#marie de hennezel
Explore tagged Tumblr posts
Text

4 notes
·
View notes
Text
"La chaleur du coeur empêche
nos corps de rouiller"
#Marie de Hennezel
0 notes
Text
La mort intime, Marie de Hennezel, 1995
L’extrait ci-dessous témoigne du remarquable humanisme de cette psychologue dans une unité de soins palliatifs.
(…) un de mes collègues analystes à qui je raconte l’accompagnement de Dimitri s’étonne que je puisse m’investir aussi loin dans la relation affective avec les malades de 1’hôpital. I1 évoque la nécessaire « distance thérapeutique », garde-fou et garantie pour le patient comme pour le thérapeute. J’ai bien sûr réfléchi à cette question depuis longtemps. Depuis le jour de mon premier accompagnement où, me trouvant au chevet d’un homme plié en deux de douleur et menaçant de se jeter par la fenêtre, j’ai su que je ne pouvais me contenter de prendre une chaise et de l’écouter à un mètre du lit. Toutes les mises en garde, les règles rigides du cadre analytique : «Ne pas toucher, ne pas parler», se sont effondrées d’un bloc. Il m’a fallu m’approcher, écouter mon intuition, parler avec mon coeur, poser mes mains sur la zone douloureuse, comme je l’aurais sans doute fait pour n’importe qui, dans cette situation.
0 notes
Text
Voeu
Faisons vœu d’être heureux. * Chacun doit faire ce qu’il peut. Et se laisser guider par le plaisir et non le devoir. * Essayons de changer de point de vue sur les choses. La vieillesse est peut-être ce temps où l’on peut à la fois se dire je suis jeune, j’ai comme un cœur d’enfant prêt à découvrir la nouveauté, prêt à créer, à inventer, et en même temps, je me sens vieille, c’est à dire j’ai…

View On WordPress
0 notes
Text
C'est le regard de l'autre qui me constitue
Marie de Hennezel, La mort intime.
*
Lou de Lâage
18 notes
·
View notes
Text
MYLÈNE FARMER ET LA CULTURE DE LA DIFFÉRENCE
‘’La force est féminine’’ écrivait et chantait-elle dans sa chanson Méfie-toi, datant de 1999 et issue de son cinquième album, Innamoramento. Elle avait bien raison, et n’a eu cesse de le prouver. Bientôt quarante ans après sa première chanson (Maman a tort - 1984) qui posait déjà toutes les bases de son univers si particulier, elle est l’artiste de tous les records : record du nombre de disque de diamants pour une chanteuse (elle est d’ailleurs la seule artiste à en avoir obtenu un pendant quatre décennies), unique artiste féminine à avoir classé un album au top de ventes sur cinq décennies différentes, seule artiste française à avoir rempli deux fois le Stade de France, … La liste est longue, bien trop pour la faire ici.
Quand on demande à Mylène, dans les rares interviews qu’elle accorde, les raisons, la recette de son succès, bien souvent, elle répond qu’elle ne saurait pas l’expliquer. On entend très régulièrement que ce qui marche, avec elle, ce serait la culture qu’elle fait du mystère. Généralement, ce sont des gens qui n’y connaissent pas grand-chose.
La seule chose qu’elle a pu cultiver, au fil de sa carrière, c’est la différence. Différence dans sa manière de créer ses spectacles, différence dans sa manière d’aborder les clips musicaux, différence dans sa musique, mais surtout, différence dans les thématiques qu’elle aborde, et qui reviennent de manière récurrente dans ses textes.
S’inspirant régulièrement d’autres formes d’art, comme le cinéma, allant de Stanley Kubrick à Ridley Scott, travaillant avec des cinéastes de renom, comme Luc Besson, Abel Ferrara, ou Pascal Laugier, la littérature, surtout, puisant aussi bien dans les écrits du Marquis de Sade que dans ceux de Zweig, Baudelaire, Allan Poe, Pierre Reverdy, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire, la peinture et la sculpture, évoquant Egon Schiele, Paul Gauguin ou bien encore Auguste Rodin, elle laisse une place de choix aux femmes dans l’univers audiovisuel qu’elle choisit de nous présenter.
Ainsi, elle fait référence à Sylvia Plath, Virginia Woolf, Emily Dickinson, Etty Hillesum, Marie de Hennezel, Greta Garbo, et tire son pseudonyme d’une actrice des années 1930, Frances Farmer.
Cette longue aventure commence en 1984 : sa première chanson, Maman a tort, est un succès, mais il a failli être de courte durée, puisque son deuxième titre, On est tous des imbéciles, qui livre une critique plutôt acerbe du show-business, est un échec. Puis arrive Libertine en 1986, une chanson sulfureuse, pour la promo de laquelle Mylène se teint en rousse, couleur iconique aujourd’hui dont elle ne se départira plus, et pour laquelle, avec son compositeur et ami, Laurent Boutonnat, elle décide de réaliser un clip digne d’un court-métrage, dans lequel Mylène elle-même n’hésite pas à se montrer nue : le premier d’une longue série. Il dure 10 minutes, pour un budget étonnamment bas de 76 000€, et surtout, fait scandale à sa sortie. Encore une fois, le premier d’une longue série. Mais peu importe : le succès est immense, et la carrière de Mylène décolle vraiment.
Car s’il y a bien une chose pour laquelle Mylène affirme sa différence, allant même jusqu’à la provocation quelques fois, c’est pour les thématiques qu’elle aborde de manière régulière dans ses chansons. Que ce soit la peur de vieillir et de mourir, la solitude, la perte d’être chers, du suicide, de l’amour et de ses chagrins, de l’emprise, ou bien de la sexualité, elle brise allègrement un à un tous ces tabous, ces choses que beaucoup de gens peuvent connaître, mais sans jamais oser trop les verbaliser. Autour de cela se crée une véritable communauté de fans, qui se sentent différents, eux aussi, et qui ont enfin trouvé quelqu’un pour dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas.
Pour ces fans, Mylène est une artiste à part dans les coeurs, quelqu’un qui se dévoile si intimement dans ses chansons qu’on a la sensation de la connaître personnellement, qu’elle n’est pas qu’une célébrité éloignée, mais quelqu’un de proche, quelqu’un qui est là pour tenir la main dans les moments de solitude en faisant se sentir compris, quelqu’un en qui on peut se reconnaître, et qui peut nous aider à grandir, qui que l’on soit.
Et puisque sur ce site, on a à coeur de mettre en avant les femmes, et les personnalités queers ou en faveur des queers, voici une petite sélection de ses chansons queers et féministes :
La première : Maman a tort - 1984
Mylene Farmer - Maman A Tort (1984) HD 720
Dans cette chanson aux allures de comptine saphique, Mylène chante l’amour d’une petite fille hospitalisée pour son infirmière. Si ce titre ne figure pas parmi les plus connus à ce jour, il a été un véritable succès à sa sortie, et posait déjà toutes les bases de l'univers de Mylène : une chanson aux allures presque innocentes, des paroles qui le sont nettement moins, et une bonne dose de provocation avec Mylène qui fixe la caméra en disant qu'elle "aime l'infirmière, Maman".
La duologie : Libertine & Pourvu qu'elles soient douces - 1986 & 1988
Mylène Farmer - Libertine
Mylène Farmer - Pourvu Qu'Elles Soient Douces
Si ces deux chansons ne sont pas ouvertement queers ou féministes, la première parle d'une prostituée, que Mylène revendique fièrement être, et la deuxième parle de sodomie : des pratiques quasiment jamais évoquées dans des chansons à cette époque, encore moins chantées par une femme, et encore moins destinées à un grand public. Les clips, inspirés notamment de Barry Lyndon de Stanley Kubrick, montrent Mylène tour à tour nue et revêtant des habits masculins de l'époque, arborant un look androgyne et se battant, pour une durée totale de 27 minutes en cumulant les deux. Du jamais vu en France, surtout qu’à l’époque, les clips étaient faits pour passer à la télévision !
L'iconique : Sans Contrefaçon - 1987
Mylène Farmer - Sans Contrefaçon Une chanson en particulier attire à Mylène les faveurs de la communauté LGBT+. Sans Contrefaçon sort en 1987, et parle de transexualité : quelque chose d’assez inédit, pour l’époque, et qui dérange, encore une fois. Mais peu importe. Mylène aime la communauté LGBT+, le dit et le répète à plusieurs reprises, n’hésitant pas à poser “en garçon” pour la couverture du magazine Têtu en 2008, et répondant quand on l’interroge sur la question des mariages homosexuels et des adoptions d’enfants par des couples homosexuels “C’est un sujet de société que certains voudraient traiter sous l’angle moral… Pour moi cela pose la question de l’égalité des droits. Au 21è siècle, il serait temps de traiter le sujet !”, et refaisant la une pour les 25 ans du même magazine, maintenant ses propos.
“J’ai le sentiment d’être privilégiée. Le public gay est un public sensible, pointu et avant-gardiste. Nous nous suivons depuis de nombreuses années, c’est important pour moi. Je pense aussi que je partage avec le public gay, comme avec d’autres publics d’ailleurs, le sentiment d’être « différent », sensation qui provoque des difficultés de vivre dans ce monde.”
Le pied de nez : Fuck them all - 2005
Mylène Farmer - Fuck them all (Clip Officiel)
Rarement la plume de Mylène aura été aussi acérée. Dans Fuck them all, elle rappelle avec verve les siècles de domination de l’homme sur la femme, quitte à passer pour de la provocation gratuite aux yeux de certains. Mais ce qui rend cette chanson encore plus crue reste le contexte de la sortie de ce single. Alors vainqueure aux “Victoires des Victoires de la Musique” dans la catégorie “Meilleure artiste féminine des vingt dernières années”, qui récompensent, pour la 20ème édition, des lauréats d’éditions précédentes, Mylène ne se présente pas pour venir chercher son prix. En effet, elle boude cette cérémonie depuis sa victoire dans la catégorie “Meilleure artiste féminine” en 1988, récompense pour laquelle elle ne remerciera d’ailleurs que son public, alors que le prix est décerné par des professionnels. Elle dira : "J'ai passé des heures en coulisses pour les répétitions de cette soirée télévisée. Tout le gratin du show-business était là et ces gens m'ont écoeurée. Ils se détestent tous. J'étais triste d'avoir été récompensée et reconnue par ces gens-là. Ce sont les Victoires de l'hypocrisie ! J'ai failli m'enfuir, mais je suis restée pour faire plaisir aux gens qui regardaient l'émission. Ils n'auraient pas compris..". Mylène ne se présentera plus aux remises de prix décernés par des professionnels, et demandera même à ce qu’ils arrêtent de la nommer, et ne se déplacera que pour les remises de prix décernés par le public. Après sa victoire en 2005, elle aurait envoyé un message à Nagui (qui lui avait, en outre, déjà tenu des propos insultants), alors hôte de la cérémonie des Victoires le message suivant: "Merci. N'oubliez pas que mon dernier single s'appelle Fuck them all."
La méconnue : Elle a dit - 2012
Mylène Farmer Elle A Dit Live 2013
Parue dans l'album Monkey Me en 2012, Elle a dit a fait beaucoup moins de bruit que les quatre chansons citées précédemment. Et pourtant ! Vraisemblablement inspirée de la bande dessinée Le bleu est une couleur chaude de Jul' Maroh, qui raconte l'histoire d'amour entre Clémentine et Emma, Elle a dit parle d'une fille hospitalisée qui va mourir ayant du mal à comprendre qu'elle aime une autre fille. "Pour le plus petit mot qui a guéri, sauver une âme, c'est si fragile."
Et si cet article vous a donné envie d’en découvrir plus, voici une liste avec les chansons que vous connaissez peut-être par album, et les chansons qui gagneraient à être plus connues

Sources :
♦ mylene.net
♦ innamoramento.net♦ Diverses interviews, notamment celle de Têtu le 20 août 2008
17 notes
·
View notes
Text

Un jour...une histoire
Résumé
Vivre c'est se mettre au monde plusieurs fois : la première naissance est évidente, physique ; les autres passent parfois inaperçues. Une vie, avec ce qu'elle nous donne et nous inflige, suppose de chercher profondément en soi les ressources pour s'adapter, faire naître en nous, à chaque étape, un être renouvelé, amélioré, plus mûr, plus dense. Une vie pour se mettre au monde c'est une vie pour apprendre à faire corps avec ce qui advient, les joies et les drames ; une vie pour faire de son existence un tout, décousu parfois mais unique ; une vie surtout pour apprendre à rester dans l'émerveillement.
On sort de cette lecture extrêmement positif et joyeux, quel que soit son âge.
Marie de Hennezel -Psychologue clinicienne, conférencière et écrivaine spécialiste du bien vieillir...
7 notes
·
View notes
Text
il n'y a pas plus vieux que de ne pas vouloir vieillir. [...] Il s'agit d'accepter de vieillir sans pour autant devenir «vieux». [...] C'est la conviction que quelque chose en nous ne vieillit pas. Je l'appellerai le cœur. Non pas l'organe, qui lui vieillit bien sûr, mais la capacité d'aimer et de désirer. Cette force inexplicable, incompréhensible, qui tient l'être humain en vie. [...] C'est le cœur qui peut nous aider à dépasser nos peurs et nous soutenir au milieu des pires épreuves de la vieillesse. “
4 notes
·
View notes
Text
<iframe src="https://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=55b00a9c-d976-4654-9c50-7da31e948ffc" width="481" frameborder="0" scrolling="no" height="137"></iframe>
Marie de Hennezel : "Cette prise de conscience brutale que nous sommes mortels change notre rapport à la mort"
0 notes
Text

On ne mesure sans doute pas assez la force de la tendresse qui se communique de peau à peau, d'âme à âme, de cœur à cœur. Si nous pouvions seulement être là, ralentir notre rythme, nous mettre à l'écoute, ouvrir nos antennes les plus fines pour percevoir les attentes, les besoins les plus subtils, mettre dans nos mains toute l'attention et le respect dont nous sommes capables et garder confiance dans la danse de la vie.
Marie de Hennezel
#force de la tendresse#peau#âme#coeur#rythme#écoute#antennes#attentes#attention#confiance#danse de la vie
63 notes
·
View notes
Text
On ne mesure sans doute pas assez la force de la tendresse,
qui se communique de peau à peau, d'âme à âme, de coeur à coeur.
Si nous pouvions seulement être là,
ralentir notre rythme, nous mettre à l'écoute, ouvrir nos antennes les plus fines pour percevoir les attentes, les besoins les plus subtils, mettre dans nos mains
toute l'attention et le respect
dont nous sommes capables
et garder confiance dans la danse de la vie !
— Marie de Hennezel

25 notes
·
View notes
Text
At the moment of utter solitude, when the body breaks down on the edge of infinity, a separate time begins to run that cannot be measured in any normal way. In the course of several days something happens, with the help of another presence that allows despair and pain to declare themselves, the dying seize hold of their lives, take possession of them, unlock their truth. They discover the freedom of being true to themselves.
--Marie De Hennezel, Intimate Death
1 note
·
View note
Text
«Lo único que te pido cuando hables conmigo es que tus palabras sean justas, que sean del tamaño de tus sentimientos, porque si tú me dices no, para mí es no, y si me dices llueve, para mí está lloviendo. Y si me dices amor, para mí es amor.»
#Rosario Castellanos
0 notes
Text
VIVRE AVEC L'INVISIBLE
4 iem de couverture
"Qui n'a pas déjà eu ce sentiment d'être guidé par une force invisible ?
Avez-vous alors hésité à en parler, par crainte de ne pas être compris, d'être jugé... ou pire ? Sachez que vous n'êtes pas seul à avoir vécu cette expérience.
En s'appuyant sur de nombreux témoignages, des récits édifiants et sa propre réflexion de psychanalyste, Marie de Hennezel dévoile l'universalité du lien que nous entretenons avec l'invisible.
Un lien intime, parfois poétique et qui prend bien des formes. Intuitions, rêves prémonitoires, synchronicités, dialogue avec un ange gardien ou une présence protectrice... les chemins vers la prescience d'un ailleurs, d'une possible proximité avec l'au-delà, sont innombrables.
Au cours de cette exploration unique, il est clairement apparu à Marie de Hennezel que le sentiment de pouvoir compter sur d'autres forces que la sienne est partagé, fondamental... et naturel"
Vidéo youtube de présentation du livre, interview de l'auteur
https://youtu.be/CktUE72Bn94
Et pour acheter le livre en ligne ... Oubliez Amazone et préférez les vraies librairies https://www.mollat.com/livres/2547226/marie-de-hennezel-vivre-avec-l-invisible-reves-intuitions-anges-gardiens-notre-relation-a-l-invisible-est-essentielle

0 notes
Text
Interrogations ouvertes
Nous n’avons pas d’autre choix sur terre que d’être entièrement nous-mêmes. Le reste ne nous appartient pas. Tant de gens n’osent pas être eux-mêmes. Tant de gens se conforment à “ce que l’on doit être”, à la morale, à des règles. Parvenus au bout de leur vie, ils ont cette impression étrange d’être passés à côté d’eux-mêmes. L’auteure cite Jung * Les livres vous emportent dans les recoins…
youtube
View On WordPress
0 notes