#madame chapeau

[beauty-beast-week]

Beauty and the Beast Week 2024 starts on the 23rd, and we’re counting down to the event with a silly Disney BatB poll each day.

*I'm purposely not including Forte here, because he canonically loves being an object, so that's cheating.

Find more info about BatB Week here, and follow this blog to see all the creations as they are posted during the event week.

Reblogs are appreciated!

[batbobsession]

I find myself thinking that it would be great if we had a baroque-style classical music fandom with little gilded edges and castles and everything...

...and then I remember that the Beauty and the Beast fandom is literally that and we have three straight-up musicians to write fics and theories about (Chapeau, Cadenza, Garderobe) and a half (because it's basically been accepted in fanon that Lumiere plays the accordion)

and how I have literally structured Chapeau's playing style around Antonio Vivaldi and Cadenza's playing style around Domenico Scarlatti/Frederic Chopin and I've written several fics that revolve around those characters playing music:

Shifting

Wooden

Nocturne

A Shadow's Tune

Opera

A Rare Gift Indeed

and I fall back on that from time to time and just remember yep it's me. I'm the music nerd that turned Chateau Villeneuve into a mini prodigy hall where music thrives despite an eternal winter and a complete lack of hands

[dirklagast]

Madame Chapeau

[janus-cadet]

Une fois de plus, le peuple a parlé ! Voici donc Madame la Baronne, avec son p'tit chapeau, en tant que Sept de Pentacles !

Cette robe, les gens. C'est une dinguerie le temps que ça prend à la dessiner. Enfin ! Pour les explications, c'est sous la coupure... et qui sait ! Vous pourriez aussi y trouver un sondage... un test de personnalité... imaginez, truc de fou.

Qu'un seul moyen de le savoir ! :D

Le Sept de Pentacles, c'est une carte qui vous félicite. Oui, vous ! Félicitations ! Parce que vous êtes quelqu'un qui a pleinement conscience de la nécessité de consacrer du temps et de l'énergie dans vos projets pour obtenir de bons résultats sur le long terme. Vous n'êtes pas là pour des victoires faciles, hop, on colle une balle dans la carafe de ces zouzous et c'est réglé. Vous avez conscience que les choses ne se réduisent pas à des détails ; vous considérez la tapisserie dans son entièreté. Non, voyons, il ne faut pas les tuer ; proposons plutôt un ultimatum. Vous mettez du cœur à l'ouvrage, c'est le moins qu'on puisse dire ; même si, malgré tout, vous avez l'impression de ne jamais récolter les lauriers qui vous reviennent pour ça. Peut-être que quelqu'un d'autre se les accapare (une reine plutôt badass, par exemple), ou que vous n'êtes simplement pas bien considéré.e par votre entourage. Ne vous inquiétez pas ; votre dur travail finira par payer, dès lors que vous commencerez à vous affirmer, et à vous entourer des bonnes personnes. Gardez patience, et ne vous laissez pas abattre ! N'hésitez pas à investir dans un projet qui vous passionne vraiment- comme, peut-être, en aidant avec les enfants du Térié. Terrier ? Non, non, Térié, clairement. Si vous consacrez vos efforts à quelque chose qui vous plaît et vous aide à vous sentir à votre place, vous vous débarrasserez sans doute de beaucoup des frustrations qui vous accompagnent, en ce moment !

Peut-être même qu'on vous laissera assister aux spectacles sans rouler des yeux très fort.

Nous voilà donc à huit cartes sur le thème du VDF ! Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin...

Eh, mais, oh, que vois-je, avant le traditionnel récap des dessins précédents ? Mais oui ! C'est un test de personnalité, concocté par Bibi ! C'est fou, tout ça, comme notre mâchoire en tombe.

Et donc, enfin, les sept cartes précédentes. On approche de la limite des dix images par post, ouh la la...

La bise, les gens, et à bientôt !

[chicinsilk]

Pierre Balmain Spring/Summer 1954 Haute Couture Collection. "Jolie Madame du Printemps". Anne Gunning wears a pink "Falweed" basketweave tweed suit by Rodier, and a large pink and white straw hat.

Pierre Balmain Collection Haute Couture Printemps/Été 1954. "Jolie Madame du Printemps". Anne Gunning porte un tailleur en tweed natté rose "Falweed" de Rodier, et un grand chapeau en paille rose et blanche.

Photo Henry Clarke

[erinsvintageemporium]

On This Day: 25th December, 1870

Fashion plate from La Mode Illustrée illustrated by Anaïs Toudouze featuring toilettes by Madame Breant-Castel of 28 rue Neuve des Petits Champs.

DESCRIPTION DE TOILETTES.

Robe de chambre en cachemire gris-perle, ouatée et doublée de foulard bleu. Cette robe de chambre, ouverte par devant, est bordée sur tout son contour d'une large bande en velours bleu; les manches larges sont bordées de même; le corsage ouvert a des revers en même velours bleu. A l'intérieur, camisole en nansouk fin, brodée et garnie de dentelle de Valenciennes.

Petit garçon de quatre ans. Pantalon large s'arrêtant au genou, et blouse demi-longue en velours anglais noir; bas rouges on laine cachemire; demi-bottes en cuir noir; paletot pareil au costume, bordé d'une bande de fourrure; col plat en toile; cravate rouze.

Jupon en taffetas grenat garní d'un haut volant plissé ayant 40 centimètres de hauteur; robe en velours grenat foncé, garnie d'une bande de petit-gris. Cette robe courte est relevée sous chaque bras par devant elle atteint presque le bord supérieur du volant du jupon en taffetas, par derrière elle dépasse ce bord et tombe à mi-hauteur du volant. Paletot parell à la robe et garni de même; ce paletot est fendu sous chaque bras et au milieu par derrière, tous les contours (y compris les entournures des manches) sont brodés avec une bande de petit-gris. Chapeau de velours noir garni de dentelle noire et d'une plume noire.

Ref: 1870-12 LMI52

[mllenugget]

[3] Artfight revenge on La Madame Au Chapeau featuring Harley Armstrong

"In the future, the defense might want to think twice before making any statement"

[ekman]

– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.

– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.

– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.

– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait.  – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service... 

J.-M. M.

[divinaaugusta]

I´m curious to understand what led perfectly proper upper-class ladies of the mid to late 18th century to pose half-topless, especially when it comes to non-fantasy portraits. I wonder if this happened in pictures alone, or if it was equally usual in real life (as it was back in Agnes Sorel´s time). Not wanting to lie, I recently did a quick search and got something along the lines of "a suggestion of a nipple peaking through the decolletage being considered delicate and chic".

1 and 2- Duplessis, Portrait of the Princess de Lamballe (1780s-1792)

3- Vladimir Borovikovsky, Portrait of Elizabeth Grigoryevna Temkina, 1798

4- Jean Baptiste Greuze, c.1780, Le Chapeau Blanc.

5 - Marie-Victoire Lemoine, Portrait de Madame [Comtesse]de Genlis, 1781

6 - Jean-Marc Nattier, Marie-Anne de Nesle, Marquise de La Tournelle, Duchesse de Châteauroux, 1740

[chic-a-gigot]

La Mode illustrée, no. 16, 20 avril 1863, Paris. Manteaux de Mme Leballeur, r. Taitbout, 74. Chapeaux de Mme Aubert rue Neuve des Mathurins, 6. Ville de Paris / Bibliothèque Forney

Description de toilettes:

Nous recommandons à nos lectrices l'examen des manteaux de printemps et d'été, exécutés chez M. Leballeur: ils se distinguent par leur parfaite élégance et leur bonne exécution.

Le manteau no. 1 est extrêmement remarquable. C'est un fort grand talma en cachemire noir, encadré d'une broderie orientale, en soies de couleurs. Les nuances sont si bien assorties que cette broderie est parfaitement harmonieuse, et n'attire le regard que pour le satisfaire. Le manteau est bordé en guipure noire. La robe est en taffetas nuance cheveux de la reine, bordée avec un volant tuyauté surmonté de pattes encadrées de guipure noire. Le chapeau se fait chez Mme Aubert, rue Neuve-des-Mathurins, 6; il est en tulle, de même nuance que la robe, avec plumes noires et roses roses placées en diadème.

Robe de grenadine de soie à filets bleus, formant carreaux sur fond blanc. La jupe est bordée avec une ruche de taffetas bleu ayant 3 centimètres de largeur; trois ruches semblables sont disposées en ondulation. Paletot en taffetas noir orné de riches passementeries et de dentelle de chez M. Leballeur, rue Taitbout, 74. L'entournure des manches est garnie d'une haute dentelle. Le paletot est ouvert en cœur et boutonné vers la taille. Chapeau de Mme Aubert, en tulle de Bruxelles blanc, avec bavolet, brides et diadème nuance abricot. Fleurs et feuillages noirs sur et sous la passe.

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Coat no. 1 is extremely remarkable. It is a very large talma in black cashmere, framed by oriental embroidery, in colored silks. The shades are so well matched that this embroidery is perfectly harmonious, and attracts the eye only to satisfy it. The coat is edged in black lace. The dress is in taffeta in the shade of the queen's hair, edged with a fluted frill topped with tabs framed in black guipure. The hat is made at Mme Aubert, rue Neuve-des-Mathurins, 6; it is in tulle, of the same shade as the dress, with black feathers and pink roses placed as a tiara.

Dress in silk grenadine with blue nets, forming checks on a white background. The skirt is edged with a ruffle of blue taffeta having 3 centimeters in width; three similar ruffles are arranged in an undulation. Overcoat in black taffeta adorned with rich trimmings and lace from M. Leballeur, rue Taitbout, 74. The cuffs of the sleeves are trimmed with high lace. The overcoat is open in the heart and buttoned towards the waist. Madame Aubert's hat, in white Brussels tulle, with flap, straps and apricot shade tiara. Black flowers and foliage on and under the pass.

[beauty-beast-week]

1 day left until BatB Week!!

Beauty and the Beast Week 2024 starts tomorrow, and we’ve been counting down to the event with a silly Disney BatB poll each day. Today is the last one!

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[selidren]

Printemps 1916 - Champs-les-Sims

6/9

Cléo a réagit comme je l'escomptais. Elle s'est drapée dans cette espèce de tristesse offensée qui lui donne ses airs de comédienne de théâtre et elle commente sa peine à longueur de temps sans pour autant accepter de parler clairement ou d'être consolée. J'ai beaucoup de mal à communiquer avec elle parfois. Elle s'enferme depuis tous les après-midis dans le bureau où elle écrit quelque chose qu'elle appelle son "journal de guerre".

Transcription :

Cléopâtre « Vous avez bientôt terminé ? »

Madame Legens « Aucune idée Mademoiselle, je ne suis pas mécanicienne. Vous devriez prendre un livre plutôt que de vous morfondre en en soupirant devant la cheminée. »

Cléopâtre « Je n’ai pas l’esprit à ça. Ma tristesse est bien trop profonde pour lire des histoires. J’ai besoin d’écrire mon journal, il n’y a que ça qui puisse me consoler. »

Madame Legens « Ne soyez pas si dramatique. »

Cléopâtre « Grand-Mère dit la même chose. Et si jamais c’est ma nature d’être dramatique ? »

Madame Legens « Vous êtes trop jeune. »

Cléopâtre « Je suis une petite fille que son Papa n’aime pas, j’ai des raisons pour être triste jusqu’à la fin de ma vie. Quand je serai une femme, je ne porterai que du noir et j’aurai un chapeau avec une voilette si épaisse que personne ne pourra voir mes yeux. Comme les dames en deuil. »

Madame Legens « Et c’est pour cette raison que vous avez cassé la machine à écrire de votre Papa ? »

Cléopâtre « Non, j’ai fait une faute de grammaire et en essayant de retirer la feuille j’ai entendu un clac et un grrrr. Et le touches ne pouvaient plus bouger après ça. Vous voyez Madame Legens, j’ai des raisons d’être triste. Je suis une petite fille mal aimée mauvaise en grammaire et qui casse le seul objet qui lui apporte du bonheur… *soupir*» 

Madame Legens « Je vois. J’irai en parler avec votre Maman. »

Cléopâtre « Si vous voulez. Elle ne peut rien faire pour moi de toute façon. »

[ticenchantedtoc]

ok i want /all/ of the holiday fics but i DEMAND one using #2!!

Belle paced in front of the fireplace, hands clasped behind her back. Lumiere and Cogsworth exchanged nervous glances. Whatever was on her mind, there was no doubt that they'd be dragged into it.

She sighed through her nose. "Adam isn't coming to Christmas at my father's house— And I don't blame him! I understand that this time of year is hard for him, but my aunties already know I'm seeing someone, so I can't just show up alone."

"Well then, the answer is obvious!" Lumiere chimed in. "We simply dress someone up as Adam, and they would never know the difference!"

Cogsworth raised an eyebrow at him. "And who do you propose we send? You and I are both too old—"

"Hey!"

"Chapeau and Crane both don't talk, Fife would give himself a heart attack, Pierre would be a horrible first impression, am I missing anyone?"

"Hm, we could dress Babette as a man."

Before Cogsworth could make another sarcastic retort, Belle's eyes widened. "That... might actually work."

The days seemed to drag with anticipation, but when Christmas finally arrived, the ladies spent all morning getting ready. Babette borrowed a pair of Lumiere's trousers, though his shirt would sooner fit a coat rack than her. Instead, she tucked Adam's shirt into her pants and drew a small mustache with eyeliner. She turned from the mirror with a flourish.

"What do we think?"

Belle bit back a laugh. "You look like a combination of Cogsworth and Lumiere."

Babette laughed with her. "I'm going to pretend that's a compliment!"

"Thank you so much for this, Babette. Really."

"It's no trouble at all, mademoiselle."

Their ruse was worth it just to see the bewildered expression on Maurice's face when Belle introduced "Adam" to the family. One aunt made a remark about Babette's shirt looking a size too large; "Well, Madame, this style is all the rage in Paris, you know." The conversation spiraled then. Babette regaled the humble, woodsy family with (mostly exaggerated) stories about Paris and Versailles and royal galas and shining palaces. The hours flew in minutes, and suddenly, the aunts and uncles had bustled home, leaving only Belle and Babette and a very confused Maurice.

Light snow had begun to fail as they walked back to the carriage. Belle kissed her father goodbye, with a promise to tell him the whole story another night.

When they returned that night—a few hours later than they had planned—Belle was exhausted, and Babette was more than a little tipsy. They giggled at nothing, arm in arm as they trudged through the dark castle halls.

They stopped at the base of the stairs, and Belle yawned. "Well, I'm going straight to bed. You can bring Adam's shirt back in the morning; I'm not worried about it."

Babette raised her hand to her lips with a wink. "I bid you goodnight, mon amour."

And they erupted into giggles again.

[yourbespokeartisanalapocalypse]

He Cong photographed by Leslie Zhang for Marie Claire China, inspired by famous works of art.

Sandro Botticelli, The Birth of Venus.

John Singer Sargent, Madame X

Henri Matisse, Le chapeau de Paille.

Jean Auguste Dominique Ingres La Grande Odalisque

Alexander Roslin, The Lady with the Veil.

Rene Magritte, Man in a Bowler Hat.

John Collier, Lady Godiva.

[batbobsession]

Positive-ish Things that Happened During the Curse

I feel that I’ve made a lot of posts about how terrible the curse was for the staff (I’m not mistaken in doing so, the curse was definitely bad for everyone) but that little voice in my head got me thinking: what if I made a happy post about it?  So without further ado, here are a few headcanons about the curse that will (hopefully) make you smile.

Chip teaches Froufrou some new tricks.  Garderobe and Cadenza had already taught him the basics, like “sit,” “stay,” “quiet,” and a few other general ones, but Chip decides that “roll over,” “play dead,” “hide and seek,” and a few other fun ones should be added.

In the first few days, Plumette and the other maids cleaned the entirety of the castle. Obsessively. And while this served as a healthy distraction, it was also a way to remind themselves that they weren’t forgotten. It was their own rebellion against the curse, and everyone thanked them for it. The only two places left avoided were the West Wing (for obvious reasons) and the East Wing, because Adam forbade anyone go near it after his mom died.

Cuisinier had control over most of the knives in the kitchen, and with some help from more mobile residents, he carved toys for Chip and Froufrou. 

Yes, telekinesis exists. Cogsworth confirmed that some objects are just objects, so I imagine Mrs. Potts can push her own cart, Lumiere can light every candle in the castle, Plumette and the other maids can control the sheets and pillows, Chip can use his saucer like a skateboard, Garderobe can make a dress with a thought, etc.

On the subject of dog toys, the Madame wasted no time sewing little trinkets filled with rice and beans from the kitchens. Though she couldn’t leave the East Wing, Mrs. Potts provided the necessary materials on her cart. It was through this love of crafting (and the precious dog, of course) that Garderobe and Cuisinier, the two stationary residents, became good friends.

They all became snow artists over time. Think about it: the whole castle is blanketed in an enchanted winter, which means an enormous amount of snow. As Lumiere put it, they were doing nearly nothing before Belle arrived. But I can imagine that the staff members--Chip, Chapeau, Lumiere, and Plumette especially--learned how to make the best snow-sculptures ever.

And for those who immediately call baloney on Lumiere being good at it because of his candles, he can and does put them out. And even so, you know you can form ice by melting away parts of it, right? Imagine him making abstract, curving shapes out of icicles, or beautiful, water-like patterns in ice blocks. 

Not to mention, any time Chip asks for a snowball fight, the team who has Chapeau with them always wins. And it’s unfair. But it’s fun.

There have been times when Chip has been buried in the snow. It’s all in good fun, but Chapeau insists on watching him every time. After all, porcelain/fine china can crack if exposed to enough cold.

There are some dogs out there that aren’t smart enough to recognize their own reflections, so I like to think Froufrou has no idea what’s going on. Like sure, his mamma and papà look different, but they smell the same, so what’s the big deal?

I think I’ve mentioned this in other posts, but during pre-curse times, Lumiere hosted little midnight parties with music and dancing. He keeps that up, obviously, and after the curse falls on the castle, those meetings descend into chaos (since the walls of the ballroom have playable instruments on them, and the maids can fly). Chapeau usually provides the music, and sometimes the maestro joins in (when he feels up to it--after all, he’s incomplete without his dear one). 

Cogsworth hates it, but has absolutely no say on the matter, because he’s outvoted by everyone else.

Lumiere could and did light candles from far away. Maybe it’s just the 1991 version knocking on my brain, but I love the idea of Lumiere just blowing out one of his flames and then having all of the candles in his vicinity flaring up instantly. You need a ballroom lit? Give him five seconds. Done.

Plumette and the other maids tested their wings. On a calm day, they just decided to see how high they could fly, and Plumette made it pretty high before the winds picked up. The quest to find her around the castle grounds was pretty funny...for everyone but Plumette. And Lumiere. Poor thing went cold with worry. 

Of course they found her, and of course she wasn’t hurt, but from a bird’s-eye perspective, seeing the staff scramble to “catch the maids” just makes me laugh so much.

Under Mrs. Potts’ strict instruction, Chapeau taught Garderobe and Cadenza Adam’s favorite lullaby, the one his mother sang to him when he was little. If the Beast slept inside the castle, whoever was closest, and whoever was awake, would play it for him. He’d rage and silence them if he was awake, so in that way, his mother visited him in his dreams. It was a sign of the servants relearning to care.

The first big reunion with the beast and the servants was a few weeks into the curse: 

For the first few weeks, the Beast was so filled with self-loathing he would avoid the staff on a daily basis, killing things in the forest and eating them, like a real animal. Once Mrs. Potts and Chapeau found out that this was what he got up to when he left, Cogsworth nearly had a stroke and put his foot down. The Beast was doing the exact opposite of what he was supposed to be doing; disappearing into some wild thing was absolutely unacceptable. 

They didn’t pull out every stop. To do so would mean pretending like nothing was wrong, and they weren’t about to start that. But they made him dinner--a childhood favorite--and locked the doors of the castle, forcing him to eat what they made. They hovered, out of striking distance, but present in case he needed them. 

He ate. He trudged up the stairs to the West Wing. Looked at the rose. And cried. His first good cry in years, one that eventually lulled him to sleep. 

He never missed dinner after that. 

tagging @lumiereswig and @lumiereandcogsworth​ because I feel they’ll enjoy this

[chicinsilk]

Pierre Balmain Spring/Summer 1954 Haute Couture Collection. "Jolie Madame du Printemps". Lucky (Lucie Daouphars) wears a pink "Falweed" braided tweed suit by Rodier, and a large pink and white straw hat.

Pierre Balmain Collection Haute Couture Printemps/Été 1954. "Jolie Madame du Printemps". Lucky (Lucie Daouphars) porte un tailleur en tweed natté rose "Falweed" de Rodier, et un grand chapeau en paille rose et blanche.

Photo Philippe Pottier