#mineur charbon
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wendelhalle · 1 month ago
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fidjiefidjie · 19 days ago
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🌫
Le retour du mineur, Lens 1954
Photo de Jean-Philippe Charbonnier
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philoursmars · 10 months ago
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Lens : l'église de mineurs Saint-Théodore.
A l'étage, par un escalier en colimaçon, il y a une maquette de la mine, en allumettes. Au rez-de-chaussée, des gaillettes de charbons, des lampes de mineurs et Sainte-Barbe, sainte patronne des mineurs.
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fabricejazbinsek · 9 days ago
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shakizu-ao3 · 1 year ago
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Bonjour tout le monde !
Ok j'ai jusqu'au 7 décembre, on a 2 trucs un peu smut (Grim/Max et Djilsi/Max), deux d'amitié (Manas&Djilsi et, pour voir plus grand plaisir, Maghla & Joyca) et un de fluff version 20eme siècle (je m'y connais pas assez pour pouvoir dater l'époque où il y avait des mineurs de charbon, mais voilà c'est l'idée, avec Maxime et Djilsi)
J'espère que ça vous paraît cool, et si vous avez des envies particulières, hésitez pas ! J'ai hâte de vous partager tout ça !
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dixvinsblog · 16 days ago
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Les belles expressions de la langue française : Aller au charbon
Voilà une expression que nous connaissons tous “Aller au charbon”. C’est à dire accomplir une tâche difficile ou désagréable. Expression née du monde des mineurs, elle est bien connue des stéphanois ! Cette expression qui ramène directement au monde des mineurs, faisant référence au travail épuisant et très difficile des mineurs qui descendaient au fond des puits pour extraire le…
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guyclement · 2 months ago
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István-akna volt bányatelep LA MINE DE LA MORT ABANDONNEE APRES UN TERRI... - N'hésites pas à t'abonner à ma chaîne et activer les notifications 🔔pour être informé de mes prochaines explorations et découvertes! Feel free to subscribe my channel and activate notifications 🔔to be aware about my next explorations and discoveries! Une histoire qui finit avec 197 mineurs morts dans leur mission... István-akna volt bányatelep: La construction a commencé en 1908, mais n'a été achevé qu'en 1925 en raison de la Première Guerre mondiale. Elle fut consacrée par un évêque. L'exploitation du charbon a pris fin en 1998. La mine étaient équipées de ventilateurs et les scories étaient traînées sous terre par des chevaux. L'exploitation de la mine fut arrêtée en 1998. La profondeur du puit était de 638 mètres et la tour de 41 mètres. C'est l'ancienne plus grande mine de charbon de Hongrie. Elle eu jusqu'à 1500 mineurs. Plus de 3000t/jour au plus fort de son exploitation ! Jusqu'à un terrible accident de grisou qui a coûté la vie à 197 ouvriers et qui sonna la fin... A story that ends with 197 miners dead in their mission... István-akna volt bányatelep: Construction began in 1908, but was not completed until 1925 due to the First World War. It was consecrated by a bishop. Coal mining ended in 1998. The mine was equipped with fans and the slag was dragged underground by horses. The mine was shut down in 1998. The depth of the shaft was 638 metres and the tower 41 metres. It is the oldest largest coal mine in Hungary. It had up to 1500 miners. More than 3000t/ day at the peak of its exploitation! Until a terrible fire accident that cost the lives of 197 workers and which sounded the end... Una historia que termina con 197 mineros muertos en su misión... István-akna volt bányatelep: La construcción comenzó en 1908, pero no se completó hasta 1925 debido a la Primera Guerra Mundial. Fue consagrada por un obispo. La explotación del carbón terminó en 1998. La mina estaba equipada con ventiladores y las escorias eran arrastradas por caballos bajo tierra. La explotación de la mina se detuvo en 1998. La profundidad del pozo era de 638 metros y la torre de 41 metros. Es la antigua mina de carbón más grande de Hungría. Tuvo hasta 1500 mineros. Más de 3000 t/día en el punto álgido de su explotación! Hasta un terrible accidente de grisú que costó la vida a 197 obreros y que sonó el fin... Una storia che finisce con 197 minatori morti nella loro missione... István-akna volt bányatelep: La costruzione è iniziata nel 1908, ma è stato completato solo nel 1925 a causa della prima guerra mondiale. Fu consacrata da un vescovo. La coltivazione del carbone si è conclusa nel 1998. La miniera era dotata di ventilatori e le scorie venivano trascinate sottoterra dai cavalli. La miniera fu chiusa nel 1998. Il pozzo aveva una profondità di 638 metri e la torre 41 metri. Questa è la più grande miniera di carbone in Ungheria. Ha avuto fino a 1500 minatori. Più di 3000t/giorno al massimo della sua attività! Fino a un terribile incidente di grisù che è costato la vita a 197 operai e che ha suonato la fine... Historia, która kończy się śmiercią 197 górników w ich misji... István-akna volt bányatelep: Budowa rozpoczęła się w 1908 roku, ale została ukończona dopiero w 1925 roku z powodu pierwszej wojny światowej. Został konsekrowany przez biskupa. Wydobycie węgla zakończyło się w 1998 r. Kopalnia była wyposażona w wentylatory, a żużel został wciągnięty pod ziemię przez konie. Kopalnia została zamknięta w 1998 roku. Głębokość szybu wynosiła 638 metrów, a wieża 41 metrów. Jest to najstarsza największa kopalnia węgla na Węgrzech. Miał do 1500 górników. Ponad 3000 t / dzień w szczycie jego eksploatacji! Aż do strasznego wypadku pożarowego, który kosztował życie 197 pracowników i który zabrzmiał na końcu... История, которая заканчивается 197 шахтёрами погибшими в их миссии... István-akna volt bányatelep: Строительство началось в 1908, но не было завершено до 1925 года из-за первой мировой войны. Он был освящен епископом. Добыча угля закончилась в 1998 году. Шахта была оборудована вентиляторами, а шлак был тащен под землю лошадьми. Шахта была закрыта в 1998 году. Глубина шахты составляла 638 метров, а высота башни - 41 метр. Это старейшая по величине угольна�� шахта в Венгрии. Там было до 1500 шахтёров. Более 3000 т/ день на пике эксплуатации! До ужасного пожара, который стоил 197 рабочих и который звучал конец... Retrouvez-moi sur les réseaux / Follow me for daily content: 👍 Facebook:  Urbex Guy Clement  https://www.facebook.com/profile.php?... 👉 Youtube  URBEX Guy Clément  https://www.youtube.com/channel/UCNhQ... 📸 Instagram:  @abandoned.urbex.world  https://www.instagram.com/abandoned.u...     🎵TikTok: @urbexguyclement https://www.tiktok.com/@urbexguycleme...     🐦Twitter: @GuyPellegrin https://twitter.com/GuyPellegrin   #abandoned #lostplace #urbex
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yes-bernie-stuff · 2 months ago
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La Bonne Semence
◀ 30 NOVEMBRE ▶ La Bonne Semence
Toi, Éternel ! Tu me connais, tu m’as vu, et tu as éprouvé mon cœur à ton égard. Jérémie 12 : 3
Le Père lui-même vous aime. Jean 16 : 27
Papa me connaît
Un petit garçon, dont le père était mineur dans un des derniers charbonnages du Nord de la France, s’était posté un soir à l’entrée de la mine. Il attendait patiemment la remontée de l’ascenseur et la sortie des mineurs. Un homme âgé qui l’observait lui demanda : – Qu’est-ce que tu fais là ? – J’attends mon père. – Tu ne pourras pas le reconnaître, ton père, au milieu des centaines d’hommes qui sortent tous avec le même casque et la même figure noire de charbon. Tu ferais mieux de rentrer chez toi. – Mais mon papa me connaît ! répondit le petit garçon. Quelle belle réponse ! L’enfant savait qu’il n’était pas capable de reconnaître son père mais, plein de confiance, il ne doutait pas de son affection. Il n’était pas possible que son papa ne le voie pas. Notre Dieu voit tout, entend tout, sait tout. Le roi David disait : « Tu connais quand je m’assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée; tu connais mon sentier et mon coucher, et tu es au fait de toutes mes voies » (Psaume 139 : 2, 3). Dieu s’intéresse aux plus petits détails de notre vie. Il a une connaissance parfaite de toutes choses; bien plus encore, il nous aime. Il nous aime de l’amour d’un Père pour ses enfants. Aussi Jésus disait-il à ses disciples : « Votre Père sait de quoi vous avez besoin » (Matthieu 6 : 8). Vous pouvez télécharger l’application officielle de l’année prochaine sur :
- Lire plus ici :
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christophe76460 · 2 months ago
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Monte sur une haute montagne, {Esaïe 40:9}
Chaque croyant doit avoir soif de Dieu, du Dieu vivant, et doit aspirer à gravir la colline du Seigneur, et le voir face à face. Nous ne devons pas nous contenter de nous reposer dans les brouillards de la vallée quand le sommet du Thabor nous attend. Mon âme à soif de boire jusqu’au fond la coupe qui est réservée à ceux qui atteignent le sommet de la montagne, et qui baignent leurs fronts dans le ciel. Comme sont pures les rosées des collines, comme est frais l’air de la montagne, comme est agréable la situation des habitants de là-haut, dont les fenêtres donnent sur la Nouvelle Jérusalem !
De nombreux saints se contentent de vivre comme les hommes des mines de charbon, qui ne voient pas le soleil ; ils mangent la poussière comme le serpent alors qu’ils pourraient goûter des nourritures faites pour les anges ; ils se contentent de porter le costume du mineur alors qu’ils pourraient revêtir des vêtements royaux ; des larmes marquent leurs visages alors qu’ils pourraient être oints d’huile céleste. De nombreux croyants languissent dans un cachot alors qu’ils pourraient marcher sur le toit du palais, et voir le saint territoire et le Liban. Réveille-toi, Ô croyant, de ta condition si basse ! Jette au loin ta paresse, ta léthargie, ta froideur, ou quoi que ce soit qui perturbe ton amour pudique et pur pour Christ, l’Époux de ton âme.
Qu’il soit la source, le centre, et la circonférence de toutes les joies de ton âme. Qu’est-ce qui t’ensorcelle dans une telle folie pour que tu restes dans une fosse quand tu pourrais être assis sur un trône ? Ne vis pas dans les plaines de l’esclavage maintenant que cette montagne de la liberté t’est accessible. Ne sois pas plus longtemps satisfait de tes minuscules acquisitions, mais presse-toi vers des choses plus sublimes et célestes. Aspire à une vie plus élevée, plus noble, une vie plus entière. Monte vers le ciel ! Plus près de Dieu ! Quand viendras-tu à moi, Seigneur ? Oh viens, mon Seigneur bien-aimé ! Viens près de moi, viens plus près, plus près encore, je suis béni quand tu es proche.
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memoire-ouvriere · 9 months ago
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Denain, groupe de Cafus à la mine, Nord.
Les femmes descendaient au fond aux débuts de la mine. Après l’interdiction législative du fond pour les femmes, elles sont occupées au jour pour divers travaux dont celui de trieuses. On les appelaient cafus ou mahus (Mines de Liévin) . Elles doivent ce nom à l’étoffe qui entoure leur coiffe. Cette étoffe est destinée à protéger des poussières et à maintenir la coiffure. Le triage est l’action de séparation des charbons des terres stériles. C’était un métier éprouvant sans cesse debout avec la cadence infernale du convoyeur à bande. Le bruit, les poussières, les mains abîmées sont les effets de ce travail. En plein été, la chaleur les faisait suffoquer et en hiver leurs mains étaient gelées par le froid. Il ne faut pas oublier tout ce que les trieuses retrouvaient au milieu des charbons notamment les déjections fécales des mineurs ayant fait leurs besoins dans les berlines au fond. Le travail était tellement poussiéreux que les trieuses ressortaient aussi noires que les mineurs de fond. Les mineurs les surnommaient " les culs à gaillettes ", leur derrière étant tout noir à force de s'essuyer les mains dessus. Elles étaient sous la responsabilité d'un porion au jour qui ne les ménageait pas… Les trieuses disparurent des carreaux miniers avec la création des criblages-lavoirs automatisés. Ils permettaient de récupérer la moindre particule de charbon ce qui n’était pas le cas des trieuses qui laissaient passer beaucoup de fines. Certains terrils ont d’ailleurs été relavés dans les dernières années pour récupérer le précieux minerai.
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lissabella · 9 months ago
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Perspectives complètes du marché des détonateurs 2023, part de l’industrie, taille, aperçu des segments, régions, demandes, tendances mondiales et développement, prévisions 2030
Aperçu du marché des détonateurs
Un détonateur est un dispositif qui fonctionne comme une gâchette ou un bouton pour une explosion. Les détonateurs sont principalement utilisés dans les opérations minières et de creusement de tunnels et pour d’autres utilisations industrielles. Ils peuvent fonctionner chimiquement, mécaniquement ou électriquement. Cependant, les détonateurs mécaniques et électriques sont les plus utilisés dans le monde. Les détonateurs aident à protéger la sécurité des travailleurs et des mineurs sur les chantiers miniers, industriels et de construction.
La mondialisation croissante et l’augmentation des activités industrielles et manufacturières apparaîtront comme des moteurs de croissance importants pour l’industrie des détonateurs. Les préoccupations croissantes en matière de sécurité des travailleurs, l’augmentation des activités telles que l’exploitation minière souterraine, les tunnels et l’excavation de surface, ainsi que l’essor et l’expansion du secteur de l’exploration pétrolière et gazière, en particulier dans les pays en développement, exacerberont la valeur marchande des détonateurs.
Facteurs moteurs de la croissance du marché
Détonateurs technologiquement avancés
Lancements de nouveaux produits et R&D parmi les principaux acteurs clés
Demande croissante de métaux
Demande de charbon dans les applications énergétiques
Accédez à l’exemple de rapport PDF @ https://www.marketresearchfuture.com/sample_request/8201
L’augmentation des investissements dans les capacités de recherche et de développement, les politiques gouvernementales favorables, l’urbanisation croissante et les activités de construction et de construction, en particulier dans les économies émergentes telles que l’Inde et la Chine, l’accent croissant mis sur la fabrication de détonateurs technologiquement avancés et l’augmentation de la participation des femmes à la main-d’œuvre ouvriront la voie à l’expansion du marché des détonateurs.
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wendelhalle · 2 months ago
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sobriday · 9 months ago
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DAY 5 OF SOBRIETY
J’écris depuis longtemps au sujet de l’alcool. A vrai dire, j’ai commencé à écrire lorsque ma mère m’a acheté ma première machine à écrire. J’avais 15 ans, c’était en 2014, et je venais d’avoir mon vrai premier chagrin d’amour, qui m’avait dévasté et qui m’avait d’ailleurs amenée sur le chemin de l’alcool, et surtout de l’alcoolisme. Ma mère, qui savait que j’avais un goût pour l’écriture et une plutôt belle plume, s’était dit que ce serait l’exutoire idéal. Ca m’a en effet beaucoup aidé à extérioriser les choses. A l’époque, je savais que j’avais plus ou moins un problème d’alcool, mais mon plus gros problème, c’était mon cœur brisé.
Après cette rupture amoureuse qui fut le point de départ de beaucoup de choses déterminantes dans ma vie d’ado et d’adulte, je me suis mise à boire seule régulièrement pour ne pas avoir à ressentir la douleur, le chagrin. Je buvais des gorgées d’alcool fort dans les bouteilles de mon père, j’achetais des canettes de 8.6 à l’épicerie du coin qui me connaissait bien et acceptait de vendre de l’alcool à des mineurs. J’achetais même des flash de Poliakov que je buvais pur parfois seule dans ma chambre, dans le noir. Quand j’y pense, certains développent des problèmes d’alcoolisme sur le tard à cause de l’alcool mondain, mais il ne m’a pas fallu longtemps pour tomber dans le piège alors que je n’avais même pas 16 ans. J’ai essayé de me convaincre pendant longtemps que je pouvais faire partie de ceux qui savaient se modérer.
C’est seulement en 2021-2022 que j’ai commencé à considérer l’abstinence totale, tout en percevant ce type de vie comme impossible et inatteignable. J’aimais imaginer cette version sobre de moi-même, je l’idéalisais, je la faisais vivre à travers mes pensées, et surtout je l’enviais. Je voulais lui ressembler. Mais il a fallu attendre 2023 pour que je tente mon premier Dry January, et que je le réussisse. Le mois de janvier 2023 marqua la première fois de ma vie en 10 ans où je n’ai pas ingéré une goutte d’alcool pendant un mois. 10 ans sans pause. Enfin, 10 ans avec des pauses d’une semaine peut-être, mais pas plus. Mon foie était constamment au charbon. Une partie de moi se demande aujourd’hui comment j’ai pu penser que je pourrais avoir une consommation modérée, lorsque je buvais déjà des flash de Poliakov pur à l’âge de 15 ans. J’ai longtemps pensé « tu étais jeune, tu vivais ton premier chagrin d’amour, tu as pris ce que t’as trouvé pour échapper à la douleur, mais ensuite tu as grandi et les choses ont changé ». Le problème, c’est que les choses n’ont que partiellement changé. Je n’ai jamais vraiment réussi à me débarrasser de cette mauvaise habitude, celle de boire seule pour faire face à la souffrance, à l’ennui, à la solitude. Depuis tout ce temps, j’étais déjà différente des autres. Je ne me contentais pas de boire trop en soirée, je buvais seule, souvent. J’ai tellement bu seule dans ma vie qu’à un moment, sortir des cours et aller au premier supermarché du coin pour m’acheter ma dose était devenu mon rituel quotidien. Il n’y avait pas besoin de réfléchir, c’était une évidence, comme aller aux toilettes ou manger à midi. C’était un mécanisme ancré que mon cerveau avait assimilé. Et puis après les cours, le même mécanisme s’est mis en place avec le travail. J’allais choper mes bières en sortant de stage, puis en sortant d’alternance, puis en sortant de mon travail en CDI d’adulte à 25 ans.
Les choses n’ont pas changé. Peut-être que par moment je buvais moins, je ne buvais que deux bières. Peut-être même que par moment, je ne buvais pas. Mais la plupart du temps, la majeure partie du temps, je buvais. Et j’ai continué ce rituel pendant des années. Aujourd’hui, je me demande si des gens l’avaient soupçonné. Je pense qu’ils savaient que j’avais un problème, parce qu’ils me voyaient en soirée, complètement incapable de contrôler ma consommation. Parce qu’ils me voyaient recommander une bière à minuit alors que j’avais déjà du mal à aligner deux mots. Parce qu’ils me voyaient en lendemain de soirée, boire dans un verre de la veille comme si c’était normal. Mais est-ce qu’ils savaient que le soir en semaine, il m’arrivait de boire seule dans ma chambre en pleurant sans savoir pourquoi ? Peut-être pas. Est-ce que ça les aurait surpris ? Est-ce qu’ils en auraient quelque chose à foutre ? Je dis ça parce que la question de l’alcool est souvent assimilée à la honte, et au regard des autres. On boit souvent pour se conformer à un mode de vie à la française, pour faire comme tout le monde, et lorsqu’on arrête de boire, on craint le regard des autres, de sa famille et de ses amis, car on n’est plus dans la norme. On n’est plus comme les autres, et souvent on doit le justifier.
On est le 17 mai 2024 et j’en ai des frissons que de penser à tout ça. Je viens d’imaginer une bière, en canette, posée sur mon bureau. J’ai imaginé son goût, son effet. J’ai pensé à la facilité avec laquelle je pourrais me racheter une bière et retomber dans mes travers. Reprendre ma vie d’avant, sans rien changer. Qu’est-ce que ce serait facile. Mais je sens aussi que quelque chose est en train de se tramer. Un changement. Un ras-le-bol. Une volonté. Je ne dis pas que je ne boirai plus jamais d’alcool. J’ai arrêté de vouloir me dire ça. J’ai compris qu’il fallait vivre au jour le jour, dans l’instant présent, et dans l’instant présent, je décide de ne pas boire. Dans l’éventualité où je finirais par vivre à Lisbonne pendant un an, et toucher du bout des doigts mon objectif de vivre à l’étranger, même de courte durée, et surtout proche de la mer, j’idéalise encore ce moment où je boirai une bière fraîche sur la plage. Mais peut-être que d’ici à ce que ça arrive, beaucoup de choses autour de moi, et en moi, auront changé. Pour l’instant, je veux continuer d’être la meilleure version de moi-même, et cela implique de ne pas boire. Je sais aussi que les premiers jours, premières semaines, premiers mois peuvent être particulièrement difficile. Le souvenir de l’alcool est encore frais, et le cerveau conditionné. C’est difficile d’instaurer un tel changement, et surtout de se convaincre qu’il en vaut la peine quand on n’a pas encore pu en voir les bénéfices.
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culturevsnews-blog · 11 months ago
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Gueules Noires avec Samuel Le Bihan (Acteur), Amir El Kacem (Acteur), Mathieu Turi (Réalisateur)
1956, dans le nord de la France. Une bande de mineurs de fond se voit obligée de conduire un professeur faire des prélèvements à mille mètres sous terre. Chronique : “Gueules noires”, le dernier film de Mathieu Turi, est une œuvre cinématographique qui plonge les spectateurs dans les profondeurs obscures d’une mine de charbon dans le nord de la France en 1956. Dès les premières images, le…
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zehub · 1 year ago
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En Australie, le plus gros port de charbon du monde bloqué par des kayaks
L’Australie a connu, dimanche, l’une des plus grandes mobilisations écologistes de son histoire, rapporte RFI. Pendant trente heures, des centaines de personnes embarqués sur des kayaks, des pontons flottants ou des planches de surf ont bloqué la rade du port de Newcastle, le plus grand port à charbon du monde. Des membres des Verts australiens, des activistes écolos venus de l’autre bout du pays, et même un mineur de charbon ont pris part à cet évènement, rapporte le Guardian. De nouvelles mines (...)
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christlumieredesnations · 1 year ago
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Quarante-huit heures dans l’enfer
John N. Reynolds
Le plus intéressant cas de retour à la vie dont j’ai entendu parler, est celui de George Lennox, un voleur de chevaux bien connu dans le comté. Il était en prison pour la deuxième fois. Le comté l’avait envoyé en prison une première fois pour un délit semblable : vol de chevaux.
Il travaillait dans les mines de charbon durant l’hiver de 1887 et 1888. L’endroit où il travaillait lui semblait dangereux. Il en fit part au garde, qui examina le lieu, et décida que l’endroit était sûr, et lui donna l’ordre de retourner au travail. Le condamné obéit mais il n’avait pas continué son travail depuis plus d’une heure, quand le toit s’écroula et l’ensevelit complètement. Il resta dans cet état deux heures entières.
Étant absent à l’heure du dîner, une recherche fut organisée pour le condamné. Il fut retrouvé sous un tas de décombres. Sa vie semblait éteinte. Il fut remonté, et après un examen fait par le docteur de la prison il fut déclaré mort. Son corps fut ensuite transporté à l’hôpital pour être lavé, habillé, prêt pour l’enterrement. Son cercueil fut apporté à l’hôpital. L’aumônier était arrivé pour accomplir la triste cérémonie avant l’enterrement. Un infirmier ordonna à deux prisonniers de soulever le cadavre et de le transporter à travers la salle pour le placer dans le cercueil. Ils obéirent, un à la tête, l’autre aux pieds et ils étaient environ au milieu de la salle quand celui qui était à la tête trébucha accidentellement sur un crachoir, perdit son équilibre et fit tomber le cadavre. La tête du défunt cogna sur le plancher et à la surprise et l’étonnement de tous, un gémissement profond fut entendu. Ses yeux s’ouvrirent bientôt et d’autres signes de vie apparurent. Le docteur fut appelé immédiatement. Lorsqu’il arriva, trente minutes plus tard, l’homme déclaré mort était en train de boire un verre d’eau qu’il avait demandé.
Aussitôt, son cercueil fut retiré pour être utilisé pour un autre prisonnier plus tard. Les vêtements d’enterrement furent remplacés par ses habits de prisonnier. Après une visite le docteur trouva qu’une de ses jambes était cassée à deux endroits. Il resta à l’hôpital pendant six mois et ensuite retourna travailler.
Peu de temps après, un autre mineur me raconta l’expérience que Lennox avait vécu, alors qu’il paraissait mort. Poussé par la curiosité, il me tardait de faire la connaissance de Lennox pour écouter son histoire. L’occasion ne se présenta pas pendant plusieurs mois. Mais finalement elle arriva. J’ai été déplacé dans mon travail et affecté dans un des bureaux de la prison pour établir des rapports annuels. Un jour, on parlait du retour à la vie de cet homme. Il venait de passer vers la porte du bureau et quelqu’un me le montra. Je lui glissai un mot dans sa main lui demandant de venir me voir. Il vint et j’entendis de sa propre bouche sa merveilleuse histoire. C’est un jeune homme d’une trentaine d’années. Il avait été un criminel endurci ; il a une bonne éducation et est très intelligent.
La partie la plus remarquable de son histoire se déroule pendant qu’il était mort. Étant sténographe j’ai écrit son histoire sous sa dictée.
Il disait : « Le matin j’avais un pressentiment que quelque chose de terrible allait arriver. J’étais si mal à l’aise avec cette sensation, que j’ai été voir mon chef des mines, Mr. Grason, et je lui ai dit ce que je pressentais, et lui demandai s’il ne voudrait pas venir examiner mon lieu de charbon. Il vint et l’examina attentivement, et m’ordonna de retourner au travail, me disant qu’il n’y avait aucun danger et qu’il pensait que je devenais fou. Je retournai à mon travail et j’ai pioché pendant environ une heure quand d’un seul coup tout devint noir. Ensuite il me semblait qu’une grande porte en fer s’ouvrait et j’y passais au travers. Alors l’idée m’est venue que j’étais mort et dans un autre monde. Je ne pouvais voir personne et je n’entendais aucun bruit. Pour une raison qui m’est inconnue, je commençais à m’éloigner de la porte et j’avais parcouru une certaine distance quand j’arrivai aux bords d’une grande rivière. Il ne faisait pas sombre et il ne faisait pas clair. II y avait autant de clarté que pendant une belle nuit étoilée. Je n’étais pas resté très longtemps aux bords de cette rivière quand j’entendis le bruit de rames sur l’eau, et bientôt quelqu’un dans un bateau rama jusqu’à moi.
» J’étais sans parole. II me regarda pendant un moment et ensuite me dit qu’il était venu pour me chercher ; il m’ordonna de monter dans le bateau et de ramer jusqu’à l’autre côté. J’obéis. Pas un mot ne fut prononcé. J’avais grande envie de lui demander qui il était, et où j’étais. Ma langue semblait collée au palais. Je ne pouvais pas dire un mot. Finalement nous avons atteint l’autre bord de la rivière. Je sortis du bateau et le batelier disparut.
» Étant seul, je ne savais que faire. Regardant devant moi, je vis deux routes qui se dirigeaient vers une vallée très sombre. L’une était très large et semblait bien parcourue, l’autre était un chemin étroit qui se dirigeait vers une autre direction. Instinctivement j’ai suivi la route la mieux parcourue. Je n’étais pas bien loin et déjà il faisait nuit. Cependant, de temps à autre, une lumière brillait au loin et de cette façon j’étais éclairé pendant mon voyage.
» Bientôt, je me trouvai avec un être qu’il m’est impossible de décrire. Je ne peux que vous donner une idée de son apparence épouvantable. Il ressemblait un peu à un homme mais plus grand qu’un être humain. Il mesurait au moins trois mètres. Il avait de grandes ailes dans le dos. Il était aussi noir que le charbon que j’avais pioché et tout nu. Il avait une lance dans sa main dont le manche mesurait environ quatre mètres et demi. Ses yeux brillaient comme des balles de feu. Ses dents, blanches comme des perles, paraissaient avoir deux centimètres et demi de long. Son nez, si on peut l’appeler un nez, était très grand, large et épaté. Sa chevelure était ébouriffée et longue. Elle tombait sur ses épaules. Sa voix ressemblait aux grognements d’un lion dans une ménagerie.
» Je l’avais vu pour la première fois par un éclat de lumière. Je tremblais comme une feuille en sa présence. Il avait sa lance levée comme pour me transpercer. Soudainement je m’arrêtai. Avec une voix terrible que je crois encore entendre il m’ordonna de le suivre, car il était envoyé pour me guider pendant mon voyage. Je le suivais. Que pouvais-je faire d’autre? Après qu’il ait parcouru une certaine distance, une grande montagne s’éleva devant nous. La partie qui nous faisait face semblait perpendiculaire, comme si la montagne avait été coupée en deux, et une partie enlevée. Sur le mur perpendiculaire, je pouvais voir ces mots : “Voici l’enfer”.
» Mon guide s’approcha de ce mur et avec le manche de sa lance frappa trois coups. Une grande porte massive s’ouvrit et nous sommes entrés. J’étais ensuite conduit vers ce qui me semblait être un passage à travers cette montagne.
» Pendant quelques temps nous voyageâmes dans une obscurité totale. Je pouvais entendre les bruits de ses pas lourds et de cette façon je pouvais le suivre. Tout le long du chemin j’entendais de profonds gémissements semblables à ceux d’un mourant. Au loin, ces gémissements augmentaient, et je pouvais entendre distinctement le cri : “de l’eau, de l’eau, de l’eau“. Arrivant maintenant près d’une autre porte et passant à travers, je pouvais entendre, il me semblait, un million de voix au loin, et le cri, “de l’eau, de l’eau“. Bientôt une autre grande porte s’ouvrit et je m’aperçus que nous avions passé la montagne, et maintenant une grande plaine s’étendait devant moi.
» À cet endroit mon guide me quitta pour diriger d’autres âmes perdues vers la même direction. Je restai dans cette plaine pendant un certain temps, quand un être semblable au premier vint vers moi, mais au lieu d’une lance il avait une énorme épée. Il vint pour m’apprendre ma condamnation. Il parla d’une voix qui frappa mon âme d’horreur. “Vous êtes en enfer, dit-il, pour vous tout espoir est perdu. Comme vous passiez dans la montagne, vous avez entendu les gémissements et les cris perçants de ces âmes perdues qui réclamaient de l’eau pour rafraîchir leurs langues desséchées. Le long de ce passage il y a une porte qui s’ouvre sur le lac de feu. Bientôt ce sera votre destin. Avant que vous soyez conduit dans cet endroit de tourment pour ne plus jamais en sortir : car il n’y a pas d’espoir pour ceux qui y pénètrent : il vous sera permis de rester dans cette plaine, où il est accordé à toutes ces âmes perdues d’apercevoir ce dont ils auraient pu jouir au lieu de ce qu’ils doivent souffrir.“
» Puis, j’étais seul. Je ne sais pas si c’était le résultat de cette peur terrible que je venais de passer, mais maintenant, je devenais stupéfié. Une langueur me saisit. Mes forces me quittèrent. Mes membres refusèrent de supporter mon corps. Vaincu, je m’affaissai comme une masse. Maintenant l’assoupissement me maîtrisait. À moitié éveillé, à moitié endormi, je croyais rêver. Au-dessus de moi et à une certaine distance, je voyais la belle cité dont on parle dans la Bible. Ses murs de jaspe étaient splendides. Je voyais, au loin, de vastes plaines couvertes de belles fleurs. J’ai vu, aussi, la rivière de la vie et la mer de cristal. Des multitudes d’anges passaient et repassaient par les portes de la cité, chantant de si belles chansons. Parmi le nombre, j’ai vu ma chère mère, qui était morte quelques années auparavant, le cœur brisé à cause de ma méchanceté. Elle me regardait et elle m’appelait, mais je ne pouvais pas bouger ; un grand poids me retenait. Maintenant un vent doux envoyait le parfum de ces jolies fleurs vers moi, et je pouvais entendre plus distinctement la mélodie douce des anges, et je me disais, “oh! si je pouvais être un de ces anges!“
» Pendant que je buvais cette coupe de bonheur, soudainement, elle était enlevé de mes lèvres. J’étais réveillé de mon sommeil. Un habitant de ma sombre demeure me ramena du pays des rêves, me disant d’entrer dans ma future carrière. Il m’ordonna de le suivre. Retournant sur mes pas, j’entrai encore dans le passage sombre et pendant quelques temps, je suivais mon guide. Ensuite nous arrivions près d’une porte qui s’ouvrait sur le côté du passage, et finalement nous nous sommes trouvés vers une autre porte, et voilà que je voyais le lac de feu.
» Aussi loin que mes yeux pouvaient voir, j’apercevais devant moi, ce lac de feu et de soufre. Des vagues de feu roulaient les unes par-dessus les autres, et se brisaient les unes contre les autres. Elles s’élançaient comme les vagues de la mer pendant une tempête violente. En haut des vagues je pouvais voir ces êtres humains se lever, mais aussitôt ils redescendaient tout au fond de ce lac de feu. Étant en haut de ces vagues redoutables pendant un moment, leurs malédictions contre un Dieu juste étaient épouvantables, et leurs cris pitoyables pour de l’eau vous déchiraient l’âme. Ce lac immense de feu résonnait avec les gémissements de ces esprits perdus.
» Bientôt je tournais mes yeux vers la porte où j’étais passé quelques instants auparavant, et je lisais ces mots terribles : ”Voici ton destin“ et “L’éternité ne finit jamais“. Peu de temps après, je commençais à sentir la terre s’écrouler en-dessous de mes pieds, et bientôt je me trouvais englouti dans le lac de feu. Je ressentais une soif indescriptible et c’est en réclamant de l’eau que j’ouvris les yeux dans l’hôpital de la prison.
» Je n’ai jamais raconté mon expérience de crainte que les gardes l’entendent, et me traitent de fou et m’enferment dans un asile. J’ai passé par tout cela, et je suis aussi convaincu du fait que je suis en vie qu’il y a un ciel et qu’il y a un enfer, un enfer authentique, tel que la Bible nous le révèle. Mais il y a une chose certaine, je n’irai jamais plus dans cet endroit.
» Aussitôt que j’ouvris les yeux, étant à l’hôpital, je m’aperçus que j’étais encore en vie et sur la terre, immédiatement j’ai donné mon cœur à Dieu et je vais vivre et mourir en chrétien. Les visions terribles de l’enfer ne peuvent jamais être chassées de ma mémoire, ni les belles choses que j’ai vues au ciel. Un jour je rejoindrai ma chère mère. Je pourrai m’asseoir aux bords de cette jolie rivière, parcourir les plaines avec les anges, les vallées et les collines tapissées de fleurs parfumées dont la beauté surpasse tout ce que les mortels puissent imaginer ; écouter les chansons des saints—tout cela me récompensera amplement pour une vie chrétienne sur la terre, même si je dois renoncer aux plaisirs sensuels auxquels je m’adonnais, avant d’être en prison. J’ai délaissé mes compagnons criminels et je fréquenterai de bonnes personnes lorsque je serai, une fois de plus, un homme libre. »
Nous donnons le rapport aux lecteurs comme nous l’avons reçu de Lennox. Nous reconnaissons l’incapacité de la pensée humaine à décrire le ciel ou l’enfer. Donc, le récit de M. Lennox ne serait peut-être pas une vraie description de l’enfer, mais plutôt un aperçu dans l’éternité. Que Dieu bénisse le message de M. Lennox pour réveiller les âmes perdues.
Oh! comment les hommes peuvent-ils douter de l’existence d’un enfer réel et ardent? Nous avons la Bible, la Parole de Dieu, et des révélations comme celle de M. Lennox qui enseignent un enfer véritable. Hommes et femmes, arrêtez-vous! Regardez les choses en face! Votre vie est enregistrée. Dieu veut vous sauver ; il vous pardonnera lorsque vous reconnaîtrez que vous êtes pécheur. La seule façon d’être sauvé est d’être purifié du péché, en acceptant le sang de Jésus-Christ comme sacrifice pour vos péchés. Quand vous acceptez le pardon de Dieu, il vous donnera la paix et le repos dans votre cœur. Vous serez libre, libre dans cette vie, et en plus, libre de vivre la félicité du ciel au lieu de la réalité de non seulement quarante-huit heures, mais d’une éternité en enfer.
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L’homme riche et Lazare
(Luc 16.19-31)
Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d’ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli.
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Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu’il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.
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Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d’envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j’ai cinq frères. C’est pour qu’il leur atteste ces choses, afin qu’ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu’ils les écoutent. Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu’un des morts va vers eux, ils se repentiront. Et Abraham lui dit : S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu’un des morts ressusciterait.
Lectures bibliques supplémentaires :
Apocalypse 21.7-8 ; Apocalypse 20.10, 12, 13 ; 2 Pierre 3.10-12
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