#mel o'callaghan

[80smovies]

[mesillusionssousecstasy]

3:21 pm : L'installation de Mel O'Callaghan au Palais de Tokyo -  Paris, Février MMXVII. 

(© Sous Ecstasy) 

"To Hear with my eyes, 2017 - Divers objets symbolisent les stades nécessaires à l'accession à la transe extatique - une estrade traversée de ligne, un grand gong, un sistre (ancien instrument égyptien), un imposant tronc d'arbre calciné et de l'eau. Le composant principal étant l'espace sacré, je perçois le musée comme un lieu profane élevé au rang de sacré." "Les sculptures présentes dans cette salle ont été façonnées à la main et possèdent cette aura singulière, propre aux réalisations artisanales. Elles sont en outre nécessaire à une méthode d'accession à la "transe extatique", élaborée dans les années 1970 par l'anthropologue américaine Felicitas D. Goodman. Ces sculptures sont le déclencheur d'un principe naturel, accessible à tout un chacun et inspiré de postures relevées à l'occasion de rites ou de cérémonies, documentées sur des artefacts issus de cultures et d'époques variées.   Au cours de ce processus introspectif, les performeurs sont soumis à l'inconfort de certaines postures, mais également au pouvoir de ces objets. Leurs pulsations cardiaques, pression artérielle, de même que leur taux d'hormones dans le sang varient considérablement au cours de l'expérience, permettant d'accéder à un état modifié de conscience et, par là même, de percevoir une réalité alternative - qu'il s'agisse d'un voyage vers un monde tellurique ou de visions divinatoires. Pour Mel O'Callaghan, la confrontation aux oeuvres d'art, tout comme l'accès à des états modifiés de conscience sont des cheminements dans les replis cachés d'un labyrinthe mental : un labyrinthe duquel nous ressortons forcément transformés."

[theories-of]

Mel O'Callaghan

[silentseawolf]

Mel O’Callaghan - The Fall (2004)

[tom-isaacs]

Respire, respire - Mel O’Callaghan

“Centre of the Centre, Mel O'Callaghan's new major exhibition, traces the origins of life and its regenerative forces. The catalyst for this new body of work is one small mineral given to the artist by her grandfather, renowned mineralogist Albert Chapman. The mineral contains a small pocket of water, possibly millions of years old, which holds traces of the elemental forces responsible for all life on Earth. Inspired by the geophysical conditions and potentialities held within this primordial liquid, the artist invites the audience into a total experience. The film, sculptures and performance capture the circulatory motion of breath in response to extreme environments. During a three week mission in the Pacific, Mel O’Callaghan filmed hydrothermal vents in the depths of the ocean using the submersible Alvin with the support of the Woods Hole Oceanographic Institution. Using trance induction techniques, performers will also lead visitors through cyclical breathing, either through active participation or observation potentially triggering altered states of consciousness including ecstasy. Investigating the elemental template of life on Earth, the exhibition is a celebration of collective strength through resilience.”

[sandra-barre-blog]

En toute chose, au palais de Tokyo l'homme et l'objet discutent

Pour sa nouvelle saison En toute chose, Le Palais de Tokyo s'arrête sur le lien entre l'objet et l'homme. Quelle vie leur attribuons-nous, quels pouvoirs et formes leur confère-t-on ? Jusqu'au 8 mai 2017, il est question d'amour, d'épreuve du corps, de spiritualité et d'avenir de l'humanité : entre art et technique, les cœurs s'unissent !

Le Palais de Tokyo propose comme à son habitude, une programmation éclectique sur l'art en train de se faire. Si chaque artiste peut se comprendre de manière totalement autonome, ils se retrouvent autour d'une thématique centrale : celle de la relation de l'individu avec l'objet. Le performeur Abraham Poincheval éprouve le temps et les conditions corporelles en s'enfermant dans des lieux impénétrables, l'artiste Dorian Gaudin qui interroge la vie des machines à travers une installation animée, Mel O'Callaghan et Emmanuel Saulnier qui rendent à l'objet sa charge spirituelle, Taro Izumi qui voit la construction de l'homme comme support d'une hyper-humanisation et l'exposition collective Sous Le regard de machines pleines d'amour et de grâce qui pense le monde comme lien poétique entre la machine et l'homme.

G : Marie Lund, Raising the Vessel, 2015 et The Very White Marbles, 2015. Berlin, 2015. Courtesy Laura Bartlett Gallery, Croy Nielsen et Jose Garcia - D : Michael E. Smith, Untitled, 2016. Photo : Ladislav Zajac. Courtesy de l’artiste et KOW, Berlin

Au delà de l'art digital

Les machines sont partout. Elles se sont tant acclimatées à nos espaces qu'elles en deviennent presque invisibles. Prolongement de la main, le smartphone est devenu (pratiquement) inévitable. Le cinéma met en image nos imaginaires, et internet, le grand, l'immense internet, calcule nos amours, noue nos relations, détermine nos emplois et monnaie nos quotidiens. C'est cette omniprésence, cette influence au delà du digital même qu'ont tenté de mettre en lumière les artistes réunis dans Sous le regard de machines pleines d'amour et de grâce. Ce que l'on voit sans n'y être plus attentif est également le travail qu'expérimente la lauréate du prix du 61ème salon de Montrouge, Emmanuelle Lainé. Avec une installation en trompe l'œil, elle berne doucement et avec humour la véracité de l'œuvre d'art. Elle veille à reproduire la même intensité de l'expérience cinématographique en Le transposant dans les arts plastiques.

G : Dorian Gaudin, Aging Beauty, 2015. Photo: Romain Darnaud. Courtesy de l’artiste et Nathalie Karg Gallery (New York) - D : Mel O’Callaghan, Dangerous on-the-way, 2016. Courtesy de l’artiste et de la Galerie Allen (Paris) ; Belo-Galsterer (Lisbonne) et Kronenberg Wright (Sydney). Production SAM Art Projects

L'objet de l'homme, le monde comme réceptacle d'émotion

Le pouvoir que nous donnons aux objets est immense. Nous les façonnons pour placer en eux nos croyances, pour pâlir à nos peurs. Ils nous réconfortent et nous offrent d'incroyables pouvoirs. La vie cachées des objets, celle qu'ils vivent lorsque la lumière est éteinte et que les rideaux sont tirés est pensée par le plasticien français Dorian Gaudin. Il offre le théâtre vivant de ce que notre curiosité réclame depuis la petite enfance : des objets animés. Cette vie mystérieuse, inconnue, qu'il ne nous serait pas possible de cerner se retrouve dans le religieux. Tout l'espoir de notre sort est remis entre les mains d'instances invisibles. C'est sur ces questions du mysticisme et du rituel que travaille Mel O'Callaghan. À travers les objets que l'homme créé, il est capable de prouver les limites de son corps. La recherche de la transe est constante.

G : Taro Izumi, Tickled in a dream, (Protect bananas from pirates), Courtesy de l’artiste, Galerie GP&N Vallois (Paris) et Galerie Take Ninagawa, Photo : Aurélien Mole - D : Protect Banana © Taro Izumi

Le corps comme outils

La transition est parfaite. Du corps comme mystique à atteindre par l'objet chez Mel O'Callaghan, se lie la pratique d'Abraham Poincheval qui expose les vaisseaux qui lui ont permis ses performances. De l'épreuve du corps à la contemplation et la compréhension du monde, l'objet recherche les limites de l'être. C'est également ce que l'on peut appréhender dans le travail de Taro Izumi. L'artiste japonais travaille à partir de photographies du quotidien où le corps est mis à rude épreuve. Éprouvé, désarticulé, le squelette dans ces placements improbables constituent la matière première de ses installations. L'objet devient caricature, support de l'extra-ordinaire.

Vue de l’exposition d’Abraham Poincheval, Palais de Tokyo (03.02 – 08.05.2017). Courtesy de l’artiste et Galerie Semiose (Paris) Photo : Aurélien Mole

En toute chose propose un parcours reflétant, comme il est d'usage au Palais de Tokyo, toute l'étendue des questionnements qui transitent dans l'art contemporain. L'objet, partie inhérente de nos quotidiens, n'a pas fini de nous étonner, et si l'on ne comprend pas toujours d'emblée ce que nous racontent les artistes, ils continuent de nous interroger. 

C'est là toute la beauté du geste !

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En toute chose, Jusqu'au 8 mai 2017, Palais de Tokyo, 13 avenue du Président Wilson Plein tarif : 12€ / tarif réduit : 9€

A retrouver ici.

[whatdoyouneedtoday]

Mel O'Callaghan. #Paris #France #Europe #PalaisDeTokyo #museum #art #architecture #geometry #white #minimalist #aesthetic (à Palais de Tokyo)

[amaliejuddcacs]

This video isn't about the unconscious mind but its how I imagine the unconscious mind to be.

[80smovies]

[sujini123]

ΠG∇ ΔUS [1-3] Del Kathryn Barton: The Highway is a Disco [4-6] Louise Paramor: Palace of the Republic [7-9] Mel O'Callaghan: Ensemble [10] Our Knowing and Not Knowing: Helen Maudsley - #ngvaustralia #review #updatingblogsoon #ngv #exhibition #australia #melbourneartscene - #delkathrynbarton #thehighwayisadisco #motherofothernesseatme #🕷🌺👁 #louiseparamor #palaceoftherepublic #melocallaghan #ensemble #ourknowingandnotknowing helenmaudsley #ngv #fedsquare #melbourne (at National Gallery of Victoria)

[mesillusionssousecstasy]

3:22 pm : L'installation de Mel O'Callaghan au Palais de Tokyo -  Paris, Février MMXVII. 

(© Sous Ecstasy)

"To Hear with my eyes, 2017 - Divers objets symbolisent les stades nécessaires à l'accession à la transe extatique - une estrade traversée de ligne, un grand gong, un sistre (ancien instrument égyptien), un imposant tronc d'arbre calciné et de l'eau. Le composant principal étant l'espace sacré, je perçois le musée comme un lieu profane élevé au rang de sacré." "Les sculptures présentes dans cette salle ont été façonnées à la main et possèdent cette aura singulière, propre aux réalisations artisanales. Elles sont en outre nécessaire à une méthode d'accession à la "transe extatique", élaborée dans les années 1970 par l'anthropologue américaine Felicitas D. Goodman. Ces sculptures sont le déclencheur d'un principe naturel, accessible à tout un chacun et inspiré de postures relevées à l'occasion de rites ou de cérémonies, documentées sur des artefacts issus de cultures et d'époques variées.   Au cours de ce processus introspectif, les performeurs sont soumis à l'inconfort de certaines postures, mais également au pouvoir de ces objets. Leurs pulsations cardiaques, pression artérielle, de même que leur taux d'hormones dans le sang varient considérablement au cours de l'expérience, permettant d'accéder à un état modifié de conscience et, par là même, de percevoir une réalité alternative - qu'il s'agisse d'un voyage vers un monde tellurique ou de visions divinatoires. Pour Mel O'Callaghan, la confrontation aux oeuvres d'art, tout comme l'accès à des états modifiés de conscience sont des cheminements dans les replis cachés d'un labyrinthe mental : un labyrinthe duquel nous ressortons forcément transformés."

[fabarmybeauty]

O estilista @jcdecastelbajac integra o júri do Prêmio Meurice de Arte Contemporânea, que acaba de apontar os seis finalistas de sua décima edição. Concorrem Morgan Courtois, Cedric Fargues, Kapwani Kiwanga, Théo Mercier, Eva Nielsen e Mel O'Callaghan. A premiação será dia 9/10. Na sequência, o @lemeuriceparis cediará exposição com as obras. Via @silvanaholzmeister

[backslashgallery]

Charlotte Charbonnel présente à partir de ce soir une impressionnante version totalement inédite de sa superbe série "Astérisme" au centre d'art contemporain Les Tanneries, pour l'exposition "L'Éternité par les astres", commissariat Léa Bismuth avec les artistes Juliette Agnel, Guy Debord, Rebecca Digne, Louise Hervé et Chloé Maillet, Marie - Luce Nadal, Mel O'Callaghan, Edouard Wolton, Jérôme Zonder Plus d'infos ici : www.lestanneries.fr \ Charlotte Charbonnel presents tonight an amazing new version of her beautiful series "Astérisme" at Les Tanneries, contemporary center, during the exhibiiton "L'Éternité par les astres", curated by Léa Bismuth with Juliette Agnel, Guy Debord, Rebecca Digne, Louise Hervé & Chloé Maillet, Marie - Luce Nadal, Mel O'Callaghan, Edouard Wolton, Jérôme Zonder more infos here : www.lestanneries.fr

[peigilearninglog-blog]

5th March  Lock Route

LOCK ROUTE, a public art showcase at Gillman Barracks curated by Khairuddin Hori, takes inspiration from Gillman Barracks’ address and the route march army recruits typically undergo during their training. Situated outdoors, artworks include new commissions by international artists Cleon Peterson, Mel O'Callaghan, Zheng Lu and Oanh Phi Phi, alongside Singapore artists Gerald Leow and Sheryo+Yok.

[elisembia]

Mel O'Callaghan @galerieallen #fondationfiminco #launch #poppupshow (à Fondation Fiminco)

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