#mon perso chéri
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compte-fan · 21 days ago
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Les Recocos de Compte Fanito - novembre 2024
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Hello l'ékip, comment elle va ? Perso ça novembre tranquille, y fait froid et moche, on écoute et voit du réconfort donc pas tant de nouveautés ce mois-ci mais bon les recocos restent de qualités lol
belle lecture ;)
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Une fois n'est plus coutume, on commence par la musique. Ce mois ça réécoute pas mal, rien en particulier mais quand même deux trois trucs m'ont un peu percuté la gueule pour mérité la place dans ce e-papier.
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Navy Light (4am Mix) - Labyrinth Ear
La première qui m'a lancé dans le 11eme mois de l'année, c'est la découverte de ce mix de 4 heure du matin ou de l'après-midi je confonds toujours les am et les pm. bref. Je connaissais déjà Labyrinth Ear pour l'original de Navy Light sans jamais me pencher un peu plus sur ces gens. Bah j'ai écouté du coup leur premier EP, de 2010 et bam, comme la chanson que j'aimais bien en mieux, c'est froid, c'est sexy et dansant = évidement que je suis client.
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Chéries chéris (feat. The Hidden Squares) - Léonard Lasry
Vous le savez tous, enfin certains, j'ai pas mal festivé au Chéries Chéris -festoche de film parisien. J'ai par conséquent écouté avant chaque séance le générique, que dis-je ce tube, inlassable, chic et sensuel... ça donne un peu envie de faire de la voile. Fin bref, j'ai pas fait de voile mais c'est rentré en playlist, je l'écoute beaucoup.
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P.U.L.P. - La Feste Antonacci
On se les cailles non ? Par chance La Feste Antonacci vient pour nous réchauffé un peu. On dirait un peu du Fantazio en complétement différent, c'est sexy. (ma sélection pu le cul pardon). L’Italie, le saxophone synthétique et le scat c'est le cocktail gagnant de mon hiver déso pas déso.
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Nicht Neues im Westem - Sofie Royer
Alors je vous vois déjà crier au scandale, quoi encore Sofie, laisse nous tranquille t'en parles tous les mois et bah quoi j'aime bien, d'ailleurs je vais surement en parler la prochaine fois aussi, je vais la voir en concert en septembre.
Ce mois-ci, notre autrichienne préférée, faute de concurrence mais pas que, nous sort. un album trilingue (anglais, allemand et français). C'est génial, un peu chic et candide, un peu peste, un peu chiante, un peu YOLO, voilà. bon dans celle là elle questionne l'est mais faut imaginé le reste ou encore mieux, venir avec moi (fin dans la même salle) à son concert parisien le 13/12... bien à vous.
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Eh oui, passons aux films....
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Un couteau dans le Cœur - Yann Gonzalez (2018)
Je l'ai un peu laissé passé à sa sortie, en me le gardant pour plus tard. Un plus tard qui n'est arrivé que maintenant et de fait avant je n'aurais pas aimé mais de faite qu'est-ce que c'est géniale. La Vaness et le Nico Maury dans le milieu du porno gay français des années 80. C'est intime et violent, haletant et bandant c'est génial. J'ai pas grand chose à dire de plus, je voudrais pas divulgâcher.
Peut-être mon nouveau film préféré.
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Sebastian - Mikko Makela (2024)
Bah oui je vous ai dis y a 30 secondes que j'ai étais à Chéries Chéris ne te plein pas que je te parle de film pas encore sortie merci. Donc là on suit Seb, enfin Max, enfin les deux. bon c'est la même personne et en gros max il écrit des livres et des articles et là y écrit sur les gigolos sur internet, sur les escort quoi et donc y devient Sebastian et va coucher avec des vieux pour s’en inspirer en mode bouquin. Jusque là normalement, on y voit rien d’intéressant ça fait un peu peur même je sais pas on dirait que ça va être nul et bah du tout. En faite, c'est super pour la diversité des relations qu'ils expérimentent, pour les liens qu'ils tissent et ceux qu'y délaissent en Max. La relation à l'un d'entre eux en particulier est super, notamment lorsqu'elle aborde la transmission du savoir gay de manière intergénérationnelle.
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Les Reines du drame - Alexis Langlois (2024)
C'est moi y a encore un pattern là ?... Après les PD tueurs, les PD putes voici les PD chanteuses de variet'
Bon c'est EXCEPTIONNEL, il faut le voir, tous est bien, c'est ultra référencer, DRÔLE, triste, les CHANSONS sont exceptionnelles et tout et tout GO GO GO
De manière plus précises, on peut dire que c'est une belle réflexion sur la société lol.
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OH c'est le moment de LA série !
Iris - Doria Tillier (2024)
Oui Doria aime Phoebe Waller-Bridge, ça tombe bien moi aussi. La comparaison avec Fleabag est facile mais c'est deux histoired de femmes, écrite et réalisé par une femme, qui plus est, est l’interprète principale du personnage principale.
Iris, c'est l'histoire d'une meuf qui ne confond pas désaccord et conflit, du coup quand elle pas les pâtes, bah si tu lui la question elle dit qu'elles sont pas bonnes, voilà c'est simple. Iris, aussi elle écrit un livre pour enfant, sur une fille qui a pas sa langue dans sa poche. Iris, elle a une éditrice qui croit en elle, et un mari, peintre, et lui y parle bien, mais que quand il a des trucs à dire.
Voilà c'est doux et amer, le début est beau, le milieu est beau et la fin est belle. Le casting est parfait Doria Tillier, Jeanne Balibar, François Morel....
Je vais la regarder souvent.
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Attention pêle-mêle original pour ceux qui sont toujours là : un livre, un spectacle et une ville. ALLOns-y...
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Johnny, est-ce que tu m'aimerais si j'avais une plus grosse bite ? - Brontez Purnell (2024)
C'est par cette phrase sous forme de crise existentielle que Brontez, intitule puis commence son auto-fiction, un enchainement de courts textes, plus ou moins contemporain, qui rentrassent en filigrane la vie d'un punk noir gay pd de l'Alabama, qui vit en banlieue de San-Francisco. Derrière le "transgressif" qui pourrait faire trembler la bourgeoise hétéroflic, j'ai découvert une personnage, un auteur subtil, délicat, réflexif...
Surement un très beaux cadeau de Noël pour vos mamans ;) #CompteFanBonPlan
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Ambroise et Xavier - 2022
On connait le duo de sympa cool sur le web ou dans la lucarne chez C a vous, mais bien qu'ayant eu de bon retour sur leus spectacle, je ne l'avais pas vu. C'est chose faite, la capta, très travailler, viens de sortir sur Comédie. C'est un méta show ça par dans tous les sens, à la limite de l'indigeste vous allez adoré.
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La ville de Dunkerque
J'ai étais un Dunkerque avec une copine, c'est une très belle ville avec des habitants très sympa bien que discret. J'y reviendrais pour sûr.
Jean Bart vous aime.
Biz
Compte...
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Mon self-insert pokemon !
C'est la petite amie de Tarak, elle est sa fan n°1, à un tel point que sa chambre est tapissée de posters et de photos de son chéri ! Son Pokémon de prédilection est un Aquali
"Nabil, tu sais comment je suis avec les fangirls de Tarak qui l'aiment un peu trop ! Alors imagine avec ceux qui veulent du mal à mon Tarak d'amour !"
(Réplique de mon perso quand le joueur et Nabil vont allés chercher Tarak à la Shehroz Tower)
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justeunefilleblog · 1 year ago
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Sixième confidence
Parlons livre, parlons tropes.
Je lis de la romance depuis un bail. D'ailleurs, j’ai commencé la lecture avec de la romance. Et donc j'ai lu à peu près tous les tropes les plus populaires.
Il y a certains tropes que j'affectionne, tel que le fake dating, l'ennemies to lovers, le mariage arrangé (arrangé, pas forcé), la proximité forcée. Mais il y a des tropes (un en particulier) que je ne peux pas me les voir et je ne comprends pas comment ni pourquoi des gens les aiment.
Le coupable est… la trope bully to lovers. Qui s'est dit que "ooh et si je créais une romance entre le perso méchants qui harcèle, fais de la violence physique ou émotionnelle et sa victime !" ?????
Mais bon sang de bonsoir ! Est-ce que dans la réalité ça arrive vraiment ? De tomber amoureux de la personne qui nous t’a mis plus bas sur terre, qui t’a fait croire que tu ne méritais pas d'exister, qui des fois t’a poussé à essayer de mettre fin à tes jours ?
Je peux comprendre le pardon. Haïr quelqu'un ça demande beaucoup d'énergie, des fois pour notre paix intérieure, vaut mieux pardonner et laisser partir cette partie de notre vie. Mais de là à tomber amoureux ? À vouloir construire un avenir ? À vouloir avoir des enfants ? ”- Maman, comment t'as rencontré papa ?” ”- Eh bien mon chéri, c'était un matin de printemps, en arrivant à l'école ton père m'est tombé dessus, m'a insulté, m'a menacé, m'a traité comme une merde et soudain boom coup de foudre.”
Hmm... En tout cas… Si vous voulez que je fasse la gueule, offrez-moi un livre avec la trope bully to lovers.
Un autre trope que je n'aime pas, c la trope prof & Élève. Je ne sais pas, je me dis qu'automatiquement qu’il y a de l'amour, le prof perd son autorité et son impartialité. Il y aura sûrement du traitement de faveur et du parti pris même à petite échelle. Il y aura des regards prolongés, des sous-entendus. Voilà quoi, je ne déteste pas ce trope, mais je l’évite comme la peste 🚶🏾‍♀️
Dernier de ma liste (fin, il y en a d’autre, mais je vais m’arrêter à trois), La trope age gap. Alala, celle-là, je ne sais pas trop pourquoi je ne l’aime pas. Mouais, je sais l’amour n’a pas d’âge, mais bon 18 ans-30 ans hmmmmmm. Cette trope me met mal à l’aise, je n’ai pas d’arguments comme pour les deux derniers, mais voilà, je ne l’aime pas trop.
Nous voilà arriver à la fin de l’article du jour ! J’ai été heureuse de parler de livre, je le ferai plus souvent ! J’espère que ça vous a plu !
Et vous ? Quels sont les tropes que vous n’aimez pas ? dites-moi tout !
Bye Bye les gens :)
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getakupepi · 2 years ago
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[FR]
Nouvelle commande terminée pour mon chéri et son perso de #ffxiv ! Je l'aime vraiment bien, je pensais que ce serait plus dur que ce que je pensais de dessiner un pantin avec un chapeau mais c'est plutôt réussi je trouve ! Et ça change un peu des dessins habituels ! Je reprends activement le dessin après une longue pause de presque 2 mois, car j'étais en déménagement dans un autre pays ! Mais me revoilà, et j'ai pleins de dessins à partager, alors restez attentifs ! N'hésitez pas à partager mon travail, ça fait toujours plaisir !
[ENG]
New commission done for my beloved one and his character from ffxiv ! I like him so much, I thought this must be much more difficult to draw the little "pantin" and his hat but it is done pretty well ! And it changes a little from my currents drawings ! I'm back actively after a long rest of almost 2 months, because I was moving out to another country ! But here I am, and with a lot of drawings to share, so stay tuned ! Do not hesitate of sharing my work, it is always a pleasure !
10/09/2022
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aforcedelire · 2 years ago
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Un peu de blabla perso, une fois par an…
En 2022, j’ai réussi mon challenge personnel : j’ai atteint les 100 livres lus ! Je m’étais fixée d’autres objectifs (lire plus de SF, lire Dune, Middlemarch ou encore Shirley, baisser ma PAL…), que je n’ai pas forcément réalisé (à part pour Middlemarch), et ce n’est pas grave. Pour 2023, je vais essayer de lire 120 livres ; c’est peut-être un peu énorme, mais cette année je vais comptabiliser les albums jeunesse dans ma liste !
À part ça, j’ai vécu une année 2022 riche en émotions. J’ai eu la chance de rencontrer plusieurs auteurs dans plusieurs librairies (notamment les grands Pete Fromm et Piergiorgio Pulixi), j’ai participé aux Rencontres Nationales de la Librairie à Angers, j’ai déménagé puis emménagé avec mon chéri, j’ai lancé un club lecture à la librairie où je travaille, et j’ai fait plein de super lectures. En fait, j’ai surtout commencé 2022 en beauté avec plein de romans trop cool, entre Les Quatre filles du Docteur March, Anne de Green Gables, Normal People, Là où chantent les écrevisses, Mon désir le plus ardent… j’espère avoir autant de bonnes lectures cette année !
Mais bon, 2022 c’était aussi l’année où je me suis battue avec une grosse grosse panne de lecture (ma première à vrai dire), où plus rien ne me faisait envie. La cata !
En 2023, j’aimerais, à défaut de baisser ma PAL, au moins réussir à sortir quelques bouquins qui y sont depuis un bail. J’aimerais lire plus de young adult, et me mettre un peu plus à la SF. Et atteindre les 120 livres en un an, qui sait ! Je vais aussi essayer de prendre rapidement des photos de mes lectures en cours pour ici, ces derniers temps j’ai beaucoup traîné et j’avais parfois un mois de retard dans mes avis. Alors bon, même si je ne suis pas sûre que ça vous inquiète fort, moi ça me stresse ! x)
Et pour 2023, je vous souhaite (je nous souhaite) de très bonnes lectures, et plein plein plein de coups de cœur !
Qui ici a des résolutions livresques pour cette nouvelle année ?
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pourquoicommentparceque · 7 years ago
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Quand je joue à un jeu de rôle et que je me prends d’affection pour le personnage que j’ai créé: un adorable et très sage prêtre borgne de 60 ans, très laid, atteint de Parkinson, bipolaire, hyperactif, ayant des compétences de médecine, de psychologie et de persuasion. #Dédi à Père David 
When I play a role play and get fond of the character I have created: an adorable, very wise, one-eyed 60-year-old priest, very ugly, Parkinson's, bipolar, hyperactive, with medical, psychological and persuasive skills. #Dedication to Father David
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merrilyenspensieve · 3 years ago
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Ça faisait bien longtemps que je n'étais pas venu faire une petite apparté par ici.
Si vous avez suivi mes aventures (oui on en est là 🤣) vous avez pu constater à quel point j'ai été un peu submergée c'est dernier temps par ma formation, les suivis de Bebinous mais aussi des drames perso.
J'aimerais revenir plus souvent. Continuez à raconter ma petite vie comme je le fais depuis 5ans déjà ( ça ne nous rajeunit pas les enfants 👵,🤣)
Je profite donc de cet entre-deux fêtes pour faire le point sur le passé et le futur.
Déjà, il ne faut pas se leurrer ma dépression est toujours là. Elle agit en dent de scie. Je ne prends plus du tout de médocs par contre et ça c'est un bon point. La formation que j'ai intégré m'a beaucoup aidé à l'amadouer mais surtout mes vacances auprès de ma famille. En plus, pour Bebinous ça se passe vraiment bien. Il est toujours bien intégré dans son école son AESH est toujours au top du top. Quant à ses suivis, il c'est vraiment bien habitué aux nouveaux professionnels, j'ai ajouté l'équithérapie et l'éveil musical et ça lui fait un bien fou. Il s'approprie doucement mais sûrement sa tablette de communication et demande de plus en plus de choses. Il commence aussi à sortir quelques syllabes et il a une voix trop choupinou 😱🥰. On a eu l'ESS pour l'année prochaine, pour son entrée en CP, tout le monde préconise une ULIS ou un suivis en classe ordinaire avec accompagnement d'une AESH (la sienne en l'occurrence que j'ai fortement demandé). J'attend maintenant la réponse de la MDPH. Bebinous a aussi passé des tests pour évaluer son niveau de compétence (le PEP) et le meilleur support de communication avec lui (COMvor). Les résultats me seront communiqués le 13 janvier.
En ce qui me concerne, j'ai passé la soutenance de ma formation le 15 décembre dernier. J'ai pas franchement cartonné mais je suis contente de lavoir fait. Surtout que je ne compte pas m'arrêter là. J'entame une nouvelle formation le 15 janvier pour devenir rédactrice web ça c'est acté mais j'essaie d'obtenir un financement de pôle emploi pour une formation soit pour devenir correctrice (mais ne vous inquiétez pas il y aura une remise à niveau en orthographe parce que j'en ai biiiieeeeennnn besoin) soit pour me certifier dans WordPress. Les deux me semblent importantes mais sont financièrement très onéreuse alors selon ce que préconisera mon conseiller je trouverais un plan B pour l'autre 😊 Donc j'ai bon espoir de devenir auto-entrepreneur d'ici septembre 2022 mais chaque chose en sont temps.
Avec le chéri tout va toujours pour le mieux. On s'aime. C'est pas tout les jours facile entre son anxiété, ma dépression, Bebinous, l'éloignement et notre avenir professionnel incertain. Il y a des périodes de crises mais on les surmonte toujours et on a toujours envie d'être là l'un près de l'autre.
J'ai déjà mes résolutions de prévu pour la nouvelle année. Je vous en parle la semaine prochaine 😁 je voudrais vraiment les réussir cette fois 💪
Allez on y croit 😎
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zahandozawarudo · 4 years ago
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Non sono morto, ho solo perso la memoria ,Mon chéri
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magicnightfall · 4 years ago
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MY SADNESS AND MY HOPE
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*Avviso ai naviganti: questo post è come quelle ricette che trovate sui blog di cucina in cui prima di arrivare a leggere il procedimento per la panna cotta dovete sorbirvi il racconto dell’infanzia a San Vito Chietino di chi ha scritto l’articolo. Pertanto, se non volete conoscere lo stato della mia sanità mentale dopo più di un anno di pandemia, perché giustamente pensate vabbèmachecazzomenepuòfregarechegiàhotantiproblemidimio e volete andare subito alla parte in cui blatero e straparlo di WandaVision, scorrete fino al primo titoletto in grassetto corsivo*
«Ciao, sono PieraPi e non vado al cinema da 479 giorni.» «Ciao, PieraPi.» Una volta contavo i giorni che mi separavano dalle cose belle future, e adesso posso solo tenere traccia di quelli trascorsi, che si ammucchiano come vecchie riviste su quel tavolino da caffè traballante che è la mia testa. Mi sento sempre più vicina allo sbroccamento totale, e sapessi almeno quando avverrà — una data, un’ora, un minuto, un istante, è quello, fran — potrei organizzare un conto alla rovescia in memoria dei bei vecchi tempi. E invece no, manco ‘sta soddisfazione mi viene data. Vivo in costante attesa di un tracollo che sento vicino ma che non arriva, un po’ come quando ti pizzica il naso ma non riesci a starnutire, e resti appesa con la faccia da deficiente. In realtà dico così perché ho sempre pensato che il tracollo debba essere una specie di eruzione pliniana, un evento così distruttivo da divenire un chiaro spartiacque tra il prima e il dopo, ma a questo punto mi è venuto il dubbio che invece possa semplicemente essere un processo sedimentario, una consunzione lenta e ineluttabile (wink wink nudge nudge). Perché esplosa no, non sono esplosa. Erosa però sì. Mi sa che sono tracollata da mo’, e manco me ne sono accorta. Quando va bene mi sento soltanto un guscio vuoto che si trascina nel mondo non per volontà ma per inerzia, non per scopo ma per abitudine, per cui nulla ha senso e tutto è futile, senza più nessun entusiasmo e ancor meno interessi, quello che forse i cinici greci chiamavano adiaforia, ma è più fregancazzismo.
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Quando invece va male passo un sacco di tempo a cercare di non piangere; non sempre ci riesco. Guardo indietro e vedo solo anni buttati via a studiare cose che non mi interessano per fare un lavoro che non mi piace; guardo avanti e non riesco a vedere un futuro che vada oltre le nove di sera del giorno in cui mi sveglio. E se per caso capita che riesca a squarciare il velo di Maya-hii maya-huu maya-haa maya-ha ha che sta all’orizzonte, non vedo una me del futuro felice. Contenta ogni tanto, forse, ma felice mai. È colpa della pandemia? Sì, no, non sa/non risponde. Certo è che mentirei se dicessi che per gran parte non mi sentissi miseramente, superbamente a pezzi anche prima. È una sbronza, la pandemia: non altera la personalità ma si limita a far emergere ciò che da sobri riusciamo a nascondere o almeno a controllare. Tra l’altro io addirittura svuoto i Mon Chéri forandoli con lo stecchino per buttare via il liquore, quindi in effetti che diavolo ne posso sapere.
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Ma almeno prima, santoiddio, potevo andare al cinema. Almeno prima, santoiddio, avevo qualcosa da attendere. E sebbene ci siano stati alcuni film che ho aspettato con trepidazione — su tutti, per stare in tema Marvel, quelli della saga dell’infinito — in generale era proprio l’idea di andare al cinema che mi elettrizzava. Sedermi in poltrona, vedere le luci abbassarsi, guardare i trailer. Perfino le pubblicità sparate a tremila — ristorante pizzeria Orange, prima o dopo il cinema — per me erano una cosa bella. Andare al cinema era l’equivalente dell’infilare un caricabatterie in una presa di corrente, una botta di vita che mi rendeva tollerabile tutto il resto, e che mi sostentava fino all’esperienza di sala successiva. E lo stesso vale per le serate film a casa di un’amica che chiamerò Melania per tutelare la sua privacy, insieme a un’altra amica che chiamerò Silvia, in cui la prima passa la metà del tempo a scusarsi per il disordine e le tazzine di caffè dimenticate in bagno, e l’altra si gira a dormire e si sveglia solo per chiedere di abbassare il volume. Almeno quando ancora si poteva indulgere in cotali trasgressioni. Adesso, che nella presa di corrente infilerei ben più volentieri un dito, privata dell’una e dell’altra esperienza, è da un anno che mi alzo la mattina e, come Homer Simpson, “cerco solo che il giorno non mi faccia troppo male, finché non mi imbacucco nel letto” e scivolo nella benvenuta incoscienza. Gli unici film, ormai, sono quelli mentali. E non sono avventure epiche, no: sono Ricomincio da capo, o 50 volte il primo bacio (che poi non si può manco baciare nessuno, c’è la pandemia), perché ogni giorno è contemporaneamente la ripetizione del precedente e di quello successivo. Il concetto stesso di tempo, se il tempo è la misura del cambiamento, è volata dalla finestra: non scorre in linea retta e nemmeno in cerchio, ma in un groviglio di Jeremy Bearimy. Ogni tanto è martedì. La fine, per cortesia, si può vedere la fine? È in questo contesto desolante e mesto che si è inserita WandaVision, la miniserie introduttiva della Fase 4 del Marvel Cinematic Universe che, per otto settimane, mi ha fatto compagnia il venerdì sera e nei giorni di mezzo, quando con gli altri fan ci si scambiava opinioni, teorie e meme in egual misura. Se le serie tivvì (quelle sui supereroi in special modo) sono da sempre il mio rimedio contro il logorio della vita moderna, a maggior ragione una serie Marvel adesso è stata un cataplasma per il mio animo sgualcito. Per un po’ ho avuto qualcosa da attendere, ed è stato bello. E no, non mi sfugge l’ironia del cercare rifugio dalla realtà in una serie la cui protagonista    a sua volta cerca rifugio dalla realtà nelle serie. È la vita che imita l’arte che imita la vita. So you’re saying the universe created a sitcom starring two Avengers? WandaVision, le cui vicende si svolgono pochi giorni dopo Avengers: Endgame, vede come protagonisti due personaggi che, sebbene decisamente importanti nell’economia dell’MCU, sono sempre ricaduti sotto l’etichetta “secondari”: Wanda Maximoff e Vision. Questa miniserie è stata dunque la benvenuta occasione per gettare luce su coloro che, inevitabilmente, si sono sempre mossi all’ombra di personaggi ingombranti come Captain America, Iron Man e Thor, e l’ha fatto costruendo una solida e approfondita caratterizzazione (per Wanda in special modo) che soltanto una narrazione a episodi poteva consentire. Innanzitutto, c’è da dire che WandaVision è un prodotto innovativo, che utilizza la grammatica, il linguaggio e gli stilemi delle sitcom per raccontare il lutto e la sua elaborazione. E lo fa muovendosi contemporaneamente su due binari: da una parte percorrendo i vari decenni della tv americana, partendo dagli anni ’50 fino ai giorni nostri, adattando tecniche e registri stilistici sia all’epoca sia alle serie cult di riferimento, dall’altra le cinque fasi del lutto secondo il modello postulato dalla psichiatra Elisabeth Kübler-Ross nel 1969. Così, mentre vediamo Wanda e Vision passare dal bianco e nero a colori, dai 4:3 ai 16:9, dagli effetti speciali col filo trasparente alla CGI, parallelamente osserviamo Wanda venire a patti col suo dolore, dapprima negandolo (epp. 1-2) e poi accettandolo (ep. 9), ma non prima di aver sperimentato rabbia (epp. 3-4), patteggiamento (epp. 5-6) e depressione (epp. 7-8). E in effetti è proprio Wanda il vero focus della serie, che avrebbe ben potuto chiamarsi “Wanda’s vision”, se non fosse stato appena appena spoiler. È lei che, sebbene inconsciamente, ha creato la realtà fittizia che ha inglobato dentro a un esagono di pura magia una piccola porzione di New Jersey, la cittadina di Westview, che Vision aveva scelto come luogo per “invecchiare insieme”. Wanda riscrive la realtà secondo il suo bisogno di lieto fine, che segue a vent’anni di traumi accumulati e mai affrontati: la morte dei genitori in un bombardamento e poi quella di Pietro dovuta a Ultron, l’incidente in Lagos in cui Wanda ha causato la morte di alcuni civili nel tentativo di salvarne altri, gli accordi di Sokovia e la conseguente etichetta di fuorilegge (se non proprio di terrorista), la prigionia nel Raft, dover uccidere Vision per salvare metà dell’Universo, ma solo per vedere Thanos portare indietro il tempo e ucciderlo lui stesso. E poi lo “snap” del titano e il “blip” di Hulk, il ritorno cinque anni dopo e Vision smembrato dallo S.W.O.R.D. La “visione di Wanda” è dunque l’illusione di una famiglia, lei che ha perso ogni singolo membro della sua, e un luogo cui appartenere, lei che è una straniera in terra straniera. La sua illusione prende la forma delle sitcom, quella particolare categoria di serialità in cui tutto si risolve e nessuno è mai “realmente ferito” perché “non è quel tipo di show”, in cui lei ha sempre trovato conforto. Io, per dire, sono perfettamente consapevole del ruolo che ha giocato Modern Family nel tenermi sana di mente durante gli oscuri anni universitari. Ecco quindi che WandaVision non è solo un tassello del Marvel Cinematic Universe che porta avanti una storia iniziata nel 2008 con Iron Man, ma è anche e soprattutto un brillante esperimento di meta-televisione, in cui i riferimenti alle serie tv del passato non sono mero citazionismo pop fine a se stesso ma diventano necessario meccanismo di narrazione in quanto, appunto, strumenti per l’elaborazione del lutto di Wanda. Perfino gli intermezzi pubblicitari, elementi ulteriori che ci hanno venduto l’idea di stare assistendo alla trasmissione di un programma (endo)televisivo vero e proprio, hanno contribuito a narrare in via simbolica e subliminale il malessere di Wanda (va da sé che, come le sitcom, anche le pubblicità sono frutto dell’inconscio di lei stessa): lo spot del tostapane a marchio Stark, con l’unico tocco di colore in una trasmissione altrimenti in bianco e nero dato dalla luce rossa pulsante, richiama il lampeggiare della bomba inesplosa di Sokovia; quello dell’orologio a marchio Strücker è un riferimento agli esperimenti cui sono stati sottoposti i gemelli Maximoff; quello del sapone a marchio Hydra è piuttosto eloquente nel promettere una fuga dalla realtà, e rivolgendosi a chi voglia trovare la propria “dea innata” è altresì un sagace richiamo all’essenza (mitologica) di Wanda stessa; ugualmente eloquente lo spot della carta assorbente Lagos, “per quando combini un casino senza volerlo”. Quello dello yogurt Yo-Magic, in cui il bambino naufrago sull’isola deserta finisce col morire di fame per non essere stato in grado di aprire il vasetto, potrebbe invece essere un diretto riferimento a Vision, che è stato creato con la magia (“your magic”) ma potendo esistere solo all’interno dell’esagono quella stessa magia non è in grado di sostentarlo in toto; infine, quello del farmaco antidepressivo Nexus si riferisce, oltre alla condizione psicologica di Wanda, anche al fatto che nei fumetti lei sia un “essere Nexus”, ossia uno di quegli individui, uno per ogni mondo del multiverso, in grado di alterare la realtà. Dick Van Dyke again? Always sitcom, sitcom, sitcom... Dei nove episodi di WandaVision, ognuno con un titolo che richiama il mondo seriale, sei sono in stile sitcom. Molte di più, però, sono quelle omaggiate, nelle tecniche, nelle sigle, nelle scenografie: The Dick Van Dyke Show (Dick Van Dyke è stato persino consultato), Lucy ed io, Vita da strega, La famiglia Brady, The Mary Tyler Moore Show, Genitori in blue jeans, Gli amici di papà, Casa Keaton, Malcolm, Happy Endings, The Office, Modern Family (per quest’ultima rimediando l’aperto plauso di Julie Bowen, interprete di Claire Dunphy).
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In realtà ve ne sono moltissime altre, perlomeno a giudicare dai mille articoli di approfondimento imperversati su internet, che più articoli erano tesi di laurea, ma le mie limitazioni anagrafiche e una coscienza seriale che si sviluppa solo a partire dalla metà degli anni ‘90 non mi consentono di essere più di tanto esaustiva. Una cosa però la so: vista la mia già menzionata affezione per Modern Family, vedere Elizabeth Olsen dar impeccabilmente vita alla versione MCU di Claire Dunphy mi ha portato più gioia della ricezione di un bonifico.
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I’m so tired. It’s just like this wave washing over me, again, and again. It knocks me down, and when I try to stand up, it just comes for me again. It’s just going to drown me. In ogni caso Wanda Maximoff nasce, e resta, un personaggio estremamente tragico, e non c’è nessuna sitcom che possa ovviare a questa verità. D’altronde, le sitcom stesse non erano che un mezzo per arrivare a un fine: vivere un’esistenza, per quanto soltanto fittizia, per una volta priva di dolore (e lo stesso passaggio da un decennio all’altro non è che un modo per illudersi di avere avuto, con Vision e i figli Billy e Tommy, tutto il tempo che hanno le altre famiglie). La sofferenza di Wanda ha una portata tale da informare ogni sua decisione, conscia e inconscia. È certamente conscia la decisione di tenere Westview sotto il suo incantesimo, per quanto non immagini nemmeno che le persone coinvolte ne soffrano (anzi, crede sia il contrario), ed è certamente inconscia la creazione dell’esagono: l’unica consapevolezza riguarda il sentimento che ha condotto a quell’evento.
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Per Wanda il tracollo è stato sì un’eruzione pliniana, scatenata dalla vista del lotto di terreno acquistato da Vision e che nei piani era destinato a diventare casa loro. Sopraffatta, Wanda cade in ginocchio e la magia che andrà a produrre sia l’ESA sia Vision prorompe non (soltanto) dalle mani, come è sempre stato, ma direttamente dal petto, in una sequenza tra le più intense e drammatiche, in pieno parallelismo con quella di Age of Ultron, in dieci anni di MCU.
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I don’t know how I did it. I only remember feeling completely alone. Empty. Just endless nothingness. Il fatto che la creazione dell’ESA e tutto ciò che ne è conseguito fosse involontaria, e che Wanda ne abbia soltanto una minima (ma via via crescente) consapevolezza (quando dice di non essere lei a controllare gli abitanti di Westview nella misura che insinuava Vision, di totale privazione del libero arbitrio, o ribadisce ad Agatha di non aver fatto nulla, non sta mentendo: sta soltanto rimuovendo e sopprimendo un trauma) contribuisce a delineare il personaggio in una maniera assolutamente originale. Non sarebbe stata la stessa cosa se invece vi fossero state premeditazione e volontà di ferire gli altri in cambio della sua felicità: in quel caso avremmo avuto a che fare con un’antagonista pura e semplice. Wanda, invece, che comunque milita nelle fila dei buoni, è qualcosa di più: è un’eroina tragica nel senso in cui lo intendeva Aristotele nella “Poetica”: “Sarà cioè buon personaggio da tragedia colui il quale, senza essersi particolarmente distinto per sua virtù o sentimento di giustizia, neanche sia tale da cadere in disavventura a cagione di sua malvagità o scelleraggine, bensì a cagione soltanto di qualche errore” [Laterza, edizione digitale 2019, trad. Manara Valgimigli]. Wanda, nonostante quello che possano pensare i cittadini di Westview, non è una villain: non ha agito (nella parte conscia delle sue azioni) per malvagità, ma per il “difetto fatale” che le è proprio, cioè l’incapacità di processare il suo lutto. E quando si rende conto che quegli stessi cittadini preferirebbero morire che vivere un solo altro istante con il dolore di lei nella testa, non esita a distruggere l’ESA, anche se questo significa dover rinunciare all’illusione in cui si era rifugiata. Tra l’altro, è opinione dello Stagirita™ che la tragedia non debba rappresentare “uomini estremamente malvagi cadere dalla felicità nella infelicità, perché, se anche una composizione siffatta potrebbe soddisfare per un certo rispetto il gusto del pubblico, non potrebbe però suscitare nessun sentimento né di pietà né di terrore: si prova pietà per una persona la quale sia immeritamente colpita da sventura, si prova terrore [“terrore”, in tutte queste espressioni, significa più propriamente “trepidazione”] per una persona la quale [, egualmente colpita da sventura,] abbia parecchi punti di somiglianza con noi; e insomma, pietà per l’innocente, terrore per chi ci somiglia”. Quand’anche in questa miniserie Wanda si muova spesso in un’area moralmente grigia, resta in ogni caso un personaggio verso il quale provare aristotelica empatia. Di più: le si vuole bene, dai. You, Vision, are the piece of the Mind Stone that lives in me. You are a body of wires, and blood, and bone that I created. You are my sadness, and my hope. But mostly, you’re my love. Dopotutto, bisognerebbe essere proprio dei cuori di pietra per non sentirsi nemmeno un po’ partecipi della più delicata e sventurata (e insolita — Vision non è nemmeno un essere umano) storia d’amore dell’MCU. Quello che nei film era stato appena accennato (data la natura corale degli stessi, in cui il focus era sui personaggi “maggiori”) qui è stato sviluppato e approfondito: dalla scena del paprikash di Civil War a vederli genitori di due gemelli tanto pucciosi quanto magici; dalla vita fuori dai radar a Edimburgo a una casetta con la staccionata bianca nella placida periferia americana. Certo, basta solo non pensare al fatto che quel Vision lì non esiste davvero. I can’t feel you Il vero Vision, infatti, giace(va) ormai smantellato come una macchina qualsiasi e non un essere senziente e dai sentimenti purissimi nonostante la sua natura artificiale. Nell’episodio 8 quel fil rouge di percepirsi, quella comprensione profonda l’una dell’altro che era la cifra del loro rapporto, si è definitivamente spezzato, unitamente ai nostri cuori. Cioè, il mio di sicuro.
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But what is grief, if not love persevering?
Però cos’è il dolore, se non amore perseverante? Non deve stupire che sia stato Vision a pronunciare la frase-simbolo della serie. Nonostante sia un sintezoide, dalla sua introduzione nell’MCU si è rivelato il personaggio in grado di dimostrare la più pura forma di solidarietà, comprensione e indulgenza verso gli altri. Un essere artificiale, sì, ma da sempre definito dalla sua caratteristica migliore e principale: l’umanità. D’altronde, prima ancora di Cap, Vision è stato fin da subito degno di sollevare il Mjölnir di Thor.
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L’ESA-Vision, poi, è ulteriormente peculiare. Rivive per unica volontà di Wanda, suprema demiurga, e nonostante sia “un ricordo diventato realtà” esercita, a differenza degli altri abitanti di WestView, il libero arbitrio, al punto da arrivare a mettere in discussione la “sceneggiatura” della moglie.
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This is Chaos Magic, Wanda. And that makes you the Scarlet Witch WandaVision è stata anche, e soprattutto, l’origin story di Wanda Maximoff come sceneggiatrice regista produttrice segretaria di edizione tecnica delle luci costumista Scarlet Witch. Sebbene Wanda abbia fatto il suo ingresso nel Marvel Cinematic Universe già nel 2014 (nella scena dopo i titoli di coda di Captain America: The Winter Soldier) e sia stata presente in Avengers: Age of Ultron, Captain America: Civil War, Avengers: Infinity War, Avengers: Endgame, per una mera questione di diritti del personaggio (allora appartenenti alla 20th Century Fox) non era stato possibile, fino ad oggi, appellarla col suo nom de guerre fumettistico, Scarlet Witch. Vederla trasformarsi e poi discendere dal cielo di Westview col nuovo costume e la consapevolezza di chi effettivamente è mi ha gasata tanto quanto, al cinema durante Endgame, mi ha gasata vederla apparire dal nulla e piazzarsi davanti a Thanos. Sì, il traguardo è stato tagliato dopo una maratona lunga sette anni, ma ne è valsa la pena.
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A questo punto, tra l’altro, si può anche dichiarare concluso l’annoso dibattito su chi sia l’Avenger più potente: è Wanda, statece.    Di certo è anche quello a cui serve più terapia. You know... a family is forever. We could never truly leave each other, even if we tried. You know that, right? In narrativa, e in generale nelle storie che fruiamo a prescindere dal medium, il “difetto fatale” è qualcosa che il personaggio, dopo averne preso consapevolezza, deve superare. Il superamento del fatal flaw di Wanda coincide con la quinta e ultima fase del modello Kübler-Ross, l’accettazione. Lo scontro finale con Agatha ha dimostrato quello che già dall’episodio 7, con l’ESA che “sfarfallava”, Wanda aveva iniziato a intuire: l’insostenibilità, nel lungo termine, della sua illusione; vi rinuncia per salvare i cittadini e per salvare se stessa. La Wanda che lascia Westview ha imparato la sua lezione: ha elaborato il lutto, non ne è più sopraffatta, e ora è in grado di conviverci. È tornata nel mondo al termine del proprio personale viaggio dell’eroe, e ora è pronta a iniziarne un altro: comprendere chi è, i suoi poteri, il suo ruolo. Nell’ultima scena dopo i titoli di coda la vediamo, infatti, nei panni di Scarlet Witch studiare il Darkhold sul piano astrale. Se non fosse che, inaspettate, le voci dei gemelli che chiedono il suo aiuto vengono a turbare questo nuovo equilibrio, la qual cosa potrebbe farla ripiombare nel baratro e cadere nella tana del bianconiglio che è il multiverso della pazzia di cui al prossimo film di Doctor Strange. Considerando poi che Agatha ha dichiarato che il destino di Scarlet Witch è quello di distruggere il mondo, be’, c’è poco da star tranquilli. In ogni caso, in questo pandemico e stinfio mondo, ora come ora ben poche cose sono suscettibili di portarmi gioia come il pensiero di una reunion tra Wanda e i figli, quindi io dico: daje. Purché Wanda non mi sbrocchi definitivamente nel processo.
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She recast Pietro? A proposito di reunion, quella farlocca tra Wanda con il fratello Pietro è stata la più grande trollata di sempre e l’ho amata alla follia. In molti ne sono rimasti delusi, perché credevano che significasse l’introduzione degli X-Men nell’MCU e di conseguenza del multiverso: d’altronde, perché chiamare a interpretare Pietro Maximoff non Aaron Taylor-Johnson ma Evan Peters, ossia il Pietro Maximoff dell’universo Fox? La risposta è una: perculata. O, se vogliamo, un meta riferimento in una serie che è già meta di suo. Considerando che, per quanto sia fan di roba supereroistica, gli X-Men proprio non riesco a farmeli piacere, per quanto mi riguarda non poteva andar meglio di così.
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It’s been agatha all along
Se nella realtà il falso Pietro è opera degli autori, nella narrazione è invece opera di Agatha Harkness, una strega già a spasso ai tempi di Salem (nei fumetti era addirittura presente quando è scomparsa Atlantide). Strega estremamente potente, nel canone fumettistico è stata sia la mentore di Wanda che la tata del figlio di Reed Richards e Sue Storm dei Fantastici 4. WandaVision strizza l’occhio ad entrambe le circostanze (quando Wanda la ringrazia ironicamente per la “lezione” sulle rune e quando Agatha, ancora Agnes, si propone come babysitter per Billy e Tommy) ma reinterpreta il personaggio in altro modo. In particolare, qui Agatha è una sorta di antagonista ma non l’antagonista, ed è arrivata a Westview con l’obiettivo di comprendere l’anomalia magica in corso. Funge altresì da catalizzatore per la nascita di Scarlet Witch e sblocca anche, sebbene indirettamente, il trauma di Wanda facendole rivivere il passato, l’ultimo tassello per la definitiva accettazione. Ora, sebbene già si fosse intuito che la bislacca vicina di casa Agnes, colei che fondamentalmente ha ricoperto fino all’episodio 7 il ruolo di spalla comica, fosse la famigerata Agatha Harkness, la rivelazione della sua vera identità ha saputo in ogni caso stupire, il che è anche la cifra della cura con cui è stata realizzata la serie: l’originalità meta narrativa con cui è stato (re)introdotto il personaggio nell’episodio 8 è tra le cose migliori di WandaVision.
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E la canzoncina di riepilogo che l’accompagnava è diventata una hit e un meme in tempo zero, mi aspetto almeno almeno un riconoscimento ai prossimi Grammy. Bravo! Se dopo un post lunghissimo di mila e mila parole (cosa che in genere riservo solo a Taylor Swift) ancora non si fosse capito, ho amato questa miniserie in ogni aspetto. Saltare da un decennio all’altro, ognuno con le sue peculiarità in fatto di abiti, acconciature, scenografie, stilemi e tecniche è stata una benvenuta novità in un mondo – quello delle serie supereroistiche — abbastanza standardizzato. Da questo punto di vista WandaVision può certo stare in compagnia di una serie della concorrenza, DC’s Legends of Tomorrow, che ha fatto della follia senza freni e del rompere gli schemi il suo tratto distintivo, e che per ciò è una delle mie preferite da anni a questa parte. Ora, al di là dell’evidente ottima realizzazione tecnica, cioè che per me è davvero il fiore all’occhiello della serie è la recitazione. Il duo Olsen-Bettany, già ben rodato, qui ha ancor più ribadito la propria intesa, e Kathryn Hahn nei panni di Agnes/Agatha, già piacevolmente oltre le righe in Parks & Rec, è stata una vera sorpresa. Comunque, la vera punta di diamante è la protagonista in persona, Elizabeth Olsen. Che fosse decisamente brava non è certo una novità (e lo sa bene chi ha familiarità con la sua filmografia, fin dai suoi esordi con La fuga di Martha, passando per quel capolavoro totale che è I segreti di Wind River, e arrivando alla serie Sorry For Your Loss, dove più che brava è straordinaria), ma qui se possibile si è superata. Ha condotto Wanda attraverso le epoche di volta in volta modellando l’interpretazione al decennio di riferimento (ed è tanto più evidente se si confronta il modo di porsi della Wanda anni ’50 con quella contemporanea), ma sempre mantenendone intatta la coerenza di fondo. Di quando in quando ha lasciato tornare in superficie l’accento sokoviano, ha coniugato comicità e dramma (il primo aspetto è una novità tanto per Wanda quanto per Elizabeth stessa, la cui carriera è sempre stata orientata sul secondo), ed è stato incredibile vedere con quanta velocità modificasse registro di recitazione quando la serie stessa cambiava di passo in quelle scene stranianti e stridenti rispetto all’illusione perfettamente confezionata che Wanda provava a vendersi e a venderci.
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Pertanto, se nella stagione di premi di là da venire Elizabeth Olsen non si porta a casa t u t t o, tra Emmy e Golden Globe a carriolate proprio, giuro che creo io stessa una realtà alternativa in cui vince qualsiasi cosa, dal Nobel al Telegatto. Please stand by WandaVision è stata solo la prima portata di quello che è praticamente un pranzo di matrimonio, tra tutte le serie e i film della Fase 4 che vedranno la luce tra quest’anno e il 2023, e sarà bello bello bello. Sì, sì, per carità, c’è la pandemia e la vita è miseria, ma siccome è miseria a prescindere, non fa certo male tenersi un po’ di roba Marvel a portata di mano, tipo EpiPen.
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inukag9 · 5 years ago
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Confinement
Disclaimer: Les persos ne nous appartiennent pas!
 Mo dao zu shi, mon coup de cœur du moment. Comme j’ai perdu l’habitude d’écrire, j’espère que ça ne sera pas trop mal écrit. Je vais à mon tour ajouter un petit OS dans ce fandom ^^
 J’y avais pensé le jour 3 du confinement, puis le temps que je me dise qu’il fallait l’écrire, le jour 6 venait de passer. Et l’écriture n’a commencé que le jour 7.
 Et surtout, durant le confinement imposé dans votre pays, pour aider tout le personnel médical, RESTEZ CHEZ VOUS! Le plus possible. On ne le répétera jamais assez. Faites donc comme Lan Zhan et Wei Ying par exemple!
 Bonne lecture à tous! ^^
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Confinement
 Le gouvernement avait annoncé le confinement pour faire face au virus qui sévissait dans le monde entier, et dont la situation empirait dans le pays. Ceux ayant séjourné dans un pays à risque ou qui avaient été en contact avec une personne contaminée devait rester en confinement durant deux semaines. C’était le cas de Lan Zhan qui avait dû faire un petit voyage professionnel à l’étranger. Pour éviter tout risque à son cher petit ami Wei Ying, il avait décidé de rentrer chez son oncle pour séjourner dans son ancienne chambre, isolé du reste du clan Lan.
 L’isolé en avait profité pour travailler sa musique, sa méditation, approfondit ses lectures, copié les règles de son clan en faisant le poirier… Mais son aimé lui manquait. Terriblement. Malgré son visage inexpressif, il se faisait violence pour rester dans sa chambre et ne pas courir vers son appartement pour revoir sa moitié. Et il ne savait même pas combien de temps allait durer ce confinement puisque le pays entier ne pouvait plus sortir insouciamment. Au départ, il avait en tête de tenir deux semaines mais c’était avant le discours du Président de la République. Pouvait-il se dire qu’il rentrerait chez lui après les deux semaines et risquer de rencontrer un porteur du virus sur le chemin? Non. Mieux valait s’abstenir de tout comportement à risque. Bien que cette décision lui brisât le cœur. Il se devait de respecter les règles. Pour le bien-être de celui qu’il aimait.
 De son côté, Wei Ying était aussi confiné dans leur appartement, leur petit nid d’amour. Mais l’habitation semblait bien trop grande pour lui seul. Dire que lorsqu’ils étaient ensemble, la place manquait presque. Le jeune homme tout habillé de noir et coiffé d’une queue de cheval avait passé ses journées à regarder la télévision, visionner des films, lire quelques recueils d’image pour adulte gentiment prêté par l’un de ses amis et jouer aux jeux vidéos. Il fit même un visio-apéro avec son ami Jiang Cheng qui avait finit par couper la caméra, agacé d’entendre ses plaintes. Wei WuXian était quelqu’un qui aimait bouger. Aussi l’ennuie ne tarda pas à le rattraper dès le troisième jour de confinement.
 Au septième jour, alors qu’il mangeait seul dans son immense salon, le confiné à la queue de cheval finit par attraper son portable et appela sa moitié. La première tonalité n’eut même pas le temps de finir de résonner que la voix de Lan WangJi se fit entendre.
- Wei Ying. - Lan Zhan! Pleurnicha l’homme au pyjama noir. Je m’ennuie! Tu me manques! Rentre à la maison~ - Wei Ying, soupira le petit ami au pyjama blanc. C’est impossible. Patiente encore quelques jours. - Mais c’est long! Et qui te dis que c’est quelques jours et pas quelques semaines ou pire, quelques mois? Se plaignit l’ennuyé. - Je le fais pour ton bien, Wei Ying. Alors sois sage, d’accord? - Alors…je te rejoins! Je veux rester en confinement avec toi! - Non. - Mais- - Non.
 Wei Ying bouda en tenant le téléphone dans une main et en serrant un oreiller dans l’autre. Ces «non» bien trop incisifs lui pinçaient le cœur. Qu’y avait-il de mal à voir rester ensemble pour faire face à cette pandémie? Et si Lan Zhan était vraiment malade, celui-ci pensait vraiment qu’il était le genre d’homme à rester sans rien faire enfermé dans leur appartement? Il soupira. Sa tête se posa sur le coussin retenu en otage. Il pouvait encore sentir l’odeur de son amoureux dessus. Bien que légère, elle restait réconfortante pour lui. Assis sur leur lit, certaines activités nocturnes lui revinrent en mémoire. Et entendre la respiration du petit ami absent ne l’aidait pas à calmer ses ardeurs.
- Lan Zhan… Je t’aime.   - … Moi aussi, Wei Ying.
 Une petite fièvre s’empara du corps du noir. Sa chair et son sang réclamait sa drogue quotidienne. Et l’homme robuste habituellement à ses côtés n’était actuellement pas à proximité. Depuis tellement longtemps. Il ressentait un vide incommensurable en lui qu’il avait absolument besoin de combler. Une partie basse de son anatomie se réveilla. Sachant que son petit ami ne verrait rien, il glissa une main dans son pantalon.
- Lan Zhan…. Tu avais dit tous les jours… Menteur… - Wei Ying. - Lan Zhan, continue de me parler… J’ai besoin d’entendre ta voix.
 A l’autre bout du téléphone, le confiné recouvert de blanc ne savait pas quoi raconter. Ses journées n’étaient pas des plus excitantes entre la méditation et l’écriture. Puis, il crut entendre une respiration irrégulière. Il se rappela des symptômes de la maladie qui menaçait chaque personne dans le pays.
- Wei Ying? Tu vas bien? S’inquiéta Lan Zhan. - Hn? Ah, oui, oui, ça va, pourquoi? - Ta respiration. Tu as du mal à respirer? - Hm… Si je te le dis, tu vas te mettre en colère. - … Pourquoi?
 Celui qui s’amusait seul lâcha un petit rire et rajouta d’une voix langoureuse. Finalement, il avait trouvé un nouveau jeu pour taquiner son interlocuteur. Puisque leur corps était physiquement séparé, il pouvait bien trouver autre chose pour les rapprocherait. Et leur seul lien pour l’instant était ce téléphone.
- Parce que je me touche en pensant à toi. - Qu- Wei Ying?!
 Lan WangJi rougit instantanément en imaginant son petit ami s’occuper de sa partie inférieure seul, au téléphone, s’excitant en écoutant sa voix. L’image qui s’était installé trop vite dans son esprit réveilla également une partie de lui qu’il avait réussi à maintenir en veille jusqu’ici. Et la suite détruisit la dernière barrière de raison qu’il possédait encore.
- Eh! Lan Zhan… tu ne veux pas m’aider? - Que- Ne dis pas n’importe quoi. Tu ne viendras pas ici.
 Wei WuXian ria. Son amoureux, qui savait être un gros pervers lorsqu’ils étaient ensemble, était aussi très innocent sur certain point. Il allait avoir l’occasion d’apprendre quelques petites choses à son chéri un peu trop rigide.
- Tu sais, même à distance, on peut passer un agréable moment ensemble.
 Le joueur de flute s’installa plus confortablement dans le lit commun, profitant des dernières odeurs de son amant. Il devait l’inciter à participer à son petit jeu. Il décida de provoquer un peu plus l’animal. Depuis qu’ils se sont mis en couple, le joueur de guqin élargissait ses connaissances sur ce qui se passait en dehors du clan Lan et découvrait petit à petit le monde extérieur en compagnie de sa moitié.
- Là, je suis couché dans notre lit. Et mon entrejambe commence à me faire mal, Lan Zhan. Aide-moi~ - … Tu n’as pas honte de me dire tout ça? - Ahah, tu ne dis pas ça quand je te supplie au lit de me labourer le derrière. C’est même ce genre de discours qui t’excite, non? Il est vrai que je t’implore aussi de t’arrêter assez vite mais tu aimes mes discours cochon, non? Allez! Tu ne veux pas faire plaisir à ton pauvre petit copain esseulé que tu as abandonné à la maison? - … Wei Ying… - Hn? - … - … - … Comment?
 Ayant réussi à amener la conversation là où il le voulait, Wei Ying cliqua plusieurs fois sur son téléphone et mit le haut-parleur. Il le posa ensuite à côté de lui. Il ne savait pas ce que cela allait donner mais il sentait qu’il ne le regretterait pas.
- Mets-toi à l’aise et pose ton téléphone quelque part à côté de toi. J’ai mis le haut-parleur. Fait pareil pour avoir les mains libres.
 Lan Zhan, qui était assis à son bureau, se décala légèrement et posa son smartphone sur la table en face de lui. Il savait que sa chambre était assez éloignée des autres bâtiments du clan mais connaissant la nature espiègle de son amant, le blanc prit des écouteurs assez longs et les brancha à son appareil.
- Voilà. - Ok. Tu peux fermer les yeux pour t’aider. Maintenant, dis-moi ce que je dois faire. Imagine que je te sois offert sur un plateau d’argent, devant toi, et que là, j’ai très, très envie de toi. Tu peux faire ce que tu veux de moi. Tu n’as qu’à m’en donner l’ordre et je l’exécuterai. - … - Ahah, je vais t’aider un peu au début, mais j’espère que tu apprendras vite, d’accord, Lan Zhan? - Hn. - Alors…commençons. Est-ce que tu m’autorises à me toucher? - … Hn. - Regarde-moi bien, d’accord? Je descends ma main droite jusque dans mon pantalon. Je glisse mes doigts sur mon ventre en suivant la ligne que tu aimes lécher. Je passe sous l’élastique de mon boxer. Tu me vois? - Hn.
 Wei Ying effleura enfin son membre dressé et lâcha un gémissement. Ne voulant pas aller trop vite, il caressant lentement sa verge et continua son rôle de guide.
- Toi aussi, Lan Zhan, tu peux libérer ta bête. Tu commences à être serrer, non? Que veux-tu que je fasse de ma main gauche?
 Suivant la demande de l’initiateur de ce jeu, l’isolé baissa légèrement son pantalon en même temps que son boxer pour libérer sa «bête». Il reprit sa visualisation d’un Wei Ying à sa merci en train de se faire plaisir tout seul devant lui. Ses oreilles étaient extrêmement rouges en réalisant où menait ses fantasmes. C’était une chose de les imaginer, de les appliquer lui-même et de les dire à haute voix à travers un petit appareil.
- Allez, Lan Zhan~ Ne me laisse pas m’amuser tout seul~ Joue avec moi, d’accord? - Wei Ying… - Je suis tout à toi, Lan Zhan. En-ti-è-re-ment-à-ta-dis-po-si-tion~
 Depuis le temps qu’il connaissait son amant, Lan WangJi avait compris où cela allait les mener. Et il savait aussi que Wei Ying prenait un malin plaisir à l’embarrasser de la sorte. Il rouvrit les yeux pour observer la pièce vide autour de lui, à la rechercher d’un éventuel voyeur. Le silence régnait dans et en dehors de cette pièce. La seule oreille qui pouvait l’entendre était également seul dans leur appartement. Il inspira profondément, ne pouvant croire qu’il cédait à un tel caprice.
- …T-ta main…passe…sous ta chemise. - Hn. - Re-remonte…les lignes de ton-ton…ton torse…pour t-toucher ton t-t- - Mon «t»? Taquina malicieusement le noir. Héhé, tu bégayes beaucoup~ - … - Désolé, désolé, continue, continue. Qu’est-ce que je dois toucher? - … Ton téton, souffla le blanc. - Lequel? - … Le droit.
 Suivant les instructions, l’initiateur du jeu se remémora la sensation des grandes mains de son homme parcourant son torse pour s’amuser avec son téton droit. Dire qu’au téléphone, celui-ci faisait son timide alors qu’il lui avait fait subir bien pire sur ce matelas.
- Ah! Ah! Je sais que tu ne contentes pas de simplement les toucher. Tu aimes aussi les lécher, les sucer, les mordiller. - Wei Ying! - Ah… Je dis simplement ce que tu refuses de dire~ Toi qui joue habituellement avec~ - … - Lan Zhan… Lan Zhan… Je ne vais pas m’amuser seul, n’est-ce pas, Lan Er-gege~ - … - J’imagine que tu es déjà complètement rouge, ria le jeune Wei. Je m’occuperai bien de ton épée dressée. Tu dois souffrir là, non? Hn! Imagine mes mains parcourir de haut en bas ton sexe. Lentement. Ah! Avec juste assez de force pour la sentir palpiter dans ma paume. Mon pouce s’attarde un peu sur ton bout sensible.
 Le confiné à la queue de cheval arrêta de se toucher, de peur de venir trop vite alors qu’il ne faisait que commencer leur petit jeu coquin. Sa respiration restait néanmoins un peu court.
- Ah, je vois déjà un petit liquide blanc sortir. Mais ça ne suffit pas à te faire venir, n’est-ce pas? Dommage que je ne puisse pas le prendre en bouche. Je me serais amusé à te lécher, de tes bourses jusqu’au gland. Tu aimes quand je te prend totalement en bouche jusqu’à la gorge, n’est-ce pas?
 Un déglutissement ainsi qu’un souffle irrégulier lui répondit. Satisfait, le joueur de flûte voulut passer à l’étape supérieure. Sachant que son amoureux n’oserait jamais utiliser un tel vocabulaire, il fallait qu’il le dirige. Pour une fois qu’il en avait le contrôle, autant en profiter, non?
- Eh, Lan Zhan… mon trou se sent seul. Ne te touche plus jusqu’à ce que je te le dise et dis-moi comment m’en occuper, d’accord? - …Hn… Il faut…te préparer, Wei Ying. - Avec quoi? Du lubrifiant? Ma salive? Ou bien j’y vais directement? - Non! Tu vas te blesser.
 La réponse était bien trop précipitée. Mais cela fit plaisir à Wei WuXian qui pouvait sentir tout l’amour de son Lan envers lui. Même lorsqu’ils le faisaient tous les jours, son amant prenait toujours grand soin de lui et le préparait avec soin.
- Ahah, Lan Er-gege, tu vas me faire languir encore longtemps? Je t’attends là. Je te veux en moi le plus rapidement possible. - … Ce sera plus facile avec le…lubrifiant. - Ok.
 A travers le petit appareil, Lan WangJi entendit un tissu glisser, sans doute son petit ami qui retirait son pantalon pour être plus à l’aise. Puis, une bouteille se fit décapuchonner suivi d’un liquide pressé hors de son contenant. Il entrevit la main de l’espiègle se couvrir d’huile et la porter vers son intimité.
- J’y vais, Lan Zhan. - Hn. Fait attention, Wei Ying. Commence par un doigt. - Je sais~
 N’oubliant pas de positionner son téléphone un peu plus bas, Wei Ying entreprit sa préparation. Il commença par insérer un doigt et laissa entendre les bruits de va-et-vient que faisait son majeur. Il essaya tant bien que mal de reproduire les mouvements qu’il ressentait en général à l’intérieur de lui mais quelque chose manquait. Peut-être qu’un seul n’était pas assez? Ou était-ce l’angle de la pénétration?
- Ah, ah… je peux mettre le deuxième, Lan Zhan? - Non. Pas encore. - Hein? Mais ça a commencé à s’élargir. - Non. Tu vas te faire mal. Attend encore un peu. - Hn…ah…
 Il faisait de son mieux mais ce n’était pas assez. Peu à peu, le noir sentit que son doigt n’était plus aussi à l’étroit qu’au début.
- … Tu peux maintenant. - Ah! Tu avais raison! Ah, ah! Quel timing! Tu me connais vraiment par cœur~ Je suis même encore un peu étroit. - Vas-y doucement, Wei Ying.
 Son entrée s’était détendue mais cette sensation tant recherchée n’était toujours pas là. Serait-ce une différence de taille dans ce cas? Les longs doigts fins du joueur de guqin était bien plus agréable que les siennes.
- Tiens? C’est bizarre… - Quoi? - Ce n’est pas tout à fait pareil que quand tu me le fais. Je sens direct que ce n’est pas toi qui me touches. - … Ton… - Mon? - Ton…point sensible… - Oui? - Il…il est…un-un peu plus…profond…et-et… un peu plus…à gauche… - Eh~ j’arrive pas à aller plus loin~ se plaignit le pénétré. - Fait…des mouvements…en-en… - En quoi? - Comme des…ciseaux…et…détends-toi…pour y-y mettre…trois…doigts…
 Wei WuXian effectua les gestes et se mit à chercher au fur et à mesure. Il tenta d’aller un peu plus profondément en lui, soulevant un peu ses fesses pour en faciliter l’accès, juste un peu plus, et tâtonna sur sa gauche. Il palpa son intérieur encore et encore. Le bout de ses doigts frotta sa paroi jusqu’à atteindre sa destination. Sa voix libéra soudain un petit cri de surprise.
- Tu l’as trouvé, Wei Ying, félicita l’isolé. - Ah-ah, oui! Ahah, tu me connais vraiment par cœur, Lan Zhan! Lan Zhan!
 Celui qui découvrait son corps gémit de plus en plus. Il pouvait presque sentir le regard intense de son amoureux glisser sur son corps débauché par la luxure. Il voyait son membre viril qui n’avait qu’une hâte, le pilonner jusqu’à assouvir tous ses désirs.
- Lan Zhan! Je ne veux pas venir seul avec mes doigts. Aide-moi! Tu veux me pénétrer, non? Allez! Viens en moi! S’il te plaît! - …J’arrive.
 Lan Zhan contempla cette entrée offerte devant lui qui pulsait de lubricité. Sa main s’activa sur son membre dressé comme s’il était entré dans l’orifice de son cher et tendre. Quant à Wei Ying, il continua son exploration en ayant en tête son magnifique male au-dessus de lui, avec ce visage irrésistiblement sexy qui avait du mal à se retenir en faisant ses aller-retours en lui. Chacun pouvait sentir la présence de l’autre et sentir la peau de l’autre sur la sienne. Ils ne pouvaient penser à rien d’autre qu’à la démonstration de leur amour par cet acte passionnel.
 Le bruit des mouvements qu’ils faisaient avec leurs mains s’harmonisait, renforçant la sensation de présence de leur partenaire absent.
- Ah-ah! Je t’aime, Lan Zhan! Tu me manques! - Hn. Moi aussi, Wei Ying. Je t’aime. - Ah! Je-je vais jouir! - Ah… Retiens-toi. - Mais… Je peux pas… - Wei Ying… Attends-moi… ensemble… - Dépêche-toi, Lan Zhan! Vite! - Wei Ying! - Lan Zhan!
 Leur souffle se faisait de plus en plus lourd, les gémissements traversaient le combiné pour atteindre les oreilles de l’autre. Sentant que leur souffle commençait à se synchroniser, ils savaient qu’ils étaient sur le point de jouir ensemble. Encore quelques mouvements de va-et-vient et ils se libérèrent en même temps.
 Il s’en suivit d’un silence où chacun reprenait son souffle. Le confiné chez les Lan prit un mouchoir et essuya la semence épaisse qui avait inondé ses mains tandis qu’il prêtait attention aux sons sur un éventuel geste de son amant.
- Lan Zhan… - Wei Ying… - La prochaine fois, on peut le faire par visio si tu veux. T’auras de vraies images en face de toi~ - Wei Ying! - Reviens vite, d’accord? - Je reviendrai après le confinement.
 La fin du confinement fut annoncée après des semaines bien difficile pour chacun. A la seconde où elle a été levé, Lan WangJi avait déjà embarqué ses affaires rangées dans sa valise et se précipita pour rentrer chez lui. Chez eux. Au moment où il passa le pas de la porte, il allait prononcé le doux nom de son amour dans il entendit des gémissements et…sa voix?
 Le blanc marcha silencieusement jusqu’à sa chambre où il put voir le noir amusé en écoutant en boucle l’enregistrement de leur premier appel téléphonique érotique. L’homme qui retournait enfin chez lui ouvrit violemment la porte, surprenant le dominé.
- Lan-Lan Zhan! - Wei Ying!
 Lan WangJi réduisit la distance en moins d’une seconde et jeta le téléphone dans un coin pour s’occuper de cette bouche au vocabulaire obscène et glissa sa main vers cette partie inférieure indécente qui le réclamait depuis des semaines.
- Att-attend Lan Zhan!
 Les yeux dorés rencontrèrent ses homologues noirs. Ils étaient remplis d’impatience et d’amour. Comment pouvait-il garder un visage aussi sérieux avec de tels yeux?
- Bon retour. - Hn. Je suis rentré.
 Sans plus de cérémonie, Lan Zhan entreprit d’imprégner sa présence sur le corps de Wei Ying qu’il avait quitté depuis bien trop longtemps. Et pour cela, il fallait d’abord occuper cette bouche qui l’avait réclamé corps et âme depuis des semaines.
┬┴┬┴┤・ω・)ノ├┬┴┬┴
J’espère que ça vous aura plus, n’hésitez pas à l’aimer et/ou la partager! Vous pouvez retrouver cet OS sur ffet!
N’oubliez pas RESTEZ CHEZ VOUS et appliquez les gestes barrières!
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ateliernayo · 2 years ago
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A l'occasion de #lanuitonepiece j'ai rushé cette petit illu de Yamato pour le concours de @escalemangas auquel je vais participer ce soir ❤️ a @excalibulle Je ne suis pas forcément one piece mais j'adore le chara design de ce perso et c'est l'occasion de faire quelque chose sympa et qui change! (J'espère pouvoir en tirer quelque chose pour mon chéri qui aime beaucoup OP 💖 ) . (Je reprends les publications de dessins de JapanExpo par la suite 😘) . Quel est votre ou vos perso(s) préféré (s) de one pièce ? 🤔 Vendez le moi ! 😂✨ . #art#instaart#draw#illustration#onepiece#drawing#aotd#artoftheday#drawingoftheday#watercolor#aquarelle#fanart#yamato#nayo#traditionalart#nuitonepiece https://www.instagram.com/p/Cic_EbuqXKe/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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alex-hs-romanciere · 3 years ago
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Orchies : un salon, des rencontres
Orchies : un salon, des rencontres
Salut tout le monde, comment allez-vous ?Perso, je suis rentrée du nord mardi dans l’après-midi après un week end chargé en émotions et en rencontres.D’ailleurs, je profite de ce petit article pour remercier mon amie Rime de Bervuy et son chéri pour leur accueil, leur générosité et leur hospitalité. Durant ce salon, j’ai fait de nouvelles rencontres, mais j’ai aussi rencontré des personnes que…
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leelookris · 3 years ago
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Retour d'expérience sur la finale de la Coupe de France de cosplay 2021
La finale CFC a été un véritable marathon 😛 très éprouvante physiquement et mentalement, du stress et des doutes, de la joie, des larmes, des fous rires, des amis en or, du soutien … bref pleins d’émotions à la foi !
Plein de choses à faire en si peu de temps, le weekend de finale passe à une vitesse incroyable ! Tant de temps de préparation, et pchou, c’est déjà fini haha. Voilà déjà la nostalgie qui est là 😛
C’était une édition incroyable, difficile dans l’attente, et j’espère d’ailleurs que le covid aura moins d’impact sur les prochaines éditions.
Avant le passage sur scène, j’étais tellement dans le stress que je n’ai pas vraiment pu profiter de la convention et échanger avec les autres participants comme je l’aurai aimé. Au lieu de ça, je repassais mes jupes pendant trois heures pour me « détendre » haha.
Je tiens à remercier l’équipe de Noob - Olydri, et en particulier Anne-Laure Jarnet Gaea ; mais aussi bien évidemment DeeDee , Mallorie, Rémi Tatouille, Benjamin Tatard, et pleins d’autres adorables personnes pour leur soutien, leur présence et leur gentillesse ❤
L’équipe de France Cosplay était au petit soin pour nous, et ont trouvé rapidement des solutions lorsqu’il le fallait ! C’est agréable dans ces moments de concours de ne pas avoir à stresser pour le coté organisationnel.
Pour mon costume, ce qui a été le plus difficile, c’est notamment le système électronique contrôlé par arduino, après 60000 essais et échec, réussir enfin à les faire fonctionner, ce n’était vraiment pas de la tarte !
Il y a eu aussi la peinture de mes props ! Oui parce que mon adoré mari ne voulait pas que je fasse la peinture dans le garage car la porte (que nous venons de changer fort heureusement) était merdique et non hermétique, donc bref je faisais la peinture dehors, quand il faisait beau (pas souvent 😛 non je rigole). Il faut savoir que chez nous, il y a un vent monstre (qui fait s’envoler tout, même notre serre de jardin, c’est pour dire), qu’il y a des araignées qui font des toiles en deux secondes et pleins de petites mouches ridicules qui viennent tous et toutes se coller à tes pièces seulement peintes ….
Et au niveau galère, j’avais aussi le logiciel adobe after effect qui n’a pas été une mince affaire à utiliser. J’ai racheté un ordi exprès pour pouvoir le faire tourner déjà. Après de nombreux tutos en anglais (moi qui suis vraiment pas douée en langues), tous les tutos internes au logiciel, de très nombreuses heures à travailler dessus, j’ai enfin pu, moi la noob en ordi, faire cette Spitz de vidéo 😛
Pour les difficultés, le serre tête a été vraiment compliqué à réaliser de par le fait qu’il est très fin. Au départ, j’aurais voulu le faire en forge, mais il est beaucoup trop fin pour pouvoir. Du coup, j’ai opté pour un moule fait main en silicone résistant à la chaleur, et un tirage en étain de coulée.
Par ailleurs, ce que j’aimerais faire un jour, c’est de réaliser une vraie épée en la forgeant ! Mais je doute sur l’autorisation de Fairy pour la ramener en concours ? (Ça coute rien de demander 😛 )
Ce dont je suis la plus fière c’est mon bouclier et ma masse, mes bébés chéris d’amour ❤ , même si j’en ai bavé à les faire et que j’ai plus d’une fois eu envie de les passer par la fenêtre.
Ce que je conseillerais pour les prochains finalistes, c’est de ne pas attendre la dernière minute pour travailler sur votre costume et presta de finale, et même si la convention est repoussée, parce que c’est du temps en plus pour peaufiner le costume et la presta ! Il y a toujours quelque chose à améliorer.
Pensez aussi à préparer votre predjuging, en mettant en valeur votre travail par rapport aux critères de notations ; en expliquant vos choix sur les matériaux utilisées, techniques, les difficultés surmontées…
Montrer votre travail à vos proches. Faites voir/écouter votre bande son, ou vidéo, surtout à des personnes qui ne connaissent pas l’univers du perso choisi, afin de voir si elle est compréhensible, audible, ennuyeuse 😛 Demander leur avis, leurs remarques.
Donnez-vous à fond dans votre projet !
Pour mes prochains projets, je vais commencer celui pour l’ E2C - Europa Cosplay Cup .
J’ai choisi le costume mais pas encore de presta à l’horizon.
RDV sur les réseaux pour suivre mon projet 😊
https://www.instagram.com/leelookris
crédit photo : Antony Gomes Photographe (https://www.instagram.com/anto_and_the_cosplayers/)
Assistant : https://www.instagram.com/flex_and_the_cosplayers
Merci aux partenaires de la Coupe de France de Cosplay : Ministère de la Culture Japan Tours Festival ABYstyle Cosmazing Maqpro EICAR Pass Culture
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arianblodeuwedd · 6 years ago
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Familie
Première fois
Cinq mois. Le temps passe sans que l'on s'aperçoit et avec lui, la vie grandit. Déjà cinq mois que la grossesse a débuté et Thomas arborait clairement une bosse facilement perceptible, prouvant l'existence d'un bébé en bonne santé. Mais cela voulait aussi signifier que le jeune homme pouvait faire moins de choses avec l'accumulation du poids en plus sur son corps, le petit souffrait de chevilles et pieds enflés, maux de dos et de fatigue. Alors l'une des rares activités que Thomas pouvait continuer sans trop se fatiguer était les jeux. 
C'est justement ce que les deux hommes étaient entrain de faire. Damien avait la pose typique du gamer concentré et Thomas s'était installé plus confortablement dans le canapé, les pieds sur la table basse, un grand verre de jus de fruit et un paquet de pâtes crues ouvert à côté de lui dans lequel il se servait allègrement. Cela faisait une ou deux heures que les deux hommes jouaient à Battleblocks theater mais quelque chose continuait de perturber le plus petit.
"Putain j'ai pas l'écharpe. J'me sens pas bien."
"C'est juste une écharpe, stresse pas non plus."
"Je sais mais j'me sens nul sans mon écharpe!"
"Il n'y a pas que sans ton écharpe que tu es nu."
Thomas s'arrêta et regarda le plus grand qui le fixait avec une pathétique représentation de Lenny face. Ils ne se dirent rien puis le bouclé éclata de rire, lançant un coussin à Damien qui le rattrapa et sourit.
"T'es con! Pourquoi j'reste avec toi?"
"Parce que tu ne peux pas te passer de moi et de Mini Damien!"
"Connard! J'vais m'venger!"
Pour accompagner ses mots, Thomas frappa le personnage de Damien qui tomba dans l'eau, se noyant. Un sourire narquois naquit sur ses lèvres au grommellement du plus grand qui pesta.
"Tu vas voir si ce sera toujours drôle après!"
Tout au long de la partie, les deux ne firent que s'entre-tuer, n'essayant même plus d'avancer dans l'aventure et de terminer le niveau. Mais pendant le "combat", Thomas eut un petit sursaut et cri de surprise qui le fit lâcher la manette et tomber son personnage dans l'électricité. A l'entente du petit cri, Damien se tourna vers lui, un sourire narquois sur son visage.
"Pourquoi t'as crié? Est-ce à cause de mes fabuleux skills? Je sais que je te fais de l'effet et que mes grandes capacités t'éblouissent mais n'ais crainte!"
"C'est pas toi! C-ça a bougé!"
"De quoi? Qu'est-ce qu'y  a bougé? Ton perso? C'est normal ducon!"
"Mais non abruti! Pas le perso! Le bébé! Tu sais, celui que tu m'a foutu dans l'ventre!"
A ces mots, Damien se figea et se rapprocha rapidement de son amant, regardant son ventre arrondi comme hypnotisé. Il poussa une de ses mains et colla une oreille et attendit. Pendant quelques minutes il ne se passa rien mais ses yeux s'écarquillèrent quand un coup se fit sentir. Il releva la tête vers Thomas, le visage choqué avant de prendre une expression de joie pure. Le bouclé se sentit attendri en voyant son compagnon aussi heureux pour quelque chose de "banale". Ce sourire de bonheur et ce regard d'enfant émerveillé lui donnait un aspect adorable. Il se doutait bien que Damien serait ce qu'on pourrait qualifier de "papa poule", qu'il gâterait leur enfant sans relâche. Avant qu'il ne put comprendre, Thomas se sentit soulever et tourné dans les airs, le rire de son amant résonnant dans ses oreilles, son regard bleuté plongé dans le sien, le bonheur toujours présent. Le bouclé fut ensuite plaqué contre le corps plus grand tout en étant porté en position nuptial.
"Je suis si heureux! J'savais même pas qu'on pouvait être aussi heureux par ce genre de truc! Notre bébé a bougé! Mini pousse a bougé! Et dans quelques mois il sera là! J'lui apprendrai à jouer au foot!"
"Je te jure que si tu lui apprends ce sport, je t'étripe et ce sera abstinence à vie!"
Il n'eut comme seule réponse un rire plus bruyant et se sentit être dirigé hors du salon. Son regard se fit inquisiteur, fixant Damien qui n'avait qu'un sourire sur son visage.
"Où est-ce que tu m'emmène?!"
"Dans la chambre, faut bien fêter ça!"
"T'es con! En plus on dirait un beauf!"
"Peut-être mais dans quelques mois on pourra le faire moins souvent alors autant en profiter et fêter le premier mouvement de bébé Laguionie!"
Damien n'avait pas tord, autant en profiter avant que le fameux paquet arrive. Et puis, ça fait un moment qu'il n'a pas vu Mini Damien.
Bonus:
Damien essayait vainement de dormir mais c'était sans compter la mère  de son enfant qui l'en empêchait
"Putain Damien, je te jure que dès que le petit sort, je te castre!"
"Je suis désolé mais je tiens à mes bijoux de famille."
"Tu n'avais qu'à y réfléchir avant de me faire un gosse!"
"Chéri, pardonne moi bébé! Mais je peux dormir? S'il te plais! Je ferais ce que tu veux!"
"Crève! Si je peux pas dormir à cause du bébé, tu dormiras pas non plus!"
Damien ne répondit que par un gémissement plaintif, tentant de cacher sa tête sous l'oreiller dans une faible tentative de dormir, sachant que ça ne servirait à rien.
A partir de maintenant, il s'assurera qu'il porte une capote avant de s'amuser avec Thomas.
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nourstattoo · 3 years ago
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LIVAI • Issu de mes flash (Voir story 𝕱𝖑𝖆𝖘𝖍 épinglée sur mon profil) sur @oriyons_ttt ! J’adore les petits persos qu’elle dessine d’ailleurs ! Ainsi que les prop de son chéri @virateckwork, n’hésite pas à aller jeter un coup d’œil ! ➡️ Tu veux apprendre à tatouer / te développer en tant qu’indépendant ? Ou jeter un œil à nos vêtements & livres ? Clique sur le lien sur mon profil 🙏🏻😊✨ S P O N S O R E D • by 💉 @wjxcartridges 💧 @hustlebutterdeluxe ⚔️ @cavabarber . . . . . #mangatattoo #mangatattoos #animetattoo #otakutattoo #nourstattoo #tatoueurs #tatoueur #tatoueurmanga #manga #otaku #anime #mangablackwork #nantestattoo #nantes #carquefou #hustlebutterdeluxe #yckth #wjxcartridges #levi #leviackerman #snk #wjxtattoo @bulldogpro (à Nours Tattoo) https://www.instagram.com/p/CV5q4LYA8Lg/?utm_medium=tumblr
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marinelp · 6 years ago
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🇫🇷 Hello Lovelies! Qui regarde le match par ici ? 🇫🇷 ou 🇧🇪 ? Perso, je ne suis pas trop foot, mais vu que le chéri regarde, je vais suivre le match du coin de l’œil en rattrapant mon retard dans les commentaires du blog 😊 Si vous l'avez loupé, un nouvel article vous attends à l'occasion du tout premier Summer Black Friday chez @notino_fr où je vous présente mes dernières découvertes et produits favoris du moment dont ce petit Stay Matte Fire Starter de @rimmellondonfrance ❤️ Vous connaissez la gamme ? Des teintes à me conseiller ? Bonne soirée ! 😘 • 🇬🇧 Hello Lovelies! Who's watching the game? 🇫🇷 or 🇧🇪? Personally, I'm not into football that much, but since the boyfriend is watching, I'll keep an eye on the game while catching up the comments on the blog 😊 If you missed it, a new article is waiting for you on the blog as it is the very first Summer Black Friday at @notino_co_uk and for the occasion, I'm talking about my latest discoveries and current favorite products including this little Stay Matte Fire Starter from @rimmellondonuk ❤️ Have you tried the range before? Any shades to recommend? Have a nice evening! 😘 • #rimmel #liquidlipstick #firestarter #makeupaddict #makeup #lipstick #redlips #instamakeup #instabeauty #redlipstick #mattelipstick #fashion #ilovemakeup #worldcup2018 #collaboration #marinelovespolish (à Poitiers, France)
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