » maugréa Katchan, prenant visiblement son mal en patience pour ne pas avoir à en venir employer les grands moyens.
Mais Izuku ne lui donna pas ce plaisir, ouvrant la porte à la volée en lui adressant un vulgaire sourire qui devait plus se rapprocher de la grimace au vue de l'expression dubitatif de l'explosif, pas enrouler pour un sous. Bien que Katchan étant Katchan, il avait toujours cet air énervé coller au visage avec les sourcils formant une seule et même ligne. Ce qui donnait parfois un mélange assez surprenant qu'Izuku trouva irrémédiablement adorable.
« Salut- »
Le blond n'attendit pas d'être invité pour se frayer un passage entre Izuku et la porte, connaissant de toute façon le chemin à prendre pour qu'il vienne demander de l'aide. Izuku se sentit au passage être tirer dans sa chambre par la taille, une main chaude de Katchan le tenant fermement pour qu'il ne puisse pas tomber, le faisant lacher un  minuscule cri de surprise qui lui traversa la trachée alors que la porte claqua derrière lui. Il sentit, pas la ensuite, son corps se faire jeter puis rebondir sur le lit dans un bruit étouffer de frottement de tissu, où il faillit avaler sa salive de travers.  Le corps plus chaud de Katchan l'enlaça  rapidement dans une étreinte aussi tendre que le blond en était capable, après que ce dernier vienne au préalable posé une assiette sur son bureau, sans doute de quoi le nourrir puisque Izuku n'avait pas sentit la force de dîner avec le reste de sa classe en revenant des cours, s'était directement diriger dans sa chambre pour broyé du noir.
Katchan coinça la tête d'Izuku dans le creux de son cou où le parfum de caramel brûlé et de gel douche au citron le frappa, et où des mèches blondes venaient lui chatouiller doucement le nez.
« Oh ! »
Il se passa quelques secondes durant lequel seul leurs respiration gouvernaient sur le silence de la quiétude que sa chambre leur offrait. Izuku ne l'avait pas remarqué, trop longtemps plonger dans sa propre tête pour y faire réellement attention, mais la pénombre avait gagné dans la pièce, ne laissant que les quelques lampadaires au dehors du dortoir et la lune pour les éclairé, alors même que la nuit remplaçait le jour. Il lâcha un long soupire, les yeux fermés, afin de savourer cette proximité fort en réconfort que Katchan lui offrait dans son étreinte. Il se sentait peut à peut apaiser, presque débarrassé de pensées parasites, retirant le voile qui semblait lui avoir obscurcit les sens toute la journée durant. Ce fut la voix un brins rauque de Katchan au dessus de sa tête, le museau sans doute enfouis dans sa chevelure sapin, qui venait troublé ce silence, arrachant à la volée quelques frissons à sa colonne vertébrale.
« Je te connais, sale nerd. » la voix de Katchan s'éleva à peine, soucieux de préserver cette bulle de tranquilité qui les enveloppait.
C'était sans doute vrais. Ils se connaissaient tout les deux depuis bien trop longtemps, chacun beaucoup trop présent dans la vie de l'autre pour que ce ne soit pas le cas. Et si Izuku savait déchiffrer chaques mimiques de ce visage brute, souvent déformer par les tiques nerveux, s'était forcément aussi le cas pour le blond qui pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert.
Une pensée qui arracha à Izuku un sourire bref.
Katchan ne disait rien de plus, n'avait pas besoin d'en dire plus. Ils se comprenait mieux que quiconque, même dans les silence les plus opaque.  Izuku ocha tout simplement la tête, heureux et reconnaissant de la présence de son amoureux. Katchan n'était peut être pas le plus doué en mots de réconfort, mais il bataillait si fort pour qu'Izuku puisse le comprendre par n'importe quel geste, par n'importe quel frémissement de ses muscles, parce que son corps entier était doué de paroles, un language corporel qu'Izuku avait prit la peine d'apprendre, au gré du temps. Et Izuku percevait ainsi tout les signes d'amour, d'affection que le blond avait à son égard, beaucoup plus parlant que n'importe quel  autre mots sur terre.
Un « Je suis putain de là aujourd'hui où tu te retrouve au plus bas, et je serai encore là lorsque le putain de bonheur te fera crever comme l'imbécile heureux que tu es. » communicatifs qui résonnait dans ce silence qui les entourait.
S'était peut être une mauvaise journée, comme il y en aura plein d'autres, un putain de jour sans, mais ce n'était pas grave, ils étaient maintenant deux pour l'affronter et toujours avancer. Et tant qu'ils seront ensemble, alors Izuku, même durant les moments de doutes, trouvera la force auprès de son univers, de son Katchan, pour se relever.
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andrewrossiter1 · 2 months ago
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Quel patrimoine protestant ! ou ?
Quel patrimoine protestant ! ou ? Prédication par Andrew Rossiter à Clairac le 22 septembre 2024. Romains 1.8-17, Luc 19.1-10
Le thème cette année des journées du patrimoine est: «Patrimoine des itinéraires, des réseaux et des connexions».
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Quel itinéraire depuis la Réforme! Même si en France nous nous comptons pas plus que 3 million de protestants, dans le monde entier un tiers des chrétiens est protestant, quelque 900 million de personnes. Bien entendu il y a protestant et… protestant.
Nous sommes là aujourd’hui: héritiers d’un renouveau religieux, de la centralité de la Bible et de la conviction que la spiritualité est à la portée de tous et non une affaire des experts: des prêtres, des conciles, des institutions et de la tradition. Hélas il y a aussi un côté négatif que représentent les conséquences de cette remise en question et de cette liberté spirituelle. L’histoire de la France est marquée par les guerres de religions, toutes les violences humaines qui témoignent peu d’un renouveau évangélique. «Pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient», dit un proverbe africain. Nous ne sommes pas là par hasard. Nos itinéraires nous ont conduits sur un chemin de la foi qui n’a pas commencé avec la Réforme mais qui est bien plus ancien, qui trouvent ses racines dans les textes bibliques.
Les grandes affirmations de la Réforme se résume en ces slogans: par la grâce SEULE, par la foi SEULE, par l’Écriture SEULE, À Dieu SEUL la gloire ! En ajoutant: le sacerdoce universel, le témoignage intérieur du Saint-Esprit et bien entendu l’Église toujours à se reformer. Ce qui va constituer notre programme pour l’année prochaine pendant le temps de Carême.
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Alors un peu «en vrac» l’histoire de la Réforme. Voilà que Martin Luther sort de son monastère et se marie, il traduit la Bible en langue vernaculaire, pour qu’elle soit accessible à tous. Voilà qu’il propose de célébrer un culte dans la langue de tous, rejetant ainsi le latin comme langue exclusive, il abolit la frontière entre les clercs et les laïcs. Il y a aussi cette «invention» en quelque sorte, du ministère pastoral, avec ce prédicateur de l’Évangile formé dans une université, faisant ainsi un «vrai» métier, au même titre que «forgeron ou savetier», pour reprendre les mots mêmes de Luther. Avec la réformation, la frontière entre l’espace profane et l’espace sacré disparaît. Avec cette idée de sacerdoce universel, l’espace profane n’est plus séparé de l’espace ecclésial, ainsi que le montre l’architecture de nos temples. Avec la Réformation, c’est l’ordinaire du quotidien qui devient le lieu où Dieu se révèle. Au fond, c’est en nous, là où nous sommes, que se vit la foi. Pas seulement la foi, mais aussi la réflexion théologique qui va avec, qui permet à chacun de devenir quelqu’un de responsable, autrement dit, quelqu’un capable de donner sa réponse, dans sa vie personnelle, en famille, sur le plan inter-générationnel, par l’éducation, mais aussi dans la société, en politique, en église.
C’est cela que nous essayons d’expliquer avec nos mots et nos hésitations devant les visiteurs d’été qui entrent dans nos temples, et surtout ces catholiques qui nous disent plus proche des idées du protestantisme. Nous essayons de ne pas être trop fiers de notre héritage et de notre patrimoine. Mais un peu tout de même!
Les textes de la Bible nous invitent à découvrir sans relâche que nous sommes appelés à vivre dans la reconnaissance de la grâce seule de Dieu, que nous sommes invités à faire sans cesse œuvre de discernement, par les études régulières de la Bible, et d’être témoin d’une parole libératrice, qui nous a remis en route, à un moment donné de notre vie. Par la suite nous partageons avec d’autres, par nos paroles et nos actes, ce que nous avons reçu, compris, expérimenté.
Cet itinéraire est celui de Zachée. Zachée est juif, comme son nom indique, qui veut dire «celui qui est pur», mais sa vie est en contradiction avec l’étymologie de son nom. Il est décrit comme un homme malhonnête, qui collabore avec l’occupant et profite personnellement de sa position. Il est un important chef parmi les collecteurs d’impôts. Nous pouvons le décrire comme un escroc et un racketteur. Et la nature l’a fait petit. C’est pour cela, rusé comme il est, il se cache dans un arbre.
Peine perdue, Jésus le voit. Et l’Évangile nous raconte comme, encore un fois, comment Dieu vient à notre rencontre, que nous le cherchions ou non. Nous croyons chercher Dieu, nous voulons monter vers lui, alors que c’est lui qui ne cesse de nous chercher et qui nous trouve dans le regard du Christ, posé sur chacun et chacune de nous. Un regard qui interpelle: «Zachée, descends vite: il me faut aujourd’hui demeurer dans ta maison». Et ce regard ne se pose pas sur la surface mais scrute en profondeur qui nous sommes. Le regard de Jésus voit en Zachée, non pas un impur, un exclu ou un petit, mais un homme joyeux, spontané et beau. Zachée descend vite et accueille Jésus dans sa maison.
Sans que Jésus dit quoi que se soit, Zachée déclare, «Eh bien! Seigneur, je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens et, si j’ai fait tort à quelqu’un, je lui rends le quadruple». Ce nouveau programme de vie ouvre devant Zachée une nouvelle identité. Il est ré-intégré dans la famille de Dieu, il trouve un itinéraire qui le connecte avec sa communauté religieuse.
Envolée la peur d’être jugé.
Envolés la séparation et isolement sociaux.
Envolé l’enferment du jugement des autres.
Envolée la peur du regard des autres.
Zachée et toute sa maison, tous ses siens, ne sont plus enfermés chez eux, ne sont plus prisonniers de ce regard qui tue. Dieu pose sur nous tous le regard de sa grâce et de son amour.
Le patrimoine que avons-à partager en ces deux jours est une espérance à laquelle les évangiles nous appellent. «Cette espérance est fondée sur le Christ, c’est-à-dire le oui sans réserve que Dieu adresse à l’humanité», écrivait Raphaël Picon.
Alors pourquoi l’être humain continue à mettre des conditions à cet amour inconditionnel? Pourquoi continuons-nous d’enfermer des gens dans la peur de l’autre et de la peur de Dieu?
Peut-être parce que cet amour inconditionnel, lui-même fait peur. «Que la grâce! Ce n’est pas possible» nous a dit un catholique dans le groupe de Penne d’Agenais. «Il y a surement quelque chose qu’il faut faire, tout de même!» Bien souvent les drames et les existences brisées, les violences et les injustices nous empêchent de vivre la rencontre avec le Dieu de Jésus-Christ. Ce Dieu vient vers nous pour nous dire que la vie ne se réduit pas à nos échecs, mais qu’elle s’ouvre par une parole libératrice qui scrute en profondeur et perçoit une possibilité insoupçonnée, une envie oubliée, un «toujours possible» afin d’être conduit vers le meilleur de nous-mêmes.
C’est peut-être cela notre Église qui se réforme sans cesse et qui est toujours en devenir. Elle existe uniquement si toutes les personnes qui la composent ne s’arrêtent jamais à réfléchir, à questionner, à espérer, à croire, et surtout à aimer. Elle existe si nous continuons sur notre itinéraire de foi et de confiance en Dieu. 
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darkpalmor · 3 months ago
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4 SEPTEMBRE 2024
Programme de rentrée et de petits morceaux.
1°) Improvisation sur thème imposé (5 minutes, 5 lignes) : Un mot riche de sens pour l’inspiration. Le verbe « secouer ».
Quand on secouera les cocotiers, il faudra surveiller ce qui en tombe : un coquin, une coquine, un coco, ça va encore. Si c’est un singe, attention : ça mord et ça griffe. Si c’est un ancêtre mal accroché, il faudra lui creuser un lit de repos éternel dans le sable de la plage.
2°) Démarreur (10 minutes) : 6 mots pour une histoire de haine. « Il la haïssait, cette vieille vache. » On partira de cette phrase (début du roman Dissimulation de preuves, de Donna Leon, 2004) pour raconter une histoire pleine de méchanceté, qui se finira de façon brusque.
Il la haïssait, cette vieille vache. Depuis le temps qu’elle donnait plus de coups de pieds que de bidons de lait, qu’elle traînait le long des chemins en semant exprès ses bouses sur les zones encore propres de la route départementale, il avait envie de s’en débarrasser. Mais voilà, elle lui faisait un veau par an, et quel veau ! Un mâle chaque fois, un qui attire les primes, un de ceux que les bouchers s’arrachent, un que les voisins envient et réclament pour en faire un géniteur de leurs génisses de merde… Alors il lui criait dessus sans cesse, lui refilait un coup de trique sur les jarrets pour la faire avancer, la menaçait de l’équarrisseur… Le jour où il eut son petit AVC et qu’il se trouva allongé sur la litière alors qu’il s’apprêtait à lui adapter les trayons de la machine, elle se coucha bien tranquillement sur lui, de tout son poids, ses cinq cents kilos se relevèrent un quart d’heure plus tard, et elle attendit la suite des événements.
Il la haïssait, cette vieille vache de professeur de musique. Des gammes, toujours les mêmes notes, tiens tes doigts comme ceci, reprends à la mesure 17, tu n’y arriveras jamais, à la semaine prochaine… Etc. Le violon, ça lui sortait par les trous de nez. Il en faisait des cauchemars, il voyait des archets partout. Et ses parents qui lui demandaient s’il avait fait des progrès ! Et son petit frère qui avait la chance de faire poney au lieu de musique ! Il allait devenir fou, il voulait tuer quelqu’un. Aussi, quand elle lui annonça fin juin que ses parents avaient fait le sacrifice de lui payer une année supplémentaire il fut incapable de se retenir, et lui brisa sur la tête une belle imitation de Stradivarius, qui avait tout de même coûté plus de deux mille euros, et il repartit, calme et soulagé. Juste après, il avait piscine. Et la monitrice était vraiment canon.
3°) États d’âme dans le placard (10-15 minutes) : L’aspirateur s’ennuie. On fera parler cet objet domestique, et il nous dira sa vie quotidienne, ses joies, ses peines…
Mes compagnons de travail m’ennuient. Le balai brosse se la joue prétentieuse, la tête au-dessus de tout le monde, bien appuyé sur son manche dans le petit seau en plastique, il nous méprise tous même quand on le ramène avec les cheveux trempés. Le balai à franges, lui, n’a aucune conversation. Toujours la tête dans le seau, il lâche des borborygmes incompréhensibles, et il pue. Quant aux trois serpillières, c’est rien que des loques effrangées, étalées en vrac sur le vieux porte-torchons qu’on a mis au rebut. Moi, je rumine. Il ne faut pas croire que, même débranché, je ne pense pas. Je rumine tout ce que le mari de madame me fait subir : et que je te cogne contre les plinthes ! Et que je te coupe le souffle sur le tapis persan ! Et que je te déroule le câble d’alimentation comme pour démarrer une tronçonneuse ! On me bourre de saloperies inimaginables et innommables. Cet abruti, la dernière fois, m’a fait aspirer une crotte de chat échappée de la litière. Je me suis senti tout visqueux et j’ai failli vomir. J’attends patiemment le court-circuit final qui me délivrera, je rêve que cet imbécile, un jour de bringue, me plonge dans la cuvette des WC. Alors là, les amis, je vous le jure, je lui promets une électrocution parfaite. Il va sentir passer les watts et les volts ! Pour moi, ce sera juste un petit flash, rapide, sans souffrance. Libre ! Enfin libre !
4°) Défragmentation (15 minutes) : Étoffer des bribes. Voici cinq extraits de petits poèmes d’un même auteur, Noël Bernard. Il s’agira de les replacer, dans l’ordre qu’on voudra, et de les étoffer en une dizaine de lignes, en construisant un discours adressé à une personne qui sera peu à peu identifiable. « … vague après vague il se brise au pied des murailles … » « … cette braise dans ton cœur enflamme une … » « … Lève les bras vers le ciel, fais pleuvoir l’eau qui … » « … détourne tes yeux de l’enfant qui … » « … livre son mystère à qui sait l’ouvrir … »
Cette braise dans ton cœur enflamme une passion qui emportera tout sur son passage, un torrent d’amour du bien et de la justice qui te donnera tout pouvoir sur le monde qui t’entoure. Comme un océan, vague après vague il se brise au pied des murailles de cet univers de violence, mais il finira par les abattre. Allez ! Lève les bras vers le ciel, fais pleuvoir l’eau qui alimentera ce flot salvateur ! Ne fais plus confiance à celui qui détourne tes yeux de l’enfant qui pleure, regarde en face les douleurs, prends pitié des souffrances, et agis ! Ouvre ton cœur, et tu verras, mon ami, toi qui jusqu’ici ne te préoccupais de rien, que l’humanité livre son mystère à qui sait l’ouvrir, et la Fraternité s’étendra sur la Terre, enfin.
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albert-prous · 5 months ago
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ACT183
portes ouvertes chez firefox surprise verres bols tasses carafes assiettes creuses bric à brac fourchettes cuillères couteaux sous coupe louche sel vanille tisane sachets serviette jaune serviette non pliée deux vieux cafards roux elle et son fil sucre en poudre thé vrac fourmis colonne montante il manque que la parole fermez les portes les rouvrir pour l'agencement des formes géométriques planes et des solides ne pas oublier la pancarte ne pas déranger copier coller demain portes ouvertes chez firefox surprise un mot pour ainsi dire prous
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unempirepourtonsourire · 9 months ago
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1er rendez-vous pour le bilan de compétence : c'est fait !
Ce qui en ressort, en vrac :
Je dit beaucoup "enfin je sais pas", et je finit toutes mes phrases en rigolant : j'arrive pas à me prendre au sérieux et à avoir confiance en ce que je dit et ce que je fait
Je dit que j'ai eu de la chance dans ma carrière (mdr le mot carrière), mais en fait au début c'était effectivement de la chance, mais ensuite c'était grâce à mes compétences
Pendant le rendez-vous j'ai beaucoup parlé de justice et d'éthique, que c'était des choses très importantes pour moi, c'est surement une piste à approfondir
Je dit que je suis OK avec mon physique, mais ma condition physique m'empêche quand même de faire pas mal de choses. Elle a dit "ça peut changer", et je crois que j'ai pas trop aimé cette remarque
J'ai beaucoup parlé de moi, j'ai un peu eu l'impression d'être chez la psy, mais j'étais en confiance, ça c'est plutôt bien passé
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