#mots de mous deux
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Costᥲ Novᥲ
Iᥣhᥲvo / Portᥙgᥲᥣ 🇵🇹
Bყ ©️LM®️
Lιbᥱ́rᥱz-voᥙs ρoᥙr ᥱᥒtrᥱvoιr ᥣᥲ vrᥲιᥱ grᥲᥒdᥱᥙr dᥱ ᥣ'Uᥒιvᥱrs. Aιmᥱz-voᥙs, fᥲιtᥱs rᥱssortιr votrᥱ soᥙrιrᥱ, sᥱᥒtᥱz-voᥙs hᥱᥙrᥱᥙx, ᥲᥴᥴᥱρtᥱz-voᥙs tᥱᥣ qᥙᥱ voᥙs ᥱ̂tᥱs, ρᥱrmᥱttᥱz-voᥙs dᥱ voᥣᥱr dᥲᥒs ᥣᥱs ᥴhosᥱs ᥣᥱs ρᥣᥙs ρᥙrᥱs dᥱ ᥣᥲ rᥱ́ᥲᥣιtᥱ́, ᥴᥲr ᥴᥱᥣᥲ voᥙs ᥲρρortᥱ ᥣᥱ boᥒhᥱᥙr !
©️LM
#mots de mous deux#je te laisserai des mots#mon coeur#nature#photographers on tumblr#nature photographer#je taime géraldine#je me souviens#je ne regrette rien#la vie est belle#pourquetumaimesencore
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Il y a un mot qui commence sérieusement à me faire rire. C’est le mot solitude. Je ne l’entends plus prononcer qu’avec gaieté. C’est un mot, si vous voulez, dont je me souviens. Parce que voilà. Quand on est jeune, je veux dire jeune par l’âge, on croit à la vie ; que la vie, les hommes, les femmes, les autres, c’est dur. C’est du dur. Et on y va bravement, sans se casser la moindre dent, en général. Mais il est bien vrai qu’on souffre. C’est agréable de souffrir, quand on quelque chose à mordre, à briser, à faire souffrir. Puis peu à peu on s’aperçoit que non, c’est faux. C’est du toc. C’est mou. La vie est molle. Les hommes, les femmes, les autres, sont mous. Dans une certaine mesure ils ont bien raison de se foutre pas mal de vous. Mais dans une autre, on n’a pas tort de s’en rendre compte et d’aller chercher ailleurs le dur, l'indestructible. Le dur, le solide, je crois qu’il ne faut pas le demander aux autres hommes. Parce qu’ils sont aussi faibles que nous. Et que deux hommes face à face, voilà une sacrée faiblesse en pleine mer poétique. La poésie ridiculise la notion de solitude. Elle sauve Beethoven de sa surdité, Van Gogh de son vertige, elle sauverait tout le monde si le beau n’était pas l’apanage dérisoire des gens qui ont besoin de pisser dans de l’or. La poésie est dans la rue, dans le ruisseau, elle est tout à fait dénuée de hiérarchie, elle ne sait pas, elle ne sait rien. Elle est le chant de notre ignorance. Elle ne connaît pas son homme, ni ses amours, ni ses idées politiques, ni ses ambitions sociales. Elle est ce qui est toujours là, dans nos jours et nos nuits difficiles, et pourquoi rêvons-nous la nuit, sinon parce qu’elle ne nous lâche pas. Je ne sais évidemment pas si Dieu est mort. Non, je ne sais pas. Mais je me sens travaillé du matin au soir, et vice versa, par ce que j’ignore et qui m’ignore, que j’essaie de récupérer, pour ne pas mourir à moitié, pour que de l’homme qui est en moi ne subsiste rien. Pour ne pas mourir à côté de moi. Georges Perros, Papiers collés II, Éditions Gallimard, 1973, p. 159-160
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6 septembre
n. a liké mon dernier post sur ig, est-ce que ça veut dire qu'elle est pas ultra remontée contre moi? je lui ai toujours pas répondu et ça me hante. je suis hantée par mon propre ghosting. dans le livre de léa rivière elle parle de doulas de déménagement pour rigoler mais c'est un truc qui devrait vraiment exister. j'ai commencé le livre sur l'argent de christophe hanna aussi j'ai passé l'après-midi à lire le sans plus pouvoir m'arrêter, c'est passionnant de voir comment tous ces artistes s'en sortent avec l'argent, ça me fait dédramatiser ma situation de pauvresse sans revenus qui vit chez sa mère, même si aucune des personnes interviewées jusqu'à maintenant ne vit chez ses parents, beaucoup reçoivent leur aide financière. beaucoup ont renoncé au travail alimentaire aussi et se contentent de presque rien. enfin c'est ce qu'ils disent, c'est un peu facile de romanticiser ça cf. constance debré.
hier j'ai envoyé mes poèmes-radio à r. et j'ai pas pu m'empêcher d'ajouter déso de te forcer à lire mes textes! et il m'a dit t'es sérieuse quand tu dis ça?? et je suis partie dans mes jérémiades nanana j'ai pas confiance en moi et j'ai peur de faire chier les gens etc c'est QUAND que je vais arrêter avec ça? il m'a dit qu'il adorait mes textes et que j'hésite jamais à lui en envoyer. JAMAIS. en majuscules. j'étais à un demi doigt de lui répondre JE T'AIME. hier soir il m'a envoyé un selfie avec une grosse peluche minnie trouvée dans un fourré et j'ai bu mon verre de limoncello cul sec pour m'en remettre. il l'a gardée pour sa fille. je suis hantée par le moment dans son message vocal du camping hollandais où on entend sa fille soupirer dans son sommeil et il dit ah voilà que ma fille ronfle aussi... à sa manière. dans une vidéo de son écran d'ordi on voit des petits polaroids d'eux deux en noir et blanc. quand il m'a dit qu'il faisait du camping avec elle j'ai pensé au souvenir fin comme un voile que j'ai d'être montée sur une colline derrière mon père en chantant une chanson en luxembourgeois à propos d'un sorcier lors d'un séjour en camping seule avec lui. mais il me reste juste cette impression fugace. je sais pas si quelqu'un a déjà théorisé le cas de l'orpheline de père qui tombe amoureuse d'un jeune père et qui est obsédée par sa relation avec sa fille? mais l'orpheline est laide et le jeune père ne sort qu'avec des bombasses.
c'est le deuxième matin que je marche jusqu'au cap d'agde et puis je reviens, il m'attire comme un aimant, j'adore regarder les gens sur la plage en chemin, c'est mieux que le musée. je vois des photos partout avec des compositions parfaites et des accords de couleurs parfaits tout est BEAU et bouleversant mais hier j'avais pas mon téléphone et aujourd'hui j'osais pas prendre de photos de peur de me faire rabrouer/d'être invasive. j'adore regarder les retraités sur la plage, avec leurs corps vieux et fripés et mous et bronzés, j'adore les regarder se la couler douce, lire des livres et des magazines et faire des sudokus et des mots croisés sur leurs petits fauteuils, dormir étalés sur leur serviette, offerts au soleil, les femmes seins nus et insouciantes. ils sont magnifiques. j'avais l'impression d'être john wilson en marchant au bord de l'eau avec ma casquette et mon grand tshirt blanc, en réalisatrice de plage mais qui fait le film dans sa tête.
8 septembre
ce matin quand j'ai allumé mon téléphone j'ai eu un rush d'adrénaline que je voulais pas du tout avoir en voyant les messages vocaux de r., comme si mon corps savait ce qu'il allait me dire. je crois que j'ai un reste de ptsd du mois de juin, à chaque fois que je lui dis un truc et qu'il me répond par plusieurs messages vocaux je m'attends à être terrassée au sol. ce matin sur le canapé j'ai senti la tristesse tomber sur moi comme un dôme qui me coupe du reste du monde, ou comme une chape de plomb, la cape rigide de playmobil qui se clipse au niveau du cou. je lui avais lancé comme ça qu'on commençait quand il voulait à travailler et il m'a répondu qu'il avait mille casseroles sur le feu et moi j'en ai zéro et il s'en excuse platement, il dit désolé d'avoir mille casseroles sur le feu et pas toi, puis il dit que c'est pas ce qu'il a voulu dire, et il l'a pas dit comme ça non plus, mais je l'ai senti bien fort. il a essayé de me rassurer en me disant qu'il voulait toujours le faire mais qu'il savait juste pas à quel moment, et puis il ajoute enfin je sais pas à quel point c'est vraiment rassurant d'entendre ça, comme s'il présupposait que j'étais accrochée à cette collab comme une moule à son rocher, ce qui n'est pas faux, mais il est pas censé le savoir, ni même le supposer, et encore moins le suggérer, me le rappeler, me le FROTTER sous le NEZ. en attendant ça me fait encore passer pour la plus needy de nous deux, celle auprès de qui il doit s'excuser de pas être dispo, celle qui a besoin de lui et qui se retrouve donc en position inférieure.
mais y a pas que ça qui m'a plombée ce matin sur le canapé, l'autre truc qui m'a fait sentir l'abattement jusque dans les muscles de mes jambes, ou peut être que c'était les os, je sais pas faire la différence, j'en parle dans mon poème, de mes os marrons glacés que je traîne en faisant un bruit de rouille, damn je suis une bonne poète, la prochaine fois qu'on me demande ce que je fais je dis poète, je suis poète, le livre de christophe hanna m'a donné assez confiance dans ma condition de poète, en plus la poésie ça englobe tout, c'est parfait. et donc justement, ce qui m'a rouillé les os ce matin aussi c'est quand il m'a raconté qu'il avait commencé une formation pour avoir le statut d'artiste, l'équivalent du statut d'intermittent en france mais pas tout à fait pareil, pour avoir droit au chômage entre les contrats, et je sais pas pourquoi ça m'a déprimée. enfin si je sais, c'est toujours la même histoire, je m'en sors pas avec la vie et quand je vois que les autres avancent, prennent les devants, apprennent, ça me déprime. ça me déprime que eux fassent et pas moi.
parfois j'aimerais vraiment être j. qui a sept ans de moins que moi mais elle peut inviter toute la famille à un apéro dînatoire dans sa nouvelle maison, dans son jardin recouvert de moquette-gazon et d'asphalte, chef d'oeuvre de décor surréaliste, avec des petits ficus qui dépassent et les gamelles du chien rangées contre le mur blanc, nu. j'ai pris un million de photos mais j'avais peur d'être méprisante. j'espère qu'elle me déteste pas secrètement. personne a bitché sur la copine de s., j'étais un peu déçue. je me disais aussi, en parlant de couple, peut être que r. m'a sauvé la vie finalement en reléguant notre relation au stade de l'amitié, parce qu'il m'a encore parlé de son ex pendant trois heures, la mère de sa fille, pas la bombasse, mais peut être que la mère de sa fille aussi est une bombasse et que ça l'a aveuglé au fait que c'était une chieuse, d'après ce qu'il raconte en tout cas. et donc tout ça me fait penser que peut être que les relations avec lui sont compliquées et archi chiantes et qu'en restant son amie d'eau fraîche j'échappe à tout un tas de complications inutiles et de souffrance. même si j'ai déjà souffert pour une vie entière cet été.
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JEU DEMO
(Car tu me dis lexique)
No et On, deux eux dans le même peigne,
dos à dos ils faisaient mot et Tom sur le pavé
O et O sans haine
et sur tout sans rager au regard
ne pouvaient sous vent s'en pêcher
d'en fer des thons, d'en faire des couacs ou caisses
de lancer des Leurs dans la nue
des rêves en dix questions...
Par foi, Il et son île
s'âme naissaient à leur dû
Oh que c'était danse à l'or
car toutes les voix d'elles et
ceux qu'on sonne à rires vent
des halles fabriquées et usines à gars
joindre le mou vers Le Mans.
Moi, j'arrivais toujours en dernier
car Mon noM d'eux venait personne
Et j'ai meuh mieux; m'en peler
comme la pomme...
(La bouquiniste) Élucubrations
Pour tous mes "anciens"* profs...
*Bout du... ils doivent être morts maintenant
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ELEMENTAIRE - On savait Pixar capable de beaucoup de choses au vu de leur inventivité narrative et leur maestria technique inégalable durant bien deux décennies dans le domaine de l’animation. Ils ont tout de même su nous émerveiller avec un robot muet ( Wall-E), nous faire pleurer à chaudes larmes quand un gamin dit au revoir à ses jouets et à l’enfance (Toy Story 3) ou encore nous toucher en plein cœur avec les rêves et cauchemars d’une petite fille (Monster & Cie).
Pourtant, ils ont connu un passage à vide avec pas mal de films consécutifs tout juste corrects comme Vice Versa ou en tout cas pas extraordinaires comme En avant ... Heureusement, cette petite crise s’est déroulée en partie durant la période de crise sanitaire et de crise des salles de cinéma, passant plus inaperçue. Et voilà qu’ils nous reviennent en très grande forme avec cet Élémentaire, un film au concept tout aussi élémentaire que son titre en plus d’être évident. A tel point qu’on se demande pourquoi aucun studio d’animation n’y avait pensé avant (peut-être à cause de barrières techniques).
Faire un film mettant en scène les quatre éléments que sont l’eau, la terre, l’air et le feu est une idée de génie. Et parce que Pixar nous surprend toujours, il baigne ce pitch aux possibilités infinies dans une comédie sentimentale (leur première vraie) aux accents sociaux culturels. Et en plus, le film a le mérite de prôner le vivre ensemble et l’ode aux différences tout en conspuant le racisme et revisitant l’Histoire américaine ses vagues d’immigration. Tout cela dans un film familial et animé? Oui, c’est possible, Pixar l’a fait et plus que bien!
On parle quand même ici d’une histoire d’amour entre une flamme et une flaque d’eau! Ridicule? Absolument pas, c’est bourré d’inventivité et beau à se damner, aussi bien sur le plan émotionnel que visuel. Imaginez : deux êtres qui s’aiment mais qui ne peuvent se toucher faisant penser à tant de romances impossibles que le septième art a pu produire. Si ce n’est la ville d’Elemental City qui ressemble un peu à celle de Zootopie (avec le gag de l’agent administratif mou au possible copié sur ce dernier), le peuple de la terre un peu mis de côté et quelques longueurs sur la fin, Élémentaire demeure un très grand film où la beauté de l’animation est extraordinaire (toutes ces textures et techniques différentes pour figurer les différents éléments/personnages avec un faible pour ceux du feu).
L'intensité de l'animation, se conjugue avec précision d’un scénario riche en plus d’être à plusieurs niveaux de lecture et pour tous les âges. Le peuple malaimé du feu pourrait être autant les autochtones que n’importe quel peuple brimé durant l’histoire. Les dialogues et les jeux de mots avec les éléments sont imparables et excellents, utilisant la richesse du champ lexical sur le sujet.
Un régal de tous les sens, de l'esprit, et un divertissement qui regorge de quelque chose d'aussi joyeux qu'explosif.
NOTE 17/20 - On a les yeux remplis d’étoiles durant une heure et demie de bonheur devant une œuvre aux couleurs sublimes qui surprend et émerveille sans discontinuer. Tout feu, tout flamme, ce Pixar vous met l’eau à la bouche tout du long.
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La vie bonne est prise en tenaille entre deux excès contraires. Une des plus habiles ruses du malin consiste à tout réduire à la fausse alternative entre la contrainte frontale par durcissement du jeu (coagula) et la corruption par dissolution des points d’appui (solve). Il est effectivement tout aussi difficile de sculpter une pièce d’acier qu’un bois mouillé, deux états qui mettent également en échec les transformations en lesquelles consistent pourtant culture et civilisation. Le dur et le mou condamnent l’humanité à son état naturel, entre des opposés dont les inlassables disputes donnent par ailleurs l’illusion du choix et de la diversité.
D’un point de vue psychologique et social, les individus sont pris entre la nécessité de "construire" leur vie et celle d’en "profiter", entre dureté de l’effort et mollesse des plaisirs, se hissant rarement au-dessus de la double aliénation du travail et des loisirs. Nous voyons aussi que certains s’affairent à entretenir un système dont d’autres savent profiter. Mais qu’un afféré le jour soit jouisseur la nuit, ou bien que la population des laborieux soit totalement séparée de celle des assistés, jamais la civilisation ne peut fleurir sur le terreau d’une telle société.
En politique, les partis sont ceux de l’économie du marché (droite) et du progressisme social (gauche). La vie des idées est ainsi enserrée entre les questions d’argent et les questions de mœurs, deux pôles complémentaires d’un libéralisme qui ne répond en revanche jamais à celle du bien commun. Entre la pression rigide du rendement et la révolution des modes de vie, la société est à la fois pétrifiée et dissoute, prise en otage entre un appareil de production qui l’exploite et une déconstruction qui la noie.
Il ne peut y avoir de civilisation sans idées du beau, du vrai et du bien, seules capables de dépasser les tensions binaires qui nous enferment aujourd’hui. Or tout semble au contraire se dresser contre les traditions esthétiques, académiques et morales qui ont pourtant soutenu les mondes précédents, et que notre humanité est aussi la première à considérer comme "retour aux heures les plus sombres".
La normativité républicaine, qui détourne également ce mot de son intention originelle, enferme toute vie dans le tourbillon de l’activité économique et de l’émancipation sociétale, double spirale qui a la force contraignante d’un siphon auquel seul un point d’appui extérieur permettrait de résister. Le travail et le loisir, la production et la distraction, font alors voir leur puissante complicité en durcissant le jeu et noyant le poisson, serrant et amollissant pour toujours asservir dans la diversité apparente d’une fausse alternative. Le beau consiste en une incessante célébration de l’utile et de la jouissance. Le vrai est ce qui soutient le double impératif de l’efficacité et de l’émancipation. Le bien n’y est jamais envisagé autrement qu’en termes de prospérité matérielle et de progrès moral. Tel un empoisonneur, notre temps utilise le prestige du beau, du vrai et du bien pour les détourner à son profit. C’est ainsi que le goût pactise de plus en plus ouvertement avec la vulgarité, que la vérité découle du “consensus scientifique” et de la fantaisie de chacun, et que la morale ne vise qu’à garantir l’intérêt individuel et la permissivité des mœurs.
Le recul historique met assez bien en contraste ce qu’une société peut avoir de beau, de vrai et de bien. Or en 1878, Léon Bloy attribuait déjà à son siècle "l’insolence d’un fils de laquais devenu grand seigneur par substitution, et qui se donne les airs de mépriser ses anciens maîtres". Il semble que le nôtre n’ait pas mieux grandi.
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A complete list of valid english words that are alphabetical
a
ab
abbe
abbes
abbess
abbey
abbot
Abel
abet
abhor
abhors
ablow
ably
abo
abort
abos
Abu
abuzz
aby
accent
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access
accost
ace
acer
acers
aces
achy
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act
ad
add
adder
adders
adds
addy
adeem
adeems
adept
adios
ado
adopt
ads
ae
aegis
aery
affix
afflux
afoot
aft
agio
agios
aglow
ago
ah
ahoy
ahs
ai
ail
ails
aim
aims
ain
ain't
air
airs
airt
airy
ais
ait
aitu
al
all
allot
allow
alloy
ally
almost
alms
alp
alps
alt
am
ammo
amor
amort
amp
amps
Amy
an
Ann
anno
annoy
Anns
Ans
ant
any
apt
arsy
art
arty
ary
as
ass
at
au
aux
aw
ay
BBC
b.c
be
bee
beef
beefs
beefy
been
beep
beeps
beer
beers
beery
bees
beet
befit
beg
begin
begins
begot
begs
bel
bell
bello
bellow
bells
belly
below
bels
belt
bely
ben
Benn
benny
bens
bent
Benz
berry
Bert
Bess
Bessy
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bet
betty
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bevy
bey
bez
bi
bijou
bijoux
bill
billow
billowy
bills
billy
bin
bins
bint
bio
biopsy
bios
birr
birrs
bis
bit
bitt
bitty
bivvy
biz
bloop
bloops
blot
blow
blowy
BMX
Bo
boo
boor
boors
boos
boost
boot
booty
bop
bops
bort
boss
bossy
bot
bott
botty
bow
box
boxy
boy
brrr
BST
btu
buy
buzz
by
cee
cees
ceil
ceils
Cel
cell
cello
cellos
cells
celt
cent
cep
ceps
cert
cess
chi
chill
chills
chilly
chimp
chimps
chin
chino
chinos
chins
chintz
chip
chippy
chips
chirr
chirrs
chis
chit
chitty
chivvy
chiz
choo
choosy
chop
choppy
chops
chott
chou
choux
chow
choy
ci
cissy
cist
city
civvy
cloot
clop
clops
clos
clot
clotty
clou
clow
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cm
co
coo
coop
coops
coopt
coos
coot
cop
cops
copy
coq
cory
cos
cost
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cot
cow
cox
coxy
coy
coz
cru
crux
cry
cs
de
dee
deem
deems
deep
deeps
deer
deers
def
deft
defy
deist
deity
dekko
dekkos
del
dell
dells
delos
demo
demos
demy
den
Denny
dens
dent
deny
deo
dept
der
derry
derv
des
deux
dev
dew
dewy
dhow
di
dikkop
dikkops
dill
dills
dilly
dim
dims
din
dins
dint
dip
dippy
dips
dirt
dirty
dis
diss
ditty
div
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dixy
do
doo
door
doors
dop
dops
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dos
doss
dost
dot
dotty
doty
doxy
Dr
dry
du
dux
eek
eeks
eel
eels
eely
eery
eff
efflux
effort
effs
eft
E.G
egg
eggs
eggy
egis
ego
egos
eh
ell
ells
elm
elms
em
Emmy
empty
emu
enow
envy
er
err
errs
erst
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ex
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fills
filly
film
films
filmy
filo
fin
Finn
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Gru
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ho
hoo
hoop
hoops
hoot
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hoppy
hops
hors
horst
horsy
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I
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I’m
ill
ills
illy
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imps
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inns
ins
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iOS
IOU
is
it
itty
iv
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ix
jo
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loops
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loos
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lop
lops
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loss
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lux
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mott
Motty
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mow
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mozz
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MPs
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now
noy
nu
oops
op
ops
opt
or
ort
ow
ox
oxy
oy
oz
pps
pry
ps
psst
pst
qt
st
sty
tux
tv
there has got to be more words in alphabetical order than first. i have to make more bits in my coloring of the talliee
ABCDEFGHI KLMNOP RST W Y
20/26
#sorry#im avoiding doing work in class because its boring and i have a list of english words just sitting there#and the python code really isnt hard so i just#did it#then went through that list and removed all the misspelled words because my words list is from an online corpus of english
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Tant qu’on aura pas essayé de réfléchir… devant autre chose qu’un black mirror.
Wouah, on dirait un dessin de terre plate pour satisfaire mille “platistes”, une démonstration de force nulle, de la mauvaise foi satisfaisante, recentrée sur son petit monde.
C'est débile (j'entends, "à côté de la plaque"), complètement hors-propos et c'est un effet d'image, on peut chier un slogan aussi puant et dire exactement la même chose avec "Tant qu'on aura pas essayé la démocratie" avec un calendrier de mars 1933 derrière, en voulant vanter les mérites d'un putsch militaire, qui pourrait nous sauver d’une démocratie intrinsèquement toxique... Il n'y a ni argument, ni contenu. Franchement, on a d'un côté un front populaire qui ne trouve sa force que dans un gros moteur de peur que ses membres alimentent effrontément. Je lis partout, dès qu'une personne critique le front de gauche, un membre répond "et alors? tu préfères la bête immonde ? les pires heures de notre histoire ?" Donc, ils ne se définissent en priorité, non pas par des idées, mais juste par leur opposition à l’autre côté : une droite populaire au nationalisme mou, donc forcément avec des relents d'effet de masse. Mais, encore une fois, ce que font les gens du front de gauche, c'est chercher à générer ce même effet de masse avec une frange tout aussi populiste, tout aussi, voir beaucoup plus “bête immonde”. D'un côté, un arriviste qui s'affiche ultra-libéral (mais assez français pour parler de justice sociale, cependant, selon Bernanos "Tous les dictateurs, à toutes les époques de l’histoire, ont invoqué la justice sociale" ) anti-immigration, et pro-police; et de l'autre côté des professionnels de la politique que tout le monde a vu au pouvoir depuis 30 ans, pro-immigration, anti-police, mais surtout, qui, au lieu d'utiliser leur énergie dans un débat d'idée font la même chose que ce que faisait jadis le FN, ils se remuent comme des asticots hystériques "contre ceux d'en face".
Tout homme politique qui n'a pas lu, ou plutôt, tout homme politique de plus de 30 ans qui n'a pas lu au moins 17 fois “la France contre les robots” de Bernanos, ne mérite pas un seul vote de la part de quelque peuple que ce soit. Moi je ne vote pas, pour de multiples raisons, les deux principales sont, que le vote blanc n'est pas comptabilisé, le pourcentage est faussé, et ensuite parce que j'ai l'ardent désir de participer par mon inaction à la montée en puissance d’un futur tyran, le futur dictateur qui imposera la destruction du journal Libération et qui retirera du Roman National tous ceux qui ont été joyeux et qui ont fait les éloges du régime stalinien ainsi que tous ceux qui se réclament (ou qui sont sans s’en réclamer) spirituellement sa descendance. J'ai même envie de dire que je ne voterai pas afin que la masse populiste et inculte choisisse le bien nommé, le pire candidat possible, bien nommé par les élites démocrates qui ont oublié le sens du mot liberté, liberté pour la masse de voter pour l’imposteur de son choix, ces élites postmodernes se feront éjecter par le candidat le plus radical, le plus en devenir d'une réelle dictature éclairée, plus efficace, plus incisive et plus pertinente que toutes les formes de clientélisme que l'on a connu depuis 60 ans. Dans la réalité, c'est plus triste et moins chevaleresque hein, c'est le plus gros monstre économique qui décide, c'est la loi du chiffre d'affaires. Revenons au monde des fées, des sirènes et des sorcières, en effet, le dictateur n’est pas censé bosser à plein temps à sa réélection, il a un plan d’action pour son pays (ou son portefeuille), unilatéral certes, mais il bosse son projet, sous pression ou pas. Dans notre monde réel, par contre, que ce soit les communistes ou les capitalistes ils nous l'ont vendu depuis assez longtemps et ils nous en ont fait la démonstration suffisamment de fois : que la crise est nécessaire pour avancer, en effet la crise est nécessaire pour renouveler, pour remettre sous une nouvelle sorte de forme d'esclavage telle ou telle partie de la population qui se trouve déjà relativement en bas de l'échelle du pognon, c'est cette même nécessité des crises, des accidents, des révolutions, des guerres qui peut aussi être in fine nécessaire pour balayer ce pouvoir, et la bien dans la réalité, la grosse machine, dont les racines n'ont poussé que sur cette le terreau putréfié d’une liberté que leurs marionnettes ont su faire moisir. Est-ce que pour une fois la crise ne pourrait-elle pas profiter à d'autres, plutôt qu'aux imbéciles-intelligents et opportunistes, je parle là de toute la saloperie déjà au pouvoir et en demande de pouvoir. Les Républicains, Renaissance, LFI, la gauche, ils sont de bons exemples, une droite con, ensuite, ceux qui sont tristes et inutiles : les centristes idiots utiles, et cetera et cetera, bon, vous voyez pas ? tous ceux, addicts au pouvoir, qui sont les ennemis de l'amour. Le système de notre démocratie de robots capitalistes ne produit rien, il pompe de l’énergie partout, c’est vrai que c’est divertissant, c’est un peu comme regarder les Shadoks à la télé, sauf que ce sont les libertés individuelles qui sont bafouées progressivement, et chaque parent à qui l’on a imposé de donner ses empreintes digitales pour créer un fichier "dans notre intérêt, pour notre sécurité", engendrent des enfants qui se réjouissent des caméras dans les rues, leurs petit-enfants souriront de réconfort lorsque l’on installera un robot de surveillance dans leur immeuble, et ainsi va la marche de l’escalator, vers le meilleur des mondes. Pendant ce temps-là, on nous vend quoi ? “Il faut faire barrage au fascisme ?” eh beh. Quelle formidable bande de nullos, ils sont les abrutis-utiles et bruyant du système moisi.
Quand il dit au milieu du livre « tout ce qui se passe ces dernières années », alors qu'il parle des années 40, tous ceux qui ont lu et n'ont pas ajouté les 50 années suivantes pleines d'ignominie, qui se revendiquent comme les politiciens d'aujourd'hui, sont des imposteurs.
Les deux éléments les plus inquiétants du futur sont les mêmes qu'hier, car ils n'ont pas perdu en dangerosité et se sont amplifiés avec les moyens modernes du système économique et du pouvoir. La réalité de la démocratie est loin de l'image que s'en fait un jeune. Aujourd'hui, voter revient à soutenir un lobby ou un secteur économique achetable, comme l'ont montré les élections passées et celle d'Emmanuel Macron.
Ces deux éléments sont les suivants :
1, L'effroyable docilité du public face aux changements et à la perversion de la liberté.
2, La terrifiante capacité de ce même public à engendrer des monstres dans le système démocratique actuel.
Je ne vois aucun programme politique qui propose d’endiguer, ou même qui avoue être conscient de ces deux défis, les plus importants selon moi dans une sphère politique qui devait mériter le respect que l’on doit démontrer à l’égard de ce qu’autrefois on appelait un État. Il n’y a plus de patrie, ni guerrière(Macron joue aux Legos d'erzatz de guerre en polystyrène, ça compte pas), ni familiale, ni terrienne. On réduit tous les reste de tradition au rang de folklore, même les genres n’ont plus de réalité claire…
Tant qu’on aura pas essayé de réfléchir… devant autre chose qu’un black mirror.
#france#politique#communisme#droite#gauche#voter#vote#elections#2024#dessin#extrême-droite#Allan Barte
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"La piste du grand cirque est savonnée. Quand on tombe ça fait un bruit de mou et aussi des bulles. Sur les gradins, les curieux gredins rigolent ou se chamaillent en regardant disparaître la mousse aux trousses. Les orateurs se relèvent et glissent encore des bons mots punchline en états-unien. Ils patinent en choeur et dans les virages essayent de prendre du large; non sans avoir fait quelques queues de poisson-torpille, et deux pieds en coulisse. Quelques doigts aussi. Chacun se prend à rêver éveillé. Il faut y croire pour y voir Rien n'est perdu, tout se transforme. Demain c'est le grand jour On est à la bourre, pas à la guerre. Sur les gradins, ça se bidonne, ça s'interroge, ça se bibine, en attendant la suite de la comédie française et la nuit pour oublier.
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« L’identité de l’Europe, c’est d’être sans identité » affirme le juif ultra sioniste Mathieu Slama
Le juif Slama est la caricature du juif éternel : mou, sans énergie, lascif, gluant, dissolvant, morbide, génocidaire.
Et bien sûr, sa haine de l’homme blanc, sur le dos duquel il prospère, est sans limite.
Quelle immonde gueule tordue d’hébreu avec ses yeux vitreux de poisson mort.
Si ce yid est sur tous les plateaux, c’est uniquement par le népotisme tribal. Il est le fils du juif Alain-Gérard Slama, un rapace libéral qui squatte les cercles dirigeants parisiens depuis toujours.
Il va sans dire que les mots « droits de l’homme » ou « ouverture » ne se comprennent ici que dans le cadre de la lutte des juifs pour construire un monde où seuls les juifs auraient conservé leurs caractéristiques et conscience raciale tandis que les goyim, concassés en un magma informe par l’immigration et le multiculturalisme, devraient déléguer aux juifs le rôle de les guider.
Ce n’est donc pas de l’idéalisme désintéressé, mais une soif inextinguible de domination qui pousse le juif Slama, comme tous ses congénères, à prêcher le sans-frontiérisme chez les autres.
Slama, quand il est question de sa race, est beaucoup plus intransigeant à propos de la question identitaire. Soudain, l’identité juive est millénaire, tout comme son droit de faire la guerre pour conquérir des terres.
Pour comprendre la mentalité génocidaire de ces yahvistes, il y a deux livres à lire.
La culture de la critique, Kevin Mac Donald
Les espérances planétariennes, Hervé Ryssen
Vous ne verrez plus jamais la race juive de la même manière, comprendrez les méandres de leurs sophismes permanents et surtout apprendrer à les haïr et les combattre rationnellement.
La Judée doit être détruite.
Démocratie Participative
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260324 Maybachufermarkt:
"Ich bestell' auch ein Chicken Mal nochmal neu"
und
"Das war doch nicht gut einkalkuliert, Jakob."
+ J'apprends à m'énerver.
290324 deux bouts de temps, deux aiguilles entre les doigts, serrer les applatit, la matière monte au dessus de la pulpe et des ongles, un pic plat.
+ Croire est plus rapide que ne pas croire, ou en tout cas plus glissant.
300324 "J'ai une partie de ma maison qui est consacrée à ce que je mets dans mon sac." Moi, répété par Manon, ce qui rend la phrase drôle.
310324 un son
Entre les dents
Tu cours
Sur un tapis blanc
Devant un escalier mouillé
Que tu prends
On ne sait
Pas à pas
Si tu montes
Ou tu descends
Laquelle est le reflet
Et les nuages
Cachent ton cœur âgé
Qui continue de marcher
Eux
Va-et-vient
Ont une fin
Hors-champ
Où tu réapparais
010424 Rien n'est fini, ni le mot, ni son sens, ni la chose.
020424 "... Car si vous répondez à toutes les longueurs d'ondes, vous gaspillez de l'énergie pour fabriquer du nectar pour quelqu'un qui n'en boira jamais." (Le génie caché des plantes, Arte)
+ Le fantôme dans la pièce
S'endort sur tes genoux
C'est doux et il s'y enfonce
C'est si bon! Mais tu tousses
Le bond qu'il fait
Maintenant il est
Le fantôme
dans la pièce au dessus.
+ Armature ôtée, j'ai mal et je vis, je sens tout ce que tu me fais. Tu m'as eu à défaut, avec défauts, et tu me tues dans la vie amoureuse.
+ Ventre vide, ventre mou
+ Si tu ne me donnes pas de mots, je comprends tout à la fois et le flou n'est pas adversaire.
030424 à l'heure de marcher je reste et je regarde le mur. Une araignée bouge et m'oblige de la suivre. Ensemble arrivées à la fenêtre, nous faisons demi-tour, Elle dans ma main, moi dans la forêt. Perdues, nous grimpons. En haut, debout, campées et balancées, nous observons le monde. J'ai ma clé dans ma poche, je ne sais pas comment j'ai fait ça.
040424 Manette m'a dit des poèmes.
+ Gide dit de Poussin, qui n'a jamais été l'éleve de personne ni n'a jamais eu d'élève, que "son défaut même de virtuosité et la lenteur de sa main persévèrent sa secrète valeur."
+ Le géant s'est foulé la cheville sur une montagne et s'est noyé dans l'océan.
+ Le noir dans l'ombre des montagnes vu depuis l'avion me rappelle les cieux noirs de mes histoires de jeunesse. Les personnages et les objets n'avaient pas besoin de lumières artificielles dans ces mondes-là.
050424 Des lumières de la corniche on voyait la mer noire.
+ Le musée d'art trop moderne
+ Du train, duo côté fenêtre, un album de '97 dans les oreilles, je savoure les coquelicots en ligne mélangées de ces autres fleurs qui sont jaunes, elles vont toutes à Marseille, je vais à Montpellier, on se croise, on se séduit de l'oeillet dans les champs entre mer et mer.
+ Et deux refrains différents dans la même chanson ? (Byrne, Daddy go down: semi-refrains)
+ Maintenant des fleurs blanches dans les rangs également, et les arbres, et les maisons, et les montagnes, tout ça se précipite à Marseille! Seul le ciel vient avec moi.
080424 Katja a dit: "Il faut chercher les trous avec les yeux."
+ Cezanne, ouvre-toi
Korma Police
(Fred)
Il vaut mieux une catho à l'escalade qu'une scato à l'écalade. (Pao)
+ La parole est au greffier fatigué d'être.
+ Sophrote et la linguistchique
110424 Se poser et voir le monde, Jean-François Billetter: j'ai l'intuition qu'on peut entendre le résultat, qu'importe qui on est, mais que la description du chemin de Bonnard ou d'un autre esprit brouille la recherche du chemin propre, qui peut être très très très différent.
+ Luc: "La résine est une hérésie" (en parlant de chaux, évidemment)
"J'ai même pas senti le poulet, j'ai senti que les champignons! On dirait des chips!" (Blablabus Montpellier Marseille)
+ Décrire la bête marseillaise (Gérald)
220424 Bah, ces coquilles valent bien les hippocampes séchés de mon enfance, que ma mère a jetés. Tout aussi passionnantes, elles ne sont pas cadavres. Cela leur enlève un sombre attrait dont je me passe volontiers.
+ Collectionneur des restes de ma vie, aujourd'hui je mets tout à donner. Presque tout, n'oubliant pas la demi-mesure fraîchement apprise. Homme de peu de passé, avance mieux. Je libère ainsi mes yeux intérieurs, c'est bien là que la douleur siège.
+ Tant de belles choses non notées, mais j'avais trop mal. Je m'efforce maintenant de ne plus exagérer.
+ Je suis un vent dans une forme molle qui était liquide. (Paul Valéry: "[...] tout solide actuel a passé par la phase liquide, fonte ou solution." L'homme et la coquille, folio sagesses p. 72)
... Dans l'aqueux je n'eûs pu entrer ! Suis-je né vent du mouvement de la construction de cet être de chair? Petit à petit, soufflant de plus en plus, ou s'y préparant, à mesure que l'embryon se formait et se creusait d'organes ? Y étais-je enfermé jusqu'à la sortie à l'air libre? Ou suis en fait le premier flot d'air libre entré dans ce corps qui s'est ouvert à moi? Un bout transparent, fluide et volant du monde, de l'univers, peut-être, venu de loin et mené jusqu'à cette bouche qui m'accueillis?
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𝖬𝖺𝗅𝗅𝖾𝗏𝖺𝗅 𝖾𝗇 𝖵𝖾𝗋𝖼𝗈𝗋𝗌
𝖨𝗌𝖾́𝗋𝖾 / 𝖥𝗋𝖺𝗇𝖼𝖾🇫🇷
𝖡𝗒 ©️𝖫𝖬®️
#ma vie d’amour#mon cœur#seul dans la nature#photographers on tumblr#nature photographer#france#nature#isère#naturecore#original photography on tumblr#je taime géraldine#je pense à toi#mots de mous deux#mots de tendresse
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Deux mots, sept lettres - Partie 1.
J’entends quelque chose bipé au loin, c’est là que ma carcasse commence enfin à se mouvoir, avec difficulté, mais au moins j’arrive à bouger. J’ai des courbatures partout, vraiment partout. Même mes cheveux me font mal, ce qui est pourtant physiquement improbable. Je tâtonne mon oreiller tel un cadavre en train de ramper pour me rendre compte que quelque chose de mou et de poilu s’est posé sur ma…
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L’histoire et la recette de la brioche
Durant la période de confinement, la confection de la brioche est devenue une tendance. Avez-vous déjà préparé de la brioche maison ? Vous recherchez des astuces pour la réussir ? Découvrez l’histoire de cette pâtisserie et essayez la recette de brioche que nous avons testée pour vous. La naissance de la brioche La brioche est une pâtisserie originaire de la Normandie. Elle était née au cours du XVIème siècle. Ce mot est un dérivé du verbe « brier », qui signifiait broyer en Normand. Celui-ci désigne donc la pâte pétrit avec entrain avant de la laisser reposer. Après plusieurs années, le suffixe « oche » aurait été ajouté pour désigner le produit obtenu après le pétrissage de la pâte à l’aide d’un rouleau à pâtisserie en bois. A l’époque, la brioche a été très appréciée pour la qualité de son beurre. Selon la recette traditionnelle, il faut 400g de beurre pour 1 kilo de farine. C’est cette proportion qui justifie son saveur hors du commun. Peu de temps après, la brioche se diffuse en Vendée et dans de nombreuses autres régions. Quelles sont les différentes variétés de brioches ? Aujourd’hui, chaque région a sa propre recette de brioche locale : - La brioche vendéenne est une brioche tressée, - Le babka, une brioche tressée au chocolat, - La Fallue ou brioche normande, - La brioche parisienne se compose de deux boules superposées, - Un brioche traditionnelle du Dauphiné ou la pogne, un gâteau parfumé à la fleur d’oranger, - La brioche de rois née en Provenance, - La brioche allongée connu sous l’appellation Thewkele d’Alsace. Recette de brioche maison Avec notre recette de brioche maison, vous pouvez préparer une mie moelleuse et fondante parfaite pour le petit-déjeuner ou pour une pause goûter. Bien aérée et alvéolée, cette brioche très riche en beurre fond dans la bouche. Les ingrédients pour la recette de la brioche Pour une brioche pour six personnes, il vous faut : - 300 g de farine, - 120g de beurre mou, - 3 œufs, - 35 ml de lait tiède, - 20 g de sucre en poudre, - 10 de levure de boulanger, - 6 g de sel fin, - Pour la dorure : 1 jaune d’œuf battu avec 1 cuillère à soupe de lait seront nécessaire pour cette recette de brioche Les étapes de la préparation Selon les matériels en votre disposition, vous pouvez choisir de pétrir la pâte à la main ou à la map-couvercle ouvert. - Réhydratez la levure dans une petite quantité de lait tiède pour cette recette de brioche, - Dans un grand bol, mélangez la farine, le sucre et le sel, - Ajoutez la levure réhydratée dans le reste du lait et mélangez avec la farine, - Additionnez les œufs et pétrissez jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène et bien lisse pour cette recette de brioche, - Incorporez le beurre mou coupé en dés et continuez à pétrir jusqu’à que la pâte se décolle des parois de la cuve, - Formez une grosse boule et laissez se reposer 30 minutes à température ambiante puis au réfrigérateur pendant 10 heures. N’oubliez pas de déposer du film alimentaire au contact de la pâte, puis de couvrir le saladier d’une seconde feuille de film alimentaire ou d’un torchon. - Récupérez la pâte et retravaillez-la pour la dégazer, - Cette recette de brioche préconise de diviser la pâte en 5 pour façonner 5 petites boules, - Prenez un moule à cake généreusement beurré et fariné puis placez les boules les unes à côté des autres, - Laissez reposer pendant 3 heures dans un endroit tiède, avant de dorer la surface, - Préchauffez le four à 180°C et faites cuire la préparation pendant 45 minutes. Il arrive souvent que la surface de la brioche prenne de la couleur trop vite. Si c’est le cas, couvrez-la d’une feuille d’aluminium. Maintenant que cette recette de brioche n'a plus de secret pour vous, aux fourneaux! Read the full article
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Jour 16 : Conte de Noël
Le père Martin était cordonnier. Il vivait seul dans une petite échoppe qui lui tenait lieu de chambre, de cuisine et d’atelier.
Le soir du 24 décembre, il se dit : « Si c’était demain que Jésus naissait, je saurais quoi lui offrir ! ». Il se leva, prit sur son étagère deux petites chaussures de bébé en cuir blanc bien mou, fermées de boucles argentées : « C’est mon travail le plus fin ! » se dit-il.
Cette nuit-là, le père Martin entendit en rêve une voix : « Martin ! Tu as envie de me voir ? Demain, je passerai devant ta fenêtre. Ouvre-moi. J’entrerai et viendrai m’asseoir avec toi. » Nul doute, c’est Jésus qui lui parlait ! Il se leva tôt le lendemain, activa le feu, balaya son atelier, rangea toutes ses affaires. Il prépara du café, du lait, du pain et du miel. Et il courut se mettre à la fenêtre pour guetter son invité.
Un balayeur passa devant chez lui, soufflant dans ses deux mains. « Pauvre homme, se dit le père Martin, il doit être gelé ! ». Ouvrant sa porte, il le héla : « Entre, mon ami, viens te réchauffer ! J’ai là un bon feu et du café chaud ! ». L’homme ne se fit pas prier. Il entra et passa un moment en sa compagnie.
Une heure plus tard, le père Martin aperçut une femme pauvrement vêtue, un bébé dans les bras. Elle semblait si fatiguée. Il lui demanda : « As-tu besoin d’aide ? La femme répondit : « Je vais à l’hôpital avec mon enfant. Je suis malade et je suis seule chez moi... ». Le père Martin répondit : « Entre ! Assieds-toi. Prends cette tasse de café chaud. Et voici une tasse de lait au miel pour ton enfant... ». Le père Martin remarqua que l’enfant avait les pieds nus. Il se leva et prit sur son étagère les petites chaussures blanches qu’il aimait tant. Elles allaient à merveille aux pieds du petit. La mère le remercia et repartit.
Le père Martin se remit à guetter par la fenêtre...
Le cœur bien lourd, il alla se coucher le soir venu. Il n’avait point vu Jésus.
Soudain la pièce fut inondée de lumière. Martin vit le balayeur et la mère avec son enfant. Ils lui souriaient : « Ne suis-je pas passé devant chez toi aujourd’hui, Martin ? Ne m’as-tu pas offert à boire et à manger devant la chaleur de ton feu ? »
Alors, il entendit une voix douce, répétant ces mots de Jésus : « J’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire, j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu (…). Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites. » (Matthieu 25.35-36)
Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites.
Matthieu 25 : 40
Et vous ? Qui allez-vous inviter pendant ces fêtes, que vous ne connaissez pas, et qui n'aura pas les moyens de vous le rendre ?
Ruben Saillens
Lecture du jour 16 : Esaïe 52 : 7-10
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E2463 (1)
cette nuit c'est le matin cohors classica marine romaine débarquant surprenant non pas n'importe comment comme vulgaires vikings mais discipline ordre et stratégie mouvement encerclement regroupement redéploiement colonnes par deux dryopsophus aureus graciles grenouilles vertes et or lydie prunelle de leurs yeux nez aquilin 15 centimètres sans son cheveux courts auguste compagnon tête la première ses compagnes amazones voraces sur des proies plus grosses telles déesses païennes envahissantes aux frontières du littoral pas moins de quarante 4 lignes parallèles joyeuses cohortes traversant côté droit côté gauche sus aux baveuses viles limaces errantes sans foi ni toit premières lignes garde royale élite coquille sur le crane bouclier protecteur résistant aux pinces coupantes larges avenues ou simples ruelles chemins caniveaux rigodons rus mise en branle conquête terres nouvelles or et châteaux filles et mères à remplir fils frères aux mines pères au pal notre bien aimée valeureuse armée sang mêlé à prévoir seaux serpillières éponges à essorer c'est l'heure pas de pitié abeamus larmes cris effroi visqueuses sous la cendre la suite risque de s'arrêter là car nous sommes dans l'impossibilité de décrire en détails cette boucherie les mots nous manquent le temps d'en créer de neufs la réalité aura disparue doute sur les dates lieues faits réels qu'importe il a été convenu par le comité central des scriptors romains qu'on s'en moquerait de la véracité conteur resumere sic lyre ces grenouilles filles de lesbos suavement chaudes au cœur du réacteur danses suaves harpe kliné deux mètres vingt esquisses les guerrières en ordre de bataille centurie VI hastatus posterior hastati centurie II princeps prior principes centurie V princeps posterior principes centurie I pilus prior triarii centurie IV pilus posterior triariiles ennemis de mes ennemis les escargotsles crabes krabbes ceux des palétuviers sont les alliés pour ce coup rainettes fines gambettes qui gonflettes qui bouffeuses d'hélium qui ne se dégonflent pas à l'attaque depuis le temps à palabres stériles pas de quartiers régiments fantaisistes bond par ci bonds par les hautes herbes tous ensemble finit à croire au bœuf boulimique quelle est la différence entre une rainette et une grenouille où vivent les rainettes comment se reproduit la rainette comment se débarrasser des rainettes pourtant associés crabes mous crabes violonistes en filtrant la vase excrémentielle mets de choix cadavres occis crabes longs cigales est ce que les crabes savent nager leur carapace est elle démontable pinces coupantes pinces scie pinces noix tourteaux bâtards erreur de jeunesse fils filles esclaves d'une dalmatienne conquise aux araignées crabes bleu l'enragé le crabe vert véritable char d'assaut le royal le crabe fantôme le violet du cocotier le rouge l'étrange marche bernard l'hermite si humain se reproduit en attaquant une main perdue dix de trouvées citadelle assiégée formation la tortue squatteurs face aux grenouilles et les crabes ennemis séculaires
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