#magie blanche pour qu il pense à moi
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Retour de mon amoureux:Cliente satisfaite-Marabout professionnel
Retour de mon amoureux:Cliente satisfaite-Marabout professionnel
Témoigange Melissa, Guyane
Retour amoureux- avis cliente satisfaite
Toute ma vie, je vous serai reconnaissante, vous avez réussi à me faire revenir Gilles malgré nos 26 mois de séparation, vous avez réussi là ou aucun autre marabout n’a pas, vous m’avez sorti de cette solitude et de cette dépression au moment ou je n’y croyais plus.
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Holà l’internaute - 👍🏼🌈
La pluie, la pluie, la pluie... je vous annonçais précédemment que deux petites personnes nous rejoignaient dans notre aventure...! Bah vla qu'elles nous ont apporté de la pluie celles-ci.
C'est chez Marcos que nous nous retrouvons - Je vous plante le décor les gars... - Monsieur d'un certain âge, habitant à Pucón depuis 30ans, anciennement avocat, reconverti architecte et musicien à ses heures perdues. Nous arrivons dans sa demeure - Ouais... sa demeure, quand t'es dans un remake de la baraque d'Edward Cullen... bon ! - au chaud. Il commence à faire frisquette dans le coin. À cause d'un petit contretemps et de nos escapades montagnardes, la fatigue est là et on décide de ne rien faire pour cette journée d'accueil avec les filles. Rencontre de Marcos, son papa et son frère. Personne tellement gentille et accueillante. Un ami d'une amie de Marielle. C'est dingue comme les gens peuvent être ouverts et hospitaliers sans vous connaître. Est-ce qu'on a déjà été comme ça ?! Est-ce quelque chose qui s'est perdu chez les occidentaux ? Je ne sais pas si on doit apprendre ou réapprendre mais je garde ça dans un coin de ma tête...!
La gentillesse de ce monsieur ne s'arrête pas simplement à son accueil pour déjeuner, puisque nous lui expliquons notre parcours et il nous propose de nous laisser sa petite maison - 3 étages, tour avec vue, Victor le gardien qui vit sur place avec sa femme et ses enfants dans une maison adjointe, 8 chambres, autant de salles de bain, un salon de la taille d'une salle de cinéma... fin un petit truc pour 50 personnes et on est 4 - avec vue sur lac ! Bon bah on va pas se mentir.... on est plutôt bien.. au chaud, protéger de la pluie... une douche et un lit avec couette !.. On décide de faire 3 courses pour le soir et de se faire un vrai dîner - J'oubliais... c'est jour de recensement au Chili.. Tout est fermé. Personne ne travaille ! Niquel -
La pluie ne s'arrête pas, mais on s'en fout parce qu'aujourd'hui on va se tremper le cul dans des piscines naturelles - J'ai quand même des doutes, je reviens là dessus - d'eau chaude perdues dans la montagne.. un petit kiff en fait.
Au Chili, il y a la masse de Volcan, il n'est donc pas étonnant de trouver des sources d'eau chaude naturelles un peu partout. Les chiliens en ont fait des thermes. Nous voilà parti dans l'un des plus structuré et des plus enfoncé dans la végétation. Les Termas Géométricas sont tellement reculés et dans les hauteurs que la route d'accès est un chemin de terre - Complètement défoncé, dans lequel nous avons crevé, Stan est arrivé un peu fatigué et en boitant ! - et de cailloux, très étroit dans une végétation très dense. Pluie, vent, montagne, forcément... froid ! Tout le monde à poils, et go les piscines. Les températures varient entre 37° et 44° en fonction des piscines. Après les trecks pour nous et les bus pour les nanas... c'est vraiment génial de se détendre un petit peu. Le lieu est trop bien, des allées de bois peintes en rouge relient toutes les piscines, 18 au total. La vapeur qui se dégage des piscines donne des airs de film érotique et d'endroit mystérieux. Nous sommes détendus et relaxés après 4h dans ces bains d'eaux chaudes. En revanche... j'émets un gros doute quand à la température de l'eau dites naturel. Qu'elle sorte d'une source, pourquoi pas... par contre on peut clairement voir que l'eau qui va de piscine en piscine est chauffé par un sytème caché en bois... et que la logique, qui voudrait que ça aille du plus chaud au plus froid n'est pas vrai, puisqu'on passe d'une piscine à 37° à 40°... mais cela est un détail comparé à la beauté et à la magie du lieu - Apres t'y vas pas pour une étude H2o et de réchauffement aquatique ! Tu mets ton maillot et tu kiffes ta baignoire à ciel ouvert dans la jungle de King Kong !
Au vu de la super météo, on est moyen en terme de route sous la pluie - Jojo CassDédie - du coup, on se dit qu'on passe la nuit tranquille dans notre méga demeure - Vampire, petite fille… - et qu'on reprendra la route demain... et au petit matin, après les aux revoirs avec Victor, les yeux humides... - Encore une petite claque hein... le type nous connaît depuis 24h, mais il est tellement content de nous voir enjoués et réjouis de ce court séjour... on a rigolé et on s’est occupés de son fils de 5ans et ça... ça a été je pense pour lui un tel cadeau, qu'il en est ému de nous laisser partir ! - c'est direction Valdivia... au bord de l'Océan Pacifique qu'on vient poser notre tente pour la première fois et bien sûr, notre bon vieux Stan - En tant que gentlemen, on laisse les filles dormir dans la tente... - et on part découvrir le petit marché de fruits et légumes, poissons et artisanat. Je trouve le marché de la bouffe très mignon et super beau, de plus nous avons le droit a un vrai spectacle avec les Otaries a Fourrures, qui attendent gentiment que le poissonnier est fini de découper le poisson et de le vider, pour tout manger - Des énormes bêtes, qui se contentent de si peu… Celui-la de régime pour être aussi grosse !… - En revanche, le marché artisanal est très touristique et très peu attirant. Franchement pas à faire. En revanche nous avons pris 3 poissons sur le marché pour le soir et une salade - Un délice ! On a kiffé, au bord du lac, avec les étoiles et tout ! Franchement posés -
Les filles ont eu la joie de prendre leur première vrai douche dans la nature - Tout ce qui est bassine et réchaud... ce soir là on en aura vu des lunes ! - et surtout une nuit 4 étoiles à l'hôtel Quechua...! Malheureusement cette nuit là, il a fait un temps pourri et la pluie est tombée toute la nuit..! Tout le monde a eu froid. On a du mal à se réveiller et je me sens tout rouillé ! La pluie n'est vraiment pas cool. Aucun rayon de soleil pour se réchauffer. Je commence à voir les désavantages d'être en van. La pluie est mon pire ennemi !
On est sur la route, direction l'île de Chiloé... avec un premier stop avant la traversée à Puerto Montt, petite ville de pêcheurs, où un petit port minuscule et super mignon nous attend !... On y découvre un petit marché artisanal bien plus intéressant que Valdivia si on cherche un peu en dessous de toute la marchandise touristique !.. En revanche on se fait alpaguer de tout les côtés pour manger dans les restos au dessus du marché... et c'est plutôt pénible..! On mange donc un resto un peu plus en retrait, un petit peu plus cher, mais tellement meilleur et beaucoup moins touristique - Sociedad Gastronomica Oliva Spa - ! On sent que les clients sont quelques habitués et d'un certain âge et personnellement ca me rassure sur la fiabilité des produits - Ouais les petits vieux, souvent sur la bouffe ils sont pas trop cons ! Et les locaux, vont pas s'emmerder à manger dans des endroits nazes ! Tuyaux de vieux baroudeur les gars ! - Une fois les panses bien remplies, on reprend la route direction Chiloé...
Pas besoin d'attendre longtemps, le ferry est en train de manœuvrer pour accueillir dans son entraille métallique toutes sortes de véhicules. Moto, piétons, van, camion, bus... 30min de traversée et voilà sur la petite îles du Chili ou la petite écosse - Regarde " La Part Des Anges " tu comprendras - de par ses paysages verts et ondulés. Le temps pluvieux et brumeux donne un certain charme à ce bout de terre flottant du Pacifique. Ce soir, on décide de dormir tranquille face à l'océan à côté de Ancud... mais le temps reste encore bien bien relou, et surtout un vent assez important souffle sur nos petites têtes. Grâce à l'application iOverlander - L'application indispensable pour tout voyageur en van ou en sac à dos hyper déter à vouloir faire du camping sauvage... carte du monde qui répertorie tout les spots où l'on peut dormir en mode wild. Vraiment, hyper chanmé - on trouve un petit spot méga déter sur la plage... et sur la route on croise des paysans qui font un bbq ! Marielle ParleAToutLeMonde et nous autres avons pleins de questions. Comment vivent ses gens si loin de tout ? Où vont les enfants à l'école ? Comment gagnent-ils leur vie ? Quel est leur quotidien?... C'est alors que l'un d'eux nous explique qu'ils sont tous en majorité paysans sur l'île, et qu'il ont des troupeaux de vaches, moutons, et qu'ils vivent de leur culture. Certain sont plus " évolués " avec des métiers d'artisan ou mécanicien.. les enfants doivent faire des kilomètres de bus pour aller à l'école. C'est un mode de vie différent et totalement à l'opposé de ce que l'on peut connaître, mais tellement intéressant. Pas motivé à sortir la tente pour les filles... on se tente de dormir à 4 avec Stan - Bah... c'est pas le Ritz c'est certain, mais ça se fait largement. Notre lit est vraiment dingue... un matelas par terre à l'avant et ça passe tranquille et ça tiens surtout chaud !!! - Apres des petits sandwichs chiliens faits par mes soins, nous nous couchons et le lendemain suite aux conseils des paysans rencontrés la veille, nous nous dirigeons sur la plage pour voir les pingouins. Il est 8h10, je suis sur une plage du Pacifique, le soleil se lève... la pluie a cessé quelques minutes, - On s’enflamme pas non plus.. - les couleurs orange et rouge dans le ciel qui se mêlent aux nuages me font penser et réaliser que je suis à des milliers de kilomètres de chez moi, de ma vie en générale, de mon quotidien parisien... et j'apprécie ce réveil matinal à prendre de l'air frais et certainement peu pollué en pleine face et à pleins poumons. C'est une sensation tellement étrangère et nouvelle. Après plusieurs minutes d'attente sur la plage et d'observation... aucun pingouin. On s'en doutait fortement... la plupart des gens nous avait dit qu'ils avaient migré. On a tenté le coup... et c'est grâce au zoom ultra sonic de l'appareil photo... que l'on aperçoit en face, sur la petite île... des tâches blanches, d'abord à l'œil nu et finalement grâce à la technologie, des petits pingouins. Encore une petite satisfaction qui confirme que j'ai bien fait de partir à la découverte de cette planète !... spectacle plutôt inattendu et magique.
(Isla des Pingouins, en tout petit bien-sur..!)
Le temps se gâte réellement, le froid nous glace le sang. Impossible de se réchauffer on décide alors de prendre un Hostel - Ouais là on a fait les petits joueurs des mecs en van...! On a triché - Mais en vrai... il fait tellement froid, humide et on est 4... le van a pris la pluie, nos affaires sont mouillées et une partie du matelas est mouillé - On est pas venu ici pour souffrir ok...! Si c'est pour attraper une pneumonie c'est pas la peine non plus quoi..! - donc on aimerait bien que ça sèche et qu'on puisse reprendre la route tranquille !... Sur des conseils de voyageurs rencontrés sur la route, on s'arrête dans un Hostel et on part découvrir la petite ville de Castro... ni déçu ni content... Chiloé reste très jolie, avec son petit port sur pilotis et ses vieilles maisons en tuiles de bois, qui depuis quelques années sont interdites d'être construites ainsi pour des raisons de sécurité... - Quand tu vois la cathédrale San Francisco au milieu de la place du village... tu te dis que c'est plutôt une bonne décision... parce qu'en vrai à tout moment le truc il s'effondre. On dirait du papier mâché.. - Il n'y a pas grand chose à faire. La plupart des gens y viennent pour se reposer et chiller - Chiloe... Chiller... non ? Je sors... - c'est pour cette raison qu'on décide de repartir assez rapidement. Et qu'on reprend la route direction Barriloche en Argentine ! Nouvelle frontière, nouvelles aventures... et pas des moindres !!
A tôtbien les copains.
Crédit Photo : Marielle & Delphine
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Confiancee me manifester
la france me manques toujours
En revanche à mise au point de l’ exhibition du MoMA de Francis Picabia ça me semble qu'il a fait par quelques artistes différentes pas nommés avec chaque salon qui offre quelques exemples des plusieurs mouvements qui soient typique de ce qui est considéré l’ art moderne chez le vingtième siècle, commencant avec le style impressionniste.
Au premier, on peut se voir un fil de connexion avec l'exhibition Russie des artistes reconnus par le musée qui fait ouvrage entre la chute de tsar et la naissance de communisme (e.g. rayonisme, les photos de El lassitsky et poète mayaodsky) et d'ici on peut commencer à question dont- ils veulent là -dire sûr le procecus d’ art media moderne où on est inondé par des milliards impressions par jours à travers des portables, des journaux, des ordinators, n’ importe quels endroits?
D'en plus, est-ce qui- ils veulent faire un conversation en ce qui est compris aux niveaux l'argot ou bien dit “jargon” de “photo” et “assistant” qui entammée ces idées économiques sociales? Est-ce qui a un commentaire sur la politique de voix d'État et voix musée qui rendre difficulté chez les voix des individus qui au fond est point d'origine de l'art qui issu d’ imaginaire individu?
Alors, Eloisa s'assis à son bureau en recevant une carte postale d'une amie australienne. Sur la carte il y a fait un photo du drapeau de l'État Californie aux etats-unis, qui contient au centre un grand ours. L’ image d'ours lui a frappé avec la force comme une grande vague qui touche le sable. Elle ferme les yeux pour quelques instants comme elle peut se sentir l'inspiration d'une mémoire, pleine, avec des larmes du coeur dedans. Elle r'ouvrit les yeux en recommencant lire la carte postale. Son amie lui remercie pour la recommendation du roman “Palo Alto” et ensuite elle se conseille à voir un talk de NYU film school qui en trait le sujet de mythe et symbole , autour de la question d'origine chez les modes médias modernes. Eloisa se décide à voir le talk. C'etait lente mais “thorough”. La directeur qui s'appelle pamela a détaillé un grand conversation qu ‘elle a eu avec l'écrivain James pendant qu'ils travaillent ensemble sur le film “adderall diaries”. Après qu'ils établissent la confiance entre les deux, il a révélé quelque chose assez formidable et incroyable, que son nom n'est pas James ni Franco. Ce qui est publié être qu'il est né en avril le dix neuf 1978 en Californie, année du cheval, mais en faîte , il est né le neuf février 1940, deuxième jour de l'année, “metal dragon” à Saigon mais il avait “facial reconstruction surgery” à cause des quelques choses en travaillant du monde de l'espionage chez Kissinger et l'OSS.
Son vrai nom est Herman Husserlian, il lui a dit avec un petit sourit. En souriant il continuait en lui disant pourquoi il a choisit ces noms et dates . Bien que ces phrases soient bref en lisant, en écoutant pamela a remarquait comment les rayons du soleil aux ciel font un mur blanc, qui resemble un peu l’ heure du matin quand on passe un nuit blanche. Il fait dur en écoutant quelque fois se pense Eloisa comme elle regarde la conversation tête à tête, seule, à son bureau. Néanmoins, en retournant à l'ordinateur pamela continue en décrivant ce que Herman lui disait en détaillé son procès mentale en choisir lequel on s'appeler. Pendant qu'il travaille avec l'OSS il y avait des attentats faisaient par un groupe communiste à ho chi minh où il a perdu son nez. En se réveillent autour de la destruction, sanglant du visage, il a crié “au secours! ” mais malheureusement il était “captured” par l'enemi . Il était imprissioné des plusieurs années . Pendant qu'il était au prison , carrément, il y a beaucoup des heures pour y en penser et Herman , après beaucoup d'espèce pour le choq, tristesse et l'angoisse qui sont naturel en réagir, au situation , il a commencé à relire mot par mot son livre favorite “east of eden ” dans sa tête. C'est un peu comme l'iliad, on imagine. Et au fur et à mesure, il a commencé à recevoir des cadeux de dieu qui sont arrivés comme des éclats en se réalise comment les mots, des noms et des chiffres contiennent une énergie et en faire c'est réalisation, il a fait la liaison de l'idée des cycles de créer et détruire, en effet le rythme d'énergie, ergo la vie. C'est pourquoi il a choisit le nom “James ” qui issu du bible en représentent les deux frères de Jésus (hey Zeus) avec emphase sur l'un qui s'appelle “lesser” puisque dans son situation comme prisonnier de guerre, il a vachement connaître le idée de la guerre et en focalisant sur cette idée, il répète plusieurs fois un méditation sur l'ouvrage de chapitre dix neuf en pensant de l'idée que le coeur reste chez vous, alors si on pert l'amour, ou bien dit croissance, on pert la maison et comment -on peut faire la paix si la guerre est toujours présente ? C'est pourquoi il choisit son date de naissance comme le quatrième mois avec un jour sans cesse en disant passé un nuit blanche chez un maison où des avis se diffèrent en même temps qu'il choisit son nom de famille comme “franco” en représentant le grand général d'Espagne ou bien dit le dieu de guerre juste avant la vache qui rit à l'Inde. Dernier nom en anglais soupiré eloisa.
Et surtout, il a continu, il y a la question de l’ ayatollah et l’ écrivain russi en se constituer le choix d'année du cheval et tout ces pensées, des répétitions sur la question de vérité des symboles et leur énergie dedans, la vache des têtus et les cadeux des attentats surmisent la difficulté en la donné car il y a déjà un Michelangelo, et l'histoire de Jésus c'est juste un rédaction sur la lutte d'art. Et les autres qui n'ont pas avoir faire des même luttes pour y en arriver pouvoir en emprunter sans cesse si tu es au prison ou dans un petit-ville comme celui des quelques juives, peu d'être. Car, au fond, le truc le plus frustrant, n'est pas la question de viol, mais la vérité que si tu donnes la racine directe, il n'y a pas l'espèce pour recréer la racine directe, il n'y a pas l'espèce pour recréer le savoir-faire comme on grondir dans la vie, donc c'est quoi la différence entre faire et enseigner? C'est toujours une lutte le désir d'être comprendre et le désir de se protéger même l'originateur et l'audience en créer une boite qui peut en être assez “wide ” pour des autres expériences qui recréer la leçon au niveau plus profond. Alors bien qu'elle se sente un grand hésitation du coeur en traduire leur conversation dans les phrases assez courts et directes, elle finit à parler comme ça: un des phrases les plus connu du monde est “la connaissance est la puissance” donc en construisant la connaissance, on s’ enseigne ça va dire de l'éducation où celui ci s'origine en ce monde moderne est pour la plupart d'issu du monde d'Internet à travers les ordinateurs qui s'originent à Palo Alto. C'est idée de l’ énergie échange a travers les ordinateurs afin qu'on receve l'info comme miroir comment à travers les mots on commence à comprendre des idées. Et une question rhétorique qui est autant vieux comme le hemlock de Socrates être “c'est quoi la différence parmi mot, idée, et symbol? C'est assez difficile en traiter le sujet des archétypes en discuter la compréhension des symboles. C'est un peu de magie en arrivant à se comprendre. Au fond, on peut se voir comment le roman se décrire la difficulté entre comment les archétypes sont abstraits au niveau des idées qui existent seulement à travers la compréhension des mots pourtant les mots contiennent l'énergie en à créer et à détruire qui font semblance aux cycles qu'on s'expériencer dans le monde physique la vie. Alors , d'abord elle a décidé d'établir quelques mises apropos des idées abstraits universels philosophes spirituels afin qu'elle puisse traduire des rapports en celle ci symboles du roman. Presque tout le monde connaît l'histoire de jardin avec Adam et eve et l'arbre de savoir faire. Mange tout sauf- une, dieu leur dit et au fond ça va dire les idées qui s'originent au dehors de dieu nous nous séparons entre l'un et l'autre, qu'on pert l'unité entre ce qu'il existe dedans l'avis et ce qu'on reçoit à travers l'interaction avec le monde externelle, ce qui donne souffrance au coeur. Quand on choisit manger ça va dire la naissance en choisir et ensuite l'histoire la vie devenir des contes des choix qui répètent aux cycles. Celles-ci sont symbolisé au monde archétype avec l'image des “ourro-borros” la créature qui se mange sans cesse et une autre raison pourquoi il a choisit la titre “Palo Alto” pour faire représenter cette idée ( ou bien dit l'endroit où il d'origine comme) et alors, le défi de la vie devient est ce qu'on peut s'assessoir entre les deux arbres de ce qui s'origine dedans soi-même, ce qu'on peut s'appeler l'intuition, ce qu'on expérience comme l'idée de dieu et l'arbre de connaissance qu'on reçoit à travers le monde au dehors de soi -même. C'est pourquoi il commence avec un quotation sur l'idée de apprendre et l'adolescence en faire représenter l'idée d'être entre deux mondes et qu'est-ce qu'on se construire comme savoir faire entre les deux, surtout quand on s'apprit les cadeaux des choix entre ce qu'il est du bon et ce qu'il est arrivé du mal. Car, au fond, le truc c'est que on peut seulement construire la vie à travers le monde au dehors soi-même mais il faut jamais oublier que c'est pas la seule moyen à construire, ce qu'il reste toujours les arbres de dieu dedans soi même qui sont eternel car si on oublie ça, on est mouri des cadeux de la vie. Et bien, en continuant sur ces motifs comme “construire, naître et choisir ”, en retournant sur l'idée de l'énergie dedans les mots on peut commencer en traduisant quelques idées du roman. L'écrivain dit aux lecteurs au commençant cette idée de l'adolescence comme le seul temps qu'on apprend, qu'on établit comme l'idée d'être entre deux mondes, comme l'enfance et l'adulte mais même cette idée être entre des mondes à pensée, ce qu'il est symbolisé par des arbres dans le jardin de l'éducation. C'est comment le livre commence, qui est un peu s'opposer à l'idée d'être au milieu de quelque chose, mais à travers motif de l'idée du jardin, on peut se voir l'idée d'être toujours au milieu quand on se réveille de plus et plus de la cconnaissance. C'est pourquoi il a placé les allusions des archétype de “ram ” et l'idée des poissons et le pain de corpus cristi au milieu de l'histoire, entre 12.25 et 10.31, et à la fin il y a l'ours qui le père dit aux enfants vont manger sans cesse. Eloisa jette un clin d'oeil à la carte postale avec le drapeau de Cali. Car, au niveau des archétypes de zodiac, le “ram” s'est connu comme le premier, dit-on l'intuition de feu qui arrive directe de dieu. Et ensuite, il fait l'allusion à conte des poissons et du pain en liée encore cette idée des ourro-bourros, car le truc, c'est de comprendre comment partager la connaissance, de partage la leçon sans donner tout, de regarder ce que les autres y en apportent, quand même pour y'en éviter à être manger par l'ours qui en veut tes outils de savoir faire. C'est un peu comme l'histoire de rap u &sel, on peut le dire. Et avec ça, c'est répétition du commencement, milieu et fin, qui font semblance aux cycles de la vie qu'on revient en traduisent les thèmes spirituels en comment on reconnaît l'énergie contient dans les mots. Car si on lit comme un juif, on lit en renversant. Et en pensant en renverse, on peut rexaminer comment faire construire les mots, aux niveaux des idées à travers des consonnes. D'abord il y a encore cette idée de l'adolescence. On a déjà discuté ce qu'il comprend sur l'époque de vie, mais quand on se mit à considéré les sons de syllabes. En écoutant le mot “adolescence” est-ce qu'on peut considéré le mot “idol” chez l'idée de jeune vache dorée? Et ensuite, au niveau plus profond, on peut se voir un question apropos des poupées et la mise en scène chez la Californie. Et apprendre et gagner de l'argent, s'introduisent au niveau à penser comment le consonne “L” se figure beaucoup dans ce livre. En plongeant sur le texte il y a un scène au milieu qui est beaucoup révélant en considérant cette idée. Ici, il fait l'allusion au livre “l'âge d'innocence ” de Édith Wharton avec l'image d'un “park bench” au dehors de la bibliothèque. Sur le “bench ”, il y a un mot écrite par un couteau dans le bois, le mois d'avril, sans le “L” au fin. En retournant à la conversation en comment Herman a choisit son date de naissance en avril, s'invite un de méditation sur le thème de comment les choix font comme des naissances. Et en laissant-le, ce consonne au fin ça va dire quoi alors? D'abord il y a surtout ce répétition aux cycles sans cesse et des niveaux y en à penser. Même en anglais le mot niveau traduit comme “level ”. On peut s'imaginer comment l'auteur veut faire exprimer le changement de reconnaissance entre soi-même et les autres, en bougeant cet “L” unifié au milieu et remplaçant en deux “L” au titre qui s'indiquent aux lecteurs l'idée de séparation des niveaux pensés possibles en comment comme si on fait un choix externelles, bien dit comment on utilise les mots à parler on fait un signe qui fait l'impression au premier avant qu'on lisse ce qu'il est contenu dedans. Et le nom de “eve” et la connaissance du mal. Meme avec les deux “L” il y a encore ce référence aux idées créatrice et destructrice chez les mots “ Love and Loss” et peu d'être il veut s’ indiquer ce hésitation au cœur qui arrive avec les répétitions des choix et la perte de l'amour en ce qu'il est arrivé inattendue, qu'il laisse- le en faire représenter la volonté en ne veut pas entrer dans la bibliothèque. Et en ce qui concerne n'importe quel discussion à-propos de épistémologie au niveau profonde on doit se confronter à ce grand mot “mens “ou écrit-il en anglais comme “lie”. Un mens Ca va dire quoi? Au premier il y a cette impression sur la perte de la vérité. Pourtant, comme on se promène, dans la vie en confrontant ses expériences aux cycles de choix, l'amour, la perte, amis, menteurs, il devient une question plus et plus l'articulée chez quelques individus de ce qui fait la vérité? Ce qui est réelle? Eloisa se bouge un peu dans sa chaise, en touchant ses cheveux longues entre ses doigts en regardant les trois tableaux de peintures attachés sur le mur dans le salon. Un, ces des fleurs qui fait semblance de celui de Gauguin, dans son époque à tahiti, pleine coleur. L'autre, c'est un image d'un groupe autour d'un carrousel avec un ciel bleu et gris qui fait semblance au monde juste après qu'il avait fait pleuvoir, et la troisième c'est un mélange des mots écrits en calligraphie au dessus des photos de arbres bonsaï contre les photos de karaoké clubs à Tokyo. En retournant sa regarde à l'ordinateur, la directrice continue en “dissecting” comment ces idées extrapolées sur les thèmes universels, philosophes, voyons aux étapes comme le titre entière, ensuite un examination aux mots qui se composent, et enfin aux consonnes individus afin qu'elle établisse un fondation pour faire ces liaisons entre ce monde des idées abstraits se voyant à travers des contes et symboles se situeront à l'endroit physique, concret en lisant l'histoire. Bon, au premier compris, il y a cette idée comme une petite ville au nord de Californie où les ordinateurs s'originent. Ensuite, on commence en séparer les niveaux de pensées possibles en examiner chaque mot qui construit ce titre. D'abord il y a le mot “Palo” . En anglais le mot “pal ” c'est de l'argot pour un ami. Deuxièmement il y a du “Alto” et on peut penser ici comment un moyen de faire exprimer un changement en anglais c'est du utilisant le mot “alternate”. Ici, on fait un pose pour y en considérér la grande question de vie comment les rapports entre des amis changent avec des niveaux à connaissance qui sont arrivées vis à vis les choix? Et c'est comme un maman, eloisa est arrivant à penser avec le frustration. Il faut laisser juste en le croix que les droits gens vont comprendre,car les gamins ne te donnes pas les remerciements pour y en faire tout, alors pourquoi cet volonté qui me semble complètement inextricable de vouloir dire cette racine directe que “how passion pales with each alteration of truth” pourquoi cet obsédé avec le désir en être comprendre tout de suite, c'est embêtant! Après un pose pour faire un grand tasse du thé, où l'arôme de bergamote coule dans son nez pendant qu'elle regarde ces 3 tableaux en considérant quelques détails qu'elle aperçoivent un peu différente cet après-midi comme les nuages jouent avec la lumière qui arrive à travers la fenêtre, eloisa retourne sa regarde sur l'ordinateur et continuer à écouter la conversation, avec pamela qui est en train de continuer son “dissection ” du titre en ce qui concerne des niveaux possibles. Elle répète ces mots “Palo Alto” en revient sur l'idée que les mots sont des “containers”, pour les idées et bien les villes, la paysage, n'importe quel endroit font l'espèce pour la vie. Et donc, d'ici elle entamme à expliquer en profondeur sur les thèmes de choix en considérant comment l'écrivain utilise l'idée de “local color ” vis-à-vis ces endroits, villes, états , et son expérience. Bon, on a déjà établit quelque choses qu'il faut répéter ici : ville où des ordinateurs s'originent , “bench” au dehors de la bibliothèque avec le mot avril sans le “L”, l'amour /la perte, naitre/mourir en cycles de choix, bougeant cet L au titre pour y en faire représenter ce qui est voir au d'abord en l'impression. Après le mort de Christ, ceux qui lui ont suivi on fait laquelle impression sur sable? Un poisson à moitié… Un peu comme L, il faut que l'autre fait le choix en marquant, donc en laissant le L sans dit rien est-ce que on peut se voir un référence avec la foi taoïste, un créance qui exalte le silence comme truc beaucoup d'importance. Sautant entre la liaison de cette idée du silence et les images construisent comme des environs, on peut commence à discuter à travers le titre quelques niveaux plus profondes au thèmes du roman chez les expériences d'environs réel et imaginaires comme ceux de Hollywood, Californie qui en a beaucoup influençant l'auteur. Bon, il manque l'espèce pour parler à propos de ce qui est réél et imaginaire dans cette ville fameuse des films. Mais en ce qui concerne ce conversation, en plongeant sur le roman en y discute les trois époques du livre entier mais aussi des contes, vis-à-vis local color , il faut considérer les niveaux des consonnes du titre mais même la juxtaposition de la difficulté de y en extrapolent parce que s’ invite un conversation hypothèse, sur quelques extraits sur la nature de puissance comme connaissance, comment l'ours mange le ventre et sans le centre, la créance, on est perte dans un rôle qui est plus et plus “hollow ” , pourquoi?
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