#maquillées
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notepesko · 9 months ago
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el otro día me maquillé
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valerielemercier · 3 months ago
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Maquillée avec les produits Givenchy Collaboration commerciale
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aisakalegacy · 27 days ago
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (22/27)
Il nous expliqua que Lorita avait travaillé au service d’un baron du crime qui avait fait ses grandes heures pendant la Prohibition et qui avait continué ses ventes d’alcool de contrebande aux Etats-Unis depuis, la fin de la Prohibition n’ayant pas fait disparaître le trafic, étant donné que les taxes sur l’alcool y étaient très élevées. Comme leurs acheminements passaient par le Saint-Laurent et que celui-ci était étroitement surveillé par les Douanes et l’Accise, Lorita s’était engagée auprès d’une famille des Mille Îles afin d’avoir une bonne raison de circuler sur le fleuve. Il nous raconta comment Sonia avait retrouvé la trace de Lorita, s’était faite recruter dans son gang, puis dans la même maison qu’elle. Comment elle avait froidement orchestré son empoisonnement pour venger son père, puis maquillé le crime.
[Transcription] Layla Bahar : Oui, mais, les plombs ont sauté… Agathon LeBris : J’y viens. Sonia est montée à l’étage entre 4h et 4h27. Elle a d’abord nettoyé le corps de sa sueur, ses vomissements, salivations et autres fluides.  Agathon LeBris : Elle a vidé le reste du thé dans l’évier de la salle de bain, minutieusement nettoyé le service. Puis elle a mouillé les doigts de Lorita et les a mis dans la prise du gramophone.  Agathon LeBris : L’électrification du corps était une excellente idée, elle permettait de justifier l’arrêt cardiaque, de faire une brûlure d’entrée et de sortie du courant électrique… Avec des traces aussi visibles, elle s’épargnait une autopsie qui n’aurait pas manqué de révéler des traces d’empoisonnement dans le foie et les reins. Agathon LeBris : Une fois le corps positionné, elle s’est cachée dans une chambre, a attendu le passage de Layla, est repartie à la cuisine comme si de rien n’était.  Lucien LeBris : Sonia, comment avez-vous pu faire une chose pareille ? Irène LeBris : Vous vous êtes servie de nous… Sonia Houveau : Je… Agathon LeBris : Avant de lapider Sonia, il faut que je vous dise quelque chose…  Agathon LeBris : Toute cette histoire n’est que ce qu’elle est. Une histoire. Dolorès LeBris : Hein ?? Lucien LeBris : Qu’est-ce que tu racontes ? Agathon LeBris : Je suis garant de l’innocence de Sonia. Comme je vous l’ai dit, j’ai passé l’après-midi à lire dans la bibliothèque. De mon siège, j’ai une vue sur la fenêtre de la cuisine. Je peux attester du fait qu’elle était là et qu’elle n’a pas quitté la cuisine de l’après-midi. Agathon LeBris : Je l’ai vue débarrasser, je l’ai vue et entendue faire la vaisselle. J’ai entendu le cliquetis des assiettes et des couverts.  Agathon LeBris : Sonia n’aurait pas pu sortir sans que je m’en aperçoive. Dolorès LeBris : Mais… ?!
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aurevoirmonty · 4 days ago
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Est-ce que vous vous rendez compte qu’on s’est tous fait avoir comme des bleus sur nos factures d’électricité ?
C’est une arnaque à ciel ouvert, mais maquillée sous des couches de jargon et de bureaucratie. Parce que oui, sur votre facture d’électricité, il y a des taxes.
Sur ces taxes… on vous rajoute encore de la TVA. Une taxe sur la taxe. Une surtaxe qui s’empile comme une poupée russe fiscale. C’est pas juste de l’approximation, c’est de la pouillerie de haut niveau. Du grand art technocratique. Un mécanisme conçu pour que vous ne compreniez pas que vous ne payez pas une facture d’énergie, vous payez un impôt déguisé, camouflé dans une colonne Excel d’Enedis ou d’EDF.
Et pendant qu’on vous parle de “marché”, de “régulation”, de “prix spot” ou de “soutien à la transition énergétique”, ce qu’on fait vraiment, c’est amplifier artificiellement vos factures, avec des montages pseudo-légaux qu’aucun citoyen n’a jamais votés.
C’est un scandale, un racket organisé. Et comme d’habitude, personne n’en parle.
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elfodomestico · 12 days ago
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Me maquillé bien bonito 💕
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sofya-fanfics · 2 months ago
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La soirée de Saint-Valentin
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Fandom : Fairy Tail
Relationship : Natsu x Lucy
Voici ma participation pour le Be My Valentine challenge 2025 pour le prompt : Danse.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Lucy regarda Natsu et rougit.
« Natsu, est-ce que ça te dit qu'on aille à la soirée ?
-D'accord. »
Il lui avait répondu sans hésiter avec un immense sourire. Lucy sourit à son tour, heureuse qu'il ait accepté. Cela faisait des jours qu'elle voulait lui demander de l'accompagner mais à chaque fois elle n'osait rien dire, de peur qu'il refuse. Il ne lui restait que peu de temps avant la soirée et il avait fallu qu'elle rassemble tout son courage pour lui demander.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
@bemyvalentinechallenge
AO3 / FF.NET
Lucy essaya de regarder à travers une fenêtre de la guilde, mais elle ne voyait rien. Le bâtiment était fermé pour la journée pour préparer la soirée de la Saint-Valentin. Lorsqu'elle était arrivée, Mirajane lui avait barré la route en disant que tous les membres avaient interdiction d'entrer avant le soir. Cela n'avait fait qu'attiser sa curiosité. Elle se mit sur la pointes des pieds pour essayer de mieux voir.
« Qu'est-ce que tu fais ? »
Lucy sursauta et se retourna vers Natsu et Happy.
« Rien du tout. »
Elle sourit, ayant l'air innocente, mais son sourire était tellement crispé que même Natsu pouvait voir qu'elle mentait.
« On dirait que tu essayais de voir ce que Mirajane prépare. »
Lucy se tourna vers la fenêtre et se mit à nouveau sur la pointe des pieds.
« Ne me dites pas que vous n'êtes pas curieux ?
-Elle fait ça tous les ans. Tu finiras par t'y habituer. »
Lucy soupira et abandonna l'idée d'essayer de voir quelque chose. Elle savait que la Saint-Valentin était la fête préférée de Mirajane, surtout parce qu'elle pouvait s'immiscer dans la vie des gens et jouer aux entremetteuses.
Lucy n'avait pas pu assister à la soirée de l'année d'avant. Elle était partie en mission avec l'équipe Natsu. Même si elle avait très envie d'assister à la soirée, elle n'avait pas pu refuser cette mission. Elle avait été très bien payée et elle avait pu donner les loyers qu'elle devait à son propriétaire. Mais cette fois-ci, elle était bien décidée à y aller. Elle regarda Natsu et rougit.
« Natsu, est-ce que ça te dit qu'on aille à la soirée ?
-D'accord. »
Il lui avait répondu sans hésiter avec un immense sourire. Lucy sourit à son tour, heureuse qu'il ait accepté. Cela faisait des jours qu'elle voulait lui demander de l'accompagner mais à chaque fois elle n'osait rien dire, de peur qu'il refuse. Il ne lui restait que peu de temps avant la soirée et il avait fallu qu'elle rassemble tout son courage pour lui demander.
« On se retrouve ce soir ? »
Natsu acquiesça et Lucy partit faire les boutiques. Elle devait trouver une robe pour la soirée. Elle voulait se faire belle pour son rendez-vous avec Natsu. Elle regarda l'heure et accéléra le pas. Il ne lui restait plus beaucoup de temps.
******
Lucy marcha d'un pas joyeux jusqu'à la guilde. Elle avait trouvé une jolie robe rouge qui lui arrivait au-dessus du genou. Elle était décolletée mais pas suffisamment pour paraître provocante. Elle était à la fois simple et élégante, idéale pour un rendez-vous. Elle s'était maquillée et avait fait des boucles à ses cheveux. Elle avait suivi pas à pas une coiffure qu'elle avait trouvé dans un magazine spécial Saint-Valentin. Elle espérait que Natsu la trouve jolie. Lucy arriva à la guilde. Elle vit Natsu et...
« Happy ? »
Ce n'est rien, pensa-t-elle. Il devait sûrement attendre Carla. Natsu lui fit un grand signe de la main.
« Hé Lucy !
-Ben dis donc, t'as sorti le grand jeu, ricana Happy. »
Lucy rougit, gênée.
« Mais non !
-On y va ! Déclara Natsu. »
Il prit la main de Lucy et ils entrèrent tous les trois dans la guilde. Lucy écarquilla les yeux. Mirajane s'était surpassée. Il y avait des roses, des ballons rouges et roses, des guirlandes en forme de cœur accrochés aux murs, un buffet et une fontaine de chocolat. Le centre de la salle avait été transformé en piste de danse.
« C’est par là Happy ! S’exclama Natsu.
-C’est parti ! »
Tous deux foncèrent vers le buffet et se servirent. Lucy fronça les sourcils.
« Happy, tu n’as pas rendez-vous avec Carla ?
-Je lui ai demandé, mais elle n’a pas voulu venir.
-J’ai demandé aux membres de l’équipe, mais Wendy est restée avec Carla, Gray a voulu y aller avec Juvia et Erza avec Jellal. »
Lucy écarquilla les yeux.
« Tu as demandé à l’équipe ! »
Natsu acquiesça et mordit dans une cuisse de poulet.
« Tu ne voulais pas qu’on y aille tous ensemble ?
-Oui… Oui, c’est ce que je voulais. »
Lucy baissa la tête, déçue. Pour Natsu, cette soirée n’était pas un rendez-vous mais une sortie entre amis. Elle s’excusa avant de s’éloigner. De toute façon, pensa-t-elle, Natsu et Happy ne remarqueraient pas son absence. Ils étaient bien trop occupés à dévorer le buffet. Elle se dirigea vers la porte et sortit de la guilde pour rentrer chez elle. Ça ne servait plus à rien qu’elle reste.
******
Natsu regarda Lucy s’éloigner, surpris.
« Qu’est-ce qui lui prend ?
-Je pense qu’elle croyait que c’était un rendez-vous. »
Natsu écarquilla les yeux. Il était tellement surpris, qu’il faillit lâcher son assiette.
« Elle n’a pas précisé !
-C’était implicite. Parfois tu peux être vraiment bête.
-Toi non plus tu n’avais pas compris, se vexa Natsu.
-Comment j’aurais pu savoir, c’est pas à moi qu’elle a demandé ! »
Natsu regarda l’endroit où était partie Lucy. Il devait faire quelque chose pour arranger la situation.
******
Lucy ouvrit la porte de son appartement et entra. Elle, qui avait été impatiente d’assister à la soirée et qui s’était faite belle, se sentait vraiment idiote. Elle aurait dû se douter que Natsu voulait seulement y aller en amis. Elle alluma la lumière et sursauta lorsqu’elle vit le chasseur de dragons au milieu de la pièce.
« Comment tu as fait pour arriver avant moi ? Demanda-t-elle.
-Happy m’a emmené. Pourquoi tu ne m’as pas dit que c’était un rendez-vous ?
-Je pensais que tu avais compris.
-Tu aurais dû préciser.
-De toute façon, ça n’aurait rien changé.
-Ça aurait tout changé. »
Lucy rougit. Jamais elle n’avait vu Natsu aussi décidé.
« On a encore le temps d’aller à la soirée, dit-il. Et cette fois se sera un vrai rendez-vous. »
Lucy sourit. Ils retournèrent à la guilde. Ils avaient passé la nuit à danser, à rire, à s’amuser. Cette soirée de Saint-Valentin qui avait pourtant mal commencé avait été la plus belle pour Lucy. En particulier lorsque Natsu l’avait ramené chez elle et qu’ils s’étaient embrassés avant de se quitter.
Fin
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insociablementcompliquee · 11 months ago
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Soit belle, désirable, baisses les yeux, t’es trop baisable. Regardes devant toi, souris. Tu te prends pour qui, t’es bien trop fière, qu’est ce que t’es hautaine. T’as l’air fatiguée, tu t’es pas maquillée? T’es négligée. Quelle vulgarité, on est pas chez les putes, restes pure, tu l’as bien cherché. Profites de la vie, on en a qu’une. Ne laisses pas n’importe qui te toucher, prends garde chez qui tu mets les pieds. Suis ton instinct. Réfléchis un peu. Soit sportive, tu sais faire la cuisine? On s’en fou soit indépendante, t’es pas leur mère. Le pauvre, sa femme ne s’occupe même pas de lui. Elle a l’air triste, t’façon elle est jamais contente. C’est une michto elle profite des hommes. Elle sort jamais, quel ennui. Elle était dehors à minuit, elle cherche les ennuis. Aimes toi. Soit exigeante avec toi même. Aies confiance en toi. Ne prends rien pour acquis. Rien n’est joué. Tentes tout. Relève toi, c’est bien fait, ça n’a pas marché, t’es bonne à rien. Soit assez, mais pas trop. Soit parfaite
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halebop-c-est-moi · 2 months ago
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"Le château de Néo-Versailles tenait plus de la grange aménagée que du palace, avec des parpaings visibles derrière les tapisseries accrochées au mur. En cette fin d'après-midi, Stella, sa tête sur les genoux de Clothilde, le trouvait très confortable.
- T'es pas triste de pas être repartie avec Raph ?
La question, posée dans le silence calme du palais, fit froncer les sourcils de Stella. Elle se releva les yeux et observa le visage de Clothilde, rond et maquillé, aussi lumineux que le soleil d'après-midi. Ça sentait la question sous-jacente.
- Non, pourquoi ? demanda-t-elle, sur la retenue.
- Bah je sais pas... Tu regrettes pas de pas être avec celui qui a ta marque ?
- Aaaah ! comprit-elle enfin, se rallongeant plus confortablement. Non, mais alors pas du tout. Je suis bien ici. En plus on avait pas de marques, eh. "
Soulmate AU des Reines de Néo Versailles ! pas explicite, cette fois ci, par contre beaucoup de discussion de plomberie👍
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oviri7 · 3 months ago
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« Elle était à peine maquillée, chose rare pour une jeune femme de cette époque, de surcroît ancienne geisha. La blancheur de son teint diffusait une lumière diaphane comme dans un rêve. Seuls se yeux se détachaient, nets et vivaces, comme des scarabées sur une feuille blanche. »
Junichirô Tanizaki - Le pied de Fumiko
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matthiaslehmann · 3 months ago
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🦇Nick et Nik 🦇 Ce que j’aime dans cette photo (mais mon dessin ne parvient pas à le rendre avec autant d’acuité), c’est l’embarras qu’on semble lire sur le visage du jeune Nick Cave au contact de Nik Fiend, co-leader du groupe londonien Alien Sex Fiend.  Plus underground, plus fou, maquillé et décoiffé, plus monstrueux, incontrôlable et macabre. J’imagine que ça fait un peu le même effet quand on est déguisé en croque-mitaine et qu’on croise un vrai zombie… 💀 #nickcave#nikfiend#aliensexfiend#ignorethemachine#batcave#illustration
Si vous vous demandez comment j’ai obtenu ce beau violet, sachez qu’il s’agit du jus d’une betterave fermentée, autant dire que ce dessin sent divinement bon
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unempirepourtonsourire · 3 months ago
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2024 (20)
1. j'ai fait un bilan de compétence, c'était long et fastidieux, mais je crois que ça m'a fait du bien 2. j’ai vu une psy 3. je me suis syndiquée 4. j’ai changé une ampoule pour la 1ere fois de ma vie 5. je me suis promenée dans la montagne 6. je suis partie en vacance avec mes ami.e.s, c'était intense 7. je me suis baignée dans la mer 8. j’ai eu pleins de soirées géniales avec mes ami.e.s 9. je me suis remise à fumer puis j'ai arrêté puis j'ai repris 10. j'ai pris un abonnement à la piscine municipale 11. j’ai lu pleins de livres, et j'ai participé à des cercles de lectures 12. j'ai participé à un enterrement de vie de jeune fille 13. j’ai participé à 2 mariages 14. je me suis maquillée et j'ai porté des robes 15. je suis allée voté plusieurs fois 16. j’ai visité un appartement, et l'ai acheté 17. j'ai fait un prêt à la banque, organisé des travaux de rénovation, acheté du carrelage, fait des plans 18. j’ai mis fin a une relation très importante pour moi, mais j'ai renvoyé un mail 19. j'ai fait des lego, de la peinture et des puzzles 20. j’ai fait rire pleins de gens
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philoursmars · 4 months ago
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J'interromps les posts sur mon voyage en Sicile avec Christine:
Hier lundi 25 Novembre, l'Atelier du Tigre (dont je fais partie) joua "Les Femmes Savantes" de Molière au Théâtre Municipal de Douai.
Dans les loges et au maquillage : Alain en vampir..., en Trissotin !, maquillé par Audrey. Puis Laurent et Julien. Enfin Aurélien qui reçoit des fleurs, non pas de Benji (le maître de la technique) comme on pourrait le penser sur ces 2 photos !
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aisakalegacy · 2 months ago
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Hiver 1935, Hylewood, Canada (6/9)
C’est tellement simple que j’ai parfois du mal à y croire. Peut-être est-ce parce que ce n’est que le début ? Je me réveille et son visage est la première chose que je vois. Son vrai visage, celui qui n’est pas apprêté, pas maquillé,  les yeux bouffis, la tête pleine de bigoudis, cette vraie tête qu’elle passe une heure ou plus tous les matins à tirer, dresser, discipliner, que je surprends quand je m’éveille, et que moi j’adore d’autant plus qu’il n’y a personne d’autre qui le voit. Est-ce que c’est égoïste ? J’ai dû la convaincre - ma femme - ça me fait un sentiment si curieux de l’écrire - de ne pas se lever plus tôt que moi pour se préparer avant que je me réveille. Mes sœurs n’étant pas comme ça, je ne réalisais pas la quantité de travail quotidien représenté par son apparat. Le matin, aux premières lueurs de l’aube, quand l’entrebâillement des rideaux laisse entrer assez de lumière pour que je l’aperçoive, je ne vois pas la beauté pincée, je vois ce qu’il y a sous le masque de la poudre qui gomme toute les expressions, sous cette esthétique de poupée de cire impassible qu’elle essaye de se donner, ma femme, la vraie femme, celle avec les marques de l’oreiller sur la joue, celle qui sourit puis s’interrompt par peur que l’expression ride prématurément son visage, celle avec des traces de crème de nuit mal étalée séchée sur la peau. Tu dois me trouver idiot… D’ailleurs Irène serait probablement mortifiée si elle lisait cette lettre. Le masque, c’est ce qu’elle veut que tout le monde voit, comme s’il s’agissait d’une armure et que tant qu’elle la porte, rien ne peut l’atteindre.
[Transcription] Irène LeBris : Qu’est-ce qui te fait sourire comme ça ? Lucien LeBris : Toi. Je me disais… C’est tellement simple. Tu vaques à tes occupations, moi aux miennes. On fait chacun ce qu’on a à faire de notre côté, mais ensemble. C’est juste… simple. Le bonheur, je veux dire.
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llolytal · 8 months ago
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Alors j’ai hurlé que tu me manquais, j’ai hurlé corps et âme la colère que j’avais envers tes mensonges et ton égoïsme. Mais en vain.
Personne n’en a quelque chose à faire que j’ai pu t’aimer, ou même que j’ai pu être la personne qui t’as sauvé de toi même.
C’est pour cela que j’ai hurlé tout cela en silence, maquillé mes cernes, pris un anxiolytique et que j’ai finalement affiché un sourire sur mon visage.
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aurevoirmonty · 15 days ago
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«Ce sont vous et vos enfants qui iront faire la guerre»: quand Macron accusait Le Pen de conduire la France à la guerre
Pendant ce temps, «Madame Le Pen et ses amis, ils seront réfugiés au château de Montretout!», hurlait le candidat Macron en 2017 (un peu trop maquillé).
A toutes celles et ceux, qui aujourd'hui ont décidé d'être les somnambules du XXIᵉ siècle, honte à eux!
«Je veux autre chose avec vous, pour mon pays!», avait encore juré le candidat, créé, infiltré et propulsé au pouvoir par Rothschild dès 2012 comme secrétaire adjoint de l’Elysée.
13 ans plus tard, après la guerre contre le Rhume19 en guise d’amuse-bouche, Macron entraîne les Français à l’«engrenage de la guerre», la vraie.
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alexar60 · 2 years ago
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Vulgaire
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Trois vieilles dames partant à la messe, s’arrêtèrent devant une affiche du film « Emmanuelle ». Elles étaient éberluées par ce qu’elles découvrirent.
La première : C’est un film,
La seconde : Un film ? Mais pourquoi est-elle à poil ?
La troisième : C’est un film cochon. Ça c’est sûr, c’est un film cochon.
La seconde : Et ils vont le passer au cinéma ?
La première : Oui, c’est prévu dans quinze jours.
La seconde : C’est scandaleux ! Tous les hommes vont aller le voir. En plus, elle fait vulgaire assise comme ça, cette trainée.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une petite trainée. Oui, c’est vraiment une petite trainée.
La seconde : Une pute, oui ! Comment s’appelle-t-elle ?
La première lit l’affiche et répondit lentement: Sylvia Kristel.
La seconde : Avec un nom pareil, c’est une étrangère en plus !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une étrangère. Il n’y a pas de trainée par chez nous.
La seconde : A tous les coups, c’est une allemande. Il n’y a que les allemandes pour se foutre à poil comme ça en photo. On a bien fait d’avoir gagné la guerre. Ça ne m’aurait pas plu d’être à poil en photo.
La première : Ou de Paris. Ma sœur a visité Paris et m’a dit qu’il y avait beaucoup de femmes de mauvaise vie dans Paris.
La seconde : C’est pareil. C’est pas de chez nous !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est pas de chez nous.
Un homme passe derrière eux. Il les salue en baissant sa casquette et continue de marcher en les regardant.
La seconde : A tous les coups, il va revenir mater l’affiche.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est un cochon.
La première : C’est parce qu’il boit. Il ne va pas à l’église. Il va jouer au tiercé en face. Il va boire et va rentrer saoul comme une bourrique.
La seconde : Elle va être contente sa femme ! Et ce film parle de quoi ?
La première : Je ne sais pas.
La troisième : Ça ne peut être qu’un film grossier. Elle fait tellement vulgaire sur l’affiche. Ça c’est sûr, c’est un film grossier.
La seconde : C’est la faute à Giscard. Depuis qu’il est président, la France fout le camp. Ça ne se serait pas passé comme ça avec Pompidou ni avec le Général.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est la faute à Giscard. Je n’aurais pas dû voter pour lui. Et c’est aussi la faute aux beatniks, ces jeunes mal-habillés qui traversent le village avec leurs motos.
La première : Tu as voté Giscard ?
La troisième : Oui, mon mari m’a dit de voter pour lui.
La seconde observe encore l’affiche : Et elle est maquillée comme une poufiasse.
La troisième : Ça c’est sûr, il n’y a que les poufiasses qui se maquillent. Ca fait vraiment vulgaire !
La première : Et ses seins sont tout petits. Elle n’a pas d’enfants.
La seconde : Encore heureux ! A sa place, je n’en ferai pas. J’aurais trop honte qu’ils voient le film.
La troisième : Ça c’est sûr, j’aurais honte aussi.
La première et la seconde commençaient à partir lorsque la troisième demanda : On laisse l’affiche comme ça ?
La première : Oui, on le signalera au curé. Il saura faire quelque-chose contre ce genre de mauvais film.
La seconde : En tous cas, si mon Marcel va voir le film, il prendra un coup de sac à main sur la tête.
La troisième : Et je suis sûr qu’il n’y a pas Louis de Funès dans ce film. Ça c’est sûr, il n’y a pas Louis de Funès.
Elles s’entrèrent dans l’église sans voir les deux garçons qui s’arrêtèrent devant l’affiche. Ils rougirent en voyant l’actrice nue avant de se poser des questions sur la poitrine des filles.
Le mari de la seconde n’ira jamais voir ce film. En revanche, le curé ira le voir incognito. Je veux dire sans son costume de curé.
Alex@r60 – août 2023
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