#littérature populaire
Explore tagged Tumblr posts
Text
Payer avec des tomates
Soit les deux phrases suivantes : «Et puis maintenant que je gagnerai $ 20,000 par saison, on va pouvoir les rembourser les 750 tomates…» (le Hockey et l’amour, p. 32) «En tout cas, avec cinq mille tomates, je te fais confiance pour trouver quelque chose qu’il va aimer» (la Classe de madame Valérie). On l’aura compris : au Québec, dans le registre populaire, tomate est synonyme de dollar. À votre…
View On WordPress
#définition#expressions#fascicule#fiction#fiction québécoise#français#langue#langue française#langue québécoise#lexique#littérature#littérature populaire#littérature québécoise#québec#québécisme#roman#roman québécois#sens#vocabulaire
0 notes
Text
📌[FEUILLETON] Prenez la bonne échappée chaque jour à 15 heures 🕒 avec la série 🌸 « La Pédale Joyeuse ». Cet été 🌻, je vais en effet vous raconter le vélo 🚲 autrement...
ÉTAPE 13 💛 Le Tour de France 🇫🇷 🚲 VENDREDI 12 JUILLET Agen - Pau (171 kilomètres). Voilà les coureurs aux portes des Pyrénées, le vendredi 12 juillet. Pas de panique pour les sprinteurs qui auront une nouvelle fenêtre de tir en arrivant à Pau. Comme la veille, aucune difficulté n’est répertoriée sur ce parcours relativement plat, mais présentant tout de même quelques bosses sournoises»
🔎 UNE CHANSON 🎶 Une chanson phare de la culture pop-rock du vélo. Pendant ses vacances, Freddy Mercury voit passer le Tour de France, cela lui inspire une titre emblématique parlant certes de vélo mais aussi de société, de politique et de pop culture.
Censuré selon les pays, le clip deviendra lui aussi mythique avec la présence de filles nues enfourchant des « bicycle » dans le stade de Wimbledon. « Bicycle, bicycle, bicycle / I want to ride my bicycle, bicycle, bicycle / I want to ride my bicycle / I want to ride my bike».
L’année de ce titre, sans lien de cause à effet, le français Bernard Hinault remportera son premier Tour de France, la première de ses cinq victoires. « Bicycle, bicycle, bicycle » lui rétorquait l’ami Freddy.
Stéphane Dugast
À ÉCOUTER 🔖 Queen, Bicycle Race, 1978
💬 Chronique extraite de mon livre « VÉLO ! sport, ville, nature, culture & aventure » paru aux Éditions Glénat Livres.
🛒 À COMMANDER ⬇️ https://urlr.me/dqmFc
Photographies © DR
Top Vélo I Vera Cycling I ravito I La Bicicleta Ravito I Culture Bicyclette I Fédération Française de Cyclisme (FFC) I FFVélo I Radio Cyclo I Franck Ferrand I France tv I GEO France I Dans la Musette I Bike Café France I BikePacking France I Genesis Bikes Lapierre I Mavic I Decathlon France I
#vélo#bicyclette#aventure#sport#culture#récit#stéphanedugast#histoire#littérature#chanson#populaire#popculture#queen#bicycle
1 note
·
View note
Text
Surfeuses - Celles qui ont fait le surf, de 1915 à aujourd'hui - Paola HIROU - 2023 - Ed. Hélium
Quatrième de couverture Apprendre à lire l’océan, épouser chaque vague, puis glisser dessus le plus longtemps possible… Fascinée par ce sport, corps à corps avec l’élément marin, Paola Hirou a choisi de mettre à l’honneur neuf championnes devenues incontournables. À travers le parcours de ces pionnières, comme Isabel Letham, Mary Ann Hawkins, Linda Benson, Joyce Hoffman, et plus récemment Rell…
View On WordPress
#autobiographie#émancipation#femmes#hawaï#histoire#instalire#instalivres#leeham#leschroniquesdeleeham#liberté#littérature#obsession#océan#passion#populaire#sport#surf#surfeuses
0 notes
Text
L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci "psychologisant" qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La "perversion narcissique" apparaît pour la premier fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du "pervers narcissique", pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit rappel sur la notion de perversion en psychanalyse
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
12 notes
·
View notes
Text
Librairie L’Ambassade 6 rue Saint André 11170 Montolieu
✔ Livres anciens et modernes : littérature, poésie, arts, musique, philosophie, sciences humaines, religions, histoire, artisanat, thèmes divers.
✔ Documents anciens : photographies, cartes, partitions…
✔ Disques (classique, jazz, musiques populaires, poésie et théâtre).
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
7 notes
·
View notes
Photo
Littérature Mésopotamienne Narû
La littérature mésopotamienne narû était un genre littéraire apparu pour la première fois vers le 2ème millénaire av. J.-C. Elle mettait en scène un personnage célèbre de l'histoire (généralement un roi) dans un récit traitant le plus souvent de la relation de l'humanité avec les dieux. Ces histoires devinrent très populaires, et avec le temps, semblent avoir remplacé les événements historiques réels dans l'esprit des gens.
Lire la suite...
9 notes
·
View notes
Text
(Extrait d'un cours au collège de France d'Antoine Compagnon)
Qu’est-ce qu’un classique ? Suivant l’étymologie populaire, un classique est un écrivain qu’on lit en classe, comment Roland Barthes disait que la littérature, c’est ce qui s’enseigne. (…) Faisons pourtant attention. Un écrivain pour l’école, ou même pour l’université, c’est en quelque manière un écrivain qu’on ne lit pas, ou qu’on lit autrement : « Pour la semaine prochaine, vous lirez de la page 133 à la page 277. » On l’étudie, on suit des cours sur son œuvre, on fait des explications de ses textes et des dissertations sur ses sentences, par exemple celle-ci, qui résume la Recherche, ou du moins Le Temps retrouvé : « La seule vie pleinement vécue, c’est la littérature. » (…) Mais un classique, de façon moins sociologique cette fois, plus historique, plus critique, c’est aussi un écrivain dont les qualités principales sont, dit-on, la raison, la concision, l’ordre, la mesure, la réserve, l’équilibre, l’harmonie, la simplicité, la modération, etc. C’est du moins ainsi qu’on a l’habitude de le définir : « l’œuvre d’art classique, jugeait par exemple Gide, raconte le triomphe de l’ordre et de la mesure sur le romantisme intérieur. » Et Henri Peyre, dans un essai sur le classicisme qui a compté, décrivait le classicisme comme « un art de mesure, de lucidité, d’ordre, d’équilibre, en face d’un art que l’on juge excessif et violent, mystérieux et obscur. (…) Le classique, disait encore Peyre, se soumet aisément à son public, il s’efface devant le sujet qu’il traite ; il cherche en effet à devenir banal. Aussi son œuvre demeure-t-elle d’abord inaperçue. Car elle ne vise point à différer en tranchant sur la production contemporaine. (…) Mais, en vérité, qui cet effacement, cette soumission décrivent-ils correctement ? Racine, l’hyperclassique, l’homme aux 1800 mots, a lui-même eu des ennemis lors de la création de ses tragédies. On ne naît pas classique, on le devient, comme, avant Valéry, Stendhal le soutenait dans Racine et Shakespeare en 1823. Les classiques, disait-il, même Euripide et Sophocle, ont été romantiques en leur temps ; on devient classique, concluait-il, parce qu’on a été romantique : « Je n’hésite pas à avancer que Racine a été romantique ; il a donné, aux marquis de la cour de Louis XIV, une peinture des passions, tempérée par l’extrême dignité qui était alors à la mode. » (…) Ainsi, si Proust est à mes yeux un classique, et même le classique, ce n’est pas, ou pas seulement, au sens du canon, de la classe, du panthéon scolaire et universitaire, et ce n’est pas non plus, ou si peu, au sens du classicisme historique, comme recherche de l’ordre, de l’équilibre, de la réserve, de l’effacement. Mais c’est au sens où chaque génération renouvelle la signification et la portée de cette œuvre, l’enrichit, en prend possession, sans doute parce que cette œuvre n’est pas parfaite, pas close sur elle-même, pas achevée : « Le livre de Proust, disait judicieusement Reynaldo Hahn, n’est pas un chef-d’œuvre si l’on appelle chef-d’œuvre une chose parfaite et de plan irréprochable. » L’œuvre classique n’est pas parfaite. C’est parce qu’elle n’est pas parfaite, pas canonique, si vous voulez, c’est parce qu’elle est creusée de différences qu’elle a le pouvoir de devenir classique.
8 notes
·
View notes
Text
🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 19. Robot.
🤖
Il m'a fallu plusieurs années pour lire une grande partie des romans d'Isaac Asimov l'auteur qui a popularisé le personnage des robots humanoïdes dans la littérature.
🤖
En 2011, ma belle-soeur m'a prêté les recueils de nouvelles intitulé Le Grand Livre des Robots.
Puis en 2012 je me suis attaquée à la grande saga de la Fondation qui compte 7 romans.
L'ensemble est si dense qu'il me faudrait les relire car je ne me souviens que des grandes lignes. Celles-ci m'ont permis d'apprécier l'adaptation de la série que j'ai pu découvrir sur la plateforme Apple TV.
🤖
C'est toujours intéressant de découvrir des "classiques" d'un genre littéraire, même si ça n'est jamais évident de remonter le temps quand on a l'habitude d'une narration et d'un univers qui est à présent bien établi dans la culture populaire. Pourtant, les premiers auteurs à avoir participé au genre de la science-fiction ont le mérite d'avoir essayé quelque chose de différent qui était osé et risqué.
👽
Je reste encore surprise du récit de la Guerre des Mondes de H.G. Wells qui a réussi à décrire des concepts scientifiques difficiles à appréhender pour son époque. Il en va de même avec Ray Bradbury et sa description des écrans qui envahissent le quotidien et la destruction des livres dans Farenheit 451. Ce que j'appelle le "génie" d'un auteur, c'est cette capacité à pressentir ce que l'humanité pourrait accomplir et leur compréhension de la nature humaine.
#toldendegrangaudi#tolden_ln#fanzine#grangaudi#cafegaudi#a drawing a day#february art challenge#robot art#robots#robot#isaac asimov#ray bradbury#h.g. welles
9 notes
·
View notes
Text
Du vampire partout, tout le temps
Comme souvent en matière de mythes, les sources sont multiples. Impossible de dégager une origine unique, car la figure du “buveur de sang” est transversale à une myriade de cultures, traverse les âges et les territoires. L’empusa de la mythologie grecque suce le sang d’endormis, et le brahmaräkshasa du culte hindou se nourrit de l’hémoglobine d’innocentes victimes. Suivant le même modus operandi, la légendaire tribu Tagalog frappe aux Philippines, et la horde de navyï des croyances slaves déferle en Europe de l’Est. Ce tandis que le nukekuki, quant à lui, hante la péninsule nippone de ses crocs acérés…
Si les créatures maléfiques un peu trop enclines à la morsure sont légion dans les folklores depuis des millénaires, la popularisation de la figure du vampire telle que nous la connaissons remonte au XVIIe siècle. Pour être précis, le terme émerge en Serbie vers 1725. C’est d’ailleurs précisément du côté turc de ce royaume que, pour l’une des premières fois dans la littérature française, un auteur, Jean-Baptiste Boyer d’Argens, mentionne l’existence du monstre dans son roman, Les Lettres juives (1736). L’association du monstre à la chauve-souris, elle, est l’œuvre du célèbre naturaliste Buffon qui, dans son Histoire Naturelle (1761) lie le terme “vampire” à une espèce d’animal venue d’Amérique du Sud. Et suceuse de sang, bien sûr.
Dans le courant du siècle, le mythe, longtemps décliné sous des formes variables, s’uniformise autour de caractéristiques cardinales. Grosso modo, il se nourrit de sang à la faveur de la Lune pour rester jeune, crèche dans un cercueil et arbore des canines anormalement aiguisées. Cette figure alimente une véritable psychose populaire qui prend, en une certaine mesure, le relais de la chasse aux sorcières dont on estime qu’elle s’achève en Europe aux alentours de 1680. Le nouvel ennemi est donc trouvé.
On le soupçonne de nombreux maux. Partout on le craint, partout on croit le voir. À tel point que durant l’épidémie de peste qui ravage la Prusse orientale en 1710, les autorités mènent souvent des enquêtes sur les cas de “vampirisme” signalés. Jusqu’à ouvrir certains tombeaux. Histoire de vérifier si le défunt y sommeille bien. Sait-on jamais…
2 notes
·
View notes
Text
Les esclaves français des Barbaresques | Wiki Guy de Rambaud | Fandom
" Dans la littérature, les manuels d'histoire, ou les médias, l'esclavage de 2.000.000 d'Européens de l'Ouest et du Sud par les barbaresques est minimisé, voir presque ignoré[2].
Tidiane N’Diaye, écrivain et anthropologue, montre comment les puissances arabo-musulmanes organisent un esclavage massif. Les médias politiquement corrects affirmant que leur sort doit obligatoirement être considéré comme doux en comparaison de celui des esclaves noirs aux Amériques. A des siècles d'idéologie dominante raciste succède l'opposition entre l'Arabe musulman obligatoirement bon et le méchant judéo-chrétien.
Beaucoup d'historiens ne parlent pas d'un autre aspect de la traite des Noirs, qui touche la déportation de 17.000.000 de personnes par des musulmans. Comme les esclaves blancs ils sont castrés par écrasement des testicules, pour qu'ils ne fécondent aucune femme arabo-musulmane. Les morts du fait de cet acte de barbarie sont innombrables.
Le sort de 300.000 Français, esclaves chrétiens en Afrique du Nord, est à peine abordé, même par un excellent historien comme Braudel, pourtant considéré comme le spécialiste de l'histoire du bassin occidental de la Méditerranée."
3 notes
·
View notes
Text
Dictionnaire populaire illustré d'histoire, de géographie, de biographie, de technologie, de mythologie, d'antiquités, des beaux-arts et de littérature, 1862, vol. 1, p. 144
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2002513/f144.item
5 notes
·
View notes
Text
Bob Dylan : légende de la musique populaire américaine, Nobel de littérature et pape de la protest-song - RTBF Actus
3 notes
·
View notes
Text
Moran Nicole - La Trahison ne paie pas
Moran Nicole - La Trahison ne paie pas: Dans cette courte nouvelle, voici le Paris de la "Drôle de guerre". On s'y amuse et on sort pour oublier la guerre. Une jeune femme, mariée à une chirurgien, fait l'expérience amère de la trahison. Nicole Moran, qui écrit le plus souvent sous le nom de Michèle Nicolaï, est le pseudonyme de Sabine Bluette Brazier, née le 12/05/1905 à La Chaux de Fonds ( Suisse ) de parents français ( Meillonnas dans l’Ain pour le père ) et suisse ( Renan, près de La Chaux de Fonds pour la mère ). Le père étant horloger, il “naviguait” entre l’Ain ( naissance ) le Doubs ( travail ) et La Chaux de Fonds ( Suisse ). Elle était célibataire. Elle est décédée en mars 1950 à Paris (source : À propos de littérature populaire). Elle écrivit de nombreux romans sentimentaux, galants et policiers de l’entre-deux-guerres. Elle est probablement l’auteure, sous le pseudonyme de Hélène Varley, de Une jeune Fille à la page, mais elle écrivit aussi Le Cahier inachevé, et sous le pseudonyme de Nicole Moran, notamment La Mort bleue, Une femme se venge, Un mort de trop, et bien d’autres romans policiers. Sous celui de Jean-Marie Laroche, elle est l’auteure de La Vengeance est pour demain, J’étais trop belle, Suis-je une criminelle, Crime en Irlande ou La Pagode aux cobras et autres romans populaires. Téléchargements : ePUB - PDF - HTML - DOC/ODT Read the full article
2 notes
·
View notes
Text
L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci « psychologisant » qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La perversion narcissique apparaît pour la première fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du « pervers narcissique », pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit topo sur la notion de perversion en psychanalyse:
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "LA Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion apparaît en définitive comme une tentative désespérée et nostalgique, profondément conservatrice, de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
http://graphorismes.tumblr.com/image/144498081873
10 notes
·
View notes
Text
Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie moderne.
J'aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d'église, livres érotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l'enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs.
Je rêvais croisades, voyages de découvertes dont on n'a pas de relations, républiques sans histoires, guerres de religion étouffées, révolutions de moeurs, déplacements de races et de continents : je croyais à tous les enchantements.
J'inventai la couleur des voyelles ! Je réglai la forme et le mouvement de chaque consonne, et, avec des rythmes instinctifs, je me flattai d'inventer un verbe poétique accessible, un jour ou l'autre, à tous les sens. Je réservais la traduction.
Une saison en enfer - Arthur Rimbaud
2 notes
·
View notes
Photo
Arjuna
Arjuna est le grand héros de l'épopée indienne Mahabharata et du dialogue philosophico-religieux Bhagavad Gitâ. Son nom signifie "brillant", "argent" et d'autres termes similaires liés à la luminosité. Il est le champion le plus populaire de la littérature hindoue, un demi-dieu (fils du dieu de la tempête Indra) et le troisième des célèbres Pandavas, les cinq frères nobles qui sont les protagonistes du Mahabharata. Arjuna représente les meilleurs aspects de l'humanité:
Lire la suite...
3 notes
·
View notes