#mots de mous deux
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Costᥲ Novᥲ
Iᥣhᥲvo / Portᥙgᥲᥣ 🇵🇹
Bყ ©️LM®️
Lιbᥱ́rᥱz-voᥙs ρoᥙr ᥱᥒtrᥱvoιr ᥣᥲ vrᥲιᥱ grᥲᥒdᥱᥙr dᥱ ᥣ'Uᥒιvᥱrs. Aιmᥱz-voᥙs, fᥲιtᥱs rᥱssortιr votrᥱ soᥙrιrᥱ, sᥱᥒtᥱz-voᥙs hᥱᥙrᥱᥙx, ᥲᥴᥴᥱρtᥱz-voᥙs tᥱᥣ qᥙᥱ voᥙs ᥱ̂tᥱs, ρᥱrmᥱttᥱz-voᥙs dᥱ voᥣᥱr dᥲᥒs ᥣᥱs ᥴhosᥱs ᥣᥱs ρᥣᥙs ρᥙrᥱs dᥱ ᥣᥲ rᥱ́ᥲᥣιtᥱ́, ᥴᥲr ᥴᥱᥣᥲ voᥙs ᥲρρortᥱ ᥣᥱ boᥒhᥱᥙr !
©️LM
#mots de mous deux#je te laisserai des mots#mon coeur#nature#photographers on tumblr#nature photographer#je taime géraldine#je me souviens#je ne regrette rien#la vie est belle#pourquetumaimesencore
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Il y a un mot qui commence sérieusement à me faire rire. C’est le mot solitude. Je ne l’entends plus prononcer qu’avec gaieté. C’est un mot, si vous voulez, dont je me souviens. Parce que voilà. Quand on est jeune, je veux dire jeune par l’âge, on croit à la vie ; que la vie, les hommes, les femmes, les autres, c’est dur. C’est du dur. Et on y va bravement, sans se casser la moindre dent, en général. Mais il est bien vrai qu’on souffre. C’est agréable de souffrir, quand on quelque chose à mordre, à briser, à faire souffrir. Puis peu à peu on s’aperçoit que non, c’est faux. C’est du toc. C’est mou. La vie est molle. Les hommes, les femmes, les autres, sont mous. Dans une certaine mesure ils ont bien raison de se foutre pas mal de vous. Mais dans une autre, on n’a pas tort de s’en rendre compte et d’aller chercher ailleurs le dur, l'indestructible. Le dur, le solide, je crois qu’il ne faut pas le demander aux autres hommes. Parce qu’ils sont aussi faibles que nous. Et que deux hommes face à face, voilà une sacrée faiblesse en pleine mer poétique. La poésie ridiculise la notion de solitude. Elle sauve Beethoven de sa surdité, Van Gogh de son vertige, elle sauverait tout le monde si le beau n’était pas l’apanage dérisoire des gens qui ont besoin de pisser dans de l’or. La poésie est dans la rue, dans le ruisseau, elle est tout à fait dénuée de hiérarchie, elle ne sait pas, elle ne sait rien. Elle est le chant de notre ignorance. Elle ne connaît pas son homme, ni ses amours, ni ses idées politiques, ni ses ambitions sociales. Elle est ce qui est toujours là, dans nos jours et nos nuits difficiles, et pourquoi rêvons-nous la nuit, sinon parce qu’elle ne nous lâche pas. Je ne sais évidemment pas si Dieu est mort. Non, je ne sais pas. Mais je me sens travaillé du matin au soir, et vice versa, par ce que j’ignore et qui m’ignore, que j’essaie de récupérer, pour ne pas mourir à moitié, pour que de l’homme qui est en moi ne subsiste rien. Pour ne pas mourir à côté de moi. Georges Perros, Papiers collés II, Éditions Gallimard, 1973, p. 159-160
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31 août
je viens de me baigner en culotte dans une rivière et comme à chaque fois que je me baigne dans une rivière (jamais) je me disais: je fais des progrès en nature!! j'avançais assise dans l'eau en me servant de mes bras parce que j'avais peur de glisser debout sur mes jambes incertaines. l'eau était agréablement fraiche et je suis allée m'assoir sur un caillou sur l'autre rive pour réfléchir à l'ombre. pourquoi je me baigne pas plus souvent dans des rivières? à chaque fois que je le fais c'est une histoire d'amour.
quand on est arrivées sur le plateau de l'aubrac ce matin j'avais envie de pleurer en voyant les grandes étendues vertes et dorées et les rochers sérieux parsemés entre les murs de pierre et les vaches. et puis y a la musique de para one de bande de filles qui est passée et j'ai commencé à pleurer comme une fontaine, en silence parce que je savais que maman ne comprendrait pas et je voulais pas qu'elle gâche tout. j'ai dit ah il me tarde de venir vivre ici!! et elle a fait un petit pff au lieu de rêver trouve des solutions réalistes lara. je pensais qu'elle serait contente de voir qu'il existe un avenir qui me donne envie parce que pour moi c'est une bonne nouvelle. personne me prend au sérieux quand je dis que je veux vivre à la campagne mais c'est dans la nature que je me sens le mieux et comme j'ai pas de plan de vie ni de carrière ni d'enfants ni rien, pourquoi me forcer à aller vivre en ville alors que la campagne me rend heureuse?
hier à moulins à la visite guidée de la maison mantin j'avais un petit crush sur un type blond qui faisait la visite avec sa fille qui devait avoir le même âge que la fille de r. on attendait le début de la visite sur un banc dehors sous le grand cèdre et il arrêtait pas de me jeter des coups d'oeil. le guide lui a dit je vous ai déjà vu vous et il lui a dit qu'il avait fait la visite il y a dix ans mais que peut être il l'avait croisé au crédit agricole et ça a emballé mon imagination. un jeune père blondinet en short bleu pétrole et baskets en toile blanche immaculés employé du crédit agricole de moulins, what if?? tellement exotique après berlin. dans la chambre de monsieur mantin on était tous les deux dos au grand lit en bois massif avec des têtes de diables sculptées dans les poteaux du baldaquin. j'ai frôlé son bras avec mon coude pendant que le guide nous expliquait que le mot flirt venait de compter fleurette. y a rien que j'aime plus dans la vie que les petits flirts discrets comme ça. tellement discrets qu'ils existent à peine. ce serait comment la vie à moulins avec un garçon qui travaille au crédit agricole et une petite fille de cinq ans? ma vision de l'enfer à priori, mais hier au musée ça me semblait être une vie potentiellement très très douce. il avait l'air incroyablement doux. et puis bon il avait une fille ce qui me rappelait r. j'avais envie qu'elle m'aime bien. je lui faisais des petits sourires comme si j'étais déjà sa belle-mère essayant de se faire adopter. je pensais au décalage entre moulins et berlin et je me suis dit que je pourrais pas aimer moulins sans berlin comme je peux pas aimer berlin sans moulins. je dis moulins parce qu'on y était et parce que ça rime, mais ça s'applique à n'importe quelle ville ou village de province. j'ai besoin du kontrapunkt.
1er septembre
j'ai rêvé du jeune père de moulins. il habitait dans un appart tout neuf très grand très moderne et quand il a essayé de m'embrasser il était plus doux du tout et j'ai du me réveiller pour pas me faire agresser. ensuite le ciel s'est rempli de tornades, c'était très sérieux, un gros engin moderne s'est écrasé devant nous et je me demandais s'il était pas inquiet pour sa fille. il m'a demandé si je pouvais lui passer des poils de ma moustache pour se les rajouter à sa barbe inexistante. il ressemblait à ted de schitt's creek.
2 septembre
à la plage. le pain est mou, ça veut dire que c'est marin. je suis déjà nostalgique de l'aubrac et de l'herbe et des rochers et de la rivière et du pont au dessus de la rivière et des vaches et des collines rondes vertes et dorées. c'est un peu les mêmes que celles en auvergne en 2019 où je disais qu'elles ressemblaient à des seins parce que j'étais dans ma période écoféministe. après ma baignade dans la rivière j'ai écrit à f. pour lui souhaiter son anniversaire je lui ai envoyé un selfie en mettant joyeux anniversaire de moi et de l'aubrac (my girlfriend). je crois que j'ai un rapport amoureux avec les endroits. la mer reste mon amante numéro un mais avec la nature c'est pas comme avec les humains, je peux aimer plusieurs endroits à la fois. je me suis baignée en chantonnant le générique de h2o mais dans ma tête j'étais encore dans l'aubrac à me faire embrasser sur la bouche par une abeille en chantant mes chansons toute seule au milieu des pâturages. hier matin au marché de saint-urcize maman a demandé à la maraichère bio s'ils prenaient des saisonniers en précisant c'est pas pour moi c'est pour ma fille.
je viens de sortir de l'eau. c'est moyen l'amour là. peut être que je l'ai trop fantasmée à berlin. je me fantasmais sur ma serviette le matin avec maman cécile et hélène à leur raconter mes malheurs berlinois mais ce matin dans l'eau quand hélène m'a demandé si je me plaisais à berlin j'ai dit moyen et j'ai pas développé et on est passées à autre chose. hier soir quand cécile m'a posé la question sur le parking j'ai dit qu'y avait trop de monde trop de bruit et trop de gens bizarres. je sais pas pourquoi j'ai dit ça. pourquoi c'est ça qui me vient à l'esprit et j'oublie complètement l'autre moitié de moyen, la moitié bien, la moitié culture excursions dans la nature bords de la spree écriture au cimetière coloc sympa tout ça.
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JEU DEMO
(Car tu me dis lexique)
No et On, deux eux dans le même peigne,
dos à dos ils faisaient mot et Tom sur le pavé
O et O sans haine
et sur tout sans rager au regard
ne pouvaient sous vent s'en pêcher
d'en fer des thons, d'en faire des couacs ou caisses
de lancer des Leurs dans la nue
des rêves en dix questions...
Par foi, Il et son île
s'âme naissaient à leur dû
Oh que c'était danse à l'or
car toutes les voix d'elles et
ceux qu'on sonne à rires vent
des halles fabriquées et usines à gars
joindre le mou vers Le Mans.
Moi, j'arrivais toujours en dernier
car Mon noM d'eux venait personne
Et j'ai meuh mieux; m'en peler
comme la pomme...
(La bouquiniste) Élucubrations
Pour tous mes "anciens"* profs...
*Bout du... ils doivent être morts maintenant
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ELEMENTAIRE - On savait Pixar capable de beaucoup de choses au vu de leur inventivité narrative et leur maestria technique inégalable durant bien deux décennies dans le domaine de l’animation. Ils ont tout de même su nous émerveiller avec un robot muet ( Wall-E), nous faire pleurer à chaudes larmes quand un gamin dit au revoir à ses jouets et à l’enfance (Toy Story 3) ou encore nous toucher en plein cœur avec les rêves et cauchemars d’une petite fille (Monster & Cie).
Pourtant, ils ont connu un passage à vide avec pas mal de films consécutifs tout juste corrects comme Vice Versa ou en tout cas pas extraordinaires comme En avant ... Heureusement, cette petite crise s’est déroulée en partie durant la période de crise sanitaire et de crise des salles de cinéma, passant plus inaperçue. Et voilà qu’ils nous reviennent en très grande forme avec cet Élémentaire, un film au concept tout aussi élémentaire que son titre en plus d’être évident. A tel point qu’on se demande pourquoi aucun studio d’animation n’y avait pensé avant (peut-être à cause de barrières techniques).
Faire un film mettant en scène les quatre éléments que sont l’eau, la terre, l’air et le feu est une idée de génie. Et parce que Pixar nous surprend toujours, il baigne ce pitch aux possibilités infinies dans une comédie sentimentale (leur première vraie) aux accents sociaux culturels. Et en plus, le film a le mérite de prôner le vivre ensemble et l’ode aux différences tout en conspuant le racisme et revisitant l’Histoire américaine ses vagues d’immigration. Tout cela dans un film familial et animé? Oui, c’est possible, Pixar l’a fait et plus que bien!
On parle quand même ici d’une histoire d’amour entre une flamme et une flaque d’eau! Ridicule? Absolument pas, c’est bourré d’inventivité et beau à se damner, aussi bien sur le plan émotionnel que visuel. Imaginez : deux êtres qui s’aiment mais qui ne peuvent se toucher faisant penser à tant de romances impossibles que le septième art a pu produire. Si ce n’est la ville d’Elemental City qui ressemble un peu à celle de Zootopie (avec le gag de l’agent administratif mou au possible copié sur ce dernier), le peuple de la terre un peu mis de côté et quelques longueurs sur la fin, Élémentaire demeure un très grand film où la beauté de l’animation est extraordinaire (toutes ces textures et techniques différentes pour figurer les différents éléments/personnages avec un faible pour ceux du feu).
L'intensité de l'animation, se conjugue avec précision d’un scénario riche en plus d’être à plusieurs niveaux de lecture et pour tous les âges. Le peuple malaimé du feu pourrait être autant les autochtones que n’importe quel peuple brimé durant l’histoire. Les dialogues et les jeux de mots avec les éléments sont imparables et excellents, utilisant la richesse du champ lexical sur le sujet.
Un régal de tous les sens, de l'esprit, et un divertissement qui regorge de quelque chose d'aussi joyeux qu'explosif.
NOTE 17/20 - On a les yeux remplis d’étoiles durant une heure et demie de bonheur devant une œuvre aux couleurs sublimes qui surprend et émerveille sans discontinuer. Tout feu, tout flamme, ce Pixar vous met l’eau à la bouche tout du long.
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La vie bonne est prise en tenaille entre deux excès contraires. Une des plus habiles ruses du malin consiste à tout réduire à la fausse alternative entre la contrainte frontale par durcissement du jeu (coagula) et la corruption par dissolution des points d’appui (solve). Il est effectivement tout aussi difficile de sculpter une pièce d’acier qu’un bois mouillé, deux états qui mettent également en échec les transformations en lesquelles consistent pourtant culture et civilisation. Le dur et le mou condamnent l’humanité à son état naturel, entre des opposés dont les inlassables disputes donnent par ailleurs l’illusion du choix et de la diversité.
D’un point de vue psychologique et social, les individus sont pris entre la nécessité de "construire" leur vie et celle d’en "profiter", entre dureté de l’effort et mollesse des plaisirs, se hissant rarement au-dessus de la double aliénation du travail et des loisirs. Nous voyons aussi que certains s’affairent à entretenir un système dont d’autres savent profiter. Mais qu’un afféré le jour soit jouisseur la nuit, ou bien que la population des laborieux soit totalement séparée de celle des assistés, jamais la civilisation ne peut fleurir sur le terreau d’une telle société.
En politique, les partis sont ceux de l’économie du marché (droite) et du progressisme social (gauche). La vie des idées est ainsi enserrée entre les questions d’argent et les questions de mœurs, deux pôles complémentaires d’un libéralisme qui ne répond en revanche jamais à celle du bien commun. Entre la pression rigide du rendement et la révolution des modes de vie, la société est à la fois pétrifiée et dissoute, prise en otage entre un appareil de production qui l’exploite et une déconstruction qui la noie.
Il ne peut y avoir de civilisation sans idées du beau, du vrai et du bien, seules capables de dépasser les tensions binaires qui nous enferment aujourd’hui. Or tout semble au contraire se dresser contre les traditions esthétiques, académiques et morales qui ont pourtant soutenu les mondes précédents, et que notre humanité est aussi la première à considérer comme "retour aux heures les plus sombres".
La normativité républicaine, qui détourne également ce mot de son intention originelle, enferme toute vie dans le tourbillon de l’activité économique et de l’émancipation sociétale, double spirale qui a la force contraignante d’un siphon auquel seul un point d’appui extérieur permettrait de résister. Le travail et le loisir, la production et la distraction, font alors voir leur puissante complicité en durcissant le jeu et noyant le poisson, serrant et amollissant pour toujours asservir dans la diversité apparente d’une fausse alternative. Le beau consiste en une incessante célébration de l’utile et de la jouissance. Le vrai est ce qui soutient le double impératif de l’efficacité et de l’émancipation. Le bien n’y est jamais envisagé autrement qu’en termes de prospérité matérielle et de progrès moral. Tel un empoisonneur, notre temps utilise le prestige du beau, du vrai et du bien pour les détourner à son profit. C’est ainsi que le goût pactise de plus en plus ouvertement avec la vulgarité, que la vérité découle du “consensus scientifique” et de la fantaisie de chacun, et que la morale ne vise qu’à garantir l’intérêt individuel et la permissivité des mœurs.
Le recul historique met assez bien en contraste ce qu’une société peut avoir de beau, de vrai et de bien. Or en 1878, Léon Bloy attribuait déjà à son siècle "l’insolence d’un fils de laquais devenu grand seigneur par substitution, et qui se donne les airs de mépriser ses anciens maîtres". Il semble que le nôtre n’ait pas mieux grandi.
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A complete list of valid english words that are alphabetical
a
ab
abbe
abbes
abbess
abbey
abbot
Abel
abet
abhor
abhors
ablow
ably
abo
abort
abos
Abu
abuzz
aby
accent
accept
access
accost
ace
acer
acers
aces
achy
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act
ad
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adder
adders
adds
addy
adeem
adeems
adept
adios
ado
adopt
ads
ae
aegis
aery
affix
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afoot
aft
agio
agios
aglow
ago
ah
ahoy
ahs
ai
ail
ails
aim
aims
ain
ain't
air
airs
airt
airy
ais
ait
aitu
al
all
allot
allow
alloy
ally
almost
alms
alp
alps
alt
am
ammo
amor
amort
amp
amps
Amy
an
Ann
anno
annoy
Anns
Ans
ant
any
apt
arsy
art
arty
ary
as
ass
at
au
aux
aw
ay
BBC
b.c
be
bee
beef
beefs
beefy
been
beep
beeps
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beers
beery
bees
beet
befit
beg
begin
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bel
bell
bello
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bells
belly
below
bels
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bely
ben
Benn
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Benz
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Bert
Bess
Bessy
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bet
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bevy
bey
bez
bi
bijou
bijoux
bill
billow
billowy
bills
billy
bin
bins
bint
bio
biopsy
bios
birr
birrs
bis
bit
bitt
bitty
bivvy
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bloop
bloops
blot
blow
blowy
BMX
Bo
boo
boor
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boost
boot
booty
bop
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bossy
bot
bott
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box
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BST
btu
buy
buzz
by
cee
cees
ceil
ceils
Cel
cell
cello
cellos
cells
celt
cent
cep
ceps
cert
cess
chi
chill
chills
chilly
chimp
chimps
chin
chino
chinos
chins
chintz
chip
chippy
chips
chirr
chirrs
chis
chit
chitty
chivvy
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choo
choosy
chop
choppy
chops
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choux
chow
choy
ci
cissy
cist
city
civvy
cloot
clop
clops
clos
clot
clotty
clou
clow
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cm
co
coo
coop
coops
coopt
coos
coot
cop
cops
copy
coq
cory
cos
cost
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cot
cow
cox
coxy
coy
coz
cru
crux
cry
cs
de
dee
deem
deems
deep
deeps
deer
deers
def
deft
defy
deist
deity
dekko
dekkos
del
dell
dells
delos
demo
demos
demy
den
Denny
dens
dent
deny
deo
dept
der
derry
derv
des
deux
dev
dew
dewy
dhow
di
dikkop
dikkops
dill
dills
dilly
dim
dims
din
dins
dint
dip
dippy
dips
dirt
dirty
dis
diss
ditty
div
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dixy
do
doo
door
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dop
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dory
dos
doss
dost
dot
dotty
doty
doxy
Dr
dry
du
dux
eek
eeks
eel
eels
eely
eery
eff
efflux
effort
effs
eft
E.G
egg
eggs
eggy
egis
ego
egos
eh
ell
ells
elm
elms
em
Emmy
empty
emu
enow
envy
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err
errs
erst
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et
ex
fil
fill
fills
filly
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films
filmy
filo
fin
Finn
finny
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flops
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flu
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girt
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git
gloop
gloops
gloopy
glop
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glory
gloss
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gm
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gnu
go
goo
goop
goops
goopy
goos
goosy
gorsy
gory
goss
got
gov
goy
Gru
guv
guy
h
hi
hill
hills
hilly
hilt
him
hint
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hips
his
hiss
hist
hit
ho
hoo
hoop
hoops
hoot
hop
hoppy
hops
hors
horst
horsy
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hot
how
hox
hoy
I
I’ll
I’m
ill
ills
illy
imp
imps
in
inn
inns
ins
io
iOS
IOU
is
it
itty
iv
ivy
ix
jo
joss
jot
joy
knop
knops
knot
knotty
know
Knox
kop
kos
lo
loo
loop
loops
loopy
loos
loot
lop
lops
lor
lorry
loss
lossy
lost
lot
Lou
low
lox
Loy
luv
lux
m
mm
Mo
moo
moop
moops
moor
moors
moos
moot
mop
mops
mor
mort
moss
mossy
most
mot
mott
Motty
motu
mou
mow
moz
mozz
MP
MPs
Mr
Mrs
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mu
mux
mx
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noop
noops
nor
nosy
not
now
noy
nu
oops
op
ops
opt
or
ort
ow
ox
oxy
oy
oz
pps
pry
ps
psst
pst
qt
st
sty
tux
tv
there has got to be more words in alphabetical order than first. i have to make more bits in my coloring of the talliee
ABCDEFGHI KLMNOP RST W Y
20/26
#sorry#im avoiding doing work in class because its boring and i have a list of english words just sitting there#and the python code really isnt hard so i just#did it#then went through that list and removed all the misspelled words because my words list is from an online corpus of english
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"La piste du grand cirque est savonnée. Quand on tombe ça fait un bruit de mou et aussi des bulles. Sur les gradins, les curieux gredins rigolent ou se chamaillent en regardant disparaître la mousse aux trousses. Les orateurs se relèvent et glissent encore des bons mots punchline en états-unien. Ils patinent en choeur et dans les virages essayent de prendre du large; non sans avoir fait quelques queues de poisson-torpille, et deux pieds en coulisse. Quelques doigts aussi. Chacun se prend à rêver éveillé. Il faut y croire pour y voir Rien n'est perdu, tout se transforme. Demain c'est le grand jour On est à la bourre, pas à la guerre. Sur les gradins, ça se bidonne, ça s'interroge, ça se bibine, en attendant la suite de la comédie française et la nuit pour oublier.
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« L’identité de l’Europe, c’est d’être sans identité » affirme le juif ultra sioniste Mathieu Slama
Le juif Slama est la caricature du juif éternel : mou, sans énergie, lascif, gluant, dissolvant, morbide, génocidaire.
Et bien sûr, sa haine de l’homme blanc, sur le dos duquel il prospère, est sans limite.
Quelle immonde gueule tordue d’hébreu avec ses yeux vitreux de poisson mort.
Si ce yid est sur tous les plateaux, c’est uniquement par le népotisme tribal. Il est le fils du juif Alain-Gérard Slama, un rapace libéral qui squatte les cercles dirigeants parisiens depuis toujours.
Il va sans dire que les mots « droits de l’homme » ou « ouverture » ne se comprennent ici que dans le cadre de la lutte des juifs pour construire un monde où seuls les juifs auraient conservé leurs caractéristiques et conscience raciale tandis que les goyim, concassés en un magma informe par l’immigration et le multiculturalisme, devraient déléguer aux juifs le rôle de les guider.
Ce n’est donc pas de l’idéalisme désintéressé, mais une soif inextinguible de domination qui pousse le juif Slama, comme tous ses congénères, à prêcher le sans-frontiérisme chez les autres.
Slama, quand il est question de sa race, est beaucoup plus intransigeant à propos de la question identitaire. Soudain, l’identité juive est millénaire, tout comme son droit de faire la guerre pour conquérir des terres.
Pour comprendre la mentalité génocidaire de ces yahvistes, il y a deux livres à lire.
La culture de la critique, Kevin Mac Donald
Les espérances planétariennes, Hervé Ryssen
Vous ne verrez plus jamais la race juive de la même manière, comprendrez les méandres de leurs sophismes permanents et surtout apprendrer à les haïr et les combattre rationnellement.
La Judée doit être détruite.
Démocratie Participative
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260324 Maybachufermarkt:
"Ich bestell' auch ein Chicken Mal nochmal neu"
und
"Das war doch nicht gut einkalkuliert, Jakob."
+ J'apprends à m'énerver.
290324 deux bouts de temps, deux aiguilles entre les doigts, serrer les applatit, la matière monte au dessus de la pulpe et des ongles, un pic plat.
+ Croire est plus rapide que ne pas croire, ou en tout cas plus glissant.
300324 "J'ai une partie de ma maison qui est consacrée à ce que je mets dans mon sac." Moi, répété par Manon, ce qui rend la phrase drôle.
310324 un son
Entre les dents
Tu cours
Sur un tapis blanc
Devant un escalier mouillé
Que tu prends
On ne sait
Pas à pas
Si tu montes
Ou tu descends
Laquelle est le reflet
Et les nuages
Cachent ton cœur âgé
Qui continue de marcher
Eux
Va-et-vient
Ont une fin
Hors-champ
Où tu réapparais
010424 Rien n'est fini, ni le mot, ni son sens, ni la chose.
020424 "... Car si vous répondez à toutes les longueurs d'ondes, vous gaspillez de l'énergie pour fabriquer du nectar pour quelqu'un qui n'en boira jamais." (Le génie caché des plantes, Arte)
+ Le fantôme dans la pièce
S'endort sur tes genoux
C'est doux et il s'y enfonce
C'est si bon! Mais tu tousses
Le bond qu'il fait
Maintenant il est
Le fantôme
dans la pièce au dessus.
+ Armature ôtée, j'ai mal et je vis, je sens tout ce que tu me fais. Tu m'as eu à défaut, avec défauts, et tu me tues dans la vie amoureuse.
+ Ventre vide, ventre mou
+ Si tu ne me donnes pas de mots, je comprends tout à la fois et le flou n'est pas adversaire.
030424 à l'heure de marcher je reste et je regarde le mur. Une araignée bouge et m'oblige de la suivre. Ensemble arrivées à la fenêtre, nous faisons demi-tour, Elle dans ma main, moi dans la forêt. Perdues, nous grimpons. En haut, debout, campées et balancées, nous observons le monde. J'ai ma clé dans ma poche, je ne sais pas comment j'ai fait ça.
040424 Manette m'a dit des poèmes.
+ Gide dit de Poussin, qui n'a jamais été l'éleve de personne ni n'a jamais eu d'élève, que "son défaut même de virtuosité et la lenteur de sa main persévèrent sa secrète valeur."
+ Le géant s'est foulé la cheville sur une montagne et s'est noyé dans l'océan.
+ Le noir dans l'ombre des montagnes vu depuis l'avion me rappelle les cieux noirs de mes histoires de jeunesse. Les personnages et les objets n'avaient pas besoin de lumières artificielles dans ces mondes-là.
050424 Des lumières de la corniche on voyait la mer noire.
+ Le musée d'art trop moderne
+ Du train, duo côté fenêtre, un album de '97 dans les oreilles, je savoure les coquelicots en ligne mélangées de ces autres fleurs qui sont jaunes, elles vont toutes à Marseille, je vais à Montpellier, on se croise, on se séduit de l'oeillet dans les champs entre mer et mer.
+ Et deux refrains différents dans la même chanson ? (Byrne, Daddy go down: semi-refrains)
+ Maintenant des fleurs blanches dans les rangs également, et les arbres, et les maisons, et les montagnes, tout ça se précipite à Marseille! Seul le ciel vient avec moi.
080424 Katja a dit: "Il faut chercher les trous avec les yeux."
+ Cezanne, ouvre-toi
Korma Police
(Fred)
Il vaut mieux une catho à l'escalade qu'une scato à l'écalade. (Pao)
+ La parole est au greffier fatigué d'être.
+ Sophrote et la linguistchique
110424 Se poser et voir le monde, Jean-François Billetter: j'ai l'intuition qu'on peut entendre le résultat, qu'importe qui on est, mais que la description du chemin de Bonnard ou d'un autre esprit brouille la recherche du chemin propre, qui peut être très très très différent.
+ Luc: "La résine est une hérésie" (en parlant de chaux, évidemment)
"J'ai même pas senti le poulet, j'ai senti que les champignons! On dirait des chips!" (Blablabus Montpellier Marseille)
+ Décrire la bête marseillaise (Gérald)
220424 Bah, ces coquilles valent bien les hippocampes séchés de mon enfance, que ma mère a jetés. Tout aussi passionnantes, elles ne sont pas cadavres. Cela leur enlève un sombre attrait dont je me passe volontiers.
+ Collectionneur des restes de ma vie, aujourd'hui je mets tout à donner. Presque tout, n'oubliant pas la demi-mesure fraîchement apprise. Homme de peu de passé, avance mieux. Je libère ainsi mes yeux intérieurs, c'est bien là que la douleur siège.
+ Tant de belles choses non notées, mais j'avais trop mal. Je m'efforce maintenant de ne plus exagérer.
+ Je suis un vent dans une forme molle qui était liquide. (Paul Valéry: "[...] tout solide actuel a passé par la phase liquide, fonte ou solution." L'homme et la coquille, folio sagesses p. 72)
... Dans l'aqueux je n'eûs pu entrer ! Suis-je né vent du mouvement de la construction de cet être de chair? Petit à petit, soufflant de plus en plus, ou s'y préparant, à mesure que l'embryon se formait et se creusait d'organes ? Y étais-je enfermé jusqu'à la sortie à l'air libre? Ou suis en fait le premier flot d'air libre entré dans ce corps qui s'est ouvert à moi? Un bout transparent, fluide et volant du monde, de l'univers, peut-être, venu de loin et mené jusqu'à cette bouche qui m'accueillis?
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Deux mots, sept lettres - Partie 1.
J’entends quelque chose bipé au loin, c’est là que ma carcasse commence enfin à se mouvoir, avec difficulté, mais au moins j’arrive à bouger. J’ai des courbatures partout, vraiment partout. Même mes cheveux me font mal, ce qui est pourtant physiquement improbable. Je tâtonne mon oreiller tel un cadavre en train de ramper pour me rendre compte que quelque chose de mou et de poilu s’est posé sur ma…
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𝖬𝖺𝗅𝗅𝖾𝗏𝖺𝗅 𝖾𝗇 𝖵𝖾𝗋𝖼𝗈𝗋𝗌
𝖨𝗌𝖾́𝗋𝖾 / 𝖥𝗋𝖺𝗇𝖼𝖾🇫🇷
𝖡𝗒 ©️𝖫𝖬®️
#ma vie d’amour#mon cœur#seul dans la nature#photographers on tumblr#nature photographer#france#nature#isère#naturecore#original photography on tumblr#je taime géraldine#je pense à toi#mots de mous deux#mots de tendresse
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6 septembre
n. a liké mon dernier post sur ig, est-ce que ça veut dire qu'elle est pas ultra remontée contre moi? je lui ai toujours pas répondu et ça me hante. je suis hantée par mon propre ghosting. dans le livre de léa rivière elle parle de doulas de déménagement pour rigoler mais c'est un truc qui devrait vraiment exister. j'ai commencé le livre sur l'argent de christophe hanna aussi j'ai passé l'après-midi à lire le sans plus pouvoir m'arrêter, c'est passionnant de voir comment tous ces artistes s'en sortent avec l'argent, ça me fait dédramatiser ma situation de pauvresse sans revenus qui vit chez sa mère, même si aucune des personnes interviewées jusqu'à maintenant ne vit chez ses parents, beaucoup reçoivent leur aide financière. beaucoup ont renoncé au travail alimentaire aussi et se contentent de presque rien. enfin c'est ce qu'ils disent, c'est un peu facile de romanticiser ça cf. constance debré.
hier j'ai envoyé mes poèmes-radio à r. et j'ai pas pu m'empêcher d'ajouter déso de te forcer à lire mes textes! et il m'a dit t'es sérieuse quand tu dis ça?? et je suis partie dans mes jérémiades nanana j'ai pas confiance en moi et j'ai peur de faire chier les gens etc c'est QUAND que je vais arrêter avec ça? il m'a dit qu'il adorait mes textes et que j'hésite jamais à lui en envoyer. JAMAIS. en majuscules. j'étais à un demi doigt de lui répondre JE T'AIME. hier soir il m'a envoyé un selfie avec une grosse peluche minnie trouvée dans un fourré et j'ai bu mon verre de limoncello cul sec pour m'en remettre. il l'a gardée pour sa fille. je suis hantée par le moment dans son message vocal du camping hollandais où on entend sa fille soupirer dans son sommeil et il dit ah voilà que ma fille ronfle aussi... à sa manière. dans une vidéo de son écran d'ordi on voit des petits polaroids d'eux deux en noir et blanc. quand il m'a dit qu'il faisait du camping avec elle j'ai pensé au souvenir fin comme un voile que j'ai d'être montée sur une colline derrière mon père en chantant une chanson en luxembourgeois à propos d'un sorcier lors d'un séjour en camping seule avec lui. mais il me reste juste cette impression fugace. je sais pas si quelqu'un a déjà théorisé le cas de l'orpheline de père qui tombe amoureuse d'un jeune père et qui est obsédée par sa relation avec sa fille? mais l'orpheline est laide et le jeune père ne sort qu'avec des bombasses.
c'est le deuxième matin que je marche jusqu'au cap d'agde et puis je reviens, il m'attire comme un aimant, j'adore regarder les gens sur la plage en chemin, c'est mieux que le musée. je vois des photos partout avec des compositions parfaites et des accords de couleurs parfaits tout est BEAU et bouleversant mais hier j'avais pas mon téléphone et aujourd'hui j'osais pas prendre de photos de peur de me faire rabrouer/d'être invasive. j'adore regarder les retraités sur la plage, avec leurs corps vieux et fripés et mous et bronzés, j'adore les regarder se la couler douce, lire des livres et des magazines et faire des sudokus et des mots croisés sur leurs petits fauteuils, dormir étalés sur leur serviette, offerts au soleil, les femmes seins nus et insouciantes. ils sont magnifiques. j'avais l'impression d'être john wilson en marchant au bord de l'eau avec ma casquette et mon grand tshirt blanc, en réalisatrice de plage mais qui fait le film dans sa tête.
8 septembre
ce matin quand j'ai allumé mon téléphone j'ai eu un rush d'adrénaline que je voulais pas du tout avoir en voyant les messages vocaux de r., comme si mon corps savait ce qu'il allait me dire. je crois que j'ai un reste de ptsd du mois de juin, à chaque fois que je lui dis un truc et qu'il me répond par plusieurs messages vocaux je m'attends à être terrassée au sol. ce matin sur le canapé j'ai senti la tristesse tomber sur moi comme un dôme qui me coupe du reste du monde, ou comme une chape de plomb, la cape rigide de playmobil qui se clipse au niveau du cou. je lui avais lancé comme ça qu'on commençait quand il voulait à travailler et il m'a répondu qu'il avait mille casseroles sur le feu et moi j'en ai zéro et il s'en excuse platement, il dit désolé d'avoir mille casseroles sur le feu et pas toi, puis il dit que c'est pas ce qu'il a voulu dire, et il l'a pas dit comme ça non plus, mais je l'ai senti bien fort. il a essayé de me rassurer en me disant qu'il voulait toujours le faire mais qu'il savait juste pas à quel moment, et puis il ajoute enfin je sais pas à quel point c'est vraiment rassurant d'entendre ça, comme s'il présupposait que j'étais accrochée à cette collab comme une moule à son rocher, ce qui n'est pas faux, mais il est pas censé le savoir, ni même le supposer, et encore moins le suggérer, me le rappeler, me le FROTTER sous le NEZ. en attendant ça me fait encore passer pour la plus needy de nous deux, celle auprès de qui il doit s'excuser de pas être dispo, celle qui a besoin de lui et qui se retrouve donc en position inférieure.
mais y a pas que ça qui m'a plombée ce matin sur le canapé, l'autre truc qui m'a fait sentir l'abattement jusque dans les muscles de mes jambes, ou peut être que c'était les os, je sais pas faire la différence, j'en parle dans mon poème, de mes os marrons glacés que je traîne en faisant un bruit de rouille, damn je suis une bonne poète, la prochaine fois qu'on me demande ce que je fais je dis poète, je suis poète, le livre de christophe hanna m'a donné assez confiance dans ma condition de poète, en plus la poésie ça englobe tout, c'est parfait. et donc justement, ce qui m'a rouillé les os ce matin aussi c'est quand il m'a raconté qu'il avait commencé une formation pour avoir le statut d'artiste, l'équivalent du statut d'intermittent en france mais pas tout à fait pareil, pour avoir droit au chômage entre les contrats, et je sais pas pourquoi ça m'a déprimée. enfin si je sais, c'est toujours la même histoire, je m'en sors pas avec la vie et quand je vois que les autres avancent, prennent les devants, apprennent, ça me déprime. ça me déprime que eux fassent et pas moi.
parfois j'aimerais vraiment être j. qui a sept ans de moins que moi mais elle peut inviter toute la famille à un apéro dînatoire dans sa nouvelle maison, dans son jardin recouvert de moquette-gazon et d'asphalte, chef d'oeuvre de décor surréaliste, avec des petits ficus qui dépassent et les gamelles du chien rangées contre le mur blanc, nu. j'ai pris un million de photos mais j'avais peur d'être méprisante. j'espère qu'elle me déteste pas secrètement. personne a bitché sur la copine de s., j'étais un peu déçue. je me disais aussi, en parlant de couple, peut être que r. m'a sauvé la vie finalement en reléguant notre relation au stade de l'amitié, parce qu'il m'a encore parlé de son ex pendant trois heures, la mère de sa fille, pas la bombasse, mais peut être que la mère de sa fille aussi est une bombasse et que ça l'a aveuglé au fait que c'était une chieuse, d'après ce qu'il raconte en tout cas. et donc tout ça me fait penser que peut être que les relations avec lui sont compliquées et archi chiantes et qu'en restant son amie d'eau fraîche j'échappe à tout un tas de complications inutiles et de souffrance. même si j'ai déjà souffert pour une vie entière cet été.
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L’histoire et la recette de la brioche
Durant la période de confinement, la confection de la brioche est devenue une tendance. Avez-vous déjà préparé de la brioche maison ? Vous recherchez des astuces pour la réussir ? Découvrez l’histoire de cette pâtisserie et essayez la recette de brioche que nous avons testée pour vous. La naissance de la brioche La brioche est une pâtisserie originaire de la Normandie. Elle était née au cours du XVIème siècle. Ce mot est un dérivé du verbe « brier », qui signifiait broyer en Normand. Celui-ci désigne donc la pâte pétrit avec entrain avant de la laisser reposer. Après plusieurs années, le suffixe « oche » aurait été ajouté pour désigner le produit obtenu après le pétrissage de la pâte à l’aide d’un rouleau à pâtisserie en bois. A l’époque, la brioche a été très appréciée pour la qualité de son beurre. Selon la recette traditionnelle, il faut 400g de beurre pour 1 kilo de farine. C’est cette proportion qui justifie son saveur hors du commun. Peu de temps après, la brioche se diffuse en Vendée et dans de nombreuses autres régions. Quelles sont les différentes variétés de brioches ? Aujourd’hui, chaque région a sa propre recette de brioche locale : - La brioche vendéenne est une brioche tressée, - Le babka, une brioche tressée au chocolat, - La Fallue ou brioche normande, - La brioche parisienne se compose de deux boules superposées, - Un brioche traditionnelle du Dauphiné ou la pogne, un gâteau parfumé à la fleur d’oranger, - La brioche de rois née en Provenance, - La brioche allongée connu sous l’appellation Thewkele d’Alsace. Recette de brioche maison Avec notre recette de brioche maison, vous pouvez préparer une mie moelleuse et fondante parfaite pour le petit-déjeuner ou pour une pause goûter. Bien aérée et alvéolée, cette brioche très riche en beurre fond dans la bouche. Les ingrédients pour la recette de la brioche Pour une brioche pour six personnes, il vous faut : - 300 g de farine, - 120g de beurre mou, - 3 œufs, - 35 ml de lait tiède, - 20 g de sucre en poudre, - 10 de levure de boulanger, - 6 g de sel fin, - Pour la dorure : 1 jaune d’œuf battu avec 1 cuillère à soupe de lait seront nécessaire pour cette recette de brioche Les étapes de la préparation Selon les matériels en votre disposition, vous pouvez choisir de pétrir la pâte à la main ou à la map-couvercle ouvert. - Réhydratez la levure dans une petite quantité de lait tiède pour cette recette de brioche, - Dans un grand bol, mélangez la farine, le sucre et le sel, - Ajoutez la levure réhydratée dans le reste du lait et mélangez avec la farine, - Additionnez les œufs et pétrissez jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène et bien lisse pour cette recette de brioche, - Incorporez le beurre mou coupé en dés et continuez à pétrir jusqu’à que la pâte se décolle des parois de la cuve, - Formez une grosse boule et laissez se reposer 30 minutes à température ambiante puis au réfrigérateur pendant 10 heures. N’oubliez pas de déposer du film alimentaire au contact de la pâte, puis de couvrir le saladier d’une seconde feuille de film alimentaire ou d’un torchon. - Récupérez la pâte et retravaillez-la pour la dégazer, - Cette recette de brioche préconise de diviser la pâte en 5 pour façonner 5 petites boules, - Prenez un moule à cake généreusement beurré et fariné puis placez les boules les unes à côté des autres, - Laissez reposer pendant 3 heures dans un endroit tiède, avant de dorer la surface, - Préchauffez le four à 180°C et faites cuire la préparation pendant 45 minutes. Il arrive souvent que la surface de la brioche prenne de la couleur trop vite. Si c’est le cas, couvrez-la d’une feuille d’aluminium. Maintenant que cette recette de brioche n'a plus de secret pour vous, aux fourneaux! Read the full article
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Le monde du rpg et moi
Après avoir relu le message de @ethereal-rpg et bien d’autres qui sont passés sur mon tumblr, je me suis vraiment posée des questions sur le monde du rpg et ce qu’il représentait pour moi. Je ne sais pas non plus où je vais avec ce message, mais les retours sur d’autres du genre m’ont motivé, parce que je sens qu’on se comprend tous en partie ; et que j’ai envie, à mon tour, de lancer une bouteille à la mer, de voir qui va récupérer mon petit message et ce que vous allez en faire (ou ne rien faire).
Je fais du rp depuis que j’ai 12 ans, plus ou moins ; cela fait donc 11 ans, bientôt 12 (donc la moitié de ma vie MDR), que je n’ai (quasiment) pas quitté ce monde. En onze ans, j’ai vu des forums naître et mourir en moins de deux mois ; des forums naître et mourir après un an, sous les larmes et les salutations émouvantes. En onze ans, j’ai vu les designs devenir de plus en plus beaux, recherchés, les codes devenir compliqués, devenir aussi plus importants, être une raison (ou non) de s’inscrire sur un forum.
En onze ans, j’ai rencontré des gens, parfois bons, parfois mauvais, souvent aucun des deux. Des rencontres incroyables qui se finissent super mal, entre harcèlement et ghosting ; des rencontres anodines qui finalement deviennent si importantes pour mon petit coeur (coucou mon ange) ; des personnes qui sont là uniquement pour rp sans se lier aux autres ; des personnes qui pensent que (tw: je parle de v*ol + misogynie dans la phrase qui suit) parler sexe et parler viol c’est exactement la même chose et qui lâchent des phrases misogynes comme si c’était un sport (fin du tw) ; j’ai vu des personnes grandir, devenir meilleures, moi la première.
En onze ans, j’ai connu la fin de bazzart et le début d’un autre forum qui est, on va pas se mentir, juste un c/c (I mean y a un art dedans, c’est un synonyme de bazar et y a exactement les mêmes problèmes, après tout c’est une recette qui fonctionne si bien) ; j’ai rencontré des rpgistes irl, j’ai été à un concert avec une pote rp sur un coup de tête ; j’ai administré beaucoup trop de forums, en me disant à chaque fois que c’est la dernière fois ; connu des forums chillax au possible comme leurs opposés.
En onze ans, j’ai vu le monde du rpg devenir à la fois meilleur et pire. On se demande tous comment faire, mais au final j’ai vu si peu de réponses ? Et je ne dis pas ça pour culpabiliser quelqu’un, attention ! je n’ai aucune réponse moi non plus, c’est juste une constatation. On voit tous les problèmes, on arrive parfois à mettre le doigt dessus grâce à des supers bonnes initiatives comme les quelques sondages qui tournent, mais je n’ai pas encore vu des solutions précises et concrètes.
On se compare toujours. On se met toujours la pression pour écrire. On continue de créer des forums qui demandent “1 rp par mois” pour une raison qui m’échappe encore. On continue de cracher sur des personnes sans jamais se remettre en question. On continue de créer des forums en se demandant comment faire pour que ça plaise à un maximum de personnes, et non pas si ça va NOUS plaire. On continue de voir les admins comme des tyrans à éliminer, sans vraiment voir les humains derrière. On continue à voir les membres comme des parasites à qui on permet de rester sur le forum qu’on a créé, et non pas des personnes qui nous aident à faire vivre un monde incroyable, qui le font grandir. On continue de shame ceux qui ont une plume poétique, mais aussi de shame ceux qui ont une mauvaise orthographe. On continue de vouloir faire des jolies phrases, à se prendre la tête pour écrire sans se dire qu’on doit juste se faire plaisir. Et vous savez c’est quoi le pire ? C’est que quand j’écris mon message, je suis quand même en train de me dire “personne y répondra”, “d’autres l’écrivent mieux que toi”. Même quand j’écris un message, je me compare, je continue de me mettre la pression, je me dis qu’un message ouvert sur mon coeur n’est pas assez beau.
Et peut-être que je devais remplacer les “on” par des “je”. Peut-être que toi aussi, tu devrais le faire, voir ce qui est vrai ou faux à tes yeux.
Je voulais grave mettre ça sur papier en me disant que j’allais trouver des solutions mais MDR je me suis plus déprimée qu’autre chose. GG moi.
Alors, le monde du rpg et moi ? Je sais toujours pas. Une obsession pour oublier les problèmes ? Un hobby ? Une façon d’exprimer ma créativité ? Une façon d’écrire ? Une façon de lire en étant déjà attaché émotionnellement aux personnages ? Une façon de pouvoir contrôler une partie de ma vie ?
En vrai, je veux juste parler. A ceux que je connais, ceux que je connais pas. Je veux voir que je ne suis pas seule, même si je le sais déjà. Si vous avez d’autres posts du genre, je veux les lire, des sondages que j’ai raté, des coups de gueule/de mou/des prises de conscience, hésitez pas, même si c’est le vôtre, je VEUX le lire. Je veux trouver une vraie communauté soudée, pas celle comme avant, parce qu’elle avait trop de problèmes ; une nouvelle, une plus forte, une qui parle et qui se donne des conseils sans chercher à se miner. Je sais pas comment faire. Mais si vous avez le moindre truc à répondre, le moindre petit mot pour me dire qu’on peut y arriver, je suis preneuse. Parce que c’est dur, en ce moment, de garder la motivation de creuser quand on voit pas le bout du tunnel.
#rpg#french side of tumblr#forum#rp#une grosse prise de conscience qui se transforme en déprime we love it#please
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Ce qui m'a frappé aussi dans le film, c'est à quel point Lancelot est un incapable. Non seulement il ne règne que par la terreur(en étant bien conscient que Arthur est toujours le plus aimé et populaire 9 ans après). Mais il est incapable de réagir lors de l'attaque en musique des burgondes (on parle d'un gars qui avait de l'expérience militaire hein, puisqu'il est chevalier) et perd contre Arthur qui a pas touché une épée depuis 9 ans (et qui a réussi à planifier un super plan d'attaque aussi).
Exactement ! J'ai eu du mal à croire qu'il ait pu être le tyran que le Duc d'Aquitaine décrivait tellement je le trouvais mou, il manque de présence et n'est plus aussi menaçant ou lugubre qu'il l'était dans le Livre 5 (où il était tout de même au plus bas) et le 6 (où il cède vraiment à sa folie des grandeurs). Les dernières scènes du livre 6 étaient extrêmement fortes, intenses, on sentait la présences, la volonté et la folie de Lancelot tout le long, lors de la fuite des chevaliers et quand on voit ses "fidèles" en chasse... mais on ne retrouve rien de tout ça dans le film. Que les Saxons fassent bande à part et se permettent d'être insolents, c'est compréhensible, mais le quatuor des admins ! Ils sursautent vaguement dans la première scène mais après ? Rien, ils se contentent de le regarder avec confusion ou mépris, et vont jusqu'à lui gueuler dessus sans se prendre au moins une taloche ?! Au vu du Lancelot de la série, je m'attendais presque à le voir tuer un des ses sous-fifres à l'écran si ce dernier lui manquait trop de respect/disait un mot ou nom de trop.
Et comme tu dis, qu'il ne contre-attaque même pas au moins une fois face au Burgondes me paraît gros aussi. Face à Arthur, je pense que la "métamorphose" d'Excalibur lui a montré, une fois encore, qu'Arthur était un élu, quelqu'un destiné à la Grandeur, ce dont il a toujours rêvé mais qu'il n'a jamais réussi à atteindre, qu'il n'arrivera jamais. Cela doit lui faire perdre ses moyens et il est donc vulnérable alors qu'Arthur, lui, charge. Ce n'est pas qu'une question de technique.
Après, deux des raisons qui pourrait expliquer certaines choses seraient :
1) Le manque de budget
2) Le fait que les acteurs ne sont pas des cascadeurs ou ne sachent pas combattre ; ça explique pourquoi tous les Résistants se font capturer aussi vite et aussi bêtement, j'aurais préféré un fondu les montrant charger et/ou dégainer par contre dans ce cas.
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