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Estimation de la valeur écologique d'un milieu - Partie 1
Marais Réal D.-Carbonneau
(Google Earth, s.d.) Localisation Région: Estrie Municipalité: Sherbrooke Adresse: Marais Réal D.-Carbonneau, Rue Lévesque, Sherbrooke, QC J1E 1M4
Superficie :
Taille: 271,326.28 m² Macro, meso ou micro? Fragmentation de l’habitat: Rue Saint-François nord coupe la rivière Saint-François du marais.
Maturité et diversité de la flore:
Jeune ou vieille forêt? Jeune forêt Conifères, feuillus, mixte? Mixte, majoritairement feuillus Strates présentes? Arborescente, arbustive, herbacée, muscinale et litière.
“Cet important écosystème, dont la superficie totalise environ 40 hectares, renferme une faune et une flore très diversifiées. Plus de 50 espèces d’arbres et arbustes comme le chêne rouge et le frêne d’Amérique, de même que plus de 15 espèces d’arbres et arbustes fruitiers ont été recensées.” (Marais Réal-D. Carbonneau, 2024)
Présence des décomposeurs? Pas en ce moment.
Présence de milieux aquatiques:
Marais et bande riveraine présente.
Diversité faunique:
Présence de poissons, insectes, amphibiens, reptiles, oiseaux ou mammifères? “Quant à la faune, elle se compose principalement d’invertébrés, d’amphibiens, de reptiles, d’une grande quantité d’oiseaux et plus de 15 espèces de mammifères y ont été répertoriées.” (Marais Réal-D. Carbonneau, 2024)
Présence des consommateurs primaires, secondaires, tertiaires? Voici certains oiseaux observés, selon la Société de Loisir ornithologique de l'Estrie (SLOE): Héron vert, Urubu à tête rouge, Canard souchet, Sarcelle d’hiver, Balbuzard pêcheur, Épervier brun, Buse à queue rousse, Aigle royal, Faucon émerillon, Faucon pèlerin, Râle de Virginie, Marouette de Caroline, Gallinule poule d’eau, Martinet, Bruant de Lincoln, Quiscale rouilleux, etc. (Marais Réal-D. Carbonneau, 2024)
Facteurs abiotiques:
Topographie: Plat Sol: Chemins en terre, sentier sur pilotis Lumière: Présente en sentier autour du marais, moins d’arbres que dans le boisé. Vent: Variable selon l’endroit. Terre: Milieu humide
Perturbations anthropiques:
Présence de l’humain, polluants ou autres conséquences? Présence touristique et récréationnelle. Endroit protégé par la ville de Sherbrooke. Pollution sonore et de l’air, route à proximité.
Le marais a été formé suite à du remblayage et à la construction d’une certaine industrie qui a bloqué un ruisseau. Dès 1995, l’aménagement du marais a été effectué dans le but de préserver celui-ci. (Marais Réal-D. Carbonneau, 2024)
--- Sources Google Earth. (n.d.). https://earth.google.com/ Marais Réal-D. Carbonneau Sentier Observation. (2024). https://www.maraiscarbonneau.com/fr/accueil/index.shtml
Partie 2
Documentation des photos hivernales - 12 mars 2024
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là, étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là. Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'éclaire et me nuit.
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L’air est frais, le fond de l’air humide, le « fond de l’air » : étrange expression…
C’est un matin sans soleil et d’une grande clarté, avec des nuages pâles et immobiles, pâles et immobiles comme moi probablement.
J’ai dans la tête un champ de fleurs où tu m’avais conduite, je n’en avais jamais vu de tel. Nous nous sommes arrêtés, nous avons contemplé le cadeau, inespéré, éphémère, radieux comme toi probablement.
J’ai dans la tête une forêt clairsemée, sur les hauteurs d’un plateau venté. Des troncs noirs et nus, comme calcinés, dressés dans un bout d’immensité. Nous avons marché, côte à côte, dans un silence recueilli et attentif, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une route qui défile au milieu des bois et des prés, de temps en temps une buse s’envole et croise notre trajectoire, c’est à qui la montrera à l’autre. On suit son vol ample, majestueux et solitaire, comme toi probablement.
J’ai dans la tête une barque qui grince, un fleuve calme et profond, un air humide et frais, les rames plongent et remontent, le clapotis est doux, léger et limpide, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une danse à tes côtés, nous sommes légers, l’air nous porte, nous élève, nous croisons les oiseaux, nous avançons sans effort, juste un peu moins vite qu’eux, ils restent à distance mais ils ne s’effarouchent pas, le haut air sent vif comme une terre lavée par la pluie et il est accueillant, tu poses ta main dans mon dos et tu m’apprends à voler.
Le poids de la brindille,
Extrait du récit "QUARANTE JOURS"
Carole Dailly.
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Le corps
La découverte marqua les esprits dans la région.
Jamais un pauvre vieux n’aurait pensé trouver ce panier au milieu de la forêt. Il se promenait pour cueillir des champignons et il découvre un panier contenant quatre bras. En bon citoyen, il prévint la gendarmerie qui enquêta sans trouver la moindre trace de sang, ni le reste des corps.
Trois jours plus tard, c’était un couple en randonnée qui tomba nez à nez avec deux nouvelles paires de bras dans un sac. Dès lors, les médias s’empressèrent d’alerter de l’existence d’un tueur en série dans le coin. Ce fut la panique. Surtout qu’on trouva six autres bras dans une clairière en forêt. Et aucun corps, aucun cadavre pour identifier leurs propriétaires, aucun signalement de disparition ; aucune piste sur ces sept morts pour aider à retrouver le criminel.
En raison de mon expérience, et de la connaissance de la région, j’avais été appelé pour diriger l’enquête. C’est rare qu’un policier de la criminelle soit appelé sur une enquête de la gendarmerie. Toutefois, je ne m’attendais pas à me retrouver avec une enquête aussi compliquée.
Le lendemain de mon arrivée, j’ai demandé à lire les résultats des autopsies. Et jamais je n’aurais pensé lire ce que j’avais lu. J’appelai le légiste qui confirma ses examens, signalant qu’il les avait recommencés trois fois avant de donner ses conclusions. Les bras avaient les mêmes empreintes, le même ADN et ont été arrachés du vivant des victimes.
Sauf erreur, dit le médecin, ce sont des clones.
Le clonage humain n’ayant jamais été réalisé, je ne voyais pas par où enquêter. Je m’intéressai aux professeurs, scientifiques du coin. Cependant, pourquoi abandonnerait-il son travail au milieu de la forêt ? J’enquêtai donc dans ce monde, sans obtenir d’indice permettant d’avancer. Il existait bien une sorte de savant fou, mais il n’avait rien à voir avec la médecine. Il ne faisait que construire une machine à remonter dans le temps.
Trois jours plus tard, je fus appelé en forêt. Nous avions enfin notre premier suspect. Quand j’arrivai sur les lieux, je pensais rencontrer un schizophrène ou une sorte de malade à l’apparence tordue. Mais, c’était un jeune homme d’une trentaine d’années. Il était calme, respectueux avec les collègues. On me raconta qu’il avait même tenté de rassurer la femme qui l’avait dénoncée. Elle se promenait avec son chien et l’a croisé alors qu’il transportait un panier contenant deux bras.
Le légiste présent, confirma immédiatement que les empreintes correspondaient aux autres bras. Ses mains gantées récupérèrent le panier. Il passa devant le tueur qui souriait maladroitement.
Et le corps ? Vous avez fait quoi du corps ? demanda-t-il.
Le prisonnier, encerclé par deux agents, ne répondit pas. Il se limitait à sourire poliment, comme s’il avait entendu une phrase choquante mais il voulait rester courtois.
Une heure plus tard, nous étions dans un bureau servant de salle d’interrogatoire. Il était assis, le poignet gauche menotté à la chaise. Il était toujours calme. Je le dévisageai avant de m’installer en face. Je posai le dossier de photos sur la table et commençai l’audition. Son casier était vierge, il n’était pas connu pour des actes de délinquance. Je n’avais rien contre lui en dehors de s’être promené avec une paire de bras dans un panier. Il m’écouta, je laissai passer un long silence en espérant qu’il réagirait.
Qui étaient ces gens ? Où sont les corps ? questionnai-je. Ils ont certainement de la famille qui aimerait savoir ce qu’ils sont devenus. Ils voudraient des réponses.
Il respira profondément et se mit à rire. Il m’observait avec des yeux humides. Je sentais qu’il était prêt à tout avouer. D’ailleurs, il n’avait rien d’un dur-à-cuir. Il n’avait rien d’un tueur en série habituel.
Où sont les corps ? répétai-je en montrant les photos des bras.
Ici, répondit-il. Il est ici.
Je ne m’attendais pas à une réponse pareille. Pourtant je lisais de la sincérité dans son regard de plus en plus humide. Il allait pleurer. Mais tout à coup, il inspira fortement retenant son envie de sangloter. Il regarda le plafond et se lança dans une incroyable plaidoirie :
Depuis quelques mois, il m’arrive quelque-chose de bizarre. Je ne sais pas à qui en parler et je ne sais pas comment vous allez le prendre. Ces bras sont les miens. Je perds mes bras dès qu’un effort devient trop dur. J’allais en forêt pour les enterrer parce que je ne savais pas quoi faire de tous mes bras en putréfaction. Ça chlingue un corps, surtout quand vous habitez en appartement.
Vous me dites qu’il existe d’autres bras enterrés ? Donc d’autres corps ?
Vous ne m’écoutez pas, dit-il. Ce sont mes bras ! Je les perds dès que je fais un effort surhumain.
Tu te fous de ma gueule ! criai-je
Il bondit tout-à-coup de sa chaise, me surprenant. Je me relevai pensant être attaqué. Il me regarda, sourit et d’un geste brutal, il tira sur son bras menotté. Je reculai d’un pas, abasourdi en découvrant le bras tomber sur le sol. Il n’y avait aucune goutte de sang. Il serra les dents et dit :
Vous comprenez maintenant ? Affirma-t-il.
Je réagis en appelant des secours. Les gendarmes regardèrent avec un air médusé le suspect qui sortit tranquillement du bureau avec un bras en moins. Il refusa qu’on l’aide, mais réclama un verre d’eau. Les pompiers l’emmenèrent à l’hôpital pendant que j’observai le bras longeant la chaise. Cet enfoiré avait eu le temps de faire un doigt d’honneur.
Lorsque j’entrai dans sa chambre surveillée par un gendarme, je fus stupéfait de voir que son bras avait repoussé. Il a fallu trois jours pour qu’il retrouve son membre. Il n’a jamais su me dire pourquoi cela lui arrive. Il sait juste qu’il peut perdre ses bras s’il ne fait pas attention. Il expliqua qu’il avait été obligé d’abandonner les paires de bras trouvées par peur d’être vue. Durant ces moments, les promeneurs étaient trop proches de lui. J’ai trouvé son attitude un peu stupide. Mais qu’aurai-je fait à sa place si mes membres se détachaient et repoussaient comme une queue de lézard ?
Je me décidai de relâcher le corps des membres trouvés. Par la suite, j’ai appris qu’il avait été contacté par des médecins et des scientifiques ainsi que par l’armée. Et depuis, il parait qu’on a fait des progrès en médecine.
Alex@r60 – août 2023
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La montée d'une colline
Il était une fois la montée d’une colline. Deux petites filles rentrent à leur maison, elles se tiennent par la main. C’est la nuit, elles n’y voient rien. Dans le noir, elles entendent le crapaud qui coasse dans son étang, la branche qui se courbe sous le vent, son souffle qui se perd entre les pierres, leurs pas qui s’enfoncent dans la terre. Il a plu la veille et elles ont froid. Leur cou est enfoui dans leurs écharpes qui couvrent tout leur visage, le nez emmitouflé, rouge malgré tout, laisse une goutte couler. Des yeux humides tentent de percevoir ce qui se cache dans le noir. L’une croit aux sorcières, aux vampires et aux démons. Les monstres de toutes ces histoires racontées dans les livres, elle les entend, les pressent au milieu des ombres. L’autre lui dit que tout ça ne vient que de son imagination. Tout ce qu’elle entend ce n’est que le vent, des bêtes aussi peut-être, rien de méchant. Un sanglier ou un coyote, qui sait ? Ça ne l’étonnerait pas d’en croiser. Un sanglier ?! Sa sœur a peur, ce n’est pas drôle, elle n’a pas envie de plaisanter. L’autre sourit, resserre son bras autour du sien, tente de la rassurer. Ne t’en fais pas, on est bientôt arrivées. Allez dépêchons-nous, maman nous attend. Tout là-haut surgit un coup de tonnerre. Elles pressent le pas, elles accélèrent. Mais les deux petites filles n’arriveront jamais à leur maison.
Il était une fois la montée d’une colline. Deux petites filles avancent main dans la main. C'est la nuit, elles n’y voient rien. Dans le noir, quelqu’un les guette. Pas de sorcière, pas de vampire, pas de démon sur leur chemin, ce monstre là est bien humain.
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Photo
Diamond queen 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Enfin, la fritillaire dans son milieu ! Cette petite fleur aime les prairies humides, ce qui est top pour les ambiances lumineuses, un peu moins pour les pantalons de photographes 😂 🇬🇧 At last, the fritillary in its environment ! This little flower loves the wet meadows, which is great for the light atmospheres, a little less for photographers' pants 😂 https://ift.tt/Xl3Y2JZ
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brouillard brouillé de gouttes
notre histoire demeure brûlante
barrons les ratures et les doutes
cet amour rude riche d’épouvantes
m’enivre à la lisière d’une étrange route
mes pauvres rêveries fallacieuses
intransigeantes bien que délicates
dans la ville fantôme pas un cat
fumée toxique dépouille l’innocence
ô feu sacré de confiance consumée
t’aimer c’était apprendre à voler
souvenirs brouillons noirs et flous
les rues des villes vidées de saveurs
vais je prendre le TER par le dessous
la brume œil humide mon héroïne
trônent toujours les mégots fumant
le train déraille et file à l’envers
bras ballants sous une triste averse
l’anesthésie de ce vide éternelle
les yeux fermés quand je traverse
j’y ai cru j’y ai cru qu’importe l’enfer
tire moi en hauteur c’est le décollage
nous voilà frôler la terre de l’éther
je rêve du contour de tes lèvres
je crois encore à nos élévations
les hivers les printemps les siècles d’or
allongés sur le sol les hommes en peine
opération miraculeuse du cœur et du corps
qu’importe les crépuscules les aurores
je tiens ta main et tout survient si vite
qu’importe l’heure tu ornes mon décor
autour de mon être chaque nuit tu gravites
l’air s’avère soudainement tranquille et doux
les oiseaux s’aiment et les biches sont sauvées
quand traîne ton visage au milieu de mon cou
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Photo
Discovering new plants
🇫🇷 Vous me croyez si je vous dit que cette photo a été prise au milieu d'une colline provençale ? Certains vallons de cet environnement sinon très sec peuvent devenir très humides et denses ! Et on dirais que notre modèle a trouvé des plantes qu'elle ne peut trouver nulle part d'autre.
Que pensez-vous qu'elle va préparer avec ?
Modèle : La Panthère Noire Photographie -- 🌍 Would you believe that this photo was shot in the middle of a mediteranean hill ? Some places in this otherwise extremely dry environement can become extremely lush ! And it looks like this lady finds plants in here that can be found nowhere else. What do you think she'll prepare with these plants ? Model : La Panthère Noire Photographie
Posted using PostyBirb
#fantasyphotography#forestphotography#portraitphotography#portrait#forest#fantasy#druid#PhotoDeFantasy#PhotoDorestière#PhotoDePortrait#Portrait#forêt#druide
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26. Tout au milieu des étoiles
L’herbe irrite ma peau, griffures qui remonte le long de mes jambes, sous ma nuque, multitudes de baisers brûlants du sol sous mon corps. J’observe l’immensité entre les étoiles depuis une minuscule enclave perdue dans le cosmos. Tout au milieu des étoiles – ou légèrement décalée d’un côté plutôt, sur une branche secondaire d’une galaxie parmi d’autres. Lorsque j’écarquille les yeux, j’ai l’impression de pouvoir percevoir quelques entre les étoiles, un mirage.
Je repense au fait que je suis allongée à la surface d’une boule de métal et de roches, en dérive autour au milieu d’un espace que mon esprit ne peut qu’à peine percevoir. Entre ces deux étoiles, distantes d’à peine dix centimètres dans mon horizon, traversée d’un avion solitaire, il y a plus de kilomètres que mes pieds ne peuvent me porter en une vie.
J’ai l’impression de pouvoir sentir la rotation de la Terre, son long oscillement, sous ma colonne vertébrale, de me laisser porter tout au milieu des étoiles. Un road-trip au long court. Nous sommes perdus dans l’univers, même pas au milieu. Dans un univers dont nous ne pourrons jamais observer que 10-24 de la surface. sans parler de la profondeur. Une erreur mathématique que notre présence ici, que ma présence là, dans l’herbe humide et les bruits de la nuit.
Je repense au fait que dans les trois minutes après le Big Bang, mon existence s’est mise en place. Trois minutes pour préparer la venue de l’oiseau qui fait bouger les feuilles et des étoiles qui agonisent dans le ciel, trois minutes pour préparer mes pensées et celles de mon chat. Je repense à cet enchaînement invraisemblable, inconcevable, une suite d’erreur d’une précision redoutable qui m’a permis d’être là, et que tout est en germe depuis toujours. Je pense qu’il n’y a pas de hasard, pas à grande échelle et que l’indifférence des étoiles est en réalité une accolade dans l’univers. Tout les ingrédients pour créer la vie et la conscience ont été créé des milliards d’années avant que la Terre existe. Il n’y a aucun hasard dans le fait qu’au milieu des étoiles, je sois réconfortée de leur caractère inconcevable, à mes ancêtres.
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18/11 (oui, on est à la bourre, on n'avait pas de réseau)
Cest dans la pluie que la journée commence, continue, et se termine. Après avoir attendu 10h sous la tente dans l'espoir que les bruits de tambour s'arrêtent, c'est avec désespoir que nous nous resignons à plier valise sous l'eau. La protection de tente, fort intelligemment rangée à l'abri hier, est sèche... ce qui nous sera utile environ 10secondes, le temps de rentrer en contact avec la toile trempée. Urf.
Après un arrêt en station service, Dr Rathatton remarque quelque chose d'étrange sur notre pare choc arrière : on découvre avec effarement que le pot d'échappement est remonté de 20 cm, s'est enfoncé dans le plastique, et qu'il a joyeusement fait fondre tout ça en fusionnant avec.. Après avoir mis le feu aux fesses de Patochimbo, c'est donc un très gentil garagiste qui pratique un toucher rectal tout en délicatesse avec une barre en metal pour le remettre dans l'axe ! Bon, fort heureusement, les degats sont juste esthétiques, il nous confirme que tout va bien :)
Nous essayons vainement de profiter de la vue en allant dans le petit village de Puerto Cisnes qui donne sur le fjord, dont les nuages bas nous laissent entrevoir les 20 premiers mètres d'eau. C'est donc 3 aventuriers résignés et humides qui, après avoir mangé un sandwich sous un auvent en bord de mer sous les yeux amusés des locaux, reprennent la route vers Puyuhuapi.
En plein milieu d'une dépression aussi mentale qu'atmospherique, on passera en bonus toute la journée à insérer des chiffons dans les portes de Patochimbo et à les essorer par la fenêtre tous les quarts d'heure parceque ce van est une PASSOIRE. C'est tellement rageant de ne pas pouvoir profiter plus des vues de la carretera australe, on sent vraiment le potentiel !
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By the seashore
While re-reading chapter 30 of my FE3H fanfic before publishing it, I found those two scenes that I liked very much.
Le grand bac les amena d’une rive à l’autre. Massées au milieu d’une foule compacte, elles contemplèrent, ébahies, l’infini de la mer. Maeve goutta la saveur du sel sur ses lèvres, l’odeur singulière du vent. Elle plongea ses doigts dans l’onde, la sentit couler entre ses phalanges au fil des puissantes avancées de l’embarcation. Des vagues aux délicates crêtes blanches semblables aux broderies de Vigdis se brisaient contre la coque.
The boat took them from one shore to the other. Crowded together, they gazed in amazement at the infinity of the sea. Maeve tasted the salt on her lips and the unique scent of the wind. She plunged her fingers into the waves, feeling them flow between her fingers as the boat moved forward. Waves with delicate white crests similar to Vigdis's embroidery broke against the hull.
La mer était…immense. Rien de comparable aux lacs et aux sources où elle s’était baignée. Gladys comprenait pourquoi Vigdis la représentait sans se lasser et pourquoi sa troupe avait choisi ce nom. Cette splendeur élevait l’âme. Toutes deux retirèrent leurs chaussures et s’aventurèrent dans l’eau. La température était convenable, encore un peu fraîche mais moins que l’eau vivifiante, même en été, dont elles avaient l’habitude. Le ressac déposa un baiser humide sur leurs chevilles. Le soir tomberait bientôt et l’eau deviendrait vin, puis encre. Cette métamorphose n’enthousiasmait point Gladys.
The sea was… immense. Nothing like the lakes and springs she had bathed in. Gladys understood why Vigdis never tired of depicting it and why her troupe had chosen that name. This splendour lifted the soul. They both took off their shoes and ventured into the water. The temperature was just right, still a little cool but less than the invigorating water they were used to, even in summer. The surf deposited a wet kiss on their ankles. Evening would soon fall and the water would become wine, then ink. Gladys was not enthusiastic about this metamorphosis.
#écriture#fire emblem three houses#fe3h#fe16#fe3h fanfic#oc creators#I'm going to keep talking about this story#and no one will stop me#fe3h oc#of course#the sea!#my ocs#writeblr
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J'ai croisé avec le gamin une corneille assise au milieu d'une route.
Sans blessure apparente le petit corvidé n'essaie pas de s'enfuir. Je mets mes gants, ceux que je garde dans la voiture en cas de pépin, je prends l'oiseau, le dépose dans une boite dans le coffre, et on rentre. J'essaie de lui donner à boire et à manger, mais la petite créature peine à respirer. Je la laisse tranquille sur ma pelouse. 30 minutes plus tard, elle n'est plus. Le messager du vagabond à rendu l'âme.
Je vais dans le coffre, je sors la pelle d'infantrie et je creuse dans un coin du jardin sans herbe. J'y dépose la carcasse et la regarde droit dans l'oeil, celui-ci encore humide mais déjà vitreux. Son expression me paraît triste. A défaut de bucher funéraire, petite bougie pour l'animal que j'ai nommé Muninn. Celui qui ne revient pas.
Demain je déposerait une grosse pierre sur la terre meuble, ou en tout cas quelque chose pour empêcher les charognards de le trouver.
Et dans environ un an j'aurai des petits ossements à blanchir.
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" A Trip To Paris "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Chris Redfield
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : "A mes copains du S.T.A.R.S.,
Comment ça se passe au commissariat ? Vous tenez le coup face au vieux Irons ? Moi, je reviens tout juste d'un rencard avec un avion de chasse. Je vous laisse imaginer ce qui s'est passé sous son grand parapluie.
L'Europe, c'est génial. Un mois ne suffit pas pour avoir ne serait-ce qu'un aperçu. Je vais peut-être prolonger mes vacances de six mois.
Barry, n'envisage même pas de me rejoindre. Tu voudrais pas faire peur aux jolies filles, hein ? Alors laisse-les moi.
Jill, si Claire essaie de te contacter, dis-lui que je vais bien."
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : rien
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟗𝟗𝟔
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Déjà un mois que nous avions atterri en Europe, plus précisément en France. C'était des vacances bien méritées, autant pour Chris que moi, une occasion en or d'oublier nos travails respectifs et de nous ressourcer l'un auprès de l'autre. Qu'est-ce que ça nous faisait du bien.. Jusqu'à présent, tout se déroulait à merveille. Je n'aurais pas pu espérer mieux.
Ce genre de pensées inondaient mon esprit depuis ces derniers jours. Parfois, j'avais cette redoutable impression que notre situation était trop belle pour être vraie. Je m'en réjouissais.
« Chris, chéri, tu es là ? »
Je sortis de la salle de bain de notre hôtel après y avoir passé une petite heure dedans, une serviette reposait dans mes mains, ma chevelure trempée était secouée dans tous les sens par celles-ci. J'étais nue aussi. L'air frais dans la chambre me fit immédiatement frissonner, contrastant avec la fournaise qu'était la salle de bain.
« Il fait une de ces chaleurs sous la douche, » m'exaspérai-je. « T'es sûr qu'on peut pas— Chris ? »
Chris était assis sur le canapé de la chambre, courbé sur la table basse. Le fait qu'il soit recroquevillé sur lui-même me surprit.
« Mon amour, qu'est-ce que tu fais ? »
Chris releva la tête, il me vit avancer jusqu'à lui, je cherchai à voir ce qu'il faisait ⸺un grand pot de fleurs posé au milieu me gênait la vue⸺. Le sourire qui prit place sur ses lèvres me rendit embarrassée. Ça avait été immédiat, à peine m'avait-il remarquée que son visage s'était illuminé, comme un enfant devant un sapin de Noël. Je laissai ma serviette se coller à ma poitrine, elle tombait de manière à cacher mes seins et mon entrejambe.
« J'écris une lettre. »
Sa déclaration me prit de court. J'allais jusqu'à douter de lui, cependant, je ne pus réfuter quoi que ce soit lorsque je le vis me tendre un bout de papier sous le nez.
« À qui ? Claire ? »
J'enroulai la serviette autour de mon corps, me considérant assez habillée, je contournai la table basse et m'assis juste à côté de mon copain. Ma curiosité avait été assez titillée comme ça. Et si Chris le désirait, je me ferais un plaisir de lire sa petite lettre. Le bout de papier pressé entre mes doigts, je le lis.
« Ooh, c'est pour tes collègues. »
Ma remarque le fit sourire, Chris passa son bras autour de mes épaules.
« Qu'est-ce que.. »
Je lui jetai un coup d'œil sévère.
« C'est moi "l'avion de chasse" ? Tu te fiches de moi ? »
« Quoi ? »
Mes yeux passèrent au peigne fin le premier paragraphe. Je le relis avec ardeur.
« Chris, je vais t'étriper. »
Au lieu de s'expliquer, de s'excuser, de se mettre à genoux et de me supplier de le pardonner, Chris déposa une traînée de baisers sur ma peau. Elle était encore humide. Quelques gouttes d'eau avaient perlé, elles coulaient de ma mâchoire jusqu'à mes épaules, mon copain se chargea de les récolter.
« Je mens pas, pourtant. » me susurra-t-il toujours en m'embrassant. « J'ai bel et bien eu un rencard avec ce super avion de chasse vachement canon. Le fait que tu sois mon avion de chasse y change rien. »
Ses lèvres baisèrent ma gorge.
« Je— Hum, je t'emmerde. »
Je penchai la tête de l'autre côté pour lui laisser plus d'espace. Chris en profita, il déplaçait ma chevelure trempée sur le côté et se jetait sur moi. Je fis retomber sa lettre sur mes cuisses, je m'y accrochai, mon cœur tambourinait dans ma poitrine. Sa chaleur irradiait. Elle me brûlait l'épiderme. Sentir ses immenses mains me toucher les mollets afin de me maintenir en place me rendait dingue. Chris déplaçait mes jambes pour qu'elles puissent se retrouver sur ses cuisses, je finissais de profil contre lui. Il passait ensuite son bras autour de ma taille, moi, mes bras autour de sa nuque.
Finalement, nos lèvres se rencontrèrent.
J'embrassai Chris à répétition. Je l'embrassai, me reculai, l'embrassai à nouveau et continuai ce cercle vicieux jusqu'à l'entendre se mettre à rire. Mes yeux s'ouvrirent tandis que mes mains attrapèrent son visage en coupe. Mes paumes plaquées sur ses joues, je toisais avec grande attention mon petit ami.
« Pas très flatteuse quand même, ta lettre. » maugréai-je.
Il déposa son front contre le mien.
« Tu veux que je la réécrive ? »
« Non, c'est bon. »
Je baisai sa joue.
« Je trouve ça mignon. Je savais pas que toi et tes collègues vous envoyiez des lettres, ça dure depuis longtemps ? »
« Pas spécialement. »
Chris serra ma cuisse de sa main.
« Je voulais leur donner des nouvelles, ça me fait bizarre de plus être sur le terrain, de plus m'occuper de la paperasse. »
« Mhh, pareil. »
Chris détourna le visage pour embrasser le derrière de mon oreille.
« Pas que ça me déplaise. » il grogna. « Je t'ai enfin pour moi tout seul, ça, c'est des vacances. »
Ses propos me firent glousser.
Je serrai le haut de ma serviette avec mes deux mains, me sentant soudainement gênée par le fait que nous étions aussi proches l'un de l'autre. Chris était fantastique. Il n'échouait jamais à me faire rajeunir, chaque instant passé à ses côtés, je me sentais adolescente. Avec les fameux papillons dans le ventre, les gloussements frôlant le stupide et ce sentiment d'embarras qui me submergeait sans cesse lorsqu'il passait trop de temps à me regarder dans les yeux. C'était quelque chose qui n'avait jamais changé, pas même avec les années.
Chris mordilla mon lobe d'oreille. Je sursautai.
« T'es bouillante, bordel. »
Mon corps fut parcouru de frissons.
L'envie de me justifier me força à ouvrir la bouche, mais la respiration saccadée de Chris contre ma mâchoire me rendit muette.
Je ne répondais plus de rien. Je ne pouvais que me blottir contre lui et humer. J'étais bien là. Recroquevillée dans les bras de mon petit-ami, à l'autre bout du monde, c'était comme si l'univers n'appartenait qu'à nous. Et le sentir me toucher, me goûter m'aimer, voilà des choses qui n'avaient aucun prix. Tant leur valeur était inestimable.
J'aurais pu mourir ici, j'aurais tout de même été la femme la plus heureuse du monde.
#chris redfield#chris resident evil#chris redfeild x reader#resident evil#resident evil death island#chris redfield × you#chris redfield × reader
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Zinat
Jour 1 : jeudi
Assise dans l’avion en direction du Sénégal, j’ai encore du mal à réaliser la folle aventure dans laquelle je me suis lancée en rejoignant YAKA. Je rattrape mon sommeil dans l’avion car les jours avant le départ étaient assez sportifs. On arrive à l’aéroport de Diass, en sortant la chaleur humide du pays nous attrape et ne nous lâche pas, jusqu’à ce qu’on se retrouve à rouler dans le minibus qui laisse le vent venir nous caresser le visage. Après s’être arrêté pour un petit encas, on rejoint l’école à Mbour pour cette première nuit au Sénégal où on rencontre nos collègues dakarois.
Jour 2 : vendredi
On se réveille dans la bonne ambiance entre playbacks, danse et jeux de ballon, puis direction le village d’Aga Biram où nous allons effectuer nos trois semaines d’immersion. Notre minibus arrive dans le village, on est accueilli par les jeunes et les enfants du village, tous avec un énorme sourire et des visages rayonnants. Pendant le temps d’attente, on échange comme on peut avec les enfants et on joue à des jeux avec eux. On rencontre ensuite nos jumeaux qui nous accompagnent dans nos familles d’accueil. Je découvre mon nouveau chez moi, et les nouveaux membres de ma famille. Les échanges sont très chaleureux.
Jour 3 : samedi
Après ces quelques premières heures passées au sein de ma famille, je commence petit à petit à comprendre les us et coutumes du quotidien. Première matinée de travail, on construit le planning de la semaine, qui comprend des temps d’interconnaissance, des ateliers mais aussi des temps d’organisation et de bilan. Je m’étais portée volontaire pour lancer le premier atelier qui portait sur la valorisation de soi. Il s’est super bien passé, et c’était aussi un temps qui nous a permis d’apprendre à nous connaître plus en profondeur car on parlait de sujets plus profonds comme nos échecs et nos réussites. On a fini la journée en beauté avec un atelier danse avec les enfants du village, mené par deux lauréats dakarois.
Jour 4 : dimanche
A part le fait que je n’arrive toujours pas à finir les plats, je continue à apprendre à connaître ma famille et les villageois, tout en dépassant ma peur des insectes (je suis agréablement surprise par ma capacité à garder un tel sang-froid). Premier temps de la semaine dédié à la préparation de notre forum à Dakar. On réfléchit aux thématiques qui peuvent nous intéresser et on vote, avec les enfants qu’on a inclu dans le processus de manière plus ou moins improvisée. Il en ressort 4 thématiques qui vont guider tout le travail à venir : l’éducation, l’émigration clandestine, l’environnement et l’amour/la solidarité/la beauté. L’après-midi, nous avons effectué un jeu de piste avec des indices qui nous permettaient de trouver les familles des lauréats qui n’habitent pas dans notre hameau. Cette balade champêtre avec mes voisins était remplie de rencontres, chants, rires et fou rires, et s’est terminée sur un coucher de soleil en plein milieu des champs, ce fut mémorable.
Jour 5 : lundi
On commence la journée avec un ice-breaker comme souvent, puis on se dirige vers la salle de classe pour commencer le cours pratique de Serrere. Je repars un peu plus armée pour communiquer avec les villageois. Ensuite, on s’installe en cercle pour creuser les thématiques avec les villageois présents. On partage nos différents points de vue, l’échange était hyper riche et intéressant. Ça m’a tellement inspiré que j’ai réfléchi à un projet d’exposition qui permettrait de restituer notre travail sur ces thématiques et de partager au grand public les différents points de vue. L’après-midi on démarre par une réunion avec le comité des jeunes du village pour discuter des enjeux de l’ouverture de la boutique communautaire portée par les associations Samaane et YAKA. Nos prochaines étapes : dessiner les croquis pour la fresque de la boutique, faire les schémas puis peindre les façades, et préparer l’événement d’inauguration de la boutique.
Jour 6 : mardi
On commence la matinée avec la préparation du forum, on se répartit par groupe thématique de manière assez naturelle et équilibrée entre Français et Dakarois. On définit notre sujet et nos prochaines étapes pour le forum, puis on en discute en plénière. Ça fait plaisir de pouvoir se projeter un peu plus et d’entamer un travail de fond. L’après-midi, on se lance dans une séance bien sportive menée par un lauréat sénégalais qui est professeur d’EPS. On fait du renforcement musculaire tout en rythme avec la musique, puis du rugby et enfin, un bon match de foot avec les villageois qui se termine sur un beau coucher de soleil (mon équipe a gagné en plus hehe). I n o u b l i a b l e !
Jour 7 : mercredi
C’est le jour de la sortie à Saly. Réveil matinal pour un RDV à 6h30 afin de démarrer à temps en charrette. Première fois en charrette, on était installés avec une belle équipe pour le trajet. Bon, le cheval était fatigué, donc tout le monde nous a dépassés, mais on est arrivés à temps à Sandiara. Le trajet pour aller jusqu’à Saly était bien animé avec toutes sortes de chansons. J’étais très contente car mon jumeau Ngor est venu passer la journée avec nous. J’ai également pu échanger avec d’autres Sénégalais du comité de jeunes qui étaient venus avec nous. On a bien profité de la plage, mon jumeau m’a aussi appris à faire du thé (ici, on dit « tchayné »). On a aussi fait une petite choré tiktok avec quelques lauréats. On a ensuite mangé au restaurant, avant de revenir se poser à la plage. Avec certains, on s’est posés sur une terrasse et j’ai pris un jus d’orange pressé. Ça m’a fait beaucoup de bien car j’étais en manque de fruits frais. Enfin, le retour en charrette était très spécial : on rentrait en même temps que la nuit tombait, tout en faisant un petit bilan avec beaucoup de nostalgie déjà, puis on essayait de vivre le moment en pleine conscience.
Jour 8 : jeudi
Aujourd’hui, c’est full boutique, on doit dessiner les croquis choisis par le comité des jeunes (le mien en fait partie hihi) sur les façades de la boutique communautaire, puis les peindre. Il y avait soleil plein mais on a bien avancé. On continuera demain. Ensuite, j’ai fait mon point bilan avec ma référente qui m’a permis de prendre un peu de recul sur cette première semaine qui est passée très vite : je suis déjà très fière de moi, de la cohésion de notre équipe, du chemin parcouru, des défis relevés et j’ai très hâte de la suite !
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Des notes de tête délicates aux herbes d'agrumes aux notes finales chaudes de benjoin en passant par les notes moyennes profondes de bois de santal. La sensation d'être recouvert de poussière dans le vieux château illuminé par le clair de lune se transforme en un signe doux et se propage doucement et puissamment. Un parfum qui va au-delà des larmes pour affronter le destin et continuer à avancer.
Tête: Citron, Bergamote, Romarin
Coeur : Lavandin, Jasmin, Muguet, Patchouly, Santal
Fond :Absolu de Mousse d'Arbre, Musc, Benjoin
De la note de tête humide à l'ozone à la dernière note de musc doux et doux en passant par la note de cœur florale blanche. Cyclamen et camélia qui fleurissent tranquillement au crépuscule. La transparence qui s'écoule doucement apporte un certain espoir dans l'obscurité profonde. Un parfum rempli d'un doux sourire, coloré par un cœur pur.
Tête :Bergamote, Cardamome, Note d'Ozone
Coeur : Jasmin, Cyclamen, Camélia
Fond : cèdre blanc, mousse de chêne, musc
De la note de tête au parfum de sauge piquante, à la note de coeur au géranium astringent, jusqu'à la dernière note à l'ambre fondant. La netteté fraîche qui se superpose à l'impression calme se transforme progressivement en une tendresse sans fin, et est doucement enveloppée dans une douce chaleur. Un parfum qui continue de protéger les êtres chers tout en poursuivant sa propre mission.
Tête :Citronnelle, Sauge, Basilic
Coeur : Néroli, Géranium, Violette
Fond : Café, Vétiver, Ambre, Cyprès, Musc
Des notes de tête de baies de genièvre très brillantes aux notes moyennes de lavande insaisissables aux dernières notes sombres de patchouli et de bois de santal. L'odeur arrogante et sèche bouillait violemment. C'est celui qui remplit la zone Terne .Un sentiment d'intimidation comme un couteau rouillé. Une fragrance capturée par la lumière cruelle et transpercée d'un signe vicieux.
HAUT :Citron, Gingembre, Genièvre / MILIEU : Rose, Muguet, Lavande / DERNIÈRE : bois de cèdre, bois de santal, ambre, musc, patchouli
Des notes de tête brillantes de bergamote aux notes moyennes noyées dans la douceur des bonbons à la cerise aux dernières notes sombres de patchouli et de bois de santal. Si le signe givré sans fond se répand de manière mêlée à une présence inquiétante, il ne sera plus possible de s'en échapper. Un parfum qui se prive de raison en étant ballotté par l'ombre.
HAUT :Bergamote, Coriandre, Note Verte
MILIEU : Bonbon Cerise, Ananas, Barbe À Papa
DERNIÈRE : Benjoin, Patchouly, Santal, Musc.
Encore une fois, ils sont tous visibles en suivant ce lien : http://www.primaniacs.com/dgrayman/index.html#chr03_01#=_=
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J5▪️Altenau - Sieber
15,0 km [106,8]▫️+390 m [+1 890]▫️19 °C
Hier soir, il pleuvait au dîner. Au petit déjeuner, il pleuvait encore. Heureusement, au partir, il ne pleuvait plus, mais il faisait quand même un peu frisquet (un petit et humide 12 degrés). Côté étape, ce n’est pas bien compliqué : on monte pendant six kilomètres puis on descend pendant neuf, avec comme direction tout droit plein sud.
Enfin, j’aurais plutôt dû écrire : on monte pendant six kilomètres au milieu des épicéas morts et des coupes sèches puis on descend pendant neuf parmi les épicéas morts car oui, c’est vraiment la cata ici. Enfin, pas pour tout le monde ! Les pics épeiches se régalent et les digitales pourpres pullulent, en bonnes pionnières des clairières acidophiles planitiaires-collinéennes, comme on dit dans les bonnes flores.
Pendant ce temps, au milieu de tout ce bois mort, j’ai trouvé moyen de choper une tique en allant faire une photo à la c.. et que vous ne verrez même pas devant une Hütte au bord du chemin qui n'avait comme seul intérêt de s’appeler Hubertus-Hütte et d’avoir ce nom écrit en bien grand au dessus de la porte. Bref, un petit kilomètre plus loin, on s’arrête pour boire un coup (le soleil est revenu) et, assis sur mon sac à dos, que sens-je ? Un truc qui dépasse sur le galbe glabre de mon mollet. Je pense à de la boue séchée mais étrangement ça ne part pas en passant la main. Je regarde et que vois-je ? Une petite tique famélique à l’abdomen tout plat et presque transparent. Ça fait longtemps qu’elle n’a rien mangé, la pauvre ! Mais mon doux attendrissement ne dure pas plus longtemps. Ni une, ni deux, je plonge dans mon sac à la recherche de mon couteau suisse qui possède, entre autres, une pince à épiler. J’entends déjà le chœur de nos lecteurs : « Non ! Non ! Pas une pince à épiler sinon la tête va rester et c’est la maladie de Lyme assurée ! ». Ouais, ouais, je sais, mais laissez-moi faire. Avec une précision d’horloger, je positionne la pince et avec une pression juste suffisante, j’extrais le petit parasite. Inspection visuelle. Oulala ! Une de ses pièces buccales est restée « et c’est la maladie de Lyme assurée !», ils me l’avaient bien dit ! Mais c’est oublier qu’en 1986, j’ai obtenu mon brevet de secouriste-charcutier. Je repars à l’assaut avec ma pince à épiler Victorinox et quelques minutes plus tard, je brandis triomphalement l’insidieux bout de tique. Non, ce n'est pas aujourd’hui que je fermerai boutique ! Puis je vide fiévreusement ma bouteille de Diaseptyl 0,5 % sur la plaie microscopique parce que si l’idée d’avoir la maladie de Lyme, ça m’use, celle d’attraper le tétanos, ça me tétanise !
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