#mon enfant rigole quand je le gronde
Explore tagged Tumblr posts
Text
Pourquoi il rigole alors que je le gronde
Bonjour, Aujourd'hui je vais vous parler d'un sujet qui doit touché beaucoup de parent et professionnel de l'enfant. Pourquoi il rigole alors que je le gronde. Vous réagissez comment vous adulte ? #parentalitebienveillante
Après une pause pour faute de plus de pc et besoin de se ressourcer en famille, je reprends le chemin du blog et je vous parle parentalité bienveillante aujourd’hui, ça change de l’allaitement 😉
Je vais vous parler dans cet article de quelque chose que tout parent ou professionnel de l’enfance a vécu.
Votre enfant rigole alors que vous venez de le gronder après qu’il ait fait une bêtise.
Parce…
View On WordPress
#éducation sans violence#education#education non violente#mon enfant rigole quand il a fait une bêtise#mon enfant rigole quand je cris#mon enfant rigole quand je le gronde#parentalité#parentalité bienveillante#parentalité sans veo#parentalité sans violence éducative ordinaire#stop veo#veo#violence éducative ordinaire
0 notes
Text
Joyeux bololo
Samedi 1er décembre, je marche du côté de la Madeleine.
Des groupes épars de gilets jaunes, rouges, mêlés, hétérogènes, un peu paumés vont et viennent au gré des courants, des injonctions et des mouvements d’humeur. Flux et reflux contre les barrages interdisant la Concorde.
Alternance de calmes, de tensions et de joyeuses fureurs dans les nuages lacrymo, le son des cornes de brume, les détonations diverses et les échos d’une improbable fanfare rue de Rivoli.
Dans l’odeur acre des gaz, la France populaire en visite à Paris gronde et flâne à la fois, les yeux rougis de sang.
Les boutiques de luxe arborent en vitrine de strictes plaques de bois protégeant leur devanture. Y’a du vécu. A l’intérieur la vente continue.
Lucas Carton, restaurant chic par excellence,
fait relâche.
Le magasin Fauchon de tous les symboles, est gardé par une escouade de crs en faction.
Tiens, un couple de touristes japonais, à peine désorienté, traverse le cortège fluo, un grand sac Vuitton à la main.
Les gilets jaunes tournent et retournent autour de la place de la Madeleine comme des hamsters en cage. Nulle part où aller. Des renforts surgissent ça et là au gré des ruelles. ça s’éparpille, se regroupe, essaime et se concentre. ça interpelle du flic, appelle à la solidarité et à la convergence, ça se durcit tout à coup avant de s’apaiser.
Ovation générale quand un cortège venu de l’Opéra fait sa jonction.
ça barde, ça rigole, ça fait des selfies, ça cherche Martine, ça retrouve Sylvain.
Un drapeau rouge et noir
deux drapeaux tricolores
Une banderole CGT
Une écharpe de l’OM
trois étudiantes des beaux arts.
Un gilet jaune où l’on peut lire « On vient te chercher »
Au beau milieu, bloqué, un autobus à impérial prend du retard sur son tour operator.
Mouvements de foule, explosions de grenades, rumeurs et tumultes au loin. L’ambiance est à la fois lourde et bon enfant, tandis que là-bas, dans la nasse, ça se fait canarder grave.
Près des grands magasins les parisiens font leurs emplettes comme si de rien était. Parents et enfants sont agglutinés devant les automates des vitrines de noël.
Sirènes et gyrophare de convois de police, hurlements de camions de pompiers. Un scooter vient de se faire renverser par un taxi. Jour de chance. l’ambulance est déjà là.
Dans le ciel, un hélicoptère menaçant fait des cercles incessants.
Soudain l’irruption assez surréaliste d’un escadron de robocops à cheval sorti d’on ne sait où avant de disparaitre dans la brume polluée et le son peu à peu étouffé de la cavalcade.
Maintenant un groupe imposant de manifestants s’engouffre aux Galeries Lafayettes au cri de « Macron démission » tandis qu’au magasin Le Printemps, tout barricadé, les clients, enfermés dedans, continuent de vaquer, indifférents.
Dans un bistrot, sur l’écran LCI, Castaner, déroule, sans y croire, son scénario : violences, casseurs, dialogue blablabla…
Un type me demande où j’ai foutu mon gilet jaune.
Une femme demande à son mari où il a garé la bagnole.
Autant de mondes parallèles qui se côtoient, sans vraiment se croiser, qui font irruption puis s’estompent dans un joyeux bordel de fin de mois ou du monde.
Point d’équilibre instable et burlesque entre farce et tragédie, sans pouvoir vraiment trancher encore…une sorte de descente d’acide tragicomique.
C’est pas encore une insurrection, mais c’est plus qu’une émeute.
C’est insaisissable et volcanique.
Assez « disruptif » pour paraphraser le jupéteux poudré le Jupiter par terre qui découvre que sa start up mon cul
est une nation.
tgb
(photo en tête : Mathias Zwick photography)
Share
|
from rue-affre https://ift.tt/2zH1cAY via IFTTT
1 note
·
View note
Text
Interview ARTISTE Made In Montpellier - POULPINETTE
Découverte avec son premier titre et clip, dans l’émission Les Mixtapes de l’Apéro sur Radio Clapas, Poulpinette a de suite plus avec son mélange d’univers onirique et théatral, accompagnée de sons electropopisants.
Une preuve de plus qui démontre la sensibilité et le naturel de cette artiste, qui chante, écrit, dessine et dit des trucs banals. Ou pas.
Son interview est à lire ici :
Quand es-tu tombée dans la musique ? Peux-tu nous raconter ton parcours ?
Je fais partie de ces gens qui sont arrivés très tard dans la musique ; bien qu’elle ait toujours fait partie de mon quotidien : j’ai commencé le piano très jeune, j’ai passé des journées entières enfermées dans ma chambre à chanter à tue-tête en décortiquant les paroles de mes albums préférés, et je performais sous la douche (je continue d’ailleurs).
Étudiante j’ai rejoint une chorale de Gospel, ma toute première expérience au sein d’un groupe. Puis c’est beaucoup plus (trop) tard (deux enfants plus tard en gros) que je me suis (enfin) bougée pour rejoindre mon premier groupe de rock en Polynésie française. Nous faisions uniquement des reprises. Une très belle expérience, mes premières petites scènes. Puis de retour sur Montpellier, j’ai prolongé cette expérience au sein du groupe The 99, nous composions et écrivions nos morceaux. C’est cette dernière expérience, associée à la date fatidique de la mi-parcours (comprendre « bientôt 40 ans »), qui m’a poussée à me consacrer à la musique pour dire avec ma propre sensibilité ce qui a été déjà chanté des millards de fois. Et nous voilà donc aujourd’hui ! Une citation de Confucius m’a beaucoup inspirée : « On a deux vies et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on en a qu’une. » A méditer.
Comment se passe ta collaboration avec Karcajou Productions ?
Très mal je dois dire. Au sein de ce label on ne rigole jamais, on se prend au sérieux et la souplesse n’est pas leur fort.
J’ai rencontré Nada (Nada Roots, ARM Posse) il y a deux ans à Victoire 2 à l’occasion de l’enregistrement d’un EP avec mon ancien groupe de rock. Il nous a accompagné sur ce projet. Puis il y a 6 mois, Nada a lancé le label Karcajou Productions. Son rôle est d’accompagner des artistes dans la production de singles, de l’enregistrement studio à la production de clip tout en passant par l’étape promo.
Tout naturellement je me suis rapprochée de lui pour mon projet personnel. Depuis nous avons enregistrés plusieurs morceaux et sortis deux clips, et l’aventure continue. Pleins de choses à venir et à suivre sur les réseaux sociaux Face de bouc, Deux-trois grammes et notre jeune chienne Youtube. Sans oublier Bandcamp où tu peux écouter toutes les prods du label.
Te souviens-tu de tes premiers disques ?
Oh oui. Mes tous premiers disques m’ont été offerts. Dans le désordre: Téléphone Rappels 1+2, Texas Ricks Road, Lenny Kravitz Are You Gonna Go My Way, Neil Young Harvest & Harvest Moon, Ben Harper Welcome to the cruel world. Je piquais aussi dans les CD des parents: The Beatles (of course, mon père était fan), Pink Floyd, Keith Jarrett Koln Konzert (totalement fan de cet album), Bob Marley (j’ai grandi à la Réunion, un incontournable).
J’ai des goûts très éclectiques et peux faire le grand écart entre des genres très différents. Heureusement, je suis hyper souple !
Y a-t-il des artistes qui ont compté dans ton inspiration pour créer ton personnage ?
J’ai eu un parcours un peu compliqué ces cinq dernières années qui m’ont menée à vivre des expériences nouvelles et très enrichissantes. Je dirais que c’est ce long voyage qui a fait naître mon personnage. J’ai rencontré de nombreuses personnes, d’univers et d’horizons très différents. Elles ont toutes contribué à leur façon à la naissance de Poulpinette (je dessine les tribulations de Poulpinette sur www.poulpinette.com). Dans le milieu artistique je suis très sensible aux artistes français qui font le choix de s’exprimer dans leur langue. Je me suis longtemps cachée derrière l’anglais. Mais je manie moins bien la langue de Shakespeare et adore jouer avec les mots ; et les maux aussi.
On parle souvent de la misogynie à l'égard des femmes artistes, qu'en penses-tu ?
On parle souvent de misogynie tout court. Notre société a créé un monde dans lequel la rupture entre les femmes et les hommes est grande et profonde. Une rupture qui malheureusement créé un déséquilibre majoritairement au détriment de la femme. Je suis pour un monde où le lien entre les deux sexes est de nouveau possible. Il faudra BEAUCOUP DE TEMPS & D’AMOUR.
Tes artistes préféré.e.s en ce moment ?
Ma playlist en ce moment : Joseph Chédid, Mélody Gardot, AL.ANI, David Walters, JS Ondara, Mélissa Laveaux, Fatima Yamaha, Ousanousava. Et Nada Roots mais là, j’ai pas le choix, c’est dans mon contrat!
Avec quels autres artistes aimerais-tu jouer ?
Nada Roots (mais ça c’est prévu dès le 23/11), DJ BigMat (ça aussi c’est prévu à la même date) et sinon Yog, un autre artiste du label Karcajou Productions à découvrir absolument.
Joseph Chédid est mon chouchou du moment parce qu’il chante en français, avec sa voix fragile qui déraille, des sujets qui me touchent beaucoup. A bon entendeur pour une première partie ? Allez dis oui !
Je pourrais citer d’autres artistes mais ils sont morts. Alors…
Tes prochaines dates ?
Le 23/11/19 nous nous produisons à la Pimp My Queer au Studio 411 à 21h pour notre toute première date. Je serai accompagnée de Nada Roots à la bass, aux percussions et à la voix (grave, très grave – mes enfants disent de lui qu’il a la voix « qui gronde) et de DJ BigMat aux platines, l’ambianceur de nos soirées montpelliéraines. D’autres dates à suivre évidemment.
Que penses-tu de Support your Local Girl Gang ?
Je suis admirative de l’énergie dégagée par ce collectif et par toutes ses initiatives. Avoir la parole libre est essentiel pour chacun d’entre nous. Pouvoir le faire dans un cadre où la bienveillance règne est rassurant. Mer-sea « Support Your Local Girl Gang » !
POULPINETTE DANS TES RESEAUX : Website - Facebook - Youtube
Emeraldia Ayakashi - Support Your Local Girl Gang
0 notes
Text
Aujourd’hui ma petite fille a 25 ans. 22 Septembre 1992 dans ton berceau en plexiglas, tu me regardes avec tes beaux yeux bleus. Premier tête à tête dans la salle d’accouchement. Vingt deux bébés arrivés le 21 occupent toutes les chambres. Je te découvre après t’avoir rêvée et tu me plais beaucoup déjà.
16 janvier 1992… je sais c’est bizarre de parler de ton anniversaire en commençant par le mien…. mais c’est comme ça. 16 janvier 1992, sept heures du matin à Londres. De la fenêtre de ma chambre je regarde le square encore dans le noir. Je suis contente, il y a des soldes chez Harrods, j’ai visionné un documentaire époustouflant sur la Reine et je crois bien que je suis enceinte. Quelle belle journée, quelle belle année. Quelques semaines passent, Elizabeth II fait un carton d’audience et le Docteur Rambaud me présente mon bébé : ma petite fille. Ce soir d’avril nous allons dîner dans un bon restaurant italien de la rue du Champ de Mars et ton futur papa appelle ton futur grand frère pour lui annoncer la nouvelle.
This slideshow requires JavaScript.
22 septembre 1992, tôt très tôt le matin, tu t’annonces très doucement. Béatrice Hachette ma sage femme nous attend déjà à Sainte Félicité (je me doutais que ce serait maintenant), le Docteur Sarrot est un peu en retard mais nous patientons gaiement. Si, si, vraiment, on rigole. Les prénoms : Marianne, ça fait très longtemps que je l’ai choisi avec ton papa, Jeanne (celui de ma grand-mère), Mae (celui de ta grand-mère) et Caroline (une amie que j’ai beaucoup aimée). Tu arrives comme une fleur, une rose pompom…. les yeux bleus écarquillés. Béatrice t’enveloppe dans un champ stérile et te dépose dans les bras de ton père “c’est à vous”. Ta vie commence à l’aube, l’orage gronde et les petites soeurs de Sainte Félicité sonnent les cloches pour ta naissance.
Marianne 22 Septembre 1992 dans les bras de son papa
Et voilà c’est parti. Je ne vais pas te raconter ta vie. Tu la connais mieux que moi. Ce quart de siècle t’impressionne, je comprends. Et moi donc ? Pendant 25 ans, nous avons eu des lieux communs, de grandes scènes d’amour, des petites tragédies pas très grecques, des bons mots et des gros, des maux, des hauts et des bas, des absences, des ruptures, des calins, des disputes, la vie de famille en somme.
This slideshow requires JavaScript.
Toute petite déjà on sent l’épicurienne. Pas de petits pots, tu dis oui au reblochon, au jambon, au champagne, aux plats sophistiqués du restaurant du Jeu de Paume au Lavancher. Pas de menu enfant pour ma petite blonde… mais si on peut éviter le poisson, c’est mieux. Tu découvres la télé alors que tu têtes encore ta mère…. on voit ce que ça donne aujourd’hui ! Tu parles à tout le monde. Tu charmes. Tu fais ausi bien le pitre que…. la tête. You’re beautiful !
This slideshow requires JavaScript.
En maternelle, tu fais l’école buissonnière. Petite fille rêveuse et artiste, tu dessines dans les marges de tes cahiers…. je serai styliste. Au collège, tu imites ma signature. Punie, tu récidives. Dialogue de sourdes, tu ne parles pas, tu n’expliques pas. Dur dur d’élever un sphynx ! Tu me fais aimer Britney Spears, Notre Dame de Paris, Harry Potter, les Sims (ta deuxième famille). Tu me trouves ridicule quand je danse sur Alexandrie Alexandra. Je pleure quand tu pars en Classe verte et perds ta première dent.
This slideshow requires JavaScript.
En 1997, ton statut d’enfant unique bascule… Jeanne déboule. Une révolution parfois joyeuse, parfois houleuse… Je plaide coupable si votre relation de soeurs n’est pas idyllique. 20 ans plus tard, plus mûre, plus sûre de toi, plus expérimentée… je respire. Mon coeur est tout content quand je vous vois toutes les deux, deux soeurs.
This slideshow requires JavaScript.
Je suis tellement fière de toi ma Pompom. Quand je pense à mon impatience devant tes mauvaises notes, à tout ce que je prenais pour du je m’en foutisme… j’ai envie de me cacher sous ma couette, couverte de honte. Shame, shame, shame….. shame on me.
Marianne… So long Marianne. Que Marianne était jolie…. A peine née, déja chantée, célèbre. Un prénom décidé, doux aussi, un prénom d’héroïne. Marianne Faithful, la République, Marianne de ma jeunesse…. mais pour moi, la seule, l’unique c’est toi avec en fond la voix rauque de Leonard.
25 ans seulement, mais si seulement, et une vie bien remplie. Patch et poupou toujours fidèles, un amoureux, un chat, un nouveau restaurant… une tête bien faite dedans comme dehors. Ce quart de siècle me file un coup mais c’est ta vie que je vois… alors comme quelques photos valent mieux qu’un long discours let’s go.
This slideshow requires JavaScript.
Je ne sais pas à partir de quel âge, on parle de printemps pour les années qui passent. 25 printemps sonnent bien. Ta vie, jolie, pas facile tous les jours, incertaine certainement, à faire, à savourer, à vivre surtout, c’est toi qui en as les clefs maintenant. Ne t’en fais pas, si tu les oublies, si tu les perds…. J’ai toujours un double.
Bon anniversaire ma Pompom !
Twenty five…. Oh les beaux jours ! Aujourd'hui ma petite fille a 25 ans. 22 Septembre 1992 dans ton berceau en plexiglas, tu me regardes avec tes beaux yeux bleus.
#25 Ans#anniversaire#Argentières#Beatles#belle#Chat#ecole maternelle#enfant unique#Epicurienne#Etretat#Famille#Marianne#Photos d&039;enfance#Trouville#Vie#Voyages
0 notes