#miniatures persanes
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Merci Brigitte Leloire Kerackian pour cette interview diffusée sur Radio Arménie de Lyon, ma toute première interview 😊 (sans grande grande préparation 😊😊 dans une brasserie parisienne)
L’occasion de parler de l’art de la miniature et de l’exposition collective « La Miniature Persane au Jardin du Luxembourg » avec l’association « Abbas Moayeri Héritage Art & Culture », au Pavillon Davioud dans le Jardin du Luxembourg
24 août - 4 septembre 2023
Entrée porte Vavin: 55bis, rue d’Assas
75006 Paris
#miniatures persanes#Abbas moayeri#exposition parisienne#French exhibition#parisian exhibition#indopersian miniature painting#laureen topalian#radio arménie#radio arménie Lyon#jardin du luxembourg#pavillon Davioud
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Les jardins de la résidence officielle du président, Rashtrapati Bhavan, ont reçu un nom commun dans le cadre des célébrations "Azadi Ka Amrit Mahotsav". "A l'occasion des célébrations des 75 ans d'indépendance en tant qu'Azadi Ka Amrit Mahotsav, le président de l'Inde a donné un nom commun aux jardins Rashtrapati Bhavan en tant qu'Amrit Udyan", a déclaré l'attachée de presse adjointe du président Navika Gupta. Le site Web de Rashtrapati Bhavan, cependant, mentionne les deux noms - Mughal Gardens et Amrit Udyan. Il y a trois jardins dans le Rashtrapati Bhavan qui ont été inspirés par les jardins moghols et persans. Les gens ont commencé à appeler celui qui s'inspirait du jardin de Srinagar le nom de Mughal Garden. Mais les jardins n'ont jamais été officiellement nommés « jardins moghols ». Réparti sur 15 acres, Amrit Udyan a souvent été décrit comme l'âme du palais présidentiel, indique le site Web. Amrit Udyan puise son inspiration dans les jardins moghols du Jammu-et-Cachemire, les jardins autour du Taj Mahal et même des peintures miniatures de l'Inde et de la Perse. "L'Amrit Udyan n'avait jusqu'à présent été ouvert au public que pendant le festival annuel, Udyan Utsav, qui s'est tenu au mois de février-mars, mais les jardins moghols, qui forment le troisième circuit du circuit de Rashtrapati Bhavan, seront désormais ouverts pour le public d'août à mars", indique le site Web de Rashtrapati Bhavan.
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L’urgence Iranienne prend sens dans les peintures surréalistes de femmes de l’artiste Arghavan Khosravi
Représenter les cheveux dans ses peintures prend maintenant encore plus d’importance pour l’artiste iranienne.
Elle a posté une vidéo sur Instagram début octobre qui la montrait utilisant un pinceau sur la toile pour créer de fines mèches. "Ces jours-ci, quand je peins des cheveux, je suis remplie de colère et d'espoir. Plus que jamais", a-t-elle écrit dans la légende.
Elle a ajouté l’hashtag #MahsaAmini au message, le nom de la femme de 22 ans décédée à Téhéran, la capitale iranienne, en septembre après avoir été arrêtée par la police des mœurs du pays pour ne pas avoir porté correctement son hijab.
Arghavan Khosravi a grandi dans une famille laïque de Téhéran au lendemain de la révolution iranienne de 1979, alors qu'un nouveau régime théocratique instituait des règles oppressives pour les femmes, notamment en rendant le hijab, ou foulard, obligatoire en public.
Basée aux États-Unis depuis son déménagement en 2015 pour étudier la peinture, l'ancienne graphiste utilise les cheveux longs et fluides comme symbole dans ses œuvres chargées de métaphores.
Ses portraits de femmes surréalistes et oniriques, qui apparaissent sur des surfaces à plusieurs panneaux qui ressemblent à des façades architecturales, ont été influencés par les perspectives aplaties et les détails méticuleux des peintures miniatures persanes.
On aime, on admire et on supporte même
Son site : https://www.arghavankhosravi.com
Crédit photo : Courtesy of the artist - Inspiré d’un article de CNN
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Miniatures timurides à la chinoise
Deux exceptionnelles miniatures persanes d'époque timuride. En raison de leur style de dessin bien reconnaissable, elles pourraient être identifiées comme chinoises. La manière est assez proche de l'art miniature de Chine.
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#armure ancienne#art asiatique#art chinois#art persan#Chine ancienne#histoire des arts#miniatures chinoises#miniatures persanes#Perse ancienne
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Quelques news : des tapis puis des lanternes, des nuages, de cages et des oiseaux... le jeu avance en spirale, avec les circonvolutions propres aux arabesques.
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أبو القاسم منصور بن حسن طوسی
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b531948785/f196.item
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[Art & Education] Histoire de l’Islam par maître M. Racim
L’HISTOIRE DE L’ISLAM, miniature de Mohammed Racim
Ce type de représentation pourrait être aligné sur celui des manuscrits relatifs à la vie du Prophète (صلى الله عليه و سلم ) comme "la meilleure des chroniques” dont les variantes sont conservées en Angleterre et en Turquie, par la nature du sujet mais aussi par 52 disposition en registres.Le récit par épisodes successifs autour d’une figure centrale rappellent même certaines icônes russo-byzantines ainsi que les miniatures de manuscrits arabes comme les scènes du Livre des Antidotes on du Livre des Chants.
Le déroulement de “L'Histoire de l’Islam” commence par la révélation par l'archange Gabriel de la Sourate Al Alaq symbolisée par le livre qu'il tient et qu'il montre de son index. Le Prophète (صلى الله عليه و سلم ) dans une position de prière se trouve à l'entrée de la Grotte de Hira. Un tête auréolée et enveloppés d'un nimbe flammé et rayonnant à Ia fois. On y remarque d’emblée les mêmes roches, les mêmes touffes d'herbe et les mêmes buissons persan que Racim utilise dans ses scènes de chasse ou dans son combat de cavaliers. L'attitude de l‘archange rappelle celle de relic de l'annonciation.
Le deuxième épisode concerne la première partie du voyage céleste nocturne du Prophète (صلى الله عليه و سلم ) Al Isra, où l'on voit le cheval ailé, "le Boraq" à Ia tête de femme, suivant l'ange, qui lui montre le chemin. L'ambiance nocturne est savamment rendue par l'ombre bleue et les constellations dorées qui scintillent dans le Ciel. L'ange et le Boraq sont très beaux, juvéniles et gracieux, malgré leur somptuosité.
L'image suivante représente la Ka'ba au coeur de la Mecque avec Ibn Séoud, comme gardien des lieux.Ces images, des ex-votos populaires dont le Musée du Bardo possède quelques exemplaires, sont très répandues en Algérie, dans les maisons et dans les lieux saints et publics.
Le registre vertical est réservé aux scènes épiques des conquêtes de l’Islam : victoires, résistances, batailles, combats, scènes de cavalerie sur fond de paysages abstraits, que Racim réussit à traiter une à une, de haut en bas, dans une bande spatiale très étroite.
Le registre inférieur horizontal de gauche à droite comporte les moments les plus représentatifs et les hauts lieux des symbioses artistiques dont l’Islam était prodigue.
La première halte a lieu en Inde évoquée par le joyau de son architecture le Taj Mahal, devant lequel deux hommes s’adonnent aux deux plaisirs essentiels de leur temps, la lecture et la musique. Miniatures miniaturisées, les scènes épiques alternent avec les scènes de genre.
Une chevauchée effrénée de deux cavaliers relate l’entrée de Okba Ibn Nafa'a en Afrique du Nord. Ensuite devant une médersa maghrébine deux savants conversent autour d'alambics et d'éprouvettes, attributs typiques de la science.
Leur succède le Calife Omeyyade Abderah‘man le conquérant de L'Andalousie; à cheval avec son escorte. entrant solennellement dans la ville, réplique en miniature de scènes plus grande, dont lui même ou Yacoub El Mansour, le calife et mécène almohade, sont les personnages centraux.
Racim marque un arrêt dans la cour des lions de l’Alhambra que le gazouillis de l’eau, la douceur de la lumière, la présence de jeunes gens et les "arceaux qui chantent", remplissent de leurs échos. Ces compositions de groupe et la relation du maître à élève qu'on y observe proviennent du répertoire classique des manuscrits du Moyen Age.
La poésie, le luth, le décor réincarnent l'atmosphère de plaisir et de joie d'antan mais marquent également la fin d'une apothéose.
Racim montre de bas en haut dans le bandeau vertical de gauche les scènes de bataille où, berbères et arabes d’Andalousie, sont refoulés par les soldats espagnols vers le Maghreb. L’épopée se termine sur les rives d’Alger gardées par Barberousse moins majestueux mais plus protecteur. Derrière lui les rives du Bosphore, les coupoles et les minarets de Sainte Sophie, le portrait équestre de Soliman le magnifique, symbolisent la puissance de l’empire ottoman.
Il consacre les dernières compositions aux portraits d’Ibn Séoud et du Calife Abdelmadjid, comme dernières reliques de l’empire musulman.
Dans le double médaillon central bordé de cartouches ornementés et d’arabesques, Racim ajoute d’autres portraits phares de l’histoire de l’Islam. A gauche Haroun Rachid avec ses deux fils de part et d’autre,à droite Mehmed II le fondateur de l’empire ottoman.
Dans la marge décorative encadrant la composition, des légendes en Nasta’liq commentent successivement les épisodes.
Le répertoire complet de chevaux, de cavaliers, de scènes de batailles, de portraits officiels, de scènes de genre, évoquant la geste dc l'islam, est typique de l'art arabe et turc, du haut Moyen Age au début de notre siècle.
Des images aussi conventionnelles n'auraient pu être réussies sans le sens de la synthèse et le goût du géant de la miniature, qu'est Mohammed Racim.
Source : Extrait de Mohammed Racim Miniaturiste algérien par Malika BOUABELLAH, Directrice du Musée National des Beaux-Arts d’Alger
#art#histoire#tradition#miniature#islam#saga#connaissance#education#beaux-arts#algerie#france#racim#mohammed racim#turquie#persan#calligraphie#arabesque
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Oriente allo specchio
Roland e Sabrina Michaud, Prefazione di Nagim Ud-Din Bammat
Rusconi Immagini, Milano 1981, 120 pagine, 80 fotografie a colori
euro 25,00
email if you want to buy [email protected]
Dans ce jeu de miroirs, Roland et Sabrina Michaud mettent face à face des miniatures anciennes, arabes, turques, persanes ou mongoles et leurs photographies. Ils nous montrent ainsi la remarquable continuité de la civilisation islamique. Au-delà des accélérations de l'histoire, nous sommes mis en présence de la subtile permanence d'une immense culture qui s'étend du Maroc à la Chine. Ce couple de photographes nous entraîne au cœur de valeurs universelles qui perdurent. Leurs miroirs reflètent quelque chose d'authentique et d'essentiel où passé et présent se confondent et où l'espace est aboli.
Carovane, mercati, falconieri, cacce e corse di cavalli nella steppa, vecchi in preghiera in questo fiabesco libro di immagini in cui vengono accoppiate antiche splendide miniature a fotografie scattate negli anni sessanta e settanta in Medio Oriente ed in Afghanistan.
27/04/22
orders to: [email protected]
ordini a: [email protected]
twitter: @fashionbooksmi
instagram: fashionbooksmilano, designbooksmilano tumblr: fashionbooksmilano, designbooksmilano
#Oriente allo specchio#Roland & Sabrina Michaud#miniature e fotografie#Medio Oriente#Afghanistan#photography books#libri di fotografia#fashionbooksmilano
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🎄 PotO Advent Calendar 2020 🎄
By @agapecentauri
Twelve Nights of Chocolate
On the first day of Christmas, my true friend gave to me, a beautiful chocolate peppermint tree...
“Oh my goodness, this is so gorgeous and so creative!” Christine gasped as she turned the small candy tree on the table top. The peppermint candies swirled in a mesmerizing pattern, the aromatic fragrance of milk chocolate filled her senses. “I don't know how you do it! You spent too much time on this.”
“My darling friend, to see this smile is more than worth the effort. Besides, I wanted to show just how much I cherish our friendship. And this is just the beginning!” Nadir chuckled.
* * *
It was astounding how fast this year had gone and how quickly these two became friends. It was just a few days into the New Year when Christine stumbled upon this hidden treasure of a delicatessen in an unfamiliar part of Paris called Le Persan Parisien (The Parisian Persian). The previous year had been difficult for them both. Christine had not only buried her dear father but had also ended an extended engagement. So when the bell to the main entrance ting-tinged on that blustery January day, Christine had come to terms that she was bound to wander life alone. It wasn’t until she was greeted by this strange foreigner with perfectly salt and peppered hair upon her arrival that her heart just might have lurched ever so slightly and a shy grin graced her face.
Nadir had come to Paris on a dying request from his friend, Erik. “Come to Paris, dear old friend. Do this for me. My life has been cut unfairly short. You know this was my dream,” Nadir recalled the conversation years ago, as he placed a large pan of hazelnuts into a brick oven to roast. Nadir was a perpetual bachelor, and at 53 years old he figured his days of chasing the young ladies were long gone. He, much like Christine, had settled on his fate of living out the rest of his days a single man. He arrived in Paris almost 10 years ago from Persia on the promise to Erik to open a true Parisian delicatessen. Nadir had then discovered his passion for the art of a chocolatier. The sound of the ting ting from the delicatessen’s bell broke him from his thoughts. Grabbing a towel, he wiped his hands and began to greet this customer when he stopped suddenly at the young woman before him.
On the fourth day of Christmas my true friend gave to me, four pralines, three bottles of homemade sirops, two creme brulees…
“Nadir, I will be 200 pounds before Christmas Eve in eight days! I can’t believe you’ve made everything from scratch. You have a true gift.”
“Again, my darling Christine, it’s the best way I know how to show you how much I adore you… your friendship.” He caught himself thankfully before she could notice the slip of his tongue.
* * *
It was late spring and these two were inseparable. Christine found herself coming to visit Nadir every evening on her way home from work. She purposefully adjusted her work schedule so she could have extra time with him. “Tell me, Nadir, about where you grew up.” Nadir grew nostalgic as they walked arm in arm around the blossoming trees along the old cobblestone streets. He spoke fondly of his parents, his siblings. “Do you miss your homeland?”
“At times I do but present company has been refreshing and a much welcome distraction.” He felt her arm squeeze into his more closely. He felt warm.
“What do you miss the most?” she inquired. Her favorite part of their conversations was how he described what things smelled like, the foods, the air, the warm hearths of the homes. His words were descriptive and his accent practically made the aromas waft from his body. She breathed him in.
“Saffron,” he stated almost immediately.
“I would like to try that someday,” she confessed. The very next morning, Nadir placed a special order for saffron to be delivered from Persia. It would take a few months, but hopefully it would arrive in enough time for Christmas.
On the ninth day of Christmas my true friend gave to me nine miniature Baba au rhums, eight chocolate hazelnut eclairs, seven red velvet chocolate macarons, six chocolate madeleines, five chocolate croissants…
“You seem a little melancholy tonight, my dear. Is everything alright?”
“I just feel a little contemplative, I guess.”
“What’s on your mind this evening?” Nadir inquired as he brought a hot carafe of water, tea leaves, and two tea cups. He sat down and watched Christine spoon the tea leaves into the steeper. She seemed sad tonight.
She sighed rather forlornly, “Have you ever been in love?”
“Maybe, but clearly I’m not an expert since I’m now an old man and still not married nor a lover,” Nadir responded with a chuckle trying to lighten the mood. “Tell me, darling, what does your heart need?”
* * *
When Christine couldn’t come in the mornings, she would send a courier to the shop with a note to see if Nadir would accompany her for a walk in the evening. He always obliged. One evening, Christine blurted out as they walked hand in hand, “There is no possible way you are 53 years old! You don’t look a day over 40!”
Nadir laughed. “Surely, dear lady, I may have to kiss you should you choose to flatter me further!” He noticed how deeply her face flushed crimson. After bidding each other a pleasant evening, Christine thought to herself, “Surely this feeling is… it’s nothing. He didn’t really mean he’d kiss me.”
On the eleventh day of Christmas my true friend gave to me, an eleven-cheese charcuterie and pinot noir, ten chocolate meringues…
“I hope you enjoy the pinot noir, it’s one of my favorites,” Nadir explained as the cold liquid splashed into their wine glasses.
“Mmm, this is delicious!” she said after the crisp, cold wine wet her palette. “I think I owe you an apology for the other night.”
“An apology, Christine? Whatever for?”
“It’s not my place to speak of love and relationships. I feel I overstepped,” Christine said shyly. What she wanted to confess was that her feelings for him had gone beyond those of an endearing friendship.
* * *
Christine invited Nadir to her flat for Thanksgiving. Since neither of them had family, Christine wanted to prepare a special meal for him. They had a splendid evening together, and after dinner, the pair sat in front of a small fire burning in the fireplace, enjoying a lovely port Nadir had brought. Snow had begun to fall lightly when Nadir offered a walk along the Seine.
As they walked, the cold seeped through and Christine shivered. She felt Nadir’s arm snake around her back and pulled her close to keep her warm. They walked in silence, until Nadir heard a beautiful sound coming from Christine. “Darling! I didn’t know you sang!” he said rather startled.
“I only sing when happy and content,” she said, their steps began to slow and the snow fell harder.
Nadir turned Christine in his arms and smiled. “Oh Christine, you’re a stunning woman. You offer this old man such happiness. If you’d permit me, I would like to do something special for you for Christmas.”
“You’re not that old,” she responded giggling. Nadir pressed a light kiss upon her rosy cheeks.
On the twelfth day of Christmas my true love gave to me twelve small pieces of saffron-infused salted dark chocolate…. And a declaration…
It was finally Christmas Eve, the final night of Nadir’s 12 nights of chocolate gift giving to Christine. With each treat, Christine certainly noticed the extra effort he put forth, knowing that each treat was increasingly more complex and difficult to craft. Tonight, Nadir prepared for them a private dinner at Le Persan Parisien, a special meal before presenting Christine with her final gift.
They sampled and sipped multiple wines of all colors: robust and earthy reds, crisp and dry whites, and finally towards the end of the meal sweet and cold roses. “I have something for you,” Christine said, riffling through her bag. “I know you don’t celebrate Christmas, but for all the trouble you’ve gone through, I simply could not get you something in return.”
“My dear, you are more than enough of a gift to me,” he said, gently kissing her hand. Christine smiled as she placed the wrapped parcel on the table. Nadir unwrapped it and smiled. She had commissioned a street artist to hand draw a portrait of them after giving him a picture to draw to their likenesses. “Oh darling, it’s beautiful!”
“That’s not all,” Christine said quietly and began to sing to him. Nadir leaned thoughtfully back in the cushioned bistro chair, the white Christmas lights warmly embracing them as he listened ever so intently to her voice. “You have the voice of an angel. Thank you, Christine, for the gift of your voice.” He leaned closely and kissed her cheek, but unlike before, this one was so much closer to her lips than her actual cheek. Biting at her bottom lip, her face flushed at the words she wanted to say. “And now, for your final gift,” Nadir said as he got up from the table and went to the back.
Christine watched bashfully as her eyes swept over Nadir’s figure. His perfectly tailored suit hugged his body in all the right places. His wavy salt- and pepper-colored hair was combed back, his spectacles resting astutely upon his olive-tinted face. He was charming, polite, soft spoken, witty, and a well-aged gentleman. He was like a fine, rare wine, and when opened up, smooth and rich, leaving one feeling warm and satisfied. The plate clanked onto the table, a small paper doily covering the treasure underneath.
“Remember earlier this spring you ask what I missed the most about Persia?” Nadir asked as he moved the tea cups and saucers off to the side.
“Saffron,” she replied, their eyes meeting as she watched Nadir’s face light up.
“Tonight, Christine, on this Christmas Eve, my gift to you… 12 pieces of saffron salted dark chocolate.” He undercovered the plate and picked up a small square of the chocolate. “Close your eyes,” he quietly spoke. Nadir watched as her eyes slid closed, her long lashes fanned out like soft feather. “And open…” his heart raced as Christine opened her mouth to welcome the morsel onto her tongue. Nadir swallowed down the hard knot clogging his throat. Her lips gently closed around the tip of his finger. A thrill shot through him.
The saffron infused dark chocolate melted slowly and the small granules of salt mingled with the heat from the foreign spice and bittersweet dark chocolate. Christine lazily opened her eyes to find Nadir studying her reaction with a smile. “May I have another taste?” she whispered, her palette sleek and wet with craving.
“Hmm,” he acknowledged, “Of course.” Carefully he picked up another piece of the chocolate, waiting for her eyes to slid close again. But she surprised him.
“Nadir,” she whispered, “another taste if you please.” He again fed her the saffron dark chocolate and this time her lips and tongue linger longer upon his fingertips. “Mmmm,” she murmured, “for the love of sweets I do believe this is the most decadent chocolate I have ever tasted.” She blushed as Nadir eyeing her thoughtfully clinging to her words. “I do believe...”
“Yes darling?”
“I do believe I crave even more.” Leaning over the small cafe table, Christine brought her hands to caress Nadir’s face, searching for something, either doubt or apprehension or perhaps permission. Her lips gracefully fall onto his. He can taste the saffron on her tongue.
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L'Ascension du Prophète Mahomet / Miniature du 16e siècle
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影 (Shadow/Ombre)
一夕。群兒戲院中。明月初上。院中樹影滿地。群兒皆樂。有頃。一兒忽覺有人隨之。甚恐。急告期友。友日。隨汝者。乃汝之影也。當汝行於月之時。地上遂有汝影。汝何以忘之 。
Humay and Humayun in a garden, Persian minature / Humay et Humayun dans un jardin, miniature persane
One night, a group of children were playing in the courtyard, and the bright moon had just come up. In the courtyard, the tree’s shadow filled the ground, and all the children were happy. After a while, one child suddenly felt that he was being followed, and he became very scared. He immediately told his friends. His friends said: “Following you is your shadow. When you walk under the moon, the ground is filled even more with your shadow. How did you forget?”
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Je suis très heureuse de participer à l’exposition collective « La Miniature Persane au Jardin du Luxembourg », qui sera aussi l’inauguration de l’Association « Abbas Moayeri Héritage Art & Culture »
24 août - 4 septembre 2023
Tous les jours-Entrée libre
Pavillon Davioud, Jardin du Luxembourg
Entrée Porte Vavin: 55 bis, rue d’Assas
75006 Paris
#abbasmoayeri#abbasmoayeriheritageartetcylture#miniaturepersanecontemporaine#miniaturepersane#persianminiature#indopersianminiature#Instagram#laureen topalian#exposition parisienne#French exhibition
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Auréoles des saints
Les halos représentent la teinte dorée de l'essence du sang qui a été éthérisée par le cœur une fois qu'il a été accordé au Christ. L'essence solaire du Christ dans le cœur s'écoule vers le haut dans la tête, créant une lueur semblable à une couronne. Le symbole du halo est un cercle de lumière qui est représenté dans l'art religieux comme entourant la tête d'un être illuminé ou divin. Il est également connu sous les noms d'auréole, de nimbe, de gloriole et de gloire. Ce symbole représente l'aura rayonnante qui entoure les personnes pieuses et saintes. Il est donc devenu le symbole de la divinité, du pouvoir suprême et du caractère sacré. Le halo peut être représenté dans presque toutes les couleurs. Cependant, comme il représente la lumière, il est généralement représenté en blanc, jaune, doré ou rouge. Selon toute probabilité, la pratique consistant à utiliser le halo avec les divinités est le résultat de l'identification des êtres divins avec le soleil. En tant que symbole sacré, le halo n'est pas limité à une religion ou une culture particulière et les halos ont été largement utilisés pour représenter la sainteté, notamment dans les images religieuses chrétiennes, islamiques, hindoues et bouddhistes. Les halos ont été observés dans l'art grec et romain antique, ce qui a probablement influencé leur utilisation dans l'art chrétien. Le halo est étroitement associé au symbole chrétien du cercle, qui représente l'éternité. Les chrétiens considéraient le cercle comme divin puisque plusieurs des créations de Dieu, comme le soleil, la lune et les planètes, étaient circulaires. Le halo en est venu à être associé au cercle lumineux qui entoure la lune et le soleil. Dans l'art asiatique, notamment dans les bronzes chinois, le halo est souvent représenté non pas comme une simple lumière, mais comme un ensemble de flammes. Le symbole a été largement utilisé dans l'art indien, notamment dans l'iconographie bouddhiste et les sculptures hindoues. Les arts bouddhistes japonais et chinois utilisent depuis longtemps le halo dans les images du Bouddha Amitabha. Le bouddhisme tibétain l'a également beaucoup utilisé dans les statues et les peintures Thangka des divinités et des saints. Le halo est également apparu dans l'art islamique, notamment dans l'art moghol et les miniatures persanes.~ Art - Bernardo Daddi ~
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Miniature Persane
La peinture miniature persane est un art de cour et d'aristocratie, avec des couleurs exquises, des compositions équilibrées et une attention méticuleuse aux détails. Bien que ses origines soient difficiles à retracer, beaucoup considèrent l'Arzhang, le livre illustré du prophète Mani (fondateur du manichéisme et lui-même artiste) du IIIe siècle de notre ère, sous l'empire sassanide, comme le fondement des écoles de peinture persanes.
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Riza Abbassi, Reza, miniature persane, école d'Ispahan,Abbas le Grand , portugal, Dynastie Séfévide, saqi, échansson,
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SDS#27
Une chambre en ville / A room in town
Residence exhibition organised by Philippe Munda & Emmanuel Hervé
with : Renaud Bézy, Emmanuel Hervé*, Camille Mollier, Moussa Sarr, Michaël Sellam et invité•e•s / and Guests. *Roxane Borujerdi, Radu Comsa, J. Duplo, Marieva Gastaut, Ana Mazzei, Jonathan Monk, Sophie Nys, Peter Robinson, Derek Sullivan, Tina & Charly.
Visits by appointment from Novembre 20.2020 au / to January 20.2021
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CATALOGUE D’ŒUVRES / ARTWORKS CATALOG
infos et prix / infos and prices : [email protected]
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Artwork : Marieva GASTAUT
Nurserie, 2014
Huile sur bois / Oil on wood48 x 41,5 cm / 18.72 x 16.185 in
Unique
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Après ses études aux beaux-arts, Marieva Gastaut part à Londres où elle travaille dans la restauration d’antiquités, se spécialisant dans les laques et les dorures. De retour à Marseille, elle peint des fresques murales, des portes monumentales ; elle commence ses séries de portraits de jardins et réalise ses premières « dames » La série des dames s’enrichit au fil des expositions des « dames de compagnie », des « poupées persanes », puis des « serviteurs muets, jardiniers, scribes et magiciens » Il en est de même des jardins, « les jardins de Sardy », les « fenêtres sont votre perception » Son travail reflète la richesse et la diversité des influences de Carl Larsson et des miniatures persanes.
After studying fine arts, Marieva Gastaut moved to London where she worked in antique restoration, specializing in lacquers and gilding. Back in Marseille, she paints murals, monumental doors; she begins her series of garden portraits and realizes her first «ladies». The series of ladies is enriched through exhibitions of «ladies of company», «Persian dolls», then «silent servants, gardeners, scribes and magicians» It is the same for gardens, «Sardy’s gardens», «windows are your perception» Her work reflects the richness and diversity of the influences of Carl Larsson and Persian miniatures.
www.cnap.fr/marieva-gastaut
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