Tumgik
#maison a vendre au bord de l'eau
borddeleau-estrie · 5 months
Text
Lac-Megantic (lac)
flickr
2 notes · View notes
soumcourtiers · 1 year
Text
Vérifications essentielles avant achat de chalet
Il est certes bien intéressant de se procurer un chalet au bord de l’eau, mais il ne faut pas oublier d’effectuer certaines vérifications avant l’achat. Parmi les vérifications essentielles à faire ressort l’importance de savoir si le chalet possède un raccordement à Hydro-Québec et si les services s’y rendent. Quel type de chauffage dessert le chalet et est-il possible de vivre au chalet durant toutes les saisons ou bien seulement 3 ? Ne laissez pas l’achat d’un chalet sur le bord de l’eau au hasard. Faites confiance à des spécialistes de l’immobilier, nos partenaires, des courtiers immobiliers de partout en province (Montréal, Saguenay, Gatineau, Trois-Rivières, Québec, Sherbrooke…) pour trouver le chalet qu’il vous faut. Remplissez le formulaire au https://soumissionscourtiers.ca/petit-chalet-a-vendre-pas-cher-bord-eau et bientôt, des professionnels du secteur désiré vous contacteront (c’est sans frais et sans engagement) pour vous faire part de la liste des propriétés qui pourraient vous intéresser. Comparez-les avec soin et faites un choix éclairé.
0 notes
fallenrazziel · 5 years
Text
Les Chroniques de Livaï #418 ~ UNE PERSONNE IRREMPLACABLE (octobre 845) Erwin Smith
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Tumblr media
La diligence roule depuis un moment sur un chemin moins raboteux, j'en déduis que nous approchons de Trost. J'ai décidé de faire la route de nuit car je me languissais de revenir. Mais j'ai tenu ma promesse à Livaï : une semaine de vacances loin du bataillon.
Je suis fébrile à l'idée de rentrer. Je me demande ce qui s'est passé durant mon absence. Malgré moi, la vision d'un régiment sens dessus dessous, où règnent le désordre et le laisser-aller, me hante depuis le début. Cela ne m'a pas empêché de me détendre et de prendre du bon temps, mais l'inquiétude n'était jamais loin...
J'ai profité de ces congés forcés pour me rendre à certains endroits que je n'avais pas visités depuis longtemps. Investir de nouveau la maison familiale m'a fait un drôle d'effet. Des tas de souvenirs y sont demeurés attachés... Mais j'en ai aussi profité pour fleurir la tombe de mes parents. Je ne me souviens quasiment pas de ma mère, elle est morte peu de temps après ma naissance, mais le souvenir de mon père est toujours vivace... Je n'ai pu cesser de me demander, devant cette pierre tombale, s'il serait fier de ce que je suis devenu... Il vaut mieux peut-être que cette question demeure sans réponse ; pour l'instant... Je pourrais peut-être y répondre quand j'aurais atteint mon objectif...
J'ouvre la fenêtre et jette un oeil dehors. Il est encore tôt, les lumières de Trost-Nord viennent juste de s'éteindre. Quelques explorateurs doivent déjà être réveillés à cette heure. Les paysans matinaux se rendent aux champs avec leurs outils et leurs chevaux, en sifflotant avec insouciance. Tous ne sont pas si heureux ; les journaux de Stohess ont encore fait état d'une recrudescence de suicides dans le milieu rural car les prix ont dû être cassés pour nourrir l'afflux de réfugiés sans ressources venus de Maria. Obligés de vendre leurs produits pour presque rien, cela a mené nombre de familles à la ruine.
Même ceux qui ont choisi une vie simple et tranquille paient le contrecoup de cette catastrophe. Raison de plus pour reconquérir le territoire perdu. Tous les intérêts convergent vers cette unique option.
Mais toutes les blessures ne peuvent être réparées... toutes les fautes ne peuvent être pardonnées... même si nous y arrivons... Mais cela sera un pas de géant... Oui...
Un nid de poule fait tanguer la diligence et j'entends le cocher crier un "désolé, monsieur !" à l'extérieur. Je regarde par la fenêtre et aperçois le poste de garde précédant l'arche nord. Je prépare mes papiers d'identité et les présente au soldat en faction. Il s'incline très légèrement devant la diligence et la laisse entrer en ville.
La rue familière se déploie vers le sud et les hauteurs du QGR piquent le ciel qui se teinte progressivement d'orange et de rouge. Le bataillon et tous ses soldats semblent m'appeler à grands cris, me tendre les bras, et je me sens infiniment heureux d'être revenu. Finalement, c'est ici, parmi eux, que se trouve mon vrai chez moi.
Plus que quelques mètres et je serais réellement rentré. Je n'ai pris aucun bagage, car rien de ce qui se trouvait dans la maison de mon père n'aurait été utile ici. Enfin... j'ai tout de même eu envie d'emporter quelques-uns des livres qui restaient. Ceux-là ne sont pas jugés particulièrement hérétiques mais comme ils sont rares et intéressants, je me suis dit qu'ils plairaient à Livaï.
Ah.. il a bien réussi son coup. Et je ne peux lui en vouloir car je lui ai tendu le bâton pour me battre. Comment pourrais-je lui en vouloir d'ailleurs ? J'ai apprécié ces quelques jours à me promener au bord de l'eau, à marcher en forêt, à regarder les gens vivre leur vie normale... Si normale... Jamais je n'aurai pu me contenter d'une telle vie. Mais c'était agréable. Mon esprit n'a pas quitté les explorateurs, mais mon corps s'est réellement reposé.
Nous arrivons. La diligence se gare devant la cour du QGR. Je descends sans me presser, paie le cocher, et laisse le véhicule repartir sans regret. Je cherche des yeux un visage familier et ne tarde pas à en trouver. J'aperçois Berner et Emmerich dans un coin de la cour, avec leur courroies dans les mains. Apparemment, ils se sont levés tôt pour s'entraîner avant les autres. Bien, pas de laisser-aller à ce que je vois ! Ils m'aperçoivent à leur tour, et me saluent avec sur le visage une expression de surprise pas du tout dissimulée ! Berner, où se trouve Hanji ? Il m'indique les réserves et je m'y rends de ce pas.
Je la trouve effectivement dans l'entrepôt de matériel, et je la laisse terminer sa tâche avant de me faire remarquer. Elle donne des ordres de façon autoritaire et je suis très impressionné quand je vois les soldats lui obéir sans discuter. On dirait qu'elle a pris de l'assurance pendant mon absence... Je lui tapote l'épaule, elle se retourne et tombe presque à la renverse en me voyant. Ok, elle n'a pas tellement changé en fait... Et bien, Hanji, remet-toi ! Si ma présence t'indispose à ce point, je peux très bien repartir. Elle se met presque à pleurer en bégayant que mon retour était la meilleure chose qui pouvait lui arriver. Je vois, cela a été dur pour vous ? Elle hoche la tête frénétiquement en répondant que Livaï l'a forcée à accomplir toutes les taches barbantes, qu'elle en a assez et qu'elle voudrait aller s'enfermer dans son labo. Je vois, ce Livaï, quel bourreau !... Tu as terminé ? C'est la réappro pour la prochaine expédition ? Elle se frappe la poitrine et me remet la longue liste de fournitures en main propre. Bien, je la lirai et la signerai comme il se doit tout à l'heure.
Je sors de la réserve, suivi d'une Hanji pas mécontente d'elle, et pénètre dans l'aile du bataillon. Les couloirs sont assez silencieux, même si j'entends des éclats de voix en provenance des salles de bain... Cette agitation me fait réagir, me procure un plaisir que je ne peux trouver ailleurs que dans le régiment. A l'étage supérieur, je croise Mike accompagné de Nanaba, devisant dans le corridor comme deux bons amis. Leur vue me donne le sourire et je leur fais signe en les appelant. Mike se précipite sur moi et me flanque une claque sur l'épaule. Nanaba n'est pas aussi démonstrative et me salue avec respect avant de s'éclipser. Et bien, vieux filou, tu as recommencé à la séduire en profitant de mon absence ? Plus rien ne fonctionne ici, à ce que je vois !
Mike rétorque que tout fonctionne très bien même s'il n'a plus d'idée pour les exercices. Je vois, c'est toi qui t'es occupé de ça ? Je dois donc en déduire que les explorateurs sont en forme et opérationnels ? Il lève le pouce et me lance que les troupes sont au top. Bien, c'est presque à se demander pourquoi je suis là... Je vais finir par me sentir inutile... Il me rassure en affirmant que ce n'est pas facile de faire mon boulot et qu'il s'en passerait bien. Je veux bien te croire ! Allez, va rejoindre ton escouade, tu as assez donné. Je passerai les explorateurs en revue dans l'après-midi, histoire de m'assurer des résultats. De retour... Devant la porte de mon bureau, j'ai presque du mal à me dire que c'est le mien. Mais quand elle se met à grincer familièrement, avec cette légère résistance dans la poignée que je connais bien, je me replonge immédiatement dans mon corps de militaire.
La première chose que je constate, c'est la propreté du lieu. Tout est parfaitement astiqué et les lambris brillent comme des miroirs. Mon lit a été refait au propre, les fenêtres sont translucides et laissent les rayons du soleil éclairer mon bureau ; mon bureau... occupé.
Je pends mon manteau dans l'entrée et reste fixé sur le fauteuil, dans lequel est assis - ou plutôt affalé - Livaï, le visage posé de côté sur la table. Il est toujours en uniforme, et je distingue que la plume s'est échappée de ses doigts détendus par le sommeil. J'essaie de ne pas le réveiller. Je devine ce qu'a dû être son calvaire pendant une semaine... Il s'est chargé lui-même du travail le plus pénible et le plus difficile pour lui, pour ne pas l'imposer aux autres. Il a assumé son choix jusqu'au bout.
Je me penche et observe son visage. Sa joue est écrasée sur un parchemin et ses sourcils sont froncés, signe que son sommeil n'est pas si paisible. J'écarte une mèche de cheveux de son front et le trouve plus pâle que d'habitude. J'espère qu'il n'a pas mis sa santé en jeu, je ne le permettrait pas... Je prends la plume de ses doigts et la replace dans l'encrier. Le léger bruit qui en résulte suffit à le faire émerger et je le vois s'étirer doucement sur le bureau comme un chat qu'on aurait dérangé. Il se redresse en se grattant la nuque, se frotte les yeux et me remarque enfin.
Son expression est indéfinissable. J'y discerne à la fois de la gratitude, de la surprise et un soupçon d'agacement. Et bien, tu n'es pas content de me revoir ? J'ai tenu mon engagement. Il saute du fauteuil en titubant et essaie de se rattraper en se tenant au bureau. Je le soutiens un moment à bout de bras. Doucement, qu'est-ce qui t'arrive, tu vas bien ?
Il se met à parler très vite. Il me dit que j'aurais quand même pu donner un jour précis pour mon retour, que ce bureau est trop petit, qu'il y fait trop chaud, qu'il aimerait sortir, voir du monde, que mon fauteuil est trop grand et dur, que ma plume fait mal aux doigts, et que si jamais il me prend l'idée de me faire la malle de nouveau, il faudra en discuter ! Livaï, tu es dur tout de même ! C'est toi qui m'a obligé à partir, je te rappelle ! Il grommelle que c'est vrai mais qu'il a fini par le regretter. Ah ? Pas moi, j'ai bien apprécié ces congés.
Son visage s'éclaire alors et il répond que c'est une bonne chose, et que finalement il ne regrette rien. Tu ne vas pas faire la girouette toute la journée, non ? Je suis content d'avoir pu me reposer, tu es satisfait ? Mais toi, tu n'as pas l'air d'aller bien. Et tu as... de l'encre sur la joue. Il se met à frotter son visage avec énergie mais la tache ne part pas. Il me semble à fleur de peau... Ca ne lui ressemble pas. Livaï, dis-moi ce qui ne vas pas ? Tu es malade ?
Il me signifie "non" de la tête en se dirigeant vers ma salle de bain pour se nettoyer le visage ; juste que mon absence a été plus dure à supporter que prévu. Apparemment, tenir mon rôle est fatiguant et il comprend mieux ce que je dois subir tous les jours. Je suis satisfait que vous en ayez tous conscience à présent. Il me promet de ne plus se moquer de mon travail administratif. Je vois la pile de papiers qui recouvre le bureau. Tu as signé à ma place ? Seulement les documents les moins importants, qu'il répond, les autres sont rangés dans mon tiroir de droite. Et bien... je ne sais pas si je dois te féliciter pour avoir joué le faussaire en mon nom pendant une semaine, mais je me doute que c'était inévitable. Et puis personne n'est obligé de le savoir après tout.
Livaï se détend en comprenant que je ne suis pas fâché. Je suis sûr qu'il a fait les choses proprement. Il ajoute que justifier mon absence tous les jours a été très compliqué et il pense que Nile a eu un doute. Je m'occupe de Nile, pas d'inquiétude.
Je le détaille un moment. Tu me sembles amaigri, tu n'as pas perdu l'appétit tout de même ? Il répond qu'il n'était pas dans son assiette ces derniers jours mais que là, maintenant, il a une faim de loup. Il a beau dire mais son état actuel ne me semble pas seulement lié au travail qu'il a dû abattre ici... Tu veux prendre ton bain avant ou après ton petit déjeuner ? Juste pour savoir si je peux aller me laver avant toi. Il écarquille les yeux. Et bien, oui, je reprends les bonnes vieilles habitudes, je ne les ai pas oubliées !
Il répond qu'il va aller se restaurer car il préfère me laisser me décrasser avant. J'ai l'air si sale que ça ? Je vais y remédier tout de suite. Il s'apprête à sortir mais souhaite me dire une dernière chose. Il annonce avec sérieux que si un jour j'ai besoin d'aide pour ce travail, ou si je veux simplement aller prendre l'air ou m'entraîner au lieu de rester cloîtré ici, je peux lui demander ; maintenant, il connaît bien cette routine et si je veux lui déléguer un peu d'administration, il ne refusera pas. C'est... très gentil, Livaï. Je n'y manquerai pas. Il ajoute que Mike et Hanji pensent la même chose, et que je devrais leur confier plus de taches de ce genre afin d'alléger mes journées.
Tu as raison. Je ne vous délègue pas assez les choses. J'ai une sale manie de vouloir tout faire tout seul... C'est un défaut, je sais... Shadis était pareil et je me suis juré de changer ça. J'ai tout à fait confiance en vous mais je ne vous l'ai pas assez montré. J'avais peur de... vous ennuyer en vous imposant des charges autres que celles que vous assumez déjà. Mais vous m'avez montré que vous en êtes tout à fait capables, alors... peut-être que vous pouvez vous passer de moi....
Il met les deux mains sur le bureau, furibond, et me fixe avec colère. Il s'exclame que je suis irremplaçable et que ce n'est pas parce qu'ils m'ont difficilement remplacé à trois que cela veut dire que je suis inutile. J'ai tout à fait compris, caporal ! Merci de me le rappeler !
Il se sauve dans le couloir cette fois et je médite sur ses derniers mots qui m'ont fait un bien fou. Irremplaçable ? Je ne sais pas si c'est vrai, mais l'entendre dire est toujours réconfortant...
Merci à vous trois, je ne serais pas grand chose sans vous.
20 notes · View notes
voyagedametnoe · 5 years
Text
[13 aout 2019 ~ Tuuloma, Russia]
Nous voila donc partis de Mourmansk. Vu nos petits problèmes dans cette ville, on a préféré se barrer vers la Norvège. On se dit qu'on peut essayer de quitter la grande route pour faire un petit tour vers l'intérieur des terres. On est pris par des militaires sympas qui vont nager dans un lac. Pourquoi dans un lac, allez savoir. Ils nous montrent des photos de leur datcha au bord de la mer blanche.
On est déposés dans un petit village, toujours composé de barres d'immeuble. Un vieux qui sent l'alcool vient nous demander un peu d'argent (mais pas pour acheter de l'alcool dit-il), il est super gentil et pas relou et il tappe la discussion à Matis pendant 3 heures en lui racontant tous les membres de sa famille qui sont allés en Europe et son chat qui mange sa viande dans son dos. Des gamines à vélo viennent nous demander qui on est. Elles font du stop avec nous en mettant leur main tout près des voitures qui passent, on a un peu peur qu'un camion les leur arrache. Un vieux de 70 ans nous embarque dans sa camionnette, direction Tuulola. Il est marrant. Quand Matis lui demande de répéter il lui parle toujours aussi vite mais en lui HURLANT dans les oreilles. Il transporte des légumes et des trucs à vendre, je suis assis au milieu des cartons. Il nous dépose dans le désert russe. Comprenez la forêt à l'infini. Y'a rien. Mais alors rien du tout que de la forêt. On tente de continuer vers la frontière mais y'a tellement personne sur la route qu'on décide de retenter le lendemain matin et d'aller dormir dans le village.
Ce village là est plus beau que ceux qu'on a croisés jusque-là. Il est construit au milieu de la forêt, qui subsiste à travers lui. Les bâtiments sont éloignés les uns des autres, au point qu'on ait l'impression que la forêt s'est incrustée un peu partout. Il y a des rangées de belles maisons en bois, et toujours les mêmes barres d'immeubles en béton, juste un peu plus abimées qu'ailleurs. On tombe sur un petit marché au pied des barres, on se fait un petit kiff de charcuterie biélorusse et de pâtes fraiches. On trouve où dormir derrière la belle église en bois du coin, entre elle et un champs de patate. On a un peu peur que les gens voient notre tente et nous engueulent alors on se cache un peu. On est tous les 3 recroquevillés dans un coin quand la vieille qui vient arroser les fleurs de l'Église passe et on lui gout une trouille des enfers. On va lui parler un ey anxoeux. Elle nous dit qu'on a choisi le bon endroit parce que les chiens en liberté sont un peu chiants. donc benef. C'est vrai qu'il y a plein de chiens errants. Ils sortent d'on ne sait où dans la forêt, par 3 ou 4, viennent nous sentir et repartent. Quand Matis sort acheter de l'eau, il est alpagué par 2 mecs complètements bourrés de la mort qui lui demandent comment faire sortir le démon de leur vie un truc comme ça. Les gens ont l'air plus heureux ici qu'à Mourmansk quand même. Ils émergent de la forêt en rigolant tout seul, bourrés ou non.
2 notes · View notes
conyersmooney · 3 years
Photo
Tumblr media
Maison à vendre Bord de l'eau dans l'Estrie
https://auborddeleau.ca/ se consacre exclusivement à la promotion et à la vente de propriétés situées au bord ou près d'un point d'eau dans la belle région de l’Estrie.
Lorsque vous confiez l’inscription de votre propriété à votre courtier immobilier Steve Lemay vous bénéficiez d'un plan de mise en marché des plus élaborés et des plus efficaces pour réussir sur le marché de l’immobilier.
Steve représente, depuis plus de 22 ans, les propriétaires de l'Estrie qui souhaitent vendre leur maison, leur condo ou leur chalet rapidement et ce au meilleur prix possible. Expertise, simplicité, disponibilité et efficacité sont ses principales forces.
Au bord de l'eau | Steve Lemay - Courtier Immobilier Proprio Direct 1850 Ernest-Thériault Sherbrooke, QC J1E4K5 Téléphone : (819) 446-4476
0 notes
voituresetmotos · 5 years
Text
Bienvenue dans mon chalet d'été
Tumblr media
Kristen Lee Hier 15h05 • p FancyKristen 13.0K 164 1 Tous les crédits d'images: Smith & Associates Real Estate Vous savez comment parfois vous voulez simplement vous évader dans une vie simple? Éviter toutes les complications de la métropole et se replier sur quelque chose de modeste et pittoresque pour un changement? Eh bien, vous ne le feriez pas, avec tous vos prêts à rembourser, mais utilisez votre imagination pendant une seconde. Je me sens généreux aujourd'hui et je veux vous montrer cette petite propriété que j'aime utiliser comme chalet d'été. Situé sur une petite 36 acres et à 36 361 pieds carrés, le chalet au bord de l'eau a 12 salles de bain complètes et 14 salles de bain et demi. Je n'aime pas me baigner ou me laver les mains dans la même salle de bain à différents jours de la semaine, vous voyez. Juste une petite bizarrerie de la mienne! Il y a aussi huit chambres - pas pour les invités, Dieu non - mais pour la ménagerie itinérante que je garde avec moi en tout temps. Le tigre vient de mutiler une servante ce matin, bénis son cœur. Donc, si vous entrez dans mon foyer, nous pouvons commencer. Vous aimez les sols? J'ai fait marcher les tuiles du Maroc. Non, comme, je veux dire que j'ai fait porter mes serviteurs à la main et marcher ici du Maroc. Bien sûr, je les laisse prendre un bateau si nécessaire! Je ne suis pas un monstre. C'est la salle où je prends bon nombre de mes appels et réunions d'affaires. Il est très difficile de faire sortir le sang de tous les tissus d'ameublement de couleur claire, mais je ne pouvais tout simplement pas résister à ce schéma de couleurs. Et le peroxyde d'hydrogène fait vraiment des merveilles sur les taches. Une grande partie de mon divertissement se passe ici. Lorsque vous ouvrez toutes ces portes françaises, la brise souffle sur l'eau et jusque dans la maison. Parfois, de l'argent - des factures littérales - soufflent également. C’est vraiment très agréable. Voici où je prends la plupart de mes repas. Jamais rien de lourd, juste un avant-goût de caviar, une gorgée de champagne. C'est l'été, après tout. Ne vous laissez pas berner par le grand nombre de chaises. Ils ne sont pas pour des subalternes comme vous, ils sont pour mes meilleurs amis, les Marques. Rolls-Royce, Bentley et Aston Martin. Ils ont toujours pris soin de moi. Je ne passe pas beaucoup de temps ici. Mais je crois que c'est là que le personnel prépare la plupart des repas. Peut-être y dorment-ils aussi? Je ne suis pas sûr. Voici où je me retire pour faire mes meilleurs intrigues et complots. Eh bien, l'assassinat de [SUPPRIMÉ] a été imaginé dans cette même pièce! Ceci est ma chambre du jeudi. Je ne passe que les jeudis ici, mais dernièrement, je pense que je pourrais le convertir dans ma salle de coke Nap jeudi après-midi. Tu sais. Changez un peu les choses. Une de mes salles de bain préférées. Je ne peux pas vous dire combien de trempages à l’eau de rose j’ai eu dans cette cuve en sirotant des martinis et en jetant des olives au jardinier. Divin. Qu'est-ce que je cache dans tous ces placards? C'est pour moi de savoir et de ne jamais le découvrir. Drogues!? Qui a parlé de drogue? Certes, ces salles ne sont pas très utilisées. Les jeux ne sont plus vraiment amusants depuis que j'ai perdu une fois contre la femme de chambre et que j'ai dû la bannir par la suite dans l'une de mes propriétés désertiques pour superviser le comptage du sable. Le reste de l'aide ne voulait plus trop jouer avec moi après ça. En tous cas. Allons dehors! De toute évidence, il y a une piscine. Duh. C'est une piscine d'eau salée et en fait remplie des larmes de mes ennemis. Ils pleurent beaucoup. Ils ont de bonnes raisons de le faire. Voici où je m'assois et contemple la domination du marché. Les chevaux vivent ici. Seuls les meilleurs modes de vie pour les meilleures bêtes avec les lignées les plus propres que l'argent puisse acheter. Une fois, j'ai trouvé le garçon stable dormant ici. Il est allé pêcher et n'est jamais revenu. Ceci est une pièce pour mes voitures. Je ne supporte pas l'idée qu'ils doivent dormir dehors la nuit. Je me conduis, tu sais. Vous pensez que ma vie est juste un tour de chauffeur sans fin après l'autre? (C'est le cas.) Mais parfois, j'aime le slumming dans une Lamborghini. Cela me fait me sentir plus connecté avec les gens. Capture d'écran: Et enfin, oui, il y a un petit circuit de conduite sur la propriété. Rien d'énorme, seulement huit petits virages. Parfois, quand je m’ennuie, je fais courir les domestiques avec des planches à roulettes dessus. Le gagnant reçoit un repas chaud. Ils sont très motivés. Je pense à vendre bientôt. Oh oui. Es tu intéressé? Je vais m��me envisager un accord pour vous, avec vos prêts existants et tout. Comment sonne 17,5 millions de dollars? Appelez Smith & Associates Real Estate si vous êtes intéressé. via Road & Track
0 notes
mawax-astache-blog · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Aller on se met à jour une fois de plus. Plus les jours passent moins ce blog est actualisé décidément. La dernière fois, il y a presque 3 mois, je quittais la Tasmanie avec mon travelmate si mes souvenirs sont exacts et vous vous en doutez... l'eau à coulé sous les ponts depuis. En gros les étapes furent Great Ocean Road - Wilson  Promontory Park - Sydney - recherche d'un nouveau travelmate - aller retour sur la côte est jusqu'à Cairns. En quittant la Tasmanie nous avons finalisé la partie notre exploration pour ce binôme que nous representions mon travelmate et moi avant d'atterrir à Sydney. Nous avons donc roulé le long de la Great Ocean Road durant 2 jours ce fut tellelent agréable se roulé avec un cadre de falaise en bordure de mer que le temps paraissait figé lors de cette excursion. Nous avons ensuite retrouvés nos amis oû l'on faisait du HelpX le weekend. Mais aussitôt retrouvé aussitôt quitté en raison de notre planning basé sur la date de notre présence à Sydney pour le stage de mon travelmate. Nous avons donc fait un tour au Wilson Promontory Parc avant de prendre la route pour Sydney. 3 jours pour effectuer la distance Melbourne - Sydney. Une fois sur place chez le nouveau colocataire on a vider ses affaires du van et je suis resté quelques jour pour profiter de l'espace d'une maison et de la compagnie de mon travelmate et de son compagnon avant de reprendre la route. A mon sens, Sydney en sois n'a rien d'exceptionnel. Il s'agit d'une grosse ville  très occupé par ses citoyens avec quelques emplacements emblématique tels que Darling Harbour, Bondi Beach, l'Opéra House. Sur place j'ai effectuer une formation technique de Barista, il s'agit tout simplement du métier que je veux exercer plus tard. Pour des raisons économiques et sociales j'ai publier une annonce pour rechercher un nouveau travelmate afin de partager les frais de route et l'aventure tout simplement. J'ai donc à mes côtés une jeune française très sympathique qui était partante pour effectué la route avec moi sur la côte Est. Cependant cette derniere avait un loyer d'une semaine en cours lempechant de partir avec moi dans l'immédiat et des clients de mon temps de serveurs m'avaient inviter à passer quelques jours chez eux lors de mon voyage sur la côte est. La date de cette rencontre étant déjà prévu et la localisation étant à Brisbane nous avons commencé à voyager ensemble à partir de Brisbane suite à sa venue en avion. Avant de partir les quelques jours passés chez ses clients furent formidable. Des gens d'une gentillesse hors du commun me faisant passer de la vie de nomade à une vie de rois. Apero sur leur bateaux assistant au couché de soleil au loin derrière les Glass House Mountain. Une cuisine qui change totalement de nos pâtes habituelles. Accès à leur piscine. Excursion à l'île de Tengalooma où j'ai pu effectuer pour la première fois du Snorkeling parmi les épaves de bateaux et les poissons colorés. Leur fils est devenu comme un petit frère pour moi et passionné par le travail du bois il m'a enseigner comment réaliser le stylo que j'ai fait (voir photos). C'est après ces quelques jour que ma côté est à commencé pour ma nouvelle travelmate et moi. D'emblée de jeu j'ai poser une date oû nous devions être arrivé à Melbourne car le travail à une part importante pour mon avenir. Nous avons donc établis une ligne directrice avec une estimation de notre présence sur la côte pour notre voyage. Le début fut génial. Achat d'une guitare pour être au mieu dans l'ambiance bord de mer, surf et détente. Ce fut l'occasion d'effectuer mon premier cours de surf. Ce fut vraiment comme j'aime à dire : Au Top ! Cependant après la semaine de rêve la semaine de calvere à commencer. De la pluie provoquant des inondations sur la route et ne facilitant pas non plus la sèche de nos affaires dans le Van. Le Van.... parlons en... problème inconnu surgissant sur un grand axe me contraignant à appeler la dépanneuse. Heureusement que j'ai souscris l'assurance en début d'année sinon j'aurai sûrement du vendre ma mère pour m'en sortir (Pauvre maman mdr.) Une fois rapatrié au garage et après un examen du van la cause de la panne est incertaine. Meilleur solution  ? Changer la pièce éventuelle la moins onéreuse et prier pour qu'il n'y ait plus de problèmes. Ce que j'ai fait, pas le choix en même temps. Du coup nouvelle batterie installé et après conseil du garage nous sommes resté au alentours quelques temps au cas oû un autre problème se manifesterai. Je vous le donne en mille ... j'ai repassé un coup de fil sympathique à la dépanneuse non pas parce que la standardiste avait une voie charmante mais bien sur parce que Natacha ma encore lâchée. De retour au garage, après une après midi de test sur le van encore aucune certitude sur l'origine du problème . Pleins de solutions proposés me coûtant limite l'ensemble de mon budget voyage. Au final le van à redémarrer parfaitement, j'ai croiser les doigts pour ne plus tombé en panne. Et jusqu'à présent tout fonctionne bien ;) Je pense qu'en roulant dans une flaque d'eau un peu trop vite de l'eau à pu s'infiltrer dans le moteur... vrai ou faux on ne sera probablement jamais. Le mauvais temps nous a suivis tout le long de la Côte Est ruinant nos paysages nous sommes donc monté au plus vite à Cairns de manière à avance rapidement dans le planning et espérer profiter du potentiel beau temps sur le retour. Nous sommes donc resté un moment au dessus de Cairns car nous étions à proximité du Cyclone Debbie qui a frappé Townsville ce mois de mars. Heureusement nous étions hors de portée et nous avons pu jouer les touriste dans cette région de l'Australie. Au programme culture aborigène: dijiridou et lancer de boomerang, forêt tropicale et cascades, ferme de crocodile, marche à pied et baignade dans les parcs nationaux etc. Ce fut une partie de L'Australie que j'ai beaucoup apprécié malgré la chaleur et l'humidité régnante là bas. Sur le retour nous sommes passés dans les terres en raison du cyclone et des routes encores inondés. Je me suis payé une excursion sur l'île de Lady Eliot oû j'ai passer 2 jours de rêves à nager avec les tortues vertes et les raies manta. Au retour de mon excursion nous avons effectué un saut en parachute au coucher de soleil au dessu des Fraser Island.... tout simplement sublime et sensationnel ! Avant de passer Brisbane je suis retourné chez les clients qui mon  hébergé de manière à leur dire au revoir. Ainsi ma travelmate à pu bénéficier de leur gentillesse également. Nous avons à nouveau passer de superbes jours à leurs côté nous faisant oublier notre malchance sur la côte est. Après des aurevoirs larmoyant nous avons pris la route pour Sydney oû je suis repassé saluer le colocataire de mon ancien travelmate qui était déjà rentré au bercailles à ce moment là du voyage. En dessous Sydney nous nous sommes arrêté une semaine à Gerringong oû nous sommes restés chez d'autres clients qui m'avaient egalemenr demandé de passer les voir lors de min voyage. Ces gens ont reelement le coeur sous la main. Imaginer  vous discuter moins de 5 minutes avec des personnes qui ne vous connaissent pas et que ces derniers vous ouvrent les portes de leur demeure pendant quils ont absent au travail en vous donnant acces intégrale à leurs biens sans rien vous demander en retour mis à part de profiter. Nous avons eu de formidable moments avec ces gens et j'espère reelement les revoir car ce fut une fois de plus en larmes que nous avons quitté ces personnes. Mon voyage en Australie ma effectivement montré de superbe paysages mais ce que je considère être ma plus belle expérience c'est le relationnel exceptionnel des australiens. La partie votage en Australie est pratiquemenr fini. Jai vecu tout ce dont je revais lors de ce voyage et Je sens que mon anglais a évoluer. Je regrde tout mes films et series en VO non sous-titré. Jai deja fini 2 bouquins en anglais dont anges et demons de Dan Brown. Pour l'heure je suis sur la route en direction de Melbourne oû un entretien d'embauche m'attend pour le poste de Barista que j'effectuerai pour les 5 mois à venir pour terminer mon visa. Fin du Roman ;)
4 notes · View notes
revesdevoyage-blog1 · 8 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
3-5 février 2017 - Varanasi
La vieille ville de Varanasi est un condensé des multiples facettes de l’Inde :
En arpentant ses ruelles, on longe des dizaines de petits magasins qui vendent des habits traditionnels indiens ou des articles destinés aux touristes. Ici, une vache (que dis-je, des vaches !) se fraye un chemin entre les passants, lorsque se ne sont pas eux qui s'en frayent un parmi elles. Là, un Indien accroupi devant une casserole prépare le chai qu'il essaie de vendre à grand coups de "chai, chai, chai, garam chaaaaai!", soit, du thé, du thé, du thé chaaaaauuud ! En tournant la tête, on aperçoit dans une maison familiale une vieille dame nettoyant le sol pliée en deux, car les balais indiens ne sont constitués que d'épis de blé sans manche. De nombreux restaurants essaient d'attirer les touristes ; les enseignes mentionnées dans les guides touristiques se font copier par des dizaines de petites échoppes qui prennent le même nom et qui osent même se dire recommandées par le Lonely planet, si bien qu'il faut avoir une certaine persévérance pour trouver le BON restaurant. À l'heure de la prière, les fidèles envahissent les ruelles, les mains remplies d'offrandes pour les dieux (habituellement des fleurs, ou quelques gouttes de l'eau sacrée du Gange). Les files empêchent les passant de continuer leur chemin, il faut donc apprendre à jouer des coudes et à prendre quelques coups au passage sans s'énerver (cette dernière partie nous pose encore quelques problèmes, particulièrement quand la fatigue de fin de journée se fait ressentir).
Varanasi est une des 7 villes sacrées d’Inde, pour cette raison, elle représente un lieu de pèlerinage pour les hindouistes, qui viennent se baigner dans le Gange pour se purifier. À notre surprise, ils y prennent aussi leur douche, ils s'y lavent les dents et y font leur lessive. Les ghats (larges escaliers qui mènent au fleuve) sont plein de vie, de couleurs, et de monde, où Indiens, animaux et touristes s’entremêlent. Ces derniers ce font harceler par les bateliers qui leur proposent de voir la ville depuis le fleuve. C'est aussi sur les ghats que les crémations ont lieu. Des centaines de défunts sont brûlés à Varanasi chaque jour (24h/24), sur des bûchers au bord du Gange, puis leurs cendres sont versées dans le fleuve. Nous avons assisté aux crémations, cela a été un des moments forts de notre visite. Les familles apportent les corps des défunts emballés dans des draps et décorées de fleurs, et les plongent dans le Gange pour les purifier. Ensuite, ils les placent sur le bûcher, qu'ils allument à l'aide de gerbes de blé enflammées. Il faut imaginer tout cela à l'indienne, c'est-à-dire que la place est pleine de monde et d'animaux, de déchets aussi, les odeurs sont fortes et prennent à la gorge. Des bateaux de touristes observent la scène depuis le fleuve - certains n’ayant pas le sens du respect prennent outrageusement en photo cette cérémonie mortuaire si symbolique pour les Indiens. Néanmoins, il règne une ambiance particulière sur le ghat des crémations ; comme une impression que le temps défile au ralenti.
0 notes
borddeleau-estrie · 4 months
Text
1 note · View note
borddeleau-estrie · 4 months
Text
1 note · View note
borddeleau-estrie · 4 months
Text
Petit lac Brompton, Saint Denis de Brompton
flickr
1 note · View note
borddeleau-estrie · 5 months
Text
1 note · View note
borddeleau-estrie · 5 months
Text
Riviere Magog
flickr
1 note · View note
soumcourtiers · 1 year
Text
Tumblr media
Vérifications essentielles, achat de chalet
Avant d'acheter un chalet au bord de l'eau, il est important de procéder à certaines vérifications. Assurez-vous que le chalet est raccordé à Hydro-Québec et que les services y sont disponibles. Vérifiez également le type de chauffage utilisé et si le chalet est habitable toute l'année ou seulement pendant 3 saisons. Ne laissez rien au hasard lors de l'achat d'un chalet au bord de l'eau. Faites confiance à nos partenaires, des courtiers immobiliers spécialisés dans différentes régions du Québec (Montréal, Saguenay, Gatineau, Trois-Rivières, Québec, Sherbrooke...), pour trouver le chalet qui correspond à vos besoins. Remplissez le formulaire disponible sur https://soumissionscourtiers.ca/petit-chalet-a-vendre-pas-cher-bord-eau et des professionnels de l'immobilier vous contacteront rapidement et gratuitement, sans aucun engagement. Ils vous présenteront une liste de propriétés susceptibles de vous intéresser. Prenez le temps de les comparer et faites un choix éclairé.
0 notes
conyersmooney · 3 years
Video
youtube
Maison à vendre Bord de l'eau dans l'Estrie
https://auborddeleau.ca/ se consacre exclusivement à la promotion et à la vente de propriétés situées au bord ou près d'un point d'eau dans la belle région de l’Estrie.
Lorsque vous confiez l’inscription de votre propriété à votre courtier immobilier Steve Lemay vous bénéficiez d'un plan de mise en marché des plus élaborés et des plus efficaces pour réussir sur le marché de l’immobilier.
Steve représente, depuis plus de 22 ans, les propriétaires de l'Estrie qui souhaitent vendre leur maison, leur condo ou leur chalet rapidement et ce au meilleur prix possible. Expertise, simplicité, disponibilité et efficacité sont ses principales forces.
Au bord de l'eau | Steve Lemay - Courtier Immobilier Proprio Direct 1850 Ernest-Thériault Sherbrooke, QC J1E4K5 Téléphone : (819) 446-4476
0 notes