#militant écologiste
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Un militant écologiste après s’être collé au bitume avec sa main. S'handicaper à vie pour un acte irréfléchi
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L'astrophysicien Hubert Reeves est parti rejoindre Mozart
🍂🕊✨️✨️✨️🕊🍂
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J'écoutais un podcast écologiste militant (ouais je suis un mec comme ça ouais 😂) et l'oratrice c'est Camille Étienne (trop stylée la gonz 😎)
Et là, je tique sur une prononciation d'un mot. Il faut savoir que mes amis se foutent de moi parce que les mots en -ie (ex plie) je les prononce -iiiiiille.
Et en fait tout fais sens ! Elle est haute savoyarde (moi aussi de famille) et du coup tout est logique, j'aime beaucoup.
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Parti Communiste : les maires et élus locaux doivent être solidaires du mouvement contre la réforme des retraites
Le Parti Communiste Français du Pays de Montbeliard communique : "Malgré un rejet populaire très massif de leur projet de réforme des retraites, Macron et son gouvernement persistent à vouloir imposer une régression sociale violente pour le monde du travail, pour la jeunesse, pour les femmes et les catégories populaires. La mobilisation exceptionnelle du 19 janvier 2023 dans le Pays de Montbéliard a été un signal clair de la détermination des salariés, des retraités, de la jeunesse à empêcher l'adoption de leur réforme. Notre peuple ne veut pas de la retraite à 64 ans, de l'allongement de la durée de cotisations. Il a parfaitement compris que ces mesures n'allaient pas améliorer notre système de retraites, à l'instar des précédentes réformes, injustes et inefficaces. La parole doit lui revenir, dans le cadre d'un grand débat démocratique organisé dans tout le pays, dans les entreprises, dans les services publics, dans les quartiers et les universités, conclu par un référendum. C'est le sens de la motion référendaire déposée par les Député.e.s des groupes de gauche et écologistes à l'Assemblée nationale, qui sera débattue le 6 février prochain. Nous appelons les parlementaires du Doubs à l'adopter. D'ici là, le Parti Communiste Français du Pays de Montbéliard appelle à amplifier partout la mobilisation, dans les entreprises et les services publics, dans les meetings qu'il organise avec les forces de gauche et écologistes dans de nombreux territoires, et évidemment dans le cadre de la journée de grève et de manifestations du 31 janvier. Cette journée doit être historique pour faire reculer le pouvoir ! Nous appelons ainsi les Maires du Pays de Montbéliard et l'ensemble des élus locaux, dont nombreux sont déjà mobilisés dans notre territoire, à prendre toutes les initiatives visant à mobiliser les citoyens et favoriser la participation des agents publics aux initiatives syndicales. Tous les moyens peuvent être utilisés tel que le paiement des jours de grève, autorisations d'absence, banderoles sur les frontons des mairies, fermetures symboliques de la mairie, organisation de débats publics sur le système de retraites et de protection sociale dont a besoin notre pays... Les élus locaux du Pays de Montbéliard et les maires en particulier sont confrontés depuis des années à l'affaiblissement des services publics que la réforme des retraites du gouvernement Borne va encore accélérer en maltraitant les agents. Baisse des dotations, réforme des 1.607 heures, explosion des factures d'énergie et des produits de première nécessité... Les collectivités souffrent des politiques libérales de ce gouvernement comme des précédents. Face à ce pouvoir autoritaire et à ses tentations permanentes de passages en force, la démocratie locale, animée par les maires et les élus locaux, sera un puissant relais à la mobilisation sociale qui doivent déboucher sur le retrait de la réforme Macron et sur une amélioration réelle de notre système de retraites. Le Parti Communiste Français du Pays de Montbéliard, ses élus et militants, continueront à mettre toutes leurs forces dans cette bataille décisive". (source communiqué) Read the full article
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Pourquoi Paul Watson ne sera probablement pas extradé vers le Japon
https://justifiable.fr/?p=87 https://justifiable.fr/?p=87 #extradé #Japon #pas #Paul #Pourquoi #probablement #sera #vers #Watson Le militant écologiste Paul Watson restera en détention jusqu’au 4 décembre, a annoncé ce mercredi la police du Groenland, dans l’attente de la décision de la justice danoise sur la demande d’extraditon du Japon. Âgé de 73 ans, il est en détention depuis le 21 juillet. Me Jean-Charles Teissedre décortique cette procédure complexe. Paul Watson Les spécificités choquantes de la procédure d’extradition au Danemark Le temps passe et toujours pas de juge de l’extradition à l’horizon. Paul Watson, qui aura 74 ans le 2 décembre prochain, le jour de la prochaine audience, doit commencer à trouver le temps long. Arrêté le 21 juillet dernier, puis incarcéré dans une prison du Groenland, il est donc maintenu sous écrou extraditionnel après une énième audience devant le juge de la détention. Paul Watson doit donc encore attendre que le ministre de la justice danois, Peter Hummelgaard, qui supervise le système judiciaire du pays, daigne prendre position. Ce n’est que dans un second temps que le juge de l’extradition du Groenland sera saisi, en cas d’avis favorable à l’extradition du ministre, et c’est sans doute ce qu’il y a de plus choquant : Paul Watson ne peut toujours pas faire valoir ses arguments. Drôle de procédure que cette procédure danoise, au sein de l’Union Européenne (UE), censée garantir un niveau de protection des droits individuels élevé, jusqu’au Groenland, seul territoire danois d’outre-mer associé à l’UE. Car le système danois souffre de la comparaison avec un certain nombre de pays membres de l’UE. En France, seule une chambre de l’instruction, qui relève de la Cour d’appel, peut émettre un avis, favorable ou défavorable, à l’extradition. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’un simple avis mais d’une véritable décision de justice qui s’impose au gouvernement. Ainsi, l’implication du pouvoir politique dans la procédure extraditionnelle danoise, à ce stade de la procédure, a de quoi surprendre, les liens de subordination entre la police, les procureurs et le ministre de la justice étant de surcroît particulièrement marqués dans le système judiciaire du Danemark. Une procédure d’extradition sans traité d’extradition Une autre incongruité procédurale est qu’il n’existe aucun traité d’extradition entre le royaume du Danemark et le Japon[1]. Or, les demandes d’extradition s’appuient généralement sur un traité bilatéral ou multilatéral liant deux ou plusieurs États signataires. Ce n’est pas le cas ici. Il est vrai que l’extradition est avant tout un acte de souveraineté qui, à ce titre, n’est pas subordonné à la prévision d’une convention internationale. Une extradition peut donc, théoriquement, intervenir en application d’une loi de procédure nationale, qui trouve alors à s’appliquer à titre subsidiaire. À titre d’exemple, le Chili, réputé être un pays refuge en matière d’extradition, comme de nombreux pays d’Amérique centrale ou du sud, vient d’accorder l’extradition d’un jurassien de 54 ans poursuivi en France pour des infractions de nature sexuelle sur des mineurs, dont certaines par ascendant. Les faits ont dû apparaître suffisamment odieux aux autorités chiliennes pour qu’elles décident de la remise de l’intéressé aux autorités françaises. L’État requis, ici le Danemark, lorsqu’il met en œuvre une procédure d’extradition sans traité d’extradition, manifeste une intention particulière dans un cas particulier. Une sorte d’exception à la règle tacite de non extradition en l’absence de convention avec le pays requérant. Des spécificités locales qui desservent Watson L’interpellation puis l’incarcération au Groenland de Paul Watson, figure emblématique de la lutte contre la chasse baleinière, ne doit rien au hasard. Elle est surtout le résultat d’une volonté politique ultramarine en territoire danois, prolongeant la notice rouge émise par Interpol à la demande du Japon qui viole le moratoire international interdisant, depuis son entrée en vigueur en 1986, la chasse aux Baleines à des fins commerciales. Contrairement aux idées reçues, arrêter une personne visée par une notice rouge n’a rien de systématique. Il s’agit toujours d’un choix étatique, confirmé, ou non, par la demande d’extradition puis par le juge de l’extradition. On sait que certaines personnes visées par une notice rouge, dont des chefs d’Etat, passent certaines frontières. D’ailleurs, la notice rouge qui visait Paul Watson ne date pas d’hier puisqu’elle a été émise en 2012 pour des faits qui remontent au mois de janvier 2010. Pendant tout ce temps, il a manifestement pu vivre, circuler et naviguer à peu près normalement puisqu’il vit entre une péniche parisienne à quai et un pied-à-terre marseillais, sans que la France n’ait jamais procédé à son arrestation. Ce n’est donc pas un hasard si, d’après les informations disponibles, les autorités groenlandaises ont obtenu des îles Féroé, autre territoire autonome sous tutelle danoise, les détails de l’itinéraire du navire de Paul Watson, le Johan Paul DeJoria, parti de Dublin, en Irlande, soupçonnant une escale à Nuuk, au Groenland. Dans ces territoires, la chasse aux cétacés est une tradition culturelle (le grind). Autant dire que Paul Watson n’y est pas le bienvenu. Son interpellation n’est pas le fait d’un contrôle inopiné. Une infraction politique ? Parmi les moyens invoqués par Paul Watson pour s’opposer à son extradition, figure celui du caractère politique des infractions (de droit commun) dont l’accuse le Japon. À titre de comparaison, en France, c’est l’article 696-4 2° du Code de procédure pénale qui prohibe l’extradition « lorsque le crime ou le délit à un caractère politique ou lorsqu’il résulte des circonstances que l’extradition est demandée dans un but politique ». Selon la jurisprudence française, sont politiques les infractions qui portent atteinte à l’ordre politique, qui sont dirigées contre la constitution du gouvernement et contre la souveraineté, qui troublent l’ordre établi par les lois fondamentales de l’Etat et la distribution des pouvoirs. Depuis un arrêt Koné du Conseil d’Etat du 3 juillet 1996, le refus de l’extradition, lorsqu’elle est demandée dans un but politique, est un principe fondamental reconnu par les lois de la République (PFRLR), qui a donc valeur constitutionnelle. Il n’existe cependant pas de définition universelle de l’infraction politique de sorte qu’il appartient aux juridictions compétentes de chaque Etat d’apprécier l’étendue de cette notion. En pratique, ce sont surtout la trahison, l’espionnage, les atteintes au secret de la défense nationale qui sont considérées comme étant de nature politique. Le nom de Julian Assange vient donc plus spontanément à l’esprit que celui de Paul Watson. Faire entrer le mobile écologique dans la définition de cette notion constituerait une évolution à laquelle la justice danoise risque de se montrer réticente. Les autres moyens de droit Le ministre de la justice danois a déclaré à la presse que « selon la loi d’extradition du Groenland, il est notamment exigé que l’acte soit d’une certaine gravité et qu’il ne s’agisse pas d’un délit politique ». Il a aussi rappelé que l’extradition ne serait pas autorisée si elle s’avérait incompatible avec la Convention Européenne des Droits de l’Homme, à laquelle le Danemark adhère. Car si la Convention Européenne des Droits de l’Homme ne protège pas directement les personnes visées par une procédure d’extradition contre les infractions à caractère politique, la Cour Européenne des Droits de l’Homme n’en reste pas moins attentive à une éventuelle violation de l’article 3 qui prohibe la torture et les peines ou traitements inhumains ou dégradants (Burga Ortiz c/Allemagne, 16 octobre 2006). De sorte que les autorités japonaises, si elles maintiennent leur demande d’extradition, vont devoir donner des garanties à la justice danoise. Les autorités japonaises seront inévitablement questionnées dans le cadre des compléments d’information que ne manquera pas d’ordonner le juge de l’extradition lorsque celui-ci sera saisi, ce qui n’est hélas toujours pas le cas. Car c’est finalement une complicité par instruction qui est reprochée à Paul Watson, qui n’était pas présent sur place au moment de l’accrochage du baleinier japonais, en janvier 2010. Accrochage au cours duquel une flasque d’acide butyrique (beurre rance) a été jetée lors d’une prétendue conspiration d’abordage qui aurait blessé un marin japonais à la joue, d’après un témoignage qui semble avoir été recueilli dans des conditions contestables. Bien que le juge de l’extradition n’ait pas en théorie à apprécier le sérieux des charges, il doit donner aux faits une qualification adéquate en fonction de leur réception par le droit du pays requis, dès lors que la procédure d’extradition repose sur le principe de réciprocité des incriminations. C’est dans ce cadre, que la vidéo de la défense de Paul Watson, qui conteste les faits, pourra être visionnée par les juges danois. De cette qualification dépend l’appréciation de la gravité des faits qualifiés en droit, mais aussi la peine encourue. Or, selon la demande d’extradition formulée par le Japon, la peine encourue est de 15 ans d’emprisonnement. Pour la complicité d’une infraction qui pourrait tout aussi bien être qualifiée d’involontaire, à supposer les faits avérés, cela fait peut-être beaucoup… Une privation de liberté pour une durée aussi longue, dans un tel contexte, pour un homme âgé de 74 ans, père de trois enfants dont deux enfants de 8 et 3 ans, pourrait être considérée comme une peine inhumaine. Il en est de même des conditions de détention en cas de remise au Japon, conditions qui seront scrupuleusement examinées par les juges compétents. En effet, la dureté du système carcéral japonais n’est plus un mystère, notamment depuis la rocambolesque évasion de Carlos Ghosn. Et le juge de l’extradition devra encore apprécier la possibilité pour Paul Watson de bénéficier d’un procès équitable en cas de remise, ce qui, là encore, s’agissant du système judiciaire japonais, n’a rien d’évident. En définitive, l’embarras du choix va peser sur les épaules des juges. À moins que le ministre danois de la justice fasse très prochainement le choix raisonnable d’éviter des débats planétaires. [1] Les Surligneurs, extradition du défenseur des baleines Paul Watson : quel est le cadre juridique ?
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1974 : Larzac. Non à l'extension du camp militaire. Gardarem Lou Larzac scandaient il y a 50 ans les paysans du Larzac après l'annonce le 28 octobre 1971, par le ministre de la Défense nationale Michel Debré, de l'extension du camp de la Cavalerie de 3000 à 17.000 hectares. Le 6 novembre, quelque 6000 personnes manifestaient à Millau. Un combat de dix ans commençait. Par sa durée, ses modes d'action, le combat a marqué son époque et inspiré les mouvements écologistes ... Des militants, des révoltés pas les branle la gueule bobos parigots d'aujourd'hui...
Il y a 50 ans, la révolte historique des paysans du Larzac
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Groenland. Le défenseur des baleines Paul Watson en prison au moins jusqu'au 4 décembre
La détention du militant écologiste au Groenland a à nouveau été prolongée ce mercredi.
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Cette vieille chanson qui brûle
Noé et Jérémie, frères jumeaux, doivent apprendre à se débrouiller seuls après la disparition de leur mère et face à un père démissionnaire et violent. Ils vont trouver refuge en forêt et se (re)construire une vie. Alexandre réussit un touchant roman.
Finaliste du Prix Alain Spiess 2024 En deux mots Noé retourne chez son père après la mort de son frère Jérémie. Ce dernier, militant écologiste, a été victime de son engagement, laissant les siens désemparés. L’heure est désormais au souvenir et au règlement de comptes. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique « Deux enfants sauvages découverts à Lassaut » Noé et Jérémie, frères jumeaux, doivent…
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#Apprentissage#arbres#écologie#écoterrorisme#émancipation#chagrin#colère#défense#enfance#Famille#fils#forêt#fratrie#frère#jumeaux#liens du sang#Mère#Mort#nature#Père#pensionnat#quête#refuge#retour#rivière#Société#solitude#Souvenirs
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Disparition des ours polaires, de la barrière de corail : ces catastrophes qui n’ont pas eu lieu et les journalistes ne s’excusent toujours pas d’avoir menti
par Patrice Gibertie Qu’est-il arrivé aux ours polaires ? Autrefois, les militants écologistes ne parlaient que d’eux, mais ils sont aujourd’hui pratiquement absents des gros titres. Au cours des 20 dernières années, les militants écologistes ont fait état de diverses histoires de catastrophes climatiques, puis les ont discrètement abandonnées sans s’excuser lorsque les preuves contraires sont…
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Le militant Paul Watson, défenseur des baleines, est maintenu en détention jusqu'au 5 septembre - La Libre
Source : lalibre.be
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Qu'une partie de la gauche ne réalise pas l'importance idéologique de mettre l'écologie au cœur de son programme est déjà scandaleux (aucun bonheur possible sur une Terre détruite) mais ne pas reconnaître l'intérêt stratégique condamne, non seulement à ne pas aller dans la direction optimale, mais à se priver du potentiel révolutionnaire de l'écologie. La défense de l'environnement et la lutte contre le dérèglement climatique sont les enjeux majeurs du XXIème siècle, ainsi, ils sont suivis de près internationalement et massivement tout en étant appuyé par un consensus scientifique qui confirment la nécessité d'une transformation radicale de la société au vu de l'urgence, les militantes et militants écologistes (qui de plus sont déjà habitué.e.s de l'action directe, concrète et efficace) associent déjà leur lutte à celles du reste de la gauche, le chemin est pavé devant nous, l'occasion de mettre en place la justice sociale, la fin de toutes les discriminations, la communauté, l'autogestion, la fin du capitalisme dans l'esprit de respect du vivant est là. Qu'attendent les responsables, qu'attendent les intellectuels de gauche, qu'attend la base militante pour la saisir ?
Il faut sonner la fin du dogmatisme, enterrer pour de bon le culte du travail et de la production. L'idéal n'est plus de s'intoxiquer collectivement dans les fumées d'usine pour l'État, l'idéal, c'est danser pieds nus dans une prairie verdoyante au bonheur du Vivant !
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Avec la COP29, l'ONU pourrait enfin proposer une régulation stricte des crédits carbone
Proposés lors de la COP21 avec les Accords de Paris, les crédits carbone peinent encore à trouver grâce aux yeux des scientifiques et des militants écologiste
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Paris le 13 juin 2024.
Face à face entre des militants pro-palestiniens et des membres du collectif "nous vivrons"à proximité du siège du parti écologiste, où se déroulent les négociations entre les différents partis de gauche, écologistes, socialistes, insoumis et communistes en vue de faire un front commun pour contrer le rassemblement national.
Le collectif nous vivrons reproche aux insoumis d'avoir ignoré le pogrom mené par le Hamas le 7 octobre 2023. Depuis le 7 octobre les actes antisémites en France ont augmenté de 1000% d'après Olivier Klein, délégué interministériel à la lutte contre l'antisémitisme et la haine anti-LGBT.
"C'est malheureusement le reflet de la réalité, de cette augmentation des actes antisémites qu'ils subissent, que ça soit une moquerie, une raillerie, un acte violent", détaille Olivier Klein. Il appelle à "lutter contre les préjugés, dès l'école". "Rien ne doit mettre en danger nos concitoyens de confession juive, ce qui se passe à Gaza n'est pas de la responsabilité de nos concitoyens de confession juive et on ne doit pas les interroger sur cette situation", assure-t-il. Depuis le 7 octobre, "c'est 1 000% d'augmentation des actes antisémites dans notre pays", déplore le délégué interministériel. "C'est toute la société qui doit dire non", conclut-il sur France info le 6 mai 2024.
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