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Sean Combs Actualités Rap américain Professionnel de la musique Source: https://myfrlibrary.blogspot.com/2025/02/sean-combs-actualites-rap-americain.html
Sean Combs Une figure essentielle de la musique rap américaine Sean Combs, largement connu sous ses noms de scène Puff Daddy, P. Diddy ou simplement Diddy, continue d'être une figure importante de l'industrie musicale et au-delà. Fin 2023, il reste actif non seulement en tant que musicien, mais aussi en tant qu'homme d'affaires et icône culturelle. Ses contributions au hip-hop et à la musique populaire ont laissé une marque indélébile, et ses dernières initiatives soulignent sa polyvalence et son engagement envers son art.
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Chaque année, Forbes publie sa liste des milliardaires du monde, mettant en lumière les personnes les plus riches et les plus influentes de la planète. Cependant, l'économie mondiale est en constante évolution, ce qui signifie que même les fortunes les plus considérables peuvent subir des variations importantes. En 2023, plusieurs noms familiers ont été évincés de la liste des milliardaires Forbes, notamment Sam Bankman-Fried, Kanye West et Yvon Chouinard. Jetons un coup d'œil à leur parcours et à ce qui a contribué à leur sortie de cette prestigieuse liste. 1. Sam Bankman-Fried: L'Éclipse d'un Magnat de la Crypto-Monnaie Sam Bankman-Fried, autrefois un géant de l'échange de crypto-monnaies, a connu une chute dramatique de sa fortune. Avec une valeur nette en baisse à moins de 10 millions de dollars, comparé à son sommet de 24 milliards de dollars, Bankman-Fried a été touché par la volatilité du marché des cryptos. En tant que fondateur de FTX, une plateforme d'échange de crypto-monnaies, il a prospéré pendant un certain temps en capitalisant sur l'engouement pour les actifs numériques. Cependant, les fluctuations massives du marché ont eu raison de sa fortune, le faisant tomber de la liste des milliardaires de Forbes. 2. Kanye West: Les Hauts et les Bas d'une Icône Musicale et de la Mode Kanye West, l'artiste multidisciplinaire mondialement reconnu, a également subi un revers financier en 2023. Avec une valeur nette d'environ 400 millions de dollars, comparée à son pic de 2 milliards de dollars, West a rencontré des défis dans l'industrie de la musique et de la mode. Connu pour sa musique à succès et ses ventures dans le monde de la mode, notamment sa marque Yeezy, West a peut-être été victime des pressions concurrentielles et des évolutions de l'industrie, ce qui a entraîné une diminution significative de sa richesse. 3. Yvon Chouinard: L'Érosion d'un Pionnier de la Durabilité Yvon Chouinard, fondateur de Patagonia, une entreprise emblématique de vêtements de plein air axée sur la durabilité, a également vu sa fortune chuter. Avec une valeur nette passant à moins de 100 millions de dollars, par rapport à son sommet de 1,2 milliard de dollars, Chouinard a peut-être été touché par des défis économiques liés à la pandémie et à la concurrence croissante dans l'industrie des vêtements durables. Malgré ses efforts louables pour promouvoir la durabilité et la responsabilité environnementale, les fluctuations du marché ont eu un impact sur sa place parmi les milliardaires. La liste des milliardaires Forbes de 2023 a également vu d'autres noms bien connus glisser de leur position, tels que Zhao Weiguo, Henrique Dubugras et Pedro Franceschi, Niraj Shah et Steve Conine, ainsi qu'Alex Atallah et Devin Finzer. Tous ont été touchés par divers facteurs, notamment les évolutions du marché, les pressions concurrentielles et les défis économiques mondiaux. En fin de compte, la chute de ces figures emblématiques de la liste des milliardaires Forbes 2023 nous rappelle que la richesse et la réussite sont souvent sujettes aux fluctuations de l'économie mondiale et des industries spécifiques. Les parcours de Sam Bankman-Fried, Kanye West, Yvon Chouinard et d'autres milliardaires déchus illustrent la complexité du succès financier dans un monde en constante évolution. https://savoirentreprendre.net/?p=11515&feed_id=709
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Traduction en français d'un court extrait du premier roman de Kami Kohitsuji Agnus Dei I. Cet extrait provient du groupe VK Russe de Kazeki. Bonne lecture ! ^^
Prologue "Le Grand Banquet d'Eté"
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Parfois Fran se demandait.
Tout a commencé exactement comme dans un conte de fées.
En juillet 196X. Par une chaude après-midi d'été...
Bien que ce soit la période des vacances, le couloir de la maison du vicomte Battour était littéralement rempli d'un nombre impressionnant de personnes élégamment habillées.
Bientôt, les serviteurs en queue de pie apparaissent et escortent habituellement la vague de personnes dans le jardin.
En se promenant dans le manoir, Fran a contemplé avec étonnement le somptueux intérieur rococo, et lorsqu'elle est entrée dans le jardin, elle est restée sans voix devant son immensité. Elle connaissait Paris et sa banlieue, mais seulement la banlieue, elle ne pouvait donc pas imaginer un tel manoir.
Toute cette immensité se mêlait parfaitement à la beauté du jardin français, et Fran s'est soudain sentie seule.
- "Hors de propos serait plus correct", a soudainement souri la jeune fille.
L'invitation au "Grand banquet d'été" du vicomte Battour, célèbre dans les milieux mondains, était étrange pour Fran, simple élève du Conservatoire de Paris.
Des robes de bal ou des queues de pie brillantes, des mots élégants inconnus ont clignoté comme les pièces colorées d'une mosaïque, rendant Fran encore plus solitaire.
Séparée de la vague humaine et pénétrant dans le jardin anglais attenant, Fran s'est assise sur un banc en bois avec un soupir de soulagement. Contrairement aux arbres artificiellement plantés et taillés en fleurs du jardin français, le naturel du jardin anglais plaisait davantage à Fran.
- Vous vous ennuyez, mademoiselle ?
Une voix soudaine est venue de derrière et a presque fait sursauter Fran.
- Je vous demande pardon. Je m'appelle Gustave Kahn, reporter pour le magazine PLEIADES. Je vous ai déjà vu, mais vous êtes parti seule si vite...
C'était un jeune homme mince et grand, âgé de vingt-cinq ou six ans. Le smoking ivoire se marie parfaitement avec ses cheveux bruns.
- Je suis Françoise Vian. Mais tout le monde m'appelle Fran. Une étudiante de deuxième année au conservatoire.
- Une musicienne en herbe, non ?
- Je suis spécialisée dans la théorie. J'étudie la musique de manière académique... c'est un cours similaire au département d'art.
-Et bien, alors vous pourriez être un docteur en musique ou un critique.
Le jeune homme désigna de sa main Fran, dans laquelle se trouvait un verre d'apéritif.
-Je vous demande pardon. Je ne suis pas du tout habitué à ce monde et je suis dans l'embarras.
-C'est la première fois que vous participez à un tel banquet ? La nourriture est étonnamment bonne. Mais c'est à peu près tout. Pour faire simple, la famille Battour ne peut pas se vanter d'une excellence particulière.
-J'ai entendu des rumeurs, mais je ne savais pas que la famille du vicomte était si riche.
-Au contraire, c'est vrai. Après tout, c'est le talent de cette famille d'accroître sa richesse au détriment de la guerre. Ils sont célèbres, mais il est difficile de rester une famille unie.
-Oui, mais il y a un grand musicien parmi eux. Serge Battour, vous le connaissez ?
-Oui, juste son nom, mais il arrive une fois par siècle. C'est étonnant que dans une famille de réalistes, il y ait un musicien.
-J'ai pensé écrire un article sur ce Serge Battour, j'écris beaucoup ici depuis l'année dernière. Ça ne ressemblait à rien, et puis soudain, juste avant les vacances, c'est arrivé.
-Vous avez été invité au banquet de ce soir. Et pourtant, inviter des étudiants est inhabituel.
-Hmm, j'ai reçu une réponse d'un certain Henri Battour.
-Henri, Henri, je ne le connais pas... Bien que je sois en bon contact avec la famille Battour. Mais même les parents d'autres pays se réunissent au banquet.
Fran, pour prouver qu'elle ne mentait pas, a sorti précipitamment une lettre de sa pochette et l'a tendue au jeune homme.
-Je peux le lire ? Ah, ces armoiries sur le sceau appartiennent sans aucun doute à la famille Battour. Donc, "Madame Françoise Vian...
J'ai reçu une lettre. Je suis prêt à répondre à certaines questions sur les origines de Serge Battour.
Le 7 juillet, toutes nos connaissances et tous nos proches sont obligés de faire un "banquet". Si ça ne vous dérange pas, venez. L'invitation est jointe.
Henri Battour
P.S. : Pour que vous soyez plus à l'aise, nous allons préparer une chambre."
C'est incroyable. On dirait que vous êtes parents. Il semble que j'ai été irrespectueux... Vous devriez peut-être demander au majordome ou à la gouvernante pour M. Henri. Toute la famille Battour, hommes et femmes, est célèbre pour sa beauté. Les hommes en particulier ont un nez droit et de grands yeux. Vous les reconnaîtrez donc immédiatement grâce à ce trait distinctif. Si vous restez ici, vous n'entendrez pas la cloche pour le dîner.
Le jeune homme a pris la main de Fran avec un salut et s'est précipité vers la maison. Sa réaction laissait entendre que seuls les proches resteraient à l'intérieur après le dîner.
"Est-ce que je pourrai... ?"
La salle à manger était entièrement préparée pour le banquet et toute décorée de roses orange et roses. Elles devaient provenir d'une boutique de fleuriste parisienne, toutes ces roses en grand nombre, décorées en collage et entraînant les gens dans un monde de rêverie. La grande table centrale était entourée de plus petites tables. Il y avait la place la plus basse dans le coin de la pièce, et bien sûr Fran s'y est positionnée contre le mur. Elle craignait qu'une dame rigide ne s'assoie à côté d'elle, mais par chance, il s'agissait d'un magnat du pétrole américain, et Fran, en raison de sa faible connaissance de l'anglais, s'est entièrement consacrée au repas. Comme l'avait dit le jeune homme Kahn, la nourriture jusqu'au dessert était exceptionnelle, grâce au chef engagé.
Une fois le dîner terminé, les gens se sont dispersés dans le salon et la salle de jeux, et Fran est restée seule. Bien que légèrement fatiguée, elle a attrapé un domestique supérieur pour demander où se trouvait M. Henri, mais n'a rien reçu d'autre qu'un froid "je ne demande pas à savoir" et "s'il vous plaît, n'entrez pas ici".
En fin d'après-midi, les gens se pressaient à nouveau dans le couloir pour rentrer chez eux. Fran réfléchissait déjà à la manière dont elle allait rentrer seule et à ce qu'elle allait dire en guise d'adieu, lorsqu'une voix féminine obligeante a retenti à proximité.
-Mme Françoise ? C'est Mlle Françoise ! Je t'ai cherché partout. J'avais peur que tu sois déjà parti, alors j'ai attendu ici.
Une jeune fille de deux ou trois ans plus jeune que Françoise a eu du mal à retenir ses larmes de joie.
-Je cherchais aussi M. Henri.
-Je suis désolée. M. Henri a dit qu'étant donné que la journée était trop mouvementée, il vous rencontrera demain. Je vais vous conduire à votre chambre immédiatement...
La jeune fille s'est précipitée vers l'armoire et en a sorti le manteau de Fran et sa valise blanche.
-Ta chambre est à l'étage, fais attention dans les escaliers.
La jeune fille était habillée d'une robe noire et d'un tablier blanc à volants, comme si elle était à la Belle Époque. On ne sait pas si le maître s'était habillé de cette manière pour respecter l'atmosphère du manoir, et Fran n'était manifestement pas préparée à une telle ringardise, mais la jeune fille semblait tout à fait satisfaite de sa position.
Un labyrinthe de couloirs s'étendait depuis l'escalier, et s'arrêtait finalement à la mansarde, ce qui fit penser à Fran qu'elle n'était clairement pas la bienvenue ici.
Cependant, une telle chose ne briserait pas Fran. La jeune fille a à peine gardé son sang-froid et est restée calme, comme elle l'avait fait en cherchant à gagner la confiance de ses camarades de classe. En raison de sa petite taille, elle n'était pas prise au sérieux en tant qu'élève du lycée, mais à peine commençait-on à lui parler, qu'on sentait immédiatement qu'elle était intellectuellement plus âgée, c'est le genre de fille qu'elle était.
À l'intérieur, la pièce mansardée s'est avérée être meublée avec goût, avec des meubles d'un design complexe qui ont plu à Fran. Le papier peint, décoré de fleurs d'été, semblait neuf, et il y avait une salle de douche équipée, bien qu'étroite. En ouvrant la haute fenêtre et en laissant l'air de la nuit entrer dans la pièce, Fran a enfin pu se détendre véritablement.
#kaze to ki no uta#serge battour#henri battour#françoise vian#keiko takemiya#norie masuyama#le poème du vent et des arbres#Kami no Kohitsuji -Agnus Dei-#la balada del viento y los arboles#il poema del vento e degli alberi
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MANK de David Fincher: Dans l’ombre d’Orson Welles

L’intention de Mank, un scénario de Jack Fincher réalisé par son fils David Fincher, semble être de redorer le blason du scénariste de Citizen Kane, Herman J. Mankiewicz (Gary Oldman), généralement éclipsé au fil des ans par le jeune prodige qui a produit, réalisé et joué dans le film au jeune âge de 24 ans, Orson Welles (Tom Burke). Une intention noble, certes. Mais le produit final s’efforce tout autant de médire à propos de Welles, qui n’aurait pas mérité son titre au générique de coscénariste, ce qui est discutable. Toute la notion de ce qu’est un auteur au cinéma entre en jeu; un scénario est-il une œuvre d’art complète en soi, ou seulement la première étape d’un processus où la mise en scène, l’interprétation, le montage et ainsi de suite sont tout aussi cruciaux? L’apport de Mankiewicz à Citizen Kane est évidemment énorme et essentiel, mais que serait ce film sans le génie de Welles? Cela dit, quoi qu’on pense de ce débat sur la création de Kane qui perdure depuis près de 80 ans, ce n’est qu’une partie de ce que Mank a à offrir. On y rencontre le dramaturge et critique de théâtre devenu scénariste alors qu’il est confiné dans un ranch en 1940, sommé d’écrire son scénario en 60 jours. Son inspiration plus mal que bien dissimulée : le riche magnat de la presse William Randolph Hearst (Charles Dance), avec qui il a jadis socialisé tel un « fou du roi », comme on le découvre à travers les nombreux flash-back qui ponctuent le film, nous renvoyant à différents points des années 1930.

Production faste et somptueuse, Mank nous plonge dans l’âge d’or des studios hollywoodiens, où l’on croise notamment Louis B. Mayer (Arliss Howard) et Irving Thalberg (Ferdinand Kingsley), alors que diverses autres personnalités sont mentionnées via du name-dropping. Le film de David Fincher se présente par ailleurs comme un pastiche d’un long métrage qui aurait été réalisé à l’époque, tant au niveau de la photographie en noir et blanc que du niveau de jeu, du rythme et de la musique (composée par Trent Reznor & Atticus Ross à contre-emploi). Il y a même des cigarettes burns à la fin de chaque « bobine »! Techniquement impressionnant, le film est plutôt intéressant dramatiquement, en tant qu’aperçu d’une période fascinante de l’histoire du cinéma, mais aussi en tant que survol superficiel des répercussions de la Grande Dépression et du spectre de l’ascension de Hitler en Allemagne, en plus de s’attarder plus longuement à la campagne électorale d’Upton Sinclair, candidat démocrate « socialiste » pour le poste de gouverneur de la Californie en 1934, à qui s’opposait Hearst et Mayer. C’est aussi un portrait pas toujours flatteur d’un scénariste grandement talentueux, mais aux prises avec l’alcoolisme, un problème de jeu et une certaine propension à l’autosabotage...

Mank ne manque pas de qualités, mais il y a quand même cette impression que le tout est assez froid, mécanique. Outre les scènes où l’électrisante Amanda Seyfried vole complètement la vedette dans le rôle de Marion Davies, la jeune amante de Hearst et amie de Mank, le film manque d’émotion, d’humour, d’extravagance. Je me suis souvent demandé ce que les frères Coen, Woody Allen ou même Tim Burton (en mode Ed Wood) auraient pu tirer de ce matériel. Tel qu’il nous apparaît, Mank est, comme plusieurs l’ont fait remarquer, une œuvre qu’on admire plus qu’on l’aime passionnément.

Mank est disponible sur Netflix dès ce vendredi 4 décembre.
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T’as créé un monstre, Sam ...
19/02/2020 - Musique, TV et Cinéma
Dans la série Code Quantum, le docteur Sam Beckett, au cours de ses transmutations à croiser la route de nombreuses célébrités comme Stephen King, Buddy Holly (auquel il souffle le nom de Peggy Sue pour une de ses chansons), Chubby Checker, Sylvester Stallone, Michael Jackson, Elvis Presley, Bill Clinton, la sexologue Dr Ruth, Jack Kerouac, le Dr Heimlich (à qui Sam montre la célèbre méthode anti-étouffement) ou Marilyn Monroe.
A travers ces rencontres et ces aventures, c’est l’histoire des Etats-Unis que nous raconte Donald Bellisario, le producteur (aussi à l’initiaitive de NCIS, Supercopter, Magnum, JAG ...). Le paroxysme étant atteint quand Sam transmute dans la peau de Lee Harvey Oswald, sans pour autant parvenir à éviter l’assassinat de Kennedy. Souvent porteur d’un message profondément humaniste, la série aborde avec sensibilité et finesse mais sans sensiblerie des sujets aussi polémistes que la Guerre du Viet-Nam et ses vétérans (sujet encore sensible dans les années 90), la ségrégation des noirs dans l’Amérique des années 50 (Ep. 1.06 - Mrs Melny et son chauffeur; Ep. 2.09 - Que Dieu me punisse; Ep. 3.07 - L’amour n’a pas de couleurs; Ep. 4.04 - L’ombre du passé), l’expérimentation animale (Ep. 4.07 - Singe astronaute), les femmes battus (Ep. 1.07 - Kamikaze Kid; Ep. 3.16 - Amour à vendre; Ep. 4.06 - Y a-t-il une vie après le viol ?), le harcèlement sexuel, 20 ans avant “ME TOO” (Ep. 2. 04 - Le Chevalier Eon; Ep. 3.06 - Miss Sucre en poudre; Ep. 4.12 - Chasse à l’homme), l’acceptation de la trisomie dans la société (Ep. 2.08 - Jimmy), la drogue (Ep. 3.04 - La Corde Raide), la peine de mort (Ep. 3.19 - Le Couloir de la Mort)
La série se permet parfois d’amusant clin d’œil comme celui où Sam incarne Max, un chauffeur de taxi (ça aurait été trop beau qu’il s’appelle Joe) new-yorkais qui amène un magnat de l’immobilier et son fils en centre-ville. Sam insiste sur le boom de l’immobilier et évoque une immense tour de verre qu’il verrait bien à l’endroit où il les dépose. On est en 1958. L’homme d’affaires s’appelle Jeff Trump et son fils, âgé de 12 ans … Donald.
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En 2016, l’animateur Stephen Colbert, dans son Late Show, a tenté, avec la complicité de Scott Bakula, de corriger cette erreur de Sam Beckett.
(c’est en anglais, mais globalement on comprend et c’est très drôle, Sam essayant de changer le futur de Donald Trump, en vain …)
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Comme le dit mon youtuber préféré Mr MEA dans sa vidéo sur les Jeux Rocketeer:
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T’as créé un monstre, Sam, t’as créé un monstre ...
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Alors que l'élite de la musique se rassemble à Los Angeles pour les Grammy Awards dimanche, une question tourne en boucle : Beyoncé remportera-t-elle enfin le prix tant convoité de l'album de l'année ? La femme de 41 ans a le plus de chances de décrocher l'or aux Grammy avec neuf nominations, après la sortie de "Renaissance", son ode riche et multicouche à la musique de club. Elle est une candidate puissante aux principaux prix de la soirée – mais il en va de même pour la ballade britannique Adele, dont l'ode introspective au cri laid, "30", lui a valu sept hochements de tête. La confrontation a suscité des comparaisons évidentes avec 2017, lorsque Adele a remporté les premiers prix du gala fastueux de l'industrie de la musique, excluant "Lemonade" de Queen Bey, qui a bouleversé la culture. Six ans plus tard, Beyonce a continué à entrer dans l'histoire en tant que femme la plus gagnante des Grammys; avec quatre autres victoires dimanche, elle pourrait dépasser le chef d'orchestre classique Georg Solti pour le plus grand nombre de victoires de tous les artistes. Mais en ce qui concerne les trois grands prix – meilleur album, meilleur disque et meilleure chanson – Beyonce reste curieusement un outsider. Elle n'a jamais remporté les honneurs de l'album de l'année et bien qu'elle ait le plus de nominations pour le disque de l'année avec huit, elle n'a jamais remporté ce prix non plus. Elle n'a marqué la chanson de l'année qu'une seule fois, pour "Single Ladies" en 2008. Mais les observateurs de l'industrie, dont Billboard, prédisent que ce sera enfin l'année où Beyonce remportera le Grammy de l'album de l'année, sans doute le prix le plus prestigieux de la soirée. "Je l'espère bien, parce qu'elle ne le mérite pas ?" Nile Rodgers, le co-fondateur du groupe Chic à qui l'on attribue des contributions sur "Renaissance", a déclaré à l'AFP. Rodgers, les Supremes, Nirvana et d'autres recevront un Lifetime Achievement Award de la Recording Academy lors de la cérémonie de dimanche. "Elle est sans doute l'artiste la plus importante au monde sur le plan culturel", a déclaré Merck Mercuriadis, le magnat de l'édition musicale qui était autrefois le manager de Beyonce, lors d'un gala pré-Grammy. Bad Bunny, Taylor Swift dans le mix Au-delà du match revanche Beyonce-Adele, une multitude de superstars contemporaines, dont Kendrick Lamar, Harry Styles et Taylor Swift, ont également de fortes chances de remporter les principaux trophées de la soirée. Les 65e Grammys annuels étoilés, animés une fois de plus par le comédien Trevor Noah, comprendront des performances de Styles, Bad Bunny, Lizzo et Mary J. Blige. "Connectez-vous... ne serait-ce que pour une nuit de thérapie gratuite !" Noah a plaisanté sur Twitter. Bad Bunny, indiscutablement le plus grand artiste commercial du monde, a trois chances de remporter un Grammy avec sa chute majeure "Un Verano Sin Ti", également en lice pour l'album de l'année. C'est la première fois qu'un album entièrement en espagnol a une chance de remporter ce prix convoité, et c'est la première fois que la mégastar portoricaine du reggaeton décroche une nomination en solo dans les principales catégories Grammy. Une victoire de Bad Bunny dans ce domaine "signifierait beaucoup à tous les hispanophones et à notre culture, car cela dit vraiment : 'Hé, la musique espagnole est tout aussi respectée que la musique en anglais et la musique n'a vraiment pas de barrières'", a déclaré l'artiste colombien Sebastian. Yatra a déclaré à l'AFP. Styles, Lizzo et Doja Cat figurent tous parmi les meilleurs nominés, tandis que le mastodonte pop Swift pourrait remporter le prix de la chanson de l'année qui lui a échappé pendant des années. La superstar - qui a tenu son vœu de réenregistrer ses six premiers albums pour obtenir le contrôle de ses droits sur eux - a une chance de remporter le prix célébrant les auteurs-compositeurs pour sa version de 10 minutes de "All Too Well". "
"Semaine surréaliste" Après plusieurs années de Grammy avec des favoris clairs du meilleur nouvel artiste – Olivia Rodrigo, Megan Thee Stallion et Billie Eilish – la course de dimanche est grande ouverte. Pour Molly Tuttle, une artiste bluegrass en lice, même une nomination signifie "que ma musique peut atteindre un public plus large et que de nouvelles opportunités pourraient se présenter pour moi". "C'est juste une semaine surréaliste. Ça a été un tourbillon jusqu'à présent", a-t-elle déclaré. La catégorie est devenue de plus en plus éclectique et reflète l'impact de l'ère d'Internet sur la musique populaire, et de nombreux nominés – dont la Brésilienne Anitta, les rockeurs de l'Eurovision Maneskin et le rappeur Latto – ont tous trouvé une renommée virale sur TikTok. "C'est cool", a déclaré JD Beck, qui, avec le co-artiste DOMi, forme leur duo de jazz expérimental éponyme qui est en lice pour deux Grammys ce dimanche, dont celui du meilleur nouvel artiste. "Nous ignorons tout, nous essayons d'être très perspicaces jusqu'à ce que ce soit fini", a-t-il déclaré à l'AFP avec un sourire blasé. "Ouais, se concentrer sur le jeu et ne pas le gâcher complètement", a plaisanté DOMi. L'Académie - composée de créateurs de musique, dont des artistes, des compositeurs et des ingénieurs - a également présélectionné une coterie d'étoiles durables de l'industrie pour les Grammys, avec Bonnie Raitt, Willie Nelson et ABBA remportant chacun une poignée de nominations. Peu importe qui gagne, l'attention de la Recording Academy a amplifié la carrière de Samara Joy, qui, avec un clin d'œil dans les catégories jazz, a mérité une chance au meilleur nouvel artiste. "Vous savez, ces derniers mois, beaucoup plus de gens ont commencé à décrocher le téléphone", a-t-elle dit à l'AFP en riant.(Cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est générée automatiquement à partir d'un flux syndiqué.)
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À l'avenir, les individus isolés auront plus d'impact dans le lancement de nouveaux artistes que les grandes maisons de disques ou les plateformes de streaming. (Ted Gioia)
À l’avenir, les individus isolés auront plus d’impact dans le lancement de nouveaux artistes que les grandes maisons de disques ou les plateformes de streaming. (Ted Gioia)
Autrefois, les musiciens avaient la chance de toucher 15 % des revenus, mais j’entends de plus en plus parler d’accords qui donnent aux artistes une part de 50 %, et dans certains cas, leur permettent de récupérer la propriété de leurs enregistrements originaux à une date ultérieure. Les magnats de la musique sont positivement généreux – et (comme nous le verrons) pour des raisons structurelles…
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Don Jazzy partage l'histoire derrière le slogan "C'est encore Don Jazzy", regardez
Don Jazzy partage l’histoire derrière le slogan “C’est encore Don Jazzy”, regardez
Ses années en tant que producteur mystérieux sont révolues depuis longtemps et Don Jazzy partage maintenant l’histoire derrière son slogan populaire, C’est encore Don Jazzy ! En savoir plus sur l’histoire d’origine du magnat de la musique ci-dessous. Don Jazzy Le producteur vétéran et fondateur de Mavin Records, Don Jazzy, a partagé l’histoire derrière son slogan populaire, “C’est encore Don…

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Partenariat entre Tonymix et Digicel
Le DJ haïtien Tonymix a été désigné comme nouveau ambassadeur de la compagnie de téléphonie mobile Digicel. Dans un communiqué rendu public ce jeudi par le média en ligne Loop Haïti, le populaire DJ originaire de la commune de Carrefour a été choisi comme nouveau représentant de la marque Digicel. «Digicel présente le magnat de la musique, producteur et artiste interprète, Tonymix, en tant…

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‘Bohemian Rhapsody’ <3
À voir en salle et en vo! Ce film (presque) sans réalisateur (à l’image de quelques conflits d’ego qu'il évoque) est puissant, pas tellement par son côté biopic (plus une appellation marketing qu’autre chose), mais parce que c’est une œuvre sur la création et son mystère. Des hasards, des batailles, de la hargne, des fêtes, et beaucoup de travail, bien sûr… Mais il y a autre chose. Lorsque le groupe s’isole à la campagne pour enregistrer le cultissime ‘A Night at the Opera’, on a le plan d’un coq qui annonce le ‘Galileo’ du morceau et qui fait rire toute la salle, en introduction de la tension engendrée par les multiples prises exigées par Freddie. Et aussi ces très beaux moments où l’inspiration arrive pour Freddie, presque à son insu. Il semble surpris par ce qu’il vient de jouer au piano et chanter, seul dans son coin. Il y a aussi les show tv, les concerts, les sessions d’enregistrement, les négociations effrontées face à un magnat du disque (Mike Myers), des coups de tête et crise d’ego, les managers et autres personnes qui gravitent autour du groupe, mais aussi la solitude de celui qui donne toute sa vie dans son œuvre, en étant pleinement lui-même. Il se cherche des amis, une famille, et le moment où il est véritablement en fusion avec le monde, c’est sur scène. C’est là qu’il trouve sa place. Toute la séquence finale emblématique est magnifique, parce qu’elle est pleine de chansons-cultes, et aussi parce qu’on y sent le public et son lien magique avec Freddie. Et, ce n’est pas anodin, le groupe joue dans un évènement caritatif, sans demander de cachet. Ce n’est donc pas pour l’argent ni même la gloire. Freddie veut tout donner à la musique jusqu’au bout, il l’a dit aux autres membres du groupe, en leur annonçant qu’il est malade. Bien sûr, ce n’est pas un documentaire, et le parcours du groupe n’est que survolé, en insistant sur quelques évènements. On reverra le mythique concert de Wembley 86, ou l’incroyable blu ray de ‘Hungarian Rhapsodie, Live in Budapest’ (tourné en 35mm et admirablement restitué) et son supplément passionnant. Parce que le film arrange forcément les évènements, les agence pour les dramatiser et en faire un film grand public. Et aussi parce que dans le fond, la création est un mystère insaisissable. Ce que le film capte, avec un enthousiasme très communicatif, c’est la passion, le don de soi. Et c’est superbe! Pk
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Critique du 8 juillet 2018
Les Indestructibles 2 :

Synopsis : Les Indestructibles reviennent sur le devant de la scène ! Le démolisseur débarque à Metroville. La famille essaie d'empêcher ce dernier de dépouiller la banque. Mais ils échouent, et les autorités s'inquiètent de l'ampleur des dommages causés par l'incident. Les super-héros sont donc recalés au banc de simples hors-la-loi. Pourtant, Bob, Helen, et leur ami Frozone, sont rapidement contactés par Winston Deavor, un magnat des télécommunications, qui leur propose un coup de publicité pour regagner l'appui du grand public à l'égard des super-héros.
Quatorze ans après le premier opus, la famille la plus populaire du monde des super-héros est de retour ! Et là, pas de Marvel Studios ou autres Warner Bros. à la baguette... Un bon vieux Pixar, avec ses qualités créatrices et d'animations incomparables ! Comme en 2004, c'est Brad Bird, appuyé à la production par John Lasseter (Toy Story, 1001 pattes), qui s'occupe de mettre en scène cet incroyable univers. Chose plaisante, surtout lorsqu'on connaît la qualité du cinéaste, capable de jongler entre films d'animations inventifs (Le Géant de fer, Ratatouille) et film d'action efficace (Mission Impossible : Protocole Fantôme). Ici, la caméra n'est plus dépendante de l'environnement, mais c'est bien l'environnement (numérique et 3D, propre aux films d'animation) qui s'adapte totalement à la volonté du réalisateur. Les séquences d'action sont donc d'une rare limpidité et permettent des mouvements de caméra qui seraient quasi-irréalisables avec un film en prise de vue réelle. Mais Brad Bird ne s'arrête pas là, puisque l'esprit reste placé sous le signe du film-hommage aux super-héros. Les Indestructibles 2 aurait très bien pu ressembler à une suite fade de grands classiques, comme celles qu'on a pu apercevoir ces dernières années (Le Monde de Dory, Monstres Académie). Là où le film se montre malin, c'est qu'il adopte un esprit léger pour les plus jeunes grâce à des vannes bien senties, mais aussi un univers assez sombre pour les plus nostalgiques de l'âge d'or des super-héros. Le personnage de l'Hypnotiseur, et notamment une scène de traque filmée sans musique d'ambiance, s'apparente presque à l'Épouvantail ou à Edward Nygma dans le Batman, créé par Bill Finger et Bob Kane. Le type de séquences qui nous rappellent que des Tim Burton ou autres Sam Raimi construisaient leurs films de super-héros comme un film d'aventure réflexif. Les Indestructibles 2 donne ainsi une véritable place aux personnages féminins et aborde la question du « vivre avec son époque ». L'évolution des protagonistes est réussie, et cette joyeuse troupe permet de créer une atmosphère de cinéma familial comme on aimerait en voir plus souvent. Sans parler de la musique toujours aussi culte de Michael Giacchino, qui s'est même permis une petite ré-orchestration de ses compositions.
Si le film réussit son pari en proposant une suite louable, on peut aussi remarquer que ce second opus ne se montre pas au niveau du premier. Là où Toy Story avait réussi à proposer un troisième film aussi fort que celui sorti en 1999, les Indestructibles version 2018 semblent souffrir d'une intrigue assez classique et d'enjeux bien moins intéressants que ceux abordés en 2004. Le premier opus expliquait à Syndrome qu'on ne pouvait pas usurper le statut de super-héros. Les Indestructibles 2 opposent supers-pouvoirs et opinion publique. Reste que ces thèmes ont déjà été abordés, plus ou moins bien, dans Batman vs Superman ou Spiderman : Homecoming. Sans parler des multiples super-héros présents dans ce film, recalés au statut de figurants, et qui livrent même quelques incohérences scénaristiques.
Difficile de bouder son plaisir face à un film à la construction si précise et à l'humour efficace. Tous les ingrédients sont réunis pour proposer un divertissement énergique, qui transformeront deux heures en une poignée de minutes. Avec les Indestructibles 2, Brad Bird prouve encore une fois qu'il fait partie des grands amuseurs publics présents à Hollywood ces temps-ci. Restent que les parts secondaires du scénario (notamment la relation entre Bob et Jack Jack) paraissent plus efficaces que ce final mal goupillé.
Note Be French : 15/20
MM
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Critique#6 (partie 1): Luke Cage Saison 02

Le vendredi 22 Juin dernier est sortie la saison 2 de Luke Cage sur Netflix. Pourquoi en parler? Primo : avec la sortie du Film Black Panther et de la série Black Lightning, je sens un revival de l'esprit des 70's et du phénomène de Blaxploitation. Et lorsqu'on est un lecteur de comics, on ne peut pas parler de blaxpoitation sans évoquer Luke Cage alias Power Man. Deuzio : j'ai toujours été fasciné par le thème des Vigilantes (les Justiciers), c'est un sujet très intéressant d'un point de vue sociologique mais vous comprendrez en lisant la deuxième partie de l'article. Et Tertio : ça reste encore mon blog donc si je veux parler de Luke Cage, je le fais ! ^^

Le Casting :
Le héros de Harlem est incarné pour la quatrième fois par Mike Colter. Il a la carrure pour incarner le personnage et c'est déjà pas mal (Mike Colter s'est entraîner et à pris 12 kilos de muscle pour ce rôle). Il a joué dans Million Dollar Baby (je n'ai gardé aucun souvenir de sa prestation ou de son rôle dans le film, et vous?). Sa plus longue expérience a été dans la série The Good Wife dans laquelle il a joué de 2010 à 2015. Autant vous dire que j'ai découvert Mike Colter seulement lorsqu'il apparut dans la première saison de Jessica Jones. Depuis il fait parti de ces acteurs que j'ai plaisir a voir à l'écran, et qui me pousse à suivre un film ou une série.
Rosario Dawson incarne Claire Temple qui jouera le rôle de petite amie et de Gémini Cricket auprès du justicier. Rosario Dawson rempile pour la 7ème fois dans ce rôle, et c'est toujours autant un plaisir de la voir à l'écran. Enfin presque...

Luke Cage étant un ancien fugitif, il essaye tant bien que mal de rester loin des problèmes... et du champ de vision de la police. C'est sans compter sur la détermination du Détective Misty Knight, interpréter par Simone Missick, qui n'apprécie pas toujours qu'un être surhumain mette son nez dans les affaires de la police. C'est la troisième fois que la détective de commissariat de Harlem apparaît dans les séries Marvel Netflix. Et vu l'espérance de vie des flics dans ces série, c'est un exploit !

Pour ce qui est des antagonistes, la série nous gâtes (peut-être un peu trop). Nous avons Alfre Woodward dans le rôle de Black Mariah. C'est une trafiquante de drogue dans le comics, mais qui se retrouve ici être une politicienne représentante du district de Harlem et ancienne candidate au Congrès. Suite au évènement de la Saison 01, elle est devenue la gérante du Harlem Paradize's. Théo Rossi incarne Shades, bras droit et amant de Mariah Dillard/Stokes. C'est un criminel liés aux passé de Luke Cage. C'est le gangster "classe" que l'on adore voir à l’œuvre.

Deux nouveaux personnages arrivent dans la série. John McIver alias Bushmaster, joué par Mustafa Shakir, est l'un des antagoniste les plus intéressant crée pour les série Marvel Netflix. Il y a aussi Tilda "Nightshade" Johnson, interpréter par Gabrielle Dennis, gérante d'une boutique de "soins naturel" et qui remplacera rapidement Claire Temple dans le rôle "d'infirmière de service".

D'autres personnages issue de la précédente saison ou d'autres série Marvel Netflix sont présent dans cette saison. Bobby Fish, Turk, Benjamin Donovan, Foggy Nelson, Collen Wing et Danny Rand. Cela a pour effet de renforcer la cohérence de l'univers développé. Les liens que crées les personnages entre eux sont "réel" et ont un impact les uns sur les autres.

La Bande Son et les Références culturelles :
Je vais faire simple : Luke Cage possède la meilleur B-O de toutes les séries issue des comics qui ont été faite à ce jour. Entre le générique, les passages au Harlem Paradize et les rue de Harlem, il est plus facile de faire le compte où la musique est absente que l'inverse.
Jamais aucune autre série (à ma connaissance) n'a aussi bien promulgué les trésors de la culture Afro-Américaine. En dehors de la musique, plusieurs noms vont être cités aux cours des deux saisons. Les "Classiques" : Crispus Attucks, Martin Luther King, Malcom X et Mohamed Ali; Les "Sportifs" : Mike Tyson, M.Jordan; K.C Jones (entraineur des Celtics Warriors), Cheryl Miller, Usain Bolt...;
Les "Musiciens" : Duke Ellingthon, Big L, Howard "Papy" Mason; ou les "Littéraires" : Donald Goines créateur de Shaft, Zora Neale Hurston, Walter Mosley et Chester Himes... Il y a de quoi refaire toute votre culture G.

Il y a aussi des références cachées liées à l'histoire afro-américaine (au cours de la série, nous apprenons que Luke viens de Savannah de l'état de Georgie/Georgia). Il y a de nombreuses symboles bibliques : "The Judas Bullet", la prêche dans l'église, la chanson "Aint' It A Sin", et un personnage connaîtra une "renaissance" en manquant de se noyer (assimilable au baptême protestant). La religion protestante étant très présente dans la culture afro-américaine, elle est incarné pour cette Saison 2 par Reg E. Cathey (House of Cards) qui joue le rôle du père de ... Désolé j'ai failli vous spoiler ! ^^'
Ce qui m'amène à un des thèmes exploité dans Luke Cage : le concept de "Parents Prodigue". Des parents vont revenir vers leurs enfants avec qui ils n'ont plus de contact depuis plusieurs années.

Un autre aspect de la foi Afro-américaine est exploité dans cette deuxième saison : le Vaudoo. Ils seront incarnés par les deux nouveaux personnages de la série : Bushmaster et Tilda, l'herboriste/guérisseuse. Sans oublier les consommateurs d'héroïne "Bushmaster" qui semblent tomber dans un état de transe et développent une agressivité digne des Zombie de Romero.
Avec le personnage de Dave "D.W" Griffith et l'application "Heroes of Harlem", la série montre la place importante qu'ont pris les réseaux sociaux dans notre quotidien. Ils peuvent faire la gloire d'un individu mais aussi se retourner contre lui. Et Luke Cage va en faire la douloureuse expérience. (Une vidéo d'un de ses combats sera tellement populaire sur le net qu'elle finira par être diffusé sur une chaîne nationale).
La Réalisation et l'écriture :
La réalisation est lécher. Et en même temps c'est du Netflix, jusqu'à présent aucune série proposé par cette chaîne ne m'a déçu sur ce point. La première saison avait bénéficié (entre autre) du réalisateur Paul McGuigan, connu pour avoir fait des épisodes de la série "Sherlock". Pour cette deuxième saison, la réalisation du premier épisode a été réalisé par Lucy Liu (Kill Bill) et les cinéphiles retrouveront une "touche Tarantino" dans certaines scènes de la série Luke Cage (Saison 1 et 2).
Sur les différents scénaristes qui sont en charge de l'écriture, les plus importants sont écrit par 4 d'entre eux. Ce qui assure une cohérence globale sur les 13 épisodes. Nous devons l'introduction et le final de la série à Cheo Hodari Coker (chargé de l'écriture de l'épisode 1 et 13). Le scénariste avait déjà écrit des épisode 1, 2 et 13 de la première saison. Il a co-scénarisé Creed II avec Sylvester Stalone, qui sortira en Novembre prochain dans nos salles de cinéma.

Le Scénario :
Épisode 1, 2, 3
Au démarrage, le rythme de la série peux sembler lent. Il n'en est rien. Elle prend le temps de nous montrer ce que sont devenus les protagonistes principaux, tout en installant les nouveaux. Luke Cage a lavé son nom, et son casier judiciaire, et essaye de se montrer digne du titre de "Héros de Harlem". Misty Knight apprend a vivre avec son nouvel handicap et reprend du service en tant de Détective du district de Harlem.
Mariah Dillard et Shade sont toujours à la tête du Harlem Paradize et étendent leurs pouvoirs sur la pègre locale en faisant des investissements véreux.
La seule a connaître une évolution négative est Claire Temple. Elle est passé de : l'infirmière ordinaire à lien entre tout les super-justiciers de New York, pour devenir la petite amie de Luke Cage à... la petite amie fouineuse, pénible et castratice du héros. Même si elle n'est pas toujours physiquement présente, son aura va se ressentir jusqu'au dernier moment de cette Saison 2. Je pense que Claire Temple est arrivé au bout de cet aspect de son personnage et qu'il est temps pour elle d'évoluer. D'apprendre à aider les justiciers d'une autre façon. En devenant elle-même une justicière avec des Super-pouvoirs? En ouvrant un clinique de nuit pour les êtres surhumains? Qui vivra verra...
Les scénaristes se débarrassent rapidement de la "Kryptonite" qu'ils avaient crées pour le héros (The Judas Bullet). Ceci joue en faveur de la nouvelle menace qui plane sur Harlem : Bushmaster. Il y a quatre ou cinq confrontations entre lui et Luke Cage durant les 13 épisodes, et rare sont ceux qui sont à l'avantage de Luke. Bushmaster est un bon stratège ainsi qu'un combattant au style fluide et fulgurant. Il tire sa puissance de la magie Vaudoo, ce qui a le mérite d'être original. C'est un "méchant" bien construit et, vous le savez probablement déjà, la grandeur d'un héros dépend de l'aura de son adversaire. Si j'ai autant apprécié cette saison, c'est sûrement grâce à Bushmaster.

Épisode 4, 5, 6
Le rythme de la série commence à s'accélérer. Le départ de Claire permet de réunir le duo Cage/Misty. La synergie qui se dégage des deux acteurs et le dynamisme de leurs "punch-lines" qu'ils se balancent fait plaisir à voir. Les deux personnages vont être tentés de basculer du "côté obscur" de la loi, mais se rattraperont l'un l'autre.
Pendant ce temps, Mariah continue son ascension. Elle est la parfaite politicienne que l'on adore détester. Malgré toutes les affaires auxquelles elle a été mêlée (et publiquement exposée), elle continue à se pavaner devant les caméras, sourire aux lèvres, en jouant les "Mère Thérésa" avec ses discours sur la famille et l'ouverture de dispensaire. La série le dit elle-même, son nom n'est pas Mariah Dillard/Stoke, son nom est : Black Mariah Trump. Boom ! Ça, c'est fait.
Et ce n'est pas la seule "phrase choc" de ces épisodes. Luke se retrouve a vendre ses services à "Piranha" Jones, un magnat de la finance. Lorsque la situation dégénère, Luke renégocie son contrat et lance "You want hires Heroes?" (traduction : Vous voulez un Héros à Louer?). Enfin! (Les vrais comprendront la référence). D'ailleurs, on pourrait renommer l'épisode 5 : "Fan Service". Il est rempli de références pour les passionné(e)s qui, tout en étant des petits plaisir coupables, sont utiles au scénario.
Après avoir amorcés une intrigue financière, nous avons droit à un épisode qui est une "Chasse à l'homme". Bushmaster et les jamaïquains sèment le chaos dans Harlem touchant tout l'entourage de Luke Cage. Nous revoyons des personnages de la première saison, et cela montre qu'Harlem a une communauté unique avec une identités propre et solidaire.
Fin de l’analyse du Scénario et Top personnel des série Marvel Netflix dans la partie 2. => https://lescritiquesheroiques.tumblr.com/post/175337772081/critique6-partie-2-top-des-s%C3%A9rie-marvel
#luke cage#marvel#netflix#marvel netflix#vigilante#blog#tumblr#tv series#daredevil#punisher#jessicajones#the defenders#iron fist#comics
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6 choses que vous ne saviez pas sur Ray of Light de Madonna

Les multiples collaborateurs sur Ray of Light reviennent sur cet album incontournable de l’icône pop de 1998, Madonna.
Il y a vingt ans, Madonna était à la croisée des chemins. Après avoir lancé sa compagnie de divertissement Maverick en 1992 avec son album Erotica et son livre Sex, tout deux injustement critiqués, la star est entrée dans une période de relative prudence. La formidable exubérance de ces œuvres a fait place à des ballades en sourdine, suivies par le film Evita, qui a rendu son féminisme acceptable en Amérique centrale. Après la naissance de sa fille Lourdes en 1996, elle cherche l’illumination spirituelle dans la Kabbale et le yoga Ashtanga et s’imprègne du travail des auteurs-compositeurs qui partagent leurs secrets via des textures électroniques méditatives – notamment Björk, Everything But the Girl et Tricky.
Toutes ses aspérités ont façonné Ray of Light, un album qui s’apparente au travail de ces artistes, mais qui sont profondément « Madonnesque ». Ancré dans l’underground, pourtant entendu et aimé par des millions, c’est l’ancêtre de l’EDM populaire d’aujourd’hui, en plus personnel. Vingt ans plus tard, les chanteurs et les producteurs poursuivent cette fusion finement ciselée entre angoisse et maitrise. Rolling Stone a parlé avec les collaborateurs clés de cet album inspirant. Voici six choses que nous avons apprises.
1. Bien que les résultats finaux du projet centré sur les synthétiseurs lui aient valu le surnom de Veronica Electronica, Madonna n’avait pas prévu initialement de travailler avec le compositeur Rick Nowels ni le producteur William Orbit.
Après Evita, Madonna a retrouvé Babyface, coproducteur et co-scénariste de Take a Bow (Bedtime Stories), qui avait été en tête des Hot 100 pendant sept semaines en 1995. Mais selon le magnat de la Soul légère et vaporeuse, « Madonna ne voulait pas ou n’avait pas besoin de se répéter. » L’apercevant au grand magasin Barney quand il était à Manhattan pour les Grammys, le producteur et compositeur Rick Nowels – désormais principal collaborateur de Lana Del Rey – se présenta impulsivement. « Je lui ai dit que j’étais nominé pour un Grammy pour Falling Into You de Céline Dion », se souvient-il. À sa grande surprise, elle a répondu: « Oh, j’aime cette chanson. » Cela a conduit à une réunion chez elle, où, selon Nowels, « Elle a dit qu’elle n’avait aucune idée de ce que le nouvel album allait être. » Au home studio de Mulholland Drive de Nowels, le duo a écrit neuf chansons en 10 jours.
« Jusque-là, je n’avais écrit qu’avec des amis – Ellen Shipley, Billy Steinberg et Stevie Nicks » se souvient Nowels. « C’était assez déconcertant d’écrire en tête-à-tête avec la plus grande star de la planète, mais j’ai aimé ses chansons et j’ai ressenti une parenté émotionnelle avec sa musique. Une fois la chanson écrite, nous lâchions le sample et programmions notre propre rythme. J’avais beaucoup de disque de DJ et des vieux films qui m’ont permis de préparer des loops sur lesquels composer. Little Star et The Power of Good-Bye étaient écrits sur un rythme de drum’n’bass, ce qui se passait sur To Have and Not to Hold a été écrit sur un rythme de bossa nova.
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2. Ray of Light aborde en grande partie des sujets sur la transformation spirituelle, mais une chanson traite aussi des dangers des drogues dures.
Candy Perfume Girl est née d’une période d’écriture et d’enregistrement de deux semaines entre Orbit et Susannah Melvoin, fille du célèbre musicien de Los Angeles Mike Melvoin, frère du claviériste des Smashing Pumpkins, Jonathan Melvoin, et jumelle de Wendy Melvoin, l’une des musiciennes et ancienne fiancée de Prince. Elle n’est pas en reste: membre de The Family, un groupe dissident de The Time, elle co-chante la version originale de Nothing Compares 2 U et a co-écrit l’une des chansons les plus douces de Prince, Starfish and Coffee. Selon Melvoin, William Orbit lui a envoyé quelques pistes pour écrire des mélodies et des paroles et pour chanter pour ce qu’elle pensait être soit son premier solo ou un album du projet Strange Cargo d’Orbit, qu’elle – et, il s’avère, Madonna aussi – aimait.
« J’étais sur le plancher [de l’atelier d’Orbit], juste en train de rassembler des mots, et j’ai créé Candy Perfume Girl », se souvient-elle. « C’était une chanson très personnelle pour moi. À l’époque, je pleurais mon frère [Jonathan est mort d’une overdose d’héroïne en 1996], et cela ressemblait aussi à une vraie addiction car il me manquait. J’étais dingue de ce qu’il se passait sur ce disque, et il y avait quelques autres chansons que j’avais faites avec lui là-bas ».
3. Le nom de cet album aux accents techno-rock était basé sur une vieille chanson folk obscure.
Comme Orbit a céder ses compositions initialement dédiées pour Melvoin à Madonna, il lui a également envoyé une cassette présentant un travail inédit avec Christine Leach, une chanteuse anglaise qui avait co-écrit et chanté sur le projet Strange Cargo. L’oncle de Leach est David Atkins, qui, comme Dave Curtiss, avait été la moitié de Curtiss Maldoon, un duo folk qui a publié une paire d’albums infructueux sur le label de Deep Purple au début des années soixante-dix. Le premier a produit Sepheryn, que Leach a modifié et chanté des parties de la mélodie vocale pour les donner à Orbit, qui pensait que Leach en était l’auteur. Madonna a fait des changements supplémentaires, et la piste est devenue ce que nous appelons Ray of Light, attribué à Madonna, William Orbit, Clive Maldoon, Dave Curtis [sic] et Christine Leach.
Certains éléments de Ray of Light sont remarquablement similaires aux parties de Sepheryn: La mélodie vocale d’ouverture reste fondamentalement la même alors que les paroles ne s’écartent que légèrement. Mais Ray of Light omet les multiples changements de tempo de Sepheryn tout en maintenant un rythme régulier. Ces modifications apparaissent dans le rendu que Leach a publié plus tard sur internet. L’interprétation de Madonna – qui ajoute un second couplet crucial – est certainement plus proche de celle de l’original de Curtis Maldoon, mais le rendu est différent du titre de Leach. Madonna et Orbit ont réussi à transformer une expérience fascinante en modifiant la pierre angulaire d’un album entier sur la croissance personnelle et spirituelle.
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4. Malgré l’emprunt, les collaborateurs de Madonna sur Ray of Light considèrent que l’icône était dans un état d’esprit musicale de très haut niveau.
Ayant co-écrit et coproduit d’importants morceaux de nombreux albums de Madonna, dont Ray of Light, et jouant le rôle de claviériste et de directeur musical lors de deux tournées majeures, Patrick Leonard a travaillé avec Madonna plus longtemps et plus largement qu’aucun autre musicien. Il a également co-écrit et produit les trois derniers albums studio de Leonard Cohen. Cela donne du sens au fait qu’il ait surnommer Madonna, « une compositrice Allelujah ».
« Sa sensibilité à propos de la ligne mélodique – du début à la fin du verset et comment il s’influence avec le refrain – est très profonde », soutient-il. « Ce n’est pas commun. Dites Live to Tell, par exemple, notre premier single, les mélodies que j’ai écrites sont toujours là et elle les chante pour la plupart, mais c’est là qu’elle s’en écarte pour en faire une chanson. Plusieurs fois, elle chante des notes auxquelles personne n’aurait pensé, mais cela peut en partie être perçue comme de la naïveté parce qu’elle choisit une note que vous ne choisirez pas, mais qui a besoin de la bonne note? Elle a besoin de la note juste pour raconter l’histoire, et elle est géniale, elle m’a certainement rendu meilleur, il suffit de regarder toutes les autres personnes avec qui j’ai écrit au fil des ans et comment ça s’est passé. »
La violoncelliste Suzie Katayama, basée à Los Angeles, a travaillé avec de nombreux grands noms du rock et de la pop, dont Roy Orbison, Neil Young, Prince, Eric Clapton, Björk et Beck. Son association avec Madonna remonte à 1986, et pour Ray of Light, elle a dirigé ses cordes et ses bois – 20 violons, six altos, six violoncelles, quatre basses, deux flûtes et un hautbois. « C’était le disque où j’avais le plus de gens qui m’appelaient, en disant, « Whoa, c’est un excellent disque « , poursuit-elle. « C’était vraiment musical, Ray of Light a montré un côté d’elle que je ne pense pas que la plupart des gens ont vu. »
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5. Une des chansons écrites mais non enregistrées pour Ray of Light a été publiée des années plus tard par une superstar italienne, Laura Pausini.
Si vous n’êtes pas européen ou n’écoutez pas la radio en espagnol, vous ne connaissez probablement pas le nom de Laura Pausini. Mais la chanteuse née à Faenza est célèbre à l’étranger, ayant vendu plus de 70 millions de disques. Sa tentative de percer sur le marché américain, avec l’album From the Inside en 2002, a été un flop spectaculaire. Avec Resta in Ascolto et son équivalent en Europe Escucha sorti en 2004, Pausini est revenu en italien et en espagnol. Ensemble, ces albums se sont vendus à plus de 5 millions d’exemplaires, tandis que ce dernier a raflé des trophées Grammy et Latin Grammy. Selon Nowels, leur chanson de clôture, « Mi Abbandono a Te » était initialement intitulée « Like a Flower », et a été composée par Madonna et lui pendant leurs sessions de Ray of Light. Après avoir réécrit la plupart des paroles de la ballade produite par Nowels en italien et en espagnol, Pausini en fait la sienne. Néanmoins, la mélodie mélancolique évoque clairement Ray of Light: Le refrain bilingue ne pouvait pas être plus « Madonnesque ».
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6. Aucun des disques de Madonna n’a gagné un Grammy jusqu’à Ray of Light.
La Recording Academy récompense souvent les artistes qui sortent tubes après tubes, mais cela n’a pas été le cas avec Madonna pendant une grande partie de sa longue carrière. Dans ses 15 premières années à sortir des albums, elle a obtenu quelques nominations aux Grammy – avec « Crazy for You », « Papa Do not Preach » et « Who’s That Girl » – mais sa seule victoire était pour Blond Ambition World Tour Live, un disque de 1990 qui n’a jamais été officiellement réédité sur DVD ou tout autre format.
Mais Ray of Light a significativement interrompu sa série de défaites: elle a remporté le titre de Meilleur enregistrement de dance et Meilleur album pop, et le clip promotionnel de la chanson titre a remporté le prix de la Meilleure vidéo musicale. Depuis lors, elle a gagné trois fois sur les 15 nominations suivantes – dont le Meilleur album électronique / dance pour son album de 2005 Confessions on a dance floor, qui propose un mélange d’extraversion rythmique et de réflexion poétique.
Plutôt que de jeter une ombre méritée à l’Académie, Madonna, arrivant sur la scène dans un kimono rouge Jean-Paul Gaultier, a simplement remercié ses collaborateurs avant de tirer d’un coup sec William Orbit – qui se dressait timidement à côté d’elle – pour lui marmonner sa gratitude: « Il parle anglais, vous ne le saviez même pas. »
Écrit par Barry Walters, traduit par Baptiste Manzinali
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En apparence, Daniel et Mary-Sue Simpa forment un couple idéal, mais leur amour ne serait-il qu'une simple façade ? Angela et Lilith sauront-elles faire les bons choix dans leur vie sentimentale ?
Daniel Simpa :
Depuis que son père, Jeff, est mort sans avoir pu réalisé son rêve, Daniel est en proie à un terrible sentiment de culpabilité.
Signe : Vierge Aspiration : Amour Carrière : Assistant Entraîneur Passe-temps : Bricolage DLT : Devenir Légende Age : Senior - 5 Statut : Marié à Mary-Sue, amant de Kérine Hébert
Mary-Sue Simpa :
Active et ouverte, Mary-Sue est persuadée que l'être humain est fondamentalement bon. Elle a longtemps fait de la poterie mais ne s'y consacre plus autant qu'elle le voudrait, faute de temps.
Signe : Gémeaux Aspiration : Richesse Carrière : Stagiaire Passe-temps : Musique et danse DLT : Devenir Bras de la justice Age : Senior - 7 Statut : Marié à Daniel
Angela Simpa :
Patience et application sont deux qualités d'Angela. Elle rêve de prendre la barre d'un bateau de pêche.
Signe : Verseau Aspiration : Popularité Carrière : Elève en école publique (13/20) Passe-temps : Nature DLT : Devenir Maire Age : Adulte - 10 Statut : Petite-amie de Kevin Hasseck
Lilith Simpa :
Lilith raconte à qui veut l'entendre que sa sœur a plus de chance qu'elle. Mais tout le monde sait qu'il n'en est rien.
Signe : Verseau Aspiration : Popularité Carrière : Elève en école publique (6/20) Passe-temps : Sport DLT : Devenir Magnat des médias Age : Adulte - 10 Statut : Petite-amie de Dirk Dourève
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Daniel Pleasant :
Since his father Jeff died without achieving his dream of going to Mars, Daniel has felt an overwhelming guilt.
Zodiac sign : Virgo Aspiration : Romance Career : Assistant coach Hobby Enthusiasm : Tinkering Lifetime want : Become Hall of Famer Age : Elder - 5 Status : Married to Mary-Sue, Kaylynn Langerak’s lover
Mary-Sue Pleasant :
Active and friendly, Mary-Sue believes people are inherently good. She enjoys pottery, or used to, when she had the time.
Zodiac sign : Gemini Aspiration : Fortune Career : Intern Hobby Enthusiasm : Music and Dance Lifetime want : Become The Law Age : Elder - 7 Status : Married to Daniel
Angela Pleasant :
Angela is patient and dutiful. She dreams of being a fishing boat captain.
Zodiac sign : Aquarius Aspiration : Popularity Career : Public School (B) Hobby Enthusiasm : Nature Lifetime want : Become Mayor Age : Adult - 10 Status : Dustin Broke’s girlfriend
Lilith Pleasant :
Lilith had it harder than her twin sister, so she says. Which, you know, just isn't fair.
Zodiac sign : Aquarius Aspiration : Popularity Career : Public School (D-) Hobby Enthusiasm : Sport Lifetime want : Become Media Magnate Age : Adult - 10 Status : Dirk Dreamer’s girlfriend
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