#mal devaux
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there's an ask going around that's like "describe your gender without using the words male/female/man/woman/etc", how would the trans/nb characters answer it?
I've seen that one! I think I've answered it myself, in fact (mine is "la croix flavor meme but make it gender". hint of hint of gender)
Kana: none for me, thanks, I'm allergic
Li: ¯\_(ツ)_/¯ I dunno, I just work here
Audrey: voided the warranty by installing mods
Casey: hit all the buttons on the soda fountain to make The Most Gender
Malachi: whichever one sounds sexiest when I'm getting dressed in the morning
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Constance Joly - Le matin est un tigre Editions Flammarion La fille d'Alma est atteinte d'un mal étrange. Là où les médecins parlent de tumeur, Alma est persuadée qu'un chardon pousse dans la poitrine de sa fille. A l'approche de l'opération, un déplacement professionnel pousse Alma à devoir s’éloigner. Et si ce déplacement était une excuse pour se retrouver ? On pense tout de suite à Boris Vian bien sur, mais ce premier roman est bien plus que cela. Constance Joly nous offre un très beau texte sur la transmission mère-fille, sur le poids de nos tragédies et comment elles affectent notre vie et notre entourage. J'ai été charmée par la poésie de ce texte, par la langue envoûtante et par cette mère qui tente le tout pour le tout pour sa fille. Un joli roman à découvrir !
Fiona Mozley - Elmet Editions Joëlle Losfeld, Traduit par Laetitia Devaux Un père et ses enfants dans la forêt, vivant au rythme de la nature. Cette histoire commence comme un joli conte... il fallait donc un ogre. Celui-ci est un ogre moderne, il est propriétaire terrien et s’appelle Mr Price. Il dévore les vies des citoyen.e.s à coups d'asservissement et de chantage. Mais le père est un géant courageux et bienveillant qui ne compte pas se laisser faire quitte à entraîner de terribles conséquences, car toute rébellion possède ses dérives et la frontière est fine.Ce roman d'une grande force communicative pose la question du prix de la vie, du droit à exister, un sujet qui reste tristement et inlassablement d'actualité. Un texte beau, tout simplement, porté par une écriture à la première personne qui nous plonge au plus près des personnages. On y croise des ouvriers et des gangsters à la Peaky Blinders, sur fond de combats organisés, de paris et de règlements de comptes. Je vous le recommande mille fois car c'est juste du tonnerre !
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Première semaine de janvier 2020
Workshop - Thème : Uchronie
Style imposé : le Cartoon
Avec mon groupe, nous avons décidé de produire un court métrage d’animation dans le style des cartoons des années 40, adapté à tout public et à un ton comique et satirique. On a beaucoup joué sur l’absurde par des gags visuels et par la comédie slapstick.
Ce court métrage se base sur une uchronie dans laquelle les Anglais auraient eu un programme spatial fructueux dans les années 40, bien avant les Américains. Il prend la forme d’un petit documentaire, un narrateur omniscient à la voix nasillarde nous décrit l’avancée du projet anglais. On suit donc Lord Earl et Sir Grey, deux riches anglais stéréotypés qui financent et dirigent ce projet spatial qui aura bien du mal à arriver à son objectif.
Mon groupe est composé de : Marie Prevost, Malo Negri, Pénéloppe Devaux, Hubert C. et moi
Je me suis surtout occupée des recherches et du chara design
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Les Gardiens d'Apophis tome 1 : Renaissance de R.B Devaux
Les Gardiens d’Apophis tome 1 : Renaissance de R.B Devaux
17 mai 2019
593 pages
Vampires – Bit-lit – Romance – Sorcellerie – Métamorphes – Érotisme
5,99 € – Ebook
Dans la lutte entre le bien et le mal, êtes-vous sûr d’être dans le bon camp ?XXIe siècle. Le monde vit sous la coupe de différentes races de surnaturels qui se partagent le pouvoir sans que les humains en soient conscients. Seuls les membres de l’élite connaissent leur existence. Les…
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PHILOSOPHIE DU LANGAGE
La théorie des descriptions est sans doute la contribution la plus importante de Russell à la philosophie du langage113. Elle peut être abordée en posant la question de la valeur de vérité des phrases dont le sujet n'aurait pas de référent, comme : « le roi de France est chauve ». Le problème de cette dernière proposition est d'en identifier l'objet, étant donné qu'il n'y a pas de roi de France actuellement. Alexius Meinong a proposé la thèse d'une réalité d'entités non-existantes auxquelles nous nous référons dans le cas des propositions du type ci-dessus. Mais c'est une théorie pour le moins étrange.
Ce problème des descriptions définies inclut des pronoms personnels ou des noms propres. Russell a estimé qu'un nom propre devait être une description définie déguisée. Par exemple, quand on dit « George W. Bush est gentil », on doit vouloir dire quelque chose comme, « le 43e président des États-Unis est gentil. »
Mais quelle est la forme logique d'une description définie comme le précédent ? Comment les paraphraser pour faire apparaître que la vérité de l'ensemble de la proposition dépend de la vérité de ses parties ? Les descriptions définies se présentent comme des noms ne dénotant par nature qu'une seule et unique chose. Mais que dire alors de la proposition générale si l'une de ses parties semble ne pas être correcte ?
La solution de Russell est d'analyser tout d'abord non pas les termes seuls, mais la proposition entière contenant une description définie. « Le roi de France est chauve » peut être selon lui reformulé sous la forme d'une description indéfinie : « il y a un x tel que cet x est le roi de France, et il n'y a rien à part x qui soit roi de France, et x est chauve. » Alors, s'il n'y a pas de roi de France, la phrase devient fausse et non pas privée de sens.
Russell soutient que cette description définie contient une affirmation d'existence (« il y a un x tel que cet x est le roi de France ») et une affirmation d'unicité (« et il n'y a rien à part x qui soit roi de France »), et que l'on peut les considérer séparément de la prédication qui est le contenu manifeste de la proposition générale (« et x est chauve »). La proposition dit donc trois choses sur un sujet : la description définie en contient deux, et le reste de la proposition contient la dernière (la prédication). Si l'objet n'existe pas, ou s'il n'est pas seul en son genre, alors l'ensemble de la proposition est faux et non pas dénué de sens.
Théorie de la connaissance
De plus en plus intéressé par l'épistémologie, qui enveloppe une dimension psychologique et empirique, Russell, en 1940, à la suite de Tarski, et pour éviter certains paradoxes logiques (en particulier, Wittgenstein avait voulu montrer qu'il est impossible à un langage de parler de lui-même, par conséquent la philosophie du langage se voyait réduite au silence), introduit une cascade de langages, le langage de base constituant un langage-objet. Chaque langage parle du langage précédent, sauf le langage de base qui est un langage-objet (il pleut et je dis dans ce langage « il pleut ».) Il démontre que ce langage ne peut pas renfermer les notions de vérité et de fausseté. Il pense ainsi avoir mis en évidence les propositions atomiques dont toute proposition complexe est composée, et qui ne dépendraient pas, par définition, d'une syntaxe. Ces propositions consistent en jugements de perception. Dans ce cas, la proposition enveloppe l'expression d'une croyance, et pas seulement une référence. Si quelqu'un me dit « il pleut », je considère qu'il croit qu'il pleut, et je vérifie cela. Ainsi, la vérification suppose la médiation, psychologique, d'une croyance, qui ressemble fort à une signification distincte de la vérité (du référent). Aussi, Philippe Devaux note que dans cette période, s'introduit une distance nouvelle entre « signification » et « référent ». La signification tend à se confondre avec la croyance contenue dans l'assertion. Tout en essayant de réduire les déictiques égocentrés (comme ceci, je, maintenant) à des énoncés objectifs, il montre également que les connecteurs logiques ont une expression psychologique chez l'être humain, et même chez l'animal. « Non » ne renvoie pas à l'expérience immédiate, il n'appartient pas au langage-objet de base, mais suppose un jugement sur une proposition de ce langage de base. C'est un chien. Non, ce n'est pas un chien. De même pour « oui, c'est bien un chien. » (Signification et Vérité, Flammarion, 1959). Il note (p. 233) qu'il a observé qu'un pigeon, qui avait confondu une pigeonne avec sa compagne habituelle, sembla aussi embarrassé de sa méprise qu'un humain dans une situation analogue.
Pour autant, il démontre qu'il y a un sens à supposer qu'existent en dehors de notre perception et de notre conscience, des choses en soi, que les propositions indiquent, et non pas expriment. Sa démonstration est proche de la conception du symbolisme chez Wolff. Il est possible de poser que mon bureau existe quand personne ne le voit, même si je ne peux pas me représenter ce que c'est que cette existence en mon absence ; il en va de même des sensations que je n'éprouve pourtant pas, quand je dis : « tu as chaud ».
Russell a introduit les notions de knowledge by acquaintance et knowledge by description en philosophie pour désigner deux types fondamentaux de connaissance.
Connaissance directe
Pour être pleinement justifié dans une croyance en la vérité d'une proposition, nous ne devons pas seulement connaître tel fait ou réalité qui donne sa vérité à la proposition, nous devons également avoir une connaissance directe de la relation de correspondance qui existe entre cette proposition et le fait désigné. Cela veut dire que la justification d'une croyance dépend simplement d'un fait : par exemple, « la neige est blanche ». Cette connaissance est directe et immédiate, elle n'est pas le fruit d'une inférence mais découle simplement d'une sensation.
Connaissance par description
En revanche, quand il n'y a pas une telle relation de connaissance, comme la connaissance de l'assassinat de César — que nous ne connaissons pas directement, Russell parle de connaissance par description. Dans ce cas, nous ne sommes pas entièrement justifiés dans notre croyance en la vérité d'une proposition.
Le problème de l'induction
Russell, à la suite de Hume, souligne que la connaissance par induction ne peut être certaine : les lois que nous admettons comme générales n'ont été vérifiées que pour un certain nombre, fût-il grand, de cas particuliers ; cet à-peu-près ne saurait satisfaire le mathématicien, pour qui cette croyance à l'induction découle de l'association et de l'habitude (cf. Hume). Il admet ne pas avoir d'éléments pour résoudre logiquement ce problème, et constate seulement que la démarche inductive fonctionne, sans qu'on puisse expliquer pourquoi dans le cadre de la logique déductive, car toute explication du principe d'induction est une pétition de principe. Voir Théorème de Cox-Jaynes.
Russell libre-penseur et moraliste
Contrairement aux domaines de la logique et de la philosophie, il n'existe pas pour Russell de connaissances éthiques. S'il est possible de réfuter scientifiquement des valeurs morales reposant sur des erreurs manifestes, en revanche, parce que toute morale a en dernier lieu son critère dans le désir humain, il n'est pas possible de proposer un système de valeurs vraies. Pour Russell, on ne peut qu'exposer une conception de la morale, en espérant qu'elle soit partagée par d'autres personnes.
« Une philosophie qui ne cherche pas à imposer au monde sa conception du bien et du mal, non seulement a plus de chance d’atteindre la vérité, mais encore est à un niveau moral plus élevé qu'une philosophie qui, comme l'évolutionnisme et la plupart des systèmes traditionnels, chante sans cesse les louanges de l'univers et y cherche l'expression d’un idéal actuel. »
— B. Russell, Le Mysticisme et la Logique, traduction par Jean de Jenasce, Payot, 1922, p. 52.
Sa morale se résume à l'alliance de l'amour et du savoir114 : sans amour, le savoir est froid et injuste ; sans savoir, l'amour (ou la bonne volonté : le désir d'aider son prochain) est impuissant et peut même être néfaste.
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Renaissance de R.B. Devaux
[Chronique - Bookyneuse] Mon #avis sur “Les gardiens d'Apophis, T1: Renaissance" de @DevauxRb en auto-édition. Ce roman est un coup de cœur énorme, si vous ne l'avez pas encore lu, je vous le conseille !
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Nombre de pages : 524 pages Editeur : Auto-édition Date de sortie : 14 mai 2019 Collection : Urban fantasy Langue : Français ISBN-10 : 2956777009 ISBN-13 : 978-2956777007 Prix éditeur : 17€ Disponible sur liseuse : Oui – 5,99€
De quoi ça parle ?
Dans la lutte entre le bien et le mal, êtes-vous sûr d’être dans le bon camp ? XXIe siècle. Le monde vit sous la…
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#Apophis#Auto-édition#basilic#fantasy urbaine#imaginaire#magie#manipulation#métamorphes#Mythologie égyptienne#prophétie#R.B. Devaux#romance#Secrets#Sorcellerie#Triangle amoureux#Urban Fantasy#Vampires#Zombie
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/tonie-marshall-je-me-suis-toujours-sentie-proche-des-femmes/
Tonie Marshall : "Je me suis toujours sentie proche des femmes"
En 2000, Tonie Marshall devenait la première et à ce jour la seule femme à obtenir le César du « meilleur réalisateur » (oui, au masculin) pour son film Venus beauté institut. Avec Numéro Une, elle entre à nouveau dans l’histoire en explorant le sujet inédit de la misogynie dans les hautes sphères patronales du CAC 40 en suivant le parcours de la première femme à accéder à la présidence d’une grande entreprise du secteur de l’énergie. Rencontre.
Pourquoi avoir choisi de traiter le sujet des femmes dans les entreprises du CAC 40 maintenant ?
C’est un terrain vierge car encore aujourd’hui, aucune femme n’est PDG d’une entreprise du CAC 40, Ce que le film montre se déroule dans tous les milieux, ce sont les même reflexes et la même misogynie que l’on retrouve partout. Aussi bien la misogynie frontale, mais aussi, et cela me semble encore pire car plus insidieux, la misogynie paternaliste, « bienveillante », qui relève d’avantage de l’inconscient et de l’envie de bien faire. Mais elle est nettement plus forte dans ce milieu, et le symbole y est encore plus lisible dans ce secteur où les femmes sont sous représentées. Là, on ne peut pas dire qu’une femme ingénieure a couché pour réussir, elle a forcément travaillé cent fois plus pour en arriver là.
Avant Numéro Une, vous ne vous considériez pas comme féministe. Le mot vous faisait peur ? Qu’est ce qui vous a fait changer d’avis ?
Je me suis toujours sentie proche des femmes, mais je pensais qu’on était au dessus de tout ça. Par exemple, je ne mesurais pas la place de l’auto-censure et j’étais très contre les quotas. Mais pour les besoins du film, j’ai enquêté deux ans auprès de dizaine de femmes qui occupent des postes importants au sein de grandes entreprises, et cela m’a fait complètement changer d’avis. Tout ce qui arrive dans le film est très réaliste, à part l’existence d’un club de femmes aussi puissant. Mais j’ai confiance en l’avenir par l’évolution de chacun. Il faut des électrochocs comme des lois pour rompre avec cette habitude que les femmes ont de ne pas réclamer l’égalité et de se sentir incapables, puis les laisser infuser pour voir opérer une véritable prise de conscience et de réels changements.
Votre film arrive au moment où la parole des femmes se libère, notamment sur le harcèlement. S’agit-il pour vous d’une véritable prise de conscience collective qui portera ses fruits ou d’un simple feu de paille monté en épingle par les médias ?
Les deux ! Toutes les révélations récentes ont fait sauter un couvercle mais si cela n’aboutit pas à une législation qui définit clairement le harcèlement au travail, ça n’ira pas aussi loin que ça le pourrait. Il faut vraiment que la loi fasse son travail.
Avec ces mouvements récents, il est souvent question du rôle et de l’implication des hommes dans la lutte vers l’égalité. Est-ce pour cela que le personnage d’Emmanuelle Devos a besoin de l’aide de Benjamin Biolay pour accéder au pouvoir ?
L’implication des hommes est fondamentale. On sent que les lignes bougent et qu’ils commencent à se sentir concernés, mais cela va prendre du temps. Les réseaux masculins sont tellement puissants que sans mixité, les réseaux féminins n’ont aucune chance de se développer. Je suis persuadée que si les femmes arrivaient en masse à la tête des entreprises, elles réorganiseraient complètement le travail et proposeraient un management différent et une vision globale qui apporteraient une véritable complémentarité qui serait très bénéfique. Mais si elles accèdent aux responsabilités aux compte gouttes, elles n’ont pas vraiment d’autre choix que de rentrer dans le moule masculin. Il faut que les femmes affluent en nombre pour que les choses changent vraiment.
Le 3 novembre dernier, les Glorieuses ont appelé les femmes à arrêter de travailler à 11h44, car si l’on compare à leurs homologues masculins, à partir de ce moment et jusqu’à la fin de l’année, les femmes travaillent gratuitement. L’égalité salariale est-elle le nouvel enjeu féministe ?
Durant mon enquête pour le film, j’ai rencontré Rebecca Amsellem (fondatrice des Glorieuses, ndlr) et elle a été très éclairante. Je pense que les enjeux sont multiples et que tout est lié. Il y a des raisons profondes qui font que les femmes ont du mal à avoir confiance en elles et à se dire « je vaux tant ». Pourtant, cela serait un grand pas vers l’égalité salariale. Les femmes aussi savent créer des réseaux efficaces, il ne faut pas sous estimer la sororité ni négliger la mixité.
Avez-vous pensé à des personnalités en particulier quand vous avez créé les personnages d’Emmanuelle Blachey et d’Adrienne Postel Devaux ?
Pour Adrienne, je ne me suis pas inspirée d’une personne en particulier mais de plusieurs figures de la deuxième vague du féminisme qui ont essuyé les plâtres et avaient emprunté les codes masculins, comme Simone Veil, Françoise Giroud ou encore Delphine Seyrig. Armées de leur courage, elles ont mené des luttes qui ont changé la vie des femmes, alors que je fais partie d’une génération en entre deux, qui s’est un peu reposée sur les acquis, qui ne le sont pas tant que ça car l’on assiste à une constante remise en question des droits des femmes. J’ai choisi des figures qui ont marqué les esprits et à qui l’on puisse rendre hommage. Aujourd’hui en France, il n’y a qu’une femme, Isabelle Kocher (Directrice générale du groupe Engie, ndlr), à la tête de grandes entreprises, mais le personnage d’Emmanuelle Blachey a été construit selon les récits des dix femmes que j’ai suivies pendant mon enquête.
Vous êtes encore à ce jour la seule femme à avoir obtenu le Cesar de la meilleure réalisatrice pour Venus beauté en 2000. Avez-vous subi le sexisme au cours de votre carrière ?
Je ne peux pas dire que j’ai eu à me confronter au sexisme, je n’ai pas senti de verrou particulier, et je n’ai jamais été harcelée, même si j’ai pu noter un peu de condescendance de la part de techniciens, une sorte de « petit machisme » qui ne m’a jamais empêché d’avancer. Mais ce n’est pas parce que ça ne m’est pas arrivé, que ça n’existe pas. Il y a forcément des situations d’abus de pouvoir dans le milieu artistique, comme partout. Quand on exerce un métier d’image et de séduction comme le cinéma, il faut être armé.e pour savoir gérer le désir que l’on suscite, femme comme homme. Mais même s’il est important d’identifier les choses pour pouvoir lutter contre, je me méfie du principe de victimisation qui abime. Il faut éduquer, lutter, légiférer, pas se victimiser.
Comment expliquez-vous que les femmes sont 50% à la FEMIS (Ecole supérieure de l’image et du son NDLR), mais qu’elles ne sont que 23% à réaliser des films en France ?
Je n’ai jamais entendu dire qu’un film ne s’était pas fait parce qu’il était proposé par une femme, et pourtant les femmes restent sous représentées dans le cinéma. J’imagine qu’il n’y a pas qu’une seule raison… Peut-être parce qu’elles font des enfants, et que c’est pour cela que les femmes s’orientent plutôt vers les métiers du scénario, qui permettent de rester à la maison… C’est pour cela qu’il est important que les femmes investissent également la production et la distribution pour développer la présence des femmes. En effet, elles ont un retard à rattraper car les hommes ont investi le film de genre depuis longtemps. Mais elles arrivent, et elles sont talentueuses.
Par Andeline Anfray
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Okay, random question. so we know Rory drives a motorcycle, and Kana drives a convertible, But what do the other RO's drive or would drive if they had a car?(since you mentioned the possibility of Az not driving in the car scene) Hope you have a good day/night/afternoon aswell!!
with added specifics because researching cars was actually a lot of fun 😆:
Rory drives a blue '85 Harley-Davidson FXEF Super Glide that they rebuilt themself. they call her Beatrix
Kana drives a white 2018 BMW series 4 convertible
I haven't settled on an exact car for Sebastian yet. Something intentionally "boring" that doesn't stand out in a crowd, that has enough headroom for someone his size, and is at least 10 years old
Li can drive, but doesn't own a car. Borrows Gavin's car, if they need to go somewhere.
Azalea can't drive and doesn't own a car. If she did, she'd probably own a hybrid or electric.
Gavin owns a powder blue late-60's Chevelle, which has been mentioned in passing once or twice already. He doesn't drive very often, though, so it's kind of become the family vehicle.
Audrey drives a red Volkswagen Beetle. the new model, not the old 60's one.
Nellie drives a hatchback, either black or dark green. I haven't decided if it's a Mazda 3 or Ford Focus, but it's one of the two. has a few aftermarket upgrades
Luke, Mama, Henry, Ana, and Casey all borrow Gav's car instead of owning one of their own.
Mal can drive, but hates doing it, and doesn't own a car.
Anya is 7. Owns a Hot Wheels version of her dad's car
#speaker game#speaker: idle hands#all ros#ih ros#rory kane#kana#sebastian wynric#li cowles#azalea mirin#gavin cowles#audrey cowles#nellie cowles#luke cowles#cowles family#ana leighton#casey jones#mal devaux#cars are not my thing but I hope I did this justice#'beatrix' means traveler :3 that's why rory named their bike that
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I just saw a post of the level of angst of each romance in Speaker. What do you think about the romances options of idle hands? Maybe threshold too?
Also, give Gavin and my daughter Anya my unconditional love ❤️
(original post references is here)
for the At the Threshold folks, I'm still figuring out their dynamics and whatnot, so I'm going to skip them for now
but for the Idle Hands cast:
least to most angst: Anastasia, Casey, Gavin, Mal
slowest burn to whirlwind romance: Gavin, Mal, Ana, Casey
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The last ask got me intrigued : how about the ros from Idle Hands and At the Threshold clothing for a fancy event ? Unless it's spoilers, of course !
I think this technically counts as spoilers, so I'll put it under a cut, but this is fun and I don't think it's going to ruin anything if I tell you 😘
Casey cleans up surprisingly well, for someone whose casual clothes tend to be ripped and/or covered in paint. A suit, either in black or some other dark color, with the shirt unbuttoned a lot more than it needs to be. Doc Martens instead of dress shoes.
Mal looks like they just stepped off the red carpet, but somehow makes it look casual and comfortable. Modern, but never boring or basic. Think Zendaya or Leslie Odom Jr.
Gavin wears a full black on black suit, like a (much) subtler version of Li. With his sunglasses, it makes him look like a secret agent, though he'd never believe you if you told him that.
Anastasia loves glitter and glamor. Looks amazing in gold especially, and likes a nice high slit in the skirt of her dress, both for mobility and to show off her legs.
Bonus: Anya looks like a fairy princess, but also maybe an evil fairy princess. Tulle and frills and glitter as far as the eye can see. Pastel pink and purple and black. Wants to wear a tiara, but takes it off almost immediately and makes Gavin carry it around.
#speaker game#speaker: idle hands#minor spoilers#casey jones#mal devaux#gavin cowles#ana leighton#ih ros#anya cowles
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Some random incorrect quotes for the Ro's from all current speaker books?
okay okay okay, I spent way too long on an incorrect quote generator for these. includes all the Speaker RO's plus Seer, and all the IH RO's. I left AtT out this time, but I may revisit it for them in the future
Azalea:
Sebastian:
Li:
Rory:
Kana:
Seer:
Gavin:
Ana:
Casey:
Mal:
Bonus, Speaker group:
#speaker game#the seer#li cowles#azalea mirin#sebastian wynric#kana#rory kane#all ros#ih ros#gavin cowles#ana leighton#casey jones#mal devaux#this was so much fun
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May I have some Mal facts please? I think I love them a little already 🥺💜
Mal is a Born shapeshifter, not a Changed one. They come from a long line of werewolves. Their maman is the kind of person to make “pedigree” jokes about it.
They’re one of those people who can look frustratingly good in anything. They’ll wear an old-fashioned suit one day - with a cravat and waistcoat and everything (Mallory even owns a Victorian-style bustle dress or two) - and the next day wear ripped jeans and a faded t-shirt, and look flawless in both.
(but they are always wearing colorful, patterned socks underneath it all. They have quite the collection of them)
They are a great lover of poetry, in any and all of its forms. Their favorite is Pablo Neruda.
#speaker game#speaker: idle hands#mal devaux#this isn't a fact about them but a fact about me irt them: I love writing their dialogue so much#there's a cadence to cajun dialects that I find very compelling and lyrical
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it might be super early, with the orpheus/eurydice ask going around ahhhh, which of the ROs from IH and/or ATT would turn around?
Turns around: Casey, Ana, Luke
Doesn't turn around: Mal, Asher, Si
Gavin... could go either way, I think. He'd want to turn around, but I think he'd make it out without doing so (if only barely).
Gwyn would cheat, somehow. They're one of the old fae and know the kinds of loopholes things like this have. Can they turn around if they're blindfolded? Can they touch their partner as long as they don't look at them? Can they take a shortcut?
#speaker game#speaker: idle hands#speaker: at the threshold#ih ros#casey jones#ana leighton#gavin cowles#mal devaux#att ros#luke cowles#asher#s varela#gwyn the hunter#sorry I couldn't choose for gav lol
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fmk 2, electric boogaloo! how would the ih ros react to witness (who they're heavily crushing on but aren't dating /yet/) choosing them for any of the options in a fmk game?
crushing ROs if Witness chooses them for “fuck”:
why?: Gavin
lecherous eyebrow waggle: Casey
if you’re serious, I’m free this evening: Mal, Ana
if Witness chooses them for “marry”:
full mental bluescreen, does not compute: Gavin, Casey
VEGAS BABY: Ana
obviously, who wouldn’t want to marry me?: Mal
if Witness chooses them for “kill”:
how could you, think of the children (Anya is the children): Gavin
how could you, think of the children (me, I am the children): Ana, Mal, Casey
#speaker game#asks#speaker: idle hands#ih ros#gavin cowles#casey jones#mal devaux#ana leighton#taliaferros
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How would the ih ros respond to a shy vs bold mc?
this is probably spoilers, buuuut it’s going to be a while (second half of this year at the absolute earliest) before any of you actually get to see for yourself so I’m gonna compromise and give some vague answers ;)
under the cut for those who want to wait
Casey is boldly flirtatious with a shy Witness and shy and flustered by a bold Witness.
Malcolm/Mallory is very smooth and charming either way. Wants to get a shy Witness to speak up and wants to make a bold Witness blush.
Anastasia is playful and bantery with a bold Witness and sweet (but still playful) with a shy Witness.
Gavin is bad at flirting. At least in the beginning. Shy Witness makes him stumble over his words, bold Witness will get a lot of glaring-and-blushing-at-the-same-time.
#speaker game#asks#speaker: idle hands#ih ros#casey jones#mal devaux#ana leighton#gavin cowles#two of the five cowles siblings are very good at flirting and neither of them are gav#he exists to make the others look smoother by comparison#Anonymous
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Hello, I can't find it anywhere so I wanted to ask. What are the ages of the main cast of Speaker (also IH and AtT)? Ages of Seer and Speaker are up to the player, yes? What is the possible age range for them? Is Li same age as the MC?
I’ve mentioned some of it here alongside their birthdays, but if I were to give specific numbers:
Speaker/Seer are in their mid-20s. probably 24-26, but possibly as young as 23. old enough that living on their own isn’t weird, but young enough that they feel unprepared for it. (they can be older or younger than this if you want, it is ultimately up to you, but this is how I imagine them and that probably bleeds into the writing a bit)
Liam/Lily is the same age. they were in the same year at school, so they were born within a year of each other.
Azalea is 2 years older than Speaker, 26-28.
Kana is a year younger, 23-25
Rory is 2 years younger, 22-24
Sebastian is 3 years older, 27-29
The Witness is in their late-20s to early-30s, I’d say probably 28-30. old enough that they would have been settled into their life as it was, before the events that led to them being the main character of an interactive novel.
Gavin is almost exactly 2 years older than Li, born in the same month, so he’s 26-28.
Anastasia is the same age as Gav, 26-28
Casey is 3 years younger than Witness, 25-27
Malcolm/Mallory is 31-33, so 3 years older than Witness.
Anya is 7.
Luke is 3 years younger than Li, 21-23
Nellie is 5 years older than Li, and so she’s 29-31
Audrey is baby, she’s 15-17, so 9 years younger than Li/Speaker/Seer.
most of the AtT crew’s ages are actually spoilers ;) except Luke’s, which is mentioned above, and Gwyn’s, who is, in a word, ancient. we’re talking upwards of 2000 years old ancient. they are literally a figure from Authurian legend, and they were already old even then.
#speaker game#asks#speaker: idle hands#speaker: at the threshold#all ros#ih ros#att ros#the speaker#the seer#li cowles#azalea mirin#kana#rory kane#sebastian wynric#the witness#gavin cowles#ana leighton#casey jones#mal devaux#anya cowles#luke cowles#nellie cowles#audrey cowles#gwyn the hunter#(yes asher silas/silvia and the guardian's ages are spoilers I'm sorry#all in due time)#tpcignits
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