#mitrailleuse légère
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carbone14 · 9 months ago
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Soldat de la 32e Division d'infanterie américaine avec une mitrailleuse Lewis Type 92 prise aux japonais – Bataille de Buna–Gona-Sanananda – Campagne de Nouvelle-Guinée – Buna – Papouasie Nouvelle-Guinée – Novembre-décembre 1942
Photographe : George Strock
Colorisation par Doug
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lemondeabicyclette · 4 months ago
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Les bicyclettes de la Seconde Guerre mondiale
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, d'innombrables défis ont rendu les transports de base difficiles, coûteux et dangereux.
La nécessité de trouver des moyens rapides, efficaces et silencieux pour transporter les gens d'un point A à un point B - malgré les pénuries de carburant, les routes endommagées et les batailles en cours - a incité de nombreux soldats et civils à utiliser les bicyclettes comme moyen de transport. Images 1-4 d'une série de 31.
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Des membres du corps cycliste allemand de mitrailleuses légères portent des masques à gaz alors qu'ils se tiennent à côté de leurs bicyclettes dans une file d'attente en Autriche, vers 1939. Notez la mitrailleuse attachée à l'un des vélos en bas à droite.
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Légende originale : « Ces troupes de cyclistes français se dirigent vers l'ouest à travers une forêt quelque part en France, le 25 septembre 1939, en direction du front. #
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Des cyclistes se portent volontaires comme messagers de l'ARP (Air Raid Precautions) à Liverpool, en Angleterre, en 1939. Légende originale : « De nombreux cyclistes des clubs de Merseyside montrent la voie en se portant volontaires pour le nouveau corps de cyclistes messagers de l'ARP. Le corps des messagers de l'ARP compte aujourd'hui 500 membres ». #
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Légende originale : « Une ambulance anti-gaz et un réanimateur à un seul homme, conçus et fabriqués pour être utilisés par la Home Guard. Photographié en Angleterre le 29 juillet 1941. #
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depetitstableaux · 1 year ago
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174/200 Stalag IIB
Parce que tu t’écroules soudain dans mes bras, et que je te rejoins dans ta chute, et qu’une litière de paille nous enfouit quelques minutes, au revers d’une porte, et qu’alors j’oublie la guerre, la peur de mourir, leurs barbelés, l’odeur de moisi, les canons des mitrailleuses, le claquement des bottes, le métal des uniformes. Parce que tes yeux bleus, parce que ton drôle d’accent. Parce que tu me regardes et que tu joues avec moi. Parce que tu es légère et que je reconnais ton pas sur la neige.
Et aussi : j’ai peur.
J’ai peur toute la journée. Je sent la peur la nuit, le matin, l’après-midi et le soir, quand je m’habille, quand je marche, et quand je mange, et quand j’attends le courrier de Vendée. J’ai presque toujours peur. Ma peur fait une grande flaque de graisse tiède et collante et je vis dedans : elle imprègne mes vêtements, mes cheveux, mes regards, ma respiration, mes pensées. Je m’attends à ce qu’ils viennent me chercher. A ce qu’ils m’accusent de quelque chose.
Je n’ai plus peur quand tu me regardes. Ton regard est clair, certain, ferme, ouvert comme le ciel certains jours de juin sur la grande plage des Sables d’Olonne que je reverrai peut-être un jour. Alors j’ai de l’espoir. Je me dis que tout cela va s’arrêter. Que je retournerai chez moi. Qu’ils vont nous renvoyer saufs. Que le Stalag IIB va s’ouvrir. La guerre va finir. Tu viens à moi, je viens à toi. Nos bouches se reconnaissent, tout chavire, je suis vivant. Nos corps cherchent à s’approcher le plus possible. Tous les moyens sont bons. Tu as 20 ans, tu es si belle. Je veux me presser contre toi, tu souffles à mon oreille, tu dis mon prénom, tu le dis mal, tu le dis avec ton accent, j’adore quand tu dis mon prénom, je vis. Je suis ici, avec toi.
Les Kappos du Stalag ont été clairs : on vous envoie dans les fermes, il y a des pommes de terre à ramasser. Toi le paysan, suis nous. Mais si vous touchez aux filles, « tacatacatac », Verstanden ? Ils montrent leurs Sturmgewehr 44. J’ai peur. La grande flaque de la peur.
Sauf qu’il y a de la vie partout. C’est ainsi. Des fois, une plante vivace pousse dans le bitume. La vie se fraie toujours un chemin vers la vie. Et dans cette ferme de Poméranie, à la frontière de la Pologne, loin, très loin vers l’Est, à des jours de marche de mon bocage, il y a tes yeux, et tes bras, et notre jeunesse, et nos peurs à tous les deux, nos vides, et nos soifs qui se reconnaissent aussitôt et s’attirent l’une l’autre.
Tu viens me donner un coup de main.
Tu as tricoté des gants de grosse laine pour nous. Tu es venue seule derrière la grange à betteraves. Tu m’a montré les gants en souriant. Tu as pris mes mains et tu m’as enfilé mes gants. Je t’ai laissée faire. J’ai senti ton odeur, j’ai regardé ta tête penchée sur mes mains. Tu étais appliquée. J’ai senti ce contact de tes doigts sur ma peau. Tu as les main chaudes. Tu a pris ton temps. Je t’entendais respirer fort.
Tu as relevé la tête vers moi.
Mes mains gantées de laine dans tes petites mains chaudes. Ton regard franc. La beauté de ta bouche, délicate comme praire. Tu es allemande, je suis français, nous sommes en 1941, tu t’avilis en embrassant un soldat ennemi, je risque ma vie en te regardant, et nous allons l’un à l’autre avec toute l’avidité, toute l’évidence, tout le soulagement de laisser jaillir en nous la force de vivre.
A partir de maintenant tu es la vie. Tu es l’espoir de chaque jour. A partir de maintenant, je tremble qu’on vienne me traîner devant un peloton d’exécution pour t’avoir aimé. Quand ils frappent à la porte le matin pour nous amener aux champs, quand ils font l’appel pour distribuer le courrier ou les colis de la croix rouge. A partir de maintenant, j’aime l’ordonnancement des outils dans cette ferme d’Allemagne. Je trouve beau ce grand ciel de l’Est qui semble se perdre au loin sur des champs de neige. Tu me montres comment vous coupez les betteraves fourragères, comment elles fermentent tout simplement ainsi, dans une espèce de cave aménagée pour cela, et comme les vaches s’en régalent. Tu me montres comment ton corps se love au mien, comme nous nous devinons sur des lits de paille avec un sac en toile de jute posé dessus.
J’apprends à dire ton prénom, tu apprends à dire le mien. Avec nos accents étranges qui nous font rire. Ta cousine fait le guet quand ils sont partis. A partir de maintenant, parfois, je n’ai pas peur. Et à partir de maintenant, il y a en moi une alerte permanente. Ne pas être pris. Quelque chose se cache en moi. Mon espoir. Mon désir. Toi. La femme interdite. Mon secret, celui qui me tient en vie et celui qui me condamnerait. Vie et mort, désir et peur s’affrontent dans le plus grand secret de mon cœur.
- Florent Barbeau ? Kommen.
Tout le monde me regarde dans le baraquement. Ils sont inquiets. Je me lève, je suis vide. Je pense à toi. Le kappo me montre mes affaires, et mon sac. Il me demande de faire mon paquetage.
- Schnell
J’ai mon cœur dans la gorge. Je respire avec peine. Je ne veux pas montrer ma peur. Je ne veux rien leur montrer. Je met mes affaire dans le sac de paquetage qu’ils m’ont donné. Un porte feuilles, deux lettres de ma ma mère. Les gars me tapent sur l’épaule. Me serrent la main.
Dehors il y a un camion bâché, et d’autres prisonniers déjà sur la remorque. On me tend un bras. Je me hisse en prenant appui sur le marche pied. Je reconnais deux visages. Il y a des sourires. On chuchote.
- On s’en va Barbeau. T’as de la chance. On rentre.
- Quoi ?
- Ils ont besoin de bras pour les récoltes en France. Les paysans comme nous on rentre à la ferme.
Le camion démarre. Le camion démarre et le baraquement s’en va. La ferme s’en va. La grise Allemagne s’en va. La gare. Les wagons. Les kilomètres qui défilent. Des collines, des forêts inconnues, des uniformes, des villes encore, des citernes, des entrepôts en briques, parfois des tanks, des sacs de sable, des mitrailleuses, 1942, trois ans de captivité qui s’en vont. Tes mains s’en vont. Ta bouche s’en va, ton odeur, tes cheveux, ton attente. Tout, s’en va.
Je ne t’ai pas dit Adieu. Une chose plus grande que la tristesse vient de se recroqueviller quelque-part dans ma poitrine et mon cou, une tristesse qui ne pourra jamais être dite, à personne, une femme interdite, un amour interdit, une boche, un secret.
- T’as pas l’air content Barbeau !
Si, je suis content, je rentre chez moi, je vais retrouver le goût du beurre salé, les légumes du jardin de mon père, le vin rouge qu’on partage à la cave au cul de la barrique, mes sœurs, ma mère, un lit propre avec des draps. J’irai voir l’Océan. Et je pense à toi. Ton visage, comment est-il déjà ? Je voudrais retenir ton souvenir. La vérité s’impose : tu es passée. C’est fini. Le camp, la peur et toi. Ton sourire et les mitrailleuses. Les punaises et les poux, les gants de laine. Nos rendez-vous, le lit de paille, ton odeur, l’appel et la soupe de choux dégueulasse.
Comme tu étais belle Clara, et comme tu m’as sauvé de la folie et de la tristesse, et comme tu m’as aidé à tenir et à vivre.
Je fais le serment de te garder là. Intacte. Fraîche et lumineuse comme l’hiver de Pologne. La guerre nous a jetés l’un sur l’autre, la guerre nous sépare à jamais sans doute, et tu auras 20 ans pour toujours.
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smartencyclopedia · 2 years ago
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if-you-fan-a-fire · 2 years ago
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"Les prisonniers de guerre se soulèvent au Canada," Le Soleil. October 23, 1942. Page 1. --- Au camp de Bowmanville, des prisonniers nazis attaquent les gardes qui allaient leur mettre les fers aux mains - Des blessés - Grève de la faim. --- Ottawa, 23. (PC) Le ministre de la Défense nationale Ralston a annoncé hier soir que des désordres sérieux avaient éclaté le 10 octobre dans le camp de prisonniers de Bowmanville, en Ontario, lors de la mise aux fers de prisonniers de guerre allemands gardés là, et que des prisonniers et des gardes avaient été blessés.
Les prisonniers se barricadèrent dans leur baraquement et refusérent d'obéir aux ordres. Un prisonnier fut blessé à la jambe par une balle de fusil et deux autres reçurent de légères blessures de baionnette". Des meubles furent brisés et des carreaux volèrent en éclats.
Le communiqué, publié par le ministère de la Défense nationale, dit que la vie reprit son cours normal dans le camp après que des détachements d'un camp militaire voisin eurent été envoyés comme renforts.
Les prisonniers d'un autre camp opposèrent aussi "une faible résistance" à l'ordre de mise aux fers, mais tout se passa dans l'ordre aux 15 autres camps de prisonniers de guerre, dit le communiqué.
L'ordre de mise aux fers fut donné par le gouvernement canadien comme mesures de représailles après que les Allemands eurent annoncé qu'ils avaient enchaîné 107 officiers et 1,268 sous-officiers et soldats britanniques pris à Dieppe. Comme les cinq-sixièmes de l'expédition qui attaqua Dieppe au mois d'août étaient formés de Canadiens, on a présumé que la plupart des prisonniers enchainés par les Allemands étaient des Canadiens.
Les autorités canadiennes n'ont laissé publier jusqu'ici aucun récit de ce qui s'est passé à Bowmanville par crainte que des récits exagérés ne servissent de prétexte aux Allemands pour exercer de nouvelles représailles contre les soldats et les aviateurs canadiens entre leurs mains.
La revue américaine "Time", dans sa dernière livraison, parue hier, relate au long l'incident, et le colonel Ralston semble avoir voulu opposerà ce récit une version officielle et exacte.
A Washington. la légation canadienne a fait des représentations auprès du gouvernement américain au sujet de la publication de cet article par "Time". Le gouvernent canadien a dit que cette publication constituait une grave violation des réglements de la censure et a demandé une enquête approfondie aux autorités américaine sur la source des renseignements de "Time" et sur la façon dont ces renseignements furent transmis aux Etats-Unis.
Les fonctionnaires de la légation canadienne à Washington ont dit que le gouvernement d'Ottawa attachait beaucoup de gravité à cet incident parce qu'il pourrait avoir des conséquences redoutables pour les prisonniers canadiens en Allemagne.
Le communiqué du colonel Ralston dit que quatre coups de fusil furent tirés en guise d'avertissement. Une balle ricocha sur le sol et blessa un prisonnier à la jambe. "Cela se pessait, ajoute le ministre, pendant que les prisonniers attaquaient et assaillaient brutalement un officier de la garde."
Il y eut aucune perte de vie et la plupart des blesseres étalent peugraves, dit le bulletin
A un endroit, un trou fut percé dans la toiture et on se servit d'un boyau à incendie pour calmer les prisonniers.
Le communiqué assure qu'aucune mitrailleuse ne fut mise en action et que les gardes n'employèrent pas de lacrymogènes au cours des troubles, ni aucune autre sorte de gaz.
Cela apporte un démenti à l'article de "Time". "Time" dit que les gardes tirèrent deux rafales de balles de mitrailleuse et que les prisonniers allemands sortirent de la principale salle du camp "après avoir été soumis pendant 35 minutes à des jets d'eau à haute pression et à des gaz lacrymogènes." Le communiqué du colonel Ralston dit aussi que "de la nourriture fut préparée et servie aux prisonniers, dont certains firent une grève de faim qui dura deux jours." L'article de "Time" dit que des troupes canadiennes forcèrent les prisonniers à sortir de la bâtisse "le jour d'Actions de Grâce après que les prisonniers eurent passé deux jours sans nourriture..."
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dustandspray · 3 years ago
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Balade au Chaberton, un peu d'histoire...
Le Mont-Chaberton est un sommet des Alpes françaises dans le massif des Cerces et précisément dans le chaînon du Chaberton, dans le département des Hautes-Alpes. Il culmine à 3 131 m d'altitude.
Jusqu'en 1947, le mont Chaberton faisait partie intégrante du territoire italien (commune de Cesana Torinese).
Les anciennes batteries militaires
En 1898, l'Italie, qui venait d'adhérer à la Triplice, entreprit de construire au sommet du mont Chaberton une batterie de huit tours de maçonnerie surmontées de canons tournés vers la France et Briançon, défendant ainsi le passage du col de Montgenèvre.
Pour cela, les soldats et ingénieurs dirigés par le major du génie Luigi Pollari Maglietta ont réalisé une route depuis le village de Fénils (val de Suse) et ont abaissé d'environ 6 mètres le sommet du Chaberton pour y installer les huit tours de 12 mètres de haut, correspondant à la plus haute chute de neige enregistrée. En 1906, chacune des tours fut armée d'un canon de 149/35[2] (en réalité, des 149/36 — le tube d'acier étant porté à la longueur de 36 calibres), ce qui allongeait la portée du tir. Mais fut conservée la dénomination 35 pour préserver le secret militaire. Chaque pièce, servie par 7 hommes, était protégée par une coupole blindée relativement légère (50 mm devant, 25 mm sur le toit et 15 sur les flancs et derrière), plus légère que les normes en vigueur alors pour les forteresses : on considérait en effet que la batterie se trouvait hors de portée de l'artillerie classique, et on se contenta de coupoles de conception anglaise Armstrong Montagna offrant une bonne protection contre la neige, les éclats et les schrapnels. L'ensemble des travaux fut terminé en 1910. Le fort, parfois surnommé le « cuirassé des nuages », faisait l'orgueil des militaires italiens et était alors réputé comme le plus haut et l'un des plus puissants du monde. Sa position était inexpugnable, le mettant hors de portée de la plupart des pièces d'artillerie de l'époque, et permettant théoriquement à ses huit pièces de 149 mm d'atteindre la gare de Briançon distante de près de 18 km. Cependant, pour des raisons mécaniques liées à l'installation des tubes sous des coupoles Armstrong, la portée utile fut limitée à 16 km.
Pendant la Première Guerre mondiale, quand l'Italie entra en guerre aux côtés de l'Entente, les pièces d'artillerie furent démontées pour être employées sur le front contre l'Empire austro-hongrois.
Sous le régime fasciste, la batterie du Chaberton fut réarmée, et représenta de nouveau une menace pour Briançon et la France. En 1940, le fort fut intégré au IV Corpo d'Armata (général Mercalli) et constitua la 515a batteria du XXXIV Gruppo du 8° Raggruppamento Artiglieria de la Guardia alla Frontiera. Sa garnison comptait environ 340 hommes, sous le commandement du capitaine Spartaco Bevilacqua. Contre d'éventuelles attaques aériennes des mitrailleuses de DCA avaient été prévues.
Pour y faire face, l'armée française fit venir quatre mortiers de 280 modèle 1914 Schneider, répartis en deux batteries camouflées de deux pièces, une à l'Eyrette et une autre au lieu-dit Poët-Morand, deux emplacements situés hors de la vue du fort italien. Ces deux sections constituaient la 6e Batterie du 154e RAP (154e régiment d'artillerie de position), intégré au XIVe Corps d'armée (général Beynet). Les principales difficultés auxquelles se heurtèrent les artilleurs français venaient de ce que l'objectif, distant de 10 km, était situé à une altitude supérieure de 1 000 m à celle de leurs batteries, que les projectiles décriraient une parabole culminant à une altitude de 5 000 m et atteindraient leur cible plus d'une minute après le départ du coup. Il n'existait pas alors de tables de tir indirect pour des conditions de combat aussi extrêmes et inédites : le général Georges Marchand, qui commandait l'artillerie du XIVe Corps d'armée, fit appel à une équipe d'ingénieurs pour calculer en toute hâte les tables de tir des différentes pièces de l'artillerie de montagne, qu'il fit reproduire à l'imprimerie des aciéries Ugine non loin de là, afin de les diffuser auprès des artilleurs de Briançon.
Le 20 juin 1940, le fort du Chaberton reçut l'ordre d'ouvrir le feu contre les ouvrages français du Janus, de Gondran, de l'Infernet, des Trois-Têtes et de plusieurs batteries de campagne, mais ne causa que des dommages mineurs, par manque de précision. Les conditions météorologiques ne permettaient pas aux Français de régler leur tir pour répliquer, car le sommet du Chaberton restait voilé par les nuages. Le 21 juin 1940 à 10 h, le ciel s'éclaircit et le lieutenant Miguet, un ancien de Polytechnique qui commandait les deux batteries de 280 depuis un poste d'observation situé sur les pentes de l'Infernet, donna l'ordre d'ouvrir le feu. Il eut le temps de faire tirer trois coups qui s'approchèrent des tourelles du Chaberton, quand les nuages revinrent et lui masquèrent de nouveau sa cible.
Le ciel se dégagea vers 15 h 30 et le duel d'artillerie reprit. Miguet multipliait les coups qui encadraient les tourelles du Chaberton, observant les impacts, en liaison avec les observateurs de l'ouvrage du Janus qui lui signalent les coups longs dont les impacts lui étaient invisibles. Un des deux 280 de Poët-Morand, commandés par le sous-lieutenant Fouletier, mit un coup au but sur la tourelle 1 à 17 h 15. Dans la demi-heure qui suivit furent touchées les tourelles 3, 4 et 5. « Manifestement, le Chaberton n'a pas repéré cet adversaire qui l'inquiète, car il tire sur le Fort des Têtes » écrira dans son rapport le lieutenant Miguet. À 17 h 30 la tourelle 3 fut touchée, et se déclencha un incendie qui fut bien près de gagner le dépôt de munitions situé en contrebas. À 18 h 5 la tourelle 2 reçut un coup au but, puis la 6. Le feu cessa à 20 h. Au total ce jour-là 6 tourelles sur les 8 furent touchées, et les Italiens eurent à déplorer 9 tués et une cinquantaine de blessés.
Le Chaberton n'était pas totalement hors de combat, les tourelles 7 et 8 continuèrent à tirer les trois jours suivants, sans être atteintes par l'artillerie française, jusqu'au cessez-le-feu et à l'armistice du 24 juin 1940.
Le fort, inutilisable, fut abandonné le 8 septembre 1943, même s'il fut brièvement réoccupé un an plus tard, à l'automne 1944, par des parachutistes de la République sociale italienne surveillant l'avance alliée par la vallée de la Durance.
Pendant la période de négociation du traité de Paris signé en 1947, le ministre français des Affaires étrangères, Georges Bidault, se laissait aller en privé à se plaindre du « chabertonisme » du général de Gaulle, président du gouvernement provisoire : il entendait par là la propension du général à se passionner pour des détails insignifiants, au risque de compromettre le rapprochement franco-italien auquel poussait Bidault. Ainsi en réponse à une note du 15 janvier 1946 où Bidault souligne qu'il ne serait pas de bonne politique d'exiger de l'Italie des clauses exorbitantes, le général lui répond-il deux jours plus tard en insistant sur l'importance qu'il accorde à l'annexion du fort Chaberton[3].
C'est ainsi qu'à l'issue de la guerre, le vallon des Baïsses, le sommet du Chaberton et la batterie furent annexés par la France, déplaçant, de fait, la frontière à l'entrée du village italien de Clavière. À l'été 1957, tous les restes métalliques des tubes et des coupoles blindées furent enlevés et descendus dans la vallée. Il ne reste plus aujourd'hui sur le site que les supports des tourelles en maçonnerie et les ouvrages souterrains qui se dégradent rapidement et dont la visite est dangereuse.
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furiefrancaise · 4 years ago
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🇱🇧 Emmanuel Albach 🇫🇷
Nous avons posé quelques questions à Monsieur Albach concernant son engagement au Liban et nous le remercions pour ses réponses riches d'enseignements!
-Vous êtes parmi les deux premiers volontaires Français à partir pour le Liban, quelles ont été vos motivations?
La honte de voir la France abandonner encore un peuple ami auprès duquel notre honneur était engagé depuis mille ans, probablement, a été le déclencheur. Mon camarade Philippe, et moi, qui militions depuis déjà trois ans au Groupe Action Jeunesse -et pour ma part au MJR avant- nous sommes retrouvés un matin de début décembre à une terrasse de café, près de notre fac. Il avait acheté Paris-Match. S’y étalaient, en doubles pages intérieures, des photos des grands hôtels où des poignées de combattants chrétiens luttaient contre des hordes de « palestino-progressistes ». Nous avons dit ensemble : « Et la France les laisse tomber ! Et le serment de Saint Louis est bafoué, sur la terre des croisades ! ». L’évidence nous est apparue. Je crois que j’ai dit : « L’histoire ne doit pas pouvoir écrire qu’aucun Français n’est venu combattre avec eux. Il faut y aller.» Et Philippe a dit : « Chiche ? On part ? Je vais cet après-midi au bureau de la MEA, à l’Opéra. » « J’ai simplement dit : oui, vas-y ! ». J’ai pensé : « Si moi, je n’y vais pas, avec la conscience que j’ai du devoir qui nous incombe, qui ira ? ». Nous avons trouvé un Libanais à la fac, un chrétien d’Achrafieh, dont le cousin était dans les Phalanges. Il nous a fait une lettre de recommandation et nous a communiqué le numéro de téléphone de son cousin. Nous avons pris nos billets, tarif étudiant, pour le 4 janvier 1976, lendemain de mon anniversaire, afin que je sois majeur et libre de voyager. Nous n’avions pas le sentiment d’être des héros, ça, vraiment pas, mai juste de faire notre devoir, comme nos ancêtres avaient toujours su le faire. -Racontez nous vos séjours. Holà ! Je pourrais vous en écrire des centaines de pages. Je vais essayé de résumer…Nous étions hébergés dans un collège protestant, pensionnat déserté par ses élèves , le « Good Sheperd College » accroché à flanc de la colline d’Achrafieh, face au sud de la ville, dont les Phalanges avaient fait une caserne. Ses bâtiments, qui dataient des années 20, ont été détruits par l’artillerie syrienne en 1987. Pendant deux jours, Philippe et moi avons été soumis à interrogatoire sur interrogatoire. Ils avaient du mal à y croire. Et puis des infos ont dû leur venir de Paris, et ils ont compris finalement à qui ils avaient à faire. Le troisième jour nous avons été présentés à Pierre Gemayel, vieux monsieur magnifique d’allure, à la vois très grave, qui nous a chaleureusement serré la main. Dans la foulée, dans les sous-sols de la maison des Kataëb, nous avons rencontré son fils, Bachir Gemayel, le chef des combattants phalangistes de Beyrouth, qui a fondu en larmes quand nous lui avons certifié que nous étions prêts à mourir avec eux, pour eux. Il nous a dit, tandis que coulaient sur son visage des larmes qu’il ne cherchait pas à cacher : « La France, c’est tant pour nous. C’est notre mère. Elle nous a laissé tomber, mais vous, ses fils, vous êtes là ! Merci. Merci. »Le sous-sol de notre caserne, lui, regorgeait alors d’armes témoins des luttes passées, de 1860, 1920, 1958 : un vrai musée des combats menés pour leur survie par les chrétiens du Liban. C’était très émouvant. Au fond d’un couloir sombre, se trouvait l’armurerie de 1976. Là nous choisissions l’arme -le fusil d’assaut- que nous voulions pour notre mission du jour – ou de la nuit. Nous avons ainsi pu tester -longuement et en situation réelle - tout le matériel disponible ces années-là : Kalach (russe, allemand de l’est,…), Slavia, FAL belge ou sud-africain, M-16 (provenance du Sud-Vietnam), ou des engins plus lourds et meurtriers, et pas toujours jeunes, comme des mitrailleuses légères PKM, des MG-42 (avec les bandes de cartouches autour du cou, vous voyez le cliché, je suppose…) ou des engins impossibles comme le Mau-Mau chinois avec son gros chargeur camembert. Une fois j’ai même eu une Thompson, calibre 45, pour quelques heures (idiot !). Notre groupe -nous avons rarement été plus de huit en même temps- était lesté aussi de quelques LAW (ou « bazooka kleenex », américain), ou d’un RPG et trois roquettes, et nous gonflions nos poches de grenades russes quadrillées (défensives). Très vite chacun s’est fixé sur une arme. Moi, j’ai trouvé un kalach de mon année de naissance, fabriqué en Allemagne de l’est. Bien entendu, une image de la Vierge était collée sur la crosse. Je n’ai jamais porté de casque ou de gilet pare-balles. Nous partions avec deux cents cartouches chacun, plus nos trois chargeurs de 30 cartouches, scotchés tête-bêche, garnis partiellement de traçantes pour les combats de nuit (c’est très efficace à cinquante ou cent mètres de distance, dans la pénombre des rues, j’ai ainsi fait quelques cartons bien venus). La population nous aimait comme des frères, comme leurs enfants. Nous étions sans cesse invités à déjeuner ou dîner chez des gens d’Achrafieh, chaleureux et si reconnaissants de notre présence. On nous donnait une petite solde, l’équivalent de deux cents euros d’aujourd’hui, qui nous permettait d’aller de temps à autre boire une bière dans un bistro de la place Sassine. Nous étions toujours guidés -au moins pendant les premières heures de combat- par un gars de la caserne. Souvent deux ou trois gamins libanais se joignaient à nous. Les combattants kataêb étaient des étudiants, des lycéeens parfois, des gamins de milieux modestes autant que de familles plus aisées. Comme nous étions en général de service la nuit, pour des positions défendant le premier bassin du port de Beyrouth, ou dans le centre-ville, ou à Achrafieh sur la « ligne verte », où il fallait faire du bruit comme si nous avions été nombreux, nous consommions beaucoup de munitions.  Nous étions de retour vers huit heures du matin à la caserne, sauf que, la situation se tendant sérieusement à partir de la mi-mai, nous sommes parfois restés nuit et jour sur le front, avec presque rien à manger et contraints de boire l’eau d’une canalisation éclatée. Heureusement, côté munitions et matos, nous n’étions jamais oubliés !Au combat, dans ces rues, ces escaliers d’immeubles inconnus, quand chaque fenêtre est une menace, la peur devient une sensation permanente que l’on finit par dominer. La mort est toujours là, soit en fin de journée dans le cadavre d’un combattant quinquagénaire troué de plusieurs balles, qui le matin même plaisantait avec nous en fumant sa cigarette, ou celui d’un jeune homme, étudiant en pharmacie, qu’un RPG reçu en plein corps a transformé en un amas de chairs fumantes, éclatées, atroces. Il y eut les cadavres d’ennemis abandonnés, pourrissants sous le soleil si chaud de cette année-là, mal brûlés, parfois démembrés, et cette odeur écoeurante, si pénétrante, d’un lambeau de cervelle écrasé par inadvertance et qui s’est imprégné dans la semelle d’un pataugas pour y pourrir… Il y a aussi le vacarme conjugué des armes automatiques, des obus, des explosions de toute sorte quand, le front s’étant soudain réchauffé, dans les rues du centre-ville soudain saturés de déchirements sonores, tous tirent ensemble d’un côté contre l’autre, que des canons bitubes de 23mm, avec leurs gros pointilleux lumineux, entrent dans la danse, avec leurs « bam-bam, bam-bam » assourdissants, et qu’on se demande quand l’un de ces obus, de ces RPG, finira par nous trouver… On serre les dents, et l’on tient sa place dans la barricade, et l’on essaye d’allumer l’ennemi qui tente une percée sous le couvert de cette préparation cacophonique…
-Comment cet engagement est il perçu en France à ce moment là ?
Nos camarades du GAJ n’ont pas apprécié notre décision. La propagande gauchiste avait son effet : se battre avec les chrétiens du Liban, c’était devenu rejoindre Israël qui, dans nos milieux, n’avait pas souvent bonne presse. Nous, nous partions en croisade et sauver l’honneur de la France. Le reste, nous nous en fichions. Mais quand nous sommes revenus en février, une longue trêve s’étant installée, l’humeur avait changé. Nos camarades avaient compris et les volontaires ne manquaient plus. Côté gauche et majorité fausse droite, nous étions simplement des fascistes, quand ils nous citaient. Plus couramment, nous n’existions pas.
-Quels liens gardez-vous avec le Liban ?
Au retour du Liban, j’ai fait les Langues O’ en arabe littéral (j’ai étudié le coran trois ans !), arabe de presse et de radio (j’ai travaillé quatre ans pour An Nahar)  et arabe oriental (parler syro-libano-palestinien). J’ai à Paris, collaboré à Saout El Arz (la Voix du Cèdre, radio parisienne des FL), et j’ai vu Bachir quelques mois avant sa mort à Beyrouth. Quand les FL sont venues en exil en France, après 1990, je les ai aidées à se remettre en selle, en communication. De cœur, d’âme, sans cesse je me suis efforcé d’aider mes amis, mes camarades de combat. Je vais au Liban au moins deux fois par an. J’y ai vu ces dernières années tous les responsables des partis chrétiens, sauf bien sûr, le funeste Aoun. Notamment Samir Geagea qui m’honore de son amitié et aussi l’ancien président Amine Gemayel et son fils Samy Gemayel et des anciens responsables des commandos Kataëb, comme Samy Khoueiry, dont la sœur, une combattante incroyable, est partie vers Dieu fin juillet.
-Vous êtes le président et un des fondateurs de l’Amicale des Anciens Volontaires Français au Liban, quel est le but de cette amicale ?
Entretenir et garder des liens très étroits avec les anciens combattants des milices chrétiennes, Kataëb et FL. Transmettre aux jeunes la flamme de cette amitié combattante, de ce goût de la lutte et de la liberté. En 2014, au cours d’une émouvante et grande cérémonie, le secrétaire général du parti Kataëb, Samy Gemayel, a remis, à Bickfaya, au Liban,  à douze d’entre nous la médaille du Combattant Kataëb « Pour fait de bravoure ». Je suis revenu avec une trentaine de médailles à transmettre, avec un certificat, aux camarades qui n’avaient pas pu faire le déplacement, et dont la bravoure était absolument incontestable. Je la leur ai remise, parfois ce sont leurs enfants qui en ont été les dépositaires. Ces médailles gagnées au combat valent mieux pour moi qu’une Légion d’Honneur distribuée par des politiciens. Nous en avons fait coller une sur une dalle de marbre noir, sur la tombe de notre camarade Stéphane Zannettacci, tué au combat à Tall El Zaatar le 19 juillet 1976 et enterré à Cargèse, en Corse, où nous étions une dizaine, en octobre dernier pour une belle cérémonie. Nous avons aussi un drapeau frappé de notre logo et qui est présent à toutes sortes d’événements ou commémorations, comme les funérailles de Roger Holeindre ou la réunion annuelle sur la tombe de Jean Bastien-Thiry…
-Parlez nous de votre carrière après cette expérience, quels ont été vos engagements depuis ?
Je crois que j’ai répondu ci-dessus, au moins partiellement. J’ai été journaliste, puis consultant en communication (et chef d’entreprise). J’ai eu quatre enfants dont le sang me semble bien fort.
-Un dernier mot ?
Préparez-vous au combat ! Beyrouth, bient��t, sera transplanté à Paris. J’espérais pouvoir consacrer mes jours restants à écrire sur des sujets plus légers, mais je ne suis plus très sûr d’avoir encore le temps d’écrire beaucoup. Je crois que le combat nous appelle encore. Et puis quoi ? Mourir au combat, pour un vrai Français, pour un gaulois, quelle meilleure fin, à tout âge, et quoi de plus exemplaire pour les générations futures ?
Bibliographie :
Emmanuel Albach, "Beyrouth 1976, Des Français aux côtés des Phalangistes."
https://www.livresenfamille.fr/histoire-du-monde/14605-emmanuel-albach-beyrouth-1976-des-francais-aux-cotes-des-phalangistes.html
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gropopotam38 · 5 years ago
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Bastion des Ombres : nerf des armes
Bungie a annoncé d'énormes modifications dans la gestion des armes et de leurs dégâts dans le Bastion des Ombres ce qui, naturellement, va nous inciter à changer nos sets d'armes favoris.
Je vous retransmets dans ce qui suit les informations correspondantes qui sont directement tirées du site de Bungie. Mais ne vous arrêtez pas à cette seule lecture : après ces longs paragraphes, vous trouverez une vidéo tirée de la chaîne de MerJ1 (oui, oui, toujours lui) dans laquelle il donne son avis sur ces modifications.
Merci à MerJ1 pour son analyse et bonne lecture, amis gardiens 😁 Et au fait, comme d'habitude, vous trouverez un lien vers la chaîne de MerJ1 en fin de billet.
Ennemis - Général
Les ennemis mineurs (ennemis de base) ne subissent plus davantage de dégâts de précision supplémentaires que les autres ennemis.
Ces ennemis subissaient précédemment deux fois plus de dégâts sur leur point de tir de précision que les ennemis de rang supérieur.
Vous infligerez toujours des dégâts de précision, mais cela dépend désormais entièrement de l'arme, comme pour les ennemis de rang supérieur.
Modifications des armes – Général
Les mods d'armes sont maintenant considérés comme des objets déverrouillables réutilisables plutôt que des objets à usage unique. N'importe quels mods dans votre inventaire seront convertis en mods déverrouillés
Ceci donne l'opportunité aux joueurs de jouer avec différents mods plus souvent
Si l'unique exemplaire d'un mod que vous avez est déjà appliqué à une arme, il vous faudra l'obtenir de nouveau pour le déverrouiller
Fusils automatiques
Les dégâts en JcE augmentent entre + 30 % et + 25 %, selon le rang des ennemis
Arcs
Les dégâts en JcE augmentent de + 31 % contre les ennemis mineurs, et de + 26 % contre les ennemis majeurs
Correction d'un problème d'affichage incorrect de la durée d'armement de l'arc à l'écran des détails
Revolvers
Les dégâts en JcE contre les ennemis mineurs augmentent de 30 %
Les revolvers à armatures légère et adaptative utilisent une nouvelle animation de tir lorsque vous visez
Cette modification a été appliquée pour améliorer la précision de l'arme lorsque vous tirez aussi vite que possible
Par exemple : Actuellement, les joueurs peuvent tirer plus rapidement que l'animation de recul des archétypes à 140/150, et du coup, même si l'animation fait penser que le recul du revolver est terminé, le projectile suivant sera tiré comme si l'arme était toujours en train de subir le recul.
Nous avons réduit l'effet de la statistique de portée sur la diminution des dégâts selon la distance (portée pratique) pour cet archétype d'arme
Mitrailleuses
Les dégâts en JcE contre les ennemis mineurs augmentent de 25 %
Augmentation des effets de la diminution des dégâts selon la distance pour cet archétype d'arme
Fusils à impulsion
Les dégâts en JcE contre les ennemis mineurs augmentent de 28 %
Augmentation des effets de la diminution des dégâts selon la distance pour cet archétype d'arme.
Modifications des dégâts selon l'archétype (à la fois pour le JcE et le JcJ)
Les fusils à impulsion à tir rapide infligent désormais 14/23,8 dégâts de base/précision (13/21,4 auparavant)
Les fusils à impulsion à impact élevé infligent désormais 21/33,6 dégâts de base/précision (20/32 auparavant)
Fusils d'éclaireur
Les dégâts en JcE augmentent entre + 36 % et + 18 % selon le rang des ennemis
Pistolets
Les dégâts en JcE augmentent de 16 % pour les ennemis mineurs et majeurs
Fusil de précision
Les dégâts en JcE augmentent de + 47 % contre les ennemis mineurs, et de + 20 % contre les autres types
Les bonus de dégâts des attributs des fusils de précision exotiques ont été modifiés pour compenser cette modification et ils ne recevront pas le bénéfice complet en conséquence
Pistolets-mitrailleurs
Les dégâts en JcE augmentent de 22,5 % contre les ennemis mineurs et majeurs
Armature d'attaque
Nous avons retiré l'effet intrinsèque de « dégâts bonus à courte portée »
Ce bonus était de 10 % mais été toujours actif, par erreur
Le bonus de dégâts a été transféré aux dégâts de base pour les pistolets-mitrailleurs à 750 CPM, ce qui fait qu'il n'y a pas de modifications de leurs dégâts
En conséquence, Tarrabah et L'Opportun gagnent 10 % de dégâts à la fois en JcE et en JcJ
Exotiques
Belle affaire
La taille du chargeur augmente de 100 à 150.
Les dégâts en JcE augmentent de 15 %.
Les Munitions de gros calibre ont été remplacées par des Munitions antiarmure.
Les dégâts passent à 15/21,2 pour dégâts de base/précision (13,21/21,24 auparavant)
Cette arme ne nécessite plus que vous tiriez lorsque vous ramassez des munitions pour être automatiquement rechargée
Lance du graviton
Les dégâts en JcE augmentent de 30 %
Rayon de soleil
La taille du chargeur augmente jusqu'à 12
Aile de vigilance
Les dégâts en JcE augmentent de 25 %
Garance
Les dégâts passent à 19/30,5 pour dégâts de base/précision (13,76/24,75 auparavant)
Correction d'un problème qui entraînait un sursaut plus important que prévu pour cette arme
Impitoyable
Correction de la statistique d'assistance à la visée de cette arme
As de pique
Le bonus de dégâts de Memento Mori est désormais impacté par la diminution des dégâts selon la distance
Lumina
Les Balles nobles devraient désormais appliquer le bonus pour les alliés de manière plus fiable
La Colonie
Au service de la Colonie fonctionne désormais de la même façon que Holster de recharge auto
Améliorations
Subsistance
Réduction de l'impact de cet attribut sur les réserves totales
Balles à ricochet
Le bonus caché contre la réduction des dégâts selon la distance a été retiré
Fier-à-bras
L'attribut se déclenche désormais lorsque vous effectuez un frag avec Foudre en boule
Pilleur de tombe
L'attribut se déclenche désormais lorsque vous effectuez un frag avec une compétence de mêlée à longue portée (Foudre en boule, Couteau explosif)
Coup double
Réduction de l'efficacité du cumul de Coup double et Contre-attaque (Poignée de main des menteurs)
Par exemple : Les joueurs ne pourront plus vaincre Riven en moins de deux secondes après la sortie de Bastion des Ombres à l'aide de la combinaison de Coup double et Poignée de main des menteurs, mais nous savons que vous serez nombreux à essayer d'autres combinaisons, et même réussir, potentiellement. 
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pinkaros-blog · 5 years ago
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Les armes de la 2nd guerre mondial.
bonjour à tous, aujourd'hui, nous allons découvrir ensemble l'intégralité des armes  que les soldats (fr) de la 2nd guerre mondial possédaient. 
Du côté des français : 
Fusils, carabines et mousquetons
Mousqueton Berthier 1892m16
Fusil Berthier Mle 07-15 M16
Fusil Berthier Mle 07-15 M34
Fusil MAS 36
Fusil Lebel modèle 1886
Mousqueton Lebel Mle 1886 M35
Fusil semi-automatique MAS 40 (prototype)
Fusil semi-automatique R.S.C. Mle 1917-Mle
Fusil superposé BDF Rough
Fusil Meunier A6
Pistolets et revolvers
Revolver Mle 1892 8 mm
Revolver Mas 1873-1874 11 mm 2014
Pistolet Automatique Modèle 1935A
Pistolet Automatique Modèle 1935S
Pistolet Browning 10/22
Pistolet Ruby Llama (fabrication espagnole)
Pistolet Star modèle 1914
Fusils-mitrailleurs / mitrailleuses légères
Fusil-mitrailleur Browning BAR M1918
Mitrailleuse légère Johnson M1941
Armes antichars
Lance-roquettes Bazooka
Mitrailleuses
Mitrailleuse Hotchkiss Mle 1914
Mitrailleuse Reibel
Mitrailleuse Hotchkiss de 13,2mm modèle 1930
Grenades
Grenade F1 (modèle français)
Grenade à fusil VB
Grenade à Main Of 37 (Offensive)
Autres (Lance-flammes, mortiers, mines, etc.)
Mortier Mle 27/31 (81 mm Brandt)
Mortier Mle 35 (60 mm Brandt)
Mortier Mle 35 (120mm Brandt)
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jey-jeylola69 · 5 years ago
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Mitrailleuse légère #fortnite https://www.instagram.com/p/BzIpiysBGP7/?igshid=1aumppwmp1xk0
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reseau-actu · 5 years ago
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Des scientifiques de l'université de North Carolina State ont mis au point un type de mousse légère composée de sphères métalliques creuses pouvant supporter l'impact de cartouches de calibre 50 que l'on trouve dans des mitrailleuses lourdes et des fusils de tireur d'élite. Son utilisation permettrait d'alléger considérablement les véhicules blindés.
Une équipe de scientifiques de l'université d'État de Caroline du Nord a mis au point une mousse métallique capable d'arrêter les balles, même de gros calibre. Cette invention pourrait améliorer la protection des véhicules tout en les rendant plus légers et plus faciles à manœuvrer. Les chercheurs ont publié leurs résultats dans le journal Composite Structures.
Cette mousse métallique composite, fabriquée selon un procédé breveté, contient de l'aluminium et de l'acier remplis de trous d'air comme n'importe quelle mousse. Les chercheurs travaillent sur cette mousse depuis près de 15 ans et avaient déjà mis en avant les propriétés capables d'oblitérer un projectile antiblindage M2 de 7,62 x 63 millimètres, de protéger du souffle des munitions incendiaires hautement explosives - qui explosent 40 centimètres avant l'impact - ou d'isoler contre la chaleur, le feu ainsi que les rayons X, Gamma et le rayonnement de neutrons.
Un blindage à l’épreuve de l’artillerie lourde
Les chercheurs ont poussé l'expérimentation plus loin cette fois en démontrant les propriétés de cette mousse en lui tirant dessus avec des balles de calibre 50, utilisées par exemple dans les mitrailleuses lourdes ou les fusils de précision. Les tests ont été réalisés avec une plaque de céramique à l'avant et une plaque d'aluminium à l'arrière. Une vidéo de cette démonstration montre qu'à une vitesse de 514 mètres par seconde, la balle de calibre 50 mesurant 12,7 x 99 millimètres rebondit sur le blindage en mousse métallique composite, ne laissant aucune marque sur le côté arrière. À une vitesse de 801 mètres par seconde, la plaque arrière subit simplement une légère déformation.
La couche de mousse métallique composite parvient à absorber entre 72 et 75 % de l'énergie cinétique des balles blindées, et entre 68 et 78 % de l'énergie cinétique des munitions perforantes. De plus, elle a pu bloquer les projectiles allant jusqu'à 819 mètres par seconde.
Même à une vitesse de 800 mètres par seconde, une balle de calibre 50 déforme à peine la plaque. © NC State, YouTube
Des véhicules blindés plus légers et plus faciles à manœuvrer
Outre une excellente absorption de l'énergie cinétique des balles, la mousse métallique offre un second avantage. La présence des trous de cette mousse rend le blindage beaucoup plus léger. Afsaneh Rabiei, ingénieur et scientifique matériaux à l'université d'État de Caroline du Nord, a indiqué que « le blindage en mousse métallique composite pèse moins de la moitié du poids nécessaire pour atteindre le même niveau de protection avec un blindage homogène laminé. En d'autres mots, nous avons pu réaliser des économies de poids significatives - ce qui améliore les performances des véhicules et réduit la consommation de carburant - sans sacrifier la performance ».
Les chercheurs espèrent parvenir à améliorer davantage ce nouveau matériau. « Par exemple, nous voulons optimiser l'adhésion et l'épaisseur des couches de céramique, mousse métallique composite et aluminium, ce qui pourrait déboucher sur un poids total encore plus faible et une efficacité accrue du blindage final. ».
Ce qu'il faut retenir
Cette mousse composite, alliage d'acier et d'aluminium, offre une résistance exceptionnelle.
Léger, ce matériau absorbe l'énergie cinétique des projectiles, même les plus puissants.
Son poids réduit permettrait à des véhicules blindés d'être aussi bien protégés, tout en économisant du carburant.
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Futura Source: Futura
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carbone14 · 4 months ago
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Le Général Eisenhower avec une mitrailleuse M1919 Browning pendant une inspection d'une unité américaine d'infanterie légère – Angleterre – 20 mars 1944
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das-coven · 7 years ago
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Un petit post sur notre page Facebook au sujet d’un article de scriiipt.com traitant des armes a permis de démarrer une discussion passionnante sur les armes… et particulièrement la Thompson. Voici donc un article détaillé sur l’histoire de ce pistolet-mitrailleur Ô combien iconique des années 20 ou 30.
Le point de départ
Une histoire de la mitraillette Thompson
Les origines : L’inventeur
Guerre Hispano-Américaine
John T. Thompson (1860-1940)
L’inventeur de l’arme qui allait être connue sous le nom de mitraillette Thompson est John T. Thompson. Militaire de carrière, il s’est fait remarqué lors de la guerre Hispano-Américaine (1898) par sa remarquable gestion des transports de munitions.
Le Colonel Thompson a par la suite supervisé le développement du fusil Springfield 1903 et a présidé la commission d’adoption du Pistolet Automatique Colt 1911… Pour ce dernier, il a conçu des tests inhabituels consistant à tirer sur des cadavres humains (des gens qui avaient fait don de leur corps à la science ?) et du bétail vivant pour évaluer l’efficacité des munitions.
Première Guerre Mondiale
Lorsque la Première Guerre mondiale a commencé en Europe en 1914, John Thompson avait de fortes sympathies pour la cause alliée. Mais étant donné que les États-Unis n’étaient pas entrés immédiatement dans la guerre et parce qu’il reconnaissait un besoin important d’armes légères en Europe (ainsi qu’une opportunité de faire un profit substantiel), Thompson prit sa retraite de l’armée en novembre 1914 et accepta un emploi comme Ingénieur en chef de la Remington Arms Company. Avec cette société, il a supervisé la construction de l’usine Eddystone à Chester, en Pennsylvanie, alors la plus grande usine d’armes légères au monde. On y fabriquait des fusils Pattern 1914 Enfield pour les forces britanniques et des fusils Mosin-Nagant pour la Russie.
A partir de 1916, avec la guerre de tranchées qui changeait considérablement les tactiques militaires habituelles, Thompson a de nouveau expérimenté des armes légères automatiques, cette fois-ci dans le but de concevoir une arme que les troupes pouvaient utiliser pour dégager une tranchée ennemie – ce qu’il appelait un ” Balai à tranchée ” (trench broom).
John T. Thompson
Lorsque les États-Unis sont finalement entrés dans la guerre en 1917, Thompson est retourné à l’armée et a été promu au rang de brigadier général. Il a occupé le poste de directeur des arsenaux pendant toute la durée de la guerre, dans la mesure où il supervisait toute la production d’armes légères pour l’armée. Il s’est retiré à nouveau après la guerre, en décembre 1918, et il est revenu au travail en perfectionnant le “Tommy Gun”.
Entre les deux Guerres Mondiales
Thompson a décidé d’utiliser les mêmes munitions de calibre 45 dans la mitrailleuse Thompson que celles qu’il avait examiné pour être utilisées dans le Colt M1911. L’arme a été brevetée en 1920, mais la principale source de contrats s’est tarie avec l’armistice. Thompson a donc commercialisé l’arme aux forces de maintien de l’ordre, qui l’ont acheté dans des quantités respectables. Cependant, en 1928, les faibles ventes avaient conduit la société à une crise financière, et Thompson a été remplacé à la tête de la Compagnie (Auto-Ordnance Company).
Les différentes versions de la mitraillette Thompson
La Thompson M1921A
Entre 1921 et 1922, la Colt’s Firearms Manufacturing Company, à Hartford, Connecticut a fabriqué 15 000 Thompson Model  1921A pour l’Auto-Ordnance Corporation. Les crosses et les poignées étaient fabriquées par Remington U.M.C. L’arme avait une finition soignée et couteuse, et était vendue 200 $ (ce qui est très cher pour l’époque).
Thompson M1921A – calibre 45ACP – poids à vide : 4.69 kg – longueur : 83 cm – peut tirer des rafales de 10 coups – chargeurs droit de 20 ou 30 coups – chargeur à tambour de 50 ou 100 coups.
C’est cette arme qui va être rendue célèbre durant la période de la prohibition par les gangsters et les policiers.
Des publicités d’époque pour la Thompson
La Thompson m1923
En 1923, sort un second modèle sous la dénomination M1923 et il s’agit d’une tentative ratée d’accroitre la portée de l’arme en le dotant d’un canon plus long, d’un bipied et d’une munition dédiée plus puissante, le .45 Remington-Thompson. L’idée étant de concurrencer le fusil-mitrailleur BAR auprès de l’US Army… ben non, raté, l’armée n’en voudra pas.
La Thompson M1921AC
A partir de 1926 le M1921A sera suivi du M1921AC, un modèle équipé d’un frein de bouche (Cutts Compensator) afin de réduire les effets du recul et le relèvement de l’arme dans le cas de tir en rafale. L’arme est elle toujours dotée d’une crosse d’épaule amovible et d’une seconde poignée pistolet placée sous la garde. Le modèle M1921AC est désormais vendu au prix de 200 $ et le modèle M1921A à 175 $.
Thompson M1921AC avec son chargeur de 20 coups et le frein de bouche au bout du canon
La Thompson M1927
En 1927, une version semi-automatique (c’est à dire ne pouvant pas tirer en rafale !) dérivée du modèle M1921 en quelques exemplaires, sort pour alimenter le marché civil sous le nom de M1927. En fait, il s’agit d’un M1921 modifié, et il était facile de faire la modification inverse pour en faire une arme capable de tirer en automatique en changeant le mécanisme interne. La plupart des M1927 acquis par la police subirent cette modification inverse.
La Thompson M1928
Avec le modèle 1928 (M1928) il s’agit de la première fois que la Thompson sera largement utilisée par les forces militaires, avec la Marine américaine (US Navy) et le Corps des marines américain (US Marines Corp) comme acheteurs principaux dans les années 1930. Le Modèle 1928 original était un modèle 1921 avec une cadence de tir ralentie, une exigence de la marine américaine. Sur ces armes, le numéro de modèle “1921” a été mis à jour en ajoutant un “8” sur le dernier “1”. Le Navy Model 1928 a plusieurs noms parmi les collectionneurs : le “Colt Overstamp”, “1921 Overstamp”, “28 Navy”, ou juste “28N”.
Thompson M1928 avec un chargeur tambour de 50 coups
En 1928, “Federal Laboratories Inc” a repris la distribution des Thompson. Le prix à cette époque était de 225 $ par arme (équivalant à 3 138 $ en 2016), avec 5 $ par chargeur-tambour de 50 coups et 3 $ pour un chargeur de 20 coups.
Page du Catalogue n°34 de Federal Laboratories
La Thompson M1921 à l’usage
Les modèles M1921A ont été vendus en petites quantités à  l’United States Postal Inspection Service (pour protéger le courrier) et au corps des Marines. En 1926, au plus fort de la prohibition, des Marines armés de Thompson seront affectés à la protection du courrier pour éviter les vols avec violences qui se faisaient de plus en plus nombreux.
Des US Marines, dont un avec une Thompson M1921, montantla garde devant un avion de l’US Mail Express pendant que les colis sont chargés dans le Curtiss Model 40. Source : hickeysite.blogspot.com
D’autres ventes seront faites à plusieurs services de police des États-Unis et aussi des ventes internationales mineures à diverses armées et forces armées, principalement en Amérique centrale et du Sud.
Les Marines utilisaient leurs Thompsons dans les Banana Wars (Guerre des Bananes… le nom est rigolo, la réalité l’est moins) et en Chine. L’arme était populaire auprès des Marines comme une arme de défense ponctuelle pour contrer les embuscade des guérilleros nicaraguayens. Ainsi une équipe de quatre hommes avait autant de puissance de feu qu’une équipe de neuf hommes armés de fusils. Les principales plaintes contre les Thompsons étaient  : le poids excessif, l’imprécision à plus de 50 mètres et le manque de puissance de pénétration de la cartouche 45 ACP.
US Marines au Nicaragua, l’un d’entre-eux a une Thompson M1921. Image source: sandinorebellion.com
Guerre Civile Irlandaise
Certains des premiers lots de Thompsons ont été achetés en Amérique par des agents de la République d’Irlande, notamment Harry Boland. Le premier test d’une Thompson en Irlande a été effectué par le commandant de la brigade West Cork, Tom Barry, en présence du leader de l’IRA, Michael Collins. Au total, 653 armes ont été achetées, mais 495 ont été saisis par les autorités douanières américaines à New York en juin 1921. Les autres ont fait leur chemin vers l’armée républicaine irlandaise via Liverpool et ont été utilisées au cours du dernier mois de la guerre d’indépendance irlandaise ( 1919-21). Après une trêve avec les Britanniques en juillet 1921, l’IRA a importé plus de Thompsons et elles ont été utilisés dans la guerre civile irlandaise suivante (1922-23). Ces armes n’ont pas été jugées très efficaces en Irlande ; Dans seulement 32% des actions où l’arme a été utilisée, la Thompson a causé de des pertes (mort ou blessure grave).
En 1934, le FBI va acquérir des Thompson après la tuerie de Kansas City.
“Le massacre de Kansas City” : la fusillade et le meurtre de quatre agents et d’un fugitif criminel au dépôt ferroviaire de la gare de Kansas City, dans le Missouri, le matin du 17 juin 1933. Cet évènement s’est produit dans le cadre de la tentative du gang  de Vernon Miller pour libérer Frank “Jelly” Nash, un prisonnier fédéral. À l’époque, Nash était sous la garde de plusieurs policiers qui l’escortaient jusqu’au pénitencier de Leavenworth, au Kansas, d’où il s’est échappé trois ans plus tôt.
Avant cet événement, les agents de Hoover n’avaient pas le pouvoir de porter des armes à feu (bien que certains agents le faisaient de leur propre chef) et de faire des arrestations (ils pouvaient faire une «arrestation citoyenne», puis appeler un US Marshall ou un agent de la police locale), mais un an plus tard, le Congrès a donné l’autorisation légale au FBI pour le port d’arme et de faire des arrestations (en mai et juin 1934). En 1935 Le FBI a acquis ses premières mitraillettes Thompson (115) et des fusils Winchester modèle 1907.
J. Edgar Hoover, directeur du FBI qui essaye une Thompson
La célébrité des Thompson
Les Tommy Gun étaient très populaires dans les films de l’époque. Les spectateurs étaient vraiment emballés de voir chaque semaine au cinéma leurs stars préférées habillées avec des chapeaux en feutre et des costumes rayés armés de Thompsons. La même année où les agents du FBI ont commencé à porter des armes, Hollywood a adopté le Code Hays. Ces lignes directrices de l’industrie cinématographique spécifiaient, entre autres, que seuls les membres des forces de l’ordre pouvaient être présentés à l’écran avec des mitrailleuses. Les Tommy Gun allaient donc plutôt aider les G-Men que les escrocs. Depuis les années 1930, Thompson est apparu dans plus de mille films et émissions de télévision.
La faillite
En 1929, Auto-Ordnance était au bord de la liquidation. La société avait vendu seulement 10 300 armes et avait plus de 2 millions de dollars de dettes. L’affaire n’a été sauvée que par le refus obstiné du fils de Thompson de fermer. L’entreprise a lutté pendant des années jusqu’à l’éclatement de la Seconde Guerre mondiale, à ce moment-là, de nouvelles commandes sont arrivées.
Tommy s’en va-t-en guerre
John Thompson est décédé le 21 juin 1940. Quelques semaines plus tard, le gouvernement des États-Unis a effectué les plus grandes commandes jamais enregistrées pour l’arme. Avec l’Europe déjà en guerre et l’entrée de l’Amérique dans le conflit,  Washington avait besoin de dizaines de milliers d’armes à feu pour ses GI. Finalement, plus de 2 millions de Thompson sont sorties des chaînes de montage.
Jeu de rôle, Thompson et Appel de Cthulhu
Dans les années 20 et 30, il semble évident que la Thompson est un arme emblématique. Si l’arme n’est pas une arme courante, elle est néanmoins déjà célèbre. Les Thompson sont des armes chères, impressionnantes dans leur usage et aux mains de criminels endurcis, terriblement efficaces.
L’investigateur qui achète une Thompson est donc soit un agent des forces de l’ordre, soit un criminel… et avec des moyens financiers suffisants. Et acheter une telle arme, c’est parce que l’on pense que l’on va avoir à faire à une forte opposition.
  [Cthulhu] Thompson : La Tommy Gun durant les années 20 et 30 Un petit post sur notre page Facebook au sujet d'un article de scriiipt.com traitant des armes…
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soliveangine-blog · 8 years ago
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L’amputé : partie 6
Je me suis réveillé aujourd'hui dans la cuisine avec un sale mal de ventre. Sous l'emprise de cette peine, je me suis rendu à ma chambre. Là-bas, j'ai consulté la penderie. J’ai décroché de son cintre une robe en flanelle bleue pour ensuite la vêtir. Je me considérai alors quelques instants dans cette tenue par la réflexion du miroir sur pied sis à côté de mon armoire à chaussette. Adhérant à la convenance de mon image, j’ai tiré la poignée du tiroir de ma table de nuit pour en sortir un sac banane en similicuir que j’attachai autour de ma taille. J’ai dézippé la fermeture éclair du sac et aperçu un neuf millimètres chargé dedans. Je remarquai alors que je ne me trouvais pas dans ma chambre, mais bien au dedans d’un magasin de lingerie féminine. J’avais un objectif bien précis à remplir; je ne me souvenais pourtant pas de ce à quoi il se rattachait. Je savais cependant que j’avais refermé mon sac banane et que mon arme était dissimulée sous la denture de la tirette; bien à l’abri des soupçons. Deux femmes vinrent m’aborder pour que j’essaie des vêtements. Elles me firent pénétrer dans la salle d’essayage, qui était en faite une large pièce, ouverte au public, sans le moindre miroir, simplement meublée par des fauteuils semblables à ceux des magasins de chaussure. Elles me forcèrent à m’allonger sur l’un des sièges et se mirent à me tripoter d’une mani��re qui insinuait qu’elles cherchaient quelque chose sur moi. Je craignais qu’elles ne découvrissent la vérité. L’une d’elles mit la main sur mon sexe. Elle s’écriait subrepticement : «elle est armée!» Elles se parèrent alors toutes deux de leurs mitrailleuses légères. Je levai les mains dans les airs. «Lève-toi et jette ton arme par terre.» Ordonna l’une d’entre elles. Je me dressai alors et ouvris le sac banane. Le bruit provoqué par la fermeture à glissière s’accompagna par le son d’une éclaboussure ; mon pénis venait tout juste de chuter sur le sol; il gigotait tel un vermisseau spasmodique.
*
Je me suis réveillé en embrassant ma main gauche. Elle mérite quelques soins particuliers vu qu'elle ne me sert presque jamais; je veux la préserver au cas où je perdrais l’usage de ma main droite, celle des manipulations courantes. Cette dernière, justement, tenait le récipient qui contenait mes pilules. J'ouvris, et me servit mon remède. Les murs de ma chambre sont noirs avec des coulisses blanches. Je crois qu'il s'agit de la résultante de la mixtion entre l'humidité et les composantes de la peinture. Je ne peux pourtant pas m'en assurer. J'avais encore sommeil. J'ai déposé mon carnet en espérant m'assoupir.
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kakanmasawa · 4 years ago
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if-you-fan-a-fire · 4 years ago
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“Cambodge: Avec Les Maquisards Khmers,” La Presse. September 4, 1980. Pages 01 & 08. --- Notre envoyé spécial au Cambodge, Jooneed KHAN, a vu les manoeuvres de la guérilla, interrogé des blessés et assisté à un spectacle folklorique dans le maquis. Son reportage en page A 8 --- La Guerre  du Cambodge: Une résistance périphérique -4- Jooneed Khan, Envoyé spécial de LA PRESSE --- Pour combattre les 250,000 soldats vietnamiens qui j occupent le pays («l'équivalent de 10 millions de soldats soviétiques sur le sol américain», souligne Thiounn Mumm), le Kampuchea démocratique dit disposer de 60,000 maquisards réguliers et de 50,000 guérilleros de village.
Dans les milieux occidentaux de Bangkok, on estime à 40,000 hommes la force militaire des Khmers rouges mais l'on admet volontiers qu'ils représentent la seule armée qui compte vraiment dans l'actuelle guerre de Résistance.
J'ai assisté aux manoeuvre s d'une compagnie de 200 maquisards dans les collines d'Oddar Mean Chey, surplombant la chaîne des Coulènes, au sud. «Angkor Wat est derrièr e ces montagnes, m a dit le ministre Keat Chhon. Vous avez dû lire à Bangkok que nos maquisards opèrent dans la région».
Sauf pour les armes de fabrication soviétique ou chinoise capturées sur les Vietnamiens, tout l'équipement de la guérilla vient de Chine, depuis les uniformes, casquettes et espadrilles vertes jusqu'aux fusils AK-47, mitrailleuses légères et lourdes, bazookas antichars DK-75 et DK-82 au canon sans recul, obusiers anti-infanterie B-40 et B-54 et mines 69 efficaces sur une superficie de 1,600 mètres carrés.
«Au début de l'invasion vietnamienne, nos forces ont tenté d'opposer une résistance frontale et ce fut une grave erreur», m'a avoué Khieu Samphan. On estime de source informée à 30,000 hommes les pertes cambodgiennes dans cette première phase, mais Khieu Samphan n'a pas voulu donner des chiffres
«Ce fut difficile pour nos hommes de se réadapte r à la guérilla après avoir pratiqué des luttes conventionnelles, a-t-il poursuivi. Il fallait qu'ils fassent leurs propres expérience s et c'est grâce à la guérilla que nous avons résisté à l'offensive vietnamienne de la saison sèche . Nous somme s maintenan t en pleine guerre d'usure.»
Sao Taem, 28 ans, est chef de compagnie. Originaire de Kompong Cham, il est entré dans la guérilla en 1970 et, aprè s avoir servi dans l'armée régulière de 1975 à 1978, il s'est reconverti à la guérilla comme tous ses camarades.
Des opérations en petites unités
Il m'explique que les maquisards opèrent en petites unités de trois à quatre hommes, avec un ou deux AK-47, un ou deux bazookas et une mitrailleuse , des mines et des piquets de bambou. Chaque unité a pour objectif de tue r ou blesser au moins un Vietnamien par jour.
La tactique de routine consiste à tendre des embuscades sur les routes empruntées par les détachements vietnamiens, souvent sur la foi de renseignements fournis par des villageois, et de disparaître ensuite dans la forêt.
Ce scénario m'a été plusieurs fois confirmé par des maquisards blessés que j'a i interrogés à l'hôpital militair e de Nong Preu, au pied du Phnom Malaï, dans la province de Battambang, où je me suis rendu quelques jours plus tard.
Les maquisards opèrent en étroite liaison avec la guérilla des villages et même avec les Forces d'autodéfense mises sur pied par les Vietnamiens.
«Ces forces locales adoptent une attitude à double face, m'ont raconté plusieurs maquisards. Elles ne peuvent pas défier oùvertement les Vietnamiens, mais la nuit elles travaillent pour la Résistance.»
Le Kampuchea démocratique a adopté par ailleurs une stratégie de résistance et de repli périphériques. Autre nécessité vitale pressenti dès 1975 avec l'évacuation de Phnom Penh. Objectif: ôter à l'éventuel envahisseur toute possibilité de contrôler le pays uniquement à partir de son noyau «moderne» et l'obliger à se répandre faiblement jusque dans les campagne s propices à la guérilla.
Le retour de plus de 2 millions de réfugiés dans leurs villages, les problèmes du ravitaillement des villes après les dévastations provoquées par les bombardements US et la crainte de nouveaux bombardements motivèrent également l'évacuation des villes en 1975. 
Hanoï contrôle un noyau vide
Mais le facteur stratégique revêt une pertinence cruciale depuis l'invasion vietnamienne: Hanoï contrôle un noyau presque vide mais sans contrôler le pays ou la population. Pour écraser la Résistance, il lui faut envoyer ses troupes sur le terrain de la guérilla.
Les Vietnamiens avaient le Nord-Vietnam et le Cambodge comme bases oour faire la guerre au Sud-Vietnam. Les Cambodgiens n'ont aucun sanctuaire semblabl e pour libérer leur pays; ils n'ont pas d'autre choix que de s'accrocher au terroir national.
Aussi, les bases périphériques, le long des 800 km de frontière avec la Thaïlande notamment, sont-elles solidement implantées et lourdement minées et piégées contre toute avance frontale de l'infanterie vietnamienne.
Contre cette stratégie du repli, Hanoï dispose cependant d'une arme meurtrière, l'aviation. Et les dirigeants du Kampuche a démocratique sont convainfc'ïRT que le Vietnam devra tôt ou tard recourir aux bombardements aériens des zones libérées.
Pour cette raison, la population des zones libérées est groupée dans des villages camouflés sous les arbres aux flancs des collines et comptant rarement plus de 1,500 à 2,000 habitants chacun: chaque village peut être évacué en moins d'une heure, m'a dit Thiounn Mumm.
Depuis ma visite, l'armé e thaïe a fait état de la présence de Migs vietnamiens à Siem Reap, à mi-chemin entre les provinces d'Oddar Mean Chey au nord, et de Battambang, à l'ouest.
Au pied du Phnom Malaï
Avant de quitter Oddar Mean Chey, j'ai insisté une fois de plus, auprès de Khieu Samphan cette fois, pour visiter d'autres zones khmères rouges.
Et il a dit: «Bien. Nous allons communiquer votre identité aux responsables de Nong Preu, dans la province de Battambang. Ils vous y accueilleront mais vous devez y aller par vos propres moyens».
C'est ce que j'a i fait dès mon retour à Bangkok. Avec la précieuse aide du journaliste japonais N'aoki Mabuchi, j'ai passé trois jours à obtenir de l'armée thaïe les autorisations nécessaires «pour aller jusqu'à la frontière mais non pour la franchir, ce qui est formellement interdit».
Nong Preu, avec Thari ket Khao Din, fait partie d'un vaste ensemble de villages khmers rouges totalisant quelque 60,000 habitants au pied du Phnom Malaï, à une cinquantaine de kilomètres au sud d'Aranyaprathet.
Les Vietnamiens bombardent cette position depuis plusieurs mois, atteignant presque quotidiennement des villages thaïs, mais leur infanterie est embourbée par la saison des pluies et la résistance khmère.
J'y suis arrivé à l'improviste. Chhorn Hay, secrétair e aux Communications du Kampuchea démocratique , alert é pa r les enfants, est venu nous accueillir . Il a examiné mon passeport et déclaré, simplement: «Nous vous attendions».
Apprivoiser la forêt
Comme dans le nord, la population apprivoise la forêt depuis près d'un an: cases de bois et de chaume, potagers, artisanat, écoles. Avec, en plus, une étonnante joie de vivre. Les habitants, qui ont troqué le noir du régime Pol Pot pour des couleurs plus gaies, ont improvis é une représentation musicale de deux heures.
Trois musiciens, avec des instruments fabriqués sur place, six chanteuse s et une centaine d'enfants ont chant é des chansons folkloriques et présenté des danses khmères traditionnelles.
Chhorn Hay était là, avec sa femme et son fils de 6 ans qu'il a retrouvés récemment à Khao-I-Dang.
Il a fallu couper court au spectacle artistique pour visiter l'hôpital militair e de 200 lits, ave c une unité chirurgicale, un médecin et un chirurgien. Cet hôpital reçoit régulièrement la visite d'un médecin et de deux infirmières canadiens, m'a-t-on dit.
Si les dirigeants du KD voulaient faire bonne impression, c'est à Nong Preu qu'ils auraient dû établir un centre de réception pour la presse mondiale, au lieu du camp d'accueil d'Oddar Mean Chey.
Dans les jours qui ont suivi, j'ai visité les camps de Nong Chan (sihanoukiste) et de Nong Samet (khmer sereï), au nord d'Aranyaprathet, toujours en violation des consignes de l'armée thaïe de ne pas franchir la frontière.
Un triste contraste
Le contraste choquait. Aucune organisation, aucun esprit communautaire . D'immenses bidonvilles crasseux. Aucune culture non plus, les huttes et les tente s entassée s les unes près des autres.
Des hommes armés, en jeans, circulant à pied ou en motocyclette au milieu des jeeps et des camions-citerne s de la Croix-Rouge internationale et de l'Unicef.
Au centre de la Croix-Rouge, à Nong Chan, un homme interroge, avec l'aide d'un interprète, une famille khmère. A l'entrée, des photos et des lettres sont affichées. Il y en a une d'un Cambodgien de l'île Bizard qui recherche des membre s de sa famille.
Un médecin de la Croix-Rouge vient de terminer son mandat. Il va rentre r en Angleterre . Son bilan, après six mois d'efforts? «Il y a une nette dégradation des conditions sanitaires à Nong Chan et Nong Samet. La population ne veut pas s'aider ellemême».
Ces camps sont en effet des centres de distribution de l'aide internationale, dont plusieurs agences veulent priv r les Khmers rouges «parce que civils et combattants s'y confondent». Ils attirent par ailleurs les gens de l'intérieur, dont un bon nombre préfère y reste r plutôt que de retourner sous contrôle vietnamien.
Caption: A quelques kilomètres des positions de l'artillerie vietnamienne, ces fières Cambodgiennes ont exécuté des danses traditionnelles khmères , accompagnée s de trois musiciens et de six chanteuses, durant ma visite à Nong Preu. Photo: Joaneed Khan, LA PRESSE.
[The rehabilitation of the Khmer Rouge after the Vietnamese army overthrow their genocidal government is a real interesting phenomena in conservative papers of the time - suddenly, the communist murderers transmute into patriotic resistance fighters, so long as they are shooting Russian allies.]
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