#mon enfance

[kaantt]

Je viens d'unlock des souvenirs de dessins animés de quand j'étais gamine

[etrema]

Venez écouter bonnes gens La ballade des pauvres gens L’histoire de Cosette Et de ce pauvre diable Qu’on appelle les misérables Ils n’habitent pas les beaux quartiers Ils n’ont pas toujours à manger Mais même si souvent Le destin les accablent Ils gagneront les misérables Ils gagneront les misérables.

[sushis4kalyo]

Quand le mode compatibilité Windows 98 ne suffit pas ... 🖥

Il y a quelques temps, je suis tombée sur le tumblr de @barbiemonamie et j'y ai reconnu des vêtements de poupées que j'ai eu petite (et que j'ai encore !) dont la Barbie Cool Blue de 1997 (j'ai aussi eu Skipper Extreme Green !).

Parallèlement, j'ai appris qu'Epic comptait fermer les serveurs d'un vieux jeu auquel je joue encore ... (99% du temps hors ligne, certes, mais j'avais toujours espoir de ramener des amis dessus ...)

C'est comme ça que dans un élan de nostalgie je me suis retrouvée sur plusieurs sites spécialisés dans les abandonwares, ces jeux trop vieux dont les éditeurs ne se soucient plus et qui peuvent, si partagés sur ces sites, être téléchargés gratuitement.

J'y ai retrouvé des jeux Disney Interactive, Dessiner c'est Disney 1 et 2, Tarzan, les 101 Dalmatiens ... je crois avoir vu des jeux éducatifs comme Lapin Malin ... et immanquablement, je suis tombée sur les jeux Barbie !

J'en ai eu ... quelques uns quand j'étais petite :

Barbie Mode Super Cool (1997)

Barbie aventures équestres (aussi appelé Riding Club) (1998)

Barbie Féérie sur Glace (2002)

Barbie Agent Secret (2002)

Barbie Lac des Cygnes (2003)

Barbie Défilés de mode (aussi appelé Fashion Show) (2004)

Et forcément, j'en ai téléchargé quelques uns (malheureusement disponibles qu'en anglais !) ... j'ai essayé de les faire tourner, pleine d'espoir, avec le mode compatibilité ... et comme on peut le voir sur la photo en haut du post, ça ne suffit pas. J'ai essayé de lancer Barbie aventures équestres et je pense demander conseil à des amis pour arriver à le lancer correctement. C'est à un point où le jeu ne reconnaît pas mes équipements graphiques, trop récents pour lui.

Par contre, le Barbie de 2004 se lance plus facilement. Il me reste plus qu'à savoir si l'aliasing (ça pixelise à mort sur les contours !) est d'origine (mais je n'en ai pas souvenir !) ou si je dois aussi corriger les graphismes ... je vous le montrerai dès que possible.

[pigeonneaux]

SOBBINGV

La cHANSLN DU HÉRISSON

[aainaalyaa]

“Tu sais ce que me manque des fois? Se préparer tôt le matin .. et monter dans la voiture, sortir prendre le petit déjeuner avec mes parents, dans leurs restaurants préférés .. les vues, les parfums, l'agitation d'un nouveau jour.”

— Mle. AainaA-Ridtz A R, Mon Enfance

[alfaire]

@fairymiese 𓈒ㅤㅤ🧵ㅤㅤ𓏲ㅤㅤ🍄ㅤㅤ◌ㅤㅤ𝗃𝖺𝗋𝖽𝗂𝗇

[inlovewithaspiderguy]

Je me fais trop chier j’ai sorti notre intégrale de la première saison des mystérieuses cités d’or

[misericordieux]

Je pense que 2024 est une grosse blague pas drôle racontée par Jean Claude Le Beauf en vacances à Saint André de Cubezac.

[aljeitfael]

HOLY SHIT???????

[secicrexe]

le mal n'est pas entendu

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Un premier combat entre les consonnes et les cloches qui sonnent... Mes pensées dans un dédale insondable… Il ne faut pas parler quand je suis à table… Il ne faut surtout pas agir quand je suis capable…

Le simple acte de dire à ma ténébreuse '' j'ai mal au ventre" se transforme en un examen à subir, une rue sombre à parcourir... Les mots se perdent comme les têtes de mes poupées brûlées et effrayées… Je me surprends incapable de former une fausse phrase ou un mot mal prononcé… Alors je me dresse devant elle et toute ma présence est remise en cause, la main levée vers ma tête, l'autre dessinant un cercle sur mon ventre, comme une danse pathétique ou un rituel pour invoquer le hasard...

Un deuxième combat entre mes veines serrées rouges qui m’émeuvent et l'impératif de rester tout le temps calme, même quand on s'acharne sur moi avec une ceinture sélectionnée rien que pour mon cas…

Mes signaux sont des échos en difficultés visuelles... ''Il a encore faim !'' dit-elle... Tout le sac de glace s'effondre entre ses pieds... ''Je dois le tuer.'' pense-t-elle... Derrière le voile, tout son regard s'effondre sur ses lèvres... ''où puis-je l'enterrer ? " confie-t-elle… L’amour s’effondre en larmes dans les tréfonds de sa robe…

La voix de la sorcière résonne dans la cuisine… Aiguë je pense et hystérique comme la conscience… Le mariage de la peste et le déluge s’annonce…

La porte se referme et les claquements d'aiguilles deviennent des tentacules qui me déshabillent… Dans son atelier de couture, les rires s’installent, elle tisse des fils dans le saint noir, des sortilèges à concevoir, des berceuses pour ce soir, pour que je ne dorme pas et que le rêve corrompe l’innocent cauchemar…

Un troisième combat entre la compréhension et la soupe aux choux froide... Suis-je un témoin ou un accusé fatigué qui se tue pour avoir moins ?... Alors je reste dans la flaque cassée à regarder longtemps les spirales de mes doigts tracés... Alors la solution c'est le désespoir… Alors je dois apprendre tout seul à ouvrir les étoiles de ma mâchoire...

Khalid EL Morabethi

[ dans ce texte j'essaie décrire une lutte interne face à la difficulté de communiquer...à un certain moment dans ma vie, surtout durant mon enfance... où les consonnes deviennent des obstacles symboliques... Le bégaiement est représenté par la frustration et l’impossibilité de former des phrases...les métaphores comme la sorcière et les tentacules, illustrent la pression et la gêne associées au bégaiement... finalement, la recherche de solution devient une aventure... ]

w i p

[nietp]

Musée Bourdelle

[carolemm]

Un livre terrible sur les silences : silence d’un père incapable de dire à son fils qu’il l’aime (ni même lui montrer), silence d’un fils abusé par un prêtre, silence d’un prêtre face au père de l’enfant, silence d’une grand-mère qui se sent coupable.

Un livre aussi sur les limites du pardon et de la vengeance.

On touche à l’insoutenable. Ce n’est pas l’histoire de Grégoire Delacourt mais il a été témoin, enfant, de ce camarade qui revenait dans son lit au milieu de la nuit et qui se cachait sous sa couverture en pleurant. Et il priait pour ne pas être le suivant.

Une très belle préface éclairante qui commence comme ça : «En commençant l'écriture de ce livre, je savais que je m'attaquais à la face nord d'une montagne verglacée.

Il n'y aurait pas d'aimable mercière cette fois, pas d'amoureuse éperdue, pas plus que de petite fille qui apprendrait à pardonner à son papa de lui avoir tiré une balle de revolver dans la figure. Et surtout, pas de happy end.

Il n'y aurait que deux hommes. Un Père et un père.

Un face à face. Un règlement de mots. Une boucherie à propos du désir de l'un et de l'interdit de l'autre.

Des frayeurs d'homme, en somme.

Il y aurait mes peurs anciennes d'enfant lorsque l'ombre me couvrait de nuit et de larmes. Il y aurait mes angoisses de père, plus tard - et cette infirmité de ne jamais pouvoir protéger tout à fait ceux qu'on aime.

Il y aurait ce que notre part humaine compte de plus cannibale ou de plus désespéré.

Alors oui, lorsque, après avoir lu la brève quatrième de couverture, cette dame a reposé Mon Père sur la haute pile dressée devant moi au salon du livre de Vannes et qu'elle m'a dit « je ne le prends pas, c’est trop dur », j'ai su que j'étais parvenu au sommet de ma montagne, là où l'on est forcé de regarder en bas, regarder loin ; là où, sans avoir besoin de cligner des yeux, l'on voit tout - la cime des arbres comme les noirceurs qu'ils tentent de masquer, et dans la plaine les hommes qui fuient et au seuil des maisons les femmes qui pleurent. Ainsi, ce qui semblait être « dur » à ma visiteuse de Vannes, c'était de voir. Et donc de savoir. Voir et savoir le mal fait à nos enfants, nos faiblesses à les défendre, l'appétit des ogres. Je crois que tôt ou tard il faut montrer, il faut nommer, car l'imagination est sans fin lorsqu'elle se hasarde du côté du féroce. Je crois aussi qu'en ces temps où la pensée est réglementée et, comme aux heures sombres du monde, la parole suspectée, il est du devoir de l'art de retrouver son rôle d'empêcheur de vivre en rond, de pousser les murs, de cogner, d'évoquer « cette sinistre nouvelle de ce qu'un homme a pu faire d'un autre homme ». Il faut retrouver cette liberté essentielle qui consiste à parler de tout, à montrer tout, cette joie de donner la parole à ceux qui ne l'ont plus car leurs mots en eux sont restés enfouis, car les mots en eux ont été émiettés, et s'il arrive parfois, oh rarement, que quelques-uns parviennent enfin à leurs lèvres, ils ne sont pas cueillis, pas recueillis. »

[baheuldey]

Comme vache qui pisse, 2023, aquarelle et gouache sur papier, 21 x 13,5 cm

[marypioneer]

Premièrement, ce blog est des plus réjouissants (j'ai aussi un problème avec les explorateurs morts il y a 500 ans et quelque). Ensuite, j'ai besoin d'un conseil. Je suis en train de me refaire la saison 1 des Cités d'Or avant d'attaquer les suivantes, mais le graphisme me donne de l'urticaire. Ca vaut la peine de s'accrocher et de regarder les épisodes ?

Haha, merci :)

Alors. On est dans un cas typique de suite qui n'arrive pas à la cheville de la première saison.

J'ai vu la saison 2 dans son intégralité. J'ai arrêté la saison 3 en cours de route parce que ça me foutait trop les nerfs. Je ne reconnais pas l'existence de la saison 4 x)

Si dans la première saison on avait un réalisme magique parfaitement exécuté, la suite part complètement en cacahuète (à défaut d'autre terme). On perd, certes, le graphisme des années 80 (on finit par s'y faire) mais surtout la musique qui fait tout le charme des Mystérieuses Cités d'Or - ils ont refait le générique aussi, je crois ? c'est à chier.

Les personnages ne font que crier, c'est pénible. Même les petits docus post-épisode n'ont plus aucun intérêt (c'était mon moment préféré de la saison 1 x) ).

En bref, on retrouve les personnages (un poil plus débiles qu'avant, pour les enfants) mais absolument pas l'ambiance et la qualité de la première saison.

Il y a quelques points positifs, cependant. 1) Mendoza est toujours iconique. 2) Le personnage de Pedro évolue de façon assez intéressante. 3) La cape de Mendoza a toujours la grande classe.

Il me semble que les nouvelles saisons ont trouvé leur public et grâce aux yeux des fans de longue date, ceci dit.

[katewalker]

Je suis une adulte financièrement indépendante depuis presque 5 ans. Je viens seulement de me rendre compte que je peux m'acheter du Candy Up chocolat si j'en ai envie.

Et j'en ai envie.

[dagonet]

Les Bronzés font du ski (1979) réal. Patrice Leconte